• Malgré l’opposition de la droite, l’Assemblée nationale a adopté ce vendredi 4 décembre la mesure phare d’une proposition de loi LREM sur l’adoption d’enfants, qui ouvre cette possibilité aux couples non mariés. Cet article 2, autorisant l’adoption plénière pour les couples pacsés ou concubins, a été voté à main levée, sous les applaudissements.

    Le secrétaire d’Etat à l’Enfance Adrien Taquet a rappelé qu’actuellement, l’unique possibilité pour ces couples non mariés est que seul l’un des deux membres adopte l’enfant. « En renforçant la filiation aux deux membres du couple, on renforce les droits de l’enfant », notamment en cas de rupture du couple, a-t-il opposé aux arguments de la droite, vent debout contre la mesure d’ouverture.

     

    « Si seul l’intérêt de l’enfant prime, alors il est préférable de lui offrir le plus de garanties possible » et donc d’en rester à l’adoption pour les seuls couples mariés, a de son côté affirmé Thibault Bazin (LR). Son collègue Xavier Breton a critiqué une « conception » de la majorité à l’égard de l’adoption « fondée sur le désir des adultes ». « La modernité on s’en fiche. Le mariage offre une sécurité juridique que n’offrent ni le Pacs, ni le concubinage », a aussi avancé Emmanuelle Ménard, à l’extrême droite.

    Vie commune depuis un an

    Autre disposition cible de la droite : l’article 2 de la proposition de loi prévoit également que les adoptants devront « être en mesure d’apporter la preuve d’une communauté de vie d’au moins un an » (contre deux ans aujourd’hui) ou bien « être âgés l’un et l’autre de plus de 26 ans » (contre 28 ans aujourd’hui).

    A 35 ans, Garance a adopté un enfant seule. Elle et son fils ont appris à rire du regard des autres

    « Un an de vie commune pour prendre une décision d’adoption, c’est un peu léger », a lancé Emmanuelle Ménard. Le secrétaire d’Etat a souligné qu’il s’agissait de « planchers » pour pouvoir demander l’agrément en vue d’une adoption, et que la moyenne d’âge des adoptants s’élevait dans les faits à 41 ans.

    La rapporteure Monique Limon (LREM) a défendu la position « équilibrée » de la proposition de loi, face également à des amendements de son camp visant à encore abaisser l’âge minimal.

    Retour de la GPA

    Le débat sur la filiation des enfants nés par gestation pour autrui à l’étranger est aussi revenu brièvement dans l’Hémicycle. Le « marcheur » Raphaël Gérard a déploré que « le parent d’intention doive recourir à l’adoption », et demandé de « ne pas discriminer les enfants en fonction de leur mode de conception ».

    Adrien Taquet a répondu à ce député et à l’ex-LREM Guillaume Chiche, également en pointe, qu’ils n’avaient pas « rendez-vous » pour rouvrir ce débat, déjà tranché dans le cadre de l’examen du projet de loi de bioéthique

    L'OBS


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  • Élisabeth II en deuil après la mort de l’un de ses corgis

    Buckingham Palace est endeuillé. Élisabeth II fait face à la mort de l’un de ses deux derniers corgis, appelé Vulcan, rapporte le Daily Mail, le 3 décembre. La reine partageait sa vie avec son fidèle compagnon depuis 2007.

    Ni les raisons de la mort de l’animal, ni son âge exact, ne sont connus, mais d’après de royaux calculs, il aurait vécu plus de 13 ans. Une durée de vie plutôt longue pour une race telle que la sienne. Des sources proches d’Élisabeth II ont affirmé que la nouvelle est un choc pour la rien de 94 ans, alors qu’il ne lui reste plus qu’un chien, prénommé Candy.

     

    Ce décès survient alors que les fêtes de Noël s’annoncent bien tristes et calmes. La monarque et son époux, le prince Philip, ont ainsi renoncé aux festivités pour s’installer tranquillement au château de Windsor, la crise sanitaire compliquant les grandes réunions familiales. Véritables mascottes de la monarchie, les corgis font partie intégrante de la vie de la reine, qui en aurait eu plus d’une dizaine tout au long de sa vie. 

    Vanity Fair


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  • Les combats au Haut-Karabakh ont fait plus de 5 000 morts en six semaines

    L’Azerbaïdjan a annoncé ce jeudi 3 décembre la mort de 2 783 de ses soldats dans les combats qui ont opposé pendant six semaines à l’automne les forces azerbaïdjanaises aux Arméniens dans la république autoproclamée du Haut-Karabakh.

    « 2 783 militaires des forces armées azerbaïdjanaises ont été tués dans la guerre patriotique », a indiqué le ministère azerbaïdjanais de la Défense, en ajoutant qu’une centaine d’autres étaient portés disparus.

