• Le diocèse de Versailles (Yvelines) a annoncé dans un communiqué le décès de l’un de ses prêtres, vendredi 1er juillet 2022. Le curé âgé de 50 ans a mis fin à ses jours la veille au soir « en forêt de Rambouillet ». Dans une tribune publiée en décembre 2021, l’homme dénonçait le silence dans l’Église face aux affaires de pédophilie.

    Un prêtre du diocèse de Versailles (Yvelines) âgé de 50 ans s’est donné la mort dans la nuit du jeudi 30 juin au vendredi 1er juillet 2022. L’information a été révélée dans un communiqué par l’évêque de Versailles, Luc Crepy, rapporte Le Figaro« Son corps a été retrouvé cette nuit en forêt de Rambouillet », a précisé le dignitaire.

    En fonction depuis 18 ans, la victime « a exercé son ministère dans plusieurs paroisses du diocèse. Suite à des difficultés dans l’exercice de son ministère, il n’avait pas de mission depuis septembre 2021 », développe le communiqué cité par nos confrères.

    Victime « d’abus de pouvoir »

    En décembre 2021, le quinquagénaire avait signé une tribune parue dans le journal La Croix pour dénoncer le silence imposé dans l’Église concernant les affaires de pédophilie. Le curé se disait par ailleurs victime « d’abus de pouvoir » et espérait la mise en place de « règles de gouvernance adéquates afin de compenser tout abus », rappelle Le Figaro.

    « Nous partageons la peine de tous ceux qui ont pu le connaître et l’apprécier dans son ministère paroissial », a ajouté l’évêque de Versailles

    .Ouest-France


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  • Un glacier s'est effondré dans le plus haut sommet des Dolomites, dans les alpes italiennes. Un bilan provisoire fait état d'au moins six morts et huit blessés. Il y aurait également une quinzaine de disparus, d'après les médias.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/un-morceau-de-glacier-s-effondre-en-italie-six-morts-et-des-disparus/ar-AAZaeCJ?ocid=msedgntp&cvid=b17e4645239f416bbed72be454ef9f5b

    Le bilan passe de sept à neuf morts


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  • Régulation des armes à feu : Joe Biden signe une loi historique

    Joe Biden a signé la loi visant à mettre en place une régulation des armes à feu, la plus importante en près de 30 ans, samedi 25 juin. Un texte qui reste toutefois bien en deçà de ce qu'ambitionnait le président américain. « Bien que cette loi n'englobe pas tout ce que je veux, elle comprend des mesures que je réclame depuis longtemps et qui vont sauver des vies », a-t-il dit à la Maison-Blanche avant de s'envoler pour l'Europe.

    La législation, soutenue par des membres des Partis démocrate et républicain, a été adoptée vendredi sous les applaudissements par le Congrès. Elle instaure de nouvelles limitations sur les armes et consacre des milliards de dollars à la santé mentale et à la sécurité dans les écoles. L'initiative parlementaire avait été lancée après le massacre d'Uvalde, qui a fait 21 morts, dont 19 enfants, dans une école primaire du Texas fin mai, et celui de Buffalo dans l'État de New York, au cours duquel 10 personnes noires ont été tuées dans un supermarché mi-mai.

    Une nouvelle législation « monumentale »

    Le texte veut notamment renforcer la vérification des antécédents judiciaires et psychologiques pour les acheteurs d'armes âgés de 18 à 21 ans et instaurer un meilleur contrôle de la vente illégale d'armes, et le financement de programmes dédiés à la santé mentale. Mais les mesures proposées restent très loin de ce que voulait le président Biden, comme l'interdiction des fusils d'assaut. Après une série de fusillades meurtrières, le texte constitue malgré tout une première depuis des décennies.

    Évoquant la difficulté de faire passer une loi sur un sujet aussi sensible aux États-Unis dans un Congrès divisé, le président Biden a qualifié la nouvelle législation de « monumentale ». Le message des victimes des fusillades, a-t-il dit, était « faites quelque chose, bon sang, faites quelque chose ». « Eh bien, aujourd'hui, nous avons fait quelque chose. Je sais qu'il y a encore beaucoup de travail à faire et je n'abandonnerai jamais », a-t-il promis.

    Le Point


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  • Emmanuel Macron en Ukraine : cette photo avec Volodymyr Zelensky qui fait le buzz

    Jeudi 16 juin 2022, Emmanuel Macron a rencontré Volodymyr Zelensky en Ukraine, après un voyage en train. Une photo de cette rencontre a été immortalisée par un photographe de l'AFP, Ludovic Marin. Depuis, elle fait le buzz sur Twitter.

