• «On m’a humiliée» : agressée lors d’un rendez-vous Tinder, elle finit en garde à vue

    « C’était hallucinant ». Deux jours après, Marion* n’en revient toujours pas. Cette jeune femme de 32 ans a été placée en garde à vue au commissariat de Montrouge (Hauts-de-Seine) après avoir voulu déposer plainte pour une agression. Dénonçant des violences policières, elle dit avoir saisi l’IGPN via une pré-plainte en ligne. Elle nous raconte sa soirée.

    La nuit de lundi à mardi avait déjà mal commencé pour cette salariée dans une agence de gestion locative. Ce soir-là, son rendez-vous à Châtillon chez un homme rencontré sur Tinder tourne au vinaigre. Selon son récit, lorsque Marion refuse les avances de son prétendant, celui-ci l’aurait agressé. « Il a tenté de m’embrasser, je l’ai repoussé, il m’a poussée vers la porte. Il a claqué plusieurs fois la porte sur mon corps, alors que je voulais récupérer mes affaires. Puis sur le palier, il m’a saisie à la gorge », retrace-t-elle. Ecchymoses dans le dos, sur les jambes, la jeune femme bénéficiera d’un jour d’Interruption total de travail (ITT) pour cette agression. « C’était complètement disproportionné, j’avais juste dit non ».

    Choquée, Marion appelle la police. Un équipage arrive quelques minutes plus tard au pied de l’immeuble de son agresseur présumé. Ce dernier est entendu par les fonctionnaires et Marion est interrogée : « Ils m’ont rapidement demandé si j’avais bu mais je n’avais bu que quatre verres… »

    Menottée à un banc puis descendue en cellule

    La victime est alors emmenée au commissariat de Montrouge en vue d’un dépôt de plainte. Il est un peu plus de minuit et demi et le cauchemar commence. Marion est installée dans la salle d’attente où elle se trouve seule. Son alcoolémie est mesurée et elle attend. Et lorsqu’elle insiste pour déposer plainte, un policier lui aurait rétorqué : « Vous êtes sûre ? Il peut prendre quinze ans, ça pourrait gâcher sa vie… »

    « Elle était en état d’alcoolémie au-delà du seuil autorisé. Les policiers auraient pu la placer en cellule de dégrisement mais ils ne l’ont pas fait car elle se présentait comme victime. Ils lui ont donc proposé d’attendre dans la salle d’attente avant de porter plainte et de pouvoir s’expliquer plus clairement », nuance le parquet de Nanterre, contacté par Le Parisien.

    Marion appelle son avocat qui contacte plusieurs fois le commissariat pour comprendre la situation. « Ils m’ont dit que ma cliente était hystérique et incohérente, s’étonne Me Philippe-Henry Honegger. Mais je l’avais eue plusieurs fois au téléphone, elle avait tous ses esprits. ». Marion ajoute pour prouver sa sobriété : « J’ai échangé plusieurs textos en anglais avec un locataire à la porte. Je les ai relus plus tard, il n’y a aucune faute. »

    « J’ai fini par lui conseiller de partir », raconte l’avocat. Marion prend alors ses affaires et se dirige vers la sortie. Il est bientôt 3 heures du matin et la situation dégénère, assure la jeune femme. « L’un des policiers hurle qu’il ne faut pas me laisser partir, ils se sont mis à trois sur moi. Le haut de ma robe a été quasiment arraché, mon téléphone confisqué. Ils ont fini par me menotter à un banc. » Selon le parquet, Marion se serait débattue, les aurait repoussés violemment et aurait tenté de leur porter des coups en criant.

    « Je vais te faire une palpation, ça va te calmer »

    Là, elle reconnaît avoir perdu patience et s’être agitée. « Une femme policière a ajouté Je vais te faire une palpation, ça va te calmer », raconte Marion. La nuit est très avancée, sa plainte n’a toujours pas été prise et elle n’a toujours pas vu de médecin.

