• La bataille navale annoncée n’a pas eu lieu. Ce lundi 3 mai, premier jour des travaux de construction du parc éolien de la baie de Saint-Brieuc, les pêcheurs de coquilles Saint-Jacques étaient pourtant sur le pied de guerre aux aurores, bien décidés à en découdre. Ils avaient prévu de prendre la mer afin de faire barrage aux bateaux de l’opérateur Ailes Marines, détenu par Iberdrola. Sauf que ces derniers ont retardé leur arrivée sur zone.

    De guerre lasse, les pêcheurs ont préféré manifester pacifiquement devant la préfecture de Saint-Brieuc en compagnie d’associations environnementales, du comité départemental et régional des pêches ainsi que de certains élus. Environ 300 personnes étaient réunies pour dénoncer l’implantation, d’ici 2023, de 62 éoliennes à 16 km du Cap Fréhel, à proximité de sites Natura 2000 et en pleine zone de pêche. Un « projet écocide » qui détruirait les fonds marins et serait entaché d’irrégularités administratives selon eux.

    Des navires de l’Etat pour garantir le bon déroulement du chantier

    Les pêcheurs regrettent de ne pas avoir été entendus par l’opérateur et le gouvernement. Ces derniers jours, la tension était montée d’un cran avec un engin incendiaire lancé contre le chantier de raccordement à Erquy, un agent de sécurité tombé à l’eau et des tags sur la mairie de la commune… Si les navires d’Iberdrola ont finalement pris position dans la journée, les pêcheurs comptent toujours perturber le chantier.

    « Ce n’est que partie remise », expliquent-ils. Johan Toutant, patron pêcheur du chalutier Jema regrette de devoir « employer la force pour se faire entendre ». De son côté, la préfecture maritime de l’Atlantique annonce que plusieurs navires de l’Etat vont être déployés en mer afin de garantir le bon déroulement du chantier, « la sécurité de la navigation, des personnes, des biens et de l’environnement ».

    Le Parisien


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  • Les employés du supermarché Géant Casino de Fréjus (Var) ont eu la mauvaise surprise de découvrir 168 chariots abandonnés, dimanche 2 mai. La faute à l’impatience de nombreux clients, qui avaient formé une importante file d’attente aux caisses automatiques la veille, raconte Var-Matin. Fête du Travail oblige, le 1er mai, le personnel de caisse n’était pas présent et il fallait passer par les caisses automatiques pour payer ses provisi

    À Fréjus (Var), le supermarché Géant Casino était ouvert en ce samedi 1er mai, malgré le jour férié. Mais, fête du Travail oblige, seules les caisses en libre-service étaient en fonctionnement. Pourtant, les clients ont été nombreux à venir y faire leurs courses. Et rapidement, l’attente s’est allongée en caisse, raconte Var-Matin. Chacun devait scanner, peser et payer ses articles soi-même. Un paiement, par ailleurs, possible uniquement en carte bancaire ou via une application, note le quotidien régional.

    L’attente a été bien trop longue, semble-t-il, pour certains clients. Impatientes, de nombreuses personnes ont tout simplement abandonné leurs chariots remplis en plein milieu du magasin avant de quitter les lieux, sans provisions. Et si certains ont tout de même remis les produits frais dans les rayons, d’autres n’ont pas pris cette peine, notent nos confrères, qui ont partagé une vidéo montrant l’ampleur des pertes.

    L’équivalent de 9 chariots pleins jeté

    Car le lendemain, les salariés ont découvert 168 chariots éparpillés dans les allées du supermarché. Ils ont dû ranger tous les articles qui pouvaient être sauvés. Car les produits frais et surgelés, eux, ont terminé à la poubelle. Au total, l’équivalent de neuf chariots pleins a dû être jeté selon le quotidien régional.

    Pour les syndicats, le problème reste l’ouverture des commerces les jours fériés et ces caisses automatiques, qui font mourir le métier d’hôtesse selon eux. La CFDT a assuré avoir écrit au directeur du magasin. De son côté, Force Ouvrière indique avoir fait remonter l’information à sa délégation régionale.

    Ouest-France


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  • C’est un méga-contrat que Paris a signé avec le Caire. L'accord, révélé par l'équipe d'investigation Disclose, porte sur l'achat de trente avions de combat Rafale fabriqués par Dassault pour un montant de 3,75 milliards d'euros avec des facilités de paiement. L'accord financier lié à ce contrat pourrait être paraphé dès ce mardi par une délégation égyptienne attendue dans la capitale française.

    La France et l’Egypte ont conclu un accord pour l’achat par Le Caire de 30 avions Rafale supplémentaires et leur armement. L’Egypte dispose déjà de 24 Rafale achetés en 2015. Le porte-parole du ministère égyptien de la défense a confirmé l’accord tard dans la nuit dans un communiqué, rapporte notre correspondant au Caire, Alexandre Buccianti.

    « L’Egypte a signé avec la France un accord pour la livraison de 30 avions Rafale. Le contrat a été conclut grâce à un prêt de financement sur plus de dix ans » a indiqué le porte-parole. L’Egypte avait été le premier client étranger à acquérir le Rafale. En plus des 24 Rafales achetés en 2015 l’Egypte envisageait l’achat de 12 autres appareils.

    Toutefois les relations qui étaient excellentes avec des contrats de plus de 8 milliards d’euros ont souffert d’un refroidissement après la visite du président français en Egypte en 2019. Emmanuel Macron avait alors publiquement critiqué les atteintes égyptiennes aux droits de l’homme en présence du président Abdel Fattah al-Sissi. 

    La parenthèse de janvier 2019 est refermée

    Mais depuis les relations sont réchauffées. Presque deux ans plus tard, en décembre 2020, le locataire de l'Élysée déclarait : « Je ne conditionnerai pas notre politique de défense aux désaccords ». Le chef de l’État avait alors reçu le président al-Sissi deux jours et lui avait remis la grand-croix de la Légion d’honneur.

    Paris affiche sa volonté de recentrer ses exportations d’armements vers l’Europe. Dans le cas précis des Rafale, la Grèce en a commandé 18 dont 12 d'occasions. L'avion est actuellement en compétition en Croatie, en Suisse. En Finlande, 64 appareils y sont en jeu.

     

    Reste que l’Égypte est au global le 4e client de la France en matière d’armement. Pour Paris, Le Caire est aussi un allié important dans la lutte contre le terrorisme. Et puis Paris et Le Caire se sont trouvé un ennemi commun: la Turquie en Méditerranée Orientale et en Libye.

    Selon Disclose, l'accord d'armement conclu entre Paris et Le Caire concerne également deux autres contrats représentant un marché à 200 millions d'euros au profit du missilier MBDA et de l'équipementier Safran Electronics & Defense, l'une des sociétés du groupe Safran.

