• Vendredi 23 avril dans "Touche pas à mon poste", un ex membre de la production des "Anges de la télé-réalité" a confirmé que de la drogue dure circulait dans le programme et que la production en était consciente.

    La tempête continue de souffler pour "Les Anges". Depuis une semaine, le programme de NRJ 12doit faire face à de lourdes accusations. Plusieurs candidates ont jeté un pavé dans la mare en s'exprimant, notamment sur les réseaux sociaux avec le hashtag #boycottlesanges, afin de dénoncer le comportement de certains participants dans le programme.

     

    Mercredi 21 avril, Rania, Nathanya ou encore Angèle étaient les invitées de Cyril Hanouna dans TPMP où elles ont balancé allègrement sur l'émission évoquant des cas de violences, d'humiliations ou de harcèlement. Et cerise sur le gâteau, elle ont également affirmé que de l'alcool et de la drogue étaient présents lors des tournages, et même fournie pour la production. "Il y a de la drogue, il y a de l'alcool, et cette drogue, de la cocaïne, est fournie par la production. Les tournages se passent à l'autre bout du monde, vous vous doutez bien que les candidats ne vont pas prendre le risque de passer les frontières avec de la drogue. Donc elle vient d'où ?", avait interpellé Angèle.

     

    Dans la foulée de ces déclarations choc, Raphaël Pépin s'est également confié le lendemain dans TPMP réfutant toute trace de cocaïne.  "Je vais parler en toute honnêteté. je n'ai jamais vu de candidats prendre de la cocaïne. Effectivement, ça m'est déjà arrivé de voir un candidat fumer un joint sur un tournage" avait-il toutefois nuancé. Face à ces deux sons de cloche opposés, Cyril Hanouna a sorti une autre carte pour tenter de dénouer le vrai du faux. Hier, vendredi 23 avril dans TPMP, il a reçu le témoignage de Max, un témoin anonyme qui a autrefois travaillé pour "La Grosse Equipe" qui produit "Les Anges". Celui-ci a confirmé la présence de drogues dures. "Il y a du cannabis, de la cocaïne, de l'ecstasy. De ma propre expérience, je n'ai jamais vu de gens de la production en fournir aux candidats après c'est quelque chose dont ils ont conscience." a-t-il affirmé.

     

    Au terme de TPMP, une dernière bombe a même été lâchée lorsque Cyril Hanouna lui a demandé si la "production donnait plus d'argent aux filles pour qu'elles couchent". L'ex membre de la prod' n'a pas tourné autour du pot : "Oui, je confirme" a-t-il lâchéNul doute que cette affaire risque de faire encore du bruit...

    Télé 7 Jours


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  • Pas si BET :

    Bernard Tapie fête ce lundi 26 janvier 2021 ses 78 ans! C'est l'occasion de revivre les grands moments de sa carrière. Bernard Tapie a eu plusieurs vies: Chanteur, chef d'entreprise, dirigeant sportif, ministre, comédien. Pendant plus de 40 ans, il a occupé le devant de la scène médiatique française. L'homme d'affaires est un habitué des médias et des punchlines. C' est aussi une grande gueule, énergique. Il a connu le succès avec ses entreprises, dans le monde du football avec l'OM début des années 90 et le monde du cyclisme dans les années 80. Les années 90 vont être un peu plus compliquées pour lui. De nombreuses affaires OM/VA, Adidas, Phocéa et un passage en prison. Pas Si Bet te propose de découvrir ou redécouvrir son parcours en moins de 10 minutes.

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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - MARDI 27 04 2021

     

    Passez une bonne journée


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  • Bernard Tapie s'exprime sur son agression, le cancer et les combats de sa vie chez Gilles Bouleau.  Tous droits réservés à TF1


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  • Les images sont saisissantes. Un article de CNEWS rapporte une vidéo d’un aigle royal s’emparant de sa proie, un renard mort, avant de s’envoler à nouveau. Le film est signé Jan Lars Nesje, un photographe animalier amateur originaire de Stryn, à l'ouest de la Norvège

    Les faits se sont justement déroulés près de chez lui, fin mars. Et pour cause, puisque le photographe avait préparé son coup : c’est lui qui a disposé le renard mort afin d’attirer celui qu’il voulait photographier. Et ça n’a pas manqué : l’oiseau est rapidement venu s’en saisir. Et pas n’importe quel oiseau. Il s’agit d’un aigle royal.

    “La plupart des aigles mangent sur place et repartent. Mais celui-ci a mangé un peu de la patte arrière et a emporté le renard avec lui”, a détaillé Jan Lars Nesje.

    Un renard de 6 kilos ?

    Ce sont plusieurs caméras qui ont permis de saisir ce moment assez unique. Unique puisqu’il est rare, parce que très compliqué, d’observer un aigle transporter ce type de proie. D’après le média local NRKJan Lars Nesje estime que le renard aurait pu peser jusqu’à 6 kilos. Selon le chercheur spécialisé sur les aigles Jan Ove Gjershaug, cette donnée est néanmoins peu probable.

    S'il est possible pour cet oiseau de transporter des proies de 4 kilos, ces dernières sont généralement relâchées quelques mètres plus loin.

    Dès lors, quel est le scénario le plus probable pour rendre cette scène crédible ? Selon un autre scientifique interrogé, il est possible que l’aigle photographié ait pu être aidé par le vent, que l’on voit bien présent sur la vidéo.

    Gent Side

    La stupéfiante capture d’un renard par un aigle


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  •  

    Bonne soirée


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  • PARCOUREZ...VERIFIEZ EN CLIQUANT SUR LES VILLES...PLUS PARLANT QU'UN LONG DISCOURS 

    UNE SEMAINE ORDINAIRE....

