• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 27 12 2018

     

    BONNE SOIREE


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  • François Veillerette, directeur de Générations futures, déplore mardi sur franceinfo "l'attitude incompréhensible" du gouvernement, qui ne suspend pas cet additif notamment utilisé dans les bonbons.

     

    Il faut accroître les connaissances et, dans l'attente, retirer le produit du marché", a estimé mardi 25 décembre sur franceinfo, François Veillerette, directeur et porte-parole de Générations futures, à propos du dioxyde de titane, connu sous l'appellation E171.

    Plusieurs associations ont demandé au gouvernement, dans une tribune publiée la veille dans le quotidien Le Monde (sur abonnement), de suspendre cet additif alimentaire controversé, utilisé notamment dans les bonbons.

     

    Un arrêté ministériel exigé pour appliquer la loi

     

    Alors qu'en juin dernier, les confiseurs français qui utilisent l'E171 se sont engagés à bannir son usage et qu'à l'automne une loi a été votée par les parlementaires, l'arrêté ministériel n'est toujours pas pris. "Apparemment, le ministre s'y refuse au motif qu'il y aurait une incertitude sur la dangerosité du produit mais c'est justement parce qu'il y a une incertitude sur la dangerosité du dioxyde de titane que cette suspension a été votée", s'est désolé François Veillerette, jugeant "l'attitude" du gouvernement "incompréhensible" et "inacceptable".

     

    Un produit suspect toujours sur le marché

     

    D'après le directeur de Générations futures, le retrait du produit, par précaution, s'impose, "d'autant plus qu'il n'a aucune utilité pour la conservation des aliments, c'est juste pour l'esthétique". "On ne peut pas aujourd'hui garder un produit sur le marché qui est suspect, l'attitude du ministère est totalement incompréhensible", a-t-il affirmé.

    S'il y a du côté des industriels "un mouvement de retrait volontaire", on "ne peut pas s'en remettre à leur bonne volonté éventuelle", a estimé le militant qui reste pantois face à l'attitude du gouvernement. "La loi peut permettre de régler le problème globalement. D'ailleurs la loi a été votée, c'est complètement ubuesque, on a un ministère qui refuse qu'elle soit appliquée, c'est complètement inacceptable", a conclu François Veillerette.

    franceinfo

    Il faut croire que l'Etat se moque autant de la santé des gens que de leur situation financière !


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  • Pendant quelques jours, nous avons le même âge, 81 ans,  mais le 9 janvier, je vais te laisser ! (rire). Gros bisous

    Et Bravo de continuer ton blog malgré ton handicap. Merci pour tes belles créas.


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  • Ces photos de la première dame fournies par l'agence Bestimage ont-elles été retouchées ? En tout cas, elles ont été refusées par une grande agence de presse. Extrait de "Complément d'enquête".

    Parmi les photographes venus immortaliser la rencontre à Paris, l'été 2017, des couples présidentiels français et américain, celui de Bestimage. C'est l'agence de Michèle Marchand, la patronne de presse qui a pris le couple Macron sous son aile. Son photographe couvre l'événement pour toutes les agences françaises. Extrait de "Complément d'enquête".

    Au même moment, à l'autre bout de Paris, l'agence de presse Abaca attend avec impatience les photos des First ladies prenant la pose sur la Seine. Mais elles tardent à arriver. "On les a attendues, attendues... Ce n'était pas très clair, explique Jean-Michel Psaïla, le directeur. Ensuite, l'agence Bestimage, qui travaille avec la première dame, nous a dit clairement : 'Il nous faut le temps de retoucher les images'..."

    Deux clichés semblables... et différents

    Retoucher les images ? Elles ne l'ont pas été, jure Mimi Marchand (qui a refusé la demande d'interview de "Complément d'enquête"), mais simplement "validées" par les premières dames. Pourtant, sur le cliché de Bestimage, Brigitte Macron a l'air d'avoir dix ans de moins que sur celui d'un autre photographe...

