• Lutte contre la faim dans le monde : un Chinois pour la première fois à la tête de la FAO

    © VINCENZO PINTO Le nouveau directeur du FAO Qu Dongyu après son élection le 23 juin 2019 à Rome. 

    Qu Dongyu, biologiste et vice-ministre de l’Agriculture en Chine, âgé de 55 ans, a été élu dès le premier tour de scrutin. C'est la première fois qu'un Chinois dirige cette instance.

    Un Chinois a été élu dimanche à Rome, et pour la première fois, à la tête de l’Agence des Nations unies qui lutte contre la faim dans le monde, la FAO (Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture), concrétisant à la fois l’appétit chinois pour les sujets alimentaires et pour les postes à responsabilité au sein des instances internationales. Qu Dongyu, biologiste et vice-ministre de l’Agriculture en Chine, âgé de 55 ans, a été élu dès le premier tour de scrutin, avec 108 voix, face à la candidate de la France et de l’Union européenne, Catherine Geslain-Lanéelle, qui a obtenu 71 votes, et le candidat géorgien, Davit Kirvalidze qui a en a reçu douze.

    «C’est une date historique, un nouveau tremplin» pour l’agriculture et l’alimentation dans le monde, a immédiatement réagi le nouvel élu, qui a promis de «tout faire pour être impartial et neutre». Il a aussi promis d’être «dans le concret» pour lutter contre la faim et la pauvreté dans le monde tout en soulignant qu’il fallait «réformer» et «transformer» l’agence onusienne pour en «faire une FAO nouvelle, plus jeune et plus dynamique».

    Le nouveau dirigeant chinois de l’institution multilatérale, dont le mandat s’étalera sur quatre ans, du 1er août 2019 au 31 juillet 2023, succède au Brésilien José Graziano da Silva, qui a exercé deux mandats.

    Secteur privé

    Dans son discours samedi, Qu Dongyu a proposé d’associer davantage le secteur privé aux décisions et d’attirer plus de moyens financiers venant du privé pour développer les secteurs agroalimentaires, notamment ceux des pays en développement. Il a évoqué aussi bien des coordinations possibles avec le géant chinois de la distribution Ali Baba - qu’il a cité deux fois dans son discours - qu’avec la fondation américaine Bill and Melinda Gates, très impliquée dans la recherche agronomique en Afrique notamment.

    Après 70 ans de politiques agricoles plutôt productivistes, la FAO, instance de débat et de pilotage des politiques alimentaires mondiales où siègent des représentants des gouvernements mais où sont aussi très présents des scientifiques et des agronomes, est agitée par des débats intenses sous le double effet du réchauffement climatique et de la hausse du nombre de personnes souffrant de faim dans le monde depuis 2015, alors que la population mondiale s’accroît.

    L’alimentation, une priorité chinoise

    Sous la houlette de José Graziano da Silva, la FAO a amorcé un virage en faveur de méthodes agroécologiques. Faire appel à la nature pour à la fois combattre les effets du réchauffement climatique et augmenter les rendements agricoles, tout en limitant les pesticides de synthèse qui font vivre les géants de l’agrochimie.

    «La Chine attache traditionnellement une grande importance aux questions économiques et sociales et aux affaires de développement à l’ONU. Mais l’alimentation est une de ses priorités. Dans ce contexte, alors que l’autre grande organisation du secteur – le Programme alimentaire mondial (PAM) – est de facto une chasse gardée américaine, la FAO est attractive pour la Chine», a jugé Manuel Lafont Rapnouil, analyste au Conseil européen des relations internationales (ECFR), dans une déclaration à l’AFP avant le vote.

    Une présence grandissante

    «La Chine est aussi très soucieuse d’augmenter la présence de ses ressortissants dans les rangs des Nations Unies, notamment dans les plus hauts postes», a ajouté l’analyste. «Elle est notamment très active lors des élections pour la direction des agences, fonds et programmes.» Aujourd’hui, des Chinois se trouvent à la tête de l’OACI (aviation civile internationale), de l’ONUDI (organisation des Nations unies pour le développement industriel) et de l’UIT (Organisation internationale des télécommunications). Un Chinois, nommé par le secrétaire général des Nations Unies Antonio Guterres, dirige par ailleurs le département des Affaires économiques et sociales de l’ONU, a-t-il ajouté.

