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  • Policier et «Prince de l’amour», Zoubir est visé par plusieurs enquêtes administratives

    Zoubir dans l'une de ses nombreuses vidéos sur TikTok. (capture écran)

    Un policier de 25 ans affecté sur le XVIe arrondissement de Paris est actuellement l’un des participants de l’émission de téléréalité « Princes et princesses de l’amour ». Il est aussi très actif sur TikTok. Des activités qui ne plaisent pas vraiment à son employeur, la préfecture de police.

    Policer, candidat de téléréalité et star des réseaux. Zoubir, « 25 ans, Sartrouville » a fait son apparition la semaine dernière dans la huitième édition des « Princes et princesses de l’amour » sur W9. Il est l’un des prétendants de la belle italienne, Sara.

    Oui mais voilà, le beau gosse a aussi un métier dans la vie. Zoubir est policier et travaille dans le XVIe arrondissement de la capitale. Et selon Le Parisien, il aurait pris un arrêt de travail pour pouvoir participer au tournage de l’émission, à Saint-Tropez (Var). La préfecture de police a indiqué que le fonctionnaire faisait l’objet de plusieurs enquêtes administratives afin de s’assurer qu’il n’aurait pas commis des « manquements au devoir exigé par sa fonction ».

    Un signalement a aussi été fait sur la plateforme de l’Inspection générale de la police nationale (IGPN). La direction de la police parisienne n’était pas informée des activités extraprofessionnelles du policier, qui n’a donc pas demandé l’accord de sa hiérarchie pour participer à cette émission de télé-réalité.

     122 000 followers sur TikTok

    Et ce n’est pas tout. Zoubir est également très actif sur les réseaux sociaux et n’hésite pas à utiliser sa tenue d’uniforme, ou à mettre son physique athlétique en avant, pour réaliser ses performances bon enfant sur TikTok (sous le pseudo zou.off), où il est suivi par plus de 122 000 personnes.

    Des prestations qui sont parfois un peu loin du code de déontologie de la police. Comme cette vidéo avec en fond, la chanson de Bango « Wesh gros », où le fonctionnaire se lâche : « Sortir sans attestation », « Choper des snaps et numéros sur les contrôles Covid » et « Profiter du confinement pour aller dormir chez les sœurs ». Policier ou influenceur, Zoubir risque de devoir choisir…

    ACTU 17


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  • Incroyable scène de guérilla ce dimanche après-midi dans la cité Verte de Carpentras (Vaucluse). Une dizaine d’individus encagoulés et armés ont ouvert le feu à de multiples reprises, dans tous les sens, avant de prendre la fuite.

    Les auteurs sont arrivés à bord de plusieurs véhicules. Deux selon des sources policières, cinq selon des témoignages. Il était 14h45 dans la cité Verte. Une dizaine d’individus sont alors descendus et ont ouvert le feu à de très nombreuses reprises. Par miracle, les policiers rapidement arrivés sur place n’ont trouvé aucun blessé.

    Les malfaiteurs avaient déjà pris la fuite mais les constatations réalisées sur place ont confirmé qu’ils avaient fait feu à de multiples reprises. 28 véhicules en stationnement présentaient des impacts de balle. L’une des cartouches a terminé sa course dans la fenêtre d’une habitation. Les enquêteurs ont découvert sept étuis de calibre 12 mm et neuf de calibre 9 mm au sol. Quant aux habitants, ils sont sous le choc.

    Dans le même temps, les policiers ont été alertés que deux individus étaient en train d’échanger des tirs non loin de là, dans la rue du Saule. Sur place, il n’y avait plus personne mais quatre étuis de calibre 9 mm ont été trouvés par terre.

    Vers 15 heures, les forces de l’ordre ont été appelées pour un véhicule en feu, sur la route de Saint-Didier. Il s’agissait d’une Peugeot 308 blanche utilisée par les tireurs de la cité Verte.

    Une opération anti-stupéfiants quatre jours plus tôt

    S’agit-il d’une démonstration de force ou d’une scène d’intimidation sur fond de trafic de stupéfiants et de guerre de territoire ? Il semblerait que oui. Une enquête a été ouverte et confiée à la Direction zonale de la police judiciaire (DZPJ).

