• CHANTOUVIVELAVIE : Une femme et un garçon poignardés à mort

    NORVEGE

    Une femme et un garçon ont été mortellement poignardés lundi près d'une école de Kristiansand, dans le sud de la Norvège, par un ou des agresseurs toujours en fuite, a annoncé la police norvégienne.

    Les mobiles de l'agression n'étaient pas clairs dans l'immédiat et la police n'a procédé à aucune interpellation.

    «Une importante opération policière est en cours (...) pour retrouver le ou les agresseurs», a déclaré Terje Kaddeberg Skaar, chef adjoint de la police locale, lors d'une conférence de presse.

    L'identité des deux victimes n'est pas encore connue avec certitude et on ignore si elles entretenaient des liens de parenté. Elles sont toutes deux mortes à l'hôpital des suites de leurs blessures.

    L'agression s'est produite en fin d'après-midi à proximité immédiate de l'école élémentaire Wilds Minne. Selon la police citée par les médias locaux, le garçon blessé n'était pas scolarisé dans l'établissement.

    24 Heures.ch


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  • CHANTOUVIVELAVIE : Ivre, il se suicide dans la voiture de la gendarmerieIvre, il se suicide dans la voiture de la gendarmerie

    Un contrôle routier a viré au drame, dimanche. Emmené au poste, un conducteur alcoolisé s'est infligé un coup de couteau mortel.

    Un homme de 52 ans, qui avait été interpellé dimanche pour conduite sous l'emprise de l'alcool, s'est suicidé d'un coup de couteau dans la poitrine alors qu'il était dans le véhicule de gendarmerie, a-t-on appris lundi auprès du parquet de Bourges, dans le centre de la France.

    «C'était un contrôle assez banal au départ», a assuré le procureur de la République de Bourges Vincent Bonnefoy. Lorsqu'il a été interpellé, «l'homme n'était pas agressif. Il a accepté de suivre les gendarmes dans leur voiture» pour se rendre à la brigade où devait être déterminé plus précisément son taux d'alcoolémie, a indiqué le magistrat.

    Les gendarmes ont expliqué ne s'être rendu compte de rien dans un premier temps. Lorsqu'ils ont découvert que l'homme s'était enfoncé un couteau dans la poitrine, ils lui ont prodigué les premiers soins en attendant les pompiers, mais le quinquagénaire n'a pu être sauvé.

    Une autopsie sera pratiquée durant la semaine dans le cadre de l'enquête confiée aux gendarmes de la Section de recherches de Bourges.

    24 Heures.ch


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 05 12 2016

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • Une mosquée salafiste conteste au Conseil d'Etat sa fermeture

     

    Le préfet des Yvelines accuse la mosquée d'Ecquevilly d'appeler «à la discrimination et à la haine, voire à la violence». L'association gérant le lieu dénonce un amalgame entre salafisme et djihadisme.

    La mosquée d'Ecquevilly conteste lundi devant le Conseil d'Etat sa fermeture décidée par le préfet des Yvelines, qui l'accuse d'appeler «à la discrimination et à la haine, voire à la violence».

    Le 2 novembre, la préfecture avait ordonné la fermeture jusqu'à la fin de l'état d'urgence de cette salle de prière d'Ecquevilly, 4000 habitants, proche des Mureaux dont les cités sont minées par des affaires d'islamisme radical. En cause, non pas des liens directs avec les filières djihadistes, mais la teneur des discours de son populaire imam, Youssef B.

    La mosquée est «un lieu de référence influent de la mouvance salafiste, prônant un islam rigoriste, appelant à la discrimination et à la haine, voire à la violence à l'encontre des femmes, des juifs et des chrétiens», et l'imam «a légitimé dans un prêche» du 20 novembre 2015 les attentats parisiens, écrit le préfet dans son arrêté. La menace terroriste, souligne-t-il, implique «des individus de plus en plus jeunes dont le trait commun est de fréquenter assidûment des mosquées salafistes».

    Le 17 novembre, le tribunal administratif de Versailles, saisi au nom de la liberté de culte par l'Association islamique Malik Ibn Anas, qui gère la mosquée, avait confirmé sa fermeture. Ses avocats avaient annoncé ce recours devant le Conseil d'Etat, plus haute juridiction administrative, examiné lundi à 17h00. «On ne voit pas en quoi la lutte contre le terrorisme imposerait de bâillonner toutes les formes d'islam en France au seul motif qu'elles ne répondraient pas à tous les canons de l'islam républicain», avaient dit mi-novembre à l'AFP Mes Vincent Brengarth et William Bourdon, dénonçant un amalgame entre salafisme et djihadisme.