    La Chine avait également placé un de ses ressortissants, Meng Honwei, à la tête d’Interpol, avant que ce dernier ne disparaisse en septembre dernier lors d’un voyage en Chine où il a été accusé de corruption et a plaidé coupable lors de son procès !

    Libération

    Qu'il fasse arrêter le festival de Yulin où l'on massacre et mange les chiens


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  • Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants

    Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants

    Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants

    Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants

    Yulin : la viande de chien, son festival, ses opposants

    Le «festival de la viande de chien» débutera le 21 juin à Yulin, en Chine. Des militants de l’association de défense animale DxE partent enquêter sur cette tradition décriée en Occident.

    Bien qu’invérifiables, les chiffres qui circulent donnent une idée de l’ampleur de cet «événement» : 10 000 chiens et 4 000 chats seraient mangés durant le festival de Yulin (province de Guangxi, dans le sud de la Chine). La plupart d’entre eux seraient des animaux errants ramassés dans les rues. Les images qui témoignent de leur traitement durant leur transport, leur vente puis leur mise à mort sont difficilement soutenables : entassés dans des cages de fortune, transbahutés dans les pires conditions, exhibés au bout d’un collet, ils sont ébouillantés vivants ou tués à coups de bâtons. Autant dire qu’il faut avoir le cœur bien accroché pour assister à de pareilles scènes.

    Témoignages, vidéos et reportages

    Mais il en faudrait davantage pour décourager William Burkhardt, un militant animaliste de 30 ans qui prépare déjà ses bagages. «Le festival qui se tiendra du 21 au 29 juin à Yulin est sans doute le plus connu mais ailleurs en Chine, lors d’autres festivals ou sur des marchés locaux, des chiens sont également vendus et mangés, raconte-t-il. Je vais donc partir pour filmer ces marchés ainsi que les abattoirs de chiens et de chats… si j’y parviens.»

    William Burkhardt et sa compagne Léa ont créé en octobre 2018 la branche française de l’association américaine Direct Action Everywhere (DxE). Depuis, avec une poignée de militants, ils enquêtent dans les élevages, enchaînant témoignages, vidéos et reportages. Lors de leur séjour en Chine, ils comptent s’appuyer sur l’aide logistique de particuliers et d’associations opposés à la consommation de viande de chats et de chiens. «Certains ont même créé des sanctuaires pour les animaux qu’ils ont pu sauver», raconte William Burkhardt, qui souhaite lui-même ramener un chien. Un sauvetage symbolique qui vise selon lui à «éveiller les consciences ici, en France, afin que les gens fassent le parallèle entre cet animal, qui attire la compassion, et les millions d’animaux tués dans nos abattoirs».

    «Pas de politique vétérinaire»

    La consommation de chats et de chiens ne s’étend toutefois pas à l’ensemble de la Chine. «On estime que 10 millions d’animaux sont consommés chaque année, notamment dans le sud. La majorité de la population n’en mange pas, affirme Michèle Jung, responsable de la branche française de l’association Animals Asia, basée à Hongkong. Parmi les nombreux festivals qui célèbrent cette tradition, celui de Yulin a été créé en 2009 par des commerçants locaux pour attirer des touristes asiatiques, poursuit-elle. Mais le vrai problème, c’est qu’il n’y a pas de politique vétérinaire en Chine, ni d’identification des animaux, ni de stérilisations. Nous travaillons donc avec des députés chinois pour que la question animale soit prise en compte dans sa globalité.»

    De nombreuses pétitions circulent sur Internet afin de mettre un terme au festival de Yulin. Le 29 mai, l’association Stéphane Lamart organisait un rassemblement devant l’ambassade de Chine, à Paris, après avoir réuni plus de 175 000 signatures.

