• Andrew Kaczynski anéanti : le journaliste de CNN a perdu sa fille de 9 mois la veille de Noël

    Vendredi 25 décembre, Andrew Kaczynski a annoncé une terrible nouvelle sur les réseaux sociaux. Le journaliste de CNN et son épouse ont perdu leur fille Francesca des suites d'une rare forme de cancer.

    C'est la pire épreuve que des parents puissent traverser. Vendredi 25 décembre, Andrew Kaczynski, journaliste politique de la chaîne américaine CNN, a annoncé la mort de sa fille Francesca. Âgée de 9 mois, la fillette a succombé à une tumeur rhaboïde cérébrale, un cancer rare et très agressif qui touche particulièrement les enfants et les nourrissons. « C’est le cœur brisé que nous vous annonçons que notre magnifique fille Francesca est décédée la nuit dernière dans les bras de sa maman et de son papa, a écrit le journaliste sur son compte Twitter. Nous sommes si reconnaissants d’avoir connu son amour. Francesca, nous t’aimons. »

    Francesca était sous respirateur artificiel

    Andrew Kaczynski et son épouse Rachel Louise Ensign avaient révélé la maladie de leur fille au mois de septembre. Francesca venait alors de subir deux opérations du cerveau. « Elle est la personne la plus forte et la plus résiliente que je connaisse. Je suis sûr qu’elle va se battre », avait tweeté son papa. Mais son état de santé s’est malheureusement très vite dégradé. Victime d’une infection fongique il y a tout juste une semaine, la petite fille a vécu ses derniers instants sous respirateur artificiel. Hélas, Andrew Kaczynski n'est pas la seule personnalité à avoir perdu son enfant des suites d’un cancer cette année. Au mois de juillet, le golfeur colombien Camilo Villegas a annoncé la mort de sa fille Mia à l’âge de 22 mois. Cette dernière a succombé à des tumeurs au cerveau et à la colonne vertébrale malgré une intervention chirurgicale et un protocole de chimiothérapie alternatif.

    VOICI


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  • Un homme de 39 ans a été séquestré durant des mois dans le grenier par son père à Malmerspach (Haut-Rhin). Il a été privé de nourriture. Le mis en cause de 70 ans doit être déféré au parquet ce samedi.

    Il a vécu un horrible calvaire. C’est une intervention de la gendarmerie dans une habitation du petit village de Malmerspach, qui a mis fin à cette situation épouvantable raconte L’Alsace. Mercredi soir, les militaires ont reçu l’appel d’une mère de famille qui demandait de l’aide. Son fils âgé de 39 ans venait de donner un violent coup de point à son mari de 70 ans.

    Lorsque les gendarmes sont arrivés sur place, le sexagénaire n’était plus là. Il avait déjà été pris en charge par les secours et transporté à l’hôpital. Le fils a rapidement reconnu les violences mais l’intervention des militaires a pris un tournant inattendu alors qu’ils conduisaient le trentenaire à l’hôpital, pour s’assurer que son état de santé était compatible avec la garde à vue qui venait de lui être notifiée.

    Une maigreur cadavérique

    Durant le trajet, l’homme de 39 ans a expliqué aux gendarmes qu’il n’avait que peu mangé ces derniers jours et qu’il ne se sentait pas bien. Le trentenaire a été ausculté par un médecin des urgences de l’hôpital de Mulhouse. Le personnel médical a alors constaté l’état de santé inquiétant de cet homme. Il présentait tous les signes de la malnutrition et souffrait d’une maigreur cadavérique. L’homme a alors expliqué ce qui lui était arrivé.

    Ayant perdu son emploi il y a un an, il s’est vu contraint de revenir vivre chez ses parents. Mais son père lui a fait vivre un enfer, estimant qu’il était bon à rien. Le trentenaire a été installé dans le grenier qu’il ne pouvait pas quitter. Il avait aussi interdiction de manger à sa faim et descendait la nuit pour finir les restes. Son père s’en est aperçu et aurait alors fermé la porte du grenier pour ne plus qu’il sorte.

    C’est dans ces circonstances que le fils a frappé son père. Ce dernier qui a reçu une éducation extrêmement sévère, ne comprend pas ce qu’on lui reproche aujourd’hui expliquent nos confrères. Les faits relatés auraient duré au moins quatre mois. Le sexagénaire a été placé en garde à vue et doit être déféré au parquet ce samedi. Quant à son fils, il ne sera pas poursuivi pour les violences.

    ACTU 17


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  • L'altercation aurait eu lieu sous l'emprise de l'alcool. Selon l'état-major des armées françaises, deux soldats de la force antijihadiste Barkhane, déployée au Sahel, ont été blessés par un des leurs lors d'une dispute.

    L'altercation entre soldats français est survenue dans la nuit du 24 au 25 décembre sur la base de Gao, au Mali.

    "Des soldats de la même unité se sont, en langage commun, pris la tête. Un soldat a blessé deux de ses camarades avec son arme de service", un pistolet automatique, a indiqué à l'AFP le porte-parole de l'état-major Frédéric Barbry.

    Enquête ouverte

    Un homme a été blessé très légèrement, l'autre plus sérieusement, mais sans que son pronostic vital ne soit engagé. Tous deux ont été évacués dans la foulée puis admis à l'hôpital en France.

    Une enquête de la prévôté a été ouverte. "Dés que l'enquête sera terminée, il sera rapatrié", a indiqué le colonel Barbry. Une enquête de commandement devrait aussi être ouverte pour faire la lumière sur les circonstances de l'incident.

    La force Barkhane compte 5.100 soldats au Sahel, où elle lutte depuis 2014 contre les groupes jihadistes avec ses partenaires du G5 Sahel (Mauritanie, Tchad, Mali, Burkina Faso, Niger).

    La France réfléchit depuis quelques semaines à une possible réduction de ses effectifs dans la zone. Un sommet est prévu mi-février pour faire le point sur la situation, un peu plus d'un an après le sommet de Pau (sud de la France).

    BFM.TV


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  • Décès de George Blake, célèbre agent double britannique qui espionnait pour les Soviétiques

    © Yury MARTYANOV George Blake, le célèbre agent double, à Moscou le 28 juin 2001

    L'ex-agent double britannique George Blake, célèbre "taupe" qui espionnait pour le compte du KGB soviétique dans les années 1950 avant de passer à l'Est, est décédé à l'âge de 98 ans, ont annoncé samedi les agences de presse russes.

    "Aujourd'hui, le légendaire officier du renseignement (...) George Blake, n'est plus. Il aimait sincèrement notre pays, admirait l'exploit de notre peuple au cours de la Deuxième guerre mondiale", a déclaré à l'agence publique TASS le porte-parole des services de renseignements extérieurs russes (SVR), Sergueï Ivanov.

    Ancien membre de la résistance aux Pays-Bas pendant la Deuxième guerre mondiale puis agent du MI6, les services de renseignement extérieurs britanniques, pendant la Guerre froide, George Blake a proposé ses services aux Soviétiques dans les années 1950 après avoir été témoin de bombardements américains sur des populations civiles en Corée.

    Il a fourni les noms de centaines d'agents au KGB et révélé l'existence d'un tunnel secret à Berlin-Est utilisé pour espionner les Soviétiques.

    Dénoncé par un agent double polonais, il est condamné en 1961 à 42 ans de réclusion en Grande-Bretagne. Il parvient à s'échapper de prison cinq ans plus tard à l'aide d'une échelle en corde et de ses camarades de cellule.

    En fuite, George Blake réussit à traverser le Rideau de fer via la République démocratique allemande (RDA) et passe pour toujours à l'Est.

    Célébré comme héros à Moscou, il avait reçu le rang de colonel par les services de renseignement russes. Malgré la chute de l'URSS à qui il avait dédié sa vie, il n'a jamais regretté ses actes.

    George Blake était le dernier encore en vie d'une génération célèbre d'agents doubles britanniques, des "taupes" que l'URSS était parvenu à recruter  en pleine Guerre froide.

    AFP


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  • Chaque jour, les réseaux sociaux nous offrent des images insolites qui finissent par faire le tour du monde en quelques heures. Et parfois, on parie que les anonymes stars de ces vidéos ou photos se seraient bien passés de cette heure de gloire. C’est sans doute ce que c’est dit Muhai Tang, un chef d’orchestre chinois. En effet, l'artiste s'est retrouvé dans une situation très embarrassante...

    Nous avons tous déjà rêvé que l'on se retrouvait nu dans notre lycée ou au bureau, et bien c'est un peu ce qui est arrivé à l'artiste puisqu'en pleine représentation, il s'est retrouvé avec son pantalon sur les genoux.

    L'incident s'est déroulait lorsqu’il dirigeait l'Orchestre philharmonique de la Scala de Milan dans un programme "Nuits de Chine" au Teatro Dal Verme. C'est France musique qui a relayé l'information.

    Aucun bruit dans le public

    Si cette scène surprenante aurait pu créer l'hilarité chez les musiciens, ces derniers ont su garder leur calme et ont continué la représentation comme si de rien n'était. Muhai Tang, lui, a rapidement remonté son pantalon. Show must go on !

    Malheureusement pour le chef d'orchestre, des spectateurs ont immortalisé ce moment. Ils ont ensuite posté la vidéo sur la Toile et elle a fait des milliers et des milliers de vues. Nous pouvons lui envoyer toute notre sympathie, nous ne savons pas comment nous aurions réagi si nous avions été dans cette position. En attendant, Muhai Tang restera dans les mémoires comme le chef d'orchestre avec le plus de sang froid au monde !

    Gent Side


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    Etats-Unis: un camping-car explose à Nashville après un mystérieux compte à rebours

    Un camping-car a explosé vendredi, jour de Noël, dans le centre de Nashville, aux Etats-Unis, à l'issue d'un compte à rebours glaçant diffusé par haut-parleur, un acte qualifié par la police de "délibéré" qui a causé des dégâts spectaculaires dans la capitale de la musique country.

    L'explosion a eu lieu à 06H30 (12H30 GMT), provoquant d'importants dommages sur les façades des bâtiments environnants. Les vitres de nombreux appartements, commerces et bureaux ont été soufflées. Des débris -- verre, branches d'arbres, briques -- jonchaient le sol, des conduites d'eau ont été percées et des véhicules garés ont été endommagés ou brûlés entièrement.

    Au moins trois personnes ont été transportées à l'hôpital souffrant de blessures légères, selon les pompiers. Aucun décès n'a été confirmé, mais les enquêteurs vont analyser des tissus retrouvés sur le site de l'exposion et qui pourraient être des restes humains, a déclaré le chef de la police de Nashville, John Drake.

    La police ignore si quelqu'un se trouvait à l'intérieur du camping-car au moment de l'explosion.

    La déflagration, dans un quartier commerçant, a été ressentie à plusieurs kilomètres à la ronde.

    "Nous pensons que c'était un acte délibéré", a affirmé le porte-parole de la police de Nashville, Don Aaron.

    Le quartier a été bouclé par les forces de l'ordre. Le FBI et l'Agence fédérale spécialisée dans les armes et les explosifs ont pris les rênes de l'enquête.

    Le porte-parole du président Donald Trump, Judd Deere, a tweeté que le président était "reconnaissant envers les incroyables premiers intervenants et prie pour les blessés".

    Le président-élu Joe Biden a publié une déclaration dans laquelle lui et son épouse Jill, "remercient tous les premiers intervenants" et "souhaitent aux blessés un prompt rétablissement".

    Une patrouille de police, qui avait été appelée peu avant 06H00 pour des coups de feu tirés, a remarqué le camping-car garé devant un bâtiment de la compagnie AT&T sur la 2e Avenue Nord.

    Les agents ont "entendu un enregistrement" venant de l'intérieur du véhicule avertissant qu'une bombe allait exploser un quart d'heure plus tard, a expliqué le chef de la police John Drake.

    "Evacuez maintenant, il y a une bombe. Une bombe est dans ce véhicule et va exploser", disait une voie féminine dans ce message diffusé par haut-parleur avant de commencer un compte-à-rebours, ont raconté des témoins au journal local Tennessean.

    Evacuation en urgence

    Ce délai a permis à la police de faire du porte-à-porte appelant les résidents des immeubles environnants à évacuer.

    La police a publié sur Twitter une photo du camping-car couleur crème avant qu'il ne se gare sur le lieu de l'explosion, et a lancé un appel à témoins.

