• La ministre Jacqueline Gourault s'emporte face aux députés Les Républicains

    La ministre Jacqueline Gourault s'est emportée mercredi soir à l'Assemblée nationale où les députés LR ont réussi à bloquer l'avancée des débats sur le projet de loi "asile et immigration".

    Jacqueline Gourault sort de ses gonds. L'incident est survenu mercredi soir après minuit mais couvait depuis le début de la soirée sur les bancs de l'Assemblée nationale, où était débattu le projet de loi "asile et immigration". Les députés LR, notamment Fabien Di Philippo et Pierre-Henri Dumont, sont revenus à la charge contre le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb, puis contre la ministre Jacqueline Gourault, pour savoir si le gouvernement avait un "plan caché de 40.000 régularisations" de sans-papiers, un chiffre évoqué par un élu de la majorité dans un article du Monde.

    En commission, Gérard Collomb avait simplement indiqué que "lorsque nous aurons examiné l'ensemble des articles de cette loi, nous pourrons débattre de ce qu'il convient de faire au sujet des personnes qui se trouvent sans statut".

    L'insistance des députés LR a fini par faire réagir Jacqueline Gourault, ministre auprès du ministre de l'Intérieur, en fin de séance. "M. Jacob, vous allez laisser continuer ces méthodes pendant longtemps? Obliger un ministre à répondre? Ce sont des méthodes autoritaires qui ne sont pas acceptables en démocratie. Qu'est-ce que c'est que ces méthodes?", a tonné la ministre. Christian Jacob a répondu en jugeant que Jacqueline Gourault "perdait son sang-froid". "C'est le gouvernement qui est responsable devant le Parlement, pas l'inverse", a-t-il répliqué. "Je regrette que la ministre ait décidé délibérément de ne pas répondre à nos questions", a-t-il ajouté.

    Seulement trois articles débattus sur 40

    La réponse de Jacqueline Gourault a été également jugée "déplacée" par la socialiste Laurence Dumont. Un élu de la majorité reconnaissait après les débats que, même si un ministre "n'a pas à répondre à des injonctions", la ministre, ancienne sénatrice, avait été "extrêmement maladroite" face à des LR "privés de Collomb". Quelques minutes auparavant, la présidente de la commission des Lois Yaël Braun-Pivet (LREM) était passée dans les rangs LR pour essayer, en vain, de pouvoir terminer dans le calme une séance qui dégénérait.

    Cet incident n'était en effet que la conclusion d'une soirée tendue dans un hémicycle empli de près de 200 députés, démarrée avec de multiples rappels au règlement de LR et de la gauche. Ces différentes oppositions demandaient qu'on revoie l'organisation des débats, qui doivent s'achever dans la nuit de vendredi à samedi avec un vote immédiat, alors que les débats portent encore sur l'article 3 et que le texte en compte 40. Les débats devaient reprendre à 9h30 jeudi.

    Europe 1

    Ridicule, pauvre grosse bonne femme !

    LIEN : http://www.rtl.fr/actu/politique/jacqueline-gourault-nommee-ministre-aupres-du-ministre-de-l-interieur-7789059675


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  • La Syrie annonce avoir rendu la légion d'honneur de Bachar Al-Assad à la France

    Damas a devancé la volonté de Paris.

    La présidence syrienne a annoncé, jeudi 19 avril, avoir rendu la Légion d'honneur attribuée par la France en 2001 au président Bachar Al-Assad.

    L'entourage du président français Emmanuel Macron avait indiqué lundi que la France avait engagé une procédure de retrait de la Légion d'honneur au président Assad, deux jours après la participation de Paris à des frappes contre des sites du régime syrien.

     

    "Un régime esclave des Etats-Unis"

    "Le ministère des Affaires étrangères et des Expatriés a officiellement rendu à la République française, par le biais de l'ambassade de Roumanie à Damas, qui parraine les intérêts français en Syrie, la décoration de grand-croix de la Légion d'honneur accordée au président Assad par l'ancien président français Jacques Chirac", indique la présidence dans un communiqué.