    Libération

    Quelle bande de sauvages ces chintocs !!! A vomir !


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  • Le "Jack l'éventreur chinois" a été exécuté

    Il était surnommé "Jack l'éventreur chinois". L'auteur des meurtres atroces de 11 femmes et fillettes en Chine, tuées en l'espace de 14 ans, a été exécuté jeudi matin, a annoncé la justice chinoise. Le tribunal de la ville de Baiyin (province du Gansu, Nord-Ouest), qui avait condamné à mort Gao Chengyong en mars dernier, a annoncé l'exécution sur le réseau social Weibo. La Cour suprême chinoise a approuvé l'exécution, a précisé le tribunal.

     

    L'homme, âgé de 54 ans, avait avoué ces crimes, commis entre 1988 et 2002 dans le Gansu et la région autonome de Mongolie intérieure (Nord). Il a été condamné pour homicides volontaires, viols et atteintes à l'intégrité des cadavres. M. Gao s'en prenait à des jeunes femmes souvent vêtues de rouge, les suivant jusque chez elles pour les violer et les tuer, souvent en les égorgeant. Sa plus jeune victime avait huit ans. Le tueur avait mutilé plusieurs femmes. Il leur avait ôté des parties du corps, dont l'appareil génital de certaines d'entre elles, avait précisé le Quotidien de la jeunesse de Pékin en 2016, lors de son arrestation.

    "Les motivations de l'accusé étaient ignobles"

    Ce mode opératoire lui avait valu le surnom de "Jack l'éventreur chinois" dans plusieurs médias du pays, en référence au meurtrier de prostituées dans l'est de Londres à la fin du XIXe siècle. "Les motivations de l'accusé étaient ignobles, ses méthodes extrêmement cruelles, la nature de ses actes abominable", avait souligné le tribunal lors de sa condamnation. L'enquête policière avait piétiné pendant des années.

    Le meurtrier "a une perversion sexuelle et hait les femmes", avait déclaré la police en 2004, lorsqu'elle avait pour la première fois établi le lien entre les différents meurtres, offrant une récompense de 200.000 yuans (27.000 euros) pour toute information. Gao Chengyong avait été identifié par hasard, après qu'un membre de sa famille, arrêté pour un délit mineur, eut vu son ADN prélevé par la police. Les enquêteurs avaient alors noté des similitudes avec l'ADN du tueur recherché depuis 28 ans, et ordonné des tests pour des hommes de la famille.

    PARIS MATCH 03 01 2019


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  • Hong Kong : deux blessés graves dans des violences sans précédent

    Au moins 79 personnes ont été blessées, dont deux grièvement, dans des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre mercredi à Hong Kong.

    Hong Kong a été ébranlé mercredi par les pires violences politiques depuis sa rétrocession à la Chine. Au moins 79 personnes ont été blessées, dont deux grièvement, indique CNN ce jeudi matin, citant une source officielle hongkongaise.

    Des dizaines de milliers de Hongkongais vêtus de noir, pour la plupart des jeunes gens, étaient à nouveau descendus dans la rue pour dénoncer un projet de loi gouvernemental visant à autoriser les extraditions vers la Chine continentale.

     

    Les affrontements ont éclaté près du Conseil législatif (LegCo, Parlement) où le texte aurait dû être débattu en deuxième lecture. Tandis que la foule enflait, l'assemblée dominée par les députés pro-Pékin a annoncé le report des débats à une "date ultérieure".

    Gaz poivre et billes en plomb

    Les policiers, qui étaient environ 5000 d'après CNN, ont repoussé les contestataires qui tentaient d'entrer dans le LegCo à coups de matraque et avec du gaz poivre, pour finir par tirer des balles en caoutchouc et à recourir à du gaz lacrymogène. Elle a également fait usage de "projectiles en sachet", des sacs remplis de billes en plomb. Les manifestants n'ont pas été en reste, jetant barres de métal, bouteilles ou encore pavés.

