• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 03 10 2018

     

    Passez une bonne soirée


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  • Nancy : Un homme tué à l’arme blanche près d’un parc du centre-ville

    Un homme d’une trentaine d’années a été tué à l’arme blanche près du parc Olry à Nancy…

    Ce sont des passants qui ont donné l’alerte. Mardi soir, en début de soirée, en bordure du parc Olry, un parc municipal de Nancy, ils ont découvert un corps près des containers à verre. Au sol, un homme d’une trentaine d’années, agonisant, rapporte l’Est Républicain. La victime avait perdu beaucoup de sang. Immédiatement prévenus, les pompiers sont intervenus mais n’ont rien pu faire, l’homme est décédé. Selon les premières observations, précisent nos confrères, une arme blanche aurait été utilisée. Un ou plusieurs coups semblent avoir été portés à la gorge de la victime.

    Une enquête pour homicide confiée au SRPJ de Nancy est ouverte. Des containers à proximité de la victime ont été fouillés mais l’arme du crime n’a pas été retrouvée.

    20 Minutes


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  • Pierre m'a envoyé une video mais rien trouvé sur youtube, alors j'ai fait 3 arrêts, 3 copies d'écran, j'ai recadré sur photofiltre et voilà ! Cela doit être en Asie !

    Voilà la video de Pierre grâce à Rakia !

     


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  • Tout de même une bonne réponse !


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  • Les océans sont des poubelles
    Les fonds de terre sont souillés
    Les Tchernobyl en ribambelles
    Voient naitre des fœtus mort-nés
    Dans cinquante ans, qu´allons nous faire
    De ces millions de détritus
    Et ces déchets du nucléaire

    Dont les pays ne veulent plus?

    Sous nos pieds la terre promise,
    Patrimoine de nos enfants,
    Petit à petit agonise
    Et je m´en soucie

     
    Et pourtant les espèces devenues rares
    Sont en voie de disparition
    Et la laideur chante victoire
    Sous le plastique et le béton.

    La Terre meurt
    L´homme s’en fout 
     

    Il vit sa vie
    Un point, c´est tout.
    Il met à son gré, à son goût,
    Le monde sens dessus dessous

    La Terre meurt
    Où allons-nous?

    Dans la finance et les affaires,
    Le pétrole est le maître mot
    Il mène à tout
    Même à la guerre
    Et nul ne s´inquiète de l´eau
    Où en sont la flore et la faune?
    Et qu´advient-il du firmament
    Privé de la couche d´ozone
    Gardien de l´environnement?

    Sous le ciel, le sol se révolte
    Car l´homme trompe la nature

    Quand il trafique les récoltes
    Il hypothèque son futur.
    Sous le soleil, les forêts brûlent
    Et l´on gave les champs d´engrais
    Dans la boulimie majuscule
    Du rendement et du progrès

    La Terre meurt
    L´homme s’en fout
    Il vit sa vie
    Un point, c´est tout.
    Il met à son gré, à son goût,
    Le monde sens dessus dessous
    La Terre meurt
    Où allons-nous?

    Il est temps de prendre conscience
    Que l´homme ne respecte rien
    Il se fiche de l´existence
    Des baleines et des dauphins
    L´éléphant meurt pour son ivoire
    La bête rare pour sa peau
    Et dans les grandes marées noires
    Le mazout englue les oiseaux

    La société consommatrice
    Avance impunément ses pions
    Tandis que les arbres pourrissent
    Dans les villes et leurs environs
    La sécheresse se déchaîne
    Effaçant tout signe de vie
    Et certaines races humaines
    Crèvent d´abandon et d´oubli

    La Terre meurt
    L´homme s’en fout
    Il vit sa vie

    Un point, c´est tout.
    Il met à son gré, à son goût,
    Le monde sens dessus dessous
    La Terre meurt
    Où allons-nous?

    La Terre meurt
    Réveillons-nous!