    Jeudi 24 février 2022, Vladimir Poutine a lancé "une opération militaire" contre l'Ukraine. Depuis, l'invasion du pays par les soldats russes continue et s'intensifie dans certaines régions. Après la visite de Boris Johnson dimanche 10 avril 2022, d'autres dirigeants ont décidé de se rendre en Ukraine afin de constater les dommages de la guerre et de rencontrer Volodymyr Zelensky, le président ukrainien. Ainsi, jeudi 16 juin 2022, Emmanuel Macron s'est rendu à Kiev à bord d'un train présidentiel. Un voyage qu'il n'a pas fait seul, puisqu'il était accompagné du chancelier allemand Olaf Scholz et de Mario Draghi, le président du conseil italien. Ulysse Gosset, éditorialiste politique internationale BFMTV, était à bord du train. Quelques minutes avant son entrée en gare, il a fait quelques révélations sur ce qu'Emmanuel Macron a fait pendant le voyage. "Il a eu près de deux heures de conversation avec ses homologues allemand et italien [...] Le président a été se coucher vers 3 heures du matin", a-t-il dit. Une fois sur place, les dirigeants se sont rendus à Irpin. Emmanuel Macron a parlé de "massacre" et de "crimes de guerre". "Il faut que l'Ukraine puisse résister et l'emporter", a-t-il continué. Il a aussi rappelé "le soutien sans ambiguïté de la France" à Kiev.

    Un moment "de grande diplomatie"

    Une rencontre avec Volodymyr Zelensky a ensuite été organisée. Emmanuel Macron, Olaf Scholz, Mario Draghi et Klaus Iohannis, le président de la Roumanie, ont retrouvé le président de l'Ukraine au palais Mariinskyi à Kiev. Une fois tous ensemble, une photo a été prise pour immortaliser ce moment historique. Toujours sur BFMTV, Ulysse Gosset a commenté les images en direct. "C'est la rencontre de l'Ukraine avec une partie de l'Union Européenne, avec la France, l'Allemagne, l'Italie, la Roumanie [...] C'est une image très forte, de soutien et d'unité [...] Volodymyr Zelensky incarne cette Ukraine qui refuse de voir son territoire dépecer par la Russie et qui a aujourd'hui une position très dure sur les négociations. Pas question de négocier avant que les Russes quittent le territoire ukrainien. Pas question de négocier une quelconque cessation de territoire, notamment le Donbass à la Russie", a-t-il expliqué. Sur Twitter, un autre cliché a énormément circulé. Il s'agit de la rencontre entre Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky. Sur la photo en question, prise par Ludovic Marin, photographe pour l'AFP, les deux dirigeants s'étreignent tout en se serrant la main. Le président ukrainien lui, regarde l'objectif. "Toujours intéressant d’observer les visages dans des moments de grande diplomatie. Ici, celui de Volodymyr Zelensky", a commenté Ariane Chemin, grand reporter au journal Le MondeD'autres tweets ont été postés pour saluer le travail du photographe.

    Femme Actuelle


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  • Plateforme Lidl à Plouagat. La CGT appelle à « faire la lumière sur les circonstances de l’incendie»

    La CGT, qui défend les salariés de l’actuelle plateforme Lidl de Ploumagoar, près de Guingamp (Côtes-d’Armor), se dit stupéfaite après cet incendie. Elle attendait cette infrastructure pour améliorer les conditions de travail.

    « Nous avons appris avec stupeur l’incendie qui a ravagé une partie importante de la nouvelle plateforme logistique Lidl de notre direction régionale à Plouagat », dit la CGT Lidl Bretagne dans un communiqué ce jeudi 9 juin 2022.

    « Un bien terrible rappel que le travail est source de danger »

    Elle « tient avant tout à adresser ses amicales salutations à la centaine de sapeurs-pompiers qui sont intervenus dans des conditions difficiles et dangereuses » et « à apporter son soutien moral aux deux pompiers qui se seraient blessés légèrement lors de l’intervention. »

    Pour le syndicat, « c’est un bien terrible rappel que le travail est aussi source de danger pour les salariés et qu’en toutes circonstances leur santé et leur sécurité doivent être la priorité. C’est le sens de l’action de la CGT Lidl sur la direction régionale de Guingamp depuis des années. Il convient donc de faire toute la lumière sur les circonstances de l’incendie. »

    « Les limites de l’entrepôt actuel de Ploumagoar »

    La CGT et les salariés de la plateforme logistique de Ploumagoar attendaient avec impatience leur déménagement dans ces futurs locaux de Plouagat, prévu en 2023 : « Le projet de développement des capacités logistiques de notre enseigne était aussi la conséquence des limites actuelles de l’entrepôt de Ploumagoar face au développement de l’entreprise sur notre région. La CGT Lidl sera donc attentive dans ses échanges avec la direction à ce que les décisions prises en attendant l’ouverture de la nouvelle plateforme soient faites avec une attention particulière aux conditions de travail des salariés de l’entrepôt mais aussi des magasins que celui-ci dessert. »

    La direction nationale de Lidl, sollicitée par Ouest-France, s’est refusée à la moindre communication sur cet énorme incendie. La préfecture des Côtes-d’Armor verrouille par ailleurs la communication sur l’opération de secours, et ne donne aucune information sur l’origine du sinistre.