    La cheffe de l'exécutif local, Carrie Lam, qui exclut de retirer le texte controversé, a dénoncé des "émeutes organisées". "Les émeutes qui touchent une société pacifique en ignorant la loi et la discipline sont inacceptables pour toute société civilisée", a-t-elle réagi dans une vidéo.

    L'Union européenne a quant à elle appelé au "respect" des droits des protestataires, tout en soulignant "partager plusieurs" de leurs inquiétudes.

    Un million de personnes dans les rues dimanche

    L'ex-colonie britannique aux sept millions d'habitants avait déjà été le théâtre dimanche de la plus importante manifestation jamais organisée depuis 1997, celle-ci ayant réuni selon les organisateurs un million de personnes.

    Nombre de Hongkongais redoutent une justice chinoise opaque et politisée et pensent que cette réforme nuira à l'image internationale et à l'attractivité du territoire. En vertu de l'accord de rétrocession, Hong Kong jouit d'une semi-autonomie et de libertés n'existant pas en Chine continentale et ce, en théorie, jusqu'en 2047. 

    La ville est cependant depuis une dizaine d'années le théâtre de soubresauts en raison de l'inquiétude générée par l'ingérence grandissante de Pékin. 

    Le projet doit permettre les extraditions vers toutes les juridictions avec lesquelles aucun accord bilatéral n'existe, y compris en Chine continentale. Un vote final sur le texte était attendu pour le 20 juin, mais les autorités n'ont pas annoncé de date pour la reprise des débats.

    L'Express


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  • Depuis 6 ans, il porte son meilleur ami pour l'emmener à l'école

    Un jeune Chinois porte son meilleur ami handicapé pour l'emmener à l'école tous les jours, depuis près de 6 ans.

     

     

    C'est ce qui s'appelle un bel exemple de solidarité. Un écolier chinois, aujourd'hui âgé de 12 ans, porte son meilleur ami handicapé sur son dos depuis six ans, pour l'emmener à l'école. Une belle histoire dévoilée par le site Sichuan Online. 

    Xu Bingyang aide également son camarade à se déplacer de salle de cours en salle de cours, mais aussi jusqu'à la cantine, où il l'aide pour le repas. Le jeune garçon s'est déclaré content d'être "le bâton de marche" de son ami Zhang Ze. Ce jeune garçon souffre de myasthénie, une maladie musculaire rare, diagnostiquée à l'âge de 4 ans, qui lui fait perdre l'usage de ses jambes. 

    Une vocation naissante ?

    "Je pèse plus de 40 kg et Zhang Ze ne pèse que 25 kg environ. Dons je peux le porter", a assuré Xu Bingyang au Sichuan Online, dont les propos ont été repris par Closer. "Je suis plus grand que lui. Je pensais que si je ne l'aidais pas, personne d'autre ne le ferait ", a-t-il confié. 

    D'ailleurs, Xu Bingyan pourrait bien avoir trouvé sa vocation en aidant son meilleur ami. Il souhaite, à l'avenir, devenir bénévole pour des associations.  

    Oh My Mag


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  • La Chine finalise sa commande très attendue de 300 Airbus à Paris

    L'accord commercial, signé à l'occasion de la visite du président chinois Xi Jinping en France, est finalement nettement plus important que ce qu'avait annoncé Emmanuel Macron il y a plus d'un an.

    Un total de 290 Airbus A320 et 10 A350: le contrat signé lundi entre la centrale étatique chinoise CASC et l'avionneur européen concrétise une commande attendue depuis des années, et particulièrement bienvenue à l'heure où le grand rival Boeing connaît des difficultés.

    Une transaction à 30 milliards d'euros

    Lors d'un déplacement en Chine, en janvier 2018, le chef de l'Etat français avait assuré que la deuxième économie mondiale se préparait à commander 184 moyen-courriers de la famille des A320, destinés à 13 compagnies chinoises, avec une finalisation à attendre "sous peu". Aucun montant n'a été dévoilé mais au prix catalogue 2018, la transaction représente 35 milliards de dollars, soit environ 30 milliards d'euros.

