• Ici, "on récupère les animaux achetés pendant le confinement", se désole Carole Retrou, responsable d'un refuge de la SPA saturé face aux abandons record de chiens et de chats depuis le printemps.

    "Dès le mois de mai, nous étions complets, c'est beaucoup plus tôt que d'habitude", raconte la responsable du refuge de Chamarande (Essonne). "Depuis, on a reçu 23 % d'animaux de plus qu'en 2019, qui était déjà une année record. Pour les chats, on atteint 48 %".

    Elles sont 17, dont deux vétérinaires, à s'occuper de plus de 200 animaux dans le refuge surpeuplé. Les 80 chiens que compte le centre ont été mis par deux dans les boxes pour faire de la place dans le chenil, entouré des enclos où les quadrupèdes sont lâchés quotidiennement.

    "Actuellement, si quelqu'un vient pour abandonner son chien, je ne peux pas le prendre", annonce de but en blanc la responsable, énervée par les dérives commerciales autour des animaux de compagnie. "Les gens ne sont pas partis en vacances pendant deux ans et ont acheté des animaux pendant les confinements pour s'occuper. Maintenant, on les récupère".

    "Tout est accessible sur internet. Même les éleveurs livrent à domicile sans que les nouveaux propriétaires aient jamais vu l'animal qui est traité comme un objet", développe-t-elle, alors que l'interdiction de la vente des chiens et chats en animaleries et l'encadrement de la vente en ligne, pour la réserver aux refuges et aux éleveurs, est sur la table au Parlement depuis le début de l'année.

    Samedi, la fourrière doit amener au refuge huit nouveaux chiens, promis sinon à l'euthanasie. "On va trouver une solution, avec les autres refuges de la région, pour leur trouver de la place", affirme la responsable.

    Loulou, grand chat blanc arrivé de Beauvais, ou Moucaya, femelle tachetée venant de Guyane, ont aussi été accueillis dans le cadre de l'entraide entre les associations de protection des animaux, débordées partout sur le territoire.

    Aires d'autoroute

    Lorsque les fourrières amènent les chats au refuge, ils sont gardés dans la maison principale à l'entrée. Ils sont désormais une centaine.

    "A leur arrivée, on les met en quarantaine pendant 10 jours, à l'étage pour éviter les contaminations", explique Tiffany Poussin, qui travaille au chenil et donne souvent "un coup de main" à l'infirmerie ou à l'accueil. Ces "chats du haut", comme les appelle l'équipe, sont suivis médicalement pour détecter la présence du coryza (une maladie respiratoire), du typhus ou du sida du chat.

    Pour protéger les chatons, fragiles, une cinquantaine de "familles relais" proposent de les garder à domicile, jusqu'à leur adoption. Elles les ramènent au centre le samedi, pour les visites des adoptants potentiels, triés sur le volet par les employés de la SPA.

    "Environ 40 chatons sont adoptés chaque week-end", explique Carole Retrou. Chats adultes et chiens sont, eux, bien moins nombreux à trouver un foyer (3 à 4 par semaine).

    Atteints de la teigne et du coryza, Majri a perdu trois chatons sur une portée de huit depuis son arrivée à l'infirmerie il y a un mois.

    "Les petits sont très vulnérables", explique Carole Retrou. "Lorsqu'ils seront sevrés, on les enverra dans des familles qu'ils n'attrapent pas de nouvelles maladies."

    Quant à Majri, elle sera relâchée: "c'est un chat sauvage, elle déteste le contact des humains, elle serait malheureuse dans une famille".

    Entre le 1er mai et le 23 juillet, 11.335 animaux abandonnés ont été recueillis par la SPA sur l'ensemble du territoire, soit plus de 7 % de plus qu'en 2019 sur la même période. L'augmentation la plus forte concerne les chats et les nouveaux animaux de compagnie (+24 %).

    Face à cette recrudescence, le gouvernement a lancé une campagne de sensibilisation autour du hashtag #StopAbandon. L'occasion de rappeler que 60 % des abandons ont lieu sur les aires d'autoroutes.

    Le Point


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  • Jamie-Lee Schmitzer peut remercier le hasard... et son appareil photo. En 2017, cette mère de famille australienne a décidé de tirer la bobine de sa fille Ivy-Mae, alors âgée d'à peine quatre mois. Une séance photo durant laquelle elle s'est rendue compte, grâce à un cliché pris avec le flash, que la fillette présentait une mystérieuse tâche sombre dans l'oeil droit, raconte le Daily Mail.

    Un cancer de l'oeil

    La mère de trois enfants, originaire de Nouvelle-Galles du Sud, en Australie, ne s'est pas tout de suite inquiétée de cette tâche. Mais au fil des mois, l'oeil de la petite Ivy-Mae à continué à s'assombrir, et l'enfant a commencé à régulièrement se frotter les yeux. Lors d'une première visite chez un médecin local, on lui a dit de ne pas s'inquiéter. Mais Jamie-Lee n'était pas convaincue et a demandé un second avis à un ophtalmologue.

    Bien lui en a pris, puisqu'après des tests sanguins et des IRM, les médecins ont conclu que la fillette, désormais âgée de 9 mois, souffrait d'un épithéliome, une tumeur maligne.

    "Entendre la nouvelle de la tumeur a été absolument dévastateur et sur le moment, mon partenaire et moi étions sous le choc", déclare la maman à la version australienne du Daily Mail. "Comme elle était trop proche du nerf optique, les chirurgiens craignaient qu'elle ne se propage."

    "J'ai fait confiance aux médecins"

    La solution des médecins était alors toute trouvée : retirer l'oeil de la petite fille afin de lui sauver la vie. "Je me suis demandé si retirer son œil était la bonne chose à faire, mais j'ai fait confiance aux médecins", affirme Jamie-Lee. Une fois l'oeil retiré, une biopsie a confirmé que la tumeur était bien cancéreuse.

    L'option de l'opération était donc bien la meilleure pour Ivy-Mae, qui s'est depuis vue greffer une prothèse oculaire, lui permettant de cligner des yeux et de pleurer normalement. Depuis, sa maman consacré un compte Instagram à la petite fille, baptisé "Our Darling Warrior" ("notre chérie combattante", en VF). Notons que ce type de cancer est extrêmement rare, et se développe plus généralement sur la peau plutôt que dans l'oeil.

    Gent Side


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  • Une automobiliste de 35 ans a été grièvement blessée à Wismes (Pas-de-Calais) jeudi 29 juillet. Elle roulait seule à bord de son véhicule lorsqu’une pierre a traversé son pare-brise. Retrouvée inconsciente par les secours, la victime a ensuite été héliportée à l’hôpital de Lille.

    Un accident de la route a eu lieu à Wismes (Pas-de-Calais), jeudi 29 juillet, vers 16 h 30. Comme le relate La Voix du Nord, une conductrice de 35 ans aurait perdu le contrôle de son véhicule après avoir reçu un morceau de gravats sur son pare-brise. La pierre serait tombée d’un camion qui circulait devant sa voiture.

    La voiture a percuté un compteur d’eau

    La femme était seule à bord de son véhicule. Sa voiture a quitté la route, l’automobiliste s’est retrouvée dans un champ avant de percuter un compteur d’eau puis de terminer sa course dans un jardin, écrivent nos confrères. Lorsque les secours sont arrivés sur les lieux, la conductrice était inconsciente. Ils ont dû briser une fenêtre pour la sortir de son véhicule.

    Grièvement blessée, la victime a été prise en charge sur place avant d’être héliportée vers le centre hospitalier de Lille grâce à Héli 62. Les gendarmes de Lumbres sont venus en renfort afin de réguler le trafic lors de l’intervention des secours, indique le quotidien régional. La circulation est ensuite revenue à la normale aux alentours de 18 h. Une enquête va être ouverte, précise France Bleu Nord.

    Ouest-France

    Une pierre traverse son pare-brise, une automobiliste grièvement blessée dans le Pas-de-Calais


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  • Le guitariste guadeloupéen Jacob Desvarieux, mort vendredi à 65 ans des suites du Covid-19, était l’un des fondateurs du groupe Kassav’, monument aux Antilles qui a connu un énorme succès dans les années 80 en mélangeant des musiques locales pour créer un style, le zouk.

    De santé fragile depuis une greffe rénale, le musicien avait été hospitalisé le 12 juillet à Pointe-à-Pitre après avoir été contaminé par le coronavirus.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/divertissement/actualite/mort-de-jacob-desvarieux-leader-du-groupe-kassav-et-p%c3%a8re-du-zouk/ar-AAMMdOL?li=AAaCKnE


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  •  Coronavirus: La quatrième vague inéluctable malgré la vaccination, dit Delfraissy

     L'accélération de la campagne de vaccination contre le COVID-19 ne suffira pas à endiguer la quatrième vague épidémique et n'empêchera pas un nouvel afflux de patients dans les hôpitaux à partir de la mi-août, a déclaré jeudi Jean-François Delfraissy, en appelant les Français à respecter à nouveau les gestes barrières.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/coronavirus-la-quatri%c3%a8me-vague-in%c3%a9luctable-malgr%c3%a9-la-vaccination-dit-delfraissy/ar-AAMqWzF?ocid=msedgntp


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  • La jeune mère du bébé abandonné mardi à Meyzieu, dans la métropole de Lyon, a été interpellée et placée en garde à vue. Elle est âgée de 18 ans et va être présentée à un juge d’instruction. Une information judiciaire a été ouverte.

    Ce sont deux promeneuses qui ont découvert cette petite fille née quelques heures plus tôt, ce mardi soir. Le bébé se trouvait dans un sac plastique qui avait été déposé à côté d’une poubelle, sur l’avenue de Verdun. Les deux femmes qui promenaient leur chien ont constaté que quelque chose bougeait à l’intérieur et ont décidé d’aller voir de plus près. Elles ont certainement sauvé la vie de cette enfant.

    L’alerte a été donnée et le bébé a été pris en charge par les secours. Il a été conduit à l’hôpital Femme Mère Enfant de Bron. Son état de santé n’inspire pas d’inquiétude. L’enfant a été provisoirement placée à l’Aide sociale à l’Enfance.

    Elle aurait reconnu l’abandon

    Une enquête a immédiatement été ouverte pour « tentative de meurtre sur mineur de moins de 15 ans » et les policiers de la sûreté départementale ont été chargés des investigations. La mère de l’enfant, âgée de 18 ans, a été rapidement interpellée par les enquêteurs. Elle s’est récemment installée avec sa famille dans le quartier précise Le Progrès.

    Le parquet a de son côté annoncé ce jeudi l’ouverture d’une information judiciaire du chef de « tentative de meurtre sur mineur de 15 ans et délaissement de mineur de 15 ans de nature à compromettre sa santé ou sa sécurité »La jeune majeure aurait reconnu qu’elle venait d’accoucher. Selon le quotidien régional, elle aurait déposé son bébé à cet endroit mardi dans l’après-midi.

    La suite des investigations doit permettre de déterminer les circonstances de cet abandon et de l’accouchement de cette lycéenne. Pour l’heure, le père n’a pas été identifié a souligné le parquet. La mise en cause doit être présentée à un juge d’instruction ce jeudi.

    ACTU 17


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  • Un homme soupçonné de violences sur un chien appartenant au footballeur Presnel Kimpembe

    Un homme a été placé en garde à vue à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), soupçonné d’avoir battu un chien appartenant officiellement à Presnel Kimpembe, avant d’être remis en liberté mercredi 28 juillet. L’association Action Protection Animale a porté plainte contre lui. Le procès est prévu en décembre 2021.

    Un homme a été placé en garde à vue dans la nuit de dimanche 25 au lundi 26 juillet à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine). Il est soupçonné d’avoir battu un chien dans la rue, rapporte Le Parisien, jeudi 29 juillet. Un chien qui appartient officiellement au joueur Presnel Kimpembe, selon les policiers.

    Les faits se sont déroulés en pleine rue. Des riverains, interpellés par les hurlements de l’animal battu, ont averti la police. Vers 1 h du matin, l’auteur présumé des violences a été interpellé, précise le quotidien francilien. Confronté aux images de vidéosurveillance, il aurait reconnu les faits.

    Négligence administrative

    C’est en scannant la puce du chiot que les policiers découvrent le propriétaire officiel du chien. Il s’agit de Presnel Kimpembe, le footballeur du Paris Saint-Germain, notent nos confrères. Une source proche du sportif a indiqué au journal que le chien ne lui appartenait plus. Il aurait fait partie d’une portée vendue par le joueur, qui, par négligence administrative, n’aurait pas rempli la déclaration de vente ni déclaré le changement de propriétaire.

    Le suspect a été remis en liberté mercredi 28 juillet. L’association Action Protection Animale a porté plainte contre lui pour acte de cruauté et a réclamé le retrait du chien. Ce dernier a été placé en famille d’accueil jusqu’au procès, prévu en décembre prochain, indique le journal.

    Ouest-France


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  • Auteur inconnu !

     

    Bonne soirée


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  • Une jeune femme de 20 ans est morte à Glisy, commune près d’Amiens (Somme), alors qu’elle traversait la rue où se tenait un rodéo sauvage

    Un accident mortel lors d’un rodéo sauvage​. La victime n’est pas un participant mais une spectatrice. Le motard de 32 ans qui a causé la mort d’une jeune femme de 20 ans en la percutant alors qu’elle traversait la rue a été mis en examen, a annoncé le parquet d’Amiens.

    Les faits se sont déroulés dans la nuit du 16 au 17 juillet à Glisy, une commune de la Somme. L’homme a perdu le contrôle de sa moto et a fauché la jeune spectatrice, décédée peu après des suites de ses blessures.

    L’état de santé du motard ne permet pas son incarcération

    « L’enquête n’a pas mis en évidence de consommation d’alcool ou de stupéfiants de la part du mis en cause. Il est en revanche avéré qu’il a circulé à une vitesse très élevée sur la roue arrière avant de percuter la victime », a indiqué dans un communiqué le procureur de la République d’Amiens Alexandre de Bosschère.

    Déféré mercredi, l’homme, dont le casier judiciaire est vierge, a été mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. « Le parquet n’a pas sollicité de placement en détention provisoire. Victime de multiples fractures, le mis en examen présente un état de santé ne permettant pas actuellement son incarcération », précise-t-on de même source.

    Le parquet a demandé l’ouverture d’une information judiciaire « en visant des faits d’homicide involontaire par violation manifestement délibérée d’une obligation particulière de prudence par conducteur d’un véhicule et de participation à un rodéo motorisé ». L’enquête pour identifier les organisateurs de l’événement se poursuit.

    20 Minutes


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  • Une petite foule de sympathisants à l'aéroport et un acte totalement assumé. Accueilli en héros à son retour à Alger ce jeudi, le judoka algérien Fethi Nourine s'est dit "fier" d'avoir refusé d'affronter un adversaire israélien aux Jeux olympiques de Tokyo, par solidarité avec la cause palestinienne.

    Nourine (30 ans) a déclaré forfait aux JO la semaine passée pour ne pas avoir à rencontrer l'Israélien Tohar Butbul dans la catégorie des -73 kg. Il a ensuite été suspendu par la Fédération internationale de judo (IJF), et son accréditation lui a été retirée.

    "Cette décision m'honore d'abord et honore ma famille"

    "J'ai été choqué quand j'ai vu que le tirage au sort m'opposait au judoka de 'l'entité sioniste' (Israël, ndlr), que je n'attendais pas, mais je n'ai pas hésité à prendre la décision de me retirer, a expliqué Nourine à son arrivée aux médias algériens. J'ai pris la décision avec mon entraîneur (Amar Benikhlef) et j'en suis fier." 

    Et le judoka de poursuivre sur la même note: "Cette décision m'honore d'abord et honore ma famille, le peuple algérien et l'Etat algérien, car le président Abdelmadjid Tebboune a déclaré que nous ne bénissons pas la normalisation (avec Israël) et que nous soutenons la cause palestinienne. Je suis heureux d'avoir mis en colère 'l'entité sioniste' et d'avoir reçu des messages (de soutien) du monde arabe et islamique."

    Pour la Fédération internationale de judo, la décision du judoka algérien est "en totale opposition à la philosophie" de l'instance. L'IJF a "une politique stricte de non-discrimination et promeut la solidarité comme principe fondamental", a affirmé l'instance.

    Ce n'est pas la première fois que Nourine se retire d'une compétition pour ces raisons. Il avait également agi de la sorte lors des Mondiaux 2019 à Tokyo. Depuis son indépendance en 1962, l'Algérie a pris fait et cause pour "le droit des peuples à l'autodétermination", en particulier celui des Palestiniens, dont elle est un des soutiens historiques.

    RMC Sports


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  • Les autorités espagnoles ont saisi plus de 60 000 vêtements qui étaient stockés dans cinq entrepôts. C'est le double de l'ensemble des saisies en 2019.

    La Guardia civil, les gendarmes espagnols, a saisi plus de 60 000 vêtements contrefaits le 21 juillet de part et d'autre de la frontière franco-espagnole, dont la valeur à la revente est estimée à 16,5 millions d'euros, rapporte France Bleu Roussillon jeudi 29 juillet. Huit personnes soupçonnées de participer à la vente, au trafic ou au blanchiment d'argent ont été interpellées.

    Des articles stockés dans cinq entrepôts

    Les forces de l'ordre espagnoles sont intervenues dans cinq entrepôts dans lesquels des centaines de cartons de marchandises étaient stockés. Certains des vêtements étaient fabriqués au Portugal et arrivaient sur place en étant prêts à la vente, quand d'autres produits venaient de Chine et étaient transformés sur place. Les trafiquants y apposaient notamment des logos de grandes marques.

    "Malheureusement, la contrefaçon, c'est très pernicieux, explique la directrice de l'Union des fabricants français, Delphine Sarfati-Sobreira. C'est du trafic de fourmis. Lorsque vous avez des voitures qui passent non-stop à la frontière, il faudrait pouvoir arrêter toutes les voitures pour trouver des articles par-ci par-là. C'est très compliqué. Et ces filières sont très organisées."

    Cette saisie est la deuxième étape d'une vaste opération contre le trafic de contrefaçons, en cours depuis deux ans. En 2019 déjà, 30 000 vêtements d'une valeur de 7,7 millions d'euros avaient été saisis.

    franceinfos


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  • La scène avait choqué les automobilistes, puis les internautes. Dans la soirée de lundi, plusieurs personnes ont aperçu une voiture qui traînait un chien par sa laisse sur le périphérique de Nantes. L’automobile roulait à environ 150 Km/h selon Ouest France, et le chien aurait été traîné sur une dizaine de mètres.

    Deux conducteurs ont pris la voiture en chasse, avant de réussir à l’immobiliser. La personne au volant aurait déclaré qu’elle « ignorait la présence du chien » et qu’il n’était pas le sien.

    L’homme aurait ensuite laissé sur le chien sur la bande d’arrêt d’urgence, avant de repartir. Le chien avait été transporté chez le vétérinaire par les pompiers, mais il n’a pas survécu d’après Ouest France. La plaque d’immatriculation du conducteur a été relevée, et il va être convoqué au commissariat.

    En réaction, la Fondation 30 Millions d’Amis a annoncé que le Refuge animalier de Loire-Atlantique, partenaire de l’association, avait déposé plainte pour acte de cruauté et sévices graves envers un animal. 30 Millions d’Amis se porte également partie civile dans cette affaire, et dénonce un « acte de barbarie ».

    Les actes de cruauté envers les animaux se multiplient en cette période de vacances. Le nombre d’abandons atteint un triste record cette année selon la SPA. L’abandon d’un animal est pourtant passible de 2 ans de prison et de 30 000 euros d’amende en France. L’association craint que ses refuges n’arrivent à saturation, et dénonce « les achats faciles et déresponsabilisant sur Internet, comme sur le Bon Coin et dans les animaleries qui ont eu lieu en 2020 ». A la SPA de Verson, dans le Calvados, on fait par exemple face à un afflux de chats difficile à gérer.

    Le Parisien

    Il faudrait l'attacher derrière une voiture et le trainer sur quelques km !


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  • Un équipage de police de la brigade spécialisée de terrain (BST) de Corbeil-Essonnes (Essonne) a été pris à partie par des individus au cours d’une interpellation dans le quartier des Tarterêts, ce mercredi soir. Un molosse a été lancé sur les policiers et a mordu l’un d’entre eux. Ils ont ouvert le feu.

    Intervention difficile pour la BST de Corbeil vers 21h30, dans la cité des Tarterêts, rue Gustave-Courbet. Des individus se sont opposés à une interpellation et ont lâché un chien d’attaque sur les policiers, qui a mordu l’un d’entre eux à deux reprises au niveau des jambes.

    C’est d’abord avec du gaz lacrymogène qu’ils auraient tenté de faire fuir le molosse, sans y parvenir. Il a fallu que deux des policiers ouvrent le feu. Le chien a finalement pris la fuite sans que l’on sache s’il a été touché. Il n’aurait pas été retrouvé après les faits.

    L’homme qui a été interpellé faisait l’objet de plusieurs fiches de recherche, et avait une interdiction judiciaire de se trouver dans le département de l’Essonne. C’est lorsqu’il s’est rebellé – blessant légèrement un policier à un bras – qu’un attroupement s’est formé autour des fonctionnaires et qu’ils ont été agressés.

    Cinq coups de feu

    Une vidéo amateur d’une vingtaine de secondes qui a été diffusée sur les réseaux sociaux montre une partie de cette intervention. On aperçoit le policier qui est mordu par le molosse entre deux voitures en stationnement et qui semble hurler : « il mord ! ». L’un de ses collègues fait feu à deux reprises sur l’animal, puis trois autres coups de feu sont tirés. Le chien qui gémit, finit par s’en aller. « Bande de fils de pute ! Niquez vos mères ! », crient les agresseurs, pendant que les forces de l’ordre s’apprêtent à quitter les lieux.

    5 jours d’ITT

    Le fonctionnaire blessé a été transporté à l’hôpital et son état de santé n’inspire pas d’inquiétude. La police nationale de l’Essonne a diffusé deux photos montrant les blessures de la victime. Cette dernière s’est vu attribuer 5 jours d’Incapacité totale de travail (ITT).

    Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de la ville. « Total soutien à nos collègues de la BST de Corbeil-Essonnes qui, dans le quartier des Tarterêts, se sont fait une nouvelle fois agresser, cette fois par un chien d’attaque », réagit le syndicat Alliance Police Nationale de l’Essonne sur Facebook, évoquant dans le même temps « la violence subie sur le terrain au quotidien » par les policiers.

    ACTU 17

    Pauvre chien peut-être blessé puis mort !


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  •  La décision de Frédéric Burnier Framboret mercredi intervient après le recours gracieux déposé par le préfet de Savoie contre l’injonction du tribunal

    Nouveau rebondissement dans l’épineux dossier de la construction d’une école musulmane à Albertville. Le maire de la commune savoyarde indique avoir retiré mercredi le permis de construire qu’il avait été contraint d’accorder sur décision judiciaire pour la construction de cet établissement. Comme le révélait Le Dauphiné Libéré, la décision de Frédéric Burnier Framboret intervient après le recours gracieux déposé le 18 juin par le préfet de  Savoie contre l’injonction du tribunal.

    « Le jugement était susceptible d’un recours et l’Etat l’a formulé, comme il en a le droit, pour des raisons de sécurité » liées au lieu d’implantation du projet, précise l’élu divers droite, à la tête de la ville depuis l’an passé. « L’affaire suit son cours. Elle est entre les mains de notre conseil », commente de son côté Fatih Sarikir, le président de la Confédération islamique Millî Görüs (CIMG), qui porte le projet.

    La proximité de la CIMG avec le gouvernement turc d’Erdogan en question

    L’association, qui déplore un geste politique, a deux mois pour contester la décision de l’édile. Le 6 avril, le tribunal administratif de Grenoble avait enjoint le maire d’Albertville à valider le permis de construire déposé en 2019 par cette association qui souhaite implanter une école de 400 élèves dans cette ville d’environ 20.000 habitants.

    Le tribunal avait estimé que les motifs avancés par la municipalité, portant notamment sur des places de stationnement, n’étaient pas recevables. Opposée à ce projet d’école primaire pour la proximité de la CIMG avec le gouvernement turc de Recep Tayyip Erdogan, la ville a fait appel de la décision devant la cour administrative d’appel de Lyon, soutenue par le préfet de Savoie qui juge ce projet « séparatiste ».

    « Une école confessionnelle, comme ont les catholiques ou les juifs »

    Dans une tribune, Frédéric Burnier Framboret s’était estimé « démuni » pour « contrer l’installation d’associations ou d’entreprises pilotées par des puissances étrangères, qui favorisent une cristallisation identitaire au cœur de nos territoires ». De son côté, Engin Seller, le représentant local de Millî Görüs, s’était défendu de vouloir bâtir autre chose qu’une « école confessionnelle, comme ont les catholiques ou les juifs ».

    Le 12 avril, le gouvernement avait fait adopter un amendement de dernière minute au projet de loi sur le séparatisme pour permettre au préfet de s’opposer à l’ouverture d’écoles soutenues par un État étranger « hostile » à la République. Cinq jours plus tard, une manifestation à l’appel du Rassemblement national avait réuni à Albertville une centaine de personnes opposées à la construction de l’école.

    20 Minutes


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  • Pourtant vaccinée, Chloé Jouannet, la fille d'Alexandra Lamy, vient de contracter la COVID-19

    Chloé Jouannet, la fille d'Alexandra Lamy, vient d'annoncer une bien mauvaise nouvelle sur Instagram. Vaccinée il y a quelques jours, la jeune femme vient pourtant de contracter la COVID-19.

    Depuis les annonces du 12 juillet 2021 d’Emmanuel Macron, des milliers de Français se sont dirigés vers les centres de vaccination afin de pouvoir disposer du Pass sanitaire, précieux sésame pour pouvoir jouir de certains privilèges. Une décision de l’exécutif qui a contrarié une frange du pays qui manifeste depuis plusieurs jours. Afin de calmer cette partie de l’opinion publique, le pouvoir tente de déminer le terrain en allégeant certaines mesures restrictives. Le chef de l’État peut aussi compter sur l’appui de certaines célébrités qui prennent la parole sur les réseaux sociaux pour encourager les Français à se faire vacciner. Sur Instagram notamment, beaucoup prennent même le temps d’immortaliser le moment de leur vaccination. C’est d’ailleurs le cas de Chloé Jouannet, la fille de la comédienne Alexandra Lamy. Le 17 juillet dernier, la jeune femme a posté une story dans laquelle elle partage une photo de sa deuxième injection. Le hic pour la fille de l’ancienne compagne de Jean Dujardin : elle souffrirait depuis d’une douleur au bras. "J’ai mal au bras…", écrit-elle en légende.

     

    Chloé Jouannet, positive à la COVID-19, se dit "K-O"

    Mais cette petite contrariété n’est malheureusement pas  grave. En effet, malgré la vaccination, la fille d’Alexandra Lamy vient de révéler qu’elle avait été testée positive à la COVID-19. Mercredi 28 juillet, la jeune actrice a posté une photo sur son compte Instagram où elle tire une bien grise mine. “Right before vs in the covido zone”, a-t-elle écrit en légende de son selfie. Lorsqu’une amie lui demande, parmi les commentaires, si elle “va mieux”, la comédienne a simplement répondu : “je suis ko”. "Positive au Covid une semaine où deux après vous êtes faites vaccinée …vous alliez bien avant ça non ??..je vous souhaite un prompt rétablissement", "Je vous souhaite un prompt rétablissement, bises.", lui souhaitent ses abonnés Instagram.

    Public


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  • Bretagne. Sa fourgonnette fracasse la barrière et chute dans la rivière : il s’en sort avec une entorse

    Jeudi 29 juillet 2021, le conducteur d’une fourgonnette est passé par-dessus le pont du Nançon, au sud de Fougères (Ille-et-Vilaine), pour finir sa course dans la rivière. Il s’en sort miraculeusement bien.

    « C’est un miraculé ! », confie un policier intervenu sur l’accident. Il était aux alentours de 7 h, ce jeudi 29 juillet, quand une fourgonnette a fini sa course dans la rivière du Nançon, sur la D179, entre Fougères et Javené (Ille-et-Vilaine).

    Pour une raison encore inconnue, la camionnette de livraison, qui venait de Fougères, a traversé la route pour venir s’encastrer dans le pont qui enjambe le Nançon. Le choc a été violent : l’une des piles de granit, qui encadrent de chaque côté la barrière métallique, a été détruite.

    La camionnette sur le toit

    Trois grosses pierres, pesant chacune plusieurs centaines de kilos, se sont retrouvées dans la rivière, l’une d’elles à près de dix mètres de son emplacement initial. La barrière métallique a été arrachée sur presque toute sa longueur et des morceaux ont été projetés sur la rive d’en face.

    La camionnette, dont l’avant s’est fracassé dans le pont, a fini sa course dans la rivière, trois mètres plus bas, sur le toit. Le conducteur, presque indemne, a pu sortir seul de son véhicule tombé dans l’eau et contacter les secours. Un véritable miracle, puisqu’une partie de la barrière métallique a traversé le bloc-moteur de son véhicule et est venue s’encastrer entre ses jambes, jusqu’à l’arrière de la camionnette.

    Test d’alcoolémie négatif

    Pris en charge par les pompiers, il a été conduit à l’hôpital de Fougères pour des examens. Il en est sorti peu après 9 h, avec seulement… une entorse. « Je ne sais pas s’il est croyant, mais je crois qu’il peut dire merci à quelqu’un », souffle encore un policier intervenu sur l’accident.

    Le conducteur s’est-il assoupi au volant de son véhicule, l’entraînant de l’autre côté de la route ? Si l’on ne connaît pas encore la raison exacte de cet accident, les tests d’alcoolémie et de prise de stupéfiants se sont révélés négatifs.

    Pendant l’intervention des secours, la D179 a été coupée à la circulation, qui a pu reprendre peu avant 10 h.

    Ouest-France


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