    Quatre jours plus tôt, une opération de police anti-stupéfiants avait été menée dans le quartier du Pous-du-plan. Trois suspects avaient été interpellés et les policiers avaient été violemment pris pour cible par des dizaines d’individus. Ils avaient notamment fait usage de moyens lacrymogènes pour se défendre.

    ACTU 17

    C'est qu'il ne faut pas les embêter ces petites chances pour la France !


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  • Mika Denissot

    J’ai "interviewé"Coluche et Balavoine pour avoir leur opinion sur ce que nous vivons actuellement aussi bien sur le plan politique, que sanitaire avec le virus, mais aussi, leur point de vue sur la manipulation médiatique. Dans un dialogue bon enfant nous échangeons sur des sujets qui touchent à nos libertés individuelles. Cet échange a pour intention de vous permettre de vous poser les bonnes questions et de trouver vos propres réponses. Je rends hommage à ces 2 grand hommes qui s’ils existaient encore aujourd’hui seraient surement traités de Complotistes.


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  • Les sacs-poubelle avaient été déposés par des héritiers qui venaient de vider une maison... sans faire le tri

    Près d’une quinzaine de sacs-poubelles de 120 litres abandonnés à proximité d’un ancien hôpital militaire près de Lunéville, en Meurthe-et-Moselle. Le maire de la commune voisine de Domjevin, Dominique Pierrat, a été attiré par un drôle de dépôt sauvage d' ordures cette semaine, rapporte L'Est Républicain.

     

    Avant d’aller prévenir la gendarmerie, l’édile a ouvert quelques emballages… pour quelques surprises ! Il a ainsi trouvé une alliance en or, des colliers, boucles d’oreilles et argent liquide dans le tas. Avec également des papiers d’identité qui appartenait à une personne récemment décédée non loin de là, selon le quotidien régional. Ses héritiers venaient justement de vider sa maison, visiblement sans regarder ce qu’ils mettaient à l’intérieur des sacs-poubelle. Ils devront s’acquitter d’une amende.

    20 Minutes


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  • Cette voyageuse a été expulsée d'un vol EasyJet à cause de son décolleté

    n 2019, Harriet Osborne, une mère de famille britannique âgée de 31 ans, a été expulsée d'un vol EasyJet en raison de sa tenue, une blouse en dentelle transparente avec un large décolleté jugée trop révélatrice par le personnel de bord, et par conséquent incompatible avec la philosophie de la compagnie. Une hôtesse a interpellé la jeune femme à sa montée dans l'avion pour lui dire qu'elle ne pouvait pas voyager habillée de la sorte.

    Comme le révèlent plusieurs médias britanniques, dont The Sun et The Mirror, Harriet, maman de deux enfants et maquilleuse professionnelle, qui devait rentrer au Royaume-Uni depuis l'aéroport de Malaga (Espagne), a voulu se couvrir avec le pull de son compagnon après une première remarque d'une hôtesse. Un effort qui n'aura pas suffi à convaincre le personnel de bord, qui a pris la décision de débarquer la jeune femme après avoir reçu plusieurs plainte de passagers qui trouvaient cette tenue provocante.

    "J’étais choquée. C’était tellement sexiste"

    "L’équipage était épouvantable, je me suis sentie mal. Cette hôtesse de l’air m’a prise à partie devant l’avion tout entier et m’a dit que je n’étais pas autorisée à rester en portant ce haut. Après, je m’étais couverte mais cela n’a rien changé. On m’a escortée hors de l’avion. J’étais choquée. C’était tellement sexiste", explique-t-elle dans une interview accordée au Sun et retranscrite en français par nos confrères de 7sur7.

    La réponse d'EasyJet

    Son de cloche différent du côté d'EasyJet, qui a réagi à l'affaire dans les colonnes du Sun : "Après quelques plaintes, notre équipage a demandé à la passagère de porter un vêtement supplémentaire. Cependant, la femme s’est montrée agressive contre l’un de nos employés. Nous ne tolérons aucun comportement abusif ou menaçant envers notre personnel."

    Au final, Harriet a dû passer la nuit à l'aéroport de Malaga avant de prendre un nouveau vol le lendemain.