    Toujours selon son récit, elle est finalement descendue en cellule. « L’une des menottes me sciait les os du poignet et j’ai eu peur que l’un des policiers me démette l’épaule », raconte Marion qui se présente comme une jeune femme « grande, ne pesant pas plus de 60 kg ». Elle continue, toujours en colère : « On m’a fait enlever mon soutien-gorge, mes lacets. On ne m’a pas expliqué pourquoi j’étais placée en cellule… » Elle y serait restée plusieurs heures sans eau, sans possibilité d’aller aux toilettes : « J’ai sonné plusieurs fois, personne n’est venu. J’ai fini par faire mes besoins dans un coin de la cellule ». À quelques mètres de là où elle s’endormira finalement.

    Ce n’est que vers 5h30 qu’elle apprend qu’elle est placée en garde à vue pour outrage et rébellion. « J’ai soi-disant fait mine de vouloir en découdre », répète la jeune femme, perplexe. Elle ne retrouvera son avocat que vers midi pour l’audition. « Elle avait des ecchymoses aux bras, aux poignets », décrit Me Honegger. Pour ces bleus-là, l’unité médico-judiciaire (UMJ) de Garches lui prescrira un jour d’ITT supplémentaire. C’est sans compter un examen avec un autre médecin qui devrait évaluer prochainement le retentissement psychologique accusé par Marion qui aura passé plus de douze heures dans ce commissariat.

    « On m’a humiliée »

    Mercredi, Marion a saisi l’IGPN via une pré-plainte. Elle attend désormais sa convocation par la police des polices : « Je veux juste qu’on reconnaisse qu’on m’a humiliée, traitée pire qu’un animal et qu’on me demande pardon. » Pour les faits d’outrage et rébellion qu’elle conteste, elle est convoquée à une audience en 2020, nous indique encore le parquet.

    La jeune femme a également réussi à déposer plainte pour violences volontaires subies à la fin de son rendez-vous Tinder. On ne sait pas si l’agresseur présumé a été convoqué et s’il sera poursuivi. « Mais c’est kafkaïen, s’étonne Me Honegger, les policiers qui devraient enquêter feront dans le même temps l’objet d’une enquête de la police des polices ».

    Contacté, le commissariat de Montrouge n’a pas souhaité faire de commentaires et la préfecture de police n’a pas encore donné suite à nos sollicitations.

    *Le prénom a été changé

    Le Parisien

    Quelle histoire !!!


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    Aujourdhui vers midi, j'ai vu sortir des fourmis du trou du petit évier de droite ! J'ai collé du scotch (rire)

    J'ai remarqué qu'elles arrivent quand il fait noir, je les trouve le matin et la nuit après le noir de la soirée. La première fois, c'était une vraie fourmilière sous mon égouttoir à gauche. Rapidement, j'ai réussi à les faire partir en faisant couler l'eau et en les jetant dans le trou. Mais le soir, elles étaient à nouveau là. je me suis dit, l'eau ne les a pas tué, elles ont dû remonter, alors là, je les ai écrasé avant de les jeter avec l'eau. mais le lendemain il y en avait à nouveau. D'où viennent-elles ? Pas une fourmi dans le placard sous les éviers.

    En balançant les fourmis à toute vitesse, ça marche vite ces petites bêtes, vu la chaleur, j'ai transpiré ! Et j'en ai eu sur les bras, même dans les cheveux, pourtant ça ne vole pas et ça ne saute pas ! happy

    Ma facture d'eau va augmenter (rire jaune). Je dois en effet laisser couler l'eau pour les jeter vite et en attraper d'autres.

    Que puis-je faire, cela ne peut pas durer !


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  • Inde : deux femmes tondues après avoir résisté à une tentative de viol

    llustration - On dirait des musulmanes !

    Une mère et une fille indiennes ont été tondues et exhibées dans les rues de leur village après avoir résisté à une tentative de viol de la part d'un groupe d'hommes, a annoncé ce vendredi la police.

    L'un des représentants de ce village du Bihar (dans l'est du pays), Mohommad Khurshid, est entré mercredi de force avec des acolytes dans la maison des femmes et aurait essayé de violer la jeune fille de 19 ans, récemment mariée, a indiqué la police. 

    Lorsqu'elle et sa mère, dont le mari gagne sa vie en mendiant, ont résisté, elles ont été attaquées et le responsable les a amenées à un coiffeur pour leur raser la tête, selon le récit fait par la mère aux enquêteurs.