     

    Jusqu’ici, Bakou n’avait pas communiqué ses pertes militaires, fournissant uniquement le bilan des victimes civiles azerbaïdjanaises, soit 93 morts.

    60 % de la population de la région a fui

    Pour sa part, l’Arménie a rapporté à la mi-novembre la mort de plus de 2 300 de ses soldats dans le conflit pour le contrôle du Haut-Karabakh. Il a également coûté la vie à 50 civils arméniens. En tout, ce sont donc plus de 5 200 personnes qui ont péri au cours du conflit.

    Environ 90 000 personnes, soit 60 % de la population du Haut-Karabakh, ont par ailleurs fui cette enclave montagneuse pendant les combats.

     

    Un accord du cessez-le-feu signé le 9 novembre entre Bakou et Erevan sous patronage russe a mis fin aux six semaines d’hostilités déclenchées le 27 septembre. Cet accord a consacré la victoire de l’Azerbaïdjan et lui a accordé d’importants gains territoriaux, mais a permis la survie du Haut-Karabakh, amoindri.

    Cette région peuplée majoritairement d’Arméniens a fait sécession de l’Azerbaïdjan à l’issue d’une guerre dans les années 1990 qui fait 30 000 morts.

    L'OBS


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  •  SI ON FAIT UN TRUC COMME CA EN FRANCE C'EST LA REVOLUTION  ...


    On va rire si on applique cette mesure en Belgique ou en France !

     

    A Rotterdam, tous les chômeurs doivent travailler "un jour par semaine" pour la communauté si ils veulent percevoir des indemnités. Sinon, ils n'en reçoivent plus ! La ville ne souhaite plus indemniser des habitants fainéants à ne rien faire. Selon la direction communale, cela mène les chômeurs de longue durée à ne plus être capable de travailler.  

    Selon les autorités de la ville, ils sont mis un jour au travail, à l'entretien des rues.  

    Les mères dont les enfants vont à l'école peuvent y donner un coup de main.  

    Les excuses pour "mal au dos", pas de garde pour les enfants, etc ... ne sont pas acceptées.  

    La mentalité des chômeurs doit changer. Ils doivent apprendre à s'impliquer pour la société qui les paie.  

    Qui refuse un emploi perd son allocation de chômage.  

    Il y a aussi régulièrement des cours auxquels les chômeurs doivent assister.  

    Tout a lieu exclusivement en Néerlandais. La ville de Rotterdam ne peut plus se permettre de donner des leçons de langue gratuitement.  

    Ils doivent apprendre le Néerlandais au travail !  

    En peu de temps, 40% des chômeurs de Rotterdam ont trouvé un job !  

    D'autres ont perdu leur allocation de chômage car ils refusaient le nouveau système. 

    Ils ont immédiatement déménagé en Belgique et en France où ils perçoivent des allocations de chômage et des allocations familiales sans avoir à faire aucun effort.  

    Étrangement, le Bourgmestre de Rotterdam, d'origine marocaine, est 100% pour le projet avec les Néerlandais. Étant donné qu'il connait très bien ses compatriotes, il condamne ceux qui refusent les valeurs, les lois et la culture néerlandaises.


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  • Covid-19 : la Suisse et l’Espagne vont-elles profiter de la fermeture des stations de ski françaises ?

    Le débat sur l’ouverture des stations de ski pendant les fêtes se transforme en bataille européenne, où la France, l’Italie et l’Allemagne, dont les stations restent fermées, font face à une fronde de l’Autriche et de la Suisse. L’Espagne pourrait elle aussi profiter de l’or blanc en maintenant ses domaines skiables ouverts.

    LIEN de ce long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/covid-19-la-suisse-et-l-espagne-vont-elles-profiter-de-la-fermeture-des-stations-de-ski-fran%C3%A7aises/ar-BB1byzP0?ocid=msedgntp#image=1


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  • Macron envisage des «mesures restrictives et dissuasives» pour les Français voulant skier à l'étranger à Noël

    Jean Castex a déclaré que les vacances à la montagne étaient toujours d’actualité mais que le ski alpin – de loin le passe-temps le plus populaire pour les foules de skieurs français et étrangers dans les stations des Alpes et des Pyrénées – était effectivement exclu.

    “Naturellement, tout le monde est libre de se rendre dans les stations pour profiter de l’air pur de nos belles montagnes, et des magasins qui seront ouverts, même si les bars et les restaurants ne le seront pas”, a déclaré M. Castex lors d’une conférence de presse. “Mais toutes les remontées mécaniques et les infrastructures collectives seront fermées au public”, a-t-il déclaré.

    Emmanuel Macron a indiqué ce mardi 1er décembre que le gouvernement envisageait de prendre «des mesures restrictives et dissuasives» pour empêcher les Français d'aller skier à l'étranger, notamment en Suisse, à Noël alors que les remontées mécaniques seront fermées en France.