    Si elle a tardé à se confirmer, cette commande de la China Aviation Supplies Holding Company (CASC), qui acquiert les appareils pour le compte de compagnies chinoises, dépasse donc les espérances. "La conclusion d'un grand contrat pour Airbus est une avancée importante et un excellent signal de la force des échanges" entre la Chine et la France, a commenté le président Emmanuel Macron, saluant "un partenariat exemplaire aussi en matière de rééquilibrage de nos échanges économiques et commerciaux", lors de la signature du contrat, au cours d'une cérémonie à l'Elysée.

    L'accord a été paraphé par Guillaume Faury, le président d'Airbus Commercial Aircraft et futur patron d'Airbus, et Jia Baojun, président de CASC.

     

    Confiance "renouvelée aujourd'hui"

    "C'est un contrat d'une dimension très importante. C'est un signe fort de confiance sur le long terme de la part de nos partenaires chinois", a déclaré M. Faury après la signature, se félicitant de "la confiance qui est renouvelée aujourd'hui". "Ces appareils vont être construits, soit en Europe soit en Chine, dans la chaîne d'assemblage de Tianjin. Ce seront très majoritairement des appareils de la famille Neo" (moins gourmande en carburant), a-t-il précisé.

    La commande survient au moment où Boeing, le grand rival américain d'Airbus, traverse une passe difficile avec l'immobilisation de son moyen-courrier 737 MAX après deux accidents ayant fait 189 (compagnie Lion Air) et 157 morts (Ethiopian Airlines), en l'espace de quelques mois seulement.

    Pékin qui avait fait partie des premiers pays à clouer au sol les appareils, envisagerait d'exclure les commandes de Boeing 737 Max d'un éventuel accord avec Washington, selon Bloomberg News.

    Les 737 MAX faisaient en effet partie d'une liste provisoire des produits que Pékin pourrait importer davantage afin de réduire son excédent commercial avec les Etats-Unis, selon des sources proches du dossier citées par l'agence financière.

     

    Deuxième marché mondial

    Boeing et Airbus se disputent âprement le marché aéronautique chinois, deuxième mondial et qui devrait devenir vers le milieu des années 2020 le premier devant les Etats-Unis, selon l'Association internationale du transport aérien (IATA).

    Boeing a ouvert l'an dernier en Chine un centre de finition destiné à l'aménagement de ses moyen-courriers. Le premier appareil sorti de cette structure, en décembre, était un 737 MAX.

    Et sur les 350 exemplaires du 737 MAX livrés avant fin janvier par le constructeur américain, environ 20% ont été livrés à des compagnies aériennes chinoises.

    Fin janvier 2019, la flotte Airbus en service auprès des opérateurs chinois comptait quelque 1.730 appareils, dont 1.455 moyen-courriers de la famille A320 et 17 long-courriers de la famille A350 XWB, le dernier-né de la gamme Airbus.

    Selon l'avionneur, la Chine aura besoin de 7.400 avions passagers et cargos neufs au cours des 20 prochaines années, ce qui représente plus de 19% de la demande mondiale.

    Challenges

    Nous voilà cul et chemise avec les chinetoques, les droits de l'homme, on s'en tape, les droits des animaux, on s'en tape encore plus !

    Ils pourront continuer à bouffer du chien et du chat, à faire massacrer les éléphants pour faire des petites statuettes avec leurs défenses !

    Sans parler de leurs achats en France, aéroport, vignobles, etc.


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  • La Chine enquête sur une possible contamination de produits sanguins au HIV

    L'affaire ne risque pas d'améliorer la confiance de la population, ébranlée par une série de scandales alimentaires et sanitaires ces dernières années. Les autorités chinoises ont annoncé mercredi avoir lancé une enquête après avoir reçu un rapport sur la présence de l'anticorps du VIH dans un lot d'immunoglobuline pour injection par intraveineuse produit par une entreprise de Shanghai. Ce traitement constitué à partir de plasma sanguin humain, est notamment destiné à renforcer les défenses immunitaires.