    Des violences sexuelles massives

    "À l'heure actuelle, seuls six des suspects dans l'affaire ont été arrêtés. La police mène des opérations pour arrêter les autres, qui sont en cavale depuis cet événement", a déclaré le policier Sanjay Kumar.

    Le responsable du village et le coiffeur font partie des personnes interpellées. L'affaire a attiré l'attention des médias indiens, l'opposition au gouvernement du Bihar l'utilisant pour fustiger le pouvoir en place.

    L'Inde affiche un bilan sordide en matière de violences sexuelles contre les femmes, particulièrement dans ses zones rurales où vit la majorité de son 1,3 milliard d'habitants.

    L'Express

    Encore un pays de sauvages


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - SAMEDI 29 06 2019


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 28 06 2019

     

    Passez une bonne soirée


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  • Tous bien mais rien compris de ce qu'a dit la petite fille avec le serpent. Je plains les chevaux ! Le cochon, aussi bien qu'un chien. Pas mal le perroquet.


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  • Le feu de forêt, d’une gravité inédite depuis 20 ans, s’est déclaré mercredi dans une zone rurale du nord-est de l’Espagne, touchée par la vague de chaleur européenne. Il a déjà ravagé plus de 5500 hectares, et pourrait en dévorer plus de 20.000.

    Plus de 500 pompiers s’emploient à maîtriser un incendie hors de contrôle, ce jeudi, dans une zone rurale du nord-est de l’Espagne, touchée par la vague de chaleur européenne, ont indiqué les autorités locales. Le feu s’est déclenché mercredi après-midi près du village de Torre del Espanol, en Catalogne. Les autorités indiquent d’ores et déjà qu’il s’agit de l’incendie le plus important depuis 1998 en Catalogne.

    Ce jeudi après-midi, le feu, qui aurait la forme d’une langue, avait déjà détruit plus de 5500 hectares de végétation, selon le ministre régional de l’Intérieur, Miquel Buch. «Les difficultés sont telles que l’on ne peut pas parler d’un feu en phase de contrôle ou d’extinction. Au contraire, nous sommes dans une phase où le feu progresse», a-t-il expliqué à la radio catalane dans la matinée. L’incendie devrait en effet continuer à se propager en raison de la hausse des températures tout au long de la journée. Plus de 50 personnes ont été évacuées, a indiqué le gouvernement régional  et une centaine de moutons auraient été tués par les flammes.

    À l’heure actuelle, 90 unités terrestres et 15 unités aériennes sont mobilisées contre cet incendie classé à «risque extrême», qui pourrait dévorer 20.000 hectares dans cette région couverte de vergers, d’oliviers et de vignobles, selon un communiqué du gouvernement régional de Catalogne. La propagation du feu est accélérée par de forts vents et des températures en hausse dans la vallée de l’Ebre, une des régions d’Espagne qui enregistre régulièrement les températures les plus élevées.

    L’incendie a peut-être été causé par une «accumulation de fumier dans une ferme, qui a généré suffisamment de chaleur pour exploser et provoquer des étincelles», selon Miquel Buch. L’incendie survient en pleine vague de chaleur dans une grande partie de l’Europe, où plusieurs records de températures pour un mois de juin sont déjà tombés. Le thermomètre devrait dépasser les 40 degrés jeudi et vendredi en Espagne, en France et en Grèce.

    Le Figaro.fr

    Je pense aux pauvres animaux qui vont être brûlés vifs


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  • Toulouse: Une bande de filles agresse violemment et sans raison un jeune couple

    Insultes et coups.

    Ce jeudi, à l’aube, un couple de jeunes Toulousains a croisé sur sa route une bande de filles éméchées. Les victimes étaient devant un bar de la rue de l’Industrie, en centre-ville, quand le trio s’est mis à les insulter, sans motif.

     

    Selon la police municipale, qui a procédé aux interpellations, la jeune femme ciblée a été jetée au sol et rouée de coups. Son ami a tenté de s’interposer et a récolté griffures et coups de poing. Les trois mises en cause, âgée de 21, 22 et 29 ans, ont été conduites au commissariat central de Toulouse où elles étaient toujours en garde à vue jeudi après-midi.