    Et bien, voilà une magnifique chanson du grand Charles !!!


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  • Le glyphosate, le dossier qui empoisonne le gouvernement

    Emmanuel Macron en avait fait une promesse de campagne : l'interdiction du glyphosate, l'herbicide commercialisé sous le nom de Roundup. Mais l'amendement bannissant sa commercialisation a été rejeté le week-end dernier.

    Décryptage :

    La nuit du vendredi 14 au samedi 15 septembre a été longue pour les députés réunis à l’Assemblée pour examiner, en deuxième lecture, le projet de loi Agriculture et alimentation. Elle laisse surtout un goût amer à nombre d'entre eux, et en particulier l’élu des Bouches-du-Rhône de La République en Marche (LREM) François-Michel Lambert, qui a vu son amendement portant sur l’interdiction du glyphosate d’ici 2021 rejeté. "J’ai été vraiment surpris qu’il ne passe pas à quatre voix près", s’indigne auprès de France 24 l’ancien élu EELV, qui se savait soutenu par un cercle de parlementaires désireux de "marquer les esprits".

    "Mais, pour s'assurer que le texte ne passe pas, certains réfractaires ont profité de la fin d'une commission des affaires économiques à 2 h du matin pour rameuter les députés peu sensibles au développement durable. Ils sont venus dans l'hémicycle juste pour ce vote et ensuite, ils sont repartis", raconte le député à France 24.

    Résultat : le texte échoue de peu, avec 42 voix contre et 35 pour. Pour la deuxième fois en six mois, les députés français ont rejeté l’interdiction de l'herbicide le plus utilisé au monde. Si aucune étude scientifique n'atteste de la dangerosité de cette substance, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) l’a qualifiée de "probablement cancérigène" depuis 2015. En août dernier, le tribunal de San Francisco a condamné Monsanto à indemniser un jardinier en phase terminale de cancer, qui utilisait l'herbicide.

    Décisions prises en amont

    Plus étonnant encore, 34 députés LREM ont refusé d’interdire cet herbicide, alors qu'Emmanuel Macron en avait fait une promesse de campagne. "Sincèrement, je ne comprends pas. Quand on en parle entre nous, tout le monde veut interdire le glyphosate, mais dans les faits, certains votent contre pour suivre une directive imposée", lâche François-Michel Lambert.

    Ce désaccord vient jeter le trouble au sein de la majorité. "Cette dissension au sein de La République en marche met en lumière le mode de fonctionnement de la majorité : le système de gouvernance interdit tout débat à l'Assemblée nationale", commente l'élu des Bouches-du-Rhône, qui sous-entend que toutes les décisions sont prises en amont. L’amendement prévoyait pourtant "des marges de manœuvre pour permettre aux agriculteurs de ne pas être pénalisés", précise l'élu engagé sur diverses causes environnementales depuis de longues années.

    Pour le ministre de l'Agriculture Stéphane Travert, qui s'est opposé aux amendements à chaque fois, une loi n’est pas nécessaire. "La position de la France est désormais connue", et "nous souhaitons être au rendez-vous dans les trois ans" pour "répondre à l’objectif présidentiel, mais surtout à la demande de la population", a-t-il affirmé, mettant en avant la "méthode" du gouvernement : "task force", mobilisation de la recherche pour développer des solutions agronomiques, mission parlementaire. Le gouvernement entend ainsi donner du temps aux acteurs agricoles pour trouver des solutions alternatives au glyphosate.

    De son côté, l’opposition s'est empressée de mettre en avant le paradoxe de cette méthode. "Il aurait été si simple de démontrer cet engagement en l’inscrivant dans la loi, souligne le député socialiste Luc Carvounas, interrogé par France 24. Les députés ne sont pas au clair." Mais selon lui, le plus triste est constater que la parole d'Emmanuel Macron vaut plus que la loi française aux regards des députés LREM : "Cela veut quand même dire qu’il y a un problème dans les institutions", souligne-t-il.

    "Les députés marcheurs sont des lobbyistes"

    Dès l’issue du vote, l'élu du Val-de-Marne avait dénoncé sur Twitter la victoire des lobbys. "Les députés marcheurs sont des lobbyistes, a-t-il réaffirmé. Ils le disent eux-mêmes, ils sont issus du milieu pharmaceutique car ils ont un pied dans les affaires ou veulent mettre un pied dedans, poursuit le socialiste, c’est la marque de cette majorité."

    François-Michel Lambert, lui, y voit tout simplement "une faute politique" de la part des députés LREM. "Le glyphosate aura quasiment disparu en 2021, mais il n'y aura aucun bénéfice politique pour le groupe", déplore-t-il en prenant l'exemple des néonicotinoïdes, ces pesticides "tueurs d'abeilles" bannis en France depuis le 1er septembre. Au sein de la majorité, plusieurs membres du gouvernement s’en étaient attribués les mérites, y compris le président de la République, qui avait salué "notre engagement pour la biodiversité en action", laissant penser que son gouvernement était à l'origine de la mesure. Sauf que la fin des néonicotinoïdes a été votée en 2016, sous la présidence de François Hollande.

    Reste que les députés, pour beaucoup encore dépités, estiment ne "pas avoir été au rendez-vous" sur ce dossier de santé publique, alors que sur le terrain, la population est clairement hostile au glyphosate. Huit Français sur dix (81 %) estiment qu'il faut interdire l’herbicide "potentiellement dangereux pour la santé", selon un sondage publié en octobre 2017. "La République en marche a décidé d’écouter les 22 % qui pensent que l'écologie n’est pas une urgence", regrette François-Michel Lambert.

    France 24

    Encore une promesse de macaron non tenue !


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  • Affaire Benalla : le couple de la Contrescarpe en garde à vue

    Cinq personnes, dont le couple filmé en train d'être molesté par Alexandre Benalla le 1er mai sur la place de la Contrescarpe à Paris, ont été placées en garde à vue mardi, soupçonnés de violence envers des policiers, a appris l'AFP de sources concordantes.

    Ces cinq personnes ont été placées en garde à vue dans l'enquête ouverte pour des violences commises contre des personnes dépositaires de l'autorité publique le 1er mai place de la Contrescarpe, qui a été confiée à la Sûreté territoriale, a indiqué une source judiciaire, confirmant des informations d'Europe 1 et RTL. Parmi elles figurent le jeune homme de 29 ans, Georgios D., et sa compagne de 30 ans, Chloé P., rudoyés ce jour-là par l'ancien collaborateur d'Emmanuel Macron et par Vincent Crase, un employé de La République en marche, selon une source proche du dossier.

    Les deux hommes, mis en examen fin juillet pour ces faits, avaient ensuite remis le couple à la police lors d'un rassemblement de manifestants qui avait dégénéré sur cette place du quartier latin. Les deux jeunes gens s'étaient constitués partie civile au démarrage du scandale qui ébranle l'exécutif depuis mi-juillet, et ont été entendus le 19 septembre par les juges d'instruction au tribunal de Paris chargés de cette enquête. Lors de cette audition, ils avaient été interrogés sur les jets de projectiles - une carafe d'eau et un cendrier - vers les CRS qui avaient été à l'origine de leur interpellation, dont ils dénoncent la violence. «C'est une mesure excessive, disproportionnée et brutale eu égard au fait qu'il n'y a pas eu de plaintes déposées par les CRS ni de blessés», a déclaré à l'AFP Me Sahand Saber au sujet de cette garde à vue. Il a par ailleurs souligné que ses clients ont déjà reconnu publiquement ces faits et présenté leurs excuses. 

    Ce jeune cuisinier grec et cette graphiste française, inconnus auparavant de la police et de la justice, affirment être sortis boire un verre le 1er mai avant de se retrouver pris dans les heurts. Au total, les enquêteurs ont convoqué une vingtaine de personnes concernées par ces échauffourées, selon une source proche de l'enquête.

    Paris Match


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  • Eure : une fillette chute du 3ème étage mais est sauvée par un trampoline

    Le drame a été frôlé de peu. Une fillette de cinq ans a fait une chute de neuf mètres, depuis le troisième étage de l’immeuble où habitent ses parents, avant d'atterrir sur le trampoline du locataire du rez-de-chaussée, à Louviers, dans l'Eure.

    "Une chute de neuf mètres qui aurait pu lui être fatale mais, par chance, l'enfant est tombée pile sur le trampoline installé dans le jardin de la voisine. Ce dernier a fait rebondir l'enfant, la projetant finalement dans l'herbe tout en amortissant la chute", détaille France Bleue Normandie.

    La garde était confiée à la grande sœur.

    La fillette, transportée au C.H.U de Rouen, s'en sort avec une jambe cassée. Comment expliquer l'accident ? Selon la police locale, la mère se trouvait au travail et la garde avait été confiée à la grande sœur de la victime, âgée de 16 ans. Celle-ci s'était momentanément absentée de l'appartement, le temps d'un aller-retour chez une copine pour aller chercher son téléphone. Elle "ne s'est pas aperçue que la fenêtre de la cuisine, située à hauteur d'enfant, était restée ouverte", apporte France bleue

    Europe 1

    La grande sœur a commis une faute grave !


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  • Passation glaciale entre Collomb et Philippe

    C'est l'une des passations de pouvoir les plus improbables de la Ve République. Edouard Philippe a officiellement remplacé ce mercredi Gérard Collomb au ministère de l'Intérieur, après la démission fracassante de ce dernier. Le Premier ministre n'assure qu'un intérim, dans l'attente de la nomination d'un nouveau ministre par Emmanuel Macron.

     

    Le protocole a été à l'image de cette séquence politique : totalement improvisée. Prévue à 9h15, la cérémonie a débuté avec vingt minutes de retard. Planté sur le perron de Beauvau, les bras croisés, Gérard Collomb a longtemps attendu son successeur avant de rentrer dans l'enceinte du ministère. Alors que les relations sont notoirement tendues entre les deux hommes, la cérémonie s'est déroulée dans une ambiance glaciale.

    Bilan et cahier des charges

    Dans un discours fleuve, Gérard Collomb a confié son "regret" de quitter la Place Beauvau. "Je quitte un ministère apaisé et qui a impulsé un certain nombre de réformes", a lancé le futur maire de Lyon. L'ancien fidèle d'Emmanuel Macron a dressé le bilan de son action et a égrené le chapelet de ses réformes : loi immigration, loi de sécurité intérieure, loi sur les rodéos, création de la police de sécurité du quotidien, etc. Face à un Edouard Philippe impavide, Gérard Collomb a surtout fixé une sorte de cahier des charges à son successeur et interpellé le Premier ministre sur les priorités.

    Il a évoqué les quartiers sensibles dans lesquels il appelle Edouard Philippe à "recréer de la mixité" "Aujourd'hui on vit côte à côte, je crains que demain on vive face à face", a-t-il mis en garde. Gérard Collomb a ensuite insisté sur une nécessaire "reconquête républicaine" dans certains quartiers, où "la loi du plus fort s'impose". Il a enfin rappelé l'importance d'aider les collectivités territoriales, se posant en "Girondin". Une manière de se projeter dans sa future campagne des municipales et se prendre ses distances avec le chef de l'Etat, souvent critiqué pour son jacobinisme.

    "Garantir le plus grand niveau de sécurité aux Français"

    Les traits d'humour de Gérard Collomb et les sourires adressés à Edouard Philippe n'ont eu aucun effet. Le chef du gouvernement n'a pas adressé le moindre regard au futur maire de Lyon pendant son allocution. L'ancien maire du Havre a d'ailleurs prononcé un discours bien plus bref et a respecté les usages. Il a remercié Gérard Collomb pour ses "seize mois de travail au service des Français".

    Le Premier ministre, qui n'assure qu'un intérim, a surtout voulu montrer qu'il n'y avait aucune vacance du pouvoir. "Notre volonté est de garantir le plus grand niveau de sécurité aux Français.", a-t-il assuré, évoquant les menaces à l'étranger et sur le territoire français.

    L'Express


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  • Hauts-de-Seine - Colombes : l’adolescente a poignardé son voisin

    La jeune fille a sorti un couteau pendant une dispute entre sa famille et la victime.

    Une adolescente de 16 ans a été mise en examen et placée en centre éducatif fermé (CEF), lundi, après avoir planté un couteau dans le dos de son voisin à Colombes. Tard ans la soirée de samedi, la mère et le frère de cette jeune fille ont une altercation avec un habitant de leur immeuble, dans la cité des Côtes-d’Auty. La mère aurait reproché au voisin de posséder une arme. Le ton est monté assez haut, les esprits se sont vraiment échauffés…

    Jusqu’au moment où l’altercation a pris mauvaise tournure dès lors que l’adolescente a saisi un couteau pour planter la lame dans l’omoplate du résident en délicatesse avec sa mère. La famille est ensuite rentrée chez elle. La victime, elle, a été conduite à l’hôpital par un ami. Et elle a prévenu la police.

    Le lendemain, dès 6 heures du matin, la mère et ses deux enfants ont reçu la visite des policiers, qui les ont placés en garde à vue jusqu’à lundi. Tous ont ensuite comparu devant le juge d’instruction, qui les a mis en examen pour « tentative d’homicide volontaire » et laissés libres sous contrôle judiciaire. Sauf la jeune fille, qui a rejoint le CEF.

    Le Parisien


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  • Je pense que ce qu'il veut, c'est que les noirs votent pour lui !

    Bon il aime peut-être quand même bien les hommes noirs (rire)


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  • Consultation de Marwan Muhammad : les musulmans de France veulent s’organiser sans l’Etat

    L’ex-directeur du Collectif contre l’islamophobie en France Marwan Muhammad, a présenté les résultats de sa consultation nationale des musulmans lancée en mai. Cette dernière révèle que les musulmans français souhaitent s'organiser par eux-mêmes.

    Les musulmans de France ne se considèrent pas bien représentés par les instances actuelles et notamment par le Conseil français du culte musulman (CFCM), selon les résultats de la consultation lancée en mai par Marwan Muhammad, ex-directeur du Collectif contre l'islamophobie (CCIF), et publiés ce 30 septembre. Lors du lancement de sa consultation, celui-ci avait fustigé «l'interminable déshérence du CFCM», jugeant que «les musulmans n'[avaient] toujours pas d'instance représentative d'ampleur nationale».

    La consultation nationale des musulmans de France qu'il a initiée a été réalisée sur internet et sur le terrain, à travers 57 villes du pays. Les résultats obtenus ont été analysés par un comité de huit scientifiques. «Nous n’en sommes qu’au début de l’analyse, le plus gros reste à venir, il faut étudier au cas par cas les réponses données et développées dans les questionnaires», a expliqué à La CroixMarwan Muhammad ce 30 septembre.

    «Rompre avec la conflictualité des débats sur l’islam»

    S'appuyant sur les résultats de sa consultation, Marwan Muhammad a rapporté que les musulmans espéraient que l'Etat «saura[it] rompre avec la tentation récurrente d’imposer aux communautés musulmanes ses choix, sa vision, ses interlocuteurs, sans prendre en compte les réalités de terrain et les besoins exprimés par les premiers concernés». Selon l'instigateur de la consultation, «les autorités ont ici l’occasion historique de rompre avec la conflictualité des débats sur l’islam, en faisant confiance aux musulmans pour s’organiser eux-mêmes et en se tenant à disposition pour prendre en charge ses responsabilités, sur les questions techniques et administratives qui le concernent».

    Première préoccupation : améliorer l'image de l'islam dans les médias

    Menée du 10 mai au 20 juin dernier, son enquête a mobilisé 27 000 participants : 24 000 personnes ont répondu à un questionnaire en ligne et les autres ont été rencontrées dans les associations et mosquées de 57 villes. Une méthodologie qui présente des faiblesses, reconnaît Marwan Muhammad auprès de l'AFP, «car on ne sait pas qui a répondu au questionnaire en ligne», mais aussi des atouts vu le «nombre de participants» et la «libération de la parole».

    Les résultats sont sans appel : les personnes interrogées y affirment à plus de 80% ne pas se sentir représentées par les instances actuelles, que ce soit le CFCM ou la Fondation de l'islam de France présidée par Jean-Pierre Chevènement.

    Selon les préconisations révélées par la consultation, si une nouvelle instance devait voir le jour, elle devrait d'abord avoir pour objectif de «représenter les musulmans dans les médias», puis de «lutter contre l'islamophobie», d'«enseigner l'islam» et quatrièmement de «certifier et contrôler l'abattage rituel». Pour donner suite à ces résultats, Marwan Muhammad a énuméré sept actions à venir. Il propose entre autres de créer une «plateforme indépendante des associations et mosquées» et d'installer des groupes de travail sur tous les «projets qui comptent» comme le halal et le statut des imams, comprenant cadres religieux, société civile et professionnels.

    Dans un récent rapport sorti mi-juillet, l'Institut Montaigne, un think tank libéral, avait pour sa part fait plusieurs propositions sur l'organisation du culte et insisté sur la lutte contre le discours salafiste sur les réseaux sociaux. Commentant ce rapport, Marwan Muhammad a estimé que celui-ci analysait l'islam uniquement «sous le prisme du terrorisme et du paradigme sécuritaire». «Notre consultation, elle, propose une lecture de l’islam du réel», a-t-il précisé.

    L'enquête de ce statisticien de 40 ans est rendue publique alors que le gouvernement a tenu jusqu'à mi-septembre des «assises territoriales» dans chaque département pour réformer l'organisation du culte musulman, avant des annonces d'Emmanuel Macron attendues d'ici le début 2019. D'autre part, le CFCM, instance élue mais souvent critiquée sur son efficacité, promet une réforme interne d'ici la mi-2019 pour mieux représenter la société civile (femmes et jeunes notamment) et prévoit un «congrès des musulmans de France» à la mi-novembre.

    RT France


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  • Un homme vivait avec 1894 pièces de monnaie dans son estomac

    Un Japonais de 51 ans s’était rendu à l’hôpital pour une consultation d’ordre psychique. Il a finalement été opéré d’urgence.   

    C’est un patient pour le moins insolite qui s’est présenté au centre médical de la Tokyo Medical and Dental University. Atteint de dépression depuis plusieurs années, un Japonais de 51 ans y venait consulter un spécialiste pour lui parler de ses soucis de perte d’appétit et de fatigue. Après consultation, l’homme est envoyé au bloc opératoire pour une opération en urgence. Ce n’est pas, ni une, ni une dizaine mais 1894 pièces de monnaie que les chirurgiens ont ôté de l’estomac du malade. Ce cas clinique insolite a été présenté en avril 2018 dans la revue «Acute Medicine & Surgery» et relayé par Marc Gozlan, un ancien médecin qui tient le blog Réalités Biomédicales sur le site internet du Monde.

    Il explique d’ailleurs pourquoi le malade a ingéré toutes ces pièces.

    «Ce patient est atteint de pica. Ce trouble est caractérisé par l’absorption itérative de substances non comestibles, plus ou moins répugnantes ou nuisibles, telles que de la terre, de l’argile, de la craie, du papier ou, dans ce cas précis, des pièces de monnaie. Il s’observe principalement chez des patients psychiatriques, des enfants, de jeunes adolescents, des femmes enceintes.

    Après l’intervention chirurgicale, cet individu a subi une évaluation psychiatrique qui a établi le diagnostic de schizophrénie. Deux semaines après l’opération, il est admis en psychiatrie», détaille-t-il.

    Un autre cas en 2008

    Le Japonais vivait alors avec 8,07 kilos de pièces de monnaie dans son ventre dont 140 pièces de 1 yen, 99 pièces de 5 yen, 1642 pièces de 10 yen, 8 pièces de 50 yen et 5 pièces de 100, soit un butin d’environ 135 euros. Ce cas clinique n’est pas unique. En 2008, une Américaine de 57 ans qui refusait de manger et avait avalé 600 pièces.

    Paris Match


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  • Il a arrêté d'aller à l'école car ses parents ne pouvaient plus payer car à l'époque, l'école n'était pas gratuite !

    Il a commencé à travailler à 9 ans dans de petits spectacles et de 9 à 16 ans, il ramenait une partie de son argent à ses parents pauvres.

    Alors, ceux qui crachent sur lui feraient mieux de la fermer !

    Et tout l'argent qu'il a gagné, c'est par son travail, il ne l'a pas volé !

    Arriver à écrire des chansons et à faire la carrière internationale qu'il a fait alors qu'il n'avait aucune instruction, je dis chapeau Monsieur Aznavour.


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  • Grande-Synthe : 200 policiers mobilisés pour une opération antiterroriste visant une association

    La préfecture du Nord a annoncé qu'un important dispositif policier avait été mis en place dans le cadre d'une opération visant l'association musulmane Centre Zahra France, soupçonnée par les autorités de liens avec des organisations terroristes.

    Comme l'a révélé France 3 Hauts de France, une importante opération de police a débuté tôt dans la matinée de ce 2 octobre à Grande-Synthe (Nord). Selon la chaîne régionale, quelque 200 policiers, parmi lesquels des membres de la BRI (Brigade de recherche et d'intervention) et du du Raid, sont mobilisés pour perquisitionner le siège de l'association musulmane Centre Zahra France et le domicile de ses principaux dirigeants. Selon une source proche du dossier citée par l'AFP, 11 personnes ont été interpellées dans ce cadre, et trois ont été placées en garde à vue. De plus, toujours selon l'AFP, des armes et du matériel ont été saisis par les policiers.

    «Depuis 6h ce matin, 12 visites domiciliaires sont menées par des effectifs de la police nationale dans la commune de Grande-Synthe», a annoncé la préfecture du Nord.

    Rapportant les propos des autorités, France 3 précise que l'opération s’inscrit dans le cadre de la «prévention du terrorisme», les activités de l’association Centre Zahra France étant suivies en raison du «soutien marqué par ses dirigeants à plusieurs organisations terroristes et en faveur de mouvements prônant des idées contraires aux valeurs de la République».

    Sur son site internet, le Centre Zahra France affiche son objectif de faire «connaître le message de l'islam à travers le regard du prophète et de sa famille».

    Par arrêté ministériel en date du 1er octobre 2018 (publié au Journal officiel le lendemain), les fonds et ressources économiques contrôlés par l'association font «l'objet d'une mesure de gel des avoirs pour une durée de six mois». L'arrêté indique que la mesure concerne également les associations France Marianne Télé, Fédération Chiite de France et Parti Antisioniste.

    La France a également gelé pour six mois les avoirs sur son sol de la direction du ministère iranien du Renseignement et de deux Iraniens, une mesure liée à un projet déjoué d'attentat contre l'opposition iranienne près de Paris en juin, selon une annonce des autorités.

    RT France


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