    «S'il y a des pays qui maintiennent des stations ouvertes, il y aura des contrôles pour dissuader les Français» et pour «ne pas créer une situation de déséquilibre avec des stations en France», a expliqué le chef de l'État devant la presse après avoir reçu le premier ministre belge Alexander de Croo.

    Au même moment, le secrétaire d'État au Tourisme expliquait à l'Assemblée nationale que le gouvernement français ne : «laisserait tomber personne. En dehors du ski alpin, toutes les activités nordiques (y compris en parcs payants) ainsi que les patinoires seront autorisées. Les jardins d'enfants seront également ouverts.»

    Placide


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  • C’est vigoureux et Olivier Marchal n’a pas tort : « Omar Sy, marre des acteurs qui chient sur les flics ! »

    JSF Ce n’est pas que les flics soient en tous temps et en tous lieux la tasse de thé des patriotes, royalistes ou non. L’ordre républicain qu’ils défendent n’en est pas un. Mais ceux qui les insultent aujourd’hui ne le font pas au nom d’un ordre supérieur, ils le font au nom de l’anti-France.  Il est bon que des réactions se fassent jour.

     

    A contre-pied, en pleine tourmente face aux accusations de racisme et de bavure, les forces de l’ordre ont reçu le soutien du réalisateur et ex-policier 12 ans , Olivier Marchal, invité de Bruce Toussaint sur BFMTV.

    Lettre Ouverte à Mr. Omar Sy de R. Weiler

    Omar, (pas Ben Salad) vous avez un peu de talent, surtout grâce à vos metteurs en scène. Vous avez aussi fait beaucoup de flops. Le pire de ceux-ci, c’est vos insultes contre les flics français.

    Vous devriez remercier la France, et donc ses policiers, de vous avoir permis de monter en haut de l’échelle. De fils d’immigrés Sénégalo – Mauritaniens vous êtes devenu une star qui accumule les millions de dollars, hors de France, évidemment.

    Loin de remercier cette France, qui vous a prouvé qu’elle n’est pas raciste en facilitant votre ascension, vous vous barrez en Amérique où vous payez moins d’impôts. En plus, maintenant Omar, vous crachez médiatiquement sans risque sur la police française, qui nous protège du terrorisme islamique (entre autre).

    Le flic francais, qui risque sa vie (pas en film), gagne en une année ce que vous recevez en 30 secondes d’acteur. Vos derniers revenus annuels: 3,4 millions d’euros à Hollywood .

    Vous vivez dans une maison de 5 millions de dollars à Los Angeles alors que l’ « inspecteur courage » vit dans un F3 d’une banlieue pourrie. Tu sais par qui frère Omar?  

    Alors tes insultes contre la police française, tu peux te les mettre où je pense, avec tes millions de dollars !  

    JSF JE SUIS FRANCAIS

    Omar Sy a un rire con et il est con ! Qu'il se torche avec tous ses biffetons !


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  • Le syndicat alliance prévient ce mardi 1er décembre d’un sentiment de « ras-le-bol » chez les policiers, vivement critiqué après plusieurs affaires de violences policières, dont l’agression du producteur Michel Zecler.

    La « gronde commence de nouveau à se faire entendre » chez les policiers, a assuré ce mardi 1er décembre Frédéric Lagache, délégué général du syndicat de police Alliance, alors que l’institution est au centre des critiques après plusieurs affaires de violences policières.

    « Ras-le-bol »

    On a l’impression qu’on veut faire croire que la police est une zone de non-droit, où tout est permis et rien n’est contrôlé, a déclaré Frédéric Lagache. Cela nous révolte.

    Nos collègues en ont ras le bol de tout cela et la gronde dans nos rangs commence de nouveau à se faire entendre, a-t-il ajouté. Déjà certains d’entre nous ont décidé de se protéger en ne faisant que l’essentiel de nos missions.
     

    La police est sous le feu des critiques après plusieurs affaires de violences policières, dont le tabassage du producteur de musique Michel Zecler et l’évacuation controversée d’un camp de migrants place de la République.

     

    Deux policiers mis en cause dans les violences subies par Michel Zecler ont été placés en détention provisoire ce week-end et deux placés sous contrôle judiciaire. Ils ont servi d’exemple, avait regretté lundi Alliance, dénonçant un traitement devenu médiatique et politique.

    Une réaction du ministre de l’Intérieur

    Pour tenter de répondre à la crise traversée par la police, le ministre Gérald Darmanin a présenté lundi soir devant la commission des lois de l’Assemblée nationale ce qu’il a appelé les « sept péchés capitaux » de la police et ses propositions pour y remédier.