    Le couple a déposé plainte et l’enquête a été confiée aux policiers de la Sûreté départementale.

    20 minutes

    Ces trois garces mériteraient en premier une bonne correction et un petit stage en prison !


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  • Affaire Benalla : Patrick Strzoda blanchi par le parquet !

    L'enquête préliminaire visant le directeur de cabinet d'Emmanuel Macron pour «faux témoignage» a été classée sans suite !

    Soupçonné de «faux témoignage» face à la commission d’enquête sénatoriale sur les événements du 1er Mai, Patrick Strzoda est tiré d’affaire. L’enquête préliminaire visant le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron vient d’être classée sans suite par le parquet de Paris. Selon le procureur de la République, Rémy Heitz, rien ne permet d’affirmer qu’il a sciemment trompé les sénateurs au sujet des missions exactes confiées à Alexandre Benalla. Ces derniers estimaient au contraire qu’il avait menti par omission, en retenant «une part significative de la vérité» selon leur expression pudique. En vertu de l’article 40 du code de procédure pénale, qui contraint toute autorité constituée à signaler un crime ou un délit quand elle en a connaissance, le bureau de la Haute Assemblée avait donc transmis son cas à la justice à l’issue des auditions, entraînant début avril l’ouverture d’une enquête confiée à la Brigade de répression de la délinquance contre la personne. La macronie peut donc se réjouir.

    Eléments essentiels

    En première ligne lors de l’affaire Benalla, Patrick Strzoda est celui qui a autorisé l’ex-garde du corps à assister à la manifestation du 1er Mai, durant laquelle il a été filmé en train de frapper des manifestants place de la Contrescarpe. Celui, aussi, qui a prévenu le chef de l’Etat, alors en déplacement en Australie, de la faute de son collaborateur, puis qui l’a ensuite mis à pied quinze jours. «J’assume totalement ma décision», a-t-il asséné devant la commission d’enquête. Mais les sénateurs lui reprochent surtout de leur avoir dissimulé des éléments essentiels, en particulier sur le périmètre exact des missions de Benalla à l’Elysée.

    Alors qu’ils ont acquis la «conviction» que l’ex-garde du corps avait exercé «une fonction essentielle pour l’organisation et la gestion de la sécurité du président de la République», au risque d’en «perturber le fonctionnement normal», Patrick Strzoda s’est au contraire borné à expliquer que Benalla ne gérait pas la sécurité présidentielle et que son rôle se limitait à une mission logistique sur les déplacements publics et privés du chef de l’Etat. Pour appuyer ses propos, il a fait référence à une note de service sur les attributions de Benalla. Sauf que cette note, datée de juillet 2017, dit exactement le contraire. Parmi les cinq missions confiées à Benalla, figure bien «la coordination des services de sécurité de la présidence de la République».

    «Cela n’a pas été spontané»

    C’est pourtant cette même note, incriminante aux yeux des sénateurs, qui est mise en avant par le parquet de Paris pour sortir d’affaire Patrick Stzoda. Sa transmission serait en quelque sorte un signe de sa bonne foi aux yeux des magistrats. Mais jusqu’où ces derniers sont-ils allés dans leurs investigations, alors même que les sénateurs ont publiquement exprimé leurs difficultés à obtenir la fiche de poste d’Alexandre Benalla ?

    Selon nos informations, l’Elysée a refusé formellement de communiquer ce document. Avant de céder face à la pression des sénateurs, qui ont alors menacé de saisir la Commission d’accès aux documents administratifs. «Cela n’a pas été spontané», insiste un des membres de la commission, qui rappelle que la fiche n’a été reçue que plusieurs mois plus tard, en octobre 2018. Un manque de diligence qui n’a pas empêché le parquet de considérer que Patrick Strzoda avait agi en toute bonne foi. Tout en admettant que le directeur de cabinet de Macron avait pu «effectuer une description incomplète des attributions d’Alexandre Benalla au cours de son audition», le procureur Rémy Heitz estime que cela ne suffit pas à «une altération de la vérité destinée à tromper la mission d’information».