    L'Administration nationale des produits médicamenteux a indiqué jeudi que les tests réalisés à Shanghai n'avaient pas révélé de présence du virus (qui peut causer le SIDA). Elle a toutefois demandé aux institutions médicales de ne plus utiliser les produits du lot suspect, qui feront l'objet de recherches complémentaires. Il a été ordonné parallèlement au laboratoire pharmaceutique en cause, China Meheco Xinxing Pharma, une filiale d'un groupe étatique, d'arrêter la production et de procéder à un rappel d'urgence.

    Les autorités avaient estimé que le risque d'infection était «très faible». Le lot visé par l'enquête contient 12 226 doses, arrivant à expiration en 2021, selon les médias chinois. Le nombre de personnes ayant reçu une injection provenant de cette série n'a pas été précisé. 

    Des scandales sanitaires en série

    Malgré les promesses du gouvernement de resserrer les contrôles sanitaires, le pays a été régulièrement secoué ces dernières années par des scandales qui suscitent l'inquiétude et la colère de la population. Le mois dernier, le public apprenait avec indignation que plus de cent enfants s'étaient vus administrer des vaccins périmés contre la polio, dans la province du Jiangsu. Des centaines de parents s'étaient réunis pour protester contre le gouvernement de leur comté.

    Quelques mois auparavant, en juillet, les autorités sanitaires avaient découvert un processus de fabrication de vaccins contre la rage défectueux dans le laboratoire Changsheng Biotechnology. L'entreprise avait fabriqué de faux dossiers de production et modifié arbitrairement des paramètres de fabrication. L'affaire avait provoqué un immense tollé dans le pays, les internautes fustigeant le manque de fiabilité de l'industrie pharmaceutique nationale. Le président Xi Jinping avait même été contraint de monter au créneau, en dénonçant les pratiques «odieuses et choquantes» de la société incriminée. Ce laboratoire a écopé d'une amende colossale de plus d'un milliard d'euros. Et plusieurs responsables politiques et d'organismes de contrôle des médicaments ont été démis de leurs fonctions.

    La dernière affaire en date a également suscité de nombreuses réactions sur Internet. «Qu'est-ce qu'il se passe avec notre gouvernement? Il ne contrôle pas bien la production de lait en poudre infantile, ni celle des vaccins, pas plus que celle des produits sanguins», s'indigne le docteur Yang Quing sur Weibo, le Twitter chinois, où il est suivi par des centaines de milliers de personnes. Et d'enfoncer le clou: «l'incident précédent a été imputé à une entreprise privée, mais cette fois, c'est lié à une entreprise d'État!»

    Le Figaro.fr


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  • Il manque 80 millions de femmes en Chine et en Inde, estime Human Rights Watch

    Avortement sélectif, préférence coutumière pour le fils: les hommes sont surreprésentés dans les deux pays les plus peuplés. L'organisation dénonce les méthodes extrêmes employées pour se procurer une épouse.

    Dans le meilleur des mondes, il y aurait autant de femmes que d’hommes sur Terre. Ou plus exactement 105 garçons pour 100 filles, d’après la moyenne mesurée en 2012 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS). La légère différence entre les deux tenant au fait que les individus féminins vivent plus longtemps que ceux du sexe opposé. En l’absence de manipulation, ce ratio est remarquablement constant à l’échelle de la planète. Mais depuis une trentaine d’années, certaines régions du monde – principalement en Asie et au nord de l’Afrique – présentent un sérieux déséquilibre, notamment dû aux coutumes de la «préférence pour le fils». C’est l’un des points soulevés par la chercheuse en droit des femmes Heather Barr dans un essai publié en marge du rapport 2019 de l’association Human Rights Watch: il y a en Chine et en Inde un déficit de 80 millions de femmes.  