    Parmi ces péchés, le manque de formation, de moyens ou d’encadrement, ainsi que l’Inspection générale de la police nationale (l’IGPN, la police des polices), pour laquelle il n’a pas exclu quelques évolutions.

    Tous ceux qui nous critiquent, tous ceux-là ne connaissent pas notre métier et ignorent nos difficultés face à une délinquance et une criminalité toujours de plus en plus violente, a encore dit Frédéric Lagache.

    Nous les invitons dans nos voitures de police dans les quartiers difficiles quand ils veulent et le temps qu’ils souhaitent, a-t-il lancé.

    Ouest-France


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  • Pour aider les agriculteurs particulièrement touchés par les suicides, Camille Beaurain veuve de l'un d'eux, plaide pour un accompagnement renforcé et veut favoriser les circuits courts.

    Pour tenter d’enrayer les suicides chez les agriculteurs, le député LREM du Lot-et-Garonne Olivier Damaisin doit remettre ce lundi au Premier ministre un rapport présentant des pistes pour accompagner plus précocement les agriculteurs en difficulté. Car la profession est particulièrement touchée, un exploitant agricole se suicide tous les jours en moyenne selon les dernières statistiques (372 suicides en 2015), un chiffre en deçà de la réalité alerte le député.

     

    "On espère que le rapport ne reste pas sur la pile du bureau et qu’on s’en occupe vraiment", témoigne ce mardi sur RMC Camille Beaurain, dont l’époux, agriculteur, s’est donné la mort il y a trois ans. "C’est de pire en pire, ça reste tabou mais il faut continuer à aider les agriculteurs et les accompagner le plus possible", déplore-t-elle, estimant qu’il y a un manque d’accompagnement de la part de l’administration agricole.

    "Il y a un acharnement administratif avec les mises aux normes. Actuellement c’est toujours compliqué, pour moi aussi", ajoute-t-elle précisant ne pas voir d’amélioration. Et à la pression administrative s’ajoute des conditions de travail de difficiles. En dix ans avec son mari, Camille Beaurain assure n’avoir pu quitter son exploitation qu’un seul week-end après longtemps avoir vécu avec seulement 300 euros par mois pour deux.

    "Les éleveurs bovins les plus touchés"

    Conséquence, de nombreux agriculteurs sont touchés par le burn-out : "Le burn-out n’est pas juste un mot, c’est une maladie : certains n’en peuvent plus, les épouses aussi. Ont dit qu’il y a des divorces et de suicides et cela va continuer sans accompagnement".

    Pour améliorer la situation des agriculteurs, Camillea Beaurain plaide pour la démocratisation des circuits courts: "On l’a vu pendant le premier confinement avec les circuits courts. Certains étaient déjà dedans et on pu se développer. D’autres ont la possibilité de s’y mettre mais il faut leur en donner les moyens. Si on ne les aide pas ce sera compliqué".

    En attendant, la situation ne s’améliore pas. En juin dernier l'Observatoire national du suicide avait noté une "surmortalité statistique par suicide pour les exploitants agricoles, comparés à la population générale, particulièrement marquée chez les éleveurs bovins (lait et viande) âgés de 45 à 54 ans".

    RMC


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  • Quatre policiers ont été placés en garde à vue dans cette affaire. Ils assurent que l’interpellation était légitime.

    Avant même qu’on connaisse le fin mot de l’histoire, une large partie de l’opinion publique a déjà condamné les quatre policiers que l’on voit dans une vidéo, après l’interpellation violente d’un producteur de musique, le 21 novembre. Quelques jours plus tard, la vérité semble pourtant plus nuancée qu’il n’y paraît.

    « Le faire sortir de son local »

    Alors que quatre policiers étaient toujours en garde à vue, samedi 28 novembre, le site actu17 dévoile de nouveaux détails : dans le studio de Michel Zecler, l’homme arrêté, un sachet transparent contenant ce qui pourrait être de la résine de cannabis a été retrouvé le lendemain par les enquêteurs. « Les policiers disent que leur seul objectif, c'était de le faire sortir de son local pour l'interpeller, car ils pensaient que c'était à cause des stupéfiants qu'il voulait se soustraire au contrôle », détaille une source proche du dossier.

    Les agents mis en cause assurent que l’interpellé refusait d’être entraîné hors du studio, et faisait de la résistance. Ils font aussi valoir que l’homme marchait dans la rue sans arborer de masque anti-Covid. Sur les quatre policiers inquiétés par la justice, l’un d’eux a lancé une grenade lacrymogène dans le local. Il aurait été appelé en renfort après que Michel Zecler a appelé à l’aide neuf personnes qui se trouvaient au sous-sol du studio. Les versions des deux parties se contredisent toujours et une partie des affirmations des fonctionnaires semble invalidée par les images.

    Un individu aux « antécédents judiciaires très lourds »

    Par ailleurs, Valeurs actuelles a eu accès à la version de plusieurs policiers concernant cette arrestation. Un jeune gardien de la paix évoque notamment « une rébellion caractérisée » de la part de Michel Zecler puisque ce dernier a résisté à son interpellation. Un responsable syndical ajoute que l’individu a « tenté de rentrer chez lui pour échapper (aux policiers) ce qui provoque la suite ».

    Sur LCI, Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie-Officiers indique les fonctionnaires, repérant un homme sans masque, « se sont aperçus que cet individu avait une énorme sacoche avec une odeur de stupéfiants très très forte ». C'est d'ailleurs dans cette sacoche que du cannabis sera ensuite retrouvé par les enquêteurs, le lendemain, selon Le Parisien. « Lui-même a frappé les policiers. Un des policiers est blessé », poursuit le syndicaliste, ajoutant que l’homme « est connu pour vol à main armée, association de malfaiteurs, a déjà fait de la prison et qui a des antécédents judiciaires très lourds ».  Valeurs actuelles, de son côté, écrivait que Michel Zecler disposait déjà d'antécédents judiciaires de stupéfiants, de vols et d’outrages.

    Valeurs actuelles 

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    Le rappeur Michel Zecler soi-disant victime de violences policières produisait des chansons anti-flics…

    Damien Rieu
     
    @DamienRieu
     
    #MichelZecler a produit en 2016 le concert retour du group de rap ministèr amer et sa fameuse chanson "sacrifice de poulet" et “Pas de paix sans que le poulet ne repose en paix". #Violencepolicieres
     
     
    Docteur Laurent Alexandre
     
    @dr_l_alexandre
     
    La vérité va mettre du temps à émerger Le producteur n’est pas un gentil BISOUNOURS - casier judiciaire bien rempli et déjà emprisonné - attaque à main armée - nombreux antécédents de violence - dealer de stupéfiants selon la police
     
    Nouvelles de France

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  • Joe Biden se fracture le pied en jouant avec son chien

    Joe Biden se fracture le pied en jouant avec son chien

    C'est un accident qui ne va pas aider Joe Biden à déconstruire l'image d'homme âgé que lui attribue le camp républicain.

    Le président élu des Etats-Unis s'est fait une fracture du pied droit en jouant avec son chien, a indiqué dimanche son équipe en citant le diagnostic d'un médecin à la suite d'un scanner.

    Le démocrate, âgé de 78 ans, s'est blessé samedi en glissant alors qu'il jouait avec l'un de ses deux bergers allemands, Major.

    Initialement, son médecin personnel, Kevin O'Connor, avait parlé d'une « entorse du pied droit », sans « fracture évidente ». Il avait ajouté que Joe Biden passerait un scanner pour évaluer précisément l'état de la blessure.

    Le scan a « confirmé des fissures […] au milieu du pied », a précisé ultérieurement le médecin dans un autre communiqué publié par les services de presse du démocrate. Il a ajouté que le président élu « devra vraisemblablement porter une botte orthopédique pendant plusieurs semaines ».

    Joe Biden doit s'installer à la Maison-Blanche, une fois qu'il aura prêté le 20 janvier 2021, ses deux bergers allemands l'y suivront : Champ, dans la famille Biden depuis 2008, et Major, adopté en 2018 dans un refuge, renouant ainsi avec une tradition de longue date.

    Le Parisien


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  • L’académie de Versailles a publié, dimanche 29 novembre, une petite annonce pour recruter un professeur d’histoire-géographie au collège du Bois d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine. Le Snes, premier syndicat du secondaire, juge le procédé « choquant » et « inacceptable ».

    L’académie de Versailles a publié ce dimanche matin une petite annonce sur le site de Pôle Emploi en vue de recruter un professeur ou une professeure pour enseigner l’histoire-géographie au collège du Bois d’Aulne, à Conflans Sainte-Honorine. Un contrat à durée déterminée de dix mois pour dix-huit heures de cours hebdomadaires, salaire mensuel de 1 900 € à 2 300 € sur douze mois. Débutant accepté.

    Banal ? Pas vraiment. C’est dans ce collège des Yvelines et à ce poste qu’exerçait Samuel Paty, assassiné le 16 octobre par Abdoullakh Anzorov, un réfugié russe d’origine tchétchène, âgé de 18 ans, abattu quelques minutes après son crime par la police à Éragny (Val-d’Oise).

    Il n’avait pas supporté que le professeur d’histoire-géographie montre en cours des caricatures de Mahomet, publiées par Charlie Hebdo, lors d’un cours sur la liberté d’expression, le 6 octobre. Une violente campagne sur les réseaux sociaux, qualifiant Samuel Paty de voyou et de malade l’avait incité à passer aux actes.

    Secrétaire générale du Snes-FSU, le principal syndicat enseignant du secondaire, Frédérique Rolet se dit très étonnée par la publication de cette petite annonce. Normalement, quand un enseignant est absent pour cause de maladie ou d’accident, on fait appel à un titulaire sur zone de remplacement. Que l’académie n’en ait pas trouvé paraît bizarre : on n’est qu’en décembre !

    Un procédé qui n’est pas inhabituel

    Faut-il en déduire que le poste attire peu auprès des titulaires, vu la charge symbolique du poste ? Peut-être. Le recrutement de professeurs par petite annonce n’est pas inhabituel, en revanche. Ce qui l’est davantage, c’est la manière dont l’annonce est libellée.

    Normalement, l’académie qui recrute passe une annonce plus vague, du type : on recrute un poste de professeur dans telle discipline dans l’académie. On ne précise jamais pour quel poste précis, dans quel établissement, précise Frédérique Rolet.

    C’est plus que choquant, c’est inacceptable, réagit de son côté Antoine Tardi, secrétaire général du Snes pour l’académie de Versailles. Depuis le début, on a demandé qu’une attention particulière soit portée à cet établissement. Que les remplaçants, quelle que soit la matière d’ailleurs, soient des titulaires formés et volontaires, et pas des contractuels. Ce collège a besoin de sérénité. Ce n’est pas ce type de petite annonce qui va l’apporter.

    Le syndicat doit saisir le rectorat de Versailles dans la journée pour faire retirer la petite annonce de recrutement.

    Ouest-France


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  • Plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des membres de force de l’ordre tabassés. Côté manifestants aussi, les rassemblements ont fait des blessés. Le bilan chiffré n’est pas encore connu. Un photographe syrien indépendant a été touché au visage.

    Une soixantaine de policiers et gendarmes ont été blessés et 81 personnes ont été interpellées samedi 28 novembre, lors des manifestations contre le texte « Sécurité globale » et les violences policières, selon un bilan du ministère de l’Intérieur.

    62 blessés ont été enregistrés parmi les forces de l’ordre (39 en province et 23 à Paris), a précise le ministère.

    Plusieurs vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ont montré des policiers tabassés par des manifestants. Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a condamné, sur Twitter, «les violences inacceptables contre les forces de l’ordre.

    Deux manifestants, qui ont fait un signalement auprès de l’Inspection générale de la police (IGPN), ont été blessés en province, selon la police.

    À Paris, un bilan des blessés du côté des manifestants n’était pas encore réalisé.

    Un photographe blessé au visage

    Un photographe syrien indépendant, Ameer al Halbi, 24 ans, qui couvrait la manifestation a été blessé au visage. Le secrétaire général de RSF, Christophe Deloire, a dénoncé samedi soir sur Twitter des violences policières inacceptables contre ce collaborateur de Polka Magazine et de l’AFP.

     

    Marches « des libertés » : Une soixantaine de policiers et gendarmes blessés, 81 interpellations

    Au total, ces manifestations ont rassemblé, selon l’Intérieur, 133 000 personnes dont 46 000 à Paris, les organisateurs annonçant pour leur part 500 000 participants dont 200 000 dans la capitale.

    Ouest-France


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  • Ugo Marchic, l’ex-baron de la drogue, arrêté en Seine-et-Marne après deux semaines de cavale

    Condamné à 30 ans de prison lors de son procès en appel devant la Cour d’assises de l’Essonne pour le meurtre d’un retraité français au Venezuela, Ugo Marchic a été interpellé ce samedi matin à Montévrain.

    Sa dernière cavale aura duré près de deux semaines, mais il va passer la nuit au centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin. L'ex-narcotrafiquant Ugo Marchic a été interpellé ce samedi matin vers 11 heures à Montévrain en Seine-et-Marne.

    Le suspect âgé de 67 ans avait été condamné en appel vendredi 20 novembre par la Cour d'assises de l'Essonne à trente ans de réclusion criminelle avec une peine de sûreté de vingt ans, pour l' assassinat de Paul Wolnerman, un retraité français, commis en avril 2012 au Venezuela.

    L'accusé ne s'était pas présenté à son procès en appel

    Un verdict auquel n'avait pas assisté le sexagénaire franco-italien puisqu'il ne s'était pas présenté devant les juges d'Evry-Courcouronnes lors de l'ouverture de son procès en appel, le 16 novembre dernier, après une première condamnation à la même peine de trente ans de réclusion criminelle par la Cour d'assises de Paris en 2019.

    Le 28 octobre, il avait été libéré de la prison de Fresnes (Val-de-Marne) suite à une erreur de procédure, un dépassement des délais de renouvellement de son mandat de dépôt. Une erreur qui rendait sa détention illégale. Mais il devait alors respecter un contrôle judiciaire strict, ce qu'il a fait jusqu'à l'ouverture de son procès en appel le 16 novembre dernier. Ce matin-là, il a bien quitté l'appartement qu'il occupait allée des enfants à Torcy (Seine-et-Marne) mais n'est jamais arrivé au tribunal d'Evry-Courcouronnes.

    Planqué sous une fausse identité

    En fuite, Ugo Marchic était depuis activement recherché par la police suite à l'ouverture d'une enquête par le parquet d'Evry. Il n'était pas allé très loin. Les investigations des enquêteurs ont permis de remonter jusqu'au logement de Montévrain, à quelques kilomètres de son précédent domicile, où il se cachait sous une fausse identité et muni de faux papiers.

    Membre du grand banditisme, Ugo Marchic n'en était pas à son coup d'essai ni à sa première cavale. En 2001, il avait été jugé par contumace pour avoir dirigé un trafic international de stupéfiants et déjà condamné à 30 ans de prison, peine qu'il n'a jamais effectuée. Cinq ans plus tôt, il avait été interpellé au Venezuela lors d'une opération de l'OCTRIS (Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants) en possession de 600 kilos de cocaïne. Paul Wolnerman a été assassiné en avril 2012 à Puerto La Cruz.

    Le procès en appel s'étant tenu jusqu'au bout, la décision est dite contradictoire puisque Marchic a été régulièrement convoqué devant la cour d'assises. Il commence donc à purger sa peine ce samedi soir au centre pénitentiaire de Meaux-Chauconin avant un éventuel transfert vers un autre centre pénitentiaire. Son dernier recours possible est un éventuel pourvoi en cassation.

    Le Parisien


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  • «Ne tuez pas la montagne française» : l’appel d’élus à Macron pour les stations de ski

    C'est un cri que poussent le président de la région Auvergne Rhône-Alpes, Laurent Wauquiez, et d'autres élus ou professionnels dans une tribune* publiée par nos confrères du JDD. « Monsieur le président de la République, ne tuez pas la montagne française! », écrivent-ils pour demander à Emmanuel Macron la réouverture en décembre des remontées mécaniques.

     

    Le Premier ministre Jean Castex a en effet annoncé, jeudi dernier, que les stations de montagne seraient ouvertes, mais pas les remontées mécaniques.

    Bien qu'enregistrant une baisse de l'incidence du coronavirus, la Haute-Savoie et la Savoie restent les deux départements les plus touchés par l'épidémie. Début février, la station haut-savoyarde des Contamines-Montjoie avait enregistré l'un des premiers clusters de l'épidémie dans une famille britannique ayant séjourné dans un chalet.

    « 250 stations et 120 000 emplois » en péril

    « La sentence est tombée d'en haut, à l'image de toute la gestion de la crise, avec une décision sans cohérence ni bon sens. Comment expliquer que l'on puisse aller dans une salle de cinéma à Paris mais pas dans une station de ski au grand air? Comment comprendre que vos ministres, il y a quelques jours encore, incitaient à embaucher les saisonniers et à prendre des vacances à la montagne? », s'emportent les élus.

     

    Ils regrettent notamment que des pays comme l'Autriche ou la Suisse aient décidé d'ouvrir leurs pistes, alors qu'eux ne peuvent pas, provoquant « colère et consternation ». « Vous parlez d'Europe ? Mais ce n'est pas à Merkel de décider de l'avenir de nos stations », affirment-ils, faisant référence à la position de Berlin en faveur d'une interdiction générale de ski dans l'UE.

    Ces élus considèrent que la décision de l'exécutif est « une sentence contre des dizaines de milliers d'emplois et d'entreprises », mettant en péril « 250 stations, 120 000 emplois et 9 milliards d'euros de recettes pour notre pays ».

    Pour eux, « il faut ouvrir les stations avec les remontées mécaniques pour décembre ». Ils réclament ensuite « un calendrier précis « et » en urgence un sommet de la montagne » autour de Jean Castex afin d'obtenir « un vrai plan de compensation à la hauteur du choc » économique.

    * Cette tribune est signée, outre Laurent Wauquiez, par Hervé Gaymard, président du département de la Savoie, Jean-Pierre Barbier, président du département de l'Isère, Christian Monteil, président du département de la Haute-Savoie, Jean-Luc Boch, président de l'Association nationale des maires de stations de montagne (ANMSM), mais aussi Alexandre Maulin, président de Domaines skiables de France (DSF), ou encore Eric Breche, président du Syndicat national des moniteurs du ski français (SNMSF).

    Le Parisien


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  • Un attentat à la voiture piégée dans la province de Ghazni, dans le centre de l'Afghanistan, a tué au moins 30 membres des forces de sécurité afghanes dimanche, ont dit des officiels, un bilan qui risque de s'alourdir vu la violence de la déflagration et le lieu où elle s'est produite.