    RFI


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  • La ministre du Logement, Emmanuelle Wargon, va lancer un observatoire des squats. L’objectif : recenser le nombre de squats en France, et vérifier comment s’appliquent les dernières lois concernant les expulsions d’intrus. En effet, ces procédures peuvent mettre énormément de temps à aboutir, au plus grand malheur des propriétaires. C’est le cauchemar vécu pendant plus de six mois par Marie-Françoise et son frère : après le décès de leur mère, des squatteurs se sont installés dans sa maison à la fin du mois de septembre. "Un jugement a eu lieu le 3 novembre, qui a décrété une expulsion immédiate sans délai. Il a été signifié aux squatteurs par huissier, mais ils ne sont pas partis, et les forces de l'ordre sont intervenues", raconte Marie-Françoise à Europe 1.

     

    "Psychologiquement, c'est très dur. On a l'impression de donner des coups dans l'air", confie cette propriétaire "On a fait une manifestation et c'est la pression publique qui a un peu effrayé les squatteurs, donc ils sont partis", poursuit Marie-Françoise. "Je ne vous dis pas dans quel état est la maison. C'est impressionnant... Ils ont laissé des vêtements, des tapis, des tas de choses... Mais on ne peut pas enlever leurs affaires. Il faut que ce soit encore une décision de justice qui nous donne l'autorisation de vider la maison", explique-t-elle.

    "J’ai des dossiers de 2019 qui ne sont toujours pas exécutés"

    En raison des plaintes fréquentes des propriétaires démunis face aux squatteurs, un nouveau dispositif a été prévu dans la loi Asap, votée en décembre dernier : il prévoit l’expulsion des squatteurs en 72 heures. Mais dans la pratique, il ne fonctionne pas, déplore l’avocat en droit de l’immobilier Romain Rossi-Landi, spécialiste de la question. "La réforme laisse le soin aux préfets d'examiner la situation des propriétaires et des squatteurs dans un délai de 48 heures (et les forces de l’ordre ont ensuite 24 heures pour intervenir, ndlr). C'est matériellement impossible. J’ai des dossiers de 2019 qui ne sont toujours pas exécutés aujourd'hui parce que le préfet n'a toujours pas donné le concours de la force publique. S'il ne le donne pas en 18 mois, comment va-t-il faire pour le donner en 48 heures ?", interroge-t-il.

    "La ministre a annoncé qu'elle allait créer un observatoire des squats, c'est une bonne chose, mais évidemment, les victimes de squatteurs ne veulent pas d'un observatoire, ils veulent le concours de la force publique !", pointe Romain Rossi-Landi.  

    Europe 1


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  • "Quand on ne sait pas, on ne parle pas !" François Berléand critique les médecins qui disent tout et son contraire à la télé

    François Berléand part en guerre contre les fake news ! Lassé des médecins qui disent tout et son contraire sur les chaînes d’info, l’acteur s’est confié au micro de RTL.

    Invité de l’émission d’Éric Dussart et de Jade, On refait la télé, diffusée le samedi à 11h30 sur RTL, François Berléand n’a pas caché son mécontentement ce 1er mai concernant les médecins des plateaux télé qui ont tendance à changer d’avis comme de blouse quand il s’agit de parler de la crise sanitaire. "Il y a un mot que j’ai appris en janvier, c’est ultracrépidarianisme", commence l’acteur. "C’est la capacité des gens à parler sans savoir. On est là-dedans notamment avec les chaînes d’information en continu (…) et ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est que, depuis l’apparition de la Covid, on se rend compte que les médecins qui sont autour d’une table et qui commencent à débattre sur cette maladie peuvent dire un jour blanc, l’autre jour vert et le surlendemain orange", poursuit-il.

    "Qu’on parle d’autre chose !"

    Se remémorant l’intervention d’un professeur de virologie et d’un urgentiste sur LCI, François Berléand enrage. Si les deux professionnels de santé avaient les mêmes chiffres de contamination, l’un se réjouissait et l’autre tirait la sonnette d’alarme. "La médecine n’est pas une science exacte, évidemment, mais quand on ne sait pas, on ne parle pas !", lâche-t-il, las. "Est-ce qu’on ne pourrait pas arrêter un tout petit peu de balancer à toute la France des informations qui ne sont pas fondées ?" Reste à savoir ce que l’acteur préfèrerait qu’il se passe ? "Qu’on parle d’autre chose ! Ça fait plus d’un an qu’on a ça tout le temps", répond-il à Éric Dussart.

    Rouvrir les théâtres en mai : mission "impossible" selon lui !

    Interrogé ensuite sur la réouverture des théâtres le 19 mai, François Berléand ne cache pas son profond scepticisme : "Peut-être que les théâtres publics vont pouvoir rouvrir, mais pour les théâtres privés, c’est absolument impossible pour la bonne raison qu’il y a une commercialisation des places qui ne peut pas être faite en ce moment parce que les gens n’ont pas la tête à ça", lâche l’acteur. "Si on peut jouer, ce ne sera pas avant septembre. Il n’y aura jamais un théâtre qui sera ouvert avant."

    Télé-Loisirs.fr


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  • VOITURE ÉLECTRIQUE : UN CIMETIÈRE D’AUTOLIB’ DÉCOUVERT EN PLEIN AIR

    VOITURE ÉLECTRIQUE : UN CIMETIÈRE D’AUTOLIB’ DÉCOUVERT EN PLEIN AIR

    Des explorateurs urbains se sont introduits dans un parc abandonné où reposent plusieurs milliers d’Autolib’ en ruine. Un véritable cimetière automobile en plein air.

    Lors de son inauguration début 2011, Autolib’ avait pour objectif de proposer des milliers de véhicules électriques en auto-partage dans les rues de l’agglomération parisienne.

    Autolib’, un service qui aura duré 7 ans

    C’était un dispositif en total libre-service et qui était disponible avec un système d’abonnement pour ses utilisateurs. Autolib’ a plutôt bien fonctionné durant ses 7 années d’existence mais vers 2018 les dettes sont devenues bien trop importantes.

    Le service du groupe Bolloré s’est donc complètement arrêté au mois de juin 2018. Certaines des BlueCar qui étaient en bon état ont alors été proposées à la vente tandis que les autres, majoritaires, ont été « mises de côté »…

    Un cimetière d’Autolib à ciel ouvert

    Récemment, des explorateurs urbains ont ainsi découvert des milliers de ces véhicules alignés dans un terrain vague, près de Romorantin, dans le Loir-et-Cher (41).

    Les photos parlent d’elles-mêmes : tous les véhicules sont en ruine, et sont très vraisemblablement invendables à l’heure actuelle. En étant abandonnées dans la nature, les voitures se dégradent rapidement et il devient très difficile et coûteux d’en faire quelque chose…

    Fort heureusement, les véhicules sur place sont dépourvus de leur batteries, élément qui est très polluant s’il est laissé à l’abandon.

    En 2018, Bolloré avait pourtant annoncé que les Autolib’ allaient être revendues. Mais une centaine de Bluecar seulement avait été mise en vente, au prix unitaire de 3.700 euros. Des particuliers s’étaient alors précipités pour acheter une voiture électrique à un tarif préférentiel. Insuffisant visiblement…

    Auto Plus

    Le fiasco parisien de la voiture électrique ou les fructueux investissements des "escrologistes" !

     Un cimetière de voitures électriques à Romorantin. On pourrait y rajouter les pales d'éoliennes qui sont démontées et enterrées car métaux irrécupérables, non recyclables !