    Libération

    Il a donc menti sans le faire exprès, alors ce n'est pas grave. Circulez, y a rien à voir !

    On nous prend vraiment pour des c rétins !


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  • Perquisitions chez la France Insoumise : Jean-Luc Mélenchon sera jugé en correctionnelle

    Les vidéos des perquisitions, et de la colère de Jean-Luc Mélenchon avaient fait le tour des réseaux sociaux.

    Jean-Luc Mélenchon sera jugé en correctionnelle dans l'affaire des perquisitions houleuses chez La France insoumise, a appris franceinfo jeudi 27 juin de source proche de l'enquête. Cinq autres personnes comparaîtront également devant le tribunal : Manuel Bompard, Bastien Lachaud, Alexis Corbière, Bernard Pignerol et Muriel Rozenfeld.

    En octobre, des perquisitions visant le domicile de Jean-Luc Mélenchon et le siège de La France insoumise avaient dégénéré. Sous les objectifs de nombreuses caméras de télévision, le leader de La France insoumise avait appelé ses proches à "enfoncer la porte" pour entrer dans les locaux où la perquisition était en cours. On le voyait également bousculer un représentant du parquet ainsi qu'un policier qui tentait de s'interposer.

    Une enquête ouverte pour "violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique"

    Une enquête a été ouverte pour "violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique". Le parquet de Paris s'était saisi, mais l'affaire a été dépaysée au parquet de Bobigny "dans un souci d'impartialité".

    Sur Twitter, Jean-Luc Mélenchon affirme ne pas être au courant de cette convocation devant la justice.

    franceinfo

    On ne rate jamais les opposants à macaron !


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  • Marc-Olivier Fogiel fait ses adieux  à RTL, directeur général de BFMTV  dès juillet

    Copie d'écran video

    Marc-Olivier Fogiel fait ses adieux  à RTL, directeur général de BFMTV  dès juillet

    Il fait ses adieux à RTL, prêt pour sa nouvelle carrière de Directeur général de BFMTV, où il succède à Hervé Béroud, en poste depuis 2010.

     

    "Ces sept ans à RTL, ça a été un plaisir de chaque minute. J'ai adoré vivre dans cette rédaction qui est là ce soir exemplaire, exigeante. Cette famille RTL où j'ai fait mes premiers pas il y a 35 ans maintenant," a tenu à remercier l’animateur. Car entre Marc-Olivier Fogiel et la radio, c’est une histoire qui dure. Après y avoir fait ses débuts en 1985 en délivrant les résultats de courses hippiques, le journaliste y retourne de 2005 à 2008, et finalement de 2012 à 2019. "Je vais rester un auditeur de RTL évidemment. Je souhaite bonne chance à Thomas Sotto. (...) Merci infiniment” conclut l’animateur, assurant avoir passé “un moment inoubliable” sur l’antenne de RTL.

    *************

    Marc-Olivier Fogiel est le fils de Jean-Michel Fogiel, chirurgien-dentiste et de son épouse Jeannine, née en août 1938, agent immobilier. Il a une sœur, Marianne, cardiologue et un frère, Jean-David, informaticien. Sa mère est la gérante de LAG Presse, la société qui a coproduit jusqu'en juin 2017 Le Divan de Marc-Olivier Fogiel.

    Marc-Olivier Fogiel est marié avec François Roelants, photographe de profession. Leur mariage a été célébré le 14 décembre 2013 à la mairie du 4e arrondissement de Paris par le maire de Paris, Bertrand Delanoë. Ils ont deux filles, nées de mère porteuse : Mila, née en avril 2011 et Lily, née en avril 2013. Les deux enfants sont nés par gestation pour autrui (GPA) aux États-Unis. La GPA aurait coûté plus de 100 000 euros par enfant. Cette pratique est illégale en France. Il explique avoir eu recours à la GPA alors que l'adoption par les couples homosexuels en France n'est alors pas autorisée mais entend cependant avoir à nouveau recours à cette pratique, considérant que « l’agrément est un droit virtuel ».