    Dans Le Monde, l'imam de cette mosquée, Youssef B., dénonce une «guet-apens d'Etat» et conteste tout appel au terrorisme. Le journal rappelle que les prêches de cet homme de 38 ans attirent les vendredis des individus de toute l'Ile-de-France ou de province.

     

    «Message insidieux, subliminal»

     

    Le tribunal administratif, pour confirmer la fermeture, s'était appuyé sur une note blanche produite par la préfecture. Cette note «précise et circonstanciée», soulignait le juge des référés, attribue à l'imam plusieurs propos litigieux relatifs à l'islam ou aux femmes, «incitatifs à la haine, à la discrimination, au non-respect des lois de la République et à la violence». De même pour des ouvrages disponibles dans la bibliothèque.

    Ces discours ont «déjà des effets négatifs sur la cohésion sociale à Ecquevilly en raison d'une pression religieuse s'exerçant notamment sur les femmes ‘insuffisamment' ou non voilées et rejaillissant sur les relations entre les enfants», poursuivait le magistrat.

    A l'audience, la représentante du ministère de l'Intérieur avait décrit «un message insidieux, subliminal, qui instille l'idée dans la communauté que, finalement, les attentats sont tolérables», derrière une «vitrine propre», qui condamne le terrorisme. «Aucun» élément n'étaye les accusations, avait rétorqué Me Brengarth, «c'est simplement une affirmation d'autorité».

    Dans sa requête, l'association rappelle que la mosquée, qui se revendique du salafisme quiétiste (ordinaire) et non du salafisme «révolutionnaire» qui «constitue la mouvance djihadiste», est «apolitique et pacifique». Elle répète avoir «toujours condamné» le terrorisme et la violence. «Aucun» de ses fidèles, assure-t-elle, n'est à sa connaissance mis en cause dans un dossier terroriste ni assigné à résidence.

    Une vingtaine de mosquées et salles de prières présumées radicalisées ont été fermées depuis l'instauration de l'état d'urgence après les attentats du 13 novembre 2015. La France compte quelque 120 mosquées et salles de prière salafistes ou sous influence du salafisme, courant fondamentaliste sunnite.

    Le Figaro


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  • Michel Polnareff est victime d'une "embolie pulmonaire" qui "engage son pronostic vital",

    Michel Polnareff, 72 ans,  est entre la vie et la mort. Hospitalisé depuis samedi à l'Hôpital américain de Neuilly (Hauts-de-Seine), le chanteur est victime d'une "embolie pulmonaire bilatérale qui engage son pronostic vital", a annoncé son attaché de presse lundi 5 décembre à l'AFP. L'interprète de La poupée qui fait non a dû annuler les deux derniers concerts de sa tournée prévus vendredi à Paris et samedi à Nantes.

    Son attaché de presse, Fabien Lecœuvre, avait indiqué dimanche que le chanteur souffrait depuis la mi-novembre "un peu d’une sinusite qui s’est aggravée chaque soir, chaque jour". "Il a subi des infiltrations pour pouvoir tenir la scène à Toulouse, Pau et Bordeaux (la semaine dernière, ndlr). Mais vendredi matin, il était pris d'importants vertiges et de chute de tension", avait-il précisé.

    Une tournée "harassante"

    Pour son fidèle collaborateur, cette maladie est la conséquence d'une tournée "harassante". "Depuis le 30 avril, depuis Epernay, jusqu’à hier soir, il y a eu une petite cinquantaine de concerts", a rappelé Fabien Lecœuvre, précisant que des dates ont été rajoutées.

    La compagne de Michel Polnareff, Danyellah, a posté samedi soir un message sur le compte Facebook du chanteur : "Sur ordre Médical, Il DOIT se reposer. Il est très peiné par ces décisions nécessaires à une complète récupération, les médecins lui ayant conseillé de quitter momentanément les réseaux sociaux pour un repos complet", avait-elle écrit.

    C'est par une vidéo mise en ligne sur Facebook que "l'Amiral" avait lui-même annoncé son forfait pour le concert à Pleyel vendredi soir. "Je suis dans un état d'épuisement total", avait déclaré l'auteur de Goodbye Marylou, visiblement éreinté.

    France info


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  • Stop à l'élimination massive des ânes au Burkina Faso

    À l'attention : des autorités Burkinabé

    Les ânes décimés par un trafic organisé de leur peau vers la Chine.

    Les ânes sont, en Afrique et particulièrement au Burkina Faso, les premiers partenaires de travail des familles paysannes. Seul animal de trait ou de transport accessible aux plus pauvres, il est devenu indispensable dans toutes les activités quotidiennes à la campagne.

    Le rôle socio-économique de l’âne n’est plus à démontrer et, grâce à ses nombreux potentiels il contribue à la sécurité alimentaire des populations rurales (traction agricole) et aux économies locales (transports multiples).

    Sa disparition engendrerait des conséquences dramatiques pour l’agriculture familiale et pourtant on note d’ores et déjà une diminution  du cheptel asin alors qu'il était en croissance depuis des décennies.

    La cause : un trafic des peaux vers la Chine !

    Abattages clandestins, vols dans les villages, corruption, inflation, tous les ingrédients sont réunis pour déstabiliser et appauvrir les populations rurales qui vivent au quotidien avec leurs ânes. 

    Grâce, entre autres, à la confédération paysanne Burkinabé, qui a su alerter les autorités, un décret est paru en juillet 2016 qui règlemente les abattages et l’exportation  des peaux de ces animaux.

    Mais le trafic et le massacre continue !

    Le gouvernement du Burkina doit mettre en place tous les moyens pour que cette nouvelle réglementation soit enfin respectée.

    Les acteurs locaux engagés dans la défense des ânes constatent que les abattages clandestins ne faiblissent pas et ils demandent l’application sur le terrain des mesures décrétées en juillet 2016.

    Nous, signataires, ONG, individus, organisations paysannes, associations, syndicats demandons aux autorités Burkinabé de mettre en œuvre tous les moyens possibles pour faire appliquer concrètement ses décisions et pour stopper définitivement ce trafic.


    Extraits de presse parus en 2015 et début 2016 :
    Saisies, le 6 août 2016, par la gendarmerie de Dakola, 3090 peaux d’âne ainsi que 600 peaux de dromadaire ont été incinérées, dans la ville de Pô dans la soirée du mercredi 28 septembre 2016. En effet, au vu de la disparition de l’espèce asine, le gouvernement burkinabè a adopté, le 7 septembre 2016, le décret n° 2016-857/PRESS/PM/MRAH/MCIA/MINEFID/MATDSI portant réglementation de l’abattage et de l’exportation des asins, des camelins, des équins et de leurs produits, au Burkina Faso. Néanmoins, des exportateurs véreux outrepassent cette mesure gouvernementale et procèdent à un trafic illicite de ces espèces désormais protégées. D’une valeur de plus de 100 millions de FCFA, ces 3690 peaux saisies, à en croire Zéphyrin Zoma, directeur provincial des Ressources animales et halieutiques du Nahouri, étaient la propriété d’un Chinois avec la complicité de certains Burkinabè qui avaient pour intention de l’exporter malgré cette interdiction. [Le Quotidien]

    Les Chinois veulent la peau des ânes du Burkina Faso

    La viande d’âne est très prisée en Chine

    En cause, la très forte demande venue de Chine. Si la viande est très prisée dans certaines provinces de Chine comme le Hunan ou le Henan – car elle est censée avoir des vertus aphrodisiaques –, la peau utilisée par la médecine traditionnelle chinoise est également très recherchée. À tel point que l’élevage chinois des ânes ne suffit plus à satisfaire la forte demande. Depuis quelques années, des réseaux commerciaux se sont mis en place dans plusieurs pays d’Afrique comme le Sénégal, le Mali et le Burkina Faso.

    Au Burkina Faso, les exportations, vers la Chine essentiellement, sont passées de 1 000 peaux au premier trimestre 2015 à plus de 18 000 au quatrième trimestre, selon Adama Maïga. Selon lui, l’exportation s’est intensifiée en 2016 avec 64 951 peaux d’ânes exportées seulement en six mois, ce qui a conduit à une « surexploitation de l’espèce ».

    « À ce rythme, l’âne pourrait disparaître dans cinq ans  » [La Croix]

    Une peau d’âne à prix d’or

    La ruée chinoise pour la peau d’âne a fait grimper les prix. Alors que l’année dernière, la peau d’âne se monnayait à 3 000 F CFA (environ 4,6 €), aujourd’hui, avec la ruée chinoise, elle atteint 40.000 F CFA (environ 61 €). L’âne lui-même ne s’achetait pas à ce prix-là avant l’arrivée des Chinois. Si cette situation persiste, elle peut engendrer deux conséquences : la disparition de l’espèce asine ou son inaccessibilité pour les petits paysans.

    LIEN :

    http://www.mesopinions.com/petition/animaux/stop-elimination-massive-anes-burkina-faso/26552


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - LUNDI 05 12 2016

    Bonne journée et excellente semaine


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  • Avec des photos de Marlene Dietrich.


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  • Haute-Savoie: la justice ordonne le retrait d'une statue de la Vierge d'un parc

    Cette décision fait suite à une première injonction similaire rendue en janvier 2015 au nom du principe de laïcité. La statue avait été financée grâce au budget communal et installée en août 2011 sans débat préalable devant le conseil municipal.

    Elle doit sortit du domaine public. Le tribunal administratif de Grenoble a pour la seconde fois sommé la petite commune de Publier, en Haute-Savoie, de déplacer une statue de la Vierge installée depuis 2011 dans un parc communal, a-t-on appris samedi auprès du maire de la commune.

    Une décision qui fait suite à une première injonction similaire du tribunal administratif, rendue en janvier 2015 au nom du principe de laïcité, mais qui n'a jamais été exécutée par la municipalité.

    Trois mois pour exécuter le jugement

    Dans son jugement, rendu le 24 novembre dernier, le tribunal enjoint une nouvelle fois le maire sans étiquette de Publier, Gaston Lacroix, à "retirer du domaine public communal la statue de la Vierge portant l'inscription 'Notre dame du Léman veille sur tes enfants'".

    La commune a désormais trois mois pour exécuter le jugement, sous peine de devoir s'affranchir d'une "astreinte de 100 euros par jour", ajoute le tribunal, confirmant une information du Dauphiné Libéré. "Je ne suis pas sourd aux décisions du tribunal administratif. Depuis 5 ans, je n'ai simplement jamais reçu aucune injonction des services de l'État", se défend Gaston Lacroix. "Je suis un élu républicain, garant de la laïcité. On va trouver un terrain privé", ajoute l'élu.

    Une statue érigée pour 24 000 euros

    Installée en août 2011 sans débat préalable devant le conseil municipal, cette statue financée grâce au budget communal avait provoqué un tollé du côté des habitants. Cette décision, jugée "contraire aux principes de laïcité", avait poussé l'un d'eux, puis une association de militants prônant la libre-pensée, à porter l'affaire en justice.

    Face à la controverse, le maire de Publier avait décidé de retirer sa délibération et de vendre la statue, érigée pour 24 000 euros, à une association culturelle religieuse, qui l'a acquise après à un appel à dons.

    Dans un second temps, Gaston Lacroix avait pris une délibération pour céder à cette association la parcelle de terrain de 36m2 où est installée la statue, afin qu'elle ne se situe plus sur le domaine public. Mais cette décision avait été retoquée par le tribunal administratif de Grenoble.

    L'Express


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  • Fribourg sous le choc: Maria (19) violée et tuée par un migrant

    "Les gens craignent d'être agressés en rue. On ne peut pas tolérer une telle situation", a souligné Dieter Salomon, le bourgmestre de Fribourg.

    Maria Ladenburger, étudiante en médecine à Fribourg et fille d'un haut fonctionnaire de l'UE (Clemens Ladenburger), était bénévole dans un centre pour migrants sur son temps libre, comme le relate Bild.

    Il est passé aux aveux
    Le 16 octobre dernier, alors qu'elle revenait à vélo d'une soirée, un migrant afghan de 17 ans l'a violée et noyée dans une rivière de la ville. Son corps a été retrouvé et le coupable est passé aux aveux. On ne sait pas encore s'il connaissait la victime. Il sera jugé l'année prochaine, indique le Frankfurter Allgemeine Zeitung.

    Maria Ladenburger aurait dû célébrer ses 20 printemps dans deux jours. Pendant six semaines, la police allemande a mis les bouchées doubles pour mener cette enquête. Les images tirées des caméras de surveillance de la ville de Fribourg ont été analysées au peigne fin. Un homme avec un manteau noir et une coiffure peu banale a attiré l'attention des enquêteurs. C'est un migrant afghan de 17 ans qui a rejoint l'Allemagne en 2015.

    Une autre victime?
    "Comme c'est un mineur, il risque dix ans de prison au maximum", a précisé David Müller, le chef des enquêteurs.

    Il existe plusieurs points communs troublants avec la disparition de Carolin G. (37). Son corps a été retrouvé le 10 novembre dernier dans un bois de Fribourg, à seulement 30 kilomètres de la rivière où a été découvert le corps sans vie de Maria Ladenburger. Elle a aussi été violée.

    "On ne peut pas tolérer cette situation"
    Les citoyens de Fribourg sont sous le choc. La ville a recruté 25 agents de la sécurité supplémentaires, ajoute Die Welt. "Les gens craignent d'être agressés en rue. On ne peut pas tolérer une telle situation", a souligné Dieter Salomon, le bourgmestre de Fribourg.

    Entre 2014 et 2015, l'Allemagne a accueilli 1,5 million de réfugiés. Malgré les tensions, Angela Merkel l'a encore répété cette semaine: elle ne compte pas changer sa politique d'immigration d'un iota.

    7 SUR 7.be


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  • A Nice, le quotidien difficile d'un coiffeur nommé Eric Zemmour

    Porter le même prénom et nom qu'une star de cinéma ou un animateur vedette peut avoir certains avantages mais s'appeler Éric Zemmour alors que l'on n'est ni journaliste ni polémiste entraîne quelques désagréments.

    C'est ce qu'a confié un coiffeur niçois à nos confrères de L'Indépendant. À la tête de 15 salons de coiffure principalement dans le Sud de la France et dans des lieux de prestige, Éric Zemmour explique recevoir «des coups de téléphone anonymes, des vidéos insultantes sur Instagram, des appels dans nos salons» à cause de son homonymie. «C'est gênant pour moi, mais aussi pour mes collaborateurs», déplore-t-il.

    Il poursuit passablement lassé: «Je reçois des messages qui s'adressent à Éric Zemmour le journaliste. Certains ne font pas la différence entre lui et moi. Or, je ne suis pas forcément d'accord avec tout ce qu'il dit ou écrit. Je n'ai pas du tout sa façon de penser, j'ai mes convictions, mais je n'ai pas à les exprimer». «Moi, je vends de la beauté. Je fais aussi de la télévision avec le groupe M6, qui possède mes coordonnées», ajoute le coiffeur qui tient à préciser qu'il a «un grand respect pour les femmes», à la différence de son homonyme. En effet, le professionnel de la coiffure n'est pas totalement inconnu puisqu'il a participé à Panique chez le coiffeur en 2006.

    Le plus simple aurait été alors de renommer ses salons de coiffure mais l'intéressé pense que «cela aurait été préjudiciable». «Je me suis posé la question mais j'ai une notoriété depuis plus de 15 ans avec les salons qui portent mon nom. Nous avons en revanche, rajouté “Beauté prestige” pour noyer un peu le nom. Mais, pour certains, ce n'est pas suffisant puisque la confusion continue. Ils croient que Zemmour le journaliste a créé des salons de coiffure! Je le redis, lui et moi sommes aux antipodes l'un de l'autre!», déclare le coiffeur.

    Invité à plusieurs reprises à s'exprimer à la télévision, Éric Zemmour a toujours préféré refuser. «Parce que, justement je ne suis pas seul, j'ai 100 personnes autour de moi. Lui a précisé en quelques occasions qu'il n'avait rien à voir avec moi, mais ça continue. Pourtant, on ne se ressemble pas du tout, on sait le métier que j'exerce. Et je ne fais pas partie de son trip».

    Le Figaro (actu télé)


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  • Scandale en Espagne : une association de protection animale assassine 2200 chiens et chats

    C’est un triste fait divers qui vient ébranler le monde de la protection animale. La présidente d’une association est accusée d’avoir « sacrifié » près de 2 200 animaux en Espagne.

     

    A première vue, le Parque Animal de Torremolinos, en Espagne, pourrait être un lieu idyllique pour les animaux. Refuge animalier d’abord, il est aussi doté d’un salon de toilettage, d’une résidence et d’une clinique privée pour les animaux. Bref, un centre animalier très complet, situé à quelques kilomètres de Malaga, en Andalousie. Mais ce qui se cache derrière est bien loin de ce qu’on pourrait imaginer…

    La présidente de l’association – à but non lucratif - est jugée depuis la mi-novembre au tribunal de Malaga pour actes de maltraitance sur des animaux, entre autres. Le procureur a conclu, à l’issue d’une enquête, que la dirigeante et son employé de maintenance avaient « sacrifié et donné à incinérer » 2 183 animaux entre janvier 2009 et octobre 2010 ! Et ce, afin de « réduire les coûts » et de privilégier les activités privées lucratives, estime le procureur.

    Une lente et douloureuse agonie

    Non seulement cette femme et son complice se seraient donc adonnés à plusieurs vagues d’assassinats massives, mais ils auraient en plus soumis les animaux à « une lente et douloureuse agonie » : d’après l’accusation, ils leur injectaient une substance mortelle, à une dose inférieure à celle recommandée « dans le seul but de faire des économies » et sans les avoir préalablement endormis.

     

    « Pour mener à bien ces exterminations massives et programmées (...) les caméras de sécurité du centre étaient déconnectées et de la musique diffusée à fort volume », afin de couvrir les « hurlements », selon les conclusions du parquet.

    L’accusée nie en bloc

    Malgré ces chefs d’accusation gravissimes, la présidente de l’association nie les faits. Dans une vidéo diffusée par le journal espagnol El Mundo, elle explique avoir « la phobie des injections » et prétend devoir « regarder ailleurs », incapable de « regarder comment s’enfonce l’aiguille ».

    La femme, qui ne détient par ailleurs aucun diplôme de vétérinaire, ainsi que son complice risquent quatre ans de prison pour maltraitance animale, exercice illégal de la profession vétérinaire et falsification de documents. Le procès s’achèvera le 9 décembre prochain. Affaire à suivre.

    Wamiz

    J'aimerai connaître les condamnations, car en Espagne, on n'aime pas trop les animaux, je pense à la corrida et aux pauvres lévriers !


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  • Déchirant : abandonné dans un refuge, un chien regarde ses maîtres en choisir un nouveau

    C’est une histoire à vous fendre le cœur. Zuzu, 2 ans, a été abandonnée dans un refuge californien parce qu’elle était « déprimée ». Impuissante, elle a assisté à une scène bouleversante : ses maîtres, en visite au refuge, ont choisi un nouveau chien… devant ses yeux.

     

    Zuzu est une jeune chienne qui vivait dans une maison, en Californie, avec ses maîtres et son père biologique. Mais lorsque celui-ci est décédé, Zuzu est tombée en dépression. Elle ne cessait de pleurer. Un jour, elle a sauté par-dessus la clôture de son jardin et s’est retrouvée chez des voisins… qui ont appelé la fourrière.

    Zuzu s’est alors retrouvée en refuge, sans que ses maîtres s’en soucient. Un jour, cependant, elle s’est mise à battre vivement de la queue. Elle qui était si triste devenait soudainement folle de joie à la vue d’un couple d’humains : c’étaient ses maîtres, et ils étaient revenus la chercher.

    Trop déprimée pour faire partie de la famille 

    Sauf qu’il n’en était rien. Les anciens maîtres de Zuzu étaient bien là, présents devant elle, séparés par un grillage. Mais ce n’était pas pour la ramener à la maison. « Ils m’ont dit qu’ils n’étaient pas là pour la récupérer, qu’ils voulaient un autre chien », a témoigné une employée du refuge. « Leur excuse, c’était qu’elle pleurait et qu’elle était triste depuis la mort de son père. Elle n’était pas un chien heureux. Leur solution, pour son malheur, c’était juste de la laisser ici… et d’aller chercher un nouveau chien », a-t-elle déploré sur les réseaux sociaux.

    La scène, filmée, a rapidement fait le tour du Web, suscitant l’indignation des internautes. Le personnel du refuge cherche désormais pour elle « une maison parfaite » où Zuzu pourra être vraiment aimée.

    Wamiz

    Encore des humains pas dignes de posséder un chien


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  • Ségolène Royal critiquée pour son éloge sans nuances de Fidel Castro

    La ministre de l’environnement a salué « un monument de l’histoire », oubliant les atteintes aux droits de l’homme perpétrées par le régime cubain.

    La ministre de l’environnement, Ségolène Royal, a salué, samedi 3 décembre, à Santiago de Cuba, la mémoire de Fidel Castro, « un monument de l’histoire », rejetant les accusations de violations des droits de l’homme à son encontre.

    Mme Royal a estimé que l’ancien président, mort le 25 novembre à l’âge de 90 ans, était « le symbole d’une amitié très profonde entre Cuba et la France ». « Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu’il y a eue pendant la Révolution française », a-t-elle estimé.

    Interrogée sur les violations des droits de l’homme reprochées par l’ONU et l’opposition au régime cubain, Ségolène Royal a dénoncé la « désinformation » et souligné au contraire l’existence sur l’île d’« une liberté religieuse » et d’« une liberté de conscience ». « Donc il faut savoir regarder les choses positivement même si ça dérange », a-t-elle ajouté, estimant que « la France n’a pas à donner de leçon » à Cuba.

    Des violations répétées des droits de l’homme

    Dans son rapport 2015-2016, l’ONG Amnesty International dressait pourtant un tout autre portrait du régime cubain, malgré son ouverture progressive et sa réconciliation avec les Etats-Unis :

    • les détracteurs du régime sont toujours « victimes de manœuvres de harcèlement, d’“actes de répudiation” (manifestations organisées par des partisans du régime avec le concours d’agents des services de sécurité), ainsi que de poursuites pénales motivées par des considérations politiques » ;
    • les arrestations politiques sont encore monnaie courante : la Commission cubaine des droits humains et de la réconciliation nationale (CCDHRN) en a dénombré 8 600 en 2015 ;
    • les autorités continuent de « contrôler l’accès à Internet, bloquant et filtrant certains sites, ce qui restreignait l’accès à l’information et les critiques antigouvernementales » ;
    • Amnesty « n’a pas été autorisée à pénétrer sur le territoire cubain depuis 1990 ».

    Un constat visiblement contesté par la numéro trois du gouvernement français, qui a expliqué qu’« il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l’homme alors qu’on sait qu’ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n’en a pas ». « Et bien, fournissez-moi des listes de prisonniers politiques, à ce moment-là on pourra faire quelque chose », a-t-elle ajouté.

    Salve de critiques, jusqu’au PS

    Ces déclarations ont été vivement critiquées par l’opposition, de François Bayrou (MoDem) à Florian Philippot (FN) en passant par Roger Karoutchi, Thierry Mariani et Guillaume Larrivé (Les Républicains). Dimanche, le sénateur PS de Paris David Assouline a pris ses distances avec les propos de la ministre, en tweetant que « notre pays rayonne dans le monde parce qu’il a inventé la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, pas pour son soutien aux dictateurs ». Le candidat à la primaire de la gauche François de Rugy (ex-EELV) a demandé à l’Elysée de désavouer ces propos.

    Ségolène Royal, envoyée à La Havane par François Hollande pour le représenter alors qu’il est en déplacement à Abou Dhabi, est la seule membre d’un gouvernement européen, avec le premier ministre grec, Alexis Tsipras, à avoir fait le déplacement à Cuba à l’occasion de la semaine de deuil national consacrée à l’ex-président cubain.

    Le Monde
     
    La Dinde du Poitou a t-elle parlé en son nom ou a t-elle dit ce que le Pingouin lui avait dit de dire ?
    Les socialistes feront du tort à la France jusqu'au bout !
    Le Premier ministre grec Alexis Tsipras et Ségolène Royal pour la France étaient les seuls représentants des pays européens à Cuba !

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  • La grande escroquerie du Téléthon Le professeur Testard dénonce une "mystification"

     

     

    jt"C’est scandaleux. Le Téléthon rapporte chaque année autant que le budget de fonctionnement de l’Inserm tout entier. Les gens croient qu’ils donnent de l’argent pour soigner. Or la thérapie génique n’est pas efficace. Si les gens savaient que leur argent va d’abord servir à financer des publications scientifiques, voire la prise de brevets par quelques entreprises, puis à éliminer des embryons présentant certains gènes déficients, ils changeraient d’avis. Le professeur Marc Peschanski, l’un des artisans de cette thérapie génique, a déclaré qu’on fait fausse route. On progresse dans le diagnostic, mais pas pour guérir. De plus, si on progresse techniquement, on ne comprend pas mieux la complexité du vivant. Faute de pouvoir guérir les vraies maladies, on va chercher à les découvrir en amont, avant qu’elles ne se manifestent. Cela permettra une mainmise absolue sur l’homme, sur une certaine définition de l’homme" : Jacques Testard, directeur de recherche à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), spécialiste en biologie de la reproduction, "père scientifique" du premier bébé éprouvette français, et auteur de plusieurs essais témoignant de son engagement pour "une science contenue dans les limites de la dignité humaine", dans une interview accordée à Médecines-Douces.com.

    Testard écrit aussi sur son blog  : "Les OGM sont disséminés sans nécessité puisqu’ils n’ont pas démontré leur potentiel et présentent des risques réels pour l’environnement, la santé et l’économie. Ils ne sont donc que des avatars de l’agriculture intensive qui permettent aux industriels de faire fructifier les brevets sur le vivant. Au contraire, les essais thérapeutiques sur les humains sont justifiés quand ils sont la seule chance, même minime, de sauver une vie. Mais il est contraire à l’éthique scientifique (et médicale) de faire miroiter des succès imminents des uns ou des autres. Malgré la persistance des échecs, les tenants de la thérapie génique (qui sont souvent les mêmes que ceux des OGM) affirment que « ça va finir par marcher  », et ont su créer une telle attente sociale que la « mystique du gène » s’impose partout, jusque dans l’imaginaire de chacun. Le succès constant du Téléthon démontre cet effet puisqu’à coups de promesses toujours réitérées, et grâce à la complicité de personnalités médiatiques et scientifiques, cette opération recueille des dons dont le montant avoisine celui du budget de fonctionnement de toute la recherche médicale en France. Cette manne affecte dramatiquement la recherche en biologie puisque le lobby de l’ADN dispose alors du quasi monopole des moyens financiers (crédits publics, industriels, et caritatifs) et intellectuels (focalisation des revues, congrès, contrats, accaparement des étudiants…). Alors, la plupart des autres recherches se retrouvent gravement paupérisées - une conséquence qui paraît échapper aux généreux donateurs de cette énorme opération caritative…"

     

    couvDernière citation pour la route, extraite de l’ouvrage de Testard, Le vélo, le mur et le citoyen : "Technoscience et mystification : le téléthon. Depuis bientôt deux décennies, deux jours de programme d’une télévision publique sont exclusivement réservés chaque année à une opération remarquablement orchestrée, à laquelle contribuent tous les autres médias : le Téléthon. Ainsi, des pathologies, certes dramatiques mais qui concernent fort heureusement assez peu de personnes (deux ou trois fois moins que la seule trisomie 21 par exemple), mobilisent davantage la population et recueillent infiniment plus d’argent que des maladies tout aussi terribles et cent ou mille fois plus fréquentes. On pourrait ne voir là que le succès mérité d’un lobbying efficace, et conseiller à toutes les victimes de toutes les maladies de s’organiser pour faire aussi bien. Ce serait omettre, par exemple, que :  le potentiel caritatif n’est pas illimité. Ce que l’on donne aujourd’hui contre les myopathies, on ne le donnera pas demain contre le paludisme (2 millions de morts chaque année, presque tous en Afrique) ;  presque la moitié des sommes recueillies (qui sont équivalentes au budget de fonctionnement annuel de toute la recherche médicale française) alimentent d’innombrables laboratoires dont elles influencent fortement les orientations. Ainsi, contribuer à la suprématie financière de l’Association française contre les myopathies (l’AFM, qui recueille et redistribue à sa guise les fonds collectés), c’est aussi et surtout empêcher les chercheurs (statutaires pour la plupart, et donc payés par l’État, mais aussi thésards et, surtout, post-doctorants vivant sur des financements de l’AFM, forcément fléchés) de contribuer à lutter contre d’autres pathologies, ou d’ouvrir de nouvelles pistes ;  il ne suffit pas de disposer des moyens financiers pour guérir toutes les pathologies. Laisser croire à cette toute puissance de la médecine, comme le fait le Téléthon, c’est tromper les malades et leurs familles ;  après vingt ans de promesses, la thérapie génique, ne semble plus être une stratégie compétente pour guérir la plupart des maladies génétiques ; lorsque des sommes aussi importantes sont recueillies, et induisent de telles conséquences, leur usage mériterait d’être décidé par un conseil scientifique et social qui ne soit pas inféodé à l’organisme qui les collecte.

    Mais comment aussi ne pas s’interroger sur le contenu magique d’une opération où des gens, allumés par la foi scientifique, courent jusqu’à l’épuisement ou font nager leur chien dans la piscine municipale... pour "vaincre la myopathie" ? Au bout de la technoscience, pointent les oracles et les sacrifices de temps qu’on croyait révolus..."

    don

     

      En conclusion : ne donnez pas au Téléthon !

     Alter Info - L'Info Alternative


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  • Elle dormait avec son python jusqu'à ce qu'elle découvre qu'il voulait la manger par Ohmymag

      

    Il y a des habitudes pour le moins étonnantes chez certaines personnes... C'est le cas d'une Indienne passionnée par les animaux étranges qui possède un python depuis plusieurs mois. Prenant soin avec beaucoup d'attention de son animal de compagnie un peu différent des autres, elle dort même avec lui. 

    Alors que son python a bien grandi et fait presque quatre mètres de long, elle le trouve plus agité que d'ordinaire. Elle constate que le serpent ne mange pas depuis plusieurs jours et décide de l'emmener chez le vétérinaire.

    Le médecin lui demande si elle dort avec son python toutes les nuits, si ce dernier s'entoure étroitement autour d'elle et s'étire de toute sa longueur. Elle répond par l'affirmative. Le vétérinaire lui apprend alors que son python n'est pas malade mais qu'il jeûne pour s'apprêter à la dévorer.

    Lorsque le python se blottit contre le corps de sa maîtresse et qu'il s'étire de tout son long cela signifie qu'il vérifie la taille de sa proie et qu'il mesure l'ampleur du repas que le corps représente pour s'avoir comment attaquer. En faisant ces révélations, le vétérinaire a sauvé la vie de cette Indienne qui ne s'attendait probablement pas à cela.

    Télé Loisirs

     


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 04 12 2016

    Bonne journée


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