    Ouest-France


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  • Deux véhicules ont été interceptés d’un coup dans la nuit de jeudi à vendredi

    Deux trafiquants de drogue présumés ont été mis en examen ce lundi en région parisienne. Ils ont été interpellés dans la nuit de jeudi à vendredi au péage de Saint-Arnoult-en-Yvelines (Yvelines) en possession de 1,9 tonne de cannabis, rapporte Le Parisien.

    L’enquête a commencé en février dernier grâce à un renseignement reçu par la police. Les fonctionnaires de la brigade de recherche et d’intervention (BRI) de Versailles ont alors commencé à surveiller un groupe d’individus important vraisemblablement du cannabis depuis l’Espagne grâce à des convois de go fast.

    Un énorme trafic dans toute l’Ile-de-France

    Informés d’un convoi censé arriver en fin de semaine en Ile-de-France, les policiers ont mis en place un dispositif pour arrêter les trafiquants. Deux véhicules transportant au total 1,9 tonne de cannabis ont été interceptés d’un coup au péage. Les deux conducteurs, âgés de 25 et 30 ans, ont été placés en garde à vue.

    « Ce groupe alimentait les points de deal de toute l’Ile-de-France », a indiqué une source proche du dossier au Parisien. L’enquête se poursuit afin d’identifier et interpeller les autres membres du groupe.

    20 Minutes


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  • Un cambrioleur retrouvé grâce... au collier du chat qu'il avait volé

    Un trentenaire a été condamné à huit mois de prison ferme, mardi 31 mai, pour vols avec effraction. Il a pu être confondu grâce au traceur GPS intégré à un collier de chat, qu'il avait dérobé.

    Un homme de 31 ans comparaissait, mardi 31 mai, devant le tribunal de Toulouse pour vols avec effraction. Comme le relate 20 Minutes, le trentenaire aurait cambriolé samedi dernier, en début d’après-midi, la caravane d'un jeune couple, installé temporairement à Cintegabelle (Haute-Garonne). Il aurait fracturé le véhicule, dérobé une console de jeux, un casque audio, des chéquiers, de l'argent liquide, les deux voitures du couple, ainsi que... le collier du chat.

    Sauf que ce dernier objet était équipé d'un traceur GPS intégré, qui a ainsi permis aux enquêteurs de remonter aisément la piste du cambrioleur, qui se trouvait sur une aire d’accueil des gens du voyage à Saverdun, en Ariège. Sur place, les forces de l'ordre ont mis la main sur tous les objets volés. Seule une voiture manquait à l'appel.

    Par ailleurs, un témoignage d'une passante a permis de confirmer l'identité du suspect. Au moment des faits, une femme qui promenait son chien avait aperçu le trentenaire faire des "allées et venues" dans le secteur du cambriolage. A la barre, le prévenu a néanmoins nié les faits, affirmant n'être qu'un receleur, rapporte 20 Minutes.

    Sa plaidoirie ainsi que celle de son avocat n'ont néanmoins pas convaincu les juges, qui l'ont reconnu coupable et condamné à un an de prison dont huit ferme. L'homme de 31 ans était déjà connu de la justice puisqu'il avait été condamné à deux reprises pour vol et violences. Quant aux plaignants, ils restent traumatisés par l'événement. "On n’a plus de chez nous", a confié, en larmes, la jeune femme, lors de l'audience, alors que la deuxième voiture n'a toujours pas été retrouvée.

    Capital


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  • Un gendarme de 49 ans affecté à l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) de Versailles (Yvelines) s’est donné la mort avec son arme de service, mardi 31 mai 2022. Son corps a été découvert par ses collègues sur leur lieu de travail.

    Un drame est survenu, mardi 31 mai 2022, au sein des locaux de la gendarmerie de Versailles (Yvelines). Un gendarme de 49 ans affecté à l’escadron départemental de sécurité routière (EDSR) a mis fin à ses jours en utilisant son arme de service, rapporte Le Parisien.

    Deuxième drame pour la gendarmerie nationale

    La nouvelle de sa mort a attristé ses collègues, sous le choc. Le quadragénaire était marié et père de deux filles âgées de 16 et 21 ans. La fondation Maison de la gendarmerie a par ailleurs ouvert une cagnotte de soutien pour sa famille, indique le journal local.

