Le berger allemand appartenait à une famille habitant tout près de la zone de chasse

Une enquête a été ouverte, après la plainte déposée par une famille pour atteinte involontaire à la vie d’un animal domestique, à la gendarmerie de Crécy-la-Chapelle (Seine-et-Marne). Sa chienne, âgée de 6 ans, a été abattue, samedi, lors d'une partie de chasse à Coutevroult. Le tireur s'est défendu en affirmant l'avoir confondu avec un sanglier, relate Le Parisien.

Ce sont les chasseurs eux-mêmes qui ont sonné au domicile des propriétaires du berger allemand pour les informer de cet accident. Ils ont conduit le couple jusqu'au corps sans vie de l'animal, qui a reçu une balle en pleine tête. La battue, autorisée, se déroulait sur un terrain privé, à proximité des habitations.

Le chien errait dans la zone de chasse

D'ordinaire, les chasseurs préviennent la famille pour qu'elle enferme son chien. Mais, samedi, ils ne l'ont pas fait et l'animal se serait retrouvé au milieu de la zone de chasse. 

Les maîtres du berger allemand se sont rapprochés de la Fondation Brigitte Bardot. L’Office français de la biodiversité est également impliqué auprès des enquêteurs. De son côté, la Fédération des chasseurs de Seine-et-Marne assure au Parisien que le tireur sera sanctionné s'il est reconnu comme responsable de la mort du chien.

20 Minutes

Connard de chasseur !

L'ASBL Animaux en Péril a effectué la saisie d'un mulet à Béclers, dans le Hainaut. Elle a été ordonnée par l'Unité du Bien-Être Animal de la Région wallonne. Selon Sophie Locatelli, vice-présidente de l'association, l'animal était à l'abandon "car le propriétaire est malade". Les pieds de l'animal ont donc poussé par manque d'entretien. "J'estime qu'il y a au moins 10 ans d'absence de soins vétérinaires", soupire Sophie Locatelli. "La souffrance est catastrophique, le mulet a les articulations complètement déformées."

Pronostic vital incertain

Actuellement, le pronostic vital du mulet est encore incertain. "On doit analyser les possibilités d'une opération", explique la vice-présidente d'Animaux en Péril.

RTL info

Un homme de 32 ans est décédé dans la matinée mardi 29 septembre, en pratiquant le base-jump. Ce dernier a sauté depuis le viaduc de Millau, son parachute ne s’est pas ouvert. Le trentenaire a fait une chute de 200 mètres. Un arrêté préfectoral interdisant cette pratique sur l’édifice avait été promulgué en mai dernier. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances exactes du drame.

Le base-jump a fait une nouvelle victime ce mardi 29 septembre. Un pratiquant de 32 ans est décédé dans la matinée après avoir sauté du viaduc de Millau vers 8 h 30. Son parachute ne s’est pas ouvert, le jeune homme, récemment installé dans la cité millavoise, a fait une chute de 200 mètres et serait mort sur le coup.

Un arrêté préfectoral pris en mai

Pour rappel, le base-jump est un sport extrême consistant à sauter d’un point haut comme une montagne, un immeuble ou un pont, avant de déclencher son parachute. Un arrêté préfectoral interdisant cette pratique sur l’édifice avait été promulgué mercredi 18 mai 2022 par la préfecture du département.

Selon le Midi Libre, une enquête va être ouverte afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame. Les deux autres base-jumpers présents au moment du drame sont entendus par la police en tant que témoins assistés.

Depuis quelques années, la pratique se multiplie un peu partout en France, et les accidents aussi. En mars dernier, un homme était mort en sautant d’une falaise dans les gorges de la Bourne, en Isère.

Ouest-France

Early, un poulain zangersheide d’un an et voué à la compétition d’obstacles, a été la proie d’une attaque violente de deux chiens, à Senots (Oise), lundi 21 novembre. Très mal en point après l’interaction, le poulain est toujours surveillé de près par les vétérinaires.

LIEN de l'article :

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/le-poulain-attaqu%C3%A9-par-des-chiens-pas-encore-sorti-d-affaire/ar-AA14FKLn?ocid=msedgntp&cvid=7a0cc28058944962afdff80369f5b823

Un jeune étudiant a été pris à partie par un homme qui s’est exhibé devant lui sur le campus de l’université Jean-Jaurès de Toulouse

Un jeune étudiant de l’université Jean-Jaurès de Toulouse a vécu un traumatisme sur le campus du Mirail il y a quelques jours. Alors qu’il se trouvait devant un panneau d’affichage, un homme s’est approché de lui, le sexe à l’air, et lui a débité des propos salaces. Complètement déstabilisé, le jeune homme s’est éloigné. Mais son agresseur ne l’a pas lâché et est venu s’asseoir à côté de lui, pour lui réitérer ses propositions.

Pour échapper à sa « drague » lourdingue, l’étudiant est allé au plus vite en cours, réussissant à échapper à son harceleur. En sortant, il a décidé d’aller déposer plainte auprès de la police.

Harcelé une seconde fois par le même homme

Il pensait certainement cette mauvaise rencontre derrière lui, mais en milieu de semaine dernière, il a recroisé la route de cet homme de 38 ans sur le campus, lui aussi inscrit à la fac dans le cadre d’une reprise d’études.

Et comme la fois précédente, il lui a fait des propositions indécentes. Cette fois, le jeune homme a appelé la police qui s’est rendue sur place et a interpellé l’exhibitionniste. En garde à vue il a reconnu les faits. Il est convoqué devant la justice le 28 août prochain.

20 Minutes

 L’animal avait décidé de quitter sa ferme pour s’offrir une escapade en ville

C’est un fugueur particulier pour lequel les policiers de Bagnols-sur-Cèze se sont mobilisés. Contactés par des riverains de cette commune du nord-est du Gard, les fonctionnaires ont interpellé Lulu, un cochon.

Après avoir tenté d’interroger le suspect, lequel a fait semblant de ne pas comprendre les questions des forces de l’ordre, les policiers en ont conclu qu’il avait été pris par des envies de balade. Et qu’il s’était échappé de la ferme où il vit d’ordinaire.

Devenus copains comme cochons, les policiers ont sympathisé avec l’animal en attendant l’arrivée de son propriétaire légitime. Lequel l’a ramené « sous escorte » à la maison en compagnie des autres animaux de la ferme.

20 Minutes

Un mur s’est effondré dans un camping, à Saint-Georges -d’Oléron . Deux employés d' une entreprise de maçonnerie qui travaillaient sur le site sont décédés, ce lundi 28 n ovembre 2022 .

​Ce lundi 28 novembre 2022, dans la matinée, un mur s’est effondré sur trois ouvriers. Deux d’entre eux, âgés de 26 et 45 ans, sont décédés. Un jeune apprenti de 15 ans a été « gravement blessé » dans cet accident et héliporté au centre hospitalier de Poitiers.

Des travaux dans le camping

Les pompiers de la Charente-Maritime ont été appelés vers 8 h 30, au camping Les Coquettes, à Saint-Georges-d’Oléron. Ils sont une quarantaine à être intervenus pour extraire les trois victimes des décombres.

Selon la maire de Saint-Georges d’Oléron, Dominique Rabelle, le mur « de trois mètres de hauteur et huit de large », mitoyen entre un camping et une habitation en construction, s’est effondré sur les victimes lors d’un chantier dans la matinée.

« Les pompiers ont tenté de les réanimer pendant plus d’une heure, en vain », a ajouté l’élue de cette commune située sur l’Île d’Oléron, précisant que c’est une entreprise professionnelle de maçonnerie implantée dans la commune qui était chargée des travaux.

Ouest-France

Mr Grant Shapps

Le secrétaire d'État britannique aux affaires, à l'énergie et à la stratégie industrielle, Grant Shapps, a averti lundi le gouvernement chinois qu'"il n'y a aucune excuse" pour le passage à tabac d'un journaliste de télévision de la BBC après son arrestation alors qu'il couvrait des manifestations en Chine.

M. Shapps a déclaré que l'incident était "très préoccupant" et a décrit ce qui s'est passé dans la ville de Shanghai pour le journaliste en question, Edward Lawrence, comme une "attaque".

S'exprimant sur Sky News, M. Shapps a déclaré qu'"il n'y a aucune excuse pour qu'un journaliste qui ne fait que couvrir un événement soit battu par la police". "La liberté de la presse et la liberté d'information devraient être sacrées", a-t-il déclaré.

Il a déclaré qu'il était "inacceptable" que des journalistes soient "arrêtés" alors qu'ils "devraient être libres de couvrir les choses ouvertement".

La BBC elle-même avait précédemment indiqué que le journaliste avait été "arrêté et menotté alors qu'il couvrait des manifestations contre les restrictions imposées en Chine en raison de la pandémie de coronavirus" et qu'il avait ensuite été "battu par la police".

Le secrétaire d'État britannique à la sécurité, Tom Tugendhat, a prévenu que cette arrestation était "un exemple des actions du parti communiste chinois". "L'arrestation est une démonstration de la répression du parti". "Cela démontre la nécessité évidente de défendre les libertés", a-t-il ajouté.

Cependant, les autorités chinoises ont défendu les actions des forces de sécurité et ont déclaré que les rapports de la BBC ne reflètent pas ce qui s'est réellement passé.

News 360

Week-end sous le signe de l'indignation et de la colère pour Julien Courbet qui a, sur les réseaux sociaux, dénoncé deux influenceurs qui seraient coupables de sévices insoutenables sur leur bébé Staff de quatre mois. Mais qui sont Rop et Rocka ?

Insoutenable. C'est avec rage que Julien Courbet s'est emparé ce week-end de ses comptes sur les réseaux sociaux pour rendre compte de son indignation. Le Zorro du PAF, éternel ami des bêtes, a décidé d'utiliser sa notoriété pour dénoncer deux influenceurs suivis par une large communauté. Ces derniers ont subi une descente de la Bac d'Argenteuil qui, à leur domicile, a trouvé un chiot qui avait subi des sévices inimaginables. "Rop et rocka french rap queen. Rappelez vous de leur nom. Ce sont deux tortionnaires qui méritent la prison où ils pourront chanter du rap sans faire souffrir les animaux. Faites savoir ce qu'ils ont fait puisqu'ils veulent être célèbres", a écrit fou de colère le papa de Simone dans un premier tweet avant d'ajouter "j'espère que leur duo deviendra Fleury et Merogis. Quelle honte !"

Tout a commencé ce vendredi 25 novembre. Les équipes de la Fondation Assistance aux animaux ont été contactées par la BAC d’Argenteuil pour une prise en charge d’un animal, un jeune Staff de 4 mois, pour des faits avérés graves de sévices et d’actes de barbarie. La Fondation Assistance aux Animaux s'est immédiatement rendue sur place pour mettre le chiot en sûreté. Sur les réseaux sociaux la fondation fait un récit éprouvant des tortures infligées au chiot.

Déjà connus des services de police

"Hébétés par l’image que nous renvoie cette petite boule recroquevillée, nous découvrons un petit être en très mauvais état général : maigrelet et malnutri, boiteux par des pattes fracassées, un corps parsemé de plaies et des cicatrices de cigarettes et d’acide qu’un vétérinaire diagnostiquera l’après-midi même." L'animal en grande souffrance a été mis sous morphine, est-il précisé. Le pire est toutefois encore à découvrir. La fondation révèle que la tête du chiot est déformée "par un hématome en haut de son crâne", ses joues "sont bosselées". "Ont-ils utilisé leurs poings humains, leurs pieds ou une arme pour la mutiler comme cela ?", s'interroge La Fondation Assistance aux Animaux en légende de clichés d'une violence insoutenable.

Voici

Ces deux types méritent de la prison ferme !

Un chasseur a été blessé par un tir de fusil samedi 26 novembre en Dordogne, rapporte France Bleu Périgord. L'homme de 64 ans a reçu une balle dans la hanche, tirée par un autre chasseur. Le parquet de Périgueux a ouvert une enquête pour "blessures involontaires", afin de déterminer les circonstances précises de l'accident et identifier les éventuels manquements aux règles de chasse.

L'accident s'est produit en fin de matinée lors d'une chasse aux sangliers et aux chevreuils dans les bois du Pouzet à Rudeau-Ladosse, en Périgord vert. Le chasseur a été gravement blessé et transporté en urgence à l'hôpital de Périgueux pour être opéré dans la soirée. Ses jours ne sont toutefois pas en danger.

L'auteur du coup de feu s'est rendu à la gendarmerie

Selon les premiers éléments de l'enquête, c'est un chasseur de 34 ans qui est à l'origine du coup de feu. Il a tiré en direction d'un sanglier qui avait surgi non loin, face à eux. D'après France Bleu, l'enquête ne permet pas encore de savoir si la balle a ricoché pour atteindre la victime. L'auteur du coup de feu s'est présenté en début de soirée à la gendarmerie pour être interrogé. Il n'a pas été placé en garde à vue.

"Tout le monde est en état de choc", assure Yves Noirt, le président de la société de chasse de Rudeau-Ladosse, joint par France Bleu, qui dit être pour la première fois confronté à un accident de chasse. Il se rendra sur les lieux de l'accident avec les gendarmes en début de semaine prochaine.

Franceinfo

Bien fait !

Tu t’es vu - L’homme était venu à la gendarmerie de La Force, en Dordogne, dans le cadre d’un contrôle judiciaire

En général, pour interpeller les conducteurs en état d’ébriété, les forces de l’ordre mènent des contrôles sur les routes de la France entière. Elles ont rarement l’occasion de voir les personnes en infraction se présenter d’elle-même à la gendarmerie.

C’est pourtant ce qui s’est passé il y a peu en Dordogne, à la brigade de la commune de La Force, à l’ouest de Bergerac. Alors qu’il venait pointer dans le cadre d’un contrôle judiciaire, un homme s’est garé devant la gendarmerie. Une fois à l’intérieur, les militaires se sont rapidement aperçus que le conducteur n’était pas dans son état normal. Il titubait fortement et dégageait de forts relents d’alcool.

Les gendarmes ont donc décidé de lui faire faire un petit dépistage d’alcoolémie. Et il s’est avéré qu’il était plus que positif. Il présentait en effet un taux de 0,97 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit près de quatre fois le seuil maximal de 0,25 mg autorisé

Il est donc resté un peu plus longtemps que prévu à la gendarmerie, son véhicule a été immédiatement saisi indique la gendarmerie de Dordogne sur sa page Facebook.

20 Minutes

Il prétendait que l’animal était consentant

Un homme doit comparaître ce lundi pour avoir violé une chèvre, dans une exploitation de Chaintreaux (Seine-et-Marne), rapporte Le Figaro. Les faits remontent à la nuit du 10 au 11 mai dernier. Selon un communiqué de l’association de défense des animaux Stéphane Lamart, le suspect se serait introduit dans un enclos pour s’en prendre à un ovin de 3 ans, le tout sous l’œil des caméras de vidéosurveillance.

Après avoir violé la chèvre pendant 30 minutes, il l’aurait proposée à un ami qui l’attendait dans une voiture. Celui-ci aurait refusé de toucher à l’animal, indique BFM Ile-de-France. Le cabri a ensuite été abandonné dans une forêt de Souppes-sur-Loing avant d’être retrouvé par sa propriétaire. Un vétérinaire a ensuite attesté des violences sexuelles subies par la chèvre.

Il reconnaît les faits en garde à vue

Interpellé et placé en garde à vue par les gendarmes de Lorrez-le-Bocage, le jeune homme de 25 ans a reconnu les faits. Il aurait également expliqué que l’ovin l’avait léché et qu’il avait pris ça comme un signe de consentement, précise l’association.

20 Minutes

Dans une interview accordée au magazine Télé 7 jours publié ce lundi 28 novembre, Anne Roumanoff s’est confiée sur son divorce d’avec Philippe Vaillant. Très discrète sur sa vie privée, l’humoriste a néanmoins dévoilé que ce moment avait été très difficile.

Anne Roumanoff a accordé une interview au magazine Télé 7 jours paru ce lundi 28 novembre. Alors qu’on lui posait une question sur son spectacle qui évoque son divorce, celle-ci a rétorqué : « Je ne raconte jamais ma vie dans mes spectacles. Je prends des éléments que je transforme ». Et d’ajouter, donnant quelques clés sur son ressenti personnel : « Vingt-cinq ans de vie commune, ça ne se raye pas d'un trait de plume. Le divorce, ça reste un traumatisme. Chacun le vit différemment. En ce qui me concerne, cela a été comme un renouvellement, le début d'une nouvelle vie. »

Un film en cours de préparation

Celle qui sera à l’Olympia le 4 décembre pour célébrer ses 35 ans de carrière dans une soirée anniversaire spéciale a aussi précisé qu’elle était « en bonne voie » dans l’écriture d’une comédie dont le sujet est le divorce et la vie après. Et d’ajouter : « J'espère que cela se fera cet été. Devenir réalisatrice est un projet qui me tient à cœur. » Anne Roumanoff tiendra le rôle principal, celui d’une « conseillère d'éducation dans un collège catholique ».

Elle était toujours en rouge. C’en était même devenu sa marque de fabrique. Aujourd’hui, pourtant, la comédienne a choisi de ne plus porter cette couleur et celle qui fait une demande particulière à son public s’en est expliqué : « J'ai passé trente ans en rouge. J'avais envie de changer », a-t-elle indiqué, tout en précisant : « Mais je porte quand même des couleurs vives. Le rouge, à un moment, ça vous étouffe. J'agis en fonction de ce que je ressens et là j'avais comme une lassitude. » Plus de couleur fétiche pour Anne Roumanoff, mais des couleurs quand même pour rester fidèle à elle-même. Et c’est le plus important.

Gala

Un chien a été sauvé par les pompiers ce samedi après avoir fait une chute dans un puit de 10 mètres de profondeur à Saint-Aubin-Routot en Seine-Maritime, ont indiqué les pompiers du département.

L'incident a eu lieu en milieu de journée route d'Oudalle. 11 sapeurs-pompiers, dont un vétérinaire, ont été déployés pour venir en aide à l'animal. A leur arrivée sur place, le chien était encore vivant.

Les services de secours sont finalement parvenus à extraire du puit le chien. L'animal a pu être sauvé.

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