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  • Les deux hommes accusés d’avoir frappé et sérieusement blessé trois policiers à Combs-la-Ville (Seine-et-Marne) dans la nuit de lundi à mardi, ont été remis en liberté sous contrôle judiciaire, en attendant leur procès qui se déroulera en juin prochain.

    La décision du tribunal de Melun a fait bondir les syndicats de policiers. L’affaire, que nous avons révélé, s’est déroulée en début de semaine, dans la nuit de lundi à mardi, à Combs-la-Ville, au cours d’un simple contrôle de police. Vers 23h30, une patrouille a procédé au contrôle d’un automobiliste qui se trouvait avec son frère, notamment pour s’assurer qu’il respectait bien le couvre-feu.

    La situation a dégénéré et les deux frères jumeaux de 25 ans ont violemment agressé les forces de l’ordre, avant d’être interpellés. Trois policiers ont été blessés. Une policière âgée de 40 ans souffre d’une fracture de la malléole et ne peut plus poser le pied par terre. 45 jours d’Incapacité totale de travail (ITT) lui ont été attribués. Son collègue, âgé de 24 ans, porte quant à lui une attelle à une jambe et a une entorse à un genou. Il s’est vu attribuer 15 jours d’ITT. Le troisième policier qui a été frappé au visage, s’est vu prescrire 7 jours d’ITT. Ces derniers ont également fait l’objet de menaces de mort.

    Les trois fonctionnaires affectés à la brigade de nuit du commissariat d’agglomération Melun-Val de Seine, se sont présentés au tribunal de Melun ce mercredi après-midi, alors que leurs deux agresseurs devaient être jugés en comparution immédiate.

    Déjà condamnés pour des violences

    Les deux prévenus ont demandé le report de leur procès afin de pouvoir préparer leur défense. Le tribunal a ensuite dû trancher entre placer les deux prévenus en détention provisoire ou les remettre en liberté, sous contrôle judiciaire. « La famille des deux prévenus, qui a débarqué sur les lieux, a voulu faire pression sur les fonctionnaires de police. C’est pourquoi il serait nécessaire qu’ils soient mis à l’écart », a argumenté l’avocat des policiers, Me Guerreau, cité par Le Parisien, durant l’audience.

     

    La procureur de la République a quant à elle requis le placement en détention provisoire des prévenus, qui ont déjà été condamnés à six et huit mois de prison avec sursis en 2018 pour des violences en réunion commises dans l’Essonne. Ces derniers ont déclaré qu’ils avaient été victimes de « violences policières » lors de leur interpellation.

    L’interdiction de se rendre en Seine-et-Marne

    Le tribunal a finalement décidé de remettre en liberté les deux frères jumeaux, qui ont été placés sous contrôle judiciaire, jusqu’à leur procès qui se tiendra le 1er juin prochain à 13h30. Ils ont également l’obligation de se présenter une fois par semaine au commissariat de Brunoy (Essonne) et de répondre aux convocations de l’association de contrôle judiciaire de l’Essonne, une fois par semaine.

    En outre, les deux hommes ont reçu l’obligation de travailler ou de trouver une formation. Ils ont aussi l’interdiction d’entrer en contact avec les trois victimes et de paraître en Seine-et-Marne.

    « Laxisme de la justice »

    Cette décision de justice irrite les syndicats de policiers. « Laxisme de la justice, quel signal pour les forces de l’ordre ! », lâche le syndicat Alliance police nationale de Seine-et-Marne sur Facebook, qui « exige des peines incompressibles pour les agresseurs de flics ».

    La décisions va « générer de l’angoisse pour les collègues, entre les menaces de mort qu’ils ont reçues et le jugement programmé dans plus de trente jours », déplore auprès de nos confrères, Julien Constant, secrétaire départemental de l’Unité SGP Police FO du département.

    ACTU 17

    Quelle justice merdique en France !


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  • Une enquête ouverte sur la rénovation de l’appartement de Boris Johnson

    La commission électorale a annoncé l’ouverture d’une enquête pour déterminer qui a financé la rénovation de la résidence du Premier ministre britannique.

    Ambiance tendue ce mercredi au palais de Westminster. La rénovation de la résidence de Boris Johnson a été évoquée lors des questions au Premier ministre au Parlement britannique. Le député travailliste Keir Starmer n’a pas manqué d’attaquer le conservateur, après que la commission électorale a annoncé l’ouverture d’une enquête sur les faits, «convaincue qu’il existe des motifs raisonnables de soupçonner qu’une ou plusieurs infractions ont pu être commises». «Contrats flous, des boulots pour leurs amis et de l’argent accessible, et qui était au cœur de tout cela ? Le Premier ministre, Major Ordure ici présent», a-t-il lancé, demandant «un gouvernement qui n’est pas embourbé dans l’immoralité, le favoritisme et le scandale». «Le Premier ministre va-t-il publier les détails aujourd’hui ou va-t-il attendre que la police vienne frapper à sa porte ?», a demandé l’élu du Parti écossais Ian Blackford, cité par Sky News.

    Boris Johnson a assuré aux élus avoir «couvert les coûts» de ces rénovations «personnellement», remboursant l’argent avancé mais sans préciser qui l’avait payé initialement : «J’ai entièrement respecté les critères fixés», s’est-il engagé alors que le «Daily Mail» a révélé que le donateur conservateur Lord Brownlow avait fait un don de 58 000 livres destinées à «régler les paiements que le parti avait engagé dans le futur Downing Street Trust, une organisation que le gouvernement britannique cherchait à fonder afin de financer les travaux de rénovation de la résidence officielle du Premier ministre. «Toute déclaration ultérieure que je ferai, si j’en fais, sera après avoir été conseillé», a ajouté l’ancien maire de Londres. Le budget évoqué par les médias britanniques pour ces travaux au 11 Downing Street -plus grand que le 10, où il s’est installé avec sa fiancée Carrie Symonds et leur fils d’un an- : 200 000 livres, dont seulement 30 000 sont couvertes par les fonds publics chaque année.

    Un "plan pour faire payer les donateurs en secret"

    L’ouverture de cette enquête survient moins d’une semaine après que Dominic Cummings, ancien proche conseiller de Boris Johnson qui a quitté le 10 Downing Street en fin d’année dernière, a évoqué ce potentiel scandale. Sur son site, il a confirmé l’existence de ces rénovations tout en prenant ses distances : «Le PM a cessé de me parler de ce sujet en 2020 quand je lui ai dit que je pensais que son plan de faire payer les donateurs en secret pour la rénovation était contraire à l'éthique, stupide, possiblement illégal et enfreignait certainement les lois sur la révélation des donations politiques [...] J'ai refusé de l'aider à organiser ces paiements. ma connaissance du sujet est donc limité. Je serais ravi de dire au Secrétaire du cabinet ou à la Commission électorale ce que je sais du sujet.»

    Le Premier ministre britannique est également au cœur d’une autre polémique après les révélations de sources selon lesquelles il se serait opposé au deuxième confinement, finalement décrété fin octobre face à la flambée de l’épidémie de Covid-19. «Plus de putains de confinements, laissez les corps s’empiler par milliers», aurait-il lancé lors d’une réunion.

    Paris Match


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  • "La peur est en train de changer de camp": Gérald Darmanin réaffirme son engagement dans la lutte contre les stupéfiants

    © BFMTV Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin sur notre antenne ce mercredi.

    Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a répété sa volonté de lutter contre les stupéfiants dans certains quartiers difficiles. Selon lui, c'est cette lutte qui engendre des violences contre les policiers et les gendarmes.

    "La peur est en train de changer de camp", a estimé le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin ce mercredi, au cours d'un entretien avec Maxime Switek sur BFMTV, alors qu'il était interrogé sur les violences dont ont été victimes certains membres des forces de l'ordre ces derniers mois.

     

    Un policier en intervention, qui souhaitait procéder à une interpellation, a été roué de coups lundi après-midi dans un quartier de Bagnolet (Seine-Saint-Denis). Et à la mi-avril, des photos personnelles de policiers ont été affichées dans le hall d'un immeuble d'Épinay-sur-Seine, et des violences policières ont aussi eu lieu dans la commune.

    "Les moyens sont là et les saisies sont là"

    Lors de cet entretien, Gérald Darmanin a aussi réaffirmé sa volonté de lutter contre les stupéfiants. "Nous menons une lutte acharnée contre les stupéfiants, notamment dans certains quartiers", a-t-il déclaré. "Notre lutte contre les stupéfiants est grande: les moyens sont là et les saisies sont là. Nous déstabilisons les trafics et c'est parce que nous déstabilisons les trafics, qu'on s'en prend aux sapeurs-pompiers qui viennent, aux gendarmes, au service public, qu'on fait des violences urbaines..."

    "Si j'ose dire: la fièvre de ces quartiers montre que nous avons raison, que la maladie est là et nous ne lâcherons pas (..) les policiers ne lâcheront pas", a poursuivi le ministre de l'Intérieur sur BFMTV.

    BFM.TV


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  • Printemps: quatre magasins vont bien fermer

    Le plan de restructuration du Printemps franchit un nouvelle étape. La direction du groupe a annoncé ce lundi la signature d'un accord majoritaire avec les trois organisations représentatives (la CGT, l'Unsa Printemps et la CGC) dans le cadre du plan de sauvegarde annoncé l'automne dernier.

    Cet accord prévoit finalement la fermeture de quatre magasins (ceux situés Place d'Italie à Paris, au Havre, à Strasbourg et à Metz) ainsi que la disparition de plusieurs centaines d'emplois. Le groupe n'a pas précisé combien de postes seraient au total supprimés. En novembre, le premier plan présenté par la direction établissait la suppression de 450 emplois au total.

    Cet accord équilibré illustre la priorité du groupe Printemps pour l'accompagnement des salariés concernés par le plan de sauvegarde de l'emploi avec des mesures appropriées et personnalisées ainsi que sa volonté de privilégier la voie du dialogue social", se félicite la direction dans un communiqué.

    Négociations longues et compliquées

    "Cela n'inspire aucun commentaire particulier, si ce n'est que cet accord ne cautionne pas le PSE", a réagi Georges das Neves, délégué syndical central Unsa et représentant au comité social et économique central.

    Les négociations ont été longues et compliquées. L'accord signé va juste permettre aux salariés de partir dans de meilleures conditions", a-t-il ajouté.

    Début novembre, le groupe avait indiqué qu'il avait l'intention de fermer sept magasins employant environ 450 personnes, dont ceux de Place d'Italie à Paris, du Havre, de Strasbourg et de Metz.

    Fin mars, le Printemps avait finalement annoncé qu'il allait maintenir ouvert trois magasins Citadium, deux à Paris et un à Toulon, dont la fermeture était initialement prévue en 2022. Ces trois sites emploient 52 personnes.

    Le groupe Printemps, fondé en 1865, compte 19 grands magasins en France à son nom, ainsi que 8 Citadium, marque créée en 2000, employant environ 3.000 salariés.

    En novembre, la direction indiquait vouloir "transformer le modèle de l'entreprise tout en réduisant ses coûts de structures et de fonctionnement".

    BFM Business


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  • PARCOUREZ...VERIFIEZ EN CLIQUANT SUR LES VILLES...PLUS PARLANT QU'UN LONG DISCOURS 

    UNE SEMAINE ORDINAIRE....

     

    Melun (77) : rixe géante à la gare opposant 30 à 40 « jeunes », tirs de mortiers, le trafic ferroviaire interrompu
    Noisy-le-Sec (93) : une femme grièvement brûlée dans un bus après avoir été aspergée d’essence (Vidéo)
    Rillieux-la-Pape (69) : le maire à nouveau menacé de décapitation
    Maisons-Laffitte (78) : une quinzaine de « jeunes » de 17 à 18 ans ont agressé les passagers d’un RER en filmant leurs exactions
    Rozay-en-Brie (77) : il pointe son arme factice sur la gorge d’un professeur et menace une cinquantaine de collégiens
    Maurepas (78) : les forces de l’ordre essuient des tirs de mortiers
    Élancourt (78) : le commissariat ciblé par des tirs de mortiers
    Coignières (78) : les sapeurs pompiers et les policiers essuient des tirs de mortiers
    Verneuil-sur-Seine (78) : la police récupère des armes blanches telles que des couteaux, des marteaux et des barres de fer ainsi que des kits pour faire des cocktails Molotov dans des caches, ils reçoivent des projectiles
    Ancenis (44) : un « jeune » de 21 ans accusé d’avoir violé à plusieurs reprises une jeune fille de 13 ans, il a déjà été condamné l’année dernière pour agression sexuelle et est mis en examen pour viol dans une autre affaire
    Montbéliard (25) : tensions au quartier de la Petite Hollande en marge du tournage d’un clip de rap, une centaine de personnes affrontent la police
    Mons-en-Baroeul (59) : la BAC chassée par une cinquantaine de jeunes lors d’un tournage de clip (Vidéo)
    Menton (06) : des migrants « très violents » s’enferment dans le train, deux policiers blessés
    Le Perreux-sur-Marne (94) : refusant le contrôle, deux individus déjà connus des services de police renversent un policier et le traînent sur plusieurs mètres et s’engagent dans une course-poursuite
    Toulouse (31) : des policiers pris à partie lors d’une arrestation quartier de La Reynerie, ils reçoivent de multiples projectiles
    Villeneuve-lès-Maguelone (34) : Deux frères condamnés pour avoir lynché un étudiant de 24 ans, les familles avaient fait pression pour qu’ils ne portent pas plainte. « Je l’ai frappé, frappé, frappé, je n’arrêtais pas de le frapper »
    Lyon (69) : le maire du deuxième arrondissement insulté et menacé par une dizaine de « jeunes »
    Montbéliard (25) : deux policières tabassées à coups de pied au visage par un migrant afghan
    Échirolles (38) : il s’agace en voyant sa vitre brisée et reçoit trois coups de couteau par un « jeune » de 20 ans
    Échirolles (38) : un homme blessé de plusieurs coups de couteau en pleine rue
    Rhône (69) : en six mois, Bassem Saadaoui, déjà condamné 17 fois, avait commis 23 cambriolages à Lyon et Villeurbanne
    Dijon (21) : tirs de mortiers d’artifice et projectiles sur les policiers et les pompiers aux Grésilles
    Pont-de-Chéruy (38) : trois blessés, dont certains par armes blanches, dans une bagarre impliquant « plusieurs familles de la communauté turque » (Vidéo)
    Longvic (21) : trois ans de prison ferme pour un Congolais qui avait lynché sa logeuse qu’il suspectait de sorcellerie
    Agen (47) : violente bagarre entre deux groupes dans une rue du centre-ville, « cinq hommes » rouaient de coup un autre individu
    Goussainville (95) : un homme gravement blessé à la tête après une rixe
    Homécourt (54)Des voitures brûlées la nuit, dégradations, rodéos sauvages : la colère monte
    Toulon (83) : deux adolescents blessés par arme blanche après une rixe près de la gare
    Toulon (83) : un poste de police visé par un coup de feu, la balle a traversé un bureau où se trouvait un policier

    Caen (14) : un individu qui proférait des insultes racistes envers « les blancs » jugé pour rébellion, outrage et violence envers des policiers
    Clermont (60) : des gendarmes visés par des tirs de mortiers après un attroupement
    Dijon (21) : un homme grièvement blessé au cou après avoir reçu un coup de sabre, un suspect “très défavorablement connu de la police” interpellé
    Reims (51) : À Croix-Rouge, la violence perdure malgré le « lifting » du quartier dû à des dépenses publiques inédites. « Des chiffres qui donnent le vertige. Entre 2019 et 2024, la somme de 365 millions d’euros (TTC) va être investie dans les quartiers Croix-Rouge, Orgeval, Châtillons et Europe (…) »
    Mantes-la-Jolie (78) : ils lui roulent dessus et le laissent pour mort (Vidéo)
    Chabanière (69) : la rencontre sur un site homo vire au bain de sang, Ceylan Ibliker larde sa victime de 263 coups de ciseaux
    Chambéry (73) : Anxhelo Dardha, Florjan Geraj, Dejvid Sharki, Orgest Dhembi et Enriko Gjonaj géraient un trafic d’héroïne depuis la prison
    Montpellier (34) : des dealers ont tenté de récupérer leur sac plein de pochon de drogue dans une école
    Marseille (13) : la justice a ordonné au département de prendre en charge les mineurs isolés
    Émeutes urbaines Lyon (69) : huit mois de prison ferme pour le jeune Sefedinne D., 20 ans
    Champigny-sur-Marne (94) : deux adolescents en urgence absolue après avoir été blessés par arme blanche au cours d’un affrontement entre bandes
    >  Seine-Saint-Denis (93) : un couple et leur fils, soupçonnés de vol et recel de véhicules qui devaient être expédiés en Afrique
    >  Nantes (44) : Avec le couvre-feu, les délinquants se font plus discrets et les interprètes en langue arabe ont moins de travail. « Quand des cambrioleurs sont interpellés, il s’agit très souvent (…) de migrants »
    >  Saint-Denis (93) : dix auteurs de vol à la portière, âgés de 16 à 18 ans, ont été interpellés, le gang a fait plus de 70 victimes
    >  Paris (75) : violente rixe opposant une soixantaine de personnes près du lycée Jean de La Fontaine, cinq blessés
    >  Bagneux (92) : deux policiers tentant d’interpeller un jeune sur un scooter volé pris à partie par une trentaine d’individus armés de barres de fer
    >  Dreux (28) : Un Afghan condamné pour avoir agressé sexuellement un agent d’entretien dans un foyer Adoma. Il est également mis en examen pour tentative d’assassinat dans une autre affaire
    >  Paris (75) : une policière agressée sexuellement par un Pakistanais de 27 ans dans le RER D
    >  Tours (37) : un migrant condamné pour avoir poignardé son colocataire
    >  Paris (75) : plusieurs agressions sexuelles au Palais de la femme depuis son ouverture à la mixité avec l’accueil d’hommes “exilés”
    >  Saint-Herblain (44) : des policiers de la Bac caillassés par une dizaine de « jeunes »
    >  Roubaix (59) : au moins un policier et un riverain blessés après des échauffourées avec une bande de « jeunes »
    >  Épinal (88) : confrontée à de nouveaux tirs de mortier, la police crie son ras-le-bol du “manque de fermeté” de la justice
    >  Lagny-sur-Marne (77) : les policiers ciblés par des tirs de mortiers après une interpellation houleuse
    >  Saint-Fons (69) : caillassée pendant une intervention, la police réplique avec un tir de LBD
    >  Paris (75) : les MNA algériens, marocains et tunisiens représentent plus de 75 % des mineurs déférés depuis le déconfinement
    >  Carcassonne (11) : « Je ne savais pas que c’était un point de deal, madame la juge ! », affirme Zakaria, déjà plusieurs fois condamné
    >  Carcassonne (11) : Un équipage de la police municipale caillassé et outragé à Fleming. « Sales flics de merde, sur Allah on vous tuera tous »
    >  Salvagnac (81) : une rixe entre « jeunes » éclate, l’un d’eux est sérieusement blessé à la tête
    >  Mulhouse (68) : Mohamed Ibrahim Hassan, poursuivi pour vol, était également poursuivi sous une autre identité pour une affaire à Strasbourg
    >  Bourg-en-Bresse (01) : humilié, Smail Zounouh avait défiguré son copain avec un couteau
    > > > Avignon (84) : Gokhhan Altintac voulait des gâteaux et sniffer sa coke en garde à vue
    >  Bruges (33) : un homme agressé au couteau dans la rue  