    Les faits sont d’autant plus bouleversants pour la gendarmerie nationale qu’un autre drame s’est produit le même jour. Une gendarme de la brigade de Montaigu (Vendée), a mis fin à ses jours avec son arme de service. Elle a été retrouvée à son domicile professionnel.

    Le 3114, numéro national de prévention contre le suicide, est disponible 24/24 heures et 7/7 jours, a rappelé le ministère des Solidarités et de la Santé.

    Ouest-France


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  • Ukraine : un journaliste de BFMTV meurt à 32 ans, Emmanuel Macron lui rend hommage

    Le journaliste BFMTV Frédéric Leclerc-Imhoff, qui couvrait pour la chaine le conflit en Ukraine, a été mortellement touché par un éclat d'obus, rapporte Le Parisien, lundi 30 mai 2022. Le président de la République l'a annoncé sur son compte Twitter.

    Alors que le conflit en Ukraine fait rage, un journaliste de BFMTV vient de perdre la vie alors qu'il tentait d'échapper aux bombes russes, à bord d'un bus avec des civils. Emmanuel Macron a révélé l'information sur son compte"Journaliste, Frédéric Leclerc-Imhoff était en Ukraine pour montrer la réalité de la guerre. À bord d’un bus humanitaire, aux côtés de civils contraints de fuir pour échapper aux bombes russes, il a été mortellement touché", a tweeté le président de la République, lundi 30 mai.

    Le journaliste français était en Ukraine pour couvrir la guerre menée par la Russie, pour BFMTV. Selon les informations rapportées par Le Parisien, le 30 mai, il aurait été touché par un éclat d’obus alors qu'il se trouvait proche de Severodonetsk dans l'Est du pays. Il n'était pas seul, puisque le rédacteur Maxime Brandstaetter était avec lui. Blessé, ce dernier a été évacué vers Dnipro, à l'Est de l'Ukraine.

    Piégés alors qu'ils suivaient une évacuation de civils

    En reportage pour suivre un bus de civils tentant de fuir les bombes russes, les journalistes se sont retrouvés piégés dans une fusillade. L'administration régionale sur Telegram a écrit : "L’évacuation a été officiellement arrêtée. Les [forces russes] ont tiré sur un véhicule qui allait embarquer des gens. Un journaliste français tué", a écrit l’administration régionale sur Telegram. L'information a dans un premier temps été relayée par Reporter Sans Frontières.

    Voici


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  • Les autorités recherchent activement un bimoteur, qui venait de décoler depuis la ville de Pokhara. Mais les mauvaises conditions météorologiques compliquent fortement le travail des enquêteurs.

    Un avion transportant 22 personnes a été porté disparu au-dessus d'une zone montagneuse au Népal, ont annoncé ce dimanche la compagnie aérienne Tara Air et les autorités, alors que de mauvaises conditions météorologiques compliquent les opérations de recherche.

    "Le contact a été perdu avec un vol intérieur qui se dirigeait vers Jomsom depuis Pokhara", a indiqué Sudarshan Bartaula, porte-parole de la compagnie basée à Katmandou.

    Le bimoteur Twin Otter avait décollé de la ville de Pokhara, au centre-ouest du Népal, à 9h55 heure locale (6h10 à Paris) avant de perdre le contact radio.

    Trois membres d'équipage et 19 passagers se trouvent à bord de l'appareil, a-t-il précisé.

    "Nous essayons de localiser la zone où l'avion pourrait se trouver", a déclaré Sudarshan Bartaula, porte-parole de Tara Air. "Des équipes de secours de la police et de l'armée sont en route", a-t-il ajouté.

    Le mauvais temps perturbe les recherches

    Phanindra Mani Pokharel, un porte-parole du ministère de l'Intérieur, a précisé que deux hélicoptères ont été dépêchés pour les opérations de recherche. Mais la visibilité était faible, a-t-il ajouté.

    "Le mauvais temps pourrait ralentir les opérations de recherche. La visibilité est si faible, qu'on ne peut rien voir", a-t-il dit.

    Le transport aérien népalais a connu un véritable essor ces dernières années, transportant des touristes, des marcheurs et des alpinistes, ainsi que des marchandises, dans des endroits reculés et difficiles d'accès par voie routière.

    Le Népal, un pays pauvre de l'Himalaya, affiche un piètre bilan en matière de sécurité aérienne, en raison d'une formation des pilotes et d'une maintenance insuffisantes. L'Union européenne a interdit à toutes les compagnies aériennes népalaises l'accès à son espace aérien pour des raisons de sécurité.

    Le pays possède également certaines des pistes les plus éloignées et les plus dangereuses au monde, situées au milieu de pics enneigés.

