• Haut-Rhin : un couple interpellé 14 ans après la découverte de quatre cadavres de bébés

    Le mystère de l’affaire des « bébés de Galfingue » connaît un rebondissement sans précédent 14 ans après les faits.

    Un couple a été interpellé mardi dans le cadre de cette incroyable enquête sur la découverte de quatre cadavres de bébés dans des sacs poubelles, le 21 octobre 2003, dans la forêt de Galfingue, dans le Haut-Rhin rapporte les Dernières Nouvelles d’Alsace.

    Le couple a été interpellé sur commission rogatoire d’un juge d’instruction et placé en garde à vue sur la base d’une concordance ADN explique le procureur de la République à Mulhouse, Dominique Alzeari.

    Les cadavres, en état de décomposition avancée, de quatre nouveau-nés, avaient été découverts dans trois sacs poubelles dans la forêt de Galfingue, près de Mulhouse, par le propriétaire d’un terrain mitoyen. Des analyses ADN avaient révélé qu’au moins trois des quatre nouveau-nés avaient la même mère.

     

    Une concordance ADN après une banale bagarre

    L’homme et la femme ont été arrêtés dans le sud du département, près de la frontière allemande. France Bleu Alsace explique que le couple a été interpellé mardi matin à Petit-Landau, un petit village de 800 habitants.

    Le « mystère des bébés de Galfingue » aurait été relancé par une concordance ADN relevée par les gendarmes après une banale bagarre entre voisins dans ce village. Des précisions seront apportées ce jeudi lors d’une conférence de presse à l’issue de la garde à vue précise le procureur.

     

    Secte, prostituées : de multiples pistes explorées

    De très nombreuses investigations avaient été menées par les gendarmes depuis 2003 et la création d’une cellule baptisée « Infanticides 68 » composée d’une trentaine de gendarmes.

    De multiples pistes avaient été explorées pour tenter de résoudre l’une des plus macabres et des plus mystérieuses affaires d’infanticides : thèse d’une secte, piste de prostituées venues d’Allemagne. Les rumeurs les plus folles ont circulé à Galfingue.

    La Suisse avait même prévenu les gendarmes de la découverte, en 1997, de trois nouveau-nés dans des sacs sous une caravane près de Neufchâtel (Suisse). Les expertises scientifiques fermeront également cette piste.

     

    L’enquête rouverte en 2013

    L’enquête, close en 2009 faute de preuves, avait été rouverte en 2013 à la demande de Me Thierry Moser, avocat de l’association « Enfance majuscule », partie civile, eu égard au progrès de la science en matière de profil ADN. La nouvelle enquête avait été confiée à la section de recherches de la gendarmerie de Strasbourg.

    Me Thierry Moser explique sur France Bleu Alsace que l’ADN du couple interpellé a matché avec celles relevées sur les nourrissons découverts en 2003.

    « Toute une panoplie d’analyses scientifiques avait démontré que les quatre bébés ont la même mère et très certainement le même père » détaille Me Thierry Moser.

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    L’avocat de l’association « Enfance majuscule » poursuit : Effectivement, la question va se poser de savoir quel a été le rôle de ce couple placé en garde à vue et le rôle respectif de chacun des membres de ce couple. Que savait l’homme de cet état de grossesse, quel a été son implication ? Nous devrions savoir cela dans un laps de temps assez proche ».

    Le Parisien


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  • Des manifestants ont dressé des barricades et incendié des pneus à proximité de l'université où intervient le chef de l'Etat.

    Accueil tendu pour Emmanuel Macron au Burkina Faso. Un minibus de la délégation française qui accompagne le chef de l'Etat a été caillassé ce mardi 28 novembre sur le trajet de la visite présidentielle à Ouagadougou. D'après BFMTV, une vitre a été cassée. Aucun membre de la délégation n'a été blessé. 

    Le porte-parole de l'Elysée, Bruno Roger-Petit, a par ailleurs démenti les informations alarmistes relayées par le journaliste de "Quotidien" Hugo Clément, selon qui le convoi français avait été attaqué par "des centaines d'assaillants avec des caillasses". Bruno Roger-Petit, s'est voulu très rassurant :

     

    "Lors du déplacement de ce jour, à Ouagadougou, un véhicule de la délégation a fait l'objet d'un jet de pierres. Mais ni centaines d'assaillants, ni voitures détruites."

     

    "A bas l'exploitation de l'Afrique par l'Occident"

    Burkina Faso : un véhicule de la délégation de Macron caillassé

    Le tension sur place n'en reste pas moins palpable. Des manifestants ont dressé des barricades et incendié des pneus sur la voie menant à l'université de la capitale burkinabè où Emmanuel Macron est en train de prononcer un discours face à 800 étudiants.

    Scandant des slogans tel que "A bas l'exploitation de l'Afrique par l'Occident", les manifestants ont bloqué temporairement des véhicules se rendant à l'intervention du président français, qui a cependant pu accéder au campus pour commencer son discours. Ces manifestants font face à des forces anti-émeutes.

