• Un adolescent de 16 ans avoue avoir mis le feu délibérément à la forêt d’Anglet

    Le 30 juillet, 167 hectares de végétation sont partis en fumée dans un incendie. L'auteur des faits est sorti du silence.

    Un mineur de 16 ans a été mis en examen "pour destruction volontaire par incendie" de la forêt de Chiberta en plein centre d'Anglet (Pyrénées-Atlantiques), où le feu avait ravagé le 30 juillet 167 ha de végétation, a annoncé vendredi le procureur de Bayonne.

    A lire :Les images spectaculaires de l'incendie à Anglet

    Cet adolescent? qui vivait dans un foyer et avait "une tendance avérée à la pyromanie, s'est vanté auprès de ses camarades d'en être l'auteur", a précisé le procureur. Ce spectaculaire incendie avait également détruit cinq maisons, sans faire de victimes.

    Paris Match


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  • Le prince saoudien Mohammed Ben Salmane retente l’assassinat

    Un ancien conseiller sécurité de Ryad accuse Ben Salmane d’avoir envoyé ses mercenaires pour le tuer au Canada. Façon Khashoggi.

    Le 2 octobre 2018, le journaliste Jamal Khashoggi, ennemi juré du prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane (MBS), est tué et dépecé au consulat saoudien d’Istanbul, en Turquie. Le même type d’assassinat extrajudiciaire a failli se reproduire deux semaines plus tard… La cible ? Saad al-Jabri, un ancien haut fonctionnaire du renseignement saoudien, réfugié au Canada.

    Ce dernier doit la vie à la vigilance des garde-frontières de l’aéroport de Toronto qui ont repéré l’escouade saoudienne. Elle était dotée de visas de tourisme, de  deux sacs d’outils médico-légaux  et composée d’hommes  expérimentés dans le nettoyage de scènes de crime », dont un proche  des médecins légistes qui ont démembré Khashoggi avec une scie à os .

    Cette tentative d’assassinat est racontée par Saad al-Jabri, lui-même, dans la plainte de 106 pages qu’il vient de déposer auprès d’un tribunal de Washington, aux États-Unis. Le Washington Post, dans lequel écrivait Khashoggi la juge crédible. Le journal a interrogé d’anciens cadres de la CIA, qui ont travaillé avec al-Jabri. Ce dernier était le fidèle conseiller en sécurité de Mohammed ben Nayef, l’autre héritier du Royaume que MBS a écarté. Ces derniers confirment qu’al-Jabri était ciblé parce qu’il possédait des  informations accablantes  sur les comptes bancaires étrangers et les actifs financiers de la famille royale saoudienne.

    Le Canada a confirmé les faits à l’aéroport. La plainte vise directement le prince.  Cette escouade est connue comme le Tiger Squad, ses mercenaires personnels  , assure le survivant.

    Ouest-France


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  • Pas-de-Calais: 19 migrants secourus dans la Manche lors de différentes opérations

    Dix-neuf migrants ont été secourus lors de différentes opérations dans le détroit du Pas-de-Calais ce jeudi, alors qu'ils tentaient de rejoindre la Grande-Bretagne, a indiqué la préfecture maritime. 

    Vers 6h, le patrouilleur des affaires maritimes Thémis, en mer dans la zone, a pris en charge trois migrants à bord d'un kayak en difficulté, puis, sur sa route vers le port de Calais, un autre migrant également sur un kayak, a rapporté la préfecture maritime de la Manche et de la Mer du Nord dans un communiqué.

    "Ils sont tous sains et saufs"

    Le centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) Gris-Nez a ensuite été prévenu vers 8h de la présence de trois migrants en difficulté à bord d'un kayak au large de Tardinghen. Ils ont été secourus par une vedette de la brigade nautique de la gendarmerie.

    Plus tard dans l'après-midi, peu avant 15h, la Thémis a également récupéré 12 migrants "victimes d'une panne moteur sur leur embarcation pneumatique qui commençait à prendre l'eau". Certains des naufragés semblant en "état d'hypothermie", "une prise en charge des naufragés par les pompiers à leur arrivée" a été préconisée. "Ils sont tous sains et saufs", a indiqué la préfecture.

     

    BFM.TV

    La France va bien s'en occuper !


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  • Var : Une mère de famille se fait interdire l’accès au supermarché à cause de son décolleté

    Depuis que sa mésaventure a été rendue publique, le hashtag #JeKiffeMonDecollete se hisse en tête des tendances de Twitter en France. Une jeune femme de Six-Fours-les-Plages (Var) s’est vu refuser l’entrée d’un supermarché en raison de son décolleté, jugé trop provoquant par l’agent de sécurité.

    C’est une histoire qui aura fait couler beaucoup d’encre. Celle de Marion, qui assume sa féminité et dénonce la scène humiliante qu’elle a enduré vendredi dernier à l’entrée d’un supermarché Casino de Six-Fours-les-Plages, près de Toulon, rapporte Var-Matin.