    Gent Side


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  • Biden prévoit de prendre une "dizaine" de mesures lors de son investiture

    Biden prévoit de prendre une "dizaine" de mesures lors de son investiture

    Le président américain élu, Joe Biden, terminera son investiture en signant de nouveaux décrets sur le logement, les prêts étudiants, le changement climatique ou l'immigration, annonce samedi un conseiller.

    Joe Biden, qui avait promis de revenir sur certaines politiques mises en place par Donald Trump avant même que la crise sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus ne s'abatte sur les Etats-Unis, dévoilera "environ une dizaine" de mesures mercredi, était-il dit dans une note distribuée aux journalistes par le futur chef de cabinet du président élu, Ron Klain.

    Réintégrer l'accord de Paris sur le réchauffement climatique ou revenir sur le décret interdisant l'accueil de ressortissants de 13 pays majoritairement musulmans font notamment partie de cette série de mesures qui avaient déjà été annoncées.

    Joe Biden dévoilera aussi mercredi une proposition de mesure portant sur l'immigration qui devrait permettre à des milliers d’immigrés clandestins d'obtenir la citoyenneté américaine.

    Cette mesure, ainsi que la proposition d'un plan de relance de 1.900 milliards de dollars pour relancer l'économie et accélérer la vaccination contre le COVID-19, seront présentées au Congrès où le parti démocrate va disposer d'une majorité étroite dans les deux chambres.

    D'autres mesures seront adoptées durant les neuf premiers jours du mandat de Joe Biden, notamment pour le développement de la campagne de dépistage du coronavirus ou pour inciter le gouvernement à favoriser les produits de fabrication américaine.

    "Le président élu accédera à la présidence alors que la nation traverse une crise profonde", a déclaré Ron Klain.

    Reuters

    Avec le sénile Biden, l'Amérique sera bientôt musulmane !


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  • A Paris, une colocation pour des lesbiennes exilées en errance

    Paris - "Vous avez vu la vue ?": tout sourire dans son sweat blanc à capuche, "Fatou" montre à travers la fenêtre le Sacré Coeur illuminé dans la nuit, visible depuis l'"Escale", une colocation pour lesbiennes exilées en errance.

    Ce lieu c'est un rêve pour moi", poursuit la jeune Malienne de 22 ans, entre les murs blancs de sa chambre, vierge encore de toute décoration et située au dernier étage du triplex qu'elle partage avec quatre autres jeunes femmes depuis quelques semaines.  

    Situé Butte Montmartre dans le 18e arrondissement de Paris, ce logement de 125m2 a été mis à disposition de l'association Basiliade par la mairie, via son bailleur social Elogie-Siemp, pour y accueillir des femmes qui ont pour point commun d'avoir dû fuir leur pays en raison de leur orientation sexuelle. 

    "Dans mon quartier au Mali, c'était dangereux pour moi, tout le monde me parlait mal, me montrait en disant 'c'est une lesbienne'", raconte "Fatou", le visage fermé.  

    En arrivant en France, "j'ai beaucoup souffert", confie-t-elle sobrement. "J'ai dormi dans la rue, j'ai fait la manche, là je n'arrive pas encore à réaliser que j'ai enfin un chez moi". 

     

    Pour sa colocataire, Dylia, Algérienne de 25 ans, "le fait d'avoir un toit sur la tête" et d'être "entourée et accompagnée par des personnes qui nous comprennent", c'est "rassurant". 

    "On se sent en sécurité", ajoute cette étudiante en psychologie arrivée en France en septembre 2018. "On se sent comme une famille, on a le même but celui de s'en sortir, de s'assumer pleinement, d'être épanouies et d'être heureuses.

    Au-delà du logement, les cinq jeunes femmes, âgées de 19 à 28 ans, bénéficient d'un accompagnement social, médical, psychologique par l'association Basiliade, à l'origine de cette initiative et d'un premier site pilote pour exilés homosexuels, lancé en septembre 2020 à Belleville. 

    "Il y a une saturation des dispositifs d'hébergement traditionnels et quand les personnes LGBT y trouvent une place, elles sont souvent victimes de discrimination, sont insultées ou agressées", relève Noémie Stella, doctorante à l'origine du projet.  