     

    Melun (77) : rixe géante à la gare opposant 30 à 40 « jeunes », tirs de mortiers, le trafic ferroviaire interrompu
    Noisy-le-Sec (93) : une femme grièvement brûlée dans un bus après avoir été aspergée d’essence (Vidéo)
    Rillieux-la-Pape (69) : le maire à nouveau menacé de décapitation
    Maisons-Laffitte (78) : une quinzaine de « jeunes » de 17 à 18 ans ont agressé les passagers d’un RER en filmant leurs exactions
    Rozay-en-Brie (77) : il pointe son arme factice sur la gorge d’un professeur et menace une cinquantaine de collégiens
    Maurepas (78) : les forces de l’ordre essuient des tirs de mortiers
    Élancourt (78) : le commissariat ciblé par des tirs de mortiers
    Coignières (78) : les sapeurs pompiers et les policiers essuient des tirs de mortiers
    Verneuil-sur-Seine (78) : la police récupère des armes blanches telles que des couteaux, des marteaux et des barres de fer ainsi que des kits pour faire des cocktails Molotov dans des caches, ils reçoivent des projectiles
    Ancenis (44) : un « jeune » de 21 ans accusé d’avoir violé à plusieurs reprises une jeune fille de 13 ans, il a déjà été condamné l’année dernière pour agression sexuelle et est mis en examen pour viol dans une autre affaire
    Montbéliard (25) : tensions au quartier de la Petite Hollande en marge du tournage d’un clip de rap, une centaine de personnes affrontent la police
    Mons-en-Baroeul (59) : la BAC chassée par une cinquantaine de jeunes lors d’un tournage de clip (Vidéo)
    Menton (06) : des migrants « très violents » s’enferment dans le train, deux policiers blessés
    Le Perreux-sur-Marne (94) : refusant le contrôle, deux individus déjà connus des services de police renversent un policier et le traînent sur plusieurs mètres et s’engagent dans une course-poursuite
    Toulouse (31) : des policiers pris à partie lors d’une arrestation quartier de La Reynerie, ils reçoivent de multiples projectiles
    Villeneuve-lès-Maguelone (34) : Deux frères condamnés pour avoir lynché un étudiant de 24 ans, les familles avaient fait pression pour qu’ils ne portent pas plainte. « Je l’ai frappé, frappé, frappé, je n’arrêtais pas de le frapper »
    Lyon (69) : le maire du deuxième arrondissement insulté et menacé par une dizaine de « jeunes »
    Montbéliard (25) : deux policières tabassées à coups de pied au visage par un migrant afghan
    Échirolles (38) : il s’agace en voyant sa vitre brisée et reçoit trois coups de couteau par un « jeune » de 20 ans
    Échirolles (38) : un homme blessé de plusieurs coups de couteau en pleine rue
    Rhône (69) : en six mois, Bassem Saadaoui, déjà condamné 17 fois, avait commis 23 cambriolages à Lyon et Villeurbanne
    Dijon (21) : tirs de mortiers d’artifice et projectiles sur les policiers et les pompiers aux Grésilles
    Pont-de-Chéruy (38) : trois blessés, dont certains par armes blanches, dans une bagarre impliquant « plusieurs familles de la communauté turque » (Vidéo)
    Longvic (21) : trois ans de prison ferme pour un Congolais qui avait lynché sa logeuse qu’il suspectait de sorcellerie
    Agen (47) : violente bagarre entre deux groupes dans une rue du centre-ville, « cinq hommes » rouaient de coup un autre individu
    Goussainville (95) : un homme gravement blessé à la tête après une rixe
    Homécourt (54)Des voitures brûlées la nuit, dégradations, rodéos sauvages : la colère monte
    Toulon (83) : deux adolescents blessés par arme blanche après une rixe près de la gare
    Toulon (83) : un poste de police visé par un coup de feu, la balle a traversé un bureau où se trouvait un policier