    La décision de rendre la légion d'honneur a été prise après "la participation de la France à l'agression tripartite aux côtés des Etats-Unis et du Royaume Uni contre la Syrie le 14 avril", selon le communiqué. "Il n'est point d'honneur pour le président Assad de porter une décoration attribuée par un régime esclave (...) des Etats-Unis qui soutient les terroristes", indique encore la présidence.

    Franceinfo

    Bravo Bachar !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 20 04 2018

     

    Bonne journée

     


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  • Un peu d'humour

     

    Un peu d'humour


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  •  

    Je viens de trouver une super video !!!


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 19 04 2018

    01 02 2018 à 8h00 prise par mes voisins du dessus (clic dessus)

     

    Passez une bonne soirée


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  • Si je l'ai déjà mise, tant pis, j'aime bien !


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  • Franck Bauer, la voix de Radio Londres, est mort

    © PATRICK KOVARIK / AFP Franck Bauer, ancien résistant, en 2009.

    « Ici Londres… Les Français parlent aux Français… » Franck Bauer prononça 578 fois ces mots célèbres sur Radio Londres. Celui qui fut la voix de la résistance contre l’occupant nazi est mort le 6 avril, au Cateau-Cambresis (Nord) à l’âge de 99 ans.

    Né le 2 juillet 1918 à Troyes (Aube), Franck Bauer grandit dans une famille tournée vers l’art et la musique. Son père est architecte des monuments historiques et du diocèse, sa mère joue du piano. Jeune batteur et pianiste de jazz, Franck Bauer s’oriente vers des études d’architecture.

    Sur le chantier de l’Exposition universelle de 1937, à Paris, il se fait embaucher comme assistant de l’architecte Albert Speer sur le pavillon de l’Allemagne, face à celui de l’URSS. L’expérience tourne court : son père lui ordonne de renoncer à travailler pour l’architecte d’Hitler. Franck Bauer n’ignorait pourtant rien des dangers du nazisme. En 1933, lors d’un voyage scolaire en Allemagne, il avait été frappé par l’accueil des étudiants le bras tendu au cri de « Heil Hitler ! ». « On va avoir la guerre et on va la perdre », avait-il annoncé à ses parents à son retour.

     

    Le choix de la Résistance

    Pas mobilisable au début de la guerre, il remplace des musiciens professionnels appelés sous les drapeaux dans différents orchestres à Paris. Dès que le maréchal Pétain annonce aux Français, le 17 juin 1940, la demande de l’armistice, il fait le choix de la Résistance. Avec sa sœur Denise, il traverse la France à vélo, mais celle-ci, blessée à un genou, doit se réfugier dans un presbytère. Il arrive seul au Verdon-sur-Mer (Gironde), d’où il s’embarque pour le Royaume-Uni sur un paquebot polonais, sous le bombardement de la Luftwaffe. Arrivé à Londres, il s’engage dans les Forces françaises libres (FFL).

    Envoyé dans les Cornouailles, il a pour mission d’établir des relations avec les pêcheurs bretons pour organiser des passages clandestins entre l’Angleterre et la France. En novembre 1940, il part aux Etats-Unis, afin d’espionner les actions des autorités de Vichy qui s’efforcent de convaincre les marins français de la marine marchande qui s’y trouvent de ne pas rejoindre la France libre.

    « Je dois dire que mon plus grand courage, pendant cette guerre, est de ne pas être resté aux Etats-Unis en 1941. Il y avait tout dans ce pays »

    A New York, puis à La Nouvelle-Orléans, il en profite pour fréquenter les petits clubs de jazz et rencontrer des musiciens tels Benny Carter ou Coleman Hawkins. « Je dois dire que mon plus grand courage, pendant cette guerre, est de ne pas être resté aux Etats-Unis en 1941. Il y avait tout dans ce pays, surtout pour un jeune homme, tout ce dont on pouvait rêver : l’automobile, l’opulence… », confiera-t-il, en 1999, à Jazz Hot, revue à laquelle il contribua pendant de longues années.