    BFM.TV


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  • Mort de Kelly Meafua: le joueur était très alcoolisé et avait pris de la cocaïne

    Il était très alcoolisé. Et il avait aussi pris de la cocaïne, selon France Bleu et La Dépêche. C’est ce qu’ont révélé les analyses toxicologiques effectuées après la mort de Kelly Meafua, troisième ligne samoan de Montauban.

    Le joueur de 32 ans s’est tué dans la nuit du 6 au 7 mai après avoir sauté dans le Tarn depuis un pont haut de 22 mètres. Il sortait d'une boîte de nuit, où il avait fêté la victoire de son équipe contre Narbonne (48-40) pour son dernier match à domicile de la saison.

    2,34 grammes d'alcool par litre de sang

    "Il s'agissait d'un défi et non d'un accident ou d'un suicide", a précisé le procureur de la République de Montauban Bruno Sauvage dans des propos rapportés par France Bleu. L'autopsie a révélé que le corps de Kelly Meafua, mort par noyade, contenait 2,34 grammes d'alcool par litre de sang. La Dépêche indique également que les analyses toxicologiques ont confirmé l'absorption de stupéfiants "4 à 8 heures avant le décès".

    Un des coéquipiers de Meafua, le pilier français Christopher Vaotoa, avait sauté à l'eau pour essayer de lui porter secours. Lui s'en était tiré "en état de choc émotionnel" et d’hypothermie.

    Ancien international samoan de rugby à 7, Meafua avait évolué à Narbonne et Béziers avant de rejoindre Montauban en 2020. Il avait disputé 24 rencontres de championnat cette saison, inscrivant huit essais en Pro D2. L'annonce de sa mort a secoué le monde du rugby. Des hommages ont eu lieu sur plusieurs terrains.

     Le rugbyman laisse derrière lui une femme enceinte...
     
    RMC Sport
     

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  • Suite à la Fusillade qui a fait 21 morts dans la ville d'Uvalde au Texas ce mardi 24 mai, le mari d'une enseignante tuée lors du massacre est décédé "de chagrin", selon sa famille. Joe Garcia, le mari de l'institutrice, aurait été victime d'une attaque, selon le média local. Le couple laisse derrière lui quatre enfants désormais orphelins.

    Son mari est "mort d'un cœur brisé"

    Salvador Ramos est ainsi l'auteur de la fusillade d'une école primaire au Texas, qui a fait 21 morts, dont deux enseignantes ce 24 mai. Le mari de l'une de ces deux femmes assassinées a succombé hier à une crise cardiaque, laissant derrière lui quatre orphelins. Selon sa famille, Joe Garcia, veuf de l'enseignante assassinée Irma Garcia, "est tragiquement mort ce matin suite à une urgence médicale", ont ainsi annoncé ses proches.

    Debra Austin, qui se présente comme la cousine de l'enseignante défunte, Irma Garcia, a fait part du décès du mari d'Irma, Joe : "Je suis convaincue que Joe est mort d'un cœur brisé, perdre l'amour de sa vie après 25 ans de vie commune, était trop difficile à supporter", a-t-elle déclaré. "Cela me fend le cœur et m'emplit de désespoir que d'annoncer que le mari de ma tante Irma, Joe Garcia, est mort de chagrin.", a ajouté son neveu. La famille a décidé de créer une cagnotte en ligne pour subvenir aux besoins des quatre orphelins d'Uvalde, suite au drame.

    Une attaque préméditée annoncée sur Facebook

    L'homme qui a assassiné 21 personnes dont 19 enfants avait 18 ans, il a été abattu par les autorités locales durant son crime le jour de l'attaque. Selon l'AFP, Salvador Ramos avait prémédité et annoncé cette fusillade dans une école primaire sur Facebook, s'affichant avec des armes sur le réseau social.

    Avant d'ouvrir le feu sur des enfants sans défense et leurs professeurs, l'homme aurait d'abord tenté de tuer sa grand-mère. Selon CNN, l'auteur présumé de la fusillade était un garçon solitaire, souvent moqué en raison de sa manière de s'habiller et la situation financière de sa famille. Il séchait régulièrement les cours pour jouer à des jeux vidéos en ligne.

    Le drame effroyable perpétré par ce citoyen d'Uvalde dans le sud du Texas, a endeuillé les États-Unis, et bien au-delà. Cette tragédie relance le débat sur le pouvoir du lobbye des armes sur le territoire américain. Plusieurs personnalités telles que Barack Obama, Volodymyr Zelensky ou encore Emmanuel Macron se sont exprimées à ce sujet, très sensible politiquement outre-Atlantique. En 2017, chaque semaine, 25 enfants trouvaient la mort aux États-Unis par arme à feu, rappelle L'Express.

    Oh My Mag


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  • La petite Amerie Jo Garza avait 10 ans. Elle fait partie des 19 enfants tués mardi dans une fusillade au Texas.