    En Chine, la politique de l’enfant unique, en vigueur de 1979 à 2015, a longtemps encouragé à recourir à l’avortement sélectif. Pour certaines familles, quitte à n’avoir qu’un(e) descendant(e), autant que ce soit un garçon, davantage susceptible de travailler et de soutenir financièrement ses parents. Conséquence: le rapport de masculinité a depuis été chamboulé, il culmine désormais jusqu’à 120 hommes pour 100 femmes dans certaines régions. Même constat en Inde, avec un déséquilibre particulièrement marqué dans les zones rurales où la naissance d’une fille est synonyme de charge économique et de dot à débourser.

    Avortements sélectifs

    Pour s’assurer de donner naissance à un fils, des familles indiennes n’hésitent pas à recourir à des interruptions de grossesse, après avoir été informées du sexe du fœtus. Le plus souvent grâce à des machines à échographie par ultrason bon marché importées depuis… la Chine. Le Premier ministre indien, Narendra Modi, s’était saisi du sujet en 2015, en lançant une campagne de sensibilisation, notamment via le hashtag #SelfieWithDaughter, qui encourageait les photos de pères indiens posant avec leur fille.

    A eux seuls, les deux pays les plus peuplés du monde comptent ainsi un trop-plein d’hommes, avec pour corollaire une «pénurie de femmes mariées», explique Heather Barr. Derrière ces termes un peu barbares se cache une amère réalité, celle des atroces méthodes auxquelles recourent certains hommes pour parvenir à conclure un mariage (forcé) et assurer leur descendance. Dans les Etats en conflit du Kachin et du Shan, au nord de la Birmanie, par exemple, des trafiquants attirent parfois les jeunes femmes en leur faisant miroiter une vie fantasmée en Chine, où elles seront finalement rachetées entre 3 000 et 13 000 dollars (selon l’âge et l’apparence) par des familles en quête d’une épouse pour leur fils.

     

    «Une fois achetées, ces femmes et filles sont généralement enfermées dans une pièce et violées de manière répétée, afin de les mettre enceinte rapidement pour qu’elles puissent donner un bébé à la famille. Après avoir accouché, certaines sont autorisées à repartir, mais contraintes de laisser leurs enfants derrière elles», dénonce Heather Barr, qui s’appuie sur les investigations d’Human Rights Watch. Si l’avortement sélectif est en principe interdit en Inde et en Chine, il est difficilement détectable et encore fréquemment pratiqué, empêchant la résorption du déséquilibre hommes-femmes. Ces deux pays, «et d’autres touchés, doivent agir de toute urgence pour atténuer les effets du déclin du nombre de femmes, et examiner attentivement les conséquences de cette pénurie, y compris en relation avec la traite et les violences à l’égard des femmes», écrit-elle. 

    Libération


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  • En Chine, un pont de verre donne l'illusion de se fissurer sous les pieds des touristes  


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  • Qui n'a pas mangé récemment dans un restaurant chinois ? En France, ils sont de plus en plus nombreux. Rapides et pas chers, ils attirent chaque jour des milliers de clients. Mais sait-on vraiment ce qu'on y mange ? Connaît-on la provenance des produits et les conditions d'hygiène dans lesquelles ils sont préparés ? Une équipe d'Envoyé Spécial à Paris, pour connaître la vérité sur les arrières cuisines des restaurants

     

    Aux idiots de français qui aiment manger chinois, bon appétit !!!


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  • Il avait congelé sa femme: un Chinois condamné à mort

    Un Chinois a été condamné à mort jeudi par un tribunal de Shanghai (est) pour avoir tué sa femme et avoir conservé le cadavre dans un congélateur pendant trois mois. Zhu Xiaodong, 31 ans, a été reconnu coupable d'avoir étranglé son épouse en 2016 après une dispute, a indiqué le tribunal.

    L'homme avait enveloppé le corps de la victime dans une couverture et l'avait placé dans un congélateur sur le balcon de leur domicile, ont indiqué des médias chinois. Durant les trois mois suivants, M. