• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 23 12 2018

     

    Bonne soirée


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  • L’imam de Toulouse mis en examen pour un prêche jugé antisémite

    Mosquée de Toulouse

    L’imam de Toulouse Mohamed Tataï a été mis en examen à la suite d’un prêche controversé en langue arabe soupçonné d’être antisémite, selon le parquet. Le chef de mis en examen n’a pas été précisé mais le parquet de Toulouse avait ouvert en septembre une information judiciaire pour « provocation à la haine » à son encontre.

    Le procureur de Toulouse, Dominique Alzeari, indiquait alors dans un communiqué « (qu') après avoir fait vérifier […] le contenu et les modalités de la diffusion du prêche », notamment avec une traduction certifiée, une information judiciaire avait été ouverte pour « provocation publique, par parole, à la haine ou à la violence en raison de l’origine, de l’ethnie, la nation, la race ou la religion ». Cette enquête, ouverte également du chef de « provocation publique, au moyen de communication au public par voie électronique à la haine ou à la violence », a été confiée à deux magistrats.

    Elle vise à la fois l’auteur du prêche, appelé aussi Mohamed Tataiat, ainsi que ceux qui ont diffusé le propos sur internet, avait précisé le procureur lundi en marge de la rentrée solennelle du tribunal. Le parquet de Toulouse avait ouvert une enquête préliminaire après avoir reçu fin juin un signalement émanant du préfet de Haute-Garonne sur des « faits susceptibles de constituer le délit d’incitation à la haine ».

    L’imam évoque une mauvaise traduction

    Ce signalement visait une vidéo de décembre 2017 dans laquelle on voit l’imam de Toulouse prêcher en langue arabe et tenir des propos soupçonnés d’être antisémites. Selon le texte sous-titré en anglais, Mohamed Tataï déclare notamment : « (Le prophète Muhammad) nous a parlé de la bataille finale et décisive : le jugement dernier ne viendra pas jusqu’à ce que les Musulmans combattent les Juifs ». Après l’émoi provoqué par la diffusion de cette vidéo, l’imam avait invoqué une « traduction pas fidèle » qui « n’est pas le vrai sens du hadith » (texte religieux) qu’il cite dans la vidéo, où apparaît le logo de la chaîne Memri TV.

    Mi-juillet, le recteur de la Grande mosquée de Paris (GMP) Dalil Boubakeur avait finalement condamné et regretté « vivement les propos totalement incongrus » de Mohamed Tataï après une première réaction jugée trop timide par le maire de Toulouse, Jean-Luc Moudenc, qui avait réclamé des clarifications.

    « L’imam a reconnu son erreur et les conséquences aussi néfastes que toxiques de cette citation », a déclaré le recteur de la GMP dans un courrier adressé au maire. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) avait également fait un signalement à la justice.

    Le Parisien

     


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  • Voici un reportage sur les fraises que nous trouvons à bas prix dans nos supermarchés. Impact sur l'environnement, les travailleurs et la santé des consommateurs causé par cette culture hors-sol intensive en Andalousie.
    Capital une vidéo de M6 Web

     

    A ECOUTER ATTENTIVEMENT !

    Il faut boycotter tous les fruits (fraises) et les légumes (tomates) venant d'ESPAGNE !


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  • Breteuil : un chauffard fonce sur un groupe, deux blessés

    Cinq personnes ont été interpellées dans la nuit de vendredi à samedi pour tenter de comprendre pourquoi un chauffard a foncé dans un groupe dans le centre-ville.

    Que s’est-il passé à Breteuil, à 3 heures dans la nuit de vendredi à samedi ? Une rixe qui dégénère ? Un règlement de compte ? Un habitant excédé par le bruit ? L’enquête de la gendarmerie devra le déterminer. Pour une raison encore indéterminée, un chauffard a pris sa voiture, rue d’Amiens dans le centre-ville de Breteuil, pour foncer sur un groupe, blessant au passage deux personnes.

    Une des deux victimes, une jeune femme blessée très grièvement à la jambe, a été transportée à l’hôpital d’Amiens. Son pronostic vital n’est pas engagé. Cinq personnes ont été placées en garde à vue et sont ce samedi matin en cellule de dégrisement. Les constatations sont en cours et les auditions vont commencer. Les gendarmes espèrent lever le voile « sur les circonstances encore très floues de cet incident » et démêler « le faux du vrai des premières déclarations des différents protagonistes ».