    Roubaix (59) : de nouvelles violences, avec feux de voiture et tirs de mortiers suite à une intervention des forces de l’ordre la veille
    >  Poitiers (86) : un lycéen agressé par une bande après de son établissement scolaire
    >  Besançon (25) : un jeune poignardé dans le tramway par d’autres adolescents
    >  Chesnay-Rocquencourt (78) : un adolescent de 14 ans défend sa prof insultée en classe et est roué de coups à la sortie du collège
    >  Argenteuil (95) : Alisha, 14 ans morte noyée après avoir été frappée et jetée dans la Seine. Deux ados interpellés et déférés pour « assassinat »
    >  Lyon et Feyzin (69) : de nouvelles violences urbaines avec des véhicules incendiés (Vidéo)
    >  Rezé (44) : « Vêtu d’une tenue de jogging », il a agressé au moins une dizaine de femmes âgées de 14 à 80 ans
    >  Bondy (93) : la réintégration pour « vice de forme » d’un collégien exclu après des coups de couteau ne passe pas
    >  Saint-Denis (93) : un « jeune » de 15 ans en garde à vue pour avoir frappé une proviseure
    >  La Valla-en-Gier (42) : deux éducateurs agressés et un véhicule incendié par des « jeunes » en centre éducatif renforcé
    >  Sarcelles (95) : le commissariat de nouveau visé par des tirs de mortiers d’artifice
    >  Nice (06) : un ado de 16 ans entre la vie et la mort après avoir été poignardé, deux individus interpellés
    >  Monteux (84) : deux pompiers agressés à coups de couteau lors d’une intervention
    >  Bordeaux (33) : Abderrahim Aaguida, déjà condamné 39 fois, écope de six mois de prison pour avoir dépouillé une femme de 86 ans décédée sur la scène d’un accident
    >  Aucamville (31) : ils cassent quatre voitures, cambriolent deux maisons et tailladent une victime avec un couteau
    >  Givors (69) : une enseignante reçoit trois coups de poing d’une élève, ses collègues exercent leur droit de retrait
    >  Villeurbanne (69) : un élève lance une grosse pierre sur un enseignant, les profs en grève
    >  Vandœuvre-lès-Nancy (54) : deux policiers agressés, dont un lynché au sol, par une vingtaine de « jeunes » alors qu’ils tentaient d’interpeller un individu dangereux
    >  Metz (57) : un ado de 15 ans voulait « tuer un prof », armé d’un couteau de 30 cm, il est interpellé dans son collège
    >  Saint-Éloi-de-Fourques (27) : Des petits caïds, âgés de 6 à 7 ans, tyrannisent les autres élèves et les instituteurs. Le maire appelle à ne pas “stigmatiser”
    >  Lyon (69) : un élève du lycée Saint-Louis-Saint-Bruno a été blessé avec une arme blanche et une béquille par un groupe extérieur au lycée
    >  Saint-Martin-la-Plaine (42) : Des incivilités récurrentes qui agacent les riverains. “On est venu s’installer dans le village pour trouver de la tranquillité… On craint pour nos enfants”
    >  Roubaix (59) : Accusée de prosélytisme islamique, une association de jeunesse doit rembourser 25 000 euros de subventions à la région. La mairie lui a versé 64 000 euros mais attend pour se prononcer
    >  Clermont-Ferrand (63) : Un Congolais, qui se définit lui-même comme un “raciste anti-blanc”, tente d’attaquer une femme dans le tram puis agresse des policiers. “Je déteste la France”
    >  Mulhouse (68) : Mohamed et Kamel, en situation irrégulière, condamnés à 6 et 10 mois de prison. « Voler et escroquer est leur activité principale »
    >  Rillieux-la-Pape (69) : des policiers municipaux visés par des jets de pierres, un mineur interpellé
    >  Saint-Étienne (42) : un homme blessé d’un coup de couteau près du palais de Justice
    >  Clermont-Ferrand (63) : l’Azéri, harceleur compulsif, condamné à dix mois de prison avec sursis
    >  Savigny-le-Temple (77) : le pickpocket migrant mineur isolé ciblait les téléphones de femmes à travers l’Île-de-France
    >  Villepinte (93) : Zyed B. et Djiguiba D. condamnés à 10 ans de prison pour actes de torture sur un codétenu
    >  Douai (59) : en prison, Rashid agresse Mohamed au couteau sous la douche, la justice saisie
    >  Créteil (94) : cinq ados de 16 ans interpellés pour des actes de torture sur des victimes de 12 ans
    >  Limoges (87) : un Mahorais condamné pour avoir séquestré et violé une jeune femmelors d’un cambriolage  

    Marseille (13) : un homme placé en détention après avoir brûlé son chien au 3e degré, déjà connu pour « viol en réunion, vols, détournement d’identité… »
    > > > Paris (75) : des pickpockets bosniens volent le portefeuille d’un commandant de police dans le métro
    >  Saint-Pol-sur-Ternoise (62) : bagarre et coups de couteau sur le parking de Carrefour Market, trois blessés
    >  Angoulême (16) : Mouhcine condamné pour avoir tiré dans la cuisse d’Hamza, alors qu’il était dans un appartement avec Amine et Aymane, abattu un mois plus tard
    >  Coquelles (62) : un migrant soudanais blessé après un affrontement avec un autre migrant
    >  Angoulême (16) : les forces de l’ordre essuient des jets de projectiles en voulant interpeller un homme qui les avait déjà caillassées plus tôt dans la journée
    >  Montargis (45) : un escroc turc dont le casier judiciaire fait état de 19 mentions sévissait en tant qu’ “avocat”
    >  Nîmes (30) : Après avoir bu ses 3 litres de bière quotidiens, Farid, riche d’un casier judiciaire qui compte 24 mentions, s’attaque à une octogénaire en déambulateur
    >  Saint-Étienne (42) : Abdelkrim, 21 mentions au casier judiciaire, vole pour partir en vacances à Cannes, puis se justifie auprès du tribunal “J’ai des problèmes aux dents”
    >  Nîmes (30) : interpellé dans un camp de gens du voyages après avoir dépouillé une femme âgée de 84 ans, il se justifie : «Mon RSA ne me suffit pas pour financer mon cannabis»
    >  Lannion (22) : sous OQTF, un migrant libyen condamné pour la 5e fois à de la prison ferme
    >  France : 4 migrants soupçonnés d’avoir commis 77 cambriolages dans l’Eure-et-Loir, le Loiret, l’Eure, l’Aisne, le Doubs, la Loire, la Marne, la Meurthe-et-Moselle, l’Oise, l’Yonne et le Val-d’Oise
    >  Montpellier (34) : attendri, un sexagénaire donne 25€ à un jeune gitan qui mendie, puis se fait dépouiller de 80000€
    >  Nantes (44) : après un différend, il aurait tailladé le visage de son voisin avec une hache
    >  Nancy (54) : une ado de 17 ans tabassée et forcée de se déshabiller en pleine rue par une bande de « jeunes » qui avait organisé un piège
    >  Carpentras (84) : ils voulaient décapiter la bande rivale, sept hommes arrêtés
    >  Sens (89) : des violences urbaines dans le quartier des Chaillots, la maire dénonce « une bande de vandales »
    >  Courbevoie (92) : un homme touché au dos par balles dans le quartier de la Défense
    >  Épône (78) : une vingtaine d’individus tire des mortiers sur la police
    >  Toulouse (31) : un individu grièvement blessé à la carotide après une agression au couteau, en plein centre-ville
    >  Mulhouse (68) : la « soirée cool » vire à l’agression sexuelle, Ozkan, « un profil très inquiétant » déjà plusieurs fois condamné, écope d’un an de prison dont six avec sursis
    Échirolles (38) : nouveaux jets de projectiles sur le poste de police municipale, tirs de mortiers sur des passants
    Saint-Priest, Vénissieux et Lyon (69) : nouvelle soirée de tensions, incendies, jets de projectiles et tirs de mortiers sur les policiers, deux « jeunes » interpellés (Vidéo»

     

    Voilà c'est notre France 

    UNE SEMAINE ORDINAIRE....


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  • Deux mois après l'assassinat par décapitation du professeur Samuel Paty, Christine Tasin, président de l'association Résistance Républicaine, revient sur la conquête de l'école par l'islamisme. Un phénomène qui remonte aux années 70 avec le choc pétrolier, lorsque les pays occidentaux sont allés négocier un pétrole relativement peu cher en échange de la promotion de l'islam et du renoncement à l'assimilation des nouveaux venus. Conséquence de cela, le niveau scolaire s'est effondré et un cours sur la liberté d'expression se termine par un attentat islamiste. Christine Tasin évoque également la gestion gouvernementale du Covid.