     

    Baz Mohammad Hemat, directeur de l'hôpital régional de Ghazni, a indiqué que 30 corps et 24 personnes blessées avaient été transportés sur place. "Toutes les victimes sont des personnels de sécurité", a-t-il dit.

    L'explosion a frappé un site des forces de la protection publique, une aile des forces de sécurité afghanes, on déclaré des officiels locaux. Elle a aussi endommagé des résidences civiles situées aux alentours, où elle pourrait aussi avoir fait des victimes, ont-elles ajouté.

    Le ministre de l'Intérieur Tariq Arian a confirmé qu'un attentat à la voiture piégé avait eu lieu. Celui-ci n'a fait l'objet d'aucune revendication

    L'Afghanistan, en proie à la guerre depuis deux décennies, est frappé depuis plusieurs mois par une vague d'attentats à la voiture piégée malgré les discussions de paix engagées entre les rebelles talibans et le gouvernement dans la capitale du Qatar, Doha, et en dépit des appels internationaux à un cessez-le-feu immédiat.

    Un autre attentat à la bombe a visé dimanche le convoi d'un responsable de la province de Zaboul, dans l'Est du pays, le blessant légèrement ainsi que 22 autres personnes, et faisant au moins un mort, a dit le porte-parole du gouverneur de la pronvice.

    Personne n'a revendiqué l'attentat contre Haji Ata Jan Haqbayan, connu pour ses critiques des Taliban.

    (Mustafa Andalib à Ghazni, Sarwar Amani à Kandahar et Abdul Qadir Sediqi à Kabul, Gilles Guillaume pour la version française)

    REUTERS

    Encore des sauvages !


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  • Nigeria : au moins 43 agriculteurs assassinés par Boko Haram

    Un sanglant massacre, alors que se déroulent ce samedi les premières élections locales organisées depuis le début de l'insurrection djihadiste en 2009. Au moins 43 agriculteurs ont été tués par Boko Haram dans l'Etat du Borno, dans le nord-est du Nigeria.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/nigeria-au-moins-43-agriculteurs-assassin%C3%A9s-par-boko-haram/ar-BB1brQ5R?ocid=msedgntp

     

    Tous des sauvages ! 


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  •  Le producteur de musique parisien, roué de coups par des policiers le week-end dernier, s'est de nouveau exprimé dans un post Instagram publié ce samedi.

    Il souhaite apporter une réponse "froide mais résolue". Deux jours après la révélation des images de son agression par le média LoopsiderMichel Zecler s'est de nouveau exprimé par le biais d'un post Instagram ce samedi.

     

    Ce producteur de musique noir, passé à tabac par des policiers le week-end dernier dans son studio d'enregistrement, demande notamment à ce "qu'aucune violence ni aucun amalgame ne soit fait" en son nom. Une déclaration qui intervient alors que de nombreuses manifestations étaient organisées partout en France contre l'article 24 de la loi "sécurité globale", occasion pour bon nombre de participants de dénoncer les violences policières.

    Michel Zecler a tenu également à remercier le soutien qu'il a reçu des "proches, collègues, voisins, artistes, célébrités ou simples anonymes". Il a pousuivi son propos:

    "Je sens bien que mon cas est peut-être la goutte de trop pour beaucoup d’entre vous", a-t-il écrit. "Je réclame qu’aucune violence ni aucun amalgame ne soit fait en mon nom. Les faits sont graves. Ma réponse sera froide mais résolue. Les entailles les plus profondes ne sont pas forcément celles qui se voient. Elles mettront du temps à se refermer."

    Le producteur a conclu son message en demandant à ce que soit respecté "l'intimité" de ses proches et de sa famille, tout en promettant que "la justice passera".

    Les images de ces violences ont fait réagir de nombreuses personnalités publiques, dont des sportifs, des politiques mais aussi des chanteurs et rappeurs comme Aya Nakamura, qui s’est félicitée de la présence des caméras, souhaitant "courage à Michel".

    Emmanuel Macron a réagi sur son compte Facebook vendredi soir, en indiquant que ces images "inacceptables" font honte au pays, qui ne doit jamais se résoudre "à la violence ou la brutalité".

    Le président de la république a également demandé au gouvernement de faire rapidement des propositions pour "réaffirmer le lien de confiance qui doit naturellement exister entre les Français et ceux qui les protègent et pour lutter plus efficacement contre toutes les discriminations".

    Quatre policiers ont été placés en garde à vue vendredi après-midi dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale et suspendus de leurs fonctions. Ils sont entendus pour "violences volontaires, en réunion, avec arme et à caractère raciste" et "faux en écriture publique", selon le parquet de Paris. Leurs gardes à vue ont été prolongées ce samedi après-midi.

    BFM.TV


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