    Plusieurs équipes cynophiles ont inspecté la zone de la déflagration toute la matinée mais n'ont pas retrouvé d'autres charges, a précisé le porte-parole de la police Don Aaron.

    Les pompiers ont également examiné les immeubles touchés pour une première estimation de l'étendue des dégâts et fait du porte-à-porte pour chercher d'éventuelles victimes.

    Le mobile de cet acte est pour l'instant inconnu. "Le véhicule a explosé devant le bâtiment d'AT&T, nous ne savons pas si c'était une coïncidence ou si c'était délibéré", a indiqué le porte-parole de la police.

    L'explosion a endommagé les installations de la compagnie américaine de téléphonie. "Le service pour certains clients de Nashville et des environs peut être affecté", a averti AT&T sur Twitter.

    L'aéroport international de la ville a annoncé avoir temporairement arrêté ses vols en raison des "problèmes de télécommunications" liés à l'explosion.

    Le gratte-ciel d'AT&T, emblématique de la ville, est surnommé "Batman Tower" en raison de sa forme.

    Le maire de Nashville, John Cooper, a estimé que la ville avait "beaucoup de chance" qu'il y ait eu si peu de blessés malgré des dégâts "spectaculaires".

    "C'est arrivé le matin de Noël, c'est dommage, mais je pense que n'importe quel autre matin aurait été bien pire" car il y aurait eu beaucoup plus de monde dans ce quartier commerçant, a-t-il expliqué.

    Interrogé sur les raisons qui auraient poussé les auteurs de l'explosion à viser sa ville, il a expliqué que Nashville, temple de la musique country, était "célèbre".

    "Si des gens veulent de l'attention et de la publicité, parfois ils viennent ici", a-t-il dit.

    Le Point 26/12/2020 -          Washington (AFP) -          © 2020 AFP


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  • Un homme a perdu la vie en étant électrocuté dans sa baignoire à Val-de-Bride (Moselle). Les secours n’ont pas réussi à le sauver.

    L’accident s’est produit vers 10h30 ce jeudi matin dans un logement situé sur la commune de Val-de-Bride. Un homme âgé de 34 ans se trouvait dans sa baignoire et aurait voulu déplacer un lisseur qui était branché explique Le Républicain Lorrain. Il a été électrocuté.

    Les sapeurs-pompiers et le SAMU se sont rapidement rendus sur les lieux et ont tenté de réanimer la victime, en vain. Cette dernière est malheureusement décédée. Le trentenaire était le père de trois enfants. Sa compagne est enceinte précisent nos confrères.

    Les gendarmes de Dieuze ont réalisé des constatations sur place.

    ACTU 17

    Il a voulu faire comme Claude François


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  • Cette tragique histoire s'est déroulée le lundi 14 décembre à bord d'un vol de la compagnie United Airlines reliant Orlando à Los Angeles. Comme le rapporte le New York Postun homme âgé de 69 ans a fait un arrêt cardiaque dans l'avion où se trouvaient près de 200 passagers. Malgré un massage cardiaque prodigué par des personnes présentes à bord, le sexagénaire est décédé. Sa mort serait due au Covid-19.

    La victime présentait des symptômes

    Pourtant, avant de voyager, l'homme avait assuré à la compagnie qu'il ne présentait aucun symptôme du virus. Mais selon le témoignage d'une passagère, celui-ci semblait avoir des difficultés à respirer, et aurait commencé à trembler et à transpirer avant de perdre connaissance.

     

    D'autres passagers affirment avoir entendu dans l'avion la femme de la victime évoquer la perte de goût et d'odorat de son mari, qui constitue l'un des premiers symptômes identifiés du Covid-19. Dans un communiqué diffusé par la compagnie aérienne, il est précisé que l'homme avait rempli un formulaire stipulant qu'il avait été testé négatif au virus et qu'il n'en présentait aucun signe. Un certificat sur l'honneur ne nécessitant pas de preuve matérielle.

    Massage cardiaque et masque à oxygène

    L'homme a présenté une détresse respiratoire une vingtaine de minutes après le décollage, et trois passagers se sont relayés pour lui prodiguer un massage cardiaque, tandis qu'un masque à oxygène lui a été posé sur le visage afin de l'aider à respirer. L'avion s'est posé en urgence à la Nouvelle-Orléans (Louisiane), où l'homme a été transporté à l'hôpital. Il est décédé peu de temps après.

    Fait assez surprenant : l'avion a ensuite été autorisé à repartir pour Los Angeles, où il a atterri quelques heures plus tard. Ce qui a provoqué la colère de nombreux passagers.

    Après avoir reçu la confirmation que l'homme était bien contaminé par le Covid-19, United Airlines a mis l'ensemble du personnel navigant à l'isolement, et travaille désormais avec les Centres de Contrôle et de Prévention des maladies américains (CDC) afin de prendre contact avec les autres passagers de l'appareil, qui pourraient avoir été exposés au virus.

    Gent Side


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  • Scène de cauchemar dans une chambre d’hôpital. Jesse Martinez, âgé de 37 ans, est accusé d’avoir tué un voisin de chambre en Californie. Les deux hommes, tous les deux malades du covid-19 et qui ne se connaissaient pas, partageaient la pièce avec un troisième patient. Le bureau du shérif du comté de Los Angeles a expliqué mercredi que Jesse Martinez n’aurait pas supporté que son voisin catholique de 82 ans se mette à prier. «Le suspect s’est mis en colère quand la victime a commencé à prier. Alors il a pris un réservoir à oxygène et l’a frappée avec», ont fait savoir les autorités, citées par «USA Today».

    Le vieil homme a succombé à ses blessures le lendemain. Jesse Martinez devrait être présenté à un juge le 28 décembre mais sa caution a déjà été fixée à un million de dollars. Il est poursuivi pour meurtre avec la circonstance aggravante de maltraitance envers une personne âgée et crime de haine motivé par la religion.

    Mercredi, la Californie est devenue le premier Etat à dépasser les 2 millions de cas aux Etats-Unis. Les autorités sanitaires ont annoncé 145 morts supplémentaires sur la journée de mercredi. Le gouverneur Gavin Newsom a expliqué lundi que l’Etat a enregistré 525 000 nouveaux cas en deux semaines. Les États-Unis restent le pays le plus endeuillé avec 325.539 morts.

    Paris Match


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  • Un homme de 65 ans est mort mardi soir à Raucourt, près de Sedan dans les Ardennes, des suites d'une agression à l'arme blanche, selon les informations fournies par les pompiers des Ardennes.

    Selon la maire Véronique Duru, la victime présentait une plaie importante à la carotide et l'un de ses bras a été quasiment sectionné

    Le fils en garde à vue, suspecté de parricide

    Les pompiers sont intervenus vers 23h30, Grand rue à Raucourt. Les faits se sont déroulés au domicile du fils de la victime. Cet homme de 31 ans a été transporté par les pompiers et les gendarmes à l'hôpital de Sedan. Il souffre de plaies superficielles, selon Véronique Duru. 

    Il est considéré comme un suspect et a été placé en garde à vue pour "meurtre sur ascendant", confirme ce mardi le procureur de Reims, qui s'est saisi de l'enquête en fin de matinée. Le jeune homme et son père étaient peu connus dans la commune, selon l'élue. 

    france bleu


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  • Un homme placé en garde à vue à l’aéroport d’Orly (Val-de-Marne) est parvenu à dérober l’arme d’une policière et s’est suicidé.

    Un militaire de carrière âgé de 33 ans, qui appartenait au 9e régiment d’infanterie de marine de Guyane, a mis fin à ses jours ce mercredi vers midi en utilisant l’arme de service d’une policière qu’il venait de lui dérober indiquent des sources policières, confirmant une information du Parisien. L’homme s’est tiré une balle au niveau de la gorge, il est décédé des suites de ses blessures.

    Ce dernier avait été interpellé lundi après-midi alors qu’il transportait 4 kg de cocaïne et venait de Guyane. Il se trouvait en garde à vue à l’aéroport d’Orly au moment du drame. L’Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été chargée d’une enquête pour « recherche des causes de la mort » afin de déterminer les circonstances exactes de ce drame.

     

    Les faits se sont produits alors que la policière de la police aux frontières (PAF) apportait le repas au gardé à vue selon ces mêmes sources. Elle a tenté de l’empêcher mais n’y est pas parvenue. Sous le choc, elle a été prise en charge par une cellule psychologique.

    ACTU 17


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  • Un enfant de 11 ans a fait appel aux secours ce mardi soir car sa mère ne se réveillait pas. Elle était en fait décédée depuis plus de 15 jours

    Le drame s’est produit à Violaines, près de Béthune (Pas-de-Calais). Le corps sans vie d’une femme a été découvert dans un logement rapporte La Voix du Nord. C’est le fils de la défunte qui a prévenu la police. Le petit garçon âgé de 11 ans a expliqué au téléphone que sa mère ne se réveillait pas.

    Sur place, les fonctionnaires ont constaté le décès de cette femme qui datait déjà de plus de 15 jours. Les circonstances de sa mort doivent être déterminées, une autopsie va être pratiquée.

     

    La piste du suicide est notamment évoquée. « Nous en sommes au tout début des investigations. Nous n’écartons aucune piste », a réagi le parquet interrogé par le quotidien régional. « L’enquête est en cours » a rappelé la police.

    ACTU 17


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  • Je me demande si cela n'est pas son mari qui l'a tué ? Car elle était en instance de divorce à sa demande !

    Mais si c'est lui qui l'a tué, où a t-il mis le corps ?


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  • Le 15 décembre dernier, sur la commune d’Ornans, dans le Doubs, les gendarmes ont interpellé un père de famille très irresponsable.

    Pendant le confinement, aller chercher ses enfants à l’école était un motif de sortie valable. Seulement, la question ne se posait plus mardi 15 décembre dernier, étant donné que ledit confinement n’était plus en vigueur. Non, ici, le véritable souci était l’état du conducteur au moment de récupérer ses enfants. 

    À quelques mètres de l’école, le père de famille aperçoit les forces de l’ordre. Sans doute conscient de son état et de l’inconscience de ses actes, il fait demi-tour. 

    Cette réaction alerte immédiatement les militaires, qui se lancent  alors à sa poursuite. Très rapidement, le véhicule est rattrapé et l’homme contrôlé. Pas de surprise, l’éthylotest affiche un taux d’alcool de 1,6 g/l de sang ! Ce qui choque encore un peu plus les gendarmes, ce sont les deux enfants qui se trouvent à l’arrière de la voiture. 

    En attendant son passage devant le tribunal, le père de famille irresponsable s’est vu suspendre son permis de conduire et son véhicule a été immobilisé. Finalement, les deux écoliers auraient certainement mieux fait de prendre le bus…

    Auto News


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  • Après avoir suivi "les voix de Dieu", une femme tue son mari et touche malgré tout l'héritage

    © Alexis Bacci Alexis Bacci et son père, Marc Leveillé.

    Michelle Missegue a tué son mari en 2015. Déclarée irresponsable pénalement, elle a hérité d'une partie de sa fortune. Depuis, Alexis Bacci, le fils de la victime, se bat contre ce qu'il considère comme une injustice.

     

    "Elle a tué mon père et hérité de sa fortune. C’est ça la justice?" Il y a moins d’une semaine, l’argent qui appartenait autrefois à Marc Leveillé a été versé à parts égales sur les comptes bancaires de son fils, Alexis Bacci, et de sa veuve, Michelle Missegue. Une succession à première vue banale, sauf que Michelle Missegue a tué Marc Leveillé. Et même si toute la procédure est parfaitement légale, ce meurtre aurait dû, selon Alexis Bacci, l’empêcher d’hériter.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/apr%C3%A8s-avoir-suivi-les-voix-de-dieu-une-femme-tue-son-mari-et-touche-malgr%C3%A9-tout-l-h%C3%A9ritage/ar-BB1ccmk0?ocid=msedgntp


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  • Marseille : montagnes d’ordures dans les rues, la grève des éboueurs se poursuit

    Marseille : montagnes d’ordures dans les rues, la grève des éboueurs se poursuit

    Des centaines de tonnes d'ordures à l'abandon, à l'approche des fêtes de fin d'années. C'est une image bien triste, ce mercredi, qu'offre Marseille (Bouches-du-Rhône) alors qu'un mouvement de grève des employés d'une société de ramassage des déchets provoque un amoncellement dans trois arrondissements de la cité phocéenne.