    Il est réputé proche d'Emmanuel Macron, bien qu'il assure être plus proche encore de Nicolas Sarkozy et de François Hollande. Lorsque Emmanuel Macron démissionne de sa fonction de secrétaire général adjoint de l’Élysée en 2014, il lui propose, en vain, de rejoindre son émission On refait le monde, sur RTL.

    Wikipédia


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  • Jamel Debbouze: cet accident qui lui a coûté l'usage de son bras

    En février 2018, Jamel Debbouze était l'invité de l'émission "Au Tableau" sur C8. Pendant cet échange, l'un des enfants présents a voulu savoir comment l'humoriste avait perdu l'usage de son bras. Pour la première fois, le mari de Melissa Theuriau évoquait son handicap survenu en 1990 alors qu'il avait 14 ans.

    Réponse de Debbouze à la petite fille :

     "J'ai fait une bêtise, je n'ai pas écouté mes parents

    Et de poursuivre : "Je suis sorti tard alors que je n'aurais pas dû sortir tard et je me suis retrouvé sur un quai de gare. J'ai vu le bus passer, je ne voulais pas le rater et j'ai traversé les rails en pleine nuit, sans regarder à droite ni à gauche". Et de conclure : "Parfois, ça me fait mal, mais j'ai des exercices, je fais du sport puis j'ai la chance de monter sur scène. J'ai plein d'exutoires qui font que même quand parfois ça me fait mal, je passe au-dessus". Nos confrères du site linternaute.com ont précisé les circonstances de l'accident. "Il est handicapé du bras droit depuis l'âge de 14 ans. Alors qu'il tentait de traverser une voie de chemin de fer à Trappes le 17 janvier 1990, il a été percuté par un train qui lui a sectionné la main".

    Non Stop People

     

    Réponse fausse !

    En réalité, Debbouze voulait" prendre" le blouson d'un autre garçon, il courait après lui, le garçon a traversé la voie pour fuir, et là, un train a surgi, tuant le garçon au blouson et coupant la main à Debbouze !

    Les parents du garçon tué ont porté plainte mais sans réelles preuves, Debbouze s'en est sorti !

    Ce type me donne envie de vomir !


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    Marion Maréchal et des gilets jaunes en vedette à l'université d'été du Medef - Hélas NON !!!

    Premier article :

    L'organisation patronale a convié l'ex-députée FN - une première - à son traditionnel rendez-vous estival.

    Suite à ces révélations de L'Express, au moins trois députés LREM ont décidé d'annuler leur présence à l'événement du Medef. Il s'agit d'Olivia Grégoire, et Coralie Dubost, selon un journaliste de LCI. Sur Twitter, le député Roland Lescure annonce son intention de faire de même.

     

    Polémiques en vue ? Le Medef a convié Marion Maréchal à son université d'été, qui se tient fin août à Longchamp. L'ex-députée FN a donné un accord de principe. Son entourage précise qu'elle attend de connaître "les modalités" de sa participation avant de donner une réponse définitive. Elle devrait débattre lors une table ronde en séance plénière le 28 août, intitulée "La grande peur des mal pensants, pourquoi les populistes sont populaires", selon un document confidentiel obtenu par L'Express. À ses côtés, le Medef attend la présence, notamment, de la philosophe Monique Canto-Sperber et de Bernard Tapie. 

    Un tabou tombe

    C'est la première fois qu'une personnalité issue de l'extrême droite est invitée à cet événement annuel. Par le passé, l'organisation patronale a entretenu une digue face à ce courant politique. Laurence Parisot avait rédigé un livre pour marquer son opposition au parti de Marine Le Pen et dénoncer son programme. De son côté, Marion Maréchal, nièce de la patronne du RN, a multiplié les sorties médiatiques ces dernières semaines en appelant ce parti et LR à se rapprocher via une plateforme commune.

    Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, assume la mise en scène de débats qu'il souhaite vifs. D'autres personnalités de droite conservatrice ou radicale devraient s'exprimer lors de cette université d'été, rebaptisée "Rencontre des entrepreneurs de France". Sont attendus le député européen LR François-Xavier Bellamy et la présidente de la Manif pour tous Ludivine de La Rochère. Par recherche d'équilibre, le Medef a sollicité des personnalités venant de tout le spectre politique, jusqu'à La France Insoumise, et des membres du gouvernement - ce qui est plus classique.