     

    « Messages personnels »

    A son retour à Londres, il rejoint en mars 1941 l’équipe de Radio Londres où il devient l’un des deux annonceurs de l’émission « Les Français parlent aux Français ». De mars 1941 à avril 1943, il fait ainsi partie de cette petite équipe de journalistes qui, sur les ondes de la BBC, se relaient pour porter l’espoir durant les heures les plus sombres de l’histoire de France. Outre les « messages personnels », il assure la présentation d’une émission hebdomadaire de jazz, Radio Swing Club.

    Dans 40 à Londres, l’espion qui venait du jazz (Bayard, 2004), Franck Bauer expliquera qu’avant de partir en avril 1943 à Madagascar, pour y prendre en main la radio des Français libres, il avait fait promettre à Maurice Schumann, camarade de Radio Londres, de le prévenir à temps pour prendre part au Débarquement en France. Il ne pourra réaliser ce souhait : après avoir rejoint Alger, puis l’Ecosse, Franck Bauer ne touche le sol normand qu’en juillet 1944.

    Après la Libération, il part en Extrême-Orient comme reporter couvrir la guerre d’Indochine, d’abord pour Les Nouvelles du matin, puis pour l’Agence France-Presse (AFP). De retour à Paris, il devient chef de cabinet de son ancien collègue de Radio Londres, Pierre Bourdan, alors ministre de la jeunesse, des arts et des lettres (1947), puis conseiller d’Eugène Claudius-Petit, ministre de la reconstruction (1948-1953). De 1953 à 1979, il dirige Franck Bauer Conseil, cabinet de relations publiques. S’il se retire du milieu du jazz après la guerre, il n’en transmet pas moins son goût de la musique à son fils Axel, figure de la pop française.

    Le Monde

    Quand j'ai lu la phrase en rouge, je me suis mise à pleurer !

    De mauvais souvenirs qui sont remontés, involontaire de ma part !


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  • Seine-et-Marne : un bébé meurt d'une gastro-entérite, les parents portent plainte contre X

    Les parents d’une fillette de six mois, morte vendredi, à Montévrain (Seine-et-Marne), d’une gastro-entérite, ont porté plainte contre X, rapporte France Bleu Paris jeudi 19 avril. Les parents dénoncent des dysfonctionnements dans la prise en charge de leur bébé.

    L’ambulance du Samu est arrivée, selon eux, plus d’une heure après leur appel. Le parquet de Meaux a ouvert une enquête pour rechercher les causes de la mort. Une autopsie du bébé doit être pratiquée.

     

    "Je ne comprends pas pourquoi l'ambulance est arrivée si tard. Je veux savoir ce qui s'est passé, ce n'est pas normal que ma fille n'ait pas été prise en charge. Elle est morte."

    Le père du bébé

    à France Bleu Paris

     

    Selon les parents, la fillette a attrapé la gastro-entérite à la crèche début avril. Son frère de 2 ans a également été malade. Le père affirme que les assistantes maternelles ont attendu les premiers symptômes pour les informer qu'une épidémie était en cours. Le père conduit alors sa fille dans le service pédiatrique de l’hôpital le plus proche. Le service est surchargé.

     

    "Perte de poids"

     

    Il décide donc de l’emmener chez un médecin de ville. Le praticien examine l’enfant et prescrit des médicaments. Mais le père déplore que le médecin n’ait pas pesé sa fille alors qu’il l'a alerté sur le fait qu'"elle commençait à perdre du poids".

    La santé de la fillette se dégrade très vite. La mère appelle le Samu. Au téléphone, on lui assure que l’ambulance va arriver très vite. Comme le Samu tarde, le père quitte alors son travail pour emmener son enfant aux urgences. "J'ai dû mettre deux minutes pour arriver, l'hôpital est tout proche. J'ai roulé comme un fou, mais quand je suis arrivé, la petite était partie, il était trop tard", a-t-il expliqué à France Bleu Paris.

    Franceinfo


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  • Tammie Jo Shults, l'ex-pilote de chasse qui a sauvé les passagers du vol New York - Dallas

    "Vol Southwest 1380, nous n'avons qu'un seul moteur [...]. Une partie de l'appareil manque, nous allons devoir ralentir", a calmement expliqué Tammie Jo Shults, la pilote du Boeing 737 de la Southwest Airlines, à la tour de contrôle

    Encensée pour ses "nerfs d’acier" par la presse américaine mercredi 18 avril, l’ex-pilote de l’US Navy a dû se poser en urgence, mardi, à Philadelphie après l'explosion d'un des moteurs de l'avion dont les éclats ont brisé un hublot, peu après le décollage du vol New York - Dallas qui devait pourtant durer quatre heures. 

    "Ils se sont préparés à mourir"

    Aux alentours de 11 heures, une vingtaine de minutes après avoir quitté l’aéroport de La Guardia à New York, un grand rugissement se fait entendre. L'avion, avec à son bord 144 passagers et cinq membres d'équipage, devient le lieu d’une terreur sans nom.  

    Le moteur gauche de l’appareil explose, comme le montre une photo prise par un des passagers, et ses éclats brisent un des hublots du Boeing.

    La cabine est alors dépressurisée et une passagère de la rangée 14 a été partiellement happée à l’extérieur. 

    Si d’autres personnes ont réussi à la rattraper, cette quadragénaire originaire du Nouveau-Mexique a succombé à ses blessures, peu après l’atterrissage.

     

    "Nous avons des blessés [...]. Ils disent qu'il y a un trou et que quelqu'un est sorti", a ajouté tout en retenue dans l’enregistrement la pilote de 56 ans, qui fut parmi les premières à piloter des avions de combat F-18 de la marine.

     

    Selon le "New York Times", alors que les masques à oxygène tombaient, l’avion a plongé de plusieurs centaines de mètres en très peu de temps.

     

    "Les passagers ont serré leurs mains avec celles d’inconnus, ont priés ensemble et se sont préparés à mourir", décrit le quotidien. 

     

    Certains ont même activé la wifi de leur téléphone pour envoyer des messages d’adieux à leurs proches, relate la presse américaine. En témoigne dans le "New York Times", Amanda, une des passagères. Assise à côté de son mari pasteur, elle décide de prévenir le père de celui-ci des événements et lui demande de transmettre un message à leurs trois enfants :

     

    "Dis aux filles que nous les aimons et que Jésus est toujours avec elles."

     

    Consacrée unanimement en tant qu’héroïne

    Joint par le "New York Times", la mari de Tammie Jo Shults n’a pas souhaité faire de commentaires autre que :

     

    "Les médias ont raison : c’est une héroïne et je suis fier d’être son époux."

     

    Après l'atterrissage, la pilote a salué un à un les passagers, selon l'un d'entre eux. Et les hommages à Tammie Jo Shults se sont multipliés sur les réseaux sociaux. Diana McBride, une des passagères, a décrit dans une publication Facebook "une vraie héroïne américaine", et a salué "son courage dans une situation traumatisante".   

    Cindy Foster, une amie de la pilote qui a étudié avec elle à l'université d'Olathe, au Kansas, a raconté au journal "Kansas City Star" comment cette chrétienne fervente, mariée à un autre pilote de Southwest Airlines, avait dû lutter dans sa jeunesse pour s'imposer en tant que pilote de chasse : Tammie Jo Shults avait rejoint la marine après avoir été refusée par l'armée de l'air parce qu'elle était une femme.

     

    "Elle savait qu'elle devait travailler plus dur que les autres", a raconté Cindy Foster. "Elle avait dit qu'elle ne laisserait personne lui dire qu'elle ne pouvait pas" voler. 