    Lundi soir, deux heures avant l'arrivée du président de la République au Burkina Faso, des individus encagoulés à moto ont lancé une grenade contre un véhicule militaire français dans le nord de Ouagadougou. Ils n'ont pas atteint leur cible mais ont blessé trois riverains dont un grièvement.

     

    Tournée africaine d'Emmanuel Macron : redorer l'image et l'influence de la France   - France 24


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  • Transhumance meurtrière en Norvège: Une centaine de rennes fauchés par des trains

    Un carnage à l'approche de Noël. Une centaine de rennes ont été mortellement fauchés par des trains en l’espace de quelques jours dans le nord de la Norvège, un « bain de sang » lié à la transhumance d’hiver, selon la radio norvégienne NRK. L’épisode le plus sanglant s’est produit ce samedi quand un train de marchandises a tué d’un coup 65 cervidés​ qui se trouvaient sur une voie ferrée.

    Quarante-et-un autres animaux avaient été fauchés dans les jours précédents. « Je suis tellement en colère que j’en ai le vertige », a déclaré le propriétaire du dernier troupeau décimé, Ole Henrik Kappfjell, à la radio. « C’est une tragédie animale insensée. C’est un cauchemar psychologique que nous vivons aujourd’hui », a-t-il ajouté.

     

     

    Des centaines de milliers de rennes à l’état semi-sauvage

     

    Quelque 250.000 rennes vivent à l’état semi-domestique en Norvège, la plupart dans le Grand Nord du pays. Les éleveurs emmènent ces jours-ci leurs troupeaux vers les pâturages d’hiver, une transhumance pleine de périls (collisions avec des voitures ou des trains, noyades…)

    Les suites du drame de samedi ont été capturées en images par un documentariste, Jon Erling Utsi : les clichés montrent des animaux désarticulés allongés dans une neige tachée de sang, certains blessés qu’il a fallu achever par balles.

     

    « C’était un bain de sang sur plusieurs kilomètres »

     

    « C’était un cauchemar à regarder », a-t-il confié à NRK. « Le pire, c’était les animaux qui n’ont pas été tués dans l’accident. Ils gisaient là, souffrants. C’était un bain de sang sur plusieurs kilomètres », a-t-il ajouté.

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    Plus de 2.000 rennes ont été fauchés le long de cette ligne ferroviaire septentrionale entre 2013 et 2016. Les éleveurs réclament à l’opérateur la mise en place d’un grillage le long de la voie mais le financement de cette mesure se fait attendre.

    20 Minutes

    Quelle tristesse !


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  • Les surfeurs Jean Da Silva et Oscar Moncada sont morts

    La vie a emporté deux icônes du surf mondial. Jean Da Silva et Oscar Moncada étaient de grands noms dans la communauté surf.

     

    La planète surf est en deuil. Le corps du Brésilien Jean Da Silva a été retrouvé sans vie dans la nuit de vendredi à samedi à son domicile de Joinville, une ville de 500 000 âmes située au sud du Brésil. Les médias brésiliens ont fait état d’un suicide. L’athlète, au palmarès bien fourni, n’était âgé que de 32 ans. D’après le magazine «Surf Sessions», sa carrière avait démarré en 2004 quand il a remporté la Pro Junior de Lacanau. Depuis, il était un adversaire de choix dans la World Surf League (WSL). En 2010, il était même devenu champion du Brésil. La nouvelle a été perçue comme un électrochoc dans la communauté surf. Sur Instagram, de nombreux surfeurs lui ont rendu hommage.

    «Jean Da Silva, repose en paix mon ami ! Aujourd’hui, le monde du surf pleure ta perte !», a écrit Filipe Toledo. «Jean, je ne sais pas quoi dire dans ce moment de souffrance, tu étais l’un des gars qui a marqué le plus mon évolution en phase amateur», a écrit quant à lui Adriano De Souza. Le Français Jérémy Florès a renchéri : «Tellement triste ! Le gars le plus cool toujours avec le sourire sur son visage. Merci pour tous les bons moments passés à travers le monde mon frère».

    Pour honorer sa mémoire, une cérémonie a eu lieu à Hawaï où plusieurs surfeurs ont formé une ronde au milieu des vagues.

    Oscar Moncada

    L’Amérique du Sud a perdu une autre icône du surf ce week-end. Samedi, le Mexicain Oscar Moncada a lui aussi perdu la vie. Selon Surfline, le surfeur de 34 ans, originaire de Puerto Escondido, aurait succombé à ses blessures, causées lors d'un accident de voiture. Chez lui, il était le boss de la plage Zicatela et l’un des meilleurs surfeurs au monde pour dompter les grosses vagues. En 2016 et 2017, il avait montré son talent au Puerto Escondido Challenge, organisé dans le cadre du Big Wave World Tour de la WSL. Ses amis, son sponsor Volcom et ses proches ont déposé des messages posthumes pour lui rendre hommage.

    Paris Match


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  • Seine-et-Marne: Grâce à une couette, il rattrape une fillette de 3 ans tombée du 5e étage

    Le drame a été évité de justesse. Ce vendredi matin, une petite fille de 3 ans a fait une chute de près de cinq étages alors qu’elle se trouvait seule au domicile de ses parents, rapporte Le Parisien. La fillette a été miraculeusement sauvée grâce au réflexe des habitants du quartier.

    « J’étais en train de nettoyer un local quand une dame est arrivée en courant » pour me prévenir, explique Rachid Channory, l’un des gardiens de la résidence. Rapidement, un attroupement de personnes se forme au pied de l’immeuble pour organiser le « sauvetage » de la fillette.

     

    « La chute a été violente, on s’est tous retrouvés à genoux »

    Une habitante du premier étage a alors apporté couette. « On l’a tendue, avec trois femmes et deux hommes », explique Rachid Channory. Un geste qui a sauvé la petite fille. « La chute a été violente, on s’est tous retrouvés à genoux. » « Je me suis effondré après. On a tous pleuré. Ça a duré cinq minutes mais ça m’a paru une éternité », a raconté le gardien de l’immeuble.

     

     

    La fillette de 3 ans, blessée, a ensuite été prise en charge par les pompiers. Transportée à l’hôpital parisien Necker, la victime souffre d’une fracture mais « ses jours ne sont pas en danger », a assuré la maire de la commune Anne-Marie Marchand.

    20 Minutes

    J'avoue que je n'ai pas bien compris comment ça s'est passé !


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  • De 12 ans à 16 ans: à quel âge est fixé le consentement sexuel selon les pays?

    La France pourrait prochainement, pour la première fois, fixer un âge légal en deçà duquel un enfant n'est jamais considéré comme consentant dans le cadre d'une relation sexuelle avec un majeur. C'est déjà le cas dans d'autres pays.

    Il pourrait être fixé entre 13 et 15 ans. Le débat autour du consentement sexuel des mineurs a été relancé après l'acquittement mi-novembre d'un homme de 30 ans jugé pour le viol d'une fillette âgée de 11 ans. La ministre de la Justice, Nicole Belloubet, a indiqué samedi que la question de l'âge à partir duquel un mineur ne pourra jamais être considéré comme sexuellement consentant serait fixé après un débat au Parlement, après la proposition du président de la République de le fixer à 15 ans.

    Exprimant "sa conviction personnelle", Emmanuel Macron a affirmé la nécessité "d'aligner l'âge de consentement sur celui de la majorité sexuelle, à 15 ans, par souci de cohérence et de protection des mineurs". La garde des Sceaux, qui s'était elle-même prononcée pour un seuil à 13 ans, a souligné qu'"il y a un véritable débat de société" et qu'"il faut en mesurer les conséquences juridiques extrêmement précises".

     

    Du viol à une simple atteinte sexuelle

     

    En France, si la majorité sexuelle -c'est-à-dire l'âge à partir duquel un adulte peut avoir une relation sexuelle consentie avec un mineur sans être poursuivi- a été fixée à 15 ans, il n'y a en revanche aucun âge limite en-dessous duquel un enfant n'est jamais consentant. Tout le problème est donc là: il faut qu'il y ait eu violence, surprise, menace ou contrainte pour reconnaître une agression sexuelle ou un viol. Sinon, c'est une atteinte sexuelle, bien moins lourdement punie.

    C'est pour cela que le trentenaire poursuivi pour viol a été acquitté: la petite fille de 11 ans, ne s'étant pas débattue, a été considérée consentante. Et c'est pour cela que l'agresseur d'une autre fillette de 11 ans n'est poursuivi que pour atteinte sexuelle sur mineur et non viol. Contrairement à la France, certains pays ont légalement fixé un âge minimum en dessous duquel un enfant ne peut jamais donner son consentement.

     

    • 12 ans

     

    Selon le Haut Conseil à l'égalité (HCE), l'Espagne et les États-Unis ont fixé l'âge de consentement sexuel à 12 ans. À partir de cet âge, un enfant peut être considéré comme sexuellement consentant.

     

    • 13 ans

     

    Au Royaume-Uni, la loi considère qu'il n'est pas possible de présumer que le mineur a consenti à l'acte sexuel s'il a moins de 13 ans. Dans le cadre du projet de loi contre les violences sexistes et sexuelles que le gouvernement entend présenter, la secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, a évoqué sur BFMTV "l'âge de la maturité" qui "se jouerait a priori entre 13 et 15 ans".

    • 14 ans

     

    L'Allemagne, l'Autriche, la Belgique, l'Italie et le Portugal, selon Le Monde, ont fixé l'âge de 14 ans à partir duquel un mineur peut être considéré comme consentant. C'est-à-dire qu'en dessous de cet âge, tout acte sexuel est automatiquement qualifié comme un acte imposé.

     

    • 15 ans

     

    Si les députés suivent les recommandations d'Emmanuel Macron, la France rejoindrait ainsi le Danemark qui a fixé ce seuil à 15 ans. Comme le précise le HCE, "il ne sera plus nécessaire, dans un procès, de prouver qu'il y a eu violence, contrainte, menace ou surprise, tel que la définition du viol le prévoit: la contrainte résultera nécessairement de l'écart d'âge entre l'adulte et l'enfant victime, sans qu'il soit possible d'apporter la preuve contraire et de détourner la protection en interrogeant le consentement de l'enfant victime".

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    • 16 ans

     

    La Suisse et les Pays-Bas ont les législations les plus restrictives: la présomption de non-consentement est fixée à 16 ans. En France, ce seuil n'existe officiellement pas. Seule la jurisprudence datant d'une décision de la Cour de cassation de 2005 évoque la contrainte présumée pour les enfants en très bas âge, "suffisamment peu élevé pour qu'ils ne puissent avoir aucune idée de ce qu'est la sexualité". La Cour de cassation précisait alors que la contrainte "ne saurait se déduire du seul âge de la victime".

    BFM.TV


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  • Italie: Le calvaire d'une femme séquestrée et violée pendant 10 ans dans une cave

    De ces viols sont nés deux enfants, de 9 et 3 ans, également enfermés dans la cave de la maison

    Son calvaire a duré plus de 10 ans. Une femme de 29 ans originaire de Roumanie a été retrouvée dans une cave de Gizzeria (sud de l’Italie), où elle a été enfermée et violée pendant de nombreuses années, a rapporté ce mercredi le quotidien italien Corriere della Sera.

    Son bourreau présumé, un Italien de 52 ans qui l’avait réduite en esclavage et violée à de multiples reprises, a été arrêté par les policiers italiens. De ces viols sont nés deux enfants, de 9 et 3 ans, également enfermés dans la cave de la maison.

    Une femme enchaînée, au milieu des rats

    Tout est parti d’un banal contrôle d’identité. Le tortionnaire présumé a été arrêté par les gendarmes italiens en début de semaine. Il était en compagnie du petit garçon, sale et visiblement sous-alimenté, ce qui a éveillé les soupçons des carabiniers qui ont alors décidé d’accompagner l’homme à son domicile. Sur les lieux, ils sont frappés par la puanteur et découvrent dans la cave, au milieu des rats et des araignées, une femme enchaînée avec une petite fille à ses côtés, visiblement malade et affamée.

    Les trois victimes, la mère et ses deux enfants vivaient depuis des années dans ce réduit insalubre, sans aucun contact avec l’extérieur. Ils mangeaient au mieux des aliments avariés, au pire leurs excréments, n’avaient pas accès à l’eau ni à l’électricité. Ils n’ont jamais pu se laver ou voir un médecin. Lorsque la mère s’est ouvert le crâne, son bourreau l’a recousue avec du fil de pêche, détaille le Corriere della Sera.

    « En 30 ans d’activité professionnelle, je n’ai jamais vu une chose pareille »

    Aux enquêteurs, le suspect a expliqué que la jeune femme était l’ancienne domestique de son épouse, qu’il a séquestrée à la mort de cette dernière. Il a été arrêté par les carabiniers, poursuivi pour violences familiales, esclavage, agressions sexuelles et viols.

    « En 30 ans d’activité professionnelle, je n’ai jamais vu une chose pareille », a déclaré le procureur Salvatore Curcio. Les enfants et leur mère ont été confiés aux services sociaux.

    20 Minutes


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  • Calais : un barrage de CRS forcé, rixe entre migrants

    Port de Calais (vue aérienne)

    Neuf personnes, à bord d'une voiture, ont foncé sur un barrage de CRS.

    Plus tôt dans la journée, une rixe entre migrants avait éclaté qui a fait cinq blessés.

     

    Une voiture avec neuf migrants à bord a foncé samedi soir à Calais sur des CRS pour échapper à un contrôle, faisant un blessé léger parmi les fonctionnaires avant d'être arrêtée, a fait savoir la préfecture du Pas-de-Calais.

    Les neuf personnes étaient à bord d'une berline allemande. Peu après 20 heures, ils ont accéléré pour se frayer un passage parmi les CRS et éviter un contrôle, dans la zone industrielle proche de la rocade menant au port de Calais. Une source syndicale précise :

     

    "Le véhicule a touché un CRS, blessé légèrement au genou, et les CRS ont fait usage de leurs armes."

     

    Cinq coups de feu ont été tirés et neuf personnes, parmi lesquelles de probables passeurs – six Irakiens, trois Afghans – ont été interpellés.

     

    Un échange de coups de feu

     

    L'incident ne semble toutefois pas en lien avec des échanges de coups de feu survenus plus tôt dans la journée entre deux groupes d'Afghans, d'après la préfecture.

    Cet affrontement, probable règlement de comptes entre passeurs selon la préfecture, a fait cinq blessés dont l'un à l'abdomen. Le pronostic vital de ce dernier est engagé, selon "la Voix du Nord", qui précise que tous ont été héliportés vers le centre hospitalier de Lille.

    Les forces de l'ordre ont ensuite sécurisé le secteur, où se trouve un centre d'accueil du Secours catholique. 

    Une enquête a été ouverte.

    L'Obs


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  • Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_Boulad


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  • Paris : le propriétaire de la tigresse abattue va porter plainte pour dégradation

    Un acte de malveillance est-il à l'origine de la fuite d'une tigresse à Paris, vendredi 24 novembre ? C'est en tout cas ce que pense le propriétaire du cirque Bormann qui a abattu l'animal après que celui-ci ait semé la panique dans le quinzième arrondissement de la capitale. Il a l’intention de déposer plainte contre X pour dégradation, indique sa femme, Alexandra Bormann au Parisien, samedi 25 novembre.

     

    La chaîne qui fermait l'enclos aurait un "maillon cassé"

    Alexandra Bormann indique notamment que la chaîne qui fermait avec un cadenas l’enclos du fauve avait un "maillon cassé". Pour les dirigeants du cirque, il s’agit d’un acte de "malveillance". Des critiques et des réactions hostiles à l'installation du cirque dans le square Carlo Sarrabezolles, au niveau du pont du Garigliano, se seraient aussi fait entendre. Le cirque, doté de neuf tigres, venait d'arriver et prévoyait d'ouvrir ses portes au public le 3 décembre.

    Vendredi 24 novembre, le propriétaire de la tigresse avait été placé en garde à vue après l'incident, puis libéré au terme de quelques heures. L'enquête, qui vise a établir s'il y a eu mise en danger de la vie d'autrui, se poursuit. Selon une source proche du dossier, le propriétaire sera prochainement réentendu.

    Franceinfo

    Les animaux sauvages n'ont rien à faire dans les cirques. 


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  • Remaniement : Macron enterre totalement sa promesse d'un gouvernement resserré

    Avec deux secrétaires d'État supplémentaires nommés vendredi, le gouvernement d'Édouard Philippe compte désormais 31 membres, dont 19 ministres. Très loin de l'engagement initial d'Emmanuel Macron.

     

    "Je constituerai un gouvernement de 15 membres maximum, très ramassé, avec des personnes de la société civile et des personnes du monde politique venant de la gauche, du centre, de la droite."

    La promesse d'Emmanuel Macron, faite le 12 mars 2017 sur le plateau de TF1, semble aujourd'hui lointaine : s'il fait effectivement toujours la part belle à la société civile et dépasse les clivages traditionnels, le nouveau gouvernement nommé vendredi compte aujourd'hui 31 membres, 19 ministres (dont trois ministres délégués) et 12 secrétaires d'État. Deux nouveaux membres viennent ainsi s'ajouter à l'équipe nommée en juin après les législatives. Le gouvernement Philippe I, resté en place un mois entre la présidentielle et le scrutin de juin, comptait pour sa part 18 ministres et 4 secrétaires d'État. Au fil du temps, l'exécutif s'est donc fait de moins en moins "ramassé"…

    C'est en fait usuel sous la Ve République : les gouvernements naviguent le plus souvent avec une trentaine de membres. Moins si l'on ne prend pas en compte les secrétaires d'État, dont le recours a été variable en fonction des Premiers ministres : Dominique de Villepin et Jean-Marc Ayrault, par exemple, n'en utilisaient pas, faisant du même coup augmenter leur nombre de ministres. Quant à ceux qui promettaient eux aussi une équipe "resserrée", ils ont rarement pu tenir cette position dans la durée. Conformément à l'engagement de Nicolas Sarkozy, François Fillon avait nommé 15 ministres et quatre secrétaires d'État en 2007 pour finir en 2012 avec 22 ministres et 8 secrétaires d'État…

     

    Sous Macron, des attributions avaient disparu

    Pourquoi alors ces effectifs pléthoriques? Tout simplement parce que les équipes "ramassées" ne sont pas forcément synonymes d'efficacité et que la réalité de l'action gouvernementale rattrape les intentions de départ. Des administrations ont ainsi vocation à être incarnées par un membre du gouvernement, au risque d'être totalement laissées de côté. C'est d'ailleurs l'une des difficultés qui s'est posée au début du quinquennat Macron : avec la redéfinition des périmètres, des attributions avaient disparu (Famille, Logement, Mer, Tourisme…) provoquant quelques flottements. Le remaniement de vendredi répond aussi à une partie de cette question, puisque le nouveau secrétaire d'État, le socialiste Olivier Dussopt, reprend la Fonction publique, dont était en charge le ministre de l'Action Gérald Darmanin mais qui n'était plus mentionnée dans l'intitulé de son ministère.

     

    Avec cette équipe plus nombreuse, l'exécutif allège aussi une autre contrainte qu'il a lui-même fixée. Emmanuel Macron avait fixé à 10 le nombre maximum de conseillers que pouvait recruter un ministre, et 5 s'agissant d'un secrétaire d'État, contre respectivement 15 et 10 qui étaient autorisés jusqu'ici. Deux membres de plus, ce sont donc 10 conseillers supplémentaires autorisés. De quoi, qui sait, mieux huiler la machine gouvernementale.

    Le JDD


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  • Recrutements exceptionnels en 2018, + 8 000 postes !

     

    Si vous voulez postuler :

    LIEN : https://www.lapolicenationalerecrute.fr/Pub/Nov2017

     

    Trouvé sur Actu Animaux quand je suis allée faire mes clics !


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  • Violences sexuelles : Edouard Philippe craint "des accusations excessives"

    Le Premier ministre Edouard Philippe a considéré mercredi 22 novembre que la société devait "prendre de face, au corps, la question des violences sexuelles", en relevant "un fait social" qu'il faut "essayer de corriger", lors d'un entretien pour Mediapart, diffusé en direct sur leur site.

    "Il y a une libération de la parole, une intention collective, il y a une attention qui fait qu'il y a peut-être de nouveaux 'process' qui se mettent en place, d'écoute, et de contrôle, tant mieux", a salué le Premier ministre.

    "On voit qu'aucun milieu n'est véritablement indemne, donc on n'est pas dans la dérive d'un milieu, mais dans quelque chose de plus général, un fait social [...] qu'il faut dépiauter [...] et essayer de le corriger".

     

    "On essaie de faire différemment"

    "Ca passe par des mesures pénales, par la capacité qu'on a à saisir la justice, mais si on décrit le phénomène comme un fait social, c'est bien plus complexe que simplement" des procédures judiciaires, a encore estimé le Premier ministre.

    Après avoir appelé à faire des efforts sur "l'éducation", Edouard Philippe a fait observer que de précédentes affaires en France n'avaient "pas donné grand-chose", en citant notamment les accusations portées contre l'ex-député EELV Denis Baupin.

    Le chef du gouvernement a par ailleurs indiqué que "le président de la République (allait) s'exprimer sur le sujet samedi".

     

    "Je ne crois pas qu'on ait à gagner à être dans le plan d'urgence dès que l'émotion est forte. Il est arrivé que les gouvernements se placent dans cette optique, et en général on le leur reprochait, donc on essaie de faire différemment."

     

    Des accusations "mécaniquement" excessives

    Interrogé sur sa réaction si l'un des ministres de son gouvernement faisait l'objet de telles accusations, le Premier ministre a assuré qu'il n'aurait "pas beaucoup de mansuétude", rappelant qu'"il y a des choses qui ne sont pas acceptables et ne doivent pas être acceptées".

    "Une fois qu'on a dit ça, on peut aussi faire attention à conserver une forme de civilité entre les hommes et les femmes. On ne doit pas non plus s'interdire une forme de séduction - intellectuelle, sans violence et sans contrainte", a-t-il précisé, craignant par ailleurs qu'il arrive "mécaniquement" que "des accusations soient excessives par rapport à des faits".

    "C'est pour ça qu'il faut être prudent sur le sujet. Même dans ces affaires, la présomption d'innocence existe. La présomption d'innocence, ça n'est pas juste quand ça vous arrange, c'est partout et tout le temps", a-t-il insisté.

    L'Obs


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  • Verdun : deux musulmans poursuivis pour avoir exhorté des religieuses catholiques à se convertir à l'islam

    Ils ont perturbé un office dans un couvent de carmélites, notamment en menaçant : "Si vous ne vous convertissez pas à l'islam, vous irez en enfer !" Le parquet exclut tout lien avec une "cause terroriste".

     

    Deux hommes de confession musulmane seront jugés le 28 avril à Verdun (Meuse) pour avoir perturbé un office dans un couvent catholique. Ils ont exhorté des religieuses à se convertir à l'islam, a indiqué vendredi 17 novembre le parquet, confirmant une information de L'Est républicain. Tout lien avec une "cause terroriste" est cependant exclu.

    Les deux hommes, âgés d'une trentaine d'années, comparaîtront pour "violences volontaires aggravées" à l'encontre des religieuses. En l'occurrence, les dix sœurs carmélites n'ont pas été violentées physiquement, mais ont été très "troublées" par cette intrusion, a précisé l'évêque de Verdun, Jean-Paul Gusching.

    "Allah Akbar" écrit sur le livre d'or

    Selon le prélat, qui a recueilli leur témoignage, deux hommes se sont présentés à l'accueil du carmel le 10 novembre vers 17 heures et, après une brève discussion avec une carmélite, ont demandé à l'accompagner à la chapelle pour l'office. "Ce qui a été un peu violent, c'est qu'ils se sont mis à prier en arabe pendant que les sœurs priaient les vêpres", a rapporté l'évêque. "Ils leur ont dit qu'ils étaient 'des annonciateurs'" et ont menacé : "'Si vous ne vous convertissez pas, vous irez en enfer !' C'est de la violence", a ajouté l'évêque. Avant de partir "en remerciant la sœur de son accueil", l'un des hommes a écrit "Allah Akbar" (Allah est le plus grand, en arabe) sur le livre d'or du carmel, a poursuivi Jean-Paul Gusching.

    Les deux hommes ont été interpellés le lendemain, déférés au parquet à l'issue de leur garde à vue puis placés sous contrôle judiciaire. Ils encourent trois ans de prison et 45 000 euros d'amende. Pour Abdelkrim Aïtelkaid, l'imam de Verdun cité par L'Est républicain,"ça ne se fait pas de faire ça. Ce n'est pas normal. On ne va pas violer la sacralité d'un lieu de culte." Le plus jeune des deux individus "s'est converti il y a deux ou trois mois", a précisé l'imam.

     

    Récemment, les deux jeunes hommes étaient venus à la mosquée, mais ne s'y sont "pas comportés normalement", si bien qu'ils ont été "mis dehors", a-t-il ajouté. Après l'incident du carmel, l'évêque Jean-Paul Gusching a demandé aux religieuses "de filtrer les personnes qui viennent à la messe chaque jour, par sécurité". "Je leur ai dit : 'N'ayez pas peur, mais soyez vigilantes'", a-t-il commenté. Il ne faut pas pour autant "monter ces faits" en épingle, a-t-il dit, alors que les autorités civiles et religieuses ont renforcé leur vigilance à l'entrée des lieux de culte après l'assassinat du père Jacques Hamel en juillet 2016. Le prêtre avait été assassiné par deux jeunes jihadistes dans son église de Saint-Étienne-du-Rouvray (Seine-Maritime), près de Rouen.

    Franceinfo


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  • Gironde : le corps retrouvé est bien celui de la conseillère municipale portée disparue

    L’autopsie pratiquée sur le corps retrouvé vendredi dernier en Charente-Maritime a permis d’identifier officiellement la conseillère municipale de Marcillac.

    Le corps retrouvé en Charente-Maritime le vendredi 17 novembre est bien celui de Christelle Brauer, une mère de famille et conseillère municipale de Marcillac (Marcillac) disparue quelques jours plus tôt, indique ce mercredi le parquet de Saintes.

    « Il n’y pas de traces de violences », physiques ou sexuelles, a déclaré le vice-procureur de Saintes (Charente-Maritime), Thierry May.

    Par contre, le parquet attendait les résultats des analyses toxicologiques, prévues la semaine prochaine, pour se prononcer sur les causes de la mort. 

     

    Recherchée depuis le 13 novembre

    La mère de famille, âgée de 41 ans, avait été vue pour la dernière fois le 13 novembre à Marcillac (Gironde), selon Sud Ouest. Son corps avait été retrouvé quatre jours plus tard, près de son véhicule, dans une zone boisée de Montendre, en Charente-Maritime voisine, à quelques kilomètres de son lieu de résidence.

    Christelle Brauer, « bien insérée socialement, sans souci apparent », avait quitté soudainement son domicile, sans aller chercher ses enfants à la descente du car scolaire comme prévu. Elle avait également mystérieusement laissé derrière elle son téléphone portable, ses papiers et son argent.

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    Sa disparition avait été jugée « inquiétante » par les gendarmes de Gironde, qui avaient lancé dès le lendemain un avis de recherche et mené ensuite plusieurs opérations de ratissage.

    Le Parisien


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  • Des lycéennes chinoises ont travaillé 11 heures par jour pour produire l'iPhone X

    Elles ont entre 17 et 19 ans, et affirment avoir été contraintes de travailler, de manière illégale, pour la production de l'iPhone X, rapporte le Financial Times.

    Afin de répondre à la forte demande provoquée par le dernier-né d'Apple, six lycéennes chinoises disent avoir effectué des journées de 11 heures en moyenne, contre leur gré, dans une usine de Zhengzhou. Une durée dépassant la limite légale de travail pour les stagiaires qui, d'après la loi chinoise, est limitée à 40 heures par semaine. L'une des étudiantes concernées confie avoir assemblé jusqu'à 1.200 caméras d'iPhone X par jour.

    Leur calvaire commence en septembre dernier, lorsque leur école –la Zhengzhou Urban Rail Transit School– envoie près de 3.000 de ses étudiantes dans l'entrepôt d'un fournisseur d'Apple, Hon Hai Precision Industry –plus connu sous le nom de Foxconn. Cette mission de trois mois est alors présentée comme un pré-requis à l'obtention de leur diplôme. Un mensonge, selon Yang, 18 ans, qui a refusé de révéler son prénom par peur de représailles: 

    «L'école nous force à travailler. Les tâches que l'on effectue n'ont rien à voir avec nos études.»

    Contactée par le Financial Times, l'école en question a refusé de répondre aux questions des journalistes. Apple et Foxconn, quant à eux, ont reconnu avoir entendu parler de stagiaires ayant effectué de nombreuses heures supplémentaires et se disent déterminés à prendre les mesures nécessaires pour que cela ne se reproduise plus. Les deux entreprises assurent toutefois que toutes les lycéennes consentaient à travailler:

    «Il nous a été confirmé que les étudiantes ont travaillé volontairement, ont reçu des compensations et des bénéfices, même s'il est vrai qu'elles n'auraient pas dû avoir à travailler plus que la durée légale.» 

    Un retard de deux mois

    Le fournisseur Foxconn avoue lui aussi que le temps de travail imposé aux jeunes femmes constitue une violation de sa politique. Un surmenage à mettre en relation avec les nombeux problèmes rencontrés lors de la production du smartphone, qui avaient causé le report sa sortie –initialement prévue pour septembre– au mois de novembre. Ce retard avait fait chuter de 39% le revenu trimestriel de Foxconn.

    D'après un employé de longue date du fournisseur, l'usine de Zhengzhou a chaque année recours à de nombreux étudiants entre août et décembre, période de pleine activité. Au point de parfois tripler son nombre d'employés. À cette saison, plus de 20.000 iPhones seraient produits quotidiennement. Et en 2017, le besoin de main d'œuvre supplémentaire aurait été particulièrement important.  

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    Jenny Chan, professure assistante à la Hong Kong Polytechnic University explique: «La stratégie d'Apple est de réduire les coûts de production et de tout faire dans un timing serré.» Ce qui explique en partie la mobilisation de nombreux stagiaires, qui peuvent être recrutés de manière très flexible. 

    Slate


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  • Japon: Les soldats américains privés d'alcool après un accident mortel

    L’armée américaine a interdit lundi « jusqu’à nouvel ordre » la consommation d’alcool à ses troupes stationnées au Japon, après un accident de la route mortel causé dimanche par un militaire américain ivre, dans l’archipel d’Okinawa.

    L'interdiction concerne tous les militaires américains dans le pays, aussi bien dans leurs bases que dans les lieux publics comme les bars, les clubs et les hôtels, selon un communiqué des forces américaines au Japon.

    L'accident a eu lieu à Naha, dans l'archipel d'Okinawa.

     

    Un niveau d’alcool était trois fois supérieur à la limite autorisée

    Un Japonais de 61 ans est mort dimanche 19 novembre  à Naha, dans l'archipel d'Okinawa, dans un accident de la route causé par un membre du corps des Marines de 21 ans qui conduisait un camion en état d’ivresse. Un test d’alcoolémie avait révélé que son niveau d’alcool était trois fois supérieur à la limite autorisée pour prendre le volant, selon la police japonaise.

    « Quand nos membres en service ne sont pas à la hauteur des attentes élevées que nous avons vis-à-vis d’eux, cela endommage les liens entre les bases et les communautés locales et rend notre mission plus difficile à accomplir », a estimé l’armée américaine dans son communiqué.

     

    Une présence militaire américaine mal vécue par les habitants

    Quelque 47.000 soldats américains sont basés au Japon, dont plus de la moitié dans le petit archipel d’Okinawa, où leur présence est souvent mal vécue par les habitants. Les faits divers impliquant des militaires américains à Okinawa, hautement médiatisés au Japon, jettent ainsi de l’huile sur le feu.

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    Actuellement, un ancien Marine américain à Okinawa est jugé sur place pour le viol et le meurtre d’une Japonaise de 20 ans l’an dernier. Le verdict de ce procès très médiatisé est attendu le 1er décembre.

    20 Minutes


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  • Perdue des années durant, cette chienne d’habitude réservée laisse éclater sa joie en reconnaissant son papa

    Cela faisait des années que Pakita vivait dans un refuge. Recueillie en tant que chienne errante, elle avait pourtant une famille qui n’avait jamais cessé de la chercher. Quand l’heure des retrouvailles a enfin sonné, sa réaction a été extrêmement émouvante.

    En Argentine, une chienne répondant au nom de Pakita n’avait pas vu sa famille depuis très longtemps. Il y a plusieurs années, elle avait fugué de la maison de ses propriétaires, qui ont tout fait pour tenter de la retrouver, mais sans résultat.

    Elle a ensuite été recueillie comme chienne errante et confiée à un refuge, celui de l’association Arca. Les bénévoles de cette structure d’accueil pour animaux se sont attachés à elle au fil des mois, puis des années qu’elle y a passé.

    Ils n’ont épargné aucun effort pour lui trouver une famille d’adoption. Son âge ne plaidait toutefois pas en sa faveur. Le personnel du refuge ignorait que Pakita avait déjà une famille à laquelle elle manquait terriblement. Elle ne portait visiblement aucune identification pour que l’équipe d’Arca le sache.

    Des photos de Pakita étaient donc régulièrement postées par le refuge sur les réseaux sociaux pour intéresser d’éventuels candidats à l’adoption. C’est en tombant sur l’un de ces clichés que la mère d’Ariel, le propriétaire de Pakita, l’a reconnue. Elle a alors immédiatement appelé son fils pour lui annoncer que sa chienne était en vie et en bonne santé.

     

    Soulagé et ému, Ariel s’est donc rendu au refuge pour récupérer son amie à 4 pattes. Cette dernière, d’un naturel très réservé, n’a pas reconnu son ancienne famille au départ. Il lui a fallu un moment pour que ses lointains souvenirs émergent dans son esprit. Et là, lorsqu’elle s’est approchée de son papa, que ce dernier s’est accroupi et qu’elle l’a reconnu, elle a laissé éclater sa joie… Elle s’est, en effet, mise à remuer énergiquement la queue et à lui lécher le visage.

    Les bénévoles d’Arca ne l’avaient jamais vue dans cet état, elle qui était très timide et préférait passer la plupart du temps seule dans son coin. Une véritable métamorphose pour cette adorable chienne qui a enfin retrouvé les siens

    Chien.fr


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