    Des gilets jaunes sur scène

    Plus surprenant, des figures des gilets jaunes ont également été conviées. Jacline Mouraud sera sur scène avec la ministre des Territoires Jacqueline Gourault, pour évoquer la France périphérique. "Je vais avoir beaucoup de choses à lui dire, j'ai hâte !", se réjouit l'égérie des ronds-points. Priscillia Ludosky, pour sa part, débattra des inégalités fiscales en compagnie de Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et de Patrick Pouyanné, le PDG de Total. Ces noms restent à confirmer. Mais l'attraction paraît déjà assurée.

    L'Express

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    Second article :

    Le Medef annule le débat controversé prévu avec Marion Maréchal lors de son université d'été ! 

    L'ancienne députée Rassemblement national avait été "sollicitée" par le Medef pour participer à un débat sur la "montée du populisme" lors de son université d'été.

    Marion Maréchal ne participera pas à l'université d'été du Medef. "Sollicitée" pour participer à un débat sur le populisme, cette invitation avait créé des remous depuis son annonce jeudi. Le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux a finalement décidé d'annuler le débat, ce vendredi. 

    "Vue l’interprétation politique qui est faite du projet de débat sur la montée des populismes, j’ai décidé de le supprimer purement et simplement. Il n’y aura donc ni intervenants RN ni intervenants LFI  à LA RÉF  dont le programme sera arrété fin juillet", a indiqué sur Twitter le président du Medef. 

    BFM.TV

     

    Donc, le Medef, sous influence, a suivi macron et sa clique.

    On est plus en démocratie mais en dictature !


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  • Morbihan : un enfant de 4 ans décède lors d’une sortie scolaire

     

    La sortie scolaire de fin d’année s’est terminée de façon dramatique. Un enfant de quatre ans scolarisé près de Lorient est décédé jeudi après avoir reçu une branche d’arbre sur la tête dans un parc de loisirs.

    « Un enfant de maternelle est décédé en milieu de journée après avoir reçu, semblerait-il, une branche d’arbre sur la tête qui est tombée de plusieurs mètres de haut », a indiqué à l’AFP la procureure de Lorient Laureline Peyrefitte, ajoutant qu’une enquête pour homicide involontaire avait été ouverte.

    Le parc de loisirs La balade du Père Nicolas, situé à Pluméliau près de Pontivy, sensibilise le jeune public à l’environnement et reçoit régulièrement des groupes scolaires. Une cellule d’urgence médico-psychologique a été ouverte dans l’école où était scolarisé l’enfant, l’établissement Notre-Dame des Fleurs de Languidic.

    « Nous avons dépêché cinq psychologues dans l’école pour entendre les enfants et les adultes qui en ont besoin », a déclaré à l’AFP Armel Gillet, de la Direction diocésaine de l’enseignement catholique du Morbihan. « Pompiers et SMUR sont venus très rapidement sur place. Malheureusement, ils n’ont pas réussi à réanimer l’enfant », a-t-il précisé. Contactée, la gérante du parc de loisirs, qui emploie trois personnes, s’est dite « abattue ».

    «L’enseignante a entendu un craquement»

    « Toute l’équipe est sous le choc. Une branche avec des feuilles est tombée de très haut, ce n’était pas prévisible. L’enseignante présente a entendu un craquement et a eu le temps de pousser des enfants, sauf un. L’hélicoptère a été appelé, mais c’était trop tard », a déclaré Marie-Line Doré.

    « Des arbres sont tombés lors de la tempête Miguel, mais c’était il y a trois semaines, je ne comprends pas ce qui s’est passé », a-t-elle ajouté, précisant qu’elle attendait la visite d’un représentant du préfet.

    Le Parisien

    Il aurait fallu contrôler les arbres après la tempête !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 28 06 2019

    Un peu tard pour la fête de la musique !   happy

     

    Passez une bonne journée


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  • Espagne, elles embauchent un tueur à gages et le dénoncent pour escroquerie

     

    Une Espagnole a voulu assassiner son compagnon en engageant son beau-fils comme tueur à gages... puis, le meurtre n'arrivant pas, elle et sa fille sont allées au commissariat le dénoncer pour escroquerie. Tous les trois ont été arrêtés.