    L'entreprise Derichebourg Polyceo est en effet chargée de la collecte des déchets dans le IIe arrondissement de Marseille, où se trouve notamment le quartier historique du Panier, à deux pas du Vieux-Port, ainsi que dans les XVe et XVIe arrondissements dans le nord de la ville.

    « 100 % des salariés (de Derichebourg), soit 230 personnes sont en grève », comptabilise Laurent Casanova, secrétaire général du syndicat FO des transports logistiques des Bouches-du-Rhône.

    « Harcèlement »

    Les grévistes, qui ont cessé le travail depuis jeudi, demandent « les mutations » du directeur du site marseillais et de son adjoint qu'ils accusent de « harcèlement ». « Depuis l'arrivée de ce nouveau directeur en 2017, une quarantaine d'employés ont été renvoyés », selon Akim Yekken, un des salariés.

    « Il agit en dictateur, met la pression et harcèle les salariés », dénonce cet employé qui, avec une quinzaine de collègues, occupait un centre de transfert des ordures ménagères du sud de la ville, à la Capelette.

    « On ne peut pas reprendre avec une direction avec laquelle on travaille avec la peur au ventre d'être licencié. Les licenciements, c'est une simple formalité pour eux et c'est la destruction d'une vie pour d'autres », justifie de son côté le délégué FO du site marseillais de Derichebourg, Lionel Martini, selon qui les salariés sont déterminés à aller jusqu'au bout.

    D'autres employés étaient également rassemblés à la plateforme de tri des Aygalades dans le nord de la ville (XVe arrondissement) et au centre de tri du Jas de Rhodes aux Pennes-Mirabeau, près de Marseille. Contactée, la direction de Derichebourg Polyceo n'a pas répondu.

    La police alertée

    Dans un communiqué, la Métropole Aix-Marseille-Provence affirme avoir « tenté de jouer la carte de la médiation en réunissant syndicats et représentants de la direction de l'entreprise » mardi.

    « Faute d'accord trouvé et suite au blocage illégal » des centres de transfert métropolitains des ordures ménagères ainsi que du centre de tri « par une partie des salariés », la Métropole en appelle aux « forces de police pour en libérer l'accès », argue-t-elle.

    « En six jours de grève, 550 tonnes de déchets n'ont pu être collectées sur les 2e, 15e et 16e arrondissements. Avec le blocage des centres de transfert qui paralyse désormais 10 communes, dont Marseille, ce chiffre pourrait plus que doubler en 24 heures », souligne la Métropole.

    Ces centres de transfert réceptionnent au quotidien les déchets des communes de Marseille, Septèmes-les-Vallons, la Ciotat, Cassis, Carnoux, Roquefort-la-Bédoule, Gémenos, Ceyreste, Allauch et Plan-de-Cuques.

    Le Parisien


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  • Une enquête a été ouverte pour « enlèvement et séquestration », dans le cadre de la disparition dans le Tarn de Delphine Jubillar, dans la nuit du mercredi 15 au jeudi 16 décembre.

    Une enquête a été ouverte par le parquet de Toulouse pour « enlèvement et séquestration », dans le cadre de la disparition de Delphine Jubillar, dans le Tarn, a annoncé ce mercredi 23 décembre le procureur de Touluse. Depuis la nuit du mardi 15 au mercredi 16 décembre, Delphine Jubillar, une jeune femme de 33 ans n’a plus donné signe de vie.

    Elle serait partie seule, à pied, de son domicile dans le Tarn, à Cagnac-les-Minces, selon le procureur d’Albi, Alain Bethomieu, qui avait ouvert une enquête pour « disparition inquiétante ».Après de nombreuses recherches des gendarmes, une battue citoyenne a été organisée ce mercredi réunissant plus de 1000 personnes, pour tenter de trouver des indices.

    Un portable, un couteau, et des chaussettes retrouvés

    Ce midi, Thierry Blondet, numéro 2 des gendarmes du Tarn, déclarait à l’issue de la première battue que des objets avaient été retrouvés : un portable, des chaussettes, et un couteau, sans qu’aucun lien ne soit fait avec la disparition de la jeune femme.

    Cet après-midi, le procureur d’Albi a fait savoir qu’une enquête a été ouverte pour « enlèvement et séquestration », sans que l’on sache si cela a à voir avec les objets retrouvés.

    « Rien n’indique » que cette disparition « a pu être volontaire » et « ces faits se poursuivant depuis plus de sept jours accomplis revêtent désormais une qualification de nature criminelle », l’enquête est confiée à deux magistrats toulousains « au vu de l’importance et de la complexité de l’affaire », a précisé Dominique Alzeari dans un communiqué.

    Ouest-France

    J'avais lu dans un autre article que ses deux chiens étaient rentrés seuls à la maison.

    J'ai lu aussi que le couple ne s'entendait plus très bien.

    Etonnant que le mari ait attendu la fin de la nuit pour annoncer sa disparition !


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  • Bretagne : Les images d’un 4x4 embourbé dans un champ agitent les réseaux sociaux

    L’agricultrice exploitant les terres a porté plainte à la gendarmerie

    Des courbes marron au milieu d’un vert émeraude. L’image serait presque belle, d’un point de vue esthétique, si elle ne montrait pas le saccage du travail d’agriculteurs. A Plouay, dans le Morbihan, un 4x4 s’est embourbé dans un champ, provoquant la colère des exploitants. Sur Twitter, l’agricultrice propriétaire des terres a fait part de sa colère en diffusant les images du véhicule immobilisé au milieu du champ. Elle a annoncé avoir porté plainte.

    D’après l’exploitante, les gendarmes se sont rendus sur place pour effectuer les premières constatations. Ils n’ont eu aucun mal à retrouver l’auteur de ce carnage, le véhicule étant bloqué au milieu du champ depuis plusieurs jours. « Enlever le véhicule va endommager encore plus la parcelle. Les ornières peuvent être dangereuses lors des interventions, suivant le matériel utilisé », explique la jeune femme aux nombreux internautes qui la questionnent.

    L’automobiliste demande que son véhicule soit dégagé

    L’agricultrice bretonne explique également que l’automobiliste imprudent a pris contact avec eux, exigeant que son véhicule soit enlevé car « il en avait besoin pour aller à la chasse ». Les exploitants ont refusé et le 4x4 Volvo est toujours planté au milieu du champ. On ignore pour combien de temps.

    Sur le ton de l’humour, l’agricultrice s’interroge sur sa parcelle, qu’elle suspecte d’être « maudite ». « Au printemps on a eu une attaque sévère de corbeaux et pour couronner le tout on s’est fait voler le canon effaroucheur et la bouteille de gaz », explique-t-elle sur Twitter, avant de rappeler que les dégradations du travail des agriculteurs sont quotidiennes.

    20 Minutes

    Qu'allait faire cet abruti dans ce champ ?


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  • Une mère a été mise en examen et déférée devant la justice, samedi 19 décembre, elle aurait poignardé son enfant de 10 ans, à Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle), dans la nuit de samedi 5 et dimanche 6 décembre. Elle a été placée en détention provisoire.

    Une mère de famille a été placée en détention provisoire car elle aurait poignardé son fils âgé de dix ans, à Villers-lès-Nancy (Meurthe-et-Moselle), dans la nuit de samedi 5 à dimanche 6 décembre, rapporte Lorraine Actu. Celle-ci aurait également tué le chat appartenant à la famille, en plus d’avoir tenté de droguer son mari. Elle a été déférée devant la justice, samedi 19 décembre.

    La femme a été mise en examen pour de nombreux chefs d’accusation : tentative de meurtre sur mineur de moins de 15 ans, administration de substance nuisible avec incapacité temporaire de travail (ITT) à de moins de huit jours par conjoint, et atteinte volontaire à la vie d’un animal domestique, apprivoisé ou en captivité, rapporte le quotidien régional.

    Elle aurait blessé son fils au thorax et au cou

    Avant d’être placée en détention provisoire, la mère avait été hospitalisée sous contrainte. La nuit des faits, son mari l’aurait retrouvée près de son enfant, un couteau de cuisine à la main. Le mineur présentait deux plaies au niveau du thorax et du cou, mais ses jours ne sont pas en danger, précise le quotidien régional.

    La femme aurait également tenté d’introduire « une pipette dans la bouche » de son conjoint, contenant ce qui aurait été un « décontractant pour mettre fin aux ronflements », selon elle. Le chat aurait quant à lui été empoisonné.

    Ouest-France


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