    Caen (14) : un individu qui proférait des insultes racistes envers « les blancs » jugé pour rébellion, outrage et violence envers des policiers
    Clermont (60) : des gendarmes visés par des tirs de mortiers après un attroupement
    Dijon (21) : un homme grièvement blessé au cou après avoir reçu un coup de sabre, un suspect “très défavorablement connu de la police” interpellé
    Reims (51) : À Croix-Rouge, la violence perdure malgré le « lifting » du quartier dû à des dépenses publiques inédites. « Des chiffres qui donnent le vertige. Entre 2019 et 2024, la somme de 365 millions d’euros (TTC) va être investie dans les quartiers Croix-Rouge, Orgeval, Châtillons et Europe (…) »
    Mantes-la-Jolie (78) : ils lui roulent dessus et le laissent pour mort (Vidéo)
    Chabanière (69) : la rencontre sur un site homo vire au bain de sang, Ceylan Ibliker larde sa victime de 263 coups de ciseaux
    Chambéry (73) : Anxhelo Dardha, Florjan Geraj, Dejvid Sharki, Orgest Dhembi et Enriko Gjonaj géraient un trafic d’héroïne depuis la prison
    Montpellier (34) : des dealers ont tenté de récupérer leur sac plein de pochon de drogue dans une école
    Marseille (13) : la justice a ordonné au département de prendre en charge les mineurs isolés
    Émeutes urbaines Lyon (69) : huit mois de prison ferme pour le jeune Sefedinne D., 20 ans
    Champigny-sur-Marne (94) : deux adolescents en urgence absolue après avoir été blessés par arme blanche au cours d’un affrontement entre bandes
    >  Seine-Saint-Denis (93) : un couple et leur fils, soupçonnés de vol et recel de véhicules qui devaient être expédiés en Afrique
    >  Nantes (44) : Avec le couvre-feu, les délinquants se font plus discrets et les interprètes en langue arabe ont moins de travail. « Quand des cambrioleurs sont interpellés, il s’agit très souvent (…) de migrants »
    >  Saint-Denis (93) : dix auteurs de vol à la portière, âgés de 16 à 18 ans, ont été interpellés, le gang a fait plus de 70 victimes
    >  Paris (75) : violente rixe opposant une soixantaine de personnes près du lycée Jean de La Fontaine, cinq blessés
    >  Bagneux (92) : deux policiers tentant d’interpeller un jeune sur un scooter volé pris à partie par une trentaine d’individus armés de barres de fer
    >  Dreux (28) : Un Afghan condamné pour avoir agressé sexuellement un agent d’entretien dans un foyer Adoma. Il est également mis en examen pour tentative d’assassinat dans une autre affaire
    >  Paris (75) : une policière agressée sexuellement par un Pakistanais de 27 ans dans le RER D
    >  Tours (37) : un migrant condamné pour avoir poignardé son colocataire
    >  Paris (75) : plusieurs agressions sexuelles au Palais de la femme depuis son ouverture à la mixité avec l’accueil d’hommes “exilés”
    >  Saint-Herblain (44) : des policiers de la Bac caillassés par une dizaine de « jeunes »
    >  Roubaix (59) : au moins un policier et un riverain blessés après des échauffourées avec une bande de « jeunes »
    >  Épinal (88) : confrontée à de nouveaux tirs de mortier, la police crie son ras-le-bol du “manque de fermeté” de la justice
    >  Lagny-sur-Marne (77) : les policiers ciblés par des tirs de mortiers après une interpellation houleuse
    >  Saint-Fons (69) : caillassée pendant une intervention, la police réplique avec un tir de LBD
    >  Paris (75) : les MNA algériens, marocains et tunisiens représentent plus de 75 % des mineurs déférés depuis le déconfinement
    >  Carcassonne (11) : « Je ne savais pas que c’était un point de deal, madame la juge ! », affirme Zakaria, déjà plusieurs fois condamné
    >  Carcassonne (11) : Un équipage de la police municipale caillassé et outragé à Fleming. « Sales flics de merde, sur Allah on vous tuera tous »
    >  Salvagnac (81) : une rixe entre « jeunes » éclate, l’un d’eux est sérieusement blessé à la tête
    >  Mulhouse (68) : Mohamed Ibrahim Hassan, poursuivi pour vol, était également poursuivi sous une autre identité pour une affaire à Strasbourg
    >  Bourg-en-Bresse (01) : humilié, Smail Zounouh avait défiguré son copain avec un couteau
    > > > Avignon (84) : Gokhhan Altintac voulait des gâteaux et sniffer sa coke en garde à vue
    >  Bruges (33) : un homme agressé au couteau dans la rue  

    Roubaix (59) : de nouvelles violences, avec feux de voiture et tirs de mortiers suite à une intervention des forces de l’ordre la veille
    >  Poitiers (86) : un lycéen agressé par une bande après de son établissement scolaire
    >  Besançon (25) : un jeune poignardé dans le tramway par d’autres adolescents
    >  Chesnay-Rocquencourt (78) : un adolescent de 14 ans défend sa prof insultée en classe et est roué de coups à la sortie du collège
    >  Argenteuil (95) : Alisha, 14 ans morte noyée après avoir été frappée et jetée dans la Seine. Deux ados interpellés et déférés pour « assassinat »
    >  Lyon et Feyzin (69) : de nouvelles violences urbaines avec des véhicules incendiés (Vidéo)
    >  Rezé (44) : « Vêtu d’une tenue de jogging », il a agressé au moins une dizaine de femmes âgées de 14 à 80 ans
    >  Bondy (93) : la réintégration pour « vice de forme » d’un collégien exclu après des coups de couteau ne passe pas
    >  Saint-Denis (93) : un « jeune » de 15 ans en garde à vue pour avoir frappé une proviseure
    >  La Valla-en-Gier (42) : deux éducateurs agressés et un véhicule incendié par des « jeunes » en centre éducatif renforcé
    >  Sarcelles (95) : le commissariat de nouveau visé par des tirs de mortiers d’artifice
    >  Nice (06) : un ado de 16 ans entre la vie et la mort après avoir été poignardé, deux individus interpellés
    >  Monteux (84) : deux pompiers agressés à coups de couteau lors d’une intervention
    >  Bordeaux (33) : Abderrahim Aaguida, déjà condamné 39 fois, écope de six mois de prison pour avoir dépouillé une femme de 86 ans décédée sur la scène d’un accident
    >  Aucamville (31) : ils cassent quatre voitures, cambriolent deux maisons et tailladent une victime avec un couteau
    >  Givors (69) : une enseignante reçoit trois coups de poing d’une élève, ses collègues exercent leur droit de retrait
    >  Villeurbanne (69) : un élève lance une grosse pierre sur un enseignant, les profs en grève
    >  Vandœuvre-lès-Nancy (54) : deux policiers agressés, dont un lynché au sol, par une vingtaine de « jeunes » alors qu’ils tentaient d’interpeller un individu dangereux
    >  Metz (57) : un ado de 15 ans voulait « tuer un prof », armé d’un couteau de 30 cm, il est interpellé dans son collège
    >  Saint-Éloi-de-Fourques (27) : Des petits caïds, âgés de 6 à 7 ans, tyrannisent les autres élèves et les instituteurs. Le maire appelle à ne pas “stigmatiser”
    >  Lyon (69) : un élève du lycée Saint-Louis-Saint-Bruno a été blessé avec une arme blanche et une béquille par un groupe extérieur au lycée
    >  Saint-Martin-la-Plaine (42) : Des incivilités récurrentes qui agacent les riverains. “On est venu s’installer dans le village pour trouver de la tranquillité… On craint pour nos enfants”
    >  Roubaix (59) : Accusée de prosélytisme islamique, une association de jeunesse doit rembourser 25 000 euros de subventions à la région. La mairie lui a versé 64 000 euros mais attend pour se prononcer
    >  Clermont-Ferrand (63) : Un Congolais, qui se définit lui-même comme un “raciste anti-blanc”, tente d’attaquer une femme dans le tram puis agresse des policiers. “Je déteste la France”
    >  Mulhouse (68) : Mohamed et Kamel, en situation irrégulière, condamnés à 6 et 10 mois de prison. « Voler et escroquer est leur activité principale »
    >  Rillieux-la-Pape (69) : des policiers municipaux visés par des jets de pierres, un mineur interpellé
    >  Saint-Étienne (42) : un homme blessé d’un coup de couteau près du palais de Justice
    >  Clermont-Ferrand (63) : l’Azéri, harceleur compulsif, condamné à dix mois de prison avec sursis
    >  Savigny-le-Temple (77) : le pickpocket migrant mineur isolé ciblait les téléphones de femmes à travers l’Île-de-France
    >  Villepinte (93) : Zyed B. et Djiguiba D. condamnés à 10 ans de prison pour actes de torture sur un codétenu
    >  Douai (59) : en prison, Rashid agresse Mohamed au couteau sous la douche, la justice saisie
    >  Créteil (94) : cinq ados de 16 ans interpellés pour des actes de torture sur des victimes de 12 ans
    >  Limoges (87) : un Mahorais condamné pour avoir séquestré et violé une jeune femmelors d’un cambriolage  