    Dans le doute, Jean-Michel Psaïla a refusé les photos de Bestimage. Il juge le procédé "inadmissible et incorrect". "En tant qu'agences de presse, nous sommes les témoins de l'actualité, mais aussi de l'Histoire. Il y a une déontologie à respecter. Si on se mettait à retoucher les images, pourquoi pas celle du président ? On aurait aussi pu ajouter dix centimètres à Nicolas Sarkozy pour qu'il paraisse plus grand... Ça ne se fait pas !"

    franceinfo

     


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 27 12 2018

     

    Passez une bonne journée


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  • La Plagne : un enfant sauvé après quarante minutes sous une avalanche

    Âgé de 12 ans, le garçon venait de quitter une piste balisée de la station savoyarde en compagnie de ses parents lorsqu'il a été emporté par la neige.

    C’est un « miracle de Noël ». Un enfant a été retrouvé vivant mercredi après avoir passé quarante minutes enseveli sous une avalanche qui l'avait emporté alors qu'il skiait sur un secteur hors piste de la station de La Plagne (Savoie). Âgé de 12 ans, le garçon venait de quitter une piste balisée de la station en compagnie de ses parents lorsqu'il a été emporté peu après 14 heures par une coulée de 150 mètres sur 200 mètres.

    L'enfant a été retrouvé conscient une quarantaine de minutes plus tard par un chien des secouristes de le PGHM de Courchevel, qui sont intervenus en relais des pisteurs de la station, arrivés sur place peu après l'accident pour sonder la neige.

    Une jambe cassée

    « C'est un miracle car il ne portait pas de détecteur de victimes d'avalanches (DVA). Les chances de survie sont infimes après quinze minutes sous la neige. Il a eu beaucoup de chance que le chien ait marqué à un endroit », ont souligné les secours. Le jeune garçon s'en tire avec une jambe cassée. Il a été transporté à l'hôpital de Grenoble où il a été placé en observation.

    Le Parsien

    Merci à ce brave CHIEN !

    Crétins de parents ! 


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 26 12 2018

     

    BONNE SOIREE


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  • Italie: le frère d'un repenti de la mafia exécuté en pleine rue

    Un Calabrais de 51 ans, frère d'un repenti de la mafia, a été exécuté en pleine rue le jour de Noël dans le centre historique de la tranquille ville portuaire italienne de Pesaro (centre est).

    Selon des sources policières et judiciaires citées mercredi par la presse, l'homme était placé sous protection de l'Etat depuis que son frère, un ex-membre de la 'Ndrangheta (mafia calabraise), avait collaboré avec la justice italienne.

    Criblé de balles

    Mardi vers 18h30 locales, Marcello Bruzzese a été criblé de balles de calibre 9 mm par deux hommes aux visages dissimulés.

    Les tueurs, qui se sont enfuis à pied, ont attendu qu'il gare sa voiture sous le logement où il habitait depuis trois ans avec sa femme et ses deux enfants. Ils l'ont immédiatement tué dans l'habitacle de son véhicule.

    La victime avait été grièvement blessé dans sa jeunesse en 1995, dans sa Calabre natale, au cours d'une embuscade qui avait coûté la vie à son père et à l'époux de sa soeur.

    Règlement de compte

    Son frère Girolamo Bruzzese, dit "Mommo", s'était livré à la police en 2003 après avoir tiré sur le puissant chef de clan calabrais Teodoro Crea dont il était un homme de confiance, détaille le journal Il Fatto Quotidiano

    Teodoro Crea, originaire de la commune de Rizziconi et à la tête de l'un des clans les plus sanguinaires de la région du port de marchandises de Gioa Tauro, s'était remis de ses blessures. 

    "Mommo" Bruzzese (dont le père avait déjà été le bras droit de Teodoro Crea) avait révélé à la justice des secrets du clan, notamment ses liens avec des entrepreneurs ou des hommes politiques locaux, ce qui avait conduit à des arrestations. 