    "L'idée c'est vraiment de créer un lieu +safe+ pour qu'elles puissent rester sans courir le risque d'être mises à la porte", ajoute-t-elle. "C'est la condition pour retrouver une estime de soi qui a été maltraitée, pour faire un parcours sur soi qui leur permet ensuite de voler de leur propres ailes et de sortir de la précarité".  

     

    Forte de ses deux sites, Basiliade espère désormais pouvoir ouvrir 16 autres appartements similaires - avec trois colocataires à chaque fois - afin de pouvoir loger les autres exilés LGBT toujours en errance dans la capitale.  

    L'Express - 11 01 2021
     

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  • Le psychopathe macron et sa vieille, ils s'en foutent, ils ont du pognon, le nôtre et bien à bouffer !


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  • Jean-Pierre Pernaut remonté : « On peut s’entasser dans le métro, pas aller au cinéma »

    Au micro de France Bleu, ce lundi 11 janvier, Jean-Pierre Pernaut a apporté son soutien au monde de la culture et aux stations de ski fermées tout en critiquant les décisions prises par le gouvernement.

    Il n'a pas sa langue dans sa poche. Alors qu'il n'est plus le présentateur du journal du 13 heures de TF1remplacé depuis quelques jours par Marie-Sophie Lacarrau, Jean Pierre Pernaut continue à faire parler de lui en donnant son avis sur l'actualité en toute franchise. Invité de l'émission Une heure en France, sur France Bleu, ce lundi 11 janvier, le journaliste a poussé un coup de gueule en affirmant ne pas comprendre les mesures prises par le gouvernement pour enrayer la crise du Covid-19 : "Je ne comprends pas qu'on peut s'entasser dans le métro et qu'on ne peut pas aller au cinéma".

     

    Pour appuyer ses propos, Jean-Pierre Pernaut avance que "toutes les mesures de distanciation sont prises" pour se rendre dans un lieu culturel. Le journaliste star de TF1 ne comprend notamment pas pourquoi "on ne peut pas visiter les musées" ou bien pourquoi "on ne peut pas aller au théâtre alors qu'il n'y a aucun risque en gardant son masque". Jean-Pierre Pernaut a adressé a un message de soutien à toutes les professions à l'arrêt, notamment dans le domaine du spectacle et de la culture : "C'est difficile pour les artistes mais c'est difficile pour tous les gens qui travaillent pour eux. C'est-à-dire les costumiers, les régisseurs dans les salles, les gens qui placent dans les salles. On pense à tous ces gens-là qui sont les oubliés de la crise."

    Il défend les stations de ski

    Jean-Pierre Pernaut, qui appréciait donner la parole aux différents territoires français dans son journal, notamment aux stations de ski lors de la saison hivernale, ne les pas oublié lors de sa dernière sortie qui épingle le gouvernement : "Je ne comprends pas du tout pourquoi les remontées mécaniques sont fermées. Y a-t-il eu un foyer sur un tire-fesse ? Non. Y-a t-il eu un foyer dans un restaurant ? Non. Y a-t-il eu un foyer dans une salle de cinéma ? On n'en sait rien". Mais, celui qui a lancé désormais sa propre chaîne de reportages, le confesse, il ne voudrait pas "être à la place du gouvernement car ça doit être épouvantable de ne savoir comment faire pour juguler cette épidémie."

    GALA


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  • Deux gendarmes, une femme et un homme, se sont suicidés vendredi dans leurs casernes de Lyon et Toulouse, « a priori avec leurs armes de service », a-t-on appris dimanche auprès de la gendarmerie nationale et de source proche du dossier.

    La première, une adjudante-cheffe de 53 ans, commandait la Brigade de prévention de la délinquance juvénile (BPDJ) de Lyon, était divorcée et avait un enfant, selon la gendarmerie.

    « Des problèmes de santé »

    Elle a laissé un écrit derrière elle « sans mettre en cause la hiérarchie », a affirmé une source proche du dossier, précisant qu’elle avait « des problèmes de santé ».

    Le Bureau des enquêtes judiciaires de l’Inspection générale de la gendarmerie nationale (IGGN) a été saisi de l’enquête.