    23 novembre 2020 - Chaîne officielle TVLibertés


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  • 26 000 manifestants ont défilé partout en France pour réclamer la "justice pour Sarah Halimi"

    Plus de 25 000 personnes, dont 20 000 à Paris, ont protesté ce dimanche dans plusieurs villes de France pour dénoncer l'absence de procès du meurtrier de Sarah Halimi, a relevé le réseau France Bleu. Une décision de la Cour de cassation, le 14 avril dernier, a confirmé le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi, sexagénaire juive, en 2017 à Paris. Mais elle a aussi entériné l'irresponsabilité pénale du meurtrier, qui ne sera donc pas jugé. Selon les experts qui l'ont examiné, il était en proie à une "bouffée délirante" lorsqu'il a tué sa voisine, après la consommation de stupéfiants.

    À Paris, 20 000 personnes se sont retouvées, sur la place du Trocadéro, pour dénoncer l'absence de procès du meurtrier de Sarah Halimi, selon la préfecture.

    À Marseille, plusieurs milliers de personnes se sont ainsi rassemblées sur le parvis du tribunal judiciaire pour rendre hommage à Sarah Halimi, peut-on voir dans une vidéo captée par France Bleu Provence. À Strasbourg, près d'un millier de manifestants s'est aussi réuni, rapporte France Bleu Alsace. Comme le veut la tradition juive, les participants ont déposé des pierres devant le monument aux morts de la place de la République.

    À Bordeaux, environ 300 personnes, selon les organisateurs, se sont rassemblées près du palais de justice, indique France Bleu Gironde. A Nice, au moins 500 personnes se sont mobilisées devant le Palais de Justice. Le maire Christian Estrosi a pris la parole. A Montpellier, un "rassemblement de colère" a réuni plusieurs centaine de personnes place de la Comédie.

    Christophe Castaner, le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale, était présent. Il a expliqué qu'il soutenait ce rassemblement et que la loi allait changer. Le ministère de la Justice a en effet annoncé ce dimanche le dépôt fin mai d'un projet de loi "pour combler le vide juridique apparu dans l’affaire Sarah Halimi. Cette histoire tragique qui nous a tous marqués va faire avancer notre droit", écrit Éric Dupond-Moretti sur Twitter.

    PLACIDE


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  • Elles se mêlent au trafic comme d’innocentes berlines. Mieux vaut pourtant se méfier de ces Renault Mégane, Peugeot 308 et autre Dacia Sandero : elles sont redoutables. À leur bord, un équipement très sophistiqué avec un radar automatique, capable de relever en toute discrétion les excès de vitesse des véhicules qui croisent son chemin. Au volant, un simple chauffeur, dont l’unique mission est de sillonner plusieurs centaines de kilomètres par jour.

    Après de premiers tests menés depuis 2018 en Normandie avec quelques véhicules, ces voitures, baptisées « mitraillettes à PV » par leurs détracteurs, seront plus de 200 d’ici à la fin de l’année à circuler dans huit régions. Avant, bien sûr, de se généraliser partout en France, avec 450 voitures en tout d’ici 2023.

    En confiant le volant de ces engins verbalisateurs à des conducteurs privés plutôt qu’aux forces de l’ordre, la Sécurité routière poursuit un double objectif : permettre aux gendarmes et policiers de se consacrer à d’autres missions comme les contrôles d’alcoolémie ou l’usage du téléphone au volant ; mais aussi et surtout, alors que les cabines radars fixes sont de plus en plus souvent vandalisées, instiller dans la tête de chaque conducteur la crainte de pouvoir être verbalisé n’importe où et n’importe quand.

    Bientôt 200 radars embarqués dans des voitures privées : la très discrète arme de la Sécurité routière

    Pour Chantal Perrichon, présidente de la Ligue contre la violence routière, « ce système est la meilleure arme à déployer aujourd’hui pour contraindre celles et ceux qui ne respectent pas le Code de la route à le faire ». Elle enjoint même les pouvoirs publics à accélérer la cadence et généraliser au plus vite ces appareils embarqués à l’ensemble du territoire.

    Les défenseurs des usagers de la route sont, eux, vent debout. « Quand un automobiliste commet un excès de vitesse, il faut l’arrêter, le sanctionner et faire de la prévention, soutient Pierre Chasseray, délégué général de l’association 40 Millions d’automobilistes. Avec des radars embarqués, on ne fait que du chiffre, on le laisse filer sans autre procès. »

    Bientôt 200 radars embarqués dans des voitures privées : la très discrète arme de la Sécurité routière

    La privatisation de la verbalisation lui reste également en travers de la gorge. « Quand il manque des correcteurs pour le bac, on fait appel à des enseignants, pas à monsieur Tout le Monde ou à mon beau-frère qui n’a jamais enseigné ! Laissons donc les professionnels, gendarmes ou policiers, s’occuper du contrôle de la vitesse sur nos routes ! »

    «C’est une pompe à fric»

    Les associations d’automobilistes craignent surtout une avalanche de PV. Selon la Ligue de défense des conducteurs, si l’objectif de 450 véhicules banalisés est atteint, près de 53 millions d’amendes pourraient tomber tous les ans. « C’est quatre fois plus que ce que font actuellement les radars embarqués des voitures des forces de l’ordre », calcule Alexandra Legendre, porte-parole de l’association.
     

    « Nous faisons confiance au privé pour verbaliser, explique Pierre Cordier, député (LR) des Ardennes. Mais les chauffeurs n’ont aucun moyen d’intervenir dans une situation dangereuse, d’intercepter un chauffard qui roule à très grande vitesse. N’ayons pas peur des mots : c’est une pompe à fric. » L’élu a cosigné, avec une quarantaine de collègues de l’Assemblée nationale, une proposition de loi visant à rendre ces véhicules visibles, que ce soit avec une bande jaune fluo, un gyrophare ou un mouchard les faisant apparaître sur des applications de navigation routière. Pas sûr que cela suffise à calmer les esprits.

    Le Parisien


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  • Les magasins de lingerie fermés, 80 gérantes envoient des culottes à Jean Castex pour protester

    Image prise sur Libération

    Alors que les magasins de lingerie ne sont pas reconnus comme des commerces « essentiels », 80 gérantes ont lancé une action symbolique en envoyant chacune une culotte au Premier ministre Jean Castex.

    Une « action culottée ». 80 gérantes de magasins indépendants de lingerie ont décidé de protester contre la fermeture de leurs boutiques, celles-ci n’étant pas reconnues comme des commerces « essentiels ».

    Et pour manifester leur mécontentement, elles ont choisi d’envoyer des culottes à Jean Castex.

    « Une action symbolique mais avant tout humoristique », expliquent ces gérantes dans un courrier adressé au Premier ministre. « Non, mettre une culotte tous les matins n’est pas à reléguer au second plan, on a tout à fait le droit d’être ouvertes », argumentent-elles.

     

    « Les études montrent que ce n’est pas dans les commerces indépendants que le risque de transmission est le plus élevé », expliquent-elles encore. Selon ces gérantes, les « petites surfaces » de leurs magasins permettent de « réguler le flux de visiteur de façon précise », contrairement aux grandes surfaces dont les rayons essentiels ont le droit de rester ouverts.