    L'histoire, révélée par la police de Madrid dans un communiqué, est digne d'un scénario de Pedro Almodovar. Mi-juin, cette femme est allée avec sa fille déposer deux plaintes pour escroquerie: l'une contre son compagnon, et l'autre contre son beau-fils qu'elle avait chargé, sans succès, d'assassiner le premier.

    Une avance de 7.000 euros

    Selon sa déposition, son partenaire l'avait, au fil de multiples arnaques, dépouillée de plus de 60.000 euros. Lorsque sa fille, indignée, a raconté cela à son propre compagnon, celui-ci lui a proposé de les venger, affirmant qu'il travaillait pour les services secrets.

    Il leur a demandé une avance de 7.000 euros pour assassiner l'arnaqueur, proposant ensuite de vendre ses organes pour récupérer les 60.000 euros. Ce qu'elles ont accepté et mis noir sur blanc dans un contrat.

    Mais le meurtre tardant à se produire, elles sont allées porter plainte. Les policiers les ont arrêtées, de même que le prétendu agent secret. Les trois ont été remis à la justice et accusés d'incitation à commettre un assassinat. «Les enquêteurs ont pu constater que l'individu dont ils avaient projeté l'assassinat se trouvait en parfaite santé», conclut la police.

    Paris Match


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  • Un homme se tire une balle dans la tête en jouant à la roulette russe à Sanary

    Ce jeudi, aux alentours de 5 heures, un homme a été retrouvé mort en centre-ville.

    Selon nos informations, deux hommes, serveurs dans un bar sur le port, fortement alcoolisés, auraient joué à la roulette russe (1)

    L'un d'eux, âgé de 34 ans, se serait mortellement blessé à la tête. A l'arrivée de la police, l'individu était décédé.

    Le second serveur, actuellement en dégrisement, devrait être prochainement placé en garde à vue afin d'être entendu sur les circonstances exactes du décès.

    Le commissariat de Sanary est en charge de l'enquête.


    1. Jeu de hasard potentiellement mortel consistant à mettre une balle dans le barillet d'un révolver, à tourner ce dernier de manière aléatoire (assez vite pour qu'on ne puisse pas suivre l'emplacement de la chambre chargée), puis à pointer le revolver sur sa tempe avant d'actionner la détente.


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  • Et maintenant Agnès Thill réclame de l’argent à la République En Marche

    Exclue mercredi de la République En Marche après une série de dérapages homophobes, la députée anti-PMA Agnès Thill organise la contre-attaque. Face à une sanction qu’elle juge « scandaleuse », l’élue de l’Oise compte bien faire payer son ancien parti.

    Egalement expulsée du groupe LREM à l’Assemblée, la députée a sorti sa calculette. Dans un message posté ce jeudi après-midi sur Twitter, Agnès Thill interpelle directement le patron des députés macronistes Gilles Le Gendre pour réclamer la restitution de l’argent qu’elle a déjà versé au groupe jusqu’en septembre 2021. Au total, elle demande 10 800 euros.

    La députée de Beauvais avait notamment comparé la souffrance des femmes seules ayant recours à la PMA à celle de « drogués » ou évoqué l’existence d’un « puissant lobby LGBT » à l’Assemblée.

    Promesse du candidat Macron, l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples lesbiens et aux femmes seules est incluse dans le projet de révision des lois de bioéthique. Le texte doit être présenté en Conseil des ministres en juillet puis examiné par le Parlement fin septembre. Et ce, avec une « liberté de vote » pour les « marcheurs », a promis le délégué général de LREM Stanislas Guerini.

    Agnès Thill entend contester la procédure d’exclusion devant la justice.

    « Avoir été exclue d’un parti sectaire, c’est plutôt un honneur [...] Non seulement cela ne va pas me faire taire mais je vais encore plus parler », a ajouté jeudi l’ex-directrice d’école sur RMC.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 27 06 2019

    CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 27 06 2019

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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