    L’homme était un major de 56 ans, affecté à l’escadron de sécurité routière de Toulouse, marié et père de deux enfants, a indiqué la gendarmerie. Il était « en arrêt maladie », selon la source proche. La Brigade de recherches de Toulouse a été saisie.

    En 2020, dix gendarmes se sont donné la mort, selon la gendarmerie, un chiffre au plus bas sur les dix dernières années.

    Ouest-France

    Il semble que cela n'a rien à voir avec leur profession


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  • La police du Capitole a annoncé, jeudi, qu'un agent avait succombé à ses blessures infligées lors d'affrontements avec des partisans du président Donald Trump, après leur intrusion violente au Capitole, à Washington.

    Un policier assurant la garde du Capitole, Brian Sicknick, est décédé, jeudi 7 janvier, des suites des blessures reçues lors des violences commises la veille par des partisans de Donald Trump.

    L'agent "était déployé sur les affrontements au Capitole, mercredi 6 janvier 2021, et a été blessé lors de contacts physiques avec les protestataires", a indiqué la police du Capitole dans un communiqué. "Il est retourné à ses quartiers et s'est effondré. Il a été emmené à l'hôpital local où il a succombé à ses blessures" jeudi soir, selon le communiqué de l'USCP.

    Quatre protestataires sont morts durant ces incidents, dont une femme touchée par une balle tirée par la police. Pour les trois autres décès, les circonstances n'ont pas encore été éclaircies.

    Le chef de la police du Capitole démissionne

    Censée être une simple formalité, la certification de la victoire de Joe Biden par les deux chambres du Congrès réunies en session extraordinaire a tourné à "l'insurrection", "presque à la sédition" selon les termes du président élu, quand une foule de partisans du président sortant a envahi le Capitole, interrompant les débats.

    Les images prises de l'intérieur du majestueux bâtiment marqueront l'Histoire : élus portant des masques à gaz, agents de la police en civil arme au poing, manifestants installés dans les bureaux des parlementaires.

    Ces scènes ont suscité consternation et indignation à travers le monde, et l'image des États-Unis, qui se posent volontiers en modèle démocratique, a été durablement abîmée.

    Très critiqué pour son manque d'anticipation, le chef de la police du Capitole, Steven Sund, a présenté sa démission.

    Au lendemain de cette journée de chaos qui a ébranlé l'Amérique, Donald Trump, accusé par Joe Biden d'avoir miné la démocratie, a lancé un rare appel à la "réconciliation", condamnant "une attaque odieuse" sur le Capitole.

    Dans une vidéo qui marque un changement net de ton, le président républicain s'est dit "scandalisé par la violence" à laquelle se sont livrés quelques centaines de ses sympathisants.

    "Je vais désormais me concentrer sur une transition de pouvoir ordonnée et sans accrocs", a-t-il encore assuré.

    France 24


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  • Pompiers, anciens combattants, militaires, civils : la foule était grande ce lundi sur le pont Alexandre III face aux Invalides, à Paris. L'Etat français a rendu hommage aux trois soldats morts en opération au Mali il y a une semaine. 

    Beaucoup d'émotion au passage du cortège funéraire, notamment de membres de la famille du Première classe Quentin Pauchet :

    On est venus pour une raison familiale, dit un homme. Quentin Pauchet est notre petit neveu. Donc, voilà, on est venus le voir pour la dernière fois, on sera au deuil jeudi, c'est un moment très, très compliqué, très, très dur, je dirais injuste... 21 ans, on s'en va pas à 21 ans. Donc, aujourd'hui, c'est pas un effort qu'on a fait, c'est un devoir."

     

    Et puis quelques jours après, deux autres soldats français ont été tués et un troisième blessé samedi dans le nord-est du Mali dans une autre attaque à la bombe artisanale.

    600 Français bientôt rapatriés

    Des décès en série qui ont relancé le débat sur l'engagement français au Sahel, avec depuis 2013 les opérations anti-djihadistes Serval puis Barkhane, et dont les résultats sont loin d'être concluants. Au contraire, les terroristes ont récemment multiplié les attaques et les massacres dans cette zone.

    Envoyés en renfort il y a un an, 600 soldats français devraient être rapatriés dans les mois qui viennent.