    Les enquêteurs devront encore confirmer l'hypothèse extrêmement probable d'un règlement de compte par des membres du crime organisé. Ils devront aussi déterminer comment les tueurs ont pu retrouver la trace de leur cible.

    BFM.TV


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  • Finistère : un homme se fait tatouer le visage du député Jean Lassalle

    Ce Breton a voulu rendre hommage au "côté humain" de l'ancien candidat à la présidentielle, notamment après son geste de soutien aux "gilets jaunes" à l'Assemblée nationale.

     

    Un Breton, vivant à Landivisiau dans le Finistère, s'est fait tatouer sur le mollet un portrait du député des Pyrénées-Atlantiques, Jean Lassalle, a rapporté mardi 25 décembre France Bleu Béarn. Il a décidé de se faire tatouer ce dessin car il apprécie l'ancien candidat à l'élection présidentielle et ses coups d'éclat. Il a voulu rendre hommage "au côté humain" du député, notamment après son geste de soutien aux "gilets jaunes" à l'Assemblée nationale.

     

    Pas de message politique

    "Le bonhomme me paraît sympathique, explique-t-il. Par exemple, quand il s'est mis à chanter à l'Assemblée nationale, ça m'a bien fait rire. C'est quelqu'un qui défend ses valeurs. Il n'y a pas de message politique dans ce tatouage, c'est le côté humain de Jean Lassalle qui me plaît". Le dessin du tatouage n'est pas inspiré d'une photo de Jean Lassalle, mais d'une caricature réalisée par le dessinateur polémique Marsault. C'est sa maison d'édition qui a mis la photo du tatouage sur Facebook, elle a été partagée des centaines de fois.

    franceinfo


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  • La France comptait 71 061 détenus au 1er décembre 2018, "un terrible record", selon l'Observatoire international des prisons

    Plus de 20 000 détenus "sont dans des prisons occupées à plus de 150%", ajoute l'Observatoire.

     

    "Un nouveau terrible record a été franchi le 1er décembre 2018", écrit l'Observatoire international des prisons (OIP) sur Twitter. Au total, les prisons françaises comptent 71 061 détenus, précise l'OIP, mercredi 26 décembre. Et "22 890 sont dans des prisons occupées à plus de 150%", ajoute l'Observatoire. L'OIP veut alerter sur les conditions de détention en France, citant les chiffres de la direction de l'administration pénitentiaire : 1 506 détenus dorment par terre et que le taux d'encellulement individuel est de 40%, "alors que c'est un droit inscrit dans la loi française depuis 1875".

    La France comptait 71 061 détenus au 1er décembre 2018, "un terrible record", selon l'Observatoire international des prisons

    franceinfo


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  • Eddie, une loutre championne de basket   - février 2013

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    Eddie, une loutre de mer devenue une sensation d'internet après avoir appris à jouer au basket-ball, a été euthanasiée jeudi en raison de son vieil âge, a annoncé à grand regret le zoo de l'Oregon.

    "A près de 21 ans, Eddie était considérée comme l'une des loutres de mer les plus vieilles --et les plus talentueuses-- de la planète", lui a rendu hommage le parc animalier de cet Etat du nord-ouest américain.

    Les loutres de mer mâles vivent rarement au-delà de 15 ans, mais Eddie avait définitivement quelque chose à part.

    Rescapé en 1998 au large des côtes californiennes alors qu'il n'était encore qu'un bébé, le petit mammifère, jugé incapable de survivre seul en milieu naturel, a été confié deux ans plus tard au zoo de l'Oregon.

    C'est là, après avoir développé de l'arthrite au niveau des coudes, qu'Eddie a été formé à la pratique du basket dans un cadre thérapeutique.

    Une vidéo le montrant enchaîner des dunks sur un petit panier de basket en plastique est devenue virale.

    Elle a été vue près d'1,8 million de fois sur YouTube depuis 2013, faisant d'Eddie, selon le très impartial zoo de l'Oregon, l'un des animaux les plus célèbres des internets.

    La santé déclinante du Michael Jordan des zoos, rattrapé par son vieil âge malgré l'exercice, a malheureusement poussé ses soigneurs à mettre fin à ses jours.

    AFP


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  • Auchan va ouvrir son premier supermarché sans caissiers ni vendeurs

    Auchan minute en Chine

    Auchan et d'autres supermarchés se préparent à la concurrence d'Amazon sur le marché de la grande distribution.

    C'est un concept déjà développé en Chine avec plus de 750 magasins. Son petit nom : Auchan minute. Le principe : des magasins sans caissiers, ni vendeurs. A partir de mars 2019, ce sera désormais possible à Villeneuve-d'Ascq. Encore en phase de test et dans un premier temps seulement réservé aux employés d'Auchan, les client, dès lors qu'ils seront équipés d'un smartphone, pourront faire leurs courses sans jamais voir un employé.

    Identifiés grâce à leurs téléphones sur lesquels ils scanneront les produits disposés en libre-service sur des containers de 18m2, ils pourront valider et payer en ligne leur panier virtuel. Un problème ? Une question ? France 3, qui rapporte l'information, précise qu'en cas de besoin, des conseillers à distance seront à disposition... par écrans interposés. Les employés chargés d'approvisionner les containers seront les seuls personnes physiques que l'on pourrait croiser dans ce magasin du futur. Mais ne seront pas là constamment.

    Menace sur l'emploi

    Ouvert 7j/7 et 24h/24, ce type de magasin serait un gain de temps pour le consommateur et une réponse immédiate à ses besoins, argue Auchan. 

    "Les nouvelles technologies devraient être là pour aider l'humain", a au contraire estimé Ludovic Vinchon, délégué central France Ouvrière chez Auchan France à France 3.

    "Les concepts totalement autonomes menacent fortement les emplois, déjà précaires, des caissiers. [...] La direction ne fait rien pour accompagner les employés dans la transition numérique du groupe. Au lieu de transformer les emplois, elle va lentement les supprimer…" 

    Dans un communiqué de novembre 2018 la direction d'Auchan a indiqué que l'impact sur l'emploi se limitera à la réduction d'une cinquantaine de postes, essentiellement d'encadrement, dans les fonctions d'appuis. 

    France 3 explique que ce concept, destiné à se généraliser si le test est concluant , est inspiré du modèle d'Amazon (qui a développé aux Etats-Unis des magasins sans caissiers ni vendeurs et sans même besoin de scanner les produits !) et vise à anticiper sa concurrence sur le marché de la grande distribution. 

    A Paris, Casino avait déjà ouvert en octobre 2018 tout près des Champs-Elysées, un premier supermarché sans caisse

    L'OBS


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  • Une retraitée recueille plus de 85.000 signatures pour l'augmentation des petites pensions

    "Mais s'il faut que j'aille à l'Elysée pour l'apporter, j'irai !" assure Francine Vergon, qui veut que les retraites soient indexées sur l'inflation.

     

    Francine Vergon, retraitée de 68 ans, vivant à Nancy (Meurthe-et-Moselle), est en colère. Elle vit avec une pension de 954 euros par mois. "Entre mon loyer, mon gaz, mon électricité, ma mutuelle ou encore ma nourriture... il me reste à peu près 100 euros par mois pour vivre", explique-t-elle à France-Bleu. Alors, forcément, elle soutient le mouvement des "gilets jaunes". 

    "Ma situation n'est pas florissante, mais je pense surtout aux retraités qui ont moins ou rien du tout.  Je connais des personnes avec 600 euros par mois qui font les poubelles. Moi, j'arrive encore à me débrouiller. Le jour où je n'y arriverai plus, j'ai encore mes enfants. Ma fille me propose parfois de me faire un plein de nourriture, mais je n'aime pas ça, j'ai aussi du respect pour moi."

    "Vivre un peu plus dignement"

    Le 17 décembre, elle a lancé une pétition en ligne pour demander au gouvernement l'indexation des retraites sur l'inflation. Au moment où nous écrivons ces lignes, elle a déjà recueilli plus de 85.000 signatures. "Les retraites n'ont plus été revalorisées depuis avril 2013 ce qui est scandaleux compte tenu de l'augmentation du coût de la vie", écrit-elle.

     

    "Tous ceux qui ont une pension de retraite de moins de 1.000 euros par mois sont les grands oubliés des mesures annoncées par Emmanuel Macron. Beaucoup d'entre nous ont du mal à finir le mois. Nous exigeons l'indexation des retraites sur l'inflation afin que tous puissent vivre un peu plus dignement !"

    La retraitée compte déposer sa pétition sur la table des députés locaux. "Mais s'il faut que j'aille à l'Elysée pour l'apporter, j'irai !" promet-elle.

    Par L'OBS    Publié le 26 décembre 2018 à 08h55

     


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  • La Corée du Sud chamboulée : tuer les chiens pour les manger est illégal

    La Corée du Sud chamboulée : tuer les chiens pour les manger est illégal

    La Corée du Sud chamboulée : tuer les chiens pour les manger est illégal

    C'est la première fois que cette longue tradition culinaire est remise en question en Corée du Sud : abattre des chiens pour manger leur viande est illégal, a tranché le tribunal de la ville de Bucheon, au centre-ouest du pays, à l'encontre d'un éleveur.

     

    Ce dernier, contre qui l'association de défense des animaux Care avait porté plainte, a été reconnu coupable de tuer des animaux "sans raison valable" et de violer notamment la réglementation sur l'hygiène. Il a été condamné à payer une amende de 3 millions de wons, ce qui représente une bonne somme en Corée du Sud, équivalente à 2 300 euros.

    Le procès a eu lieu en avril dernier mais le jugement vient d'être rendu public. Il remplit d'espoir les défenseurs des animaux car c'est un pas important vers l'interdiction de la consommation de viande de chien dans le pays. D'autant que la nouvelle génération sud-coréenne montre de plus en plus son dégoût pour ce plat, et que les adultes se disent finalement que le chien est mieux dans son rôle d'ami de l'homme que dans celui d'animal de ferme qu'on peut abattre avec des méthodes souvent cruelles.

    Un million de chiens dans les assiettes chaque année

    Cependant, il y a encore beaucoup à faire quand on sait qu'il reste près de 17 000 fermes d'élevage de canidés à travers le pays. Les Sud-Coréens "dégustent" chaque année environ un million de chiens. Leur chair est considérée comme délicate et très énergétique. Les amateurs s'en délectent surtout en été. Une enquête, réalisée l'an dernier, a pourtant apporté la contradiction suivante : 70% des habitants disent ne pas manger de chien alors que 40% seulement estiment qu'il faut en interdire la consommation.

    L'association Care, parmi d'autres, poursuit son combat élevage par élevage, avec l'intention de déposer d'autres plaintes. Cette semaine, elle a reçu un autre encouragement, de la part du Parti démocrate au pouvoir. L'un de ses députés a présenté devant l'Assemblée nationale un projet de loi qui vise à limiter l'abattage à des espèces qui entrent dans la catégorie cheptel; cela libérerait définitivement les chiens sud-coréens de leurs cages, et leur permettrait d'échapper à leur sort tragique ancestral.

    Euronews

    Saloperies d'asiatiques


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  • En 5 ans, cette femme a fait baisser le braconnage de 80% au Kenya

    Parmi les principales victimes du braconnage en Afrique, les rhinocéros et éléphants ont vu leur surveillance augmenter grâce aux actions de répression du braconnage mises en place par le Kenya et son ex-ministre de l'Environnement Judi Wakhungu. Classé sur la liste des espèces vulnérables par l'UICN, l'éléphant africain compte un peu plus de 34 000 individus sur l'ensemble du territoire kenyan. Le rhinocéros noir quant à lui vient d'être placé en danger critique d'extinction puisque seulement 1000 animaux sont encore en vie. Depuis 5 ans maintenant, ces deux espèces semblent pourtant connaître un répit conséquemment à l'action politique répressive du pays.

    À l'initiative de cette loi, l'ancienne ministre de l'Environnement Judi Wakhungu donne des détails sur son bilan : « Quand je suis arrivée au Ministère, la situation était extrêmement mauvaise. 500 éléphants et 70 rhinocéros étaient tués à l'année avant 2013! La loi ne répondait pas au problème. Il y avait urgence. C'est pourquoi nous avons décidé d'agir. » Avec la création du Wildlife Conservation Act, la ministre a réussi à renforcer la loi sur la protection des espèces sauvages. Cette loi impose une amende de 20 millions de shillings kenyans (environ 170 000 euros) ainsi qu'une peine d'emprisonnement à perpétuité pour tout contrevenant. « Au-delà de l'aspect répressif, nous avons mis les moyens pour protéger davantage la faune. Nous avons regroupé les actions des différentes agences de protection de la faune sauvage et de la police. Nous avons aussi renforcé les équipes de rangers et leurs chiens qui font un travail extraordinaire. Nous avons surveillé les points d'entrée et de sortie. C'était et c'est toujours une préoccupation importante au Kenya. »

    Après ces mesures, les conséquences sont encourageantes puisque le braconnage des rhinocéros a diminué de 85% et celui des éléphants a chuté de 78% entre 2012 et 2017. L'ancienne ministre, désormais ambassadrice, explique que « C'est une véritable fierté. Le Kenya a servi d'exemples aux autres pays africains touchés par le braconnage comme le Botswana, le Gabon ou l'Ouganda. Il y a eu une coopération internationale. Car évidemment, ce fléau est global… » Bien qu'efficace, la loi n'a pas permis d'empêcher la mort de 9 rhinocéros et 60 éléphants par des braconniers. Bien que la baisse soit évidente lorsqu'on compare aux 30 rhinocéros et 384 éléphants assassinés avant la loi de 2013.

    Le nouveau ministre de l'Environnement a souhaité aller encore plus loin en réclamant la peine de mort pour les braconniers, prétextant que « la loi n'est pas assez dissuasive et ne freine pas les braconniers, d'où la proposition d'une peine plus sévère. » Pour le moment, le projet n'a pas été adopté par le Parlement mais reçoit en revanche l'appui de Judi Wakhungu : « Je suis favorable à une telle proposition. Il faut encore durcir les règles. Je crois aussi que l'un des défis majeurs sera de davantage surveiller les frontières. » Malheureusement, une telle mesure ne verra pas le jour puisque l'ONU est bien évidemment opposé à la peine capitale. Cette lutte doit aujourd'hui servir d'exemple aux autres pays d'Afrique.

    Easy Voyage


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  • Le Japon reprend la pêche commerciale à la baleine, une pratique historique

    Le Japon reprend la pêche commerciale à la baleine, une pratique historique

    Le Japon a décidé de quitter l'organisme chargé de réglementer la chasse à la baleine pour relancer la pratique dès juillet prochain.

    Le Japon a annoncé mercredi 26 décembre son retrait de la Commission baleinière internationale (CBI) dans le but de reprendre la pêche commerciale dès juillet prochain, défiant les défenseurs des cétacés 30 ans après y avoir mis fin, du moins officiellement. En réalité, l'archipel n'a jamais complètement cessé cette pratique: il utilise en effet une faille du moratoire mis en place en 1986, qui autorise la chasse aux cétacés pour des recherches scientifiques.

    Mais cette fois, il renoue publiquement avec la pêche à des fins commerciales, rejoignant ainsi l'Islande et la Norvège et s'exposant à des critiques internationales. La pêche sera «limitée aux eaux territoriales et à la zone économique exclusive» du Japon, «en accord avec les quotas de prises calculés selon la méthode de la CBI afin de ne pas épuiser les ressources», a assuré le porte-parole du gouvernement, Yoshihide Suga.

    «Il est clair que le gouvernement tente de faire passer cette annonce en douce à la fin de l'année, loin des projecteurs des médias internationaux, mais le monde n'est pas dupe», a commenté Sam Annesley, responsable de la branche japonaise de Greenpeace. «La décision du Japon est en décalage complet avec la communauté internationale, et fait fi de la nécessité de protéger nos océans et ces créatures majestueuses», a-t-il asséné.

    Le Japon soutient de longue date que la plupart des espèces de baleines ne sont pas menacées d'extinction et que la consommation alimentaire de cétacés fait partie de la culture nippone, bien qu'elle soit en berne dans le pays.

    Voici quelques dates clés de la longue histoire du Japon avec les chasses aux baleines:

    • Une tradition qui remonte au XIIe siècle

    C'est au XIIe siècle, selon l'Association japonaise de la chasse à la baleine, que les pêcheurs de l'archipel commencent à capturer ces animaux marins au harpon. Puis, au début du XVIIe siècle, la pratique s'organise réellement dans ce qui reste son lieu culte, la ville de Taiji (ouest), actuellement connue et très décriée à l'étranger comme un port de chasse aux dauphins.

    • Après-guerre: salvatrice baleine

    En 1906, une base de chasse à la baleine à part entière est construite à Ayukawa (préfecture de Miyagi, nord-est), marquant le début de la chasse à la baleine moderne pour l'archipel. À l'issue de la Deuxième Guerre mondiale, le Japon est exsangue, il manque de nourriture et la chair de baleine est alors une salavatrice source de protéïnes.

    A l'apogée de la chasse dans les années 1950, environ 2000 baleines sont débarquées au port chaque année.

    En 1951, le Japon adhère à la Commission baleinière internationale (CBI), créée en 1946 pour conserver et gérer la population mondiale de baleines et de cétacés. Le Japon devient alors l'un des plus grands pays baleiniers au monde.

    • Années 1980: moratoire commercial, «recherche scientifique»

    En 1986, entre en vigueur un moratoire sur la pêche commerciale décidée au sein de la CBI, que signe le Japon. En 1988, prenant acte de ce texte, l'archipel cesse de chasser les petits rorquals et les cachalots dans les eaux côtières japonaises. Mais dans le même temps, il commence la «recherche scientifique» dans l'Antarctique en 1987 qu'il continue à ce jour, tuant des cétacés en exploitant une clause spéciale du moratoire qui autorise les recherches.

    • Condamnation à l'ONU, Sea Shepherd

    À partir de 2005, durant toutes leurs campagnes de chasse dans l'Antarctique, les baleiniers japonais sont harcelés par les navires de l'organisation Sea Shepherd qui finit cependant par renoncer à suivre la flotte japonaise après 2017.

    En 2014, la Cour internationale de Justice (CIJ), plus haut tribunal des Nations unies, ordonne au Japon de mettre fin à sa chasse régulière dans les eaux antarctiques, rejetant l'argument des recherches scientifiques.

    Le Japon annule sa campagne de l'hiver 2014-2015 dans l'Antarctique mais la reprend la saison suivante dans le cadre d'un nouveau programme qui, selon lui, répond aux critères scientifiques de la CBI. L'Union européenne et 12 autres pays condamnent cette attitude du Japon.

    Le Figaro.fr

    Saloperies d'asiatiques


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  • Bardot demande à Macron un "miracle" de Noël pour les animaux

    Dans un message adressé mercredi au président de la République, Brigitte Bardot lui demande d'"améliorer la condition animale" en France. 

    Vidéosurveillance dans les abattoirs, lutte contre la chasse qui transforme la France en "centre de loisirs pour extermination d'animaux" : Brigitte Bardot réclame au président Emmanuel Macron un "miracle" de Noël pour la condition animale, dans une lettre ouverte publiée mercredi.

    "Je-m'en-foutisme général".

    "La protection animale en France est livrée à un total abandon, à un je-m'en-foutisme général de la part du gouvernement", tonne l'ancienne actrice et éternelle militante de la cause animale, âgée de 84 ans. "Noël est un petit miracle pour certains et je crois aux miracles !", poursuit-elle.

    "S'il est difficile, parfois impossible, d'améliorer la condition humaine, il serait facile avec un peu d'attention, de compassion, de volonté d'améliorer la condition animale dont les souffrances muettes sont une honte pour la France", assure Brigitte Bardot

    La vidéosurveillance est "indispensable".

    Elle juge la vidéosurveillance "indispensable" dans les abattoirs, des "lieux d'épouvante où 3 millions d'animaux sont sacrifiés chaque jour en France, dans des conditions de barbarie indignes et terrifiantes".

    "Allégeance aux chasseurs".

    Par ailleurs, elle accuse Emmanuel Macron d'avoir fait "allégeance aux chasseurs". "Vous faites de la France un centre de loisirs pour extermination d'animaux", lui lance-t-elle. Elle rappelle que 76 associations de protection animale, dont sa fondation, la Fondation Bardot, viennent de publier un appel contre "les abus de la chasse". "Vous avez le devoir de (le) prendre en considération", plaide-t-elle, en jugeant "indigne d'un président de fricoter, à la pêche aux voix, avec des individus d'une telle vulgarité, d'une telle cruauté".

    "Furieuse" contre la réforme de la chasse.

    Ces derniers mois, l'ancienne actrice a interpellé le président de la République à plusieurs reprises au sujet de la cause animale. Il l'avait reçue fin juillet et elle avait alors loué son "attention" et sa "bonne disposition". Mais en août, après des arbitrages sur la réforme de la chasse, elle s'était dite "furieuse" et l'avait accusé de se mettre "à genoux" devant les chasseurs.

    Europe 1

    Il n'y a pas que des animaux dont se moque macron, du peuple français aussi !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MERCREDI 26 12 2018

    Un peu d'humour !

    Passez une bonne journée


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  •  Grandes marées : plusieurs sauvetages en Picardie et en Bretagne

    Lundi, plusieurs personnes se sont retrouvées piégées par les flots montants dans la Somme et dans les Côtes-d'Armor. 

    La côte nord-ouest de l'Hexagone est en pleine période de grandes marées. Et bien malheureusement, ce phénomène exceptionnel lié à l'attraction de la Lune s'accompagne de son lot de sauvetages. Lundi, dans la Somme et les Côtes-d'Armor, plusieurs personnes se sont en effet retrouvées piégées par les vagues, rapporte France Bleu. Les autorités ont renouvelé leur message de prudence en invitant les promeneurs à consulter les horaires de pleine mer et de basse mer.

    Un promeneur en état d'urgence absolue.

    Lundi matin, à Mers-les-Bains dans la Somme, un homme et une femme, piégés par la marée montante au pied de falaises, ont eu le réflexe d'appeler les secours. Héliporté à Amiens, l'homme était en état d'urgence absolue. La femme, elle, transportée à Dieppe, était dans un état moins grave. 

    Quatre personnes coincées sur un îlot.

    Egalement en cette veille de Noël, quatre jeunes hommes se sont retrouvés isolés sur un îlot rocheux du côté de Plougrescant  dans les Côtes d'Armor. A cause de conditions de navigation mauvaises, la navette des douanes venue à leur rescousse n'a pas pu les récupérer. C'est donc en hélicoptère qu'ils ont pu être ramenés sur le littoral, sains et sauf.

    A Ouessant... une chèvre secourue.

    Plus insolite, à Ouessant dans le Finistère, c'est... une chèvre coincée sur des rochers assaillis de vagues qui a été secourue par les sauveteurs en mer. La preuve grâce aux images du photographe Cédric Caïn publiées sur Facebook :

    Grandes marées : plusieurs sauvetages en Picardie et en Bretagne

    Europe 1

    Merci d'avoir sauvé cette chèvre !

    Cela me fait penser à ma regrettée Candy.


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