    Marseille (13) : un homme placé en détention après avoir brûlé son chien au 3e degré, déjà connu pour « viol en réunion, vols, détournement d’identité… »
    > > > Paris (75) : des pickpockets bosniens volent le portefeuille d’un commandant de police dans le métro
    >  Saint-Pol-sur-Ternoise (62) : bagarre et coups de couteau sur le parking de Carrefour Market, trois blessés
    >  Angoulême (16) : Mouhcine condamné pour avoir tiré dans la cuisse d’Hamza, alors qu’il était dans un appartement avec Amine et Aymane, abattu un mois plus tard
    >  Coquelles (62) : un migrant soudanais blessé après un affrontement avec un autre migrant
    >  Angoulême (16) : les forces de l’ordre essuient des jets de projectiles en voulant interpeller un homme qui les avait déjà caillassées plus tôt dans la journée
    >  Montargis (45) : un escroc turc dont le casier judiciaire fait état de 19 mentions sévissait en tant qu’ “avocat”
    >  Nîmes (30) : Après avoir bu ses 3 litres de bière quotidiens, Farid, riche d’un casier judiciaire qui compte 24 mentions, s’attaque à une octogénaire en déambulateur
    >  Saint-Étienne (42) : Abdelkrim, 21 mentions au casier judiciaire, vole pour partir en vacances à Cannes, puis se justifie auprès du tribunal “J’ai des problèmes aux dents”
    >  Nîmes (30) : interpellé dans un camp de gens du voyages après avoir dépouillé une femme âgée de 84 ans, il se justifie : «Mon RSA ne me suffit pas pour financer mon cannabis»
    >  Lannion (22) : sous OQTF, un migrant libyen condamné pour la 5e fois à de la prison ferme
    >  France : 4 migrants soupçonnés d’avoir commis 77 cambriolages dans l’Eure-et-Loir, le Loiret, l’Eure, l’Aisne, le Doubs, la Loire, la Marne, la Meurthe-et-Moselle, l’Oise, l’Yonne et le Val-d’Oise
    >  Montpellier (34) : attendri, un sexagénaire donne 25€ à un jeune gitan qui mendie, puis se fait dépouiller de 80000€
    >  Nantes (44) : après un différend, il aurait tailladé le visage de son voisin avec une hache
    >  Nancy (54) : une ado de 17 ans tabassée et forcée de se déshabiller en pleine rue par une bande de « jeunes » qui avait organisé un piège
    >  Carpentras (84) : ils voulaient décapiter la bande rivale, sept hommes arrêtés
    >  Sens (89) : des violences urbaines dans le quartier des Chaillots, la maire dénonce « une bande de vandales »
    >  Courbevoie (92) : un homme touché au dos par balles dans le quartier de la Défense
    >  Épône (78) : une vingtaine d’individus tire des mortiers sur la police
    >  Toulouse (31) : un individu grièvement blessé à la carotide après une agression au couteau, en plein centre-ville
    >  Mulhouse (68) : la « soirée cool » vire à l’agression sexuelle, Ozkan, « un profil très inquiétant » déjà plusieurs fois condamné, écope d’un an de prison dont six avec sursis
    Échirolles (38) : nouveaux jets de projectiles sur le poste de police municipale, tirs de mortiers sur des passants
    Saint-Priest, Vénissieux et Lyon (69) : nouvelle soirée de tensions, incendies, jets de projectiles et tirs de mortiers sur les policiers, deux « jeunes » interpellés (Vidéo»

     

    Voilà c'est notre France 

    UNE SEMAINE ORDINAIRE....


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  • Deux mois après l'assassinat par décapitation du professeur Samuel Paty, Christine Tasin, président de l'association Résistance Républicaine, revient sur la conquête de l'école par l'islamisme. Un phénomène qui remonte aux années 70 avec le choc pétrolier, lorsque les pays occidentaux sont allés négocier un pétrole relativement peu cher en échange de la promotion de l'islam et du renoncement à l'assimilation des nouveaux venus. Conséquence de cela, le niveau scolaire s'est effondré et un cours sur la liberté d'expression se termine par un attentat islamiste. Christine Tasin évoque également la gestion gouvernementale du Covid.

    23 novembre 2020 - Chaîne officielle TVLibertés


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  • Le Test de la baignoire :

    Lors de ma dernière visite médicale, j’ai demandé à mon médecin :

    - Comment déterminez-vous si on doit placer un patient dans une maison de retraite pour personnes âgées ?"

    - Eh bien, répond-il, nous remplissons une baignoire, ensuite vous avez le choix entre une petite cuillère, une tasse à thé, et un seau, et je leur demande de vider la baignoire.

    - Oh, je comprends : une personne normale prendra le seau parce que c’est plus grand qu'une cuillère ou qu’une tasse à thé.

    - Pas du tout, rétorque mon médecin. Une personne normale enlèvera le bouchon de la baignoire. Voulez-vous un lit près de la fenêtre ?