    La force européenne Takuba prend, elle, du retard dans sa mise en place opérationnelle. Seuls cinq pays sur onze volontaires, la France, l'Estonie, la Suède, l'Italie et la République Tchèque se sont réellement mobilisés pour l'instant.

    Euronews


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  • Quand la rentrée rime avec isolement. Bravant les consignes gouvernementales, 48 Français partis skier en Suisse ont été surpris par des contrôles de police à leur retour dans l'Hexagone au cours du week-end.

    Interpellés dans le Doubs, près de la frontière, ils ont été placés à l'isolement pendant sept jours faute de pouvoir prouver qu'ils ne sont pas positifs au coronavirus, comme le prévoit un décret du 19 décembre. Et d'après Jean Richert, le directeur de cabinet de la préfecture du Doubs, les forces de l'ordre n'ont pas eu de mal à repérer les Français qui revenaient de vacances au sport d'hiver sur les terres helvètes. 

    Des "skis apparents dans l'habitacle"

    "Sur le flux des véhicules, vous avez parfois des indices assez évidents de provenance de zone de ski : à chaque fois que les douaniers ou les gendarmes voyaient des voitures extrêmement chargées, ou avec des skis apparents dans l'habitacle, ils savaient qu'ils n'étaient pas face à des gens qui font l'aller-retour dans la journée ou qui travaillent en Suisse", précise Jean Richert. Repérés, les véhicules ont été arrêtés et ses occupants invités à présenter un test PCR négatif. 

    135 euros d'amende en cas de non-respect de l'isolement

    Et "quand ils n'étaient pas en mesure de le faire, l'autorité préfectorale délivrait un arrêté d'isolement pendant sept jours", explique-t-il au micro d'Europe 1. Isolement que ces contrevenants sont tenus de respecter, faute de quoi ils s'exposent à une amende de 135 euros. 

    Europe 1


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  • La justice britannique refuse l'extradition du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, vers les Etats-Unis

    L'extradition du fondateur de WikiLeaks était réclamée par les Etats-Unis, car le pays veut le juger pour espionnage.

    La justice britannique a rejeté, lundi 4 janvier, la demande d'extradition du fondateur de WikiLeaks, Julian Assange, vers les Etats-Unis, qui veulent le juger pour espionnage après la publication de centaines de milliers de documents confidentiels. L'Australien de 49 ans, arrêté en avril 2019 après sept ans derrière les murs de l'ambassade d'Equateur à Londres, et devenu pour ses soutiens un symbole du combat pour la liberté d'informer, risque aux Etats-Unis 175 ans de prison pour avoir diffusé, à partir de 2010, plus de 700 000 documents classifiés sur les activités militaires et diplomatiques américaines, notamment en Irak et en Afghanistan.

    La décision a été rendue par la juge Vanessa Baraitser, à la cour criminelle de l'Old Bailey de Londres. Cette dernière a estimé que "les procédures décrites par les Etats-Unis ne vont pas l'empêcher de se suicider (..) pour des raisons de santé mentale", conformément aux conclusions d'un psychiatre qui l'a examiné récemment. La bataille judiciaire ne s'arrêtera sans doute pas là au Royaume-Uni : cette décision est susceptible d'appel.

    Une autre décision attendue sur sa libération

    Une audience doit se tenir dans l'après-midi pour savoir s'il doit être libéré. Ce jugement a été accueilli par une explosion de joie par la trentaine de manifestants réunis devant l'Old Bailey, qui se sont mis à crier et à s'étreindre. Le point levé, ils ont hurlé "Libérez Julian Assange" et "Nous avons gagné !". Dans la salle d'audience, l'avocate Stella Moris, avec qui Julian Assange a eu deux enfants pendant sa réclusion à l'ambassade d'Equateur à Londres, a fondu en larmes.

    Les Etats-Unis reprochent au fondateur de WikiLeaks d'avoir mis en danger des sources des services américains, accusation qu'il conteste. Parmi les documents publiés figurait une vidéo montrant des civils tués par les tirs d'un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007, dont deux journalistes de l'agence Reuters.

    franceinfo


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  • Toutes ces amendes, ça va faire du pognon pour Macron !


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