     

    D'autres "héros" ont émergé au lendemain de l'accident, notamment les deux passagers qui ont rattrapé la victime : un employé de ranch en chapeau de cow-boy identifié par les médias américains comme étant Tim McGinty, et un pompier texan nommé Andrew Needum, qui a fait un massage cardiaque à la victime.

     

    Plusieurs passagers "ont fait des choses assez étonnantes dans des conditions très difficiles", a souligné le chef des pompiers de Philadelphie, Adam Thiele.

     

    Certains comparent Tammie Jo Shults au pilote Chesley Sullenberger, surnommé "Sully", qui a réussi un atterrissage d'urgence spectaculaire à New York sur la rivière Hudson en janvier 2009. L’homme avait d’ailleurs été immortalisé en 2016 par le film "Sully" de Clint Eastwood.

    Une prochaine idée de long-métrage pour le réalisateur de "Gran Torino" ?

    L'OBS


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  • Aude : un bébé de 21 mois meurt noyé dans une piscine

     

     L'enfant est tombé dans la piscine familiale peu avant 12h45.

    Un petit garçon de 21 mois est mort noyé dans une piscine mercredi en début d'après-midi à Cuxac d'Aude, non loin de Narbonne, a fait savoir le Centre opérationnel d'incendie et de secours de l'Aude.

    En arrêt cardio-respiratoire.

    Les pompiers arrivés sur place ont tenté de ranimer le bébé, en arrêt cardio-respiratoire mais ils n'y sont pas parvenus, a-t-on expliqué de même source. Une enquête a été ouverte, a indiqué la gendarmerie.

    Europe 1

    Encore des parents irresponsables !

    Pauvre gosse !


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  • J'espère que le mec a tout de même souffert un peu !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - JEUDI 19 04 2018


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  • Grenoble: Il tente de cambrioler un magasin mais ne parvient pas à en ressortir

    Sa maladresse a fini par lui jouer des tours. Un cambrioleur s’est retrouvé pris à son propre piège, enfermé dans un magasin qu’il souhaitait dévaliser. Les faits se sont déroulés dans la nuit de lundi à mardi sur la commune de Saint-Egrève, près de Grenoble (Isère).

    L’enseigne proposait d’acheter ou revendre du matériel d’occasion. L’apprenti voleur, pensant certainement pénétrer dans une caverne d’Ali Baba, a voulu passer par le toit, précise Le Dauphiné Libéré. Sauf qu’il a chuté et s’est fracturé le poignet.

    Ressorti libre de sa garde à vue

    L’alarme, détectant sa présence, s’est déclenchée. Et le cambrioleur de 31 ans n’a pas pu s’aider de sa main pour remonter sur la sortie.

    Résultat : il est resté coincé sur place en attendant d’être cueilli par la police. Ressorti libre de sa garde à vue, il sera convoqué devant le tribunal correctionnel de Grenoble le 13 septembre.

    20 Minutes

    D'ici septembre il pourra faire un autre cambriolage !

    Grenoble: Il tente de cambrioler un magasin mais ne parvient pas à en ressortir


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  • À 4 ans, elle découvre sa famille massacrée

    Une petite fille de 4 ans a trouvé ses parents et son grand-père morts dans leur maison de Pine Grove. C’est elle qui a appelé au secours.

    C’est elle qui a fait la macabre découverte. A seulement 4 ans, une petite américaine habitant en Californie a trouvé ses parents et son grand-père morts à leur domicile de Pine Grove. Avec le téléphone de ce dernier, elle a appelé sa grand-mère pour la prévenir du drame qui venait de se dérouler, rapporte le «Sacramento Bee». D’après l’enquête, la fillette a été réveillée jeudi par les bruits de tir d’arme à feu. Les autorités se dirigent vers la piste d’un double meurtre suivi d’un suicide.

    Jacob Thayer, âgé de 26 ans, a tué son père Richard Thayer, 60 ans, et Marie Leonetti, 27 ans, sa petite-amie et mère de leur fille Lyla. La grand-mère a expliqué à la police s’être absentée ce jour-là aux alentours de 15 heures, lorsqu’elle a reçu le coup de téléphone de sa petite-fille lui racontant le drame qui venait de se jouer chez elle. En rentrant, elle a découvert l’enfant en larmes et les trois cadavres.

    "Marie laisse derrière elle une super petite fille de 4 ans"

    Une page de collecte de dons a été ouverte pour la mère et sa fille par une cousine de la famille. «Marie laisse derrière elle une super petite fille de 4 ans, Lyla. L’argent récolté servira à l’aider à payer les frais de scolarité d’une enfant qui vient juste de perdre sa mère, son père et son grand-père. S’il vous plait, trouvez dans vos cœurs de quoi aider notre famille dans cette période horrible», peut-on lire. Les secours ont retrouvé une arme de calibre 40 près du corps de Jacob Thayer.

    Paris Match

    Il n'a pas pensé que sa fille n'aurait plus de parents !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 18 04 2018


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     MAROC - STOP AU MASSACRE DES CHIENS ERRANTS

    Nous demandons à Mohammed VI, Roi du Maroc, de donner l'ordre immédiat de cesser les massacres systématiques des chiens errants au Maroc. Une telle violence n'est pas digne d'un pays civilisé.

    Des campagnes de stérilisation sont possibles et en cours avec entre autre la Fondation Brigitte Bardot:


    Merci de permettre aux associations de défense des animaux de continuer à s'occuper d'eux, et de les soutenir dans leurs actions.

    STOPPEZ CES ATROCITÉS SVP ! SIGNEZ LA PETITION :


     

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  • Je sais, c'est archi connu mais on rigole quand même !


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  • Les débats ont été vifs mardi lors du débat sur l'Europe organisé mardi par le Parlement européen de Strasbourg entre Emmanuel Macron et les députés européens. Philippe Lamberts, un élu écologiste belge, a pris la parole pour s'adresser à Emmanuel Macron. A la tribune, il a dénoncé l'ensemble de sa politique. Reprenant la devise française, il en a souligné chaque terme: "Où est la liberté lorsque vos citoyens peuvent être assignés à résidence et perquisitionnés sur de simples soupçons de la justice? (...)".

    Puis, s'arrêtant sur le terme "égalité", il a fait remarquer que "la précarité des travailleurs" s'accentue. Il se saisit alors du terme "premier de cordée" prononcé par le président: "ce qui définit la cordée, c'est la corde. Elle permet aux premiers d'avancer et aux derniers de ne pas tomber. Mais dans nos sociétés, cette corde n'existe plus. Les riches s'enrichissent, les classes moyennes stagnent et se précarisent tandis que les plus fragiles sont abandonnés à leur sort".

    Après avoir dénoncé la politique française vis-à-vis des migrants, l'eurodéputé a finalement brandi alors une corde d'escalade neuve, qu'il a "offert" à Emmanuel Macron !

     

    "Vous tenez des propos d'estrade"

    Le chef de l'Etat, qui prenait des notes pendant l'intervention, a ensuite répondu sans dissimuler son agacement;

     

    "Vous pouvez tenir des propos d'estrade car vous avez le confort de ce salon (...) Au nom du respect que j'ai pour ce Parlement, je ne peux vous laisser dire des bêtises et contre-vérités", a-t-il rétorqué.

     

    Puis il a particulièrement répondu au premier point de Philippe Lamberts concernant la liberté:

     

    "La loi de sécurité intérieure permet de lutter contre les terrorismes intérieurs de notre pays. C'est à ce titre qu'elle permet des visites domiciliaires, la protection d'espaces publics... je l'assume totalement. Parce que je suis le président d'un pays attaqué par des terroristes à de multiples reprises. Et je ne saurais expliquer à mon peuple que nous désarmons face à ce risque parce que des gens comme vous se permettent de proférer des contre-vérités." 

    BFM.TV

    D'accord avec ce belge sauf quand il dit qu'il faut mieux accueillir les migrants !


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