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  • Harmonie parfaite entre l'homme et la nature


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  • 26 000 manifestants ont défilé partout en France pour réclamer la "justice pour Sarah Halimi"

    Plus de 25 000 personnes, dont 20 000 à Paris, ont protesté ce dimanche dans plusieurs villes de France pour dénoncer l'absence de procès du meurtrier de Sarah Halimi, a relevé le réseau France Bleu. Une décision de la Cour de cassation, le 14 avril dernier, a confirmé le caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi, sexagénaire juive, en 2017 à Paris. Mais elle a aussi entériné l'irresponsabilité pénale du meurtrier, qui ne sera donc pas jugé. Selon les experts qui l'ont examiné, il était en proie à une "bouffée délirante" lorsqu'il a tué sa voisine, après la consommation de stupéfiants.

    À Paris, 20 000 personnes se sont retouvées, sur la place du Trocadéro, pour dénoncer l'absence de procès du meurtrier de Sarah Halimi, selon la préfecture.

    À Marseille, plusieurs milliers de personnes se sont ainsi rassemblées sur le parvis du tribunal judiciaire pour rendre hommage à Sarah Halimi, peut-on voir dans une vidéo captée par France Bleu Provence. À Strasbourg, près d'un millier de manifestants s'est aussi réuni, rapporte France Bleu Alsace. Comme le veut la tradition juive, les participants ont déposé des pierres devant le monument aux morts de la place de la République.

    À Bordeaux, environ 300 personnes, selon les organisateurs, se sont rassemblées près du palais de justice, indique France Bleu Gironde. A Nice, au moins 500 personnes se sont mobilisées devant le Palais de Justice. Le maire Christian Estrosi a pris la parole. A Montpellier, un "rassemblement de colère" a réuni plusieurs centaine de personnes place de la Comédie.

    Christophe Castaner, le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale, était présent. Il a expliqué qu'il soutenait ce rassemblement et que la loi allait changer. Le ministère de la Justice a en effet annoncé ce dimanche le dépôt fin mai d'un projet de loi "pour combler le vide juridique apparu dans l’affaire Sarah Halimi. Cette histoire tragique qui nous a tous marqués va faire avancer notre droit", écrit Éric Dupond-Moretti sur Twitter.

    PLACIDE


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  • Bretagne : Joséphine, phoque star de la Rance, s’est éteint dimanche matin

     L’animal était un habitué de la rivière bretonne où il vivait depuis plus de vingt ans

    Elle occupait la Rance depuis plus de vingt ans. Baptisé Joséphine ou plus scientifiquement « L9 », le phoque le plus célèbre de la côte nord bretonne s’est éteint ce dimanche matin. C’est le responsable du port de Binic, dans les Côtes d’Armor, qui a découvert le corps sans vie de l’animal, âgé de 21 ans, précise l’association Al-Lark​ qui la suit depuis des années. Il y a trois semaines, le veau marin avait quitté sa rivière habituelle pour prendre le large et s’aventurer dans la baie du Mont Saint-Michel. Elle avait récemment élu domicile aux abords de la baie de Saint-Brieuc pour y mener des derniers jours que l’on espère paisibles.

     

    Les connaisseurs de Joséphine savaient qu’elle souffrait de problèmes de reins depuis son passage à Océanopolis l’été dernier. Très amaigrie, la femelle y avait été accueillie pour être soignée. Après plusieurs semaines de soins intensifs, le phoque star de la Rance avait été ramené à Plouër-sur-Rance, où il avait l’habitude d’évoluer.

     

    Une autopsie programmée

    Ne pesant que 43 kg à son arrivée dans le centre de soins de Brest, au lieu d’une centaine en temps normal, Joséphine s’était remplumée et avait retrouvé son milieu naturel sans encombre. A quelques kilomètres des colonies de phoques veaux marins établis dans la baie du Mont Saint-Michel. Mais toujours à portée d’appareil photo des habitants des bords de Rance.

    Le corps de Joséphine sera autopsié mais la raison de sa mort ne fait guère de doute. Si une femelle peut vivre jusqu’à 35 ans, les problèmes rénaux de la star de la Rance lui ont sans doute été fatals.

    20 Minutes


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  • Une tribune signée par des militaires scandalise la gauche, Marine Le Pen exulte

    Une partie de la gauche a fustigé samedi 24 avril la publication dans « Valeurs Actuelles » d’une tribune de plusieurs militaires, dont 20 généraux, évoquant « le délitement » de la France, suivi d’une lettre de Marine Le Pen les invitant à la rejoindre pour la présidentielle.

    Le journal a publié mercredi une tribune lancée par Jean-Pierre Fabre-Bernadac, officier de carrière et responsable du site Place Armes, appelant Emmanuel Macron à défendre le patriotisme, signée par « une vingtaine de généraux, une centaine de hauts gradés et plus d’un millier d’autres militaires », selon l’hebdomadaire.

    Ces généraux qui ont l’oreille des patrons

    Ceux-ci dénoncent le « délitement » qui frappe la patrie et « qui, à travers un certain antiracisme, s’affiche dans un seul but : créer sur notre sol un mal-être, voire une haine entre les communautés […] Délitement qui, avec l’islamisme et les hordes de banlieue, entraîne le détachement de multiples parcelles de la nation pour les transformer en territoires soumis à des dogmes contraires à notre constitution […] Délitement, car […] le pouvoir utilise les forces de l’ordre comme agents supplétifs et boucs émissaires face à des Français en gilets jaunes exprimant leurs désespoirs », selon ce texte.

    « Nous sommes disposés à soutenir les politiques qui prendront en considération la sauvegarde de la nation », ajoutent-ils.

    L’extrême droite exulte

    Deux jours plus tard « Valeurs Actuelles » publie une réponse de Marine Le Pen : « Je vous invite à vous joindre à notre action pour prendre part à la bataille qui s’ouvre […] qui est avant tout la bataille de la France »« Comme citoyenne et comme femme politique, je souscris à vos analyses et partage votre affliction », a-t-elle écrit.