    «Désolé, je ne peux pas parler, c’est trop dur», a confié son père, submergé par le chagrin, auprès de notre reporter . Sa fille, Amerie Jo, est morte mardi dans le massacre d’Uvalde . A seulement 10 ans, la fillette a été abattue dans une nouvelle tuerie de masse qui a fait 21 victimes dont 19 enfants. Sa grand-mère, Berlinda Arreol, a confié au magazine «People » que l’enfant avait perdu la vie sous les balles alors qu’elle tentait de sauver ses camarades en appelant les secours. Mais, prise au piège de la classe dans laquelle elle était enfermée, elle s’est retrouvée face au tireur qui n’a pas hésité à passer à l’acte, armé de son fusil d’assaut. «Il aurait juste pu lui prendre son téléphone, ou le casser, faire quelque chose. Mais au lieu de cela, il lui a tiré dessus», a déclaré Berlinda Arreol. Elle a ajouté dans le «Daily Beast » : «Le tireur est entré et il a dit aux enfants : "Vous allez mourir." Elle avait son téléphone et elle a appelé le 911. Au lieu de l'attraper et de le casser ou de le lui prendre, il lui a tiré dessus. Elle était assise juste à côté de sa meilleure amie. Sa meilleure amie était couverte de son sang».

    Angel Garza, son père, a raconté à CNN avoir appris le décès d’Amerie de la bouche de cette autre jeune élève. «Elle était paniquée, elle disait que quelqu’un avait tué sa meilleure amie, qu’elle ne respirait plus et que c’était arrivé alors qu’elle essayait d’appeler la police», a-t-il expliqué. «J’ai demandé à la petite fille le nom de cette enfant et elle a répondu : Amerie», a-t-il ajouté, rendant hommage à une petite fille «adorable qui ne faisait jamais rien de mal». «Elle écoutait papa et maman, se lavait bien les dents, elle était créative, elle n’était jamais dans les histoires à l’école». D’après lui, ce qu’a vécu Amerie mardi était «sa plus grande peur». «Elle était effrayée par ce genre de choses, elle fermait toujours la porte à clef quand je prenais de l’essence. C’était sa plus grande angoisse mais elle a essayé de sauver les autres». «C’est une héroïne qui a essayé d’appeler le 911 pour sauver ses amis», a ajouté sa grand-mère. Cette dernière a tenu à honorer une enfant toujours prête à aider et à protéger son petit frère de 3 ans. Tous les matins, avant de partir à l’école, elle l’embrassait. «On a du lui expliquer que dieu l’a rappelée a lui», a confié Angel Garza à CNN.

    "C’était une âme merveilleuse"

    L’an passé, en classe, Amerie avait remporté le prix du «Cœur en or». Ses résultats scolaires avaient été reconnus une fois de plus seulement quelques minutes avant que le tireur ne pénètre dans l’établissement. Elle venait de recevoir un certificat d’honneur pour toutes ses bonnes réalisations. Fan du groupe de musique sud-coréen BTS, dont elle arborait fièrement un t-shirt sur l’une des photos diffusées par sa famille, elle avait célébré le 10 mai dernier ses 10 ans. A cette occasion, elle avait reçu son premier téléphone portable, celui qu’elle a tenté d’utiliser mardi pour venir en aide à ses amis. «Elle essayait juste d’appeler la police et il l’a tiré dessus. Comment pouvez-vous regarder une petite fille et lui tirer dessus », a déploré son père, en larmes.

    «C’était une âme merveilleuse. Elle a touché le cœur de tout le monde et illuminait tous les endroits où elle passait», peut-on lire sur la campagne de collecte de dons ouverte pour aider sa famille . «Merci à tous pour vos prières et pour m’avoir aidé à retrouver mon bébé. Elle a été retrouvée. Mon petit amour vole désormais haut avec les anges. S’il vous plait, ne prenez aucune seconde de la vie pour acquise. Embrassez votre famille. Dites-leur que vous les aimez. Je t’aime Amerie jo. Prends soin de ton petit frère pour moi», a partagé son père sur Facebook juste après le drame. Dans le «New York Times », il a ajouté que sa famille avait été endeuillée ces dernières années par le covid-19, et que tout venait à peine de rentrer dans l’ordre. «Maman t’aime, maman ne peut pas dormir sans toi, maman a besoin de toi, Amerie. Je ne peux pas continuer ma vie sans toi. Comment suis-je supposée faire sans toi ? Je t’aime, jamais je ne serai plus la même», a écrit sa mère Kimberly Garcia, sur Facebook.