    Le Parisien


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  • Indonésie: 168 morts et dizaines de disparus après un tsunami

    Le tsunami a surgi après une éruption volcanique et a déferlé sur les côtes méridionales de Sumatra, à l'ouest de l'île de Java.

    Plus de 168 personnes ont été tuées et des centaines blessées lorsqu'un tsunami a soudainement déferlé samedi soir sur les rives du détroit indonésien de la Sonde à la suite d'une éruption volcanique, semant la panique parmi les touristes et les habitants.

    Des centaines de bâtiments ont été emportés par la vague, qui a déferlé sur les côtes méridionales de Sumatra et l'extrémité occidentale de l'île de Java aux alentours de 21h30 (14h30 GMT). La vague a surgi après l'éruption du volcan connu comme "l'enfant" du légendaire Krakatoa, l'Anak Krakatoa, selon Sutopo Purwo Nugroho, porte-parole de l'agence nationale de gestion des catastrophes.

    Des images vidéo dramatiques publiées sur les réseaux sociaux montrent un mur d'eau qui s'abat sur un concert en plein air donné par le groupe pop "Seventeen". Ses membres sont projetés hors de la scène par la vague qui se propage parmi les spectateurs. Dans un post sur Instragram, le chanteur du groupe Riefian Fajarsyah peine à contenir son émotion en annonçant la mort du bassiste et de l'organisateur des tournées des musiciens.

     Sur des images de la télévision, on voit que la vague a traîné sur la plage de Carita, site touristique populaire de la côte ouest de Java, un amoncellement de détritus divers, plaques de toitures en ferraille ou morceaux de bois. Des arbres ont également été déracinés tandis que le sol est jonché de débris

    Erreur des autorités

    Selon les autorités, le tsunami a pu être déclenché par une marée montante anormale due à la nouvelle Lune, conjuguée à un glissement de terrain sous-marin provoqué par l'éruption de l'Anak Krakatoa, petite île du détroit de la Sonde qui sépare Java et Sumatra. "La combinaison (des deux facteurs) a causé un tsunami soudain qui a frappé les côtes", a expliqué M. Nugroho, ajoutant que l'agence géologique indonésienne menait une enquête pour savoir ce qui s'est passé exactement.

        

    Des vidéos postées sur les réseaux sociaux par le porte-parole montrent des habitants paniqués armés de lampes de poche en train de prendre la fuite pour se réfugier sur les hauteurs.

        

    Les autorités indonésiennes avaient dans un premier temps déclaré que la vague n'était pas un tsunami mais une marée montante, et avait appelé la population à ne pas paniquer. "C'était une erreur, nous sommes désolés", a écrit par la suite M. Nugroho sur Twitter. Bien que relativement rares, les éruptions volcaniques sous-marines peuvent causer des tsunamis, selon le centre d'information international des Tsunamis.    

    Panache de cendres

    Selon le Centre indonésien de la volcanologie et de la gestion des risques géologiques, l'Anak Krakatoa montrait des signes d'activité renforcée depuis une semaine. Une éruption survenue peu avant 16h00 a duré environ 13 minutes, envoyant à des centaines de mètres dans le ciel un épais panache de cendres.

    L'Anak ("enfant" en indonésien) est une petite île volcanique qui a émergé des eaux un demi-siècle après l'éruption meurtrière du Krakatoa de 1883. C'est l'un des 127 volcans actifs d'Indonésie. Lorsque le Krakatoa était entré en éruption au 19e siècle, une immense colonne de fumée, de pierres et cendres s'était dressée dans le ciel à 20 km de hauteur, plongeant la région dans l'obscurité et déclenchant un puissant tsunami. Environ 36.000 personnes avaient trouvé la mort.

        

    L'Indonésie, archipel de 17.000 îles et îlots qui s'est formé par la convergence de trois grandes plaques tectoniques (indo-pacifique, australienne, eurasienne), se trouve sur la ceinture de feu du Pacifique, zone de forte activité sismique. Le 28 septembre, un tremblement de terre de magnitude 7,5 et le raz-de-marée qui a suivi avait dévasté la ville de Palu, située sur la côte ouest des Célèbes, et ses environs, faisant au moins 2.073 morts. Mais 5.000 autres personnes sont toujours disparues, la plupart enterrées sous les décombres de bâtiments détruits.    