    D’autres personnalités ont félicité cette tribune, à l’image de Florian Philippot, chef du parti les Patriotes et ex-RN, qui souligne le « patriotisme » de ces généraux.

    L’ire de la gauche

    De quoi provoquer l’ire de plusieurs figures de la gauche qui ont dénoncé le manque de réaction du gouvernement. Jean-Luc Mélenchon a fustigé la « stupéfiante déclaration de militaires s’arrogeant le droit d’appeler leur collègue d’active à une intervention contre les islamogauchistes ».

    « 60 ans après le début du “putsch d’ALGER” , 20 généraux menacent explicitement la République d’un coup d’état militaire. @MLP_officiel les appelle à la rejoindre. Aucune réaction de @florence_parly @JeanCASTEX ni @EmmanuelMacron », s’est aussi indigné Benoît Hamon.

    « Des militaires appellent à une chasse aux sorcières, à une éradication, à défendre des valeurs civilisationnelles à rebours de la République, ça finit sur une menace de guerre civile, Le Pen salue ces apprentis factieux et ? Rien. On se réveille ? », a renchéri le député LFI Eric Coquerel. Conclusion, pour Aurélien Taché : « La démocratie française est bel et bien menacée ».

    La semaine précédente, « Valeurs Actuelles » avait publié une tribune de Philippe de Villiers titrée « J’appelle à l’insurrection ». Son frère, Pierre de Villiers, ancien chef d’état-major des armées est cité par certains comme possible candidat à la présidentielle de 2022.

    L'OBS


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  • Les photos de trois fonctionnaires de police, accompagnées de la mention "mort ou vif", ont été placardées sur un mur dans la commune d'Échirolles (Isère), à côté de Grenoble. Une enquête est ouverte.

    C'est une passante qui a prévenu les forces de l'ordre, samedi en fin d'après-midi. À Échirolles, une commune d'Isère qui jouxte Grenoble, trois policiers grenoblois ont vu leur portrait placardé sur un mur, accompagné d'un message : "morts ou vifs", selon des sources concordantes à BFMTV.

     

    Sur l'affiche, ils sont en uniforme et reconnaissables. Selon France Bleu, ils appartiennent au groupe de sécurité de proximité de Grenoble.

    Une enquête a été ouverte pour menace de crime ou délit contre les personnes ou les biens à l’encontre de dépositaires de l’autorité publique, une infraction punie d’une peine de trois ans de prison.

    L’enquête a été confiée à la direction départementale de la sécurité publique de Grenoble.

    Sécurité renforcée

    Ces faits surviennent deux jours après la mort d'une fonctionnaire de police à Rambouillet (Yvelines), suite à une attaque au couteau ainsi que dans un contexte d'hostilité croissante envers les forces de l'ordre, cibles privilégiées des terroristes et victimes d'attaques dans le cadre de leur travail.

    Après l'attaque de Rambouillet, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin a demandé aux préfets de renforcer la sécurité aux abords des commissariats et des brigades de gendarmerie.

    BFM.TV


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  • Je crois qu'il a été adopté !


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  • Poursuivi par la police depuis le Val-de-Marne, un chauffard a percuté la voiture d'une famille à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), dans la nuit de samedi à dimanche. Le bilan est lourd : deux personnes ont perdu la vie dans la collision, a indiqué le parquet de Bobigny. Deux autres personnes ont été grièvement blessées. Le jeune homme avait été « pris en chasse par une brigade anticriminalité depuis Champigny-sur-Marne » (Val-de-Marne) à la suite d'un refus d'obtempérer, a expliqué cette source, confirmant une information du Parisien.

     

    Vers 1 heure, le chauffard a quitté l'autoroute et a emprunté le rond-point des Droits-de-L'homme à Aulnay-sous-Bois. « Il a brûlé un feu rouge et percuté un véhicule qui contenait quatre personnes » d'une même famille, a poursuivi le parquet. La femme et son fils, âgé de 3 ans, sont décédés sur place, tandis que le père et une petite fille de 7 ans ont été transportés à l'hôpital dans un état grave.

    Sous l'empire de l'alcool et de stupéfiants

    L'accident, très violent, s'était déjà produit lorsque la BAC est arrivée à son tour sur les lieux, a également dit le parquet, précisant que le chauffard avait été interpellé par d'autres effectifs de la police nationale. Âgé de 27 ans et inconnu de la justice, il était sous l'empire de l'alcool et de stupéfiants au moment des faits. Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte et confiée au commissariat local.

    Le Point


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  • L’organe a été maintenu « en vie » pendant six heures

    De battre le cœur a continué. Les équipes de chirurgie cardiaque et d’anesthésie-réanimation du CHU de Rennes ont réalisé une grande première à leur niveau en maintenant « en vie » un cœur hors de tout corps pendant plusieurs heures pour les besoins d’une transplantation cardiaque. L’opération a eu lieu le 26 mars et a été rendue possible par la technologie américaine Organ Care System, dont seulement trois hôpitaux français sont équipés. Elle se veut une alternative à la technique habituelle consistant à conserver le cœur à l’arrêt dans la glace.

     

    Avec ce nouveau procédé, le cœur encore battant est prélevé sur une personne en état de mort cérébrale avant d’être déposé dans une machine de la taille d’une glacière où il va être perfusé en sang oxygéné. Les équipes rennaises ont ensuite pris l’avion puis la voiture avec à son bord le cœur palpitant. Pendant six heures, du prélèvement à la transplantation, l’organe a ainsi continué à battre durant cette opération qui « est un succès », indique le CHU de Rennes.

