• Brigitte Macron aurait "sauvé" deux ministres lors du dernier remaniement

    Le saviez-vous ? La première dame serait très présente dans le quotidien professionnel du Président de la république, et interviendrait même personnellement sur certaines décisions de son époux...

    Dans son nouvel ouvrage, l'auteur Arthur Berdah laisse entendre que des ministres ; particulièrement proches de la première dame, peuvent chaleureusement la remercier, car elle serait responsable de leur statut actuel.

    En effet, à l'heure des remaniements, la parole de Brigitte Macron serait d'or.

    En juillet dernier, elle aurait évité à certains membres du gouvernement de "sauter". La première Dame aurait même insisté pour que certaines personnes ne se retrouvent pas évincées du gouvernement.

    Les chouchous de Brigitte Macron

    Parmi les membres du gouvernement, Brigitte Macron aurait donc ses petits favoris. Parmi eux, on compte Jean-Michel Blanquer, le ministre de l'Éducation Nationale. Peu surprenant venant de l'ex-professeur de littérature.

    Ce n'est pas tout. On compte également Marlène Schiappa, et ses engagements forts. La première Dame aurait en effet un faible pour le charisme et les combats de la jeune ministre, qui investie beaucoup de son temps sur les problèmes qui concernent le handicap et la petite enfance.

    Un de ses plus grands chouhous, hors de la politique ?

    Le saviez-vous ? Benrard Montiel et la première dame auraient une complicité hors pair.

    À l'occasion du Buzz TV diffusé ce le 24 janvier dernier, Bernard Montiel rappelait aux curieux qu'il connaissait le couple Macron bien avant l'élection du président...

    On a tissé des liens très forts d’amitié, de sympathie. Comme des copains à table, on échange, on parle parfois de choses. Maintenant, je ne suis pas du tout le conseiller de l’Elysée, ni de M. Macron. Il n’a pas besoin de moi, c’est un homme extrêmement brillant. Il n’a pas besoin de mes conseils.
    Oh My mag

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  • Emmanuel Macron le couteau entre les dents : « Il n’aura aucun mal à tuer »

    Le Figaro Magazine, publié ce vendredi 30 avril, a dévoilé les actions mises en place par Emmanuel Macron pour tenter sa réélection à la présidentielle de 2022. Le chef d'État est conscient des enjeux à venir.

    Sans le dire explicitement, Emmanuel Macron a déjà débuté sa campagne électorale afin d'espérer sa réélection en 2022. Pour mettre toutes les chances de son côté, le chef de l'État veut projeter le pays dans l'avenir, comme il le confiait dans une interview pour détailler son plan de déconfinement publié dans la presse quotidienne régionale : "Nous avons une nouvelle décennie française à bâtir." L'homme politique se projette nettement au-delà de son quinquennat.

     

    Dans le Figaro Magazine, disponible ce vendredi 30 avril, plusieurs membres du gouvernement ont détaillé les ambitions du président de la République. Déterminé pour mettre le cap sur le second mandat, "Emmanuel Macron n'aura aucun mal à tuer," ni à dessiner les contours d'une future coalition. Et si ses adversaires l'attaquent, la consigne est simple : riposter. À l'Élysée, les conseillers ont les yeux rivés sur les sondages, alors qu'en parallèle, le président a décidé de consacrer sa dernière année de mandat aux promesses faites lors de son élection en 2017, "quoi qu'il en coûte." Le ton est donné.

    Une stratégie sournoise

    Pour réussir là où ses prédécesseurs ont échoué, Emmanuel Macron va tenter d'élargir sa majorité, notamment à droite. Et tout le monde est conscient du poids du soutien de Nicolas Sarkozy, même le principal intéressé : "Emmanuel Macron ? J’ai la clé de son échec ou de son succès." L'ancien chef d'État compte bien tirer profit de la situation en négociant à prix d'or son éventuel soutien, car "il pense que le problème de Macron est de passer le premier tour."

    Gala

     


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  • "Dès le début du mois de juin, je veux reprendre mon bâton de pèlerin (…) prendre le pouls du pays", déclare le président de la République, dans une interview accordée à plusieurs quotidiens régionaux. Emmanuel Macron y dévoile les modalités du troisième déconfinement, mais il évoque aussi, de plus en plus ouvertement, la suite de son quinquennat et les prochaines échéances électorales.