    BFM.TV


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  • Quand je clique en haut à droite sur le rouge il sort l'image ci-dessous

    Puis encore ce cadre :

    Cela fait plusieurs mois que j'ai ce problème, impossible d'effacer ces cadres. Je devais éteindre ma tour soit internet et rallumer.

    Mais ce matin, à peine je rallumais que j'avais à nouveau les cadres.

    Alors, j'ai tout éteint, ma live box aussi et j'ai pu revenir.

    Je vais devoir faire venir un informaticien, je vais téléphoner  demain.

    Heureusement que j'avais fait des copies d'écran !

     

    Donc, si je disparais, vous saurez pourquoi !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 23 12 2018

     

    Je vous souhaite un bon dimanche

     

     


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  • Une personne est morte et quatre autres ont été gravement blessées dans un accident de la route survenu vendredi soir, dans l’Orne. La particularité de ce drame, qui s’est produit sur la commune de Réveillon, est qu’un véhicule de gendarmerie est impliqué, rapporte France bleu.

    Vers 19 heures, les militaires se sont lancés à la poursuite d’une voiture volée, qui circulait phares éteints sur le D938. Sans que les circonstances soient encore précisément établies, une collision a eu lieu entre les fuyards et les gendarmes, impliquant deux autres voitures. C’est une passagère d’un de ces deux autres véhicules qui est morte.

    Trois gendarmes appartenant à la brigade de Mortagne-au-Perche ont été gravement blessés. Un autre homme est également grièvement blessé. Une enquête est ouverte.

    Le Parisien


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 22 12 2018

     

    BONNE SOIREE


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  • Emmanuel Macron au Tchad : une faute morale et politique

    © Laurent TROUDE Mahamadou Issouffou (président du Niger), Idriss Déby (président du Tchad) et Emmanuel Macron lors d'un sommet des chefs de gouvernement, le 28 août 2017 au Palais de l'Elysée.

     

    Le chef de l'Etat, qui se rendra à N'Djamena ce samedi et dimanche, doit cesser tout pacte avec le président tchadien Idriss Déby et, plus généralement, avec l’ensemble des tyrans d’Afrique francophone, coupables d'atteintes répétées aux droits de l'homme.

    Tribune.

    Ce week-end, Emmanuel Macron sera au Tchad. Il rendra visite aux soldats hexagonaux de la force Barkhane, dont la majorité des 4 500 hommes sont stationnés à N’Djamena, la capitale tchadienne. Ce sera certainement beau, ce sera on ne peut plus émouvant. Il y aura des discours plein de mots pompeux, des levers de drapeaux et des Marseillaises chantées la gorge étreinte d’émotion. Il y aura un arbre de Noël constellé de la poussière du Sahel, des repas partagés au mess, dans une simple gamelle, des rires francs et des poignées de mains viriles, beaucoup de poignées de mains et aussi quelques franches accolades. Personne ne peut décemment reprocher à un président de rendre visite à ses troupes déployées à l’étranger et qui, quelle que soit la légitimité de leur présence, mènent des opérations difficiles, entre éloignement, réduction de moyens et menaces sans cesse renouvelées.

    Mais il est une France en laquelle nous croyons, une France qui, exempte de tout néo-colonialisme ou paternalisme, demeurerait «une figure secourable pour tous les Hommes», comme l’écrivait André Malraux. Et cette France qui nous est chère ne tolérera jamais une autre poignée de main, celle qu’ira donner samedi prochain Emmanuel Macron à Idriss Déby, au pouvoir au Tchad depuis 28 longues années. Selon le magazine The Economist, Idriss Déby est le pire dictateur du continent africain. Il a pourtant de très sérieux challengers, entre Omar el-Béchir et Denis Sassou-Nguesso. Mais qu’importe, il trône au sommet de ce classement sinistre, régnant en maître sur un pays perclus de peurs et de misères.