    Paris Match

    LIEN d'un autre article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/fusillade-dans-une-%C3%A9cole-primaire-au-texas-les-premi%C3%A8res-victimes-identifi%C3%A9es/ar-AAXHEGG?ocid=msedgntp&cvid=71932d33bb254ffc99b0aeaba3424aa7


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  • Les orages géants qui ont balayé samedi l’est du Canada ont fait au moins neuf morts, selon un bilan officiel revu à la hausse dimanche.

    Ils ont par ailleurs privé de courant jusqu’à 900 000 foyers, en particulier dans la région d’Ottawa, la capitale. La police provinciale de l’Ontario a annoncé à la chaîne CTVNews le décès de sept personnes, tuées samedi par des chutes d’arbres et de branchages, contre trois dénombrées la veille par les secours. Le huitième décès avait été constaté samedi sur la rivière des Outaouais, lors de la noyade d’une canoéiste au large de Gatineau, banlieue québécoise d’Ottawa. Une neuvième personne a été retrouvée morte après dans la province de l’Ontario, rapporte Radio Canada. Des vents violents, avec des pointes à plus de 140 km/h, ont balayé samedi l’est du pays, depuis le centre des Etats-Unis. La météo nationale a souligné qu’il s’agissait d’un phénomène rare dénommé « derecho ». Le derecho est une sorte de brusque vague orageuse de plusieurs centaines de kilomètres de long. Le phénomène dure plus longtemps qu’un orage classique et se déplace sur une longue distance. L’ensemble amplifie les risques et dégâts causés pas un orage classique. « Cet orage faisait près de 1000 km de long, du Michigan au Maine », Etats américains situés respectivement au centre et au nord-est du pays, en s’étirant à travers les provinces canadiennes « d’Ontario et du Québec », a ainsi expliqué David Philipps, météorologue du ministère fédéral de l’Environnement. « Derecho n’est pas un mot que nous utilisons fréquemment, c’est un phénomène peu fréquent ». « Les dernières 24 heures ont été très, très difficiles » Dans la commune de Fassett, une église n’a pas résisté. Son clocher s’est effondré en raison de la puissance du phénomène. Ottawa a été particulièrement frappée, et des milliers de foyers étaient encore dans le noir dimanche soir. Les rues étaient encore encombrées de branches et de divers objets emportés par les vents qui, par endroits, ont pris la forme de tornade. « Les dernières 24 heures ont été très, très difficiles », a convenu le maire, Jim Watson, lors d’une conférence de presse, demandant à ses concitoyens « de rester optimistes malgré les défis » posés par les ravages de cette tempête estivale. Les autorités locales ont indiqué qu’il faudrait plusieurs jours pour dégager toutes les rues et les routes entravées, et revenir à la normale. Au total, 300 000 foyers, surtout dans les régions d’Ottawa et des Laurentides (au nord de Montréal), étaient toujours sans électricité dimanche soir, selon les relevés en ligne des fournisseurs locaux d’énergie.

    Le Parisien


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    Illustration

    Lundi, un homme de 26 ans a été interpellé par la gendarmerie en Seine-et-Marne, suspecté d’enlèvement et de viol sur une chèvre

    Le matin du mercredi 11 mai, une fermière de Chaintreaux en Seine-et-Marne constate l’absence de l’une de ses chèvres. Avec effroi, elle découvre en visionnant les caméras de surveillance que deux hommes sont entrés dans un box de sa chèvrerie et sont repartis avec un animal, rapporte Le Parisien.

    L’agricultrice a repéré ensuite la voiture utilisée pour l’enlèvement de sa chèvre sur un parking de supermarché, elle a alors alerté la gendarmerie. Les deux suspects ont été interpellés. L’un des deux, âgé de 26 ans, a avoué avoir violé l’animal. Expliquant aux militaires, « préféré les chères aux femmes ».

    Il sera jugé en novembre prochain, pour des chefs d’accusation de vol et de sévices graves et actes de cruauté envers un animal domestique, apprivoisé ou captif. Il risque, selon le quotidien, jusqu’à trois ans de prison et une amende de 45.000 euros. Son acolyte n’a pas participé au viol de la chèvre.

    20 Minutes


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  • Le compteur Linky attire les fourmis... qui le font disjoncter

    Un habitant de Loire-Atlantique a eu la surprise de constater que la panne de son compteur Linky avait été provoquée par une colonie de fourmis s’étant logée dans le coffret. Les insectes seraient attirés par un composant du compteur.

    Des fourmis attirées par les compteurs Linky au point de provoquer des pannes. C'est l'histoire surprenante qui est arrivée à un client d'Enedis. Interrogé par UFC-Que choisir, Michel, qui habite dans la Loire-Atlantique, explique avoir récemment rencontré un problème de panne provoquée par une colonie de fourmis qui s'était logée à l’intérieur de son compteur Linky. Il a donc appelé Enedis qui a envoyé un technicien pour régler le problème.

    "Il [le technicien] m’a annoncé que c’était une panne très courante à cause des fourmis qui raffolent d’un composant du compteur et qui créent des courts-circuits à répétition", a déclaré le client Enedis à qui l'on avait promis qu’en s'équipant avec un compteur Linky, il n’aurait jamais à se déplacer jusqu’au coffret, tout étant contrôlé à distance par Internet.

    Enedis a recensé un millier d'incidents similaires

    D’après les dires du technicien, l’un des composants du compteur Linky attire particulièrement les fourmis qui en sont friandes, ce qui peut provoquer des courts-circuits. Si la nature de la panne paraît surprenante, ce n’est pourtant pas un événement isolé.

    En effet, Enedis affirmait déjà en mai 2021 que ce problème n’était pas nouveau et que les cas de panne causés par des fourmis se produisaient essentiellement entre mars et septembre et uniquement lorsque les compteurs se trouvent à l’extérieur. Selon la filiale d'EDF, ce problème concernerait un millier de compteurs sur les 34 millions déjà installés.

    Le gestionnaire du réseau électrique a assuré à UFC-Que choisir que, dans un tel cas de figure, les techniciens Enedis intervenaient rapidement et, si nécessaire, remplaçaient le compteur par un autre, équipé d’une protection spécifique de ses cartes électroniques.

    Capital

    Enedis va venir poser son compteur chez moi le 22 juin !

    Et il y a beaucoup de fourmis chez moi !


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  • Un homme de 38 ans était recherché après la découverte de sa femme, de sa secrétaire et de sa fillette de cinq ans, tuées à coups de couteau, en Saône-et-Loire : son cadavre a été retrouvé lundi en Haute-Savoie

    Dimanche soir, les secours étaient appelés après la découverte d’une femme d’une trentaine d’années égorgée, qui se vidait de son sang sur le parking d’une zone commerciale à Saint-Rémy, commune limitrophe de Chalon-sur-Saône. Elle devait décéder peu de temps après. Quelques heures plus tard, au milieu de la nuit, les dépouilles d’une mère et de sa fillette étaient à leur tour retrouvées dans une maison à Gergy, à une quinzaine de kilomètres de Chalon.

    Il y a vraisemblablement un lien entre les deux découvertes, selon le parquet, l’auteur présumé ayant un lien familial avec la mère et l’enfant, mais également un lien professionnel avec la première victime, retrouvée sur un parking.

     

    Lundi matin, le parquet de Chalon a indiqué qu’il y a « vraisemblablement » un lien entre les deux découvertes, l’auteur présumé ayant un « lien familial » avec la mère et l’enfant, mais également un « lien professionnel » avec la première victime, retrouvée sur le parking.

    Les recherches sont alors lancées pour retrouver le suspect, plus tard identifié comme un homme de 38 ans gérant d’une auto-école à Chalon. De sources proches du dossier, on précise que ce dernier entretenait une liaison avec sa secrétaire et qu’il devait divorcer de son épouse - la seconde après un premier mariage - avec qui il avait une fillette âgée de cinq ans. 

    « Pont aux suicides »

    Dimanche, pour une raison encore inconnue, le suspect aurait d’abord donné rendez-vous à sa secrétaire sur le parking d’un centre commercial de St-Rémy, avant de l’égorger avec un couteau. Après la découverte de la victime, les enquêteurs se sont ensuite rendus au domicile, situé à Gergy, du patron de cette secrétaire. Ils y ont découvert les corps de sa femme, également trentenaire, et de sa fillette de cinq ans. Toutes deux ont été poignardées.

    Le rapprochement est ensuite rapidement établi par les enquêteurs avec un véhicule retrouvé dimanche soir sur le parking du pont de la Caille, en Haute-Savoie. Surnommé le « pont aux suicides », cet édifice suspendu de près de 150 mètres de haut est situé entre Allonzier-la-Caille et Cruseilles. Une fouille est alors lancée dans les gorges en contrebas, dans lesquelles plongent une quinzaine de suicidés par an.

    Et, lundi matin, « le corps d’un individu susceptible d’être celui de l’auteur des faits est découvert en contrebas de ce pont », a indiqué le procureur de la République de Thonon-les-Bains, Bruno Badré. Des vérifications d’identité ont confirmé que ce corps était bien celui du suspect recherché, selon le parquet de Chalon-sur-Saône.

    A Chalon-sur-Saône, le parquet précise que la section de recherches de la gendarmerie de Dijon est chargée de l’enquête et que des autopsies des quatre corps auront lieu mardi. Le procureur de la République de Chalon, Patrice Guigon, tiendra une conférence de presse mardi matin.

    Sud Ouest


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