    Une réouverture mi-mai ?

    Avant la mise en place du troisième confinement, la liste des commerces « essentiels » avait été élargie. Des établissements comme les librairies ou les coiffeurs avaient obtenu l’autorisation de rester ouverts, contrairement aux deux premiers confinements. Ce n’a pas été le cas des magasins de vêtement ou de lingerie.

    Si aucune date précise n’a encore été donnée, la réouverture du reste des commerces, et donc des magasins de lingerie, devrait avoir lieu à la mi-mai, si les indicateurs sanitaires le permettent, estime le gouvernement.

    Ouest-France


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  •  

    Pas mal le texte sur le coq !


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  • Autotests Covid-19 : le gros coup de gueule de la grande distribution privée de vente

    Dimanche 18 avril 2021, le groupe E.Leclerc a poussé un coup de gueule dans les pages du Journal du Dimanche contre le gouvernement. La raison ? La commercialisation des autotests réservée uniquement aux pharmacies.

    Depuis lundi 12 avril 2021, les autotests de dépistage de la Covid-19 sont disponibles en pharmacie. Ces tests "vont se déployer progressivement dans des milliers d’officines tout au long de la semaine", a assuré Olivier Véran à nos confrères du Journal du Dimanche, dimanche 11 avril 2021. Ces autotests ont pour vocation de rendre plus accessible le dépistage du coronavirus. Ils sont en vente au prix de six euros, et passeront à cinq euros et vingt centimes dès le 15 mai 2021. Pour le ministre de la Santé, l'usage des autotests devrait se déployer également dans les écoles, les collèges et les lycées à partir de la rentrée. "Ils vont être rapidement mis à disposition dans les établissements scolaires", a confirmé Olivier Véran. Selon lui, il sera possible d’aller "jusqu’à deux tests par semaine par élève et par enseignant." Si certains se réjouissent de cette arrivée des autotests dans les pharmacies, d'autres critiquent une nouvelle fois les choix du gouvernement.

    E.Leclerc en colère contre le gouvernement

    Dans Le Journal du Dimanche, dimanche 18 avril 2021, E.Leclerc a décidé de publier une publicité surprenante. Le groupe s'indigne de ne pas pouvoir commercialiser, comme les pharmacies, les autotests"Il faudrait savoir ! L'autotest, comme son nom l'indique, est fait pour que chacun puisse se tester seul. C'est ce qui lui permet d'être diffusé le plus largement possible. Ailleurs en Europe, en Allemagne par exemple, il est disponible dans de nombreux réseaux de distribution, en pharmacies comme en hypermarchés. C'est logique, pour qu'il soit largement diffusé il faut le trouver partout", peut-on lire dans cette publicité.

    Selon le groupe E.Leclerc, la France manque une occasion de pouvoir rendre accessible plus largement ce moyen de dépistage. Un souci qui aurait pu être évité selon eux. "Mais en France c'est différent. Tous les circuits de distribution sont exclus à l'exception des seules pharmacies, au prétexte que l'utilisation trop complexe des autotests exige les conseils d'un professionnel de santé. Mais alors, les Français seraient-ils moins futés que leurs voisins européens ? Absurde ! "

    Femme Actuelle


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  • SÉRIE LA FRANCE DÉPENDANTE [1/6] - Santé, défense, agriculture, informatique, finance… Dans certains secteurs clés, l'Hexagone - voire l'Europe - n'a pas la main. Pour les seringues nécessaires à la vaccination, la France dépend des Etats-Unis et de l'Allemagne.

    Après la pénurie de masques, les tensions sur l'approvisionnement en paracétamol ou les retards de livraison du sérum d'AstraZeneca, la France va-t-elle se retrouver à manquer de seringues, outils indispensables pour injecter le vaccin anti-Covid? Cette crainte, soulevée par plusieurs scientifiques, n'est pour l'instant pas d'actualité, fait valoir le ministère de la Santé. "Nous avons aujourd'hui un stock d'environ 4,5 millions de seringues, détaille un conseiller d'Olivier Véran. Nous nous adaptons aux différentes livraisons de vaccins en passant régulièrement des commandes qui sont ensuite adressées aux hôpitaux."

     

    C'est en effet l'Etat qui est chargé de fournir aux établissements de santé les stocks nécessaires de seringues utilisées pour le vaccin contre le coronavirus - chaque injection en requiert deux. Lesdits établissements ont ensuite pour mission de les répartir, sous forme de kits de vaccination (contenant aiguilles, seringues et flacons de vaccin) aux Ehpad et aux centres de vaccination. "Une logistique qui pour le moment a plutôt bien fonctionné malgré quelques retards", observe le patron d'un centre hospitalier public.

    Challenges


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  • Épinay-sur-Seine : Des photos personnelles de policiers découvertes dans des halls d’immeubles

    Des photos personnelles de fonctionnaires de police ont été découvertes dans des halls d’immeubles d’Épinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis), dans la nuit de mercredi à jeudi. Les fonctionnaires concernés vont déposer plainte.

    C’est une découverte inquiétante que les policiers ont fait la nuit dernière à Épinay-sur-Seine, dans le quartier des Presles. Des photos personnelles de leurs collègues étaient accrochées dans des halls d’immeubles. « Le préfet de Police et les policiers vont déposer plainte », indique la préfecture de police sur Twitter.

    « Pendant que certains « moralisateurs » s’évertuent à démonter le projet de loi sécurité globale et notamment l’article 24, ce sont encore et toujours les policiers qui en font les frais », s’indigne le syndicat Unité SGP Police FO dans un communiqué, alors que le projet de loi a été adopté par le parlement ce jeudi, par 75 voix pour et 33 contre. Le syndicat « demande au Ministre de l’Intérieur que tout soit mis en œuvre pour retrouver les auteurs ».

    « Un cap franchi pour punir les policiers qui s’attaquent aux trafics », réagit la déléguée nationale de l’organisation, Linda Kebbab.

    Le ministre de l’Intérieur assure son « soutien total »

    « Il n’est malheureusement pas rare que les policiers découvrent leurs identités dans des halls d’immeubles de cités, ou encore les immatriculations de leurs véhicules banalisés, mais des photos personnelles, je n’en ai pas souvenir… », nous confie un gradé de la préfecture de police.

    L’affaire a fait réagir Gérald Darmanin sur Twitter. « Soutien total à nos policiers dont les visages et les noms ont été affichés à Épinay-sur-Seine en guise d’intimidation », a-t-il écrit. « Je n’accepterai jamais que l’on jette en pâture et que l’on menace ceux qui nous protègent. »

    Une enquête va être ouverte et permettra de déterminer d’où viennent ces photos personnelles et de quelle façon les auteurs les ont obtenues.

    La nuit précédente, les policiers et les pompiers ont été victimes d’un guet-apens sur cette même commune d’Épinay-sur-Seine. Appelés pour des feux de conteneurs poubelles, ils ont été la cible de tirs de mortiers d’artifice et de jets de projectiles. Des violences urbaines s’étaient également déroulées ces derniers jours.

    ACTU 17


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