    Enlèvements et exécutions

    Toutes les organisations de défense des droits de l’homme, d’Amnesty International à la FIDH, ont unanimement condamné le régime tchadien pour ses atteintes répétées aux droits de l’homme. En 2008, le leader de l’opposition démocratique, le professeur de mathématiques à l’université d’Orléans, Ibni Oumar Mahamat Saleh, a été enlevé à son domicile par la garde présidentielle de Déby. Nous sommes restés sans nouvelles de lui depuis lors. En 2016, plus de 40 militaires ont été nuitamment exécutés. Leur seul tort ? Avoir voté aux élections présidentielles pour un autre candidat que le satrape local, le vote s’effectuant sans isoloir. A l’occasion de ces mêmes élections, des leaders de la société civile, dont le secrétaire général de la Convention tchadienne pour la défense des droits de l’homme, Mahamat Nour Ibedou, ont été arbitrairement arrêtés et détenus sans inculpation pendant d’interminables semaines. A l’heure actuelle, une répression féroce se déroule contre les populations de l’extrême Nord du pays, coupables d’avoir réclamé leur dû dans l’exploitation de l’or dont regorge le sous-sol de leur région, le Tibesti.

    Le Tchad est béni des dieux, pourtant. Le pétrole coule à flots nourris au Sud et des centaines de milliers de têtes de bétail empruntent chaque année les couloirs de transhumance, dégageant un nuage de poussière qui bientôt, pour les éleveurs, se changera en espèces sonnantes et trébuchantes. Toutefois, ce pays, qui a vu naître le premier Homme, Toumaï, se traîne dans les bas-fonds des classements internationaux en matière de développement (186e sur 189 à l’indice de développement humain de l’ONU). La faute à une captation systématique de la richesse produite par l’élite au pouvoir, au détriment de l’immense majorité de la population. Pendant la quasi-totalité de l’année 2018, une grève générale a secoué le pays, les fonctionnaires protestant contre la réduction de leur salaire de 10 % à 40 % et la corruption endémique. Et les élèves ne purent se rendre en classe pour étudier, et les malades rentrèrent mourir chez eux, faute d’hôpitaux fonctionnels pour les soigner.

    Laboratoire de la Françafrique

    Le Tchad a toujours été le laboratoire de la Françafrique. Déjà, dans les années 80, l’Etat français a soutenu sans réserve Hissène Habré dans sa guerre contre la Libye, se rendant complice des exactions de masse que le dirigeant tchadien faisait subir à sa propre population. Les services de la DGSE ont favorisé l’accession au pouvoir d’Idriss Déby en 1990 et, depuis lors, il a été ardemment soutenu, jusqu’au plus haut sommet de l’Etat. A deux reprises, en 2006 et en 2008, les hélicoptères de l’armée française sont intervenus pour mettre en déroute des rebelles qui menaçaient le palais présidentiel. Malgré sa promesse de rompre avec la Françafrique, François Hollande a rendu visite à Déby en 2014. Son ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, aujourd’hui ministre des Affaires étrangères d’Emmanuel Macron, a même qualifié le dictateur tchadien d'«ami personnel», interrompant ses vacances pour se rendre à son investiture après les élections présidentielles de 2016. Certes, l’armée du pays de Toumaï a été d’un grand secours dans la lutte contre les jihadistes au Mali, se battant vaillamment contre Aqmi et subissant de lourdes pertes. Il n’empêche : la nécessaire lutte contre le terrorisme islamiste au Sahel ne peut être, pour Déby et les autres dictateurs de la région, un blanc-seing pour opprimer leur peuple. Car, depuis l’apparition de la menace terroriste, les droits de l’homme et la bonne gouvernance sont sacrifiés sur l’autel de la politique du tout-sécuritaire. Or, le principal terreau de la haine ne sera jamais rien d’autre que la misère. Si Boko Haram a fait de la région du lac Tchad un de ses bastions, c’est en raison de l’extrême pauvreté qui y règne. A cause de la disparition de 90 % de la surface du lac et de l’absence de toute politique étatique, les pêcheurs kanouri, n’ayant plus de poissons à pêcher, finissent par se jeter dans les bras des jihadistes.

    La visite d’Emmanuel Macron au Tchad ne nous paraît donc pas opportune, d’autant qu’elle intervient en plein mouvement des gilets jaunes. Elle n’honore ni la France ni ses principes qui ont fait d’elle un «soldat de l’idéal», à mille lieues de toute realpolitik. Il est de notre devoir de s’interroger sur des éléments pour le moins troublants qui entourent ce déplacement présidentiel. Tout d’abord, le séjour à N’Djamena début décembre d’Alexandre Benalla, qui a rencontré le frère d’Idriss Déby, Oumar Déby, directeur de la Direction générale de la réserve stratégique, chargée des achats d’armes. Ensuite, un prêt de 40 millions d’euros et un don de 10 millions ont été consentis par l’Elysée au Tchad il y a quelques jours, afin que le régime puisse payer le salaire des fonctionnaires pour le mois de décembre. Quand on sait le degré de corruption qui règne au sommet de l’Etat, il n’est pas dit que cet argent public bénéfice directement aux populations. Enfin, la Centrafrique, plongée au cœur des ténèbres depuis 2012, sera au menu des discussions entre Macron et Déby. Or, le Tchad a joué un rôle plus que néfaste dans la crise centrafricaine, armant et soutenant ouvertement la Seleka, une horde de mercenaires qui a semé et sème encore le chaos, alimentant les tensions interconfessionnelles tout en pillant les richesses du sous-sol.

    Nous appelons donc Emmanuel Macron à cesser ce pacte de Faust avec Idriss Déby et, plus généralement, avec l’ensemble des tyrans d’Afrique francophone. Par ailleurs, nous demandons à ce que l’opération militaire Barkhane au Sahel, la plus grande OPEX française, fasse l’objet d’une évaluation afin de déterminer si son action est véritablement efficace contre le terrorisme islamique ou, si en plus de poser un évident problème de souveraineté, elle permet le maintien au pouvoir d’autocrates qui n’ont cure de la souffrance de leur peuple.

    Autres signataires : François Ruffin, député La France insoumise de la Somme, membre du groupe d’amitié France-Tchad à l’Assemblée nationale ; Michèle Rivasi, députée européenne écologiste, vice-présidente de la délégation Afrique/Caraïbes/Pacifique ; Clément Boursin, défenseur des droits de l’homme ; Julie Dénès, auteure, cofondatrice de l’ONG Diplo 21 ; Yannick W. J. Nambo, auteur, consultant, cofondateur de l’ONG Diplo 21.

    Libération

    Honte à la France et à Macron !


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  • Le gavage sans souffrance n'existe pas

    CES SOUFFRANCES SONT INTOLERABLES !

    Chaque année, 35 millions de canards sont enfermés en cages et gavés de force pour produire un foie disproportionné.

    Le gavage est un acte violent qui consiste à enfoncer 2 fois par jour un tube de 30 centimètres dans l’œsophage afin de déverser dans son jabot 450 grammes de nourriture en l’espace de 3 secondes…

    L’animal halète, régurgite, suffoque.

    Problèmes digestifs et respiratoires, difficultés à marcher, lésions de l’œsophage : le taux de mortalité durant le gavage est 10 à 20 fois supérieur à la normale.

    Sans parler des 35 millions de canetons femelles éliminés dès la naissance, car jugés moins rentables pour la production de foie gras.

    Mutilations, maltraitances, claustration, maladies, élimination par broyage dès la naissance.

    Plus d’1 milliard d’animaux sont élevés et abattus chaque année en France.

    La majorité d’entre eux subissent ces traitements cruels !


    Le gavage, une exception culturelle bien française ! 

    Interdit dans 12 pays d’Europe, le gavage est toléré en France au titre d’exception culturelle…

    Pire : pour porter l’appellation « foie gras », un foie doit être issu du gavage et peser plus de 300g, c’est la règlementation française qui l’impose.

    Ces exigences freinent le développement de méthodes de production alternatives.

    En 2017, la France produisait ainsi 11 400 tonnes de foie gras.

    Dans le cadre de sa campagne #ZeroFoieGras, Welfarm demande :

    - aux parlementaires de s’emparer de la question et de modifier la loi afin de supprimer cette spécificité française ;

    - aux consommateurs à s’engager à ne consommer ni foie gras, ni magret, ni confit de canard sur le site

    Enfin, Welfarm recommande de n’acheter aucune sorte de foie gras, pas même ceux portant le label Rouge, puisque les canards sont gavés comme les autres. Le label Biologique, quant à lui, interdit l’alimentation forcée des animaux. C’est pourquoi le foie gras bio n’existe pas.

    Wellfarm - Clic Animaux 

    Le gavage sans souffrance n'existe pas

    Le gavage sans souffrance n'existe pas

    Le gavage sans souffrance n'existe pas

     

    Le gavage, une exception culturelle bien française  comme la corrida et les combats de coqs,  pays de merde !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - SAMEDI 22 12 2018

     

    Je vous souhaite une bonne journée


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 21 12 2018

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • Je l'ai déjà mise mais elle est trop bien !


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  • Opération pièces jaunes 2019 : Bernadette Chirac fait une rare apparition publique et pose avec... Didier Deschamps !

    Opération pièces jaunes 2019 : Bernadette Chirac fait une rare apparition publique et pose avec... Didier Deschamps ! 

    L'emblématique présidente de l'opération sera au rendez-vous des 30 ans et peut compter sur le sélectionneur des Bleus pour promouvoir cet événement.  

    Comme chaque année depuis 30 ans, l'opération Pièces Jaunes revient en début d'année 2019 et permettra de financer les projets d'équipes hospitalières des services pédiatriques. Celle à venir prendra une tournure particulière, puisqu'elle marque un anniversaire symbolique : trois décennies de dons et de générosité. Elle sera lancée le mercredi 9 janvier à l'hôpital Necker à Paris, et sera inaugurée par des visites de prestigieux parrains et donateurs. Les enfants hospitalisés partageront une galette des Rois avec le sélectionneur de l'équipe de France, Didier Deschamps, figure de proue de l'association. Ils auront également le droit à des shows musicaux de Kendji Girac et Vegedream, et aux prouesses culinaires du chef pâtissier de renom Pierre Hermé.

    Tout citoyen français pourra par ailleurs apporter sa contribution en faisant un don via les tirelires mises en place partout sur le territoire, les SMS ou le site Internet piècesjaunes.fr. "Les objectifs que nous nous étions fixés étaient de rapprocher les familles, de développer les loisirs, d'améliorer l'accueil et le confort et d'embellir le cadre de vie des jeunes patients. Ces champs d'action sont plus que jamais d'actualité", explique dans un communiqué la présidente des Pièces Jaunes, Bernadette Chirac. 

    A l'occasion de l'annonce de l'événement à venir, elle a d'ailleurs été immortalisée aux côtés de Didier Deschamps. Celui-ci se tient derrière elle et pose son bras sur son épaule, en guise de grande complicité. Quant à la femme de l'ancien président de la République, elle apparaît en fauteuil roulant et visiblement amoindrie, mais somme toute ravie du soutien de taille sur lequel elle peut compter. Une apparition rare, tant elle s'est tenue éloignée des projecteurs ces derniers mois. Pour rappel, elle n'était pas présente au lancement de l'opération il y a un an.

    Télé-Loisirs.fr

    Mme Chirac est née le  18 mai 1933 (Âge: 85 ans),


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  • Perpétuité requise contre un père incestueux pour un double meurtre

     Ouverture du procès de Denis Mannechez (caché sur la droite) devant la cour d'assises d'Evreux pour le meurtre de sa fille, mère de son fils, le 3 décembre 2018

    La réclusion criminelle à perpétuité a été requise mardi devant la cour d'assises de l'Eure contre Denis Mannechez, 56 ans, pour le meurtre en 2014 de sa fille et ex-compagne, et celui d'un garagiste qui hébergeait la jeune femme.

     

    Les "menaces de mort" à l'encontre de sa fille qui l'avait quitté pour "accéder à une vie normale", "l'acharnement à la retrouver", "sa décision de prendre l'arme chargée dans sa main, tout cela caractérise la préméditation. Le meurtre de Virginie, c'est un assassinat", a estimé lors des ses réquisitions l'avocat général Étienne Laguarigue De Survilliers.

    La cour rendra se décision mercredi après un peu plus de deux semaines de procès.

    "M. Mannechez ne supporte pas que sa fille, son esclave, sa chose, ne soit plus sous sa coupe", a ajouté le magistrat.

    L'homme va utiliser comme alibi de récupérer le fils qu'il a eu avec sa fille pour se rendre sur le lieu du crime, à Gisors (Eure). Le jeune homme, aujourd'hui âgé de 16 ans, est partie civile, de même que les deux frères et les deux sœurs de Virginie Mannechez.

    "Aux racines du mal, il y a la maltraitance des enfants, les viols, les menaces, l'emprise qu'il exerçait sur eux", a aussi dénoncé M. Laguarigue De Survilliers.

    Denis Mannechez est poursuivi pour "homicide volontaire avec préméditation" sur sa fille, Virginie, qui était âgée de 33 ans, et pour le meurtre de l'employeur de la jeune femme, le gérant d’un garage automobile de 31 ans.

    Lundi l'accusé, qui a perdu l'usage de la parole à la suite d'une tentative de suicide le jour des faits, le 7 octobre 2014, a demandé, par la voix du président de la cour, pardon aux victimes. "Je vous présente mes excuses et mes profonds regrets", a-t-il fait dire.

    Durant le procès il a répondu aux questions soit par un signe de la main soit avec une tablette tactile, les réponses s’affichant sur des écrans.

    Denis Mannechez a déjà été condamné en appel en 2012 à cinq ans de prison, dont trois avec sursis, pour des viols commis sur deux de ses filles dont Virginie. Leur mère avait été condamnée pour complicité.

    Après sa sortie de prison fin 2013, Denis Mannechez a vécu en couple avec sa fille Virginie et leur enfant jusqu'à ce que, quelques semaines avant les faits, la jeune femme quitte le domicile et coupe toute relation avec son père.

    AFP

    Ce mec mérite la peine de mort


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  • Le voici entre les mains de la police française. Peter Chérif, l'homme soupçonné d'être le commanditaire de l’attentat de "Charlie Hebdo" en janvier 2015, a été arrêté, révèle le site de "Marianne" ce jeudi soir, citant une source gouvernementale. L'information a été confirmée par "Le Parisien".

    Peter Chérif a été arrêté à Djibouti. Il était en fuite depuis 2011.

    Le Français est surtout connu sous le pseudonyme d’Abou Hamza. Agé de 36 ans, il fait partie de la filière des Buttes-Chaumont. Ancien combattant en Irak, il a été détenu par les Américains.

    Il a ensuite rejoint les rangs d’Al-Qaïda au Yémen. Il y fait venir les frères Kouachi, les auteurs de l'attentat contre l'équipe de "Charlie Hebdo", qui a fait au total douze morts, dont un agent de sécurité et un policier.

    L'OBS

    On devrait remettre la peine de mort, ça éviterait des frais à l'Etat !


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  • Six mineurs âgés de 14 à 16 ans ont été interpellés, soupçonnés d'être impliqués dans plusieurs vols ou extorsions commis avec la circonstance aggravante d'"antisémitisme" dans un quartier de Sarcelles (Val-d'Oise) où vit une importante communauté juive, a appris l'AFP jeudi de sources concordantes.

    Une information judiciaire a été ouverte à l'encontre des mineurs, à la suite de "dix faits d'extorsion ou de vol" commis ces trois dernières semaines dans le quartier dit de la "Petite Jérusalem", a indiqué le parquet de Pontoise.

    Le parquet a retenu la circonstance aggravante de faits commis "en raison de l'appartenance à une religion", compte tenu du lieu où ils se sont déroulés et du port apparent de signe religieux de plusieurs victimes.

    Selon une source proche de l'enquête, les mineurs, qui agissaient à deux ou en groupe, sont soupçonnés d'avoir volé des téléphones ou des sacs à mains à leurs victimes dans la rue.

    La dernière agression remonte à lundi. Vers 19H00, une jeune femme de 20 ans avait été agressée par deux adolescents. Selon son témoignage recueilli par la police, ils lui avaient donné un coup de poing avant d'arracher son sac à main et de proférer des insultes antisémites.

    Le maire de la ville Patrick Haddad (PS) avait condamné une agression "lâche et ignoble". "Nous ne laisserons rien, ni personne, briser ce qui constitue à la fois notre histoire, notre modèle et notre projet", avait ajouté l'édile de cette ville multiculturelle au nord de Paris.

    Selon leur âge, leur passé et le nombre de faits qui leur sont reprochés, le parquet a requis le placement en détention provisoire pour l'un des mineurs, le placement en centre éducatif fermé pour quatre autres et sous contrôle judiciaire pour le dernier, avec notamment interdiction de revenir dans le quartier.

    "Les investigations se poursuivent pour identifier l'ensemble des auteurs présumés", a ajouté le parquet.

    AFP


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