    Il était 17 heures ce jour-là, lorsque la jeune femme s’est présentée devant le supermarché du coin, accompagnée de sa belle-mère. Elle avait l’intention d’acheter des couches et des lingettes pour sa fille. Contre toute attente, un agent de sécurité lui a barré le passage.

     

    « Il m’a dit : ‘Ce ne sera pas possible dans cette tenue, vous êtes trop dénudée, vous ne rentrez pas comme ça dans le magasin. On aurait dit un videur de boîte de nuit ! » a témoigné la mère de famille auprès du quotidien régional. Pourtant, aucune justification ne pourrait expliquer une telle réaction, d’autant plus que son décolleté n’avait rien d’outrancier.

    Marion a alors demandé à ce que la responsable du magasin intervienne. Mais elle ne s’attendait sûrement pas à la réaction de la gérante, qui a pris le parti de l’agent de sécurité. Cette dernière a demandé aux deux femmes de quitter les lieux.

    « Elle a été odieuse. Ils m’ont fait passer pour une moins que rien, devant tout le monde ! J’avais beau me défendre, ils ne voulaient rien entendre ! » a dénoncé la jeune femme, elle aussi commerçante du quartier, qui assure avoir « pourtant l’habitude de gérer de drôles de situations ». Elle l’avoue : « Ils m’ont fait craquer. En rentrant, j’ai pleuré comme un bébé… J’avais jamais vécu un truc pareil », a-t-elle confié à Var-Matin.

    Elle se rend au commissariat

    Après avoir longuement ruminé, Marion a décidé de se rendre au commissariat de police pour déposer plainte, lundi. Finalement, un fonctionnaire a discuté avec elle et l’a convaincue qu’il serait « compliqué de prouver que cet incident relève d’une infraction pénale », d’autant qu’il était « peu probable que le parquet donne suite ». Le policier lui a toutefois assuré comprendre l’humiliation et le traumatisme subi. Ainsi, plutôt que d’initier une procédure judiciaire à l’issue incertaine, il lui a proposé de faire office de médiateur en prenant contact avec la responsable du supermarché Casino incriminé.

    Cette dernière s’est alors « confondue en excuses » et a tenté d’expliquer sa prise de position. Elle a évoqué avoir passé des consignes à l’agent de sécurité pour qu’il interdise l’entrée de personnes trop légèrement vêtues ou en maillot de bain, en cette saison estivale. La gérante a confié qu’elle n’avait pas osé le désavouer devant la clientèle. Elle a finalement reconnu que la tenue de Marion était acceptable et que l’entrée du magasin n’aurait pas dû lui être refusée.

    Le groupe Casino présente ses excuses

    La gérante a également proposé un geste commercial à la jeune femme, qui ne l’a pas accepté. Cette affaire aurait pu en rester là, mais elle a pris une toute autre ampleur après sa publication en ligne, et avec le concours des réseaux sociaux. Outrés, nombre d’internautes ont signifié leur mécontentement à l’enseigne de grande distribution, et le hashtag #JeKitteMonDecollete s’est hissé en tête des tendances sur Twitter en France.

    Le groupe Casino s’est fendu de plusieurs tweets dans lesquels il présente ses excuses, ainsi que celle de la société de protection privée qui emploie l’agent en cause.

     

    ACTU 17


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  • Les autorités locales s’inquiètent de la température pour les trois prochains jours en cette période de forte chaleur estivale.

    Des dizaines de résidents et touristes séjournant à proximité des Grandes Jorasses, dans la partie italienne du massif du Mont-Blanc, ont dû être évacués, jeudi 6 août, alors qu’un fragment de glacier menace de s’effondrer du fait de la chaleur.

    Un volume de glace de quelque 500 000 m3 serait sur le point de se détacher du glacier de Planpincieux, sur le territoire de la commune de Courmayeur, selon les responsables de cette municipalité de la région de la Vallée d’Aoste, située près de la frontière avec la France. Plusieurs routes en contrebas, qui mènent à la vallée du val Ferret, ont été fermées.

    « C’est à peu près l’équivalent de la taille de la cathédrale de Milan, ou d’un terrain de football recouvert de 80 mètres de glace », a détaillé Valerio Segor, directeur de la gestion des risques naturels pour la Vallée d’Aoste.

    72 heures cruciales

    Des opérations d’évacuation et de sécurisation sont menées depuis jeudi matin par les forces de l’ordre et la protection civile. Pour l’heure, les autorités ont ordonné l’évacuation d’une trentaine de maisons au sein d’une « zone rouge » située dans la partie basse du val Ferret. Près de 70 personnes – 15 résidents et plus de 50 touristes – sont concernées. « L’ordre a été donné à l’issue d’une réunion avec des techniciens régionaux, qui ont dressé le tableau de la situation à la lumière de l’augmentation prévue de la température » pour les jours prochains, a précisé l’agence de presse italienne ANSA.

    Les habitants du val Ferret, vivant en dehors de la zone à risques, peuvent choisir de rester sur place « si elles se sentent autonomes pendant au moins trois jours », avec les stocks de nourriture nécessaires, a précisé le maire de Courmayeur Stefano Miserocchi. « La situation justifie un état d’alerte élevé dans les prochaines soixante-douze heures », a-t-il justifié.

    Le Monde


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  • Le doute, la peur puis la fuite. Parmi les nombreuses vidéos montrant à quel point les explosions survenues mardi à Beyrouth, au Liban, ont bousculé le quotidien des habitants, ces images d’une messe diffusée sur le web brutalement interrompue par la déflagration ont été massivement partagées sur les réseaux sociaux.

    D’abord survient un tremblement, puis la lumière s’éteint, et enfin, dans un bruit assourdissant, des objets tombent du plafond, provoquant la fuite du prêtre hors du champ de la caméra.


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  • C'est grâce à un bon réflexe citoyen qu'un homme de 36 ans a été interpellé durant la nuit de mercredi à jeudi à L'Etang-la-Ville après avoir tenté de violer une femme dans la rue.

    Il est 22 h 30 rue du Général-de-Gaulle lorsque des riverains appellent la police et explique qu'un homme tente d'abuser d'une femme. Plusieurs patrouilles convergent vers les lieux. Un témoin explique au policier que le suspect se cache dans un fourré. Les forces de l'ordre s'approchent du bosquet et y découvrent un homme d'origine roumaine déjà défavorablement connu des services de police. Le trentenaire est aussitôt interpellé et conduit au commissariat.

    Elle parvient à mettre son agresseur en fuite

    D'autres fonctionnaires viennent en aide à la victime. Cette femme de 51 ans explique qu'elle marchait dans la rue lorsqu'elle a été abordée par cet homme. Celui-ci s'est ensuite jeté sur elle en la frappant au visage avant de l'entraîner dans un buisson où il l'a fait tomber à terre, a déchiré ses vêtements tout en l'empêchant de crier. La quinquagénaire s'est débattue, empêchant son agresseur de la violer avant de parvenir à le mettre à fuite.

    Les vêtements de la victime ont été récupérés par les enquêteurs pour être analysés. Plusieurs témoins ayant assisté à la scène ont été entendus. Le suspect a été placé en garde à vue dans les locaux de la sûreté urbaine de Saint-Germain-en-Laye où il sera auditionné dans les quarante-huit heures à venir.

    Le parisien

    Pourquoi n'a t-il pas encore été expulsé ?


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  • Plusieurs semaines d’enquête ont permis aux policiers du XIXe arrondissement de Paris d’arrêter un dealer qui était très actif. Il est désormais derrière les barreaux.

    Les policiers se sont intéressés à un homme au début du mois de juillet dernier. Il effectuait des trajets quotidiens entre Gennevilliers et le XIXe arrondissement de Paris. Non pas pour se rendre à son travail, mais pour vendre des produits stupéfiants. C’est en tout cas la nature des soupçons que les enquêteurs avaient et qui les ont conduits à ouvrir une enquête préliminaire.

    Leurs investigations se sont révélées fructueuses durant les semaines suivantes. Les policiers du Groupe de soutien des Quartiers (GSQ), de la Brigade anticriminalité (BAC) et de la Brigade des enquêtes d’initiatives (BEI) ont participé aux différentes surveillances et investigations, durant près de trois semaines. Un travail de téléphonie a également été réalisé pour corroborer les éléments de l’enquête.

    Déjà connu de la justice pour des faits similaires

    Le suspect vivait dans un petit pavillon à Gennevilliers. C’est là qu’il gérait son trafic et une véritable plateforme de transactions avait été mise en place dans la cité Léon Giraud dans le XIXe arrondissement de la capitale.

    Le mis en cause âgé de 20 ans, déjà connu des services de police pour des faits liés aux stupéfiants et déjà écroué par le passé, employait également des livreurs qui faisaient les trajets à sa place. Des faits qui se sont confirmés au fur et à mesure des surveillances discrètes.

    Mis en examen et placé en détention provisoire

    Le 28 juillet, les forces de l’ordre ont procédé à l’interpellation du suspect. Une perquisition a été réalisée à son domicile à l’aide d’un chien de détection et a permis la découverte de 3,75 kilos d’herbe de cannabis, 1,32 kilo de cocaïne, mais également 746 grammes de produits de coupe et 12 grammes de MDMA. Dans le coffre-fort du mis en cause, les enquêteurs ont saisi 11 160 euros en numéraire.

    Placé en garde à vue, le jeune homme de 20 ans a été déféré puis mis en examen et écroué. Une information judiciaire a été ouverte dans le même temps. Les investigations se poursuivent et un juge d’instruction a été désigné.

    ACTU 17

    On les arrête et on les relâche de suite !


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  • Gironde : Il jette un mégot de cigarette, provoque un incendie et appelle les pompiers

    Deux hectares de végétation ont été détruits au Barp (Gironde), ce mercredi soir, à cause d’un jet de mégot.

    Un jeune homme a alerté les pompiers, ce mercredi vers 18h15, pour leur annoncer qu’il venait de provoquer involontairement un départ de feu sur la commune du Barp, près de Bordeaux, relate Sud Ouest. Âgé de 26 ans, le requérant qui demeure sur cette même commune rentrait chez lui en cheminant le long de la route départementale 5, lorsque le sinistre s’est déclaré.

    Sans réfléchir, il a jeté son mégot de cigarette sur le bas-côté de la route. Il a rapidement regretté son geste et fait demi-tour mais il était déjà trop tard. L’accotement recouvert d’herbes sèches venait de prendre feu. Le jeune homme a tenté d’éteindre le départ d’incendie, en vain.

    2 hectares de végétation brûlés

    Préférant faire face à ses responsabilités, il a alerté les pompiers et a attendu leur arrivée sur place. Au plus fort de l’incendie, dix véhicules d’intervention ont été mobilisés. Deux hectares de végétation sont partis en fumée, mais le bilan aurait pu être pire s’il n’avait pas alerté lui-même les secours.

    Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie. Le département de la Gironde est en vigilance orange pour le risque incendie depuis ce mercredi, a indiqué la préfecture de la Gironde.

    ACTU 17

     


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  • Un policier de 43 ans a été tué lors d’une intervention dans la nuit de mercredi à jeudi au Mans (Sarthe). Un homme a été arrêté.

    Les faits se sont produits peu avant 4 heures du matin près de l’avenue Olivier-Heuzé, au Mans. Trois policiers de « police secours » sont intervenus à la demande des sapeurs-pompiers pour un conducteur ivre qui s’était endormi au volant, en pleine voie, relate franceinfo.

    L’un des policiers, brigadier, était en train de retirer la clef du contact du véhicule lorsque l’automobiliste a redémarré en marche avant. Il a accéléré et le fonctionnaire a été traîné sur plusieurs mètres. Le chauffard a alors percuté un mur. Le policier a été tué sur le coup. Âgé de 43 ans, il était père de trois filles. Une enquête a été ouverte.

     

    « Au cours de l’intervention, le brigadier a été percuté par le véhicule du conducteur qui tentait de prendre la fuite. Il est décédé sur place », a indiqué le ministère de l’Intérieur, cité par Le Figaro.

    Le conducteur en cause déjà condamné par le passé

    Le mis en cause âgé de 26 ans a été interpellé et placé en garde à vue pour « violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner sur personne dépositaire de l’Autorité Publique » a indiqué le parquet du Mans.

     

    « L’automobiliste en cause a déjà fait l’objet de deux condamnations, dont une pour des faits de conduite sous l’empire d’un état alcoolique et refus d’obtempérer à une sommation de s’arrêter, commis en 2015, et la seconde pour outrage et rébellion, commis en 2018 », a-t-il précisé. Des examens sont en cours afin de déterminer s’il avait consommé de l’alcool ou des produits stupéfiants.

    « La Nation a perdu un de ses héros du quotidien »

    « Cette nuit, au Mans, la Nation a perdu un de ses héros du quotidien », a écrit le Premier ministre Jean Castex sur Twitter. « À sa famille, ses proches, je veux dire mon soutien et la solidarité du pays tout entier », a-t-il ajouté.

    Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a réagi sur Twitter, faisant part de sa « profonde émotion ». Le locataire de la place Beauvau est attendu à l’hôtel de Police du Mans à 10h30.

    « Combien de morts dans nos rangs pour une prise de conscience urgente ? »

    « Après Mélanie Lemée, c’est un policier, papa de jeunes enfants, qui est tué par un conducteur ivre refusant le contrôle. Combien de morts dans nos rangs pour une prise de conscience urgente ? », s’exclame le syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN) sur Twitter.

    « Il n’y a jamais eu autant de signaux graves : refus de contrôles, agressions, rebellions, traquenards, violences dans les manifestations, usages d’armes, etc… Les mots ne suffisent plus. Attaquer un policier doit être dissuasif et lourdement puni », ajoute l’organisation.

    « L’impunité permanente des délinquants et criminels de la route conduit inéluctablement à des drames », a lancé le syndicat Alliance Police Nationale dans un communiqué, dénonçant « l’ultra-violente et la lâcheté de ces irresponsables prêts à tout pour échapper aux contrôles de police ».

    ACTU 17

    Cet ivrogne devrait être condamné à des années de prison ferme !


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  • Un commissaire général à la retraite depuis quelques semaines a été placé en garde à vue à Paris ce lundi soir. Il venait d’être surpris avec des caméras sur les chaussures, visiblement pour filmer les parties intimes des femmes.

    L’affaire est gênante et très embarrassante. Un homme se trouvait dans le BHV du Marais à Paris (IVe) lorsqu’il a été surpris avec des caméras installées sur ses chaussures. Un dispositif destiné à filmer sous les jupes des femmes précise une source policière, confirmant les informations du Parisien.

    Le suspect déambulait dans l’enseigne et glissait ses pieds sous les tenues des femmes afin de récupérer des images. Un agent de sécurité du magasin s’est rendu compte de ce qu’il se passait et a fait appel à la police. L’homme en cause a été interpellé.

    Il sera jugé le 12 janvier prochain

    Ce dernier n’est autre que l’ancien directeur territorial adjoint de la sécurité de proximité du Val-de-Marne (DTSP 94), à la retraite depuis le 30 juin dernier. Il a été placé en garde à vue au commissariat du centre pour « voyeurisme » et « utilisation d’un moyen pour apercevoir à son insu et sans son consentement les parties intimes d’une personne ».

    A l’issue de sa garde à vue ce mardi, l’ancien fonctionnaire a été remis en liberté avec une convocation en justice par un officier de police judiciaire (COPJ). Il devra répondre de ses actes devant le tribunal correctionnel de Paris le 12 janvier prochain.

     

    Reste à savoir ce qui a pu faire basculer cet ex-commissaire de police dans de tels actes. Dans les années 1990, il était à la tête du tout nouveau service parisien d’enquêtes sur les fraudes aux technologies de l’information.

    Il avait plus tard été commissaire central des IIIe, XIIe et XIIIe arrondissements de la capitale, ainsi que chef du service d’étude et d’orientation anti-délinquance à Paris. L’homme était le numéro 2 de la police du Val-de-Marne depuis 7 ans lorsqu’il a pris sa retraite.

    ACTU 17

    Il l'avait peut-être déjà fait avant !


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  • Corse : Une mère de famille meurt noyée en sauvant son fils emporté par les vagues

    La plage du Liamone à Casaglione en Corse-du-Sud. (photo Google)

    Un drame est survenu sur une plage de Corse-du-Sud réputée pour sa dangerosité, mardi après-midi. Il a coûté la vie à une quadragénaire qui n’a pas pu être sauvée malgré l’intervention des secours.

    Un adolescent de 13 ans a été emporté par les vagues sur la plage du Liamone située à Casaglione en Corse-du-Sud, ce mardi en fin d’après-midi. En voyant son fils en difficulté, une mère de quatre enfants, âgée de 45 ans, est intervenue pour le sauver, rapporte Corse Matin. Malheureusement, elle s’est noyée.

    Les secours ont été alertés à 17h36 a précisé au quotidien le porte-parole du Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage de la Méditerranée (CrossMed) qui a dirigé les opération sous l’autorité du préfet maritime de Méditerranée. Un hélicoptère de la gendarmerie transportant des sapeurs-pompiers plongeurs d’Ajaccio est arrivé sur place un peu moins de vingt minutes plus tard.

    Ramenés sur la plage par hélicoptère

    L’adolescent puis sa mère ont été hélitreuillés avant d’être déposés sur le sable. C’est là qu’un médecin du SMUR et deux ambulances attendaient les victimes. Le garçon a été sauvé mais les secours ont tenté de réanimer la quadragénaire, en vain. Son décès a été prononcé à 19 heures.

    La scène s’est déroulée sous le regard impuissant du père de famille et des trois autres enfants du couple, âgés de 11 à 15 ans. Ceux-ci, de nationalité allemande, ont été pris en charge au centre hospitalier Notre-Dame de la Miséricorde à Ajaccio. Au moment du drame, la mer était agitée et le vent de force 3.

     

    D’après le CrossMed, il s’agit du premier décès par noyade en Corse depuis le début de l’été. L’organisme de secours a rappelé que la vigilance doit toujours être de mise lors des baignades, et qu’il est impératif de consulter la météo au préalable. En cas d’urgence, le numéro téléphonique des secours en mer est le 196.

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  • Les douaniers ont fait une importante saisie de drogue, ce lundi à Loon-Plage (Nord). Sa valeur marchande avoisine les 100 millions d’euros.

    Un contrôle de la douane mené ce lundi dans un conteneur situé sur le port de Loon-Plage, près de Dunkerque, a permis l’une des plus grosses saisies de cocaïne effectuées récemment en France. Les fonctionnaires ont inspecté ce conteneur à quai, lors d’un transbordement.

    La poudre blanche était conditionnée dans des valises de 50 kg dissimulées au-dessus de sacs de riz en provenance du Suriname en Amérique du Sud, rapporte Le Phare Dunkerquois. Aucune interpellation n’a eu lieu pour le moment.

     

    Les douaniers ont très exactement découvert 1 357 kg de cocaïne, pour une valeur à la revente d’environ 97 millions d’euros, précise France Bleu. La cargaison était destinée à la Belgique. Une enquête a été ouverte et confiée à la Juridiction interrégionale spécialisée (JIRS) de Lille.

    12,2 tonnes de cocaïne ont été saisies en 2018 en France, et 8,8 tonnes en 2019. La précédente découverte de cette ampleur remonte au mois de mai dernier, lorsque les douaniers ont saisi 1,4 tonne de cocaïne dans le port du Havre (Seine-Maritime).

    ACTU 17

    Hélas, il en restera toujours !


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  • Duck, 26 ans, victime d'une fusillade alors qu'il faisait du shopping

    Ce mardi 4 août, le rappeur américain FBG Duck a perdu la vie, atteint par plusieurs balles dans la poitrine.

    Nouveau drame dans l'univers du rap : après de décès à 27 ans du rappeur Lil Marlo dans une fusillade à Atlanta à la mi-juillet, c'est le rappeur américain FBG Duck qui est mort ce mardi 4 août, à l'âge de 26 ans. Carlton D. Weekly, de son vrai nom, a été victime d'une fusillade en plein jour alors qu'il se baladait avec deux amis dans un quartier commerçant de Chicago.

    Il décède peu de temps après être arrivé à l'hôpital

    Il était 16h30 sur East Oak Street dans le quartier de Gold Coast. Selon les premiers éléments de l'enquête, deux voitures se sont arrêtées, quatre personnes sont sorties et ont ouvert le feu, touchant les trois victimes, avant de prendre la fuite. Selon le Daily Mail, le rappeur a été transporté à l'hôpital dans un état critique et a été déclaré mort peu de temps après son arrivée. Il avait été touché à la poitrine, à l'aine et au cou. Ses amis, un homme de 36 ans et une femme de 26 ans, ont également été emmenés dans des hôpitaux de la région, dans un état grave. Depuis l'annonce du décès de FBG Duck, de nombreux fans du rappeur lui rendent hommage sur les réseaux sociaux. Certains dénoncent également le climat d'insécurité qui est de plus en plus présent à Chicago : depuis le 1er janvier 2020, 440 homicides ont été recensés dans ce quartier.

    FBG Duck déjà la cible d'une fusillade il y a deux ans

    Si FBG Duck a succombé hier à ses blessures, ce n'était pas la première fois qu'il constituait une cible. En juin 2018, le rappeur avait été visé par une fusillade, mais s'en était sorti après avoir reçu une balle dans l'épaule. Selon des témoins présents sur les lieux, "plusieurs coups de feu" avaient été entendus après que deux personnes se soient fortement disputées. "J'ai vu un gars en noir sortir une arme à feu et il a tiré sur le mec avec la chemise blanche. Et ils ont tous les deux couru. Le gars sur lequel il tirait a couru vers la gauche, et celui qui tirait a couru dans la même direction", avait déclaré un témoin.

    Télé-loisirs.fr

    La France ressemble de plus en plus à Chicago !

    Pas un jour sans au moins un mort au révolver ou au couteau !


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  • Plusieurs incendies étaient en cours dans les Bouches-du-Rhône, mardi 4 août, selon les informations de France Bleu Provence et France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur. Les pompiers ont recensé cinq départs de feu recensés par les pompiers à Martigues, Port-de-Bouc, Aubagne, Gignac et Carnoux-en-Provence.

    A Martigues, une situation préoccupante

    A 23 heures, 1 400 pompiers étaient encore mobilisés à Martigues, où la situation est la plus préoccupante, notamment dans le quartier de La Gacharelle, un endroit touristique très fréquenté. Au moins 800 hectares ont déjà été parcourus par le feu, a notamment précisé sur franceinfo, la cheffe du pôle communication des pompiers des Bouches-du-Rhône Perrine Bagland. Le feu "est dans la ville", ont indiqué les pompiers à France Bleu Provence. Quelque 200 à 250 personnes du quartier Bargemont ont été évacuées. Une cellule de crise a été installée à la mairie et la ville a ouvert deux gymnases pour accueillir les habitants.

    Les vacanciers de trois campings de la Couronne, un quartier de bord de mer de la commune de Martigues, ont également été priés de se regrouper sur la plage face à la progression du feu, a indiqué à l'AFP la police nationale. La préfecture maritime a indiqué à franceinfo que "plusieurs centaines de personnes" sont évacuées par la mer ou le seront dans les heures qui viennent, via des bateaux dans le port des Tamaris, à Martigues. Ces sauvetages ont débuté vers 22 heures, dans une nuit noire.

    Le feu ne menace pas les installations industrielles de la zone de Fos-sur-mer, avait toutefois assuré à l'AFP Pierre Dartout, préfet de la région Provence-Alpes-Côte d'Azur, en début de soirée.

    L'incendie s'est déclenché au sud-ouest de Martigues en fin d'après-midi, en bordure de Carry-le-Rouet et de Sausset-les-Pins, en plein massif forestier. Le feu est propulsé par des rafales de vent allant de 80 à 100 km/h. Le vent va continuer à souffler une partie de la nuit. Les flammes font des sauts de plusieurs dizaines de mètres et deux maisons ont brûlé. Les pompiers parlent de "situation hors normes" et le feu descendait désormais vers le Sud, sur la côte bleue, vers Sausset-les-Pins.

    A Port-de-Bouc, le feu désormais sous contrôle

    Un autre incendie s'était déclenché vers 16h20 à Port-de-Bouc. Le feu touche une zone industrielle. Une attention particulière est portée sur la zone péri-urbaine, dans le quartier de Saint-Jean. Là aussi, des maisons ont été endommagées, ainsi qu'un garage automobile. Mais les secours ont pu sauver 14 habitations, un gymnase, un camping, ainsi qu'une vingtaine de voitures. "Aucune victime n'est à déplorer", précisent les pompiers des Bouches-du-Rhône à franceinfo. 110 hectares sont partis en fumée. Le feu est sous contrôle actuellement, après avoir dévasté 110 hectares.

    A Aubagne, trois hectares ont été parcourus et une attention particulière est portée dans le quartier de La Fenestrelle. Au total, 340 sapeurs-pompiers sont intervenus au plus fort de l'incendie. A Gignac-la-Nertheen, l'incendie a pris en bordure de l'autoroute A55. Le feu a parcouru un hectare mais il est à présent éteint.

    Des moyens aériens ont aussi été engagés sur l'ensemble du secteur sinistré, avec: sept avions, dont des Canadairs et des avions bombardiers d'eau, cinq hélicoptères bombardier d'eau. Mais la nuit a contraint ces moyens aériens de stopper leurs rotations et leurs largages. Des renforts d'autres départements sont également sur place ou en cours d'acheminement. L'autoroute A55 est toujours fermée au niveau de Gignac.

     

    Voici les lieux d'hébergement pour la nuit :

    Martigues : gymnase Picasso-Gacharelle, gymnase G. Philippe ; La Couronne : salle Polyvalente ; Sausset-les-Pins : salle des arts, gymnase Calmat ; Carry-le-Rouet : salle Rouet, salle Canepa ; Carro : salle polyvalente.

     

    franceinfo


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  • Un terrible drame, qui a coûté la vie à un enfant en bas âge, s’est produit ce mardi après-midi à Cannes (Alpes-Maritimes).

    Un accident mortel a eu lieu à hauteur de la station de départ du petit train touristique de Cannes, dans le secteur de la Croisette, ce mardi vers 16h45. Un enfant de 18 mois a été renversé par le véhicule et a succombé à ses blessures, relate France 3.

    Des secouristes du poste de surveillance de la plage située à proximité sont rapidement intervenus pour lui prodiguer les premiers secours. Alertés, les pompiers ont pris le relais, et un hélicoptère Dragon 06 s’est posé sur la Croisette pour une éventuelle évacuation en urgence. Malheureusement, l’enfant n’a pas pu être réanimé. Son décès a été constaté par un médecin.

    Une enquête est en cours

    Une enquête a été ouverte pour faire la lumière sur ce drame. L’enfant serait subitement parti en courant vers le petit train lorsque l’accident s’est produit, rapporte Nice Matin. Les techniciens de l’Identité judiciaire ont procédé à des constatations et relevés sur place. La victime était accompagnée de sa famille, originaire de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne).

    Sous le choc, le conducteur du véhicule touristique, qui assure habituellement un tour d’une heure à travers la ville, a été hospitalisé. Le train ne devrait plus circuler durant plusieurs jours, précise le quotidien local.

    ACTU 17


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  • La Suède sous le choc après la mort d'une fillette dans une fusillade entre gangs

    En Suède, c’est la mort d’une jeune fille de 12 ans qui suscite l’émoi dans tout le pays. Adriana a été tuée ce dimanche par une balle perdue alors qu’elle promenait son chien près d’une station essence, dans la banlieue de Stockholm. Pour la police, c’est une conséquence, une de plus, de la guerre que les gangs se livrent dans les banlieues des grandes villes suédoises.

     

    Sur le parking où Adriana est tombée, tout près d’une sortie d’autoroute, le bitume est recouvert de dizaines de bouquets de fleurs et de bougies. C’est un défilé ininterrompu de personnes qui s’arrêtent pour rendre un dernier hommage à la jeune fille de douze ans.

     

    Souvent des mères de famille, avec leurs enfants, comme Meldre, une réfugiée cubaine. « Avant on disait de la Suède que c’est un pays où l’on était en sécurité, mais avec le temps je me rends compte que c’est de pire en pire », dit-elle.

    Parmi ceux qui se recueillent, il y a aussi un professeur de la petite école où était scolarisé Adriana. Pour cet enseignant qui a toujours vécu dans cette banlieue de Botkirka, à 20 kilomètres au sud-ouest de Stockholm, ce drame ne doit pas jeter l’opprobre sur les quartiers défavorisés de la capitale où vit une majorité de migrants.

    « C’est la première fois que je vois un drame pareil. Cela fait des décennies que la criminalité est en baisse en Suède. Mais la seule exception, ce sont les gangs », assure-t-il.

    Cette guerre des gangs, sur fond de trafic de drogue, est en effet un problème majeur en Suède. Au cours du premier semestre 2020, vingt personnes ont déjà été tuées dans 163 fusillades.

    Et le plan dévoilé l’année dernière par le gouvernement, qui prévoyait notamment un renforcement des effectifs de police et des peines plus lourdes, reste pour l’instant sans effet.

    RFI  correspondant à Stockholm, Frédéric Faux


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  • Une patrouille de police a eu le nez creux, ce vendredi à Gentilly (Val-de-Marne). Les fonctionnaires ont mis au jour un trafic de stupéfiants et identifié deux appartements utilisés par les malfaiteurs.

    Les fonctionnaires de la Compagnie de sécurisation et d’intervention (CSI) du Val-de-Marne surveillaient une barre d’immeubles du quartier du Chaperon-Vert à Gentilly, ce vendredi après-midi, lorsqu’ils ont été intrigués par la présence d’une voiture et de deux individus, rapporte Le Parisien. Ces derniers venaient d’effectuer une transaction suspecte, qui s’est révélée être le point de départ d’une importante saisie.

    Les policiers en civil ont alors décidé de leur emboîter le pas lorsqu’ils ont regagné un hall d’immeuble. L’un des deux hommes, visiblement dérangé par leur présence, les a repoussés, sans les démasquer. Les fonctionnaires sont revenus à la charge, mais cette fois, l’homme qui leur a fait face les a menacés avec une arme.

    Trois interpellations et deux appartement perquisitionnés

    Aussitôt, les policiers ont décliné leur qualité et l’ont maîtrisé sans heurt. L’intervention aurait pu s’interrompre à ce moment-là, mais leur flair les a directement conduits vers un appartement d’où provenait une forte odeur de cannabis. À l’intérieur se trouvait le second individu, qui n’a pas pu empêcher très longtemps les fonctionnaires d’entrer. Les deux hommes ont été interpellés et placés en garde à vue.

    Les perquisitions menées dans cet appartement et dans un autre situé au 7ème étage de l’immeuble ont permis aux enquêteurs de saisir plus de 13 kg de cannabis, près de 200 g de cocaïne, des fusils, et 56 000 euros en espèces.

     

    Par la suite, les policiers ont procédé à l’interpellation de la petite amie de l’un des deux suspects. Les investigations se poursuivent. Elles ont été confiées au Service départemental de la police judiciaire (SDPJ) du Val-de-Marne.

    ACTU 17

    Hélas, ils seront vite remis dehors !


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  • Des tirs mortels ont eu lieu dans l’agglomération de Grenoble (Isère), dans la nuit de lundi à mardi. Ils viennent s’inscrire dans une série de fusillades qui a débuté fin juin.

    En un mois, Grenoble et son agglomération ont été le théâtre de six fusillades dont trois mortelles. Ce lundi vers 23h45, les occupants d’un véhicule qui se trouvait sur la commune d’Eybens ont été pris pour cible, relate Le Dauphiné.

    Les coups de feu ont eu lieu sur le parking du garage Citroën situé au 38 avenue Jean-Jaurès. Un ou plusieurs tireurs ont abattu le passager de la voiture, un homme âgé de 27 ans. Le conducteur, âgé de 24 ans, a été blessé par balle et transporté au CHU Grenoble-Alpes par les secours.

     

    Un troisième individu se trouvait sur la banquette arrière. Il a pris la fuite sans être touché par les tirs. L’enquête a été confiée à la gendarmerie.

    Il s’agit de la deuxième fusillade meurtrière survenue dans l’agglomération grenobloise en 48 heures à peine. La veille dans la matinée, un homme d’une trentaine d’années a été abattu en pleine rue. Il se trouvait en liberté conditionnelle depuis sa sortie de prison en mars dernier.

    ACTU 17

    Si les trafiquants de drogue s'éliminent entre eux, cela fait du travail en moins pour les flics et cela désemplit les prisons, c'est une bonne chose !


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