     

    "Mon travail dans les prochains mois, c’est de tout faire pour simplifier les procédures en France", confie jeudi le chef de l'État dans plusieurs quotidiens régionaux. Le président affirme désormais vouloir "inventer un deuxième temps de la relance" ou encore "réformer jusqu’au dernier quart d’heure". Des formules très politiques. 

    "Le risque, c’est la fin de règne"

    Tous ces extraits tirés de l'interview trahissent un futur candidat, soucieux de reprendre le fil de la vie politique du pays. L’Élysée affirme évidemment que cette interview est avant tout celle d’un "président en exercice, pas d’un candidat". Mais les thématiques sont suffisamment précises pour esquisser les futures priorités d'Emmanuel Macron, au-delà du coronavirus : retrouver de la proximité, réformer encore et toujours mais aussi interpeller à la jeunesse. "C’est un marqueur fort", reconnaît un proche du chef de l'État.

     

    "Le risque, c’est la fin de règne", reconnaît un conseiller issu de la droite. "Sarkozy était devenu frileux et conventionnel", poursuit-il. C'est tout l’inverse que tente d’annoncer Emmanuel Macron. Encore faut-il que le Covid-19 lui permette d’aller au bout de ses projets.

    Europe 1


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  • Brigitte Macron filmée seule dans les rues de Paris : cette vidéo qui fait beaucoup réagir sur les réseaux sociaux

    Depuis ce mercredi 28 avril, une vidéo de Brigitte Macron est devenue virale sur les réseaux sociaux. Dans celle-ci, la première dame semble se promener seule, sans gardes du corps, dans les rues de Paris.

    Brigitte Macron savait qu’en devenant première dame, elle allait devoir tirer un trait sur ses habitudes. Par mesure de sécurité, il lui est déconseillé de se promener seule dans les rues de la capitale. Dès qu’elle pointe le bout de son nez à l’extérieur, elle est donc supposée être entourée d’une horde de gardes du corps. C’est pourquoi elle aurait pris l’habitude de s’offrir des escapades nocturnes avec son mari Emmanuel Macronà l’abri des regards. Une manière pour l’ancienne professeure de Français de retrouver un tant soit peu sa vie d’avant, lorsqu’elle était encore inconnue du grand public. Mais voir la capitale vidée en raison de la crise sanitaire lui a manifestement donné envie de regoûter à la liberté. En effet la maman de Laurence, Sébastien et Tiphaine a tout récemment été filmée en train de se promener seule dans les rues de Paris.

    Brigitte Macron, une habituée des balades en solo ?

    Dans cette fameuse vidéo, un jeune adolescent prend la pose au côté de Brigitte Macron qui, munie d’un masque, prend le temps de s’arrêter pour prendre un cliché. Sur l’image, aucun membre de la sécurité n’est visible. Un détail qui a étonné les internautes, lesquels se demandent si la première dame s’est véritablement promenée seule dans les rues de Paris et surtout à la vue de tous ! C’est pourtant bien le cas à en croire l’auteur de cette vidéo qui, à l’heure où nous écrivons ces lignes, a déjà été visionnée plus de 350 000 fois. “Elle a fait sa meilleure ballade sur toute la rue, je n’étais pas prêt”, a-t-il répondu aux plus curieux dans les commentaires. D’ailleurs de nombreux autres internautes affirment l’avoir déjà vue seule dans la rue. Il n’y a pas à dire : Brigitte Macron n’est définitivement pas une première dame comme les autres !

    VOICI


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  • Petit couac au sommet sur le climat organisé en visioconférence par Joe Biden et les Etats-Unis. Alors que le discours pré-enregistré d'Emmanuel Macron était diffusé, le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken l'a soudainement interrompu pour donner la parole à Vladimir Poutine. Le président russe a alors mis un long moment avant de comprendre qu'il devait s'exprimer à son tour. Après l'évocation d'un "problème technique", l'intervention du président français sera finalement rediffusée, en intégralité cette fois-ci.


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    Bonne soirée


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  • RT France :

    Lors de ses quatre années à la présidence, Emmanuel Macron a entretenu des liens parfois compliqués avec les médias. De temps à autre très critique avec des journalistes, le locataire de l'Elysée a aussi vu un certain nombre de ses proches accéder à des fonctions importantes dans des rédactions. Les explications de Thomas Bonnet.


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    Passez une bonne soirée


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  • Covid-19 : le "mensonge" d’Emmanuel Macron sur les vaccins à la télévision américaine

    © CAPTURE TMC Covid-19 : le "mensonge" d’Emmanuel Macron sur les vaccins à la télévision américaine

    Au cours d’un long entretien accordé dimanche 18 avril 2021 à la chaîne CBS dans l’émission Face The Nation, Emmanuel Macron a évoqué la stratégie vaccinale du gouvernement français. Lundi 19 avril 2021, Yann Barthès, dans Quotidien, a dénoncé un "mensonge" de la part du chef de l’État.

    Emmanuel Macron a accordé une rare interview à la chaîne américaine CBS dimanche 18 avril 2021. Le chef de l’État a été filmé pendant une demi-heure dans l’émission Face The Nation. Le Président français a bien évidemment abordé la question de la Covid, qui a fait 100.000 morts en France. Il a fait savoir que les restrictions de voyage seront "progressivement" levées début mai et que les citoyens américains vaccinés peuvent avoir l’espoir de se rendre en France prochainement. "Nous lèverons progressivement les restrictions de début mai, ce qui signifie que nous nous organiserons à l'été avec nos professionnels en France pour les citoyens européens français, mais aussi pour les citoyens américains vaccinés, avec un passeport sanitaire", a-t-il confié. Il a ensuite poursuivi en ces termes : "Nous travaillons sur un certificat européen pour faciliter les déplacements après ces restrictions entre les différents pays européens avec dépistage et vaccinationEt l'idée est en effet de proposer cela au citoyen américain lorsqu'il a décidé de se faire vacciner ou avec un test PCR négatif".

    "Il a réussi à caser un mytho"

    En parlant de vaccination, Emmanuel Macron s’est vanté de l’avancée des opérations en France, après les critiques prononcées à l'égard du gouvernement au sujet de la lenteur des vaccinations au regard d'autres pays, parmi lesquels Israël, salué pour sa stratégie vaccinale. "Nous rattrapons définitivement notre retard et nous serons en mesure d'atteindre nos objectifs avec ce que nous avons actuellement", a-t-il assuré en affirmant par ailleurs que "plus de 12 millions de personnes" ont été vaccinées. "Entre deux pubs il a réussi à caser un mytho", dénonce Yann Barthès sur le plateau de Quotidien lundi 19 avril 2021. Et pour cause, ce chiffre ne serait pas tout à fait exact. "Non pas 12 millions. mais 4,5 millions de Français ont eu seulement les deux doses nécessaires pour être qualifiés de vaccinés". En effet, le chiffre de 12 millions correspond au nombre de personnes primo-vaccinées, soit celles n'ayant reçu qu'une seule dose. Une précision jugée nécessaire à apporter aux téléspectateurs.

    Femme Actuelle


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  • RT France :

    Dans une voiture banalisée de la brigade anti-criminalité, Emmanuel Macron a visité un ancien point de deal à Montpellier. Après avoir promis de créer 10 000 postes de policiers et gendarmes supplémentaires d’ici la fin de son quinquennat, il s'est engagé ce 19 avril à garantir une sécurité au quotidien. Cela s'annonce même comme l'enjeu de la campagne présidentielle.

     

    Le président de la République affirme dans une interview qu’il y aura bien 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires en France, durant son quinquennat. Un nouvel uniforme va voir le jour dans la police nationale, ainsi qu’une « académie » à Montpellier, « une forme d’école de guerre avec de la formation continue ». En outre, Emmanuel Macron confirme la généralisation des caméras-piétons, « dès cet été ».

    De nombreux sujets sécuritaires ont été passés en revue durant cet entretien accordé au quotidien Le Figaro, qui a été publié ce dimanche soir. Le chef de l’État évoque d’abord la violence en augmentation en France, et défend dans le même temps son bilan : « Depuis 2017, si la France connaît une baisse entre 18 et 25% des vols avec violences, cambriolages et des vols de véhicules, elle doit faire face, c’est vrai, à une forte augmentation des violences sur les personnes ».

    La hausse de 38% des violences intrafamiliales et des violences sexuelles sont à mettre « un peu à part », selon lui, car elle est liée « à la salutaire libération de la parole des victimes et à la mobilisation des forces de l’ordre ». Les agressions visant les représentants de l’État « ont doublé en quinze ans », rappelle Emmanuel Macron. Un mal qui n’est « pas propre à la France » dit-il et qui est « sans doute accéléré sous l’effet d’une désinhibition provoquée par les réseaux sociaux et la culture de l’anonymat »« La violence s’ancre d’abord dans les quartiers les plus pauvres », constate-t-il. « Elle touche d’abord les plus modestes (…) Je me bats pour le droit à la vie paisible ».

    « Les actes commis sont ignobles et d’une rare cruauté »

    C’est ensuite le verdict du procès des policiers brûlés à Viry-Châtillon (Essonne) qui est évoqué, alors que les avocats des fonctionnaires ont fait part de leur exaspération, tout comme les syndicats de policiers. « Une décision de justice a été rendue. Il ne m’appartient pas de la commenter. (…) Les actes commis sont ignobles et d’une rare cruauté. Ils resteront gravés dans nos mémoires. Jamais je n’accepterai que l’on s’attaque à ceux dont le métier est de nous protéger », réagit le chef de l’État. « C’est aussi pour cela que j’ai voulu augmenter le budget des forces de sécurité de 1,7 milliard depuis mon élection ».

    « Nous avons musclé le renseignement territorial, tant sur le plan technologique que sur le plan humain, mais aussi fait monter en puissance la Direction générale de la sécurité intérieure et créé le renseignement pénitentiaire », poursuit Emmanuel Macron qui précise que « 35 attentats » ont été déjoués depuis sa prise de fonction. Il rappelle aussi sa volonté de lutter contre les trafics de stupéfiants qui « forment la matrice économique de la violence dans notre pays »« Sur les 4 000 points de deal répertoriés récemment, plus de 1 000 opérations «coup de poing» ont été réalisées ces dernières semaines. Et chaque jour, nous fermons un point de deal », souligne le président.

    « Un grand débat national sur la consommation de drogue »

    Emmanuel Macron souhaite « aller plus loin, provoquer une prise de conscience » concernant la consommation de produits stupéfiants. « Dire que le haschisch est innocent est plus qu’un mensonge. Sur le plan cognitif, les effets sont désastreux. Combien de jeunes, parce qu’ils commencent à fumer au collège, sortent totalement du système scolaire et gâchent leurs chances ? ».

    « Il faut briser ce tabou, lancer un grand débat national sur la consommation de drogue et ses effets délétères », ajoute-t-il.

    « Nous allons généraliser les caméras-piétons dès cet été »

    Par ailleurs, le chef de l’État annonce que les caméras-piétons vont être généralisées pour les policiers. « Elles vont tout changer. Ce moyen vidéo portatif fixé sur la tenue de l’agent est aussi un instrument destiné à prévenir les dérapages qui sont à sanctionner (…) Conformément à mes engagements, nous allons donc généraliser les caméras dès cet été dans toutes les brigades, puis un an plus tard pour tous les policiers. Ce dispositif va inhiber les gens violents, parce que je peux vous garantir que quand vous vous savez filmé, vous réagissez différemment ».

    « Je souhaite que la police de la République soit sans reproche. Parce que j’estime que nos forces de l’ordre doivent être défendues, je tiens à ce que la protection fonctionnelle des policiers soit accordée dès le début de toute procédure qui les met en cause », poursuit le président de la République. « Mais je veux aussi que l’on tire toutes les conséquences disciplinaires quand il y a un rapport à charge, ce qui n’est pas toujours le cas, et que l’on rende publics ces rapports ».

    Une réserve de 30 000 hommes dans la police et une académie à Montpellier

    Il y aura bien 10 000 policiers et gendarmes supplémentaires en 2022 affirme le chef de l’État. « Ils seront tous sur le terrain avant la fin du quinquennat. Aujourd’hui, 4 508 policiers et 1 706 gendarmes ont déjà été recrutés, soit 6 214 membres des forces de l’ordre. Nous aurons en complément, dès cette année, 2 000 policiers et gendarmes de plus. Et parmi ces nouveaux policiers, l’essentiel iront directement en Sécurité publique, c’est-à-dire sur la voie publique. »

    « J’annonce aussi la création d’une réserve de 30 000 hommes dans la police, tandis que celle de la gendarmerie passera de 30 000 à 50 000 hommes », poursuit-t-il. « Concrètement, cela veut dire que chaque Français verra plus de bleu sur le terrain en 2022 qu’en 2017. Ça rassure les gens, ça dissuade les délinquants ». Il fait ensuite une annonce concernant la formation des policiers : « Nous allons aussi, côté policier, renforcer l’encadrement, améliorer profondément les formations et créer une forme d’école de guerre avec de la formation continue qui sera installée dans l’agglomération de Montpellier ». « Les policiers, tout au long de leur parcours, passeront par cette académie de police pour suivre des formations de trois à six mois ».

    « Nous allons même changer l’uniforme des policiers »

    Le président confirme qu’il y aura un nouvel uniforme dans la police nationale. La casquette sera remplacée par le calot pour tous les fonctionnaires. « Nous allons encore d’ici la fin du quinquennat, renouveler 50% du parc automobile de la police. C’est du jamais vu. Nous allons même changer l’uniforme des policiers et remplacer la casquette par un calot, pour moderniser un peu tout cela », détaille-t-il. « Le message est limpide: fierté et reconnaissance de la République pour ceux qui protègent. »

    Dans le même temps, Emmanuel Macron annonce un renforcement des moyens de la justice. « La justice de proximité, ce n’est pas un slogan: c’est de l’efficacité, plus de justice, plus proche, plus vite. Pour cela les moyens suivent: 8% d’augmentation du budget, 1 000 effectifs de plus pour régler plus vite les dossiers ». Les places de prison vont aussi progresser souligne-t-il : « Nous en avons déjà lancé 7 000 et je tiendrai là aussi les 15 000. Nous ferons les 8 000 restantes dans la foulée. »

    Le projet de loi « Sécurité globale », qui a été définitivement adopté cette semaine par le parlement, élargit les prérogatives des policiers municipaux. « Nous ne sommes pas un modèle fédéral, avec des shérifs », prévient le chef de l’État, interrogé sur un potentiel désengagement de l’État suite à ce texte de loi. « Par contre, partager de l’information entre polices, mutualiser des moyens: en somme, du bon sens, cela est dans la nouvelle loi. »

    « Un changement de la loi » suite à l’affaire Sarah Halimi

    Emmanuel Macron est ensuite interrogé sur l’affaire Sarah Halimi, alors que la cour de cassation a décidé cette semaine de déclarer irresponsable, Kobili Traoré, le tueur présumé de cette femme de 65 ans. Un drame qui s’est produit en avril 2017. « La Cour de Cassation a appliqué de manière très stricte les textes existants: il n’existe pas, c’est vrai, de principe d’exclusion systématique de l’irresponsabilité pénale en cas d’absorption volontaire de stupéfiants », explique le président. Reconnaissant qu’« à ses yeux », le fait de consommer des stupéfiants ne devrait pas conduire à une irresponsabilité pénale, il précise qu’il « souhaite que le Garde des Sceaux présente au plus vite un changement de la loi ».

    Plusieurs quotidiens ou médias locaux ont évoqué des consignes données par des préfets, visant une application plus souple du couvre-feu en raison du ramadan. « Je fais pleinement confiance aux préfets pour s’adapter aux réalités du terrain. Pour le reste, le couvre-feu s’applique sur l’ensemble du territoire et pour tout le monde, sans distinction », répond Emmanuel Macron.

    ACTU 17


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  • Macron prêt à sanctionner la Russie en cas de «comportement inacceptable»

     

    Dans une interview accordée à la chaîne américaine CBS et diffusée intégralement dimanche, le président français revient sur l’envoi de dizaines de milliers de soldats russes près de la frontière avec l’Ukraine.

    La Russie sera l’un des thèmes de l’interview d’Emmanuel Macron, diffusée dimanche 18 avril, à 16 h 30 (heure de Paris), par la chaîne américaine CBS. « Nous devons définir de claires lignes rouges avec la Russie », a affirmé le président de la République, se disant prêt à des sanctions en cas de « comportement inacceptable » dans un extrait de l’interview diffusé samedi.

    « Je pense qu’après un comportement inacceptable, en effet, nous devons sanctionner », a répondu M. Macron, questionné sur la possibilité de mesures contre Moscou en cas d’invasion, au moment où les troupes russes sont de plus en plus nombreuses à la frontière ukrainienne. « Et je pense que nous devons définir de claires lignes rouges avec la Russie », a-t-il poursuivi.

    Tout en affirmant que les sanctions seules « ne sont pas suffisantes » et qu’un « dialogue constructif » est préférable, M. Macron a assuré qu’elles constituaient « la seule façon d’être crédible ». « Nous avons besoin d’un dialogue franc et ouvert avec la Russie », a-t-il ajouté.

    Appel à la désescalade

    La Russie est accusée d’avoir déployé des dizaines de milliers de soldats près de sa frontière avec l’Ukraine et en Crimée, péninsule annexée par Moscou en 2014. Les combats, quasi à l’arrêt depuis une trêve conclue à l’été 2020, ont récemment repris.

    Jeudi, le président américain, Joe Biden, a annoncé une série de sanctions financières sévères contre la Russie et l’expulsion de dix diplomates russes, tout en renouvelant sa proposition d’un sommet avec Vladimir Poutine. Ces sanctions sont une riposte à des cyberattaques et à des ingérences dans l’élection présidentielle américaine de 2020. Huit personnes et entités liées à « l’occupation » de la Crimée ont également été sanctionnées.

    Vendredi, M. Macron et la chancelière allemande, Angela Merkel, ont apporté leur soutien au président ukrainien, Volodymyr Zelensky, et appelé la Russie à retirer ses troupes stationnées à la frontière afin d’œuvrer rapidement à une « désescalade ».

    Le Monde.fr

    Dans la video, Macron parle en anglais deux fois, enfin il essaie !  


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  • Nouveau coup dur pour Emmanuel Macron : "C'est une catastrophe"

    Six Américains ont développé des cas graves de caillots sanguins après avoir reçu le vaccin Johnson&Johnson. Une déconvenue qui risque de ralentir les projets d'Emmanuel Macron en terme de vaccination.

    Alors que la vaccination progresse et que de plus en plus de Français acceptent de se faire vacciner, un nouveau coup dur vient entraver la stratégie d’Emmanuel Macron. Après les couacs autour du vaccin AstraZeneca, c’est au tour du vaccin américain Johnson&Johnson de poser question. Six personnes ont développé des cas graves de caillots sanguins et le laboratoire a donc décidé de ralentir la livraison de ses doses à l’Europe le temps d’enquêter. « C’est une catastrophe », a estimé Jean-Paul Ortiz sur BFM ce mercredi 14 avril. Et pour cause : 200 000 doses étaient attendues en France dès cette semaine, et même 600 000 d’ici fin avril.

    « C'est une catastrophe. On aura un manque de doses, on n’aura pas de livraisons pendant une à deux semaines », a déploré Jean-Paul Ortiz, président de la Confédération des Syndicats médicaux français, attristé par la situation car les Français ont en majorité enfin admis l’idée que le vaccin anti-Covid est utile et efficace. « Dans nos cabinets, nous allons avoir un trou de livraisons. » 

    Vers une défiance généralisée pour le vaccin Johnson&Johnson ?

    L’avantage du vaccin Johnson&Johnson est qu’il est monodose. Emmanuel Macron nourrissait beaucoup d’espoirs dans ce nouveau vaccin. Mais avec ces cas problématiques, Jean-Paul Ortiz craint qu’il y ait une défiance autour de ce vaccin, comme cela est toujours le cas pour l’AstraZeneca, même si les autorités sanitaires répètent sans cesse qu’il protège autant que Moderna ou Pfizer« C’est une catastrophe pour les médecins (…). Il faut regagner la confiance maintenant », a martelé Jean-Paul Ortiz sur BFM. « Il nous faut tous les vaccins et les adapter à toutes les catégories, il faut personnaliser. »

    GALA


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  • À un an de l'élection présidentielle de 2022, Emmanuel Macron reste "mutique". C'est ce que glisse un cadre de la majorité dans les colonnes de L'Obs, en kiosque depuis ce jeudi 8 avril.

    Emmanuel Macron n'est pas très loquace. Alors que Xavier Bertrand, Marine Le Pen ou encore Jean-Luc Mélenchon - entre autres - préparent la campagne à venir pour l'élection présidentielle de 2022, le président sortant reste silencieux. Le mercredi 27 janvier, RTL révélait qu'un dîner décisif devait se tenir le jour-même à l'Élysée. De quoi couper l'herbe sous le pied au chef de l'État qui, dans "une colère noire", avait finalement décidé d'annuler ce repas"J’ai rappelé immédiatement Emmanuel pour connaître la nouvelle date, mais il m’a sèchement répondu, très agacé par la fuite : 'Il n’y aura plus de dîner !'" raconte l'un des invités à L'Obs, paru ce jeudi 8 avril. Et d'ajouter : "On devait aborder la situation sanitaire, mais j’espérais qu’on parlerait aussi de la présidentielle. Il serait utile de commencer à y réfléchir collectivement, de faire un bilan et de se projeter…"

    Dans les colonnes de ce même numéro, un cadre de la majorité confie que "même les intimes des intimes sont déstabilisés par le caractère mutique du Sphinx qui cache tout". Une métaphore qui en dit long, alors que l'entourage d'Emmanuel Macron se révèle bien plus bavard. L'un de ses proches confirme auprès de l'hebdomadaire : "Dans les conversations que j'ai avec lui, il a toujours été très clair qu'il se déclarerait le plus tardivement possible", à savoir, "pas avant février prochain".

    "Ça n'est pas sa préoccupation immédiate"

    Invitée au journal télévisé de 20 heures sur TF1, le dimanche 17 janvier, Brigitte Macron s'exprimait à demi-mot sur l'éventuelle candidature de son mari. "Je peux vous garantir que ça n'est pas sa préoccupation immédiate. En tout cas, il ne m'en parle pas. On parle énormément virus, il parle de la situation internationale", assurait-elle. D'après la Première dame, la priorité de son époux n'est autre que "sortir la France au mieux de ce qui est en train de se passer".

    Philippe de Villiers : "Il s'occupe de sa réélection"

    Tout le monde n'est cependant pas du même avis. Interviewé par Apolline de Malherbe sur BFMTV ce samedi 10 avril, Philippe de Villiers a reproché à Emmanuel Macron la suppression de l'ENA. "Il s'occupe de sa réélection", a-t-il lancé avant de poursuivre : "Regardez, il s'occupe de l'ENA. C'est intelligent. C'est une diversion. Vous savez ce qu'il fait avec cette histoire de l'ENA ? Il dit aux Français : 'Je vous ai compris. Haro sur les fonctionnaires !'"

    GALA


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  • Philippe de Villiers était l'invité d'Apolline de Malherbe

    À quelques mois de l'élection présidentielle de 2022, les pronostics vont bon train. Pour Philippe de Villiers, le fondateur du Puy-du-Fou, le nom d'Emmanuel Macron est associé à celui du "malheur".

    Alors que le chef de l'État est critiqué de toute part, Emmanuel Macron, l'homme de toutes les audaces, semble prêt à se positionner pour un second mandat. Durant son quinquennat, le président de la République a dû faire face à différentes crises. Celle des gilets jaunes, dont les images d'un Paris à feu durant les émeutes de 2018, ont fait le tour du monde. Puis, une crise sanitaire, avec la Covid-19, qu'Emmanuel Macron doit gérer depuis plus d'un an. Pour beaucoup, dont Philippe de Villiers, le chef de l'Élysée n'a pas convaincu. En entrevue ce samedi 10 avril dans l'émission de BFMTVApolline de Malherbe, le rendez-vous, le fondateur du Puy-du-Fou a confirmé qu'Emmanuel Macron "ne pourra pas" se présenter à la prochaine élection présidentielle, car son "nom est associé au malheur".

    À presque un an de l'élection présidentielle, Philippe de Villiers, explique à Apolline de Malherbe que les Français "en ont ras le bol" des décisions politiques du gouvernement formé par Emmanuel Macron. "On est dans une période de congélation. Les gens sont enfermés, confinés, ils ne sont pas dans le match. Le jour où la glaciation sera finie, peut-être cet été ou cet automne, le jour où les Français vont retrouver leur liberté, leur sourire et leur parole, je peux vous dire que la décongélation va produire des avalanches", a-t-il déclaré.

    Un duel Macron - Le Pen ?

    Pour Philippe de Villiers, l'annonce de la candidature d'Emmanuel Macron aux prochaines élections est inimaginable"J'ai du mal à penser qu'Emmanuel Macron puisse se représenter. Il ne pourra pas. Quand vous avez enfermé un peuple pendant un an, le peuple s’en souvient et ce n‘est pas un bon souvenir. C’est humain", raconte l'ancien secrétaire d'État à la Culture. L'écrivain, qui a publié cette semaine un nouvel essai, Le jour d'après, a également estimé qu'un duel entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, en 2022, n'était pas envisageable.

    GALA


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  • L'ENA n'est plus, voici l'ISP. Jeudi, Emmanuel Macron a détaillé aux "managers de la fonction publique", c’est-à-dire les 200 à 500 plus hauts fonctionnaires français, son plan pour réformer la haute fonction publique. L'élément le plus saillant de cette réforme est la suppression de l'École nationale d'administration (ENA). La célèbre institution, dont le chef de l'État est lui-même issu, va être remplacée par un nouvel Institut du service public (ISP), que le président de la République souhaite voir naître en 2022, selon nos confrères de franceinfo. 

    Nouveaux candidats

    Emmanuel Macron souhaite ouvrir à de nouveaux candidats les grands corps de l'État, qui administrent aujourd’hui le pays, dont les plus connus sont l’Inspection des finances, le Conseil d'État ou encore la Cour des comptes. Le chef de l'État veut attirer des profils plus variés venant des Universités et plus uniquement de Sciences Po.

    Pour la formation, un nouveau tronc commun sera dispensé à tous les hauts fonctionnaires, pour les confronter aux nouvelles réalités du terrain : laïcité, pauvreté, écologie, discours scientifiques, etc. 

    Une application en 2022 ?

    Quand cette réforme va-t-elle être véritablement appliquée ? Pour qu'elle ait une chance d’être adoptée avant 2022, il faut impérativement qu’elle soit débattue au Parlement avant le mois de juin. Et quand on observe l’embouteillage législatif, une certitude : la fenêtre de tir est toute petite. 

    Europe 1


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  • Emmanuel Macron a pris la parole ce mercredi 31 mars, généralisant ainsi le confinement de certaines régions à tout le territoire. Un énième effort dont le président veut profiter pour « vacciner, vacciner, vacciner ». Et c’est là que ça coince.

    Emmanuel Macron n’a pas fait que des heureux en faisant son allocution ce mercredi 31 mars. Si certains ont été soulagés de voir enfin le président de la République prendre les devants et reconfiner (plus légèrement que la première fois) le pays, d’autres ont fait grise mine. Afin de maximiser les chances que ces nouvelles restrictions mènent à la fin de la crise sanitaire, Emmanuel Macron a révélé dans son discours et par le biais d’un message publié sur Twitter que l'enjeu principal de ce troisième confinement était de « vacciner, vacciner, vacciner ». Des propos évidents qui font toutefois rire jaune les médecins. Mobilisés, comme la majeure partie du corps médical à l’image même des vétérinaires, pour procéder à la vaccination, les généralistes ont tapé du poing sur la table. Un, en particulier. Baptiste Beaulieu est médecin et auteur populaire, très suivi sur la communauté d’Instagram. Il a donc profité de l’attention qu’il avait du public pour dire tout le mal qu’il pensait des dernières décisions prises par Emmanuel Macron et pour le mettre face à ses contradictions.

    « Le prix du pari d’Emmanuel Macron »

    « Je vais essayer de vous expliquer un petit peu la réalité de ce que je vis au quotidien, débute-t-il dans une story. Le pari d’Emmanuel Macron de ne pas avoir reconfiné s’est fait aussi sur le dos de patients qui souffrent d’autres pathologies graves ». Baptiste Beaulieu a ainsi fait référence à l’une de ses patientes, en rémission d’un cancer traité par chimiothérapie, dont les rendez-vous de suivi ont été annulés « puisque le service est fermé pour cause de Covid ou en sous-régime à cause de l’absentéisme ».

    « Résultat : quand le service a réouvert (et qu’il était joignable), je lui prends rendez-vous immédiatement : scanner dans la journée, reprise de son cancer AVEC extension ». Un constat qu’il attribue « à une rupture de sa surveillance thérapeutique » : « Cela aussi, c’est le prix du “pari” d’Emmanuel Macron ». Et ce n’est pas la seule chose qu’il reproche au chef de l’Etat : « Je l’ai un peu mauvaise de voir Emmanuel Macron nous expliquer qu’on doit vacciner, vacciner, vacciner alors que nous, médecins généralistes, nous n’aurons plus de dotation vaccinale à partir de la semaine prochaine (parce qu’il y a une pénurie vaccinale) ». Un terrible constat.

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