    Un coût de plus de 30.000 euros par opération

    L’établissement breton souligne que grâce à cette technique, certains pays comme l’Angleterre parviennent désormais à réanimer des cœurs pourtant prélevés arrêtés chez un donneur, permettant ainsi d’augmenter le nombre de transplantations réalisées chaque année. L’intervention a toutefois un coût qui se chiffre à plus de 30.000 euros par opération, auxquels s’ajoutent les frais de déplacement de l’équipe de prélèvement.

    Le CHU de Rennes y voit tout de même un motif d’espoir pour les malades. « Appliquée au cœur, au foie ou encore aux poumons, cette approche fait entrer la greffe dans une nouvelle ère, sans jamais remettre en cause l’efficacité des techniques plus "traditionnelles" de conservation par le froid », souligne l’établissement breton.

    20 Minutes


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  • Attentat de Rambouillet : « Il y a un problème tunisien »

    Yadh Ben Achour

    Son nom est Jamel Gorchene. Arrivé illégalement en France en 2009, ce ressortissant tunisien de 36 ans, qui avait obtenu sa carte de séjour en décembre 2020 et officiait en tant que chauffer-livreur, était inconnu des services de renseignement. C'est lui qui s'est rendu vendredi à 14 h 20 à l'entrée du commissariat de police de Rambouillet, en région parisienne, pour porter deux coups de couteau à la gorge de Stéphanie M., agente administratif de 49 ans, décédée sur place. D'après des témoins, l'assaillant aurait crié « Allah akbar » (Dieu est grand) en commettant son forfait. Il a été tué par les tirs de policiers qui tentaient de l'arrêter. Les enquêteurs ont trouvé dans son téléphone portable des nasheeds, des chants religieux musulmans, fréquemment utilisés pour la propagande djihadiste.

     

    C'est la deuxième fois, en moins de cinq mois, qu'un ressortissant tunisien commet un attentat terroriste sur le sol français. Déjà, le 29 octobre dernier, Brahim Aouissaoui, migrant de 21 ans qui venait d'arriver de Tunisie, égorgeait trois personnes dans la basilique de Nice. Jamel Gorchene, le terroriste du commissariat de Rambouillet, était originaire de M'saken, ville moyenne située dans l'arrière-pays de la station balnéaire de Sousse, au centre-est de la Tunisie. C'est de cette même localité que venait Mohamed Lahouaiej-Bouhlel, l'homme qui avait foncé avec un camion dans la foule le 14 juillet 2016 à Nice, faisant 86 morts. Éminent juriste tunisien et figure clé de la Révolution du jasmin, Yadh Ben Achour, membre du comité des droits de l'homme des Nations unies, a publié en mars L'Islam et la Démocratie : une révolution intérieure (éditions Gallimard)*. Dans un entretien au Point, l'ancien président de la Haute Instance pour la réforme politique et la transition démocratique dénonce le rôle du mouvement islamiste Ennahdha, au pouvoir en Tunisie, dans l'essor du djihadisme dans le pays.
     

    Le Point : Peut-on dire qu'il existe une « filière » djihadiste tunisienne ?

    Yadh Ben Achour : En tant que tunisien, je dois dire que je suis désolé de ce qui s'est passé au commissariat de Rambouillet, et je me sens concerné, car cet « énergumène » qui a égorgé cette fonctionnaire de police était tunisien. Maintenant, je pense que l'on ne peut pas parler de « filière tunisienne », car cet attentat n'a pas été commis par une personne qui venait d'arriver en France. À ma connaissance, l'individu résidait sur le territoire français depuis 2009. Et il semble qu'il n'ait pas connu de problèmes au cours de ses premières années d'installation. Il avait même pu obtenir ses papiers.

    Comment expliquer dès lors sa radicalisation ?

    Je dirais qu'il a subi l'influence des réseaux sociaux, ou permettez-moi plutôt de les appeler les « réseaux antisociaux ». Il s'agit, selon moi, de réseaux qui diffusent des discours de haine et de violence, et qui ont lavé le cerveau d'un individu à l'esprit simple, qui n'avait de surcroît aucun diplôme.

    Les seuls réseaux sociaux peuvent-ils expliquer son passage à l'acte ?

    Pas du tout. Il y a, à mon avis, un problème tunisien, indépendamment de l'attentat de Rambouillet. Je vous rappelle qu'après l'assassinat de Samuel Paty, certains islamistes tunisiens ont déclaré sur les réseaux sociaux, et jusqu'à l'intérieur de l'Assemblée, qu'il ne fallait pas permettre d'insulter l'islam et de caricaturer le prophète. Comme s'ils justifiaient le passage à l'acte du terroriste. Il y a un laisser-aller en Tunisie face aux questions de radicalisation et de terrorisme. En tant que tunisien, je dénonce les politiques laxistes du gouvernement en la matière. Je désigne la responsabilité de la troïka [le gouvernement de coalition de 2011 à 2014 formé d'Ennahdha, du Congrès pour la République et d'Ettakatol, NDLR], et notamment du Parti islamiste qui a remporté les élections de 2011. À l'époque, pendant que les sonnettes d'alarme étaient agitées, et que les journalistes attiraient l'attention sur la présence de groupes qui s'entraînaient dans les montagnes du Chambi, le ministre de l'Intérieur islamiste répondait qu'il ne s'agissait que de camps de sport et qu'il était impossible de les arrêter ! De la même manière, les autorités islamistes ont empêché l'arrestation dans une mosquée à Tunis du djihadiste tunisien d'Abou Iyad, chef du groupe Ansar al-Charia, qui sera finalement tué en Libye. Ces multiples complicités des autorités tunisiennes vis-à-vis de la violence et du terrorisme sont répertoriées dans le livre de Moustapha El Haddad (L'embrigadement des jeunes pour le djihad : le « paradoxe tunisien », aux éditions Arabesques).

    Pourquoi ne désignez-vous pas nommément le parti islamiste Ennahdha ?

    Si, je les nomme, il s'agit bel et bien du parti Ennahdha. Même s'ils ne sont pas directement liés à l'attentat de Rambouillet, le fait est que ces islamistes ont contribué au développement de la violence et du terrorisme en Tunisie, et surtout à son exportation au Moyen-Orient. Ils ont pactisé à une époque avec les wahhabites [tenants d'une vision ultrarigoriste de l'islam, NDLR], des esprits totalement intégristes qu'ils ont invités en Tunisie pour prêcher des discours rétrogrades, comme la justification de l'excision des femmes.

    Mais n'est-ce pas le cas de nombreux pays occidentaux, alliés de longue date de l'Arabie saoudite qui a longtemps exporté cette vision de l'islam ?

    C'est en effet une contradiction fondamentale des pays occidentaux. Lorsque je vois, par exemple, la politique menée par Donald Trump à l'égard de l'Arabie saoudite, je me rends compte que, en agissant de la sorte, il n'a fait qu'alimenter la source nourricière du djihadisme, qui n'est que le passage à l'action violente de la théorie wahhabite.

    N'est-ce pas paradoxal pour la Tunisie d'être traversée par ce courant djihadiste alors qu'elle demeure le seul pays arabe à avoir réussi son « Printemps » ?

    Bien que la Tunisie connaisse une démocratie naissante, bien qu'elle se fasse remarquer par certains exploits dans les domaines de l'art, du cinéma, du sport et même de la conquête spatiale, même si de nombreux médecins en France sont tunisiens, il faut dénoncer certaines réalités : nous, Tunisiens, sommes victimes d'une politique de complicité vis-à-vis du terrorisme sciemment maintenue par les autorités de notre pays. Elles ont à mon sens une responsabilité dans le départ de nombreux jeunes Tunisiens embrigadés en Syrie et en Irak, dans leur adhésion à des mouvements terroristes comme Daech ou Ansar al-Charia. Il y a un problème politique en Tunisie.

    Le parti islamiste Ennahdha n'a-t-il pas officiellement pris ses distances avec l'islam politique en 2016 ?

    Les islamistes d'Ennahdha sont tout d'abord les champions du double discours, en fonction de leur interlocuteur. Ils ont ainsi tout intérêt à se tenir publiquement éloignés de toute violence. Maintenant, même si leur prise de distance était réelle, le mal est déjà profond en Tunisie. La complicité que je dénonce a débuté en 2011 après la prise du pouvoir par les islamistes [qui ont remporté une majorité de sièges à l'Assemblée constituante, NDLR]. Jusqu'ici, nous n'avons pas élucidé leur part de responsabilité dans l'assassinat des opposants tunisiens Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi en 2013. Or, d'après les renseignements dont on dispose, tout a été fait pour brouiller les pistes afin que la vérité n'éclate pas au grand jour.

    Mais Ennahdha, arrivé en tête des législatives de 2019, n'est-il toujours pas le parti le plus populaire en Tunisie ?

    C'était vrai lors des élections de 2011, moins vrai pour le scrutin de 2014, et encore moins après les législatives de 2019. Les islamistes font l'objet d'une hostilité très forte dans la société tunisienne. Si on organisait des élections aujourd'hui, je ne pense pas qu'ils obtiendraient la majorité des suffrages. On sent bien que leur électorat en Tunisie est en train de fondre, et ils connaissent d'ailleurs un conflit réel avec le président de la République, Kaïs Saïed. Malgré les graves inconstitutionnalités dont le chef de l'État se rend coupable depuis quelques mois [refus d'accepter des ministres qui ont obtenu l'assentiment de l'assemblée, refus de promulguer des lois votées par celle-ci, NDLR], il est toujours suivi par une large frange de la population uniquement dans le but d'exclure les islamistes du pouvoir.

    Croyez-vous en « l'islamisme modéré » dont ils se réclament ?

    Je crois au musulman modéré, mais ne suis pas tellement convaincu par l'islamisme modéré. Car il existe une contradiction entre la volonté de faire prévaloir la cause de Dieu à celle de l'État, les droits divins aux droits de l'homme. On ne peut pas perdre de vue ces motivations qui, en soi, ne peuvent à mon avis déboucher que sur la violence. Je l'ai d'ailleurs écrit dans mon dernier livre.

    Comprenez-vous le débat sur l'islamisme qui agite actuellement la France ?

    La France se retrouve prisonnière de son principe de liberté d'expression qui fait que des propos scandaleux peuvent être exprimés sur les réseaux sociaux. Ceux-ci doivent à mon avis faire l'objet d'une surveillance renforcée. Par ailleurs, ce dont les musulmans ne sont pas conscients, c'est que ces phénomènes d'attentats répétitifs vont finir par provoquer en France une sorte de contre-violence. N'oubliez pas que ce pays a vu naître l'OAS lors de la guerre d'Algérie. Ce que les auteurs de tels attentats ne savent pas, car ils sont trop ignorants et imbus de leurs propres certitudes pour pouvoir raisonner sereinement, c'est qu'il pourrait se développer en réaction au sein de la population française une violence à l'égard des mosquées ou des musulmans qui se démarquent par leur habillement. Pour ma part, je n'exclus pas ce risque.

    La loi contre le séparatisme est-elle, selon vous, la solution ?

    Je suis d'avis qu'une démocratie doit avoir le droit de se défendre. Maintenant, il faut se demander si cette loi peut être efficace, et si elle ne risque pas, au lieu de viser le radicalisme, d'attenter aux libertés de l'ensemble de la communauté musulmane qui pourrait ainsi se sentir visée. En tant que membre du comité des droits de l'homme de l'ONU, je suis assez sensible à la garantie des libertés. J'estime pour ma part que la manière la plus efficace de lutter contre tous ces mouvements radicaux est l'action culturelle, éducative, éthique et démographique afin de faire adhérer les communautés musulmanes aux valeurs de laïcité et de séparation du politique et du religieux. L'objectif est de rompre avec la culture de la religion civile. Une politique beaucoup plus subtile que la loi sur le séparatisme pourrait être menée.

    Le Point  - Propos recueillis par Armin Arefi


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