• CHANTOUVIVELAVIE : Les crèches dans l'espace public autorisées sous conditions

    Le conseil d'État a autorisé vendredi l'installation des crèches de Noël dans les bâtiments publics, sous conditions : qu'elles soient temporaires, qu'elles ne fassent pas de prosélytisme religieux et qu'elles revêtent un caractère festif.

    Le rapporteur public du Conseil d'État a recommandé vendredi 21 octobre d'autoriser, sous conditions, l'installation de crèches de Noël dans les bâtiments administratifs, au nom du principe de laïcité.

    Selon le rapporteur public Aurélie Bretonneau, l'article 28 de la loi du 9 décembre 1905 et plus généralement le principe de neutralité "n'interdit pas d'installer des crèches sur le domaine public", sauf quand une "intention religieuse" préside à une telle manifestation.

    Pour résumer, installer une crèche dans une mairie - ou dans un lieu public - ne peut être autorisé qu'à trois conditions, que cette exposition soit "temporaire", qu'elle ne s'accompagne d'aucune manifestation de "prosélytisme religieux" et enfin qu'elle revête le "caractère d'une manifestation culturelle ou au moins festive", a nuancé le rapporteur.

    FRANCE 24

    Il y a quelques années, le problème ne se posait pas !!!

    On peut aussi rayer du livre d'histoire : l'histoire de France !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Une jeune musulmane rouée de coups par ses cousines pour sa liaison avec un catholique

    Une jeune femme amoureuse d'un catholique harcelée par sa famille doit faire face à ses agresseurs présumés, ce jeudi matin, au tribunal correctionnel de Reims.

    Ils ont tous deux 22 ans et ils s'aiment. Leur problème? La famille de celle que Le Parisien appelle Nawel, musulmane, n'accepte pas sa liaison avec son amoureux catholique, d'origine portugaise. Dès le début de l'idylle, la jeune femme se doutait que cette histoire serait mal acceptée par sa famille. Au matin du 2 janvier 2015, elle prévient par une lettre ses parents qu'elle quitte leur domicile par souci de ne pas "leur faire du mal" et parce qu'ils "n'accepteront jamais la situation". 

    Depuis, les choses sont allées de mal en pis, au-delà de ce que le jeune couple formé depuis trois ans aurait imaginé.

    Harcèlement, menaces et violences du clan familial

    Ce jeudi matin, Nawel fera face à ses bourreaux présumés devant le tribunal de Reims. Deux de ses cousines, 21 et 27 ans, l'auraient attaquée le 25 janvier à l'issu d'un rendez-vous pris pour tenter d'apaiser les tensions familiales. La plaignante dit s'être fait insulter, tirer les cheveux et frapper à coups de poings et de pieds. Les deux jeunes femmes auraient tenté de faire monter Nawel à bord de leur véhicule, selon la plaignante. Elles nient aujourd'hui l'ensemble des faits. Une certitude: l'épisode aura valu à la jeune femme 10 jours d'ITT.

    Du côté des parents et de la fratrie, le tableau n'est pas meilleur. Nawel affirme que son père a proféré des menaces de mort contre elle. Ses sœurs dont elle "était si proche" ne lui répondent plus. "Ils m'ont effacée de leur vie du jour au lendemain", déplore-t-elle. Dégradation de sa boîte aux lettres et du véhicule de son compagnon, coups de fil incessants, la jeune femme a dû quitter Reims pour échapper au harcèlement de sa famille. Elle a depuis trouvé un poste d'infirmière dans une autre ville.

    Faisant l'objet d'un suivi psychologique, elle assure qu'elle "ne regrette rien". "J'ai le droit de décider par moi-même, peu importe ce que veut la tradition", avance-t-elle. Jeudi se tient le procès qui lui permettra peut-être de "tourner la page".

    BFM.TV

    Il ne s'agit pas là de terroristes ! Il y a donc une grande intolérance des "gentils" musulmans envers les autres religions !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : L'interdiction de sortie de territoire d'une jeune salafiste levée

    Convertie à l'islam il y a deux ans, cette jeune femme avait rapidement épousé le courant salafiste qui prône, selon ses dires, «la rigueur des premiers temps, de l'époque du prophète». C'est sa mère qui le 29 septembre 2015 signalait la «radicalisation soudaine» de sa fille.

    Le 15 octobre 2015, le ministère de l'Intérieur lui imposait une interdiction de sortie du territoire, considérant sérieux les «risques de départ à l'étranger pour participer à des activités terroristes». 

    Pour le tribunal, rien ne prouve qu'elle voulait partir en Syrie

    Mais la jeune femme a toujours nié vouloir se rendre en Syrie. A la barre du tribunal administratif de Paris le 4 octobre 2016, la Rémoise a expliqué vouloir gagner l'Arabie saoudite parce qu'elle «se sent mal» en France. Elle a également assuré «rejeter Daech». Le tribunal a considéré que «l'administration n'apporte aucun élément de nature à justifier» que la jeune femme «projetterait de partir à destination d'un théâtre d'opérations de groupements terroristes». 

    De son côté, le représentant du ministère de l'Intérieur a décrit «une jeune femme dont la radicalité ne fait pas de doute», qui a «traité les Français de mécréants», qui «se promène sur la voie publique en voile intégral en violation de la loi», prête à quitter son domicile «pour se marier avec un inconnu». «Cela témoigne d'une grande vulnérabilité» et justifie, a-t-il assuré, la mesure d'interdiction de sortie du territoire.

    Le Parisien

    Qu'on la laisse partir ! Qu'elle aille vivre en Arabie Saoudite, bon débarras.


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  • CHANTOUVIVELAVIE : L'Eglise condamnée au civil pour abus sexuels

    Argentine

    Pour la première fois, l'Eglise catholique a été condamnée par la justice civile. Un séminariste avait été victime d'abus par un archevêque.

    Un archevêque argentin a été condamné à 756'000 pesos (environ 45'000 euros) d'indemnisation pour un ancien séminariste victime d'abus sexuels de la part d'un archevêque, la première condatmnaion civile visant l'Eglise catholique dans ce pays, a affirmé samedi l'avocat de la victime.

    «C'est la première fois qu'on obtient une condamnation civile contre l'Eglise catholique en Argentine», pays à grande majorité catholique, a déclaré samedi Pablo Bortoli, avocat de l'ex-séminariste Ruben Descalzo. Ce dernier a porté plainte pour abus sexuels contre l'ex-archevêque de Santa Fe (nord-est) Edgardo Storni il y a 15 ans. Il affirmait avoir subi ces abus en 1992.

    Dommage moral

    Dans cette affaire qui a fait scandale dans le pays, Storni avait été condamné au pénal en 2009 à huit années de prison, reconnu coupable «d'abus sexuel aggravé par le lien» de subordination qui unissait l'ex-séminariste à l'archevêque en 1992. Mais cette décision avait été annulée en appel en 2011. Par la suite, la mort de l'archevêque avait éteint la procédure.

    Parallèlement, Descalzo avait entamé une procédure au civil. C'est dans ce cadre que l'archevêché de Santa Fe et les héritiers du prélat ont été condamnés vendredi à «payer la somme de 756'000 pesos dans les dix jours». Le montant équivaut 100 salaires minimum, selon la décision publiée samedi, qui peut faire l'objet d'un recours.

    «Ce qui fait l'objet de l'indemnisation c'est le dommage moral. (...) Pour moi le dommage est avéré et doit être indemnisé», a déclaré la juge Beatriz Forno de Piedrabuena à la radio LT10 de Santa Fe.

    «Satisfait et soulagé»

    Et la responsabilité civile revient à l'archevêché car l'abus a été commis en son sein, a expliqué l'avocat. Ruben Descalzo a lui déclaré à la presse que «sa joie aurait été qu'il n'eût jamais à subir (cet abus) mais qu'il était satisfait et soulagé» de la décision de justice.

    Le scandale avait éclaté en 2000 avec la publication du livre «Notre Sainte Mère», de la journaliste Olga Wornat, qui le dénonçait. Mgr Storni, qui faisait l'objet d'une enquête interne de l'Eglise depuis 1994 mais niait toute culpabilité, avait toutefois démissionné de son poste en 2002. Il s'était retiré dans une ferme appartenant à l'archevêché de Santa Fe où il est décédé quelques années plus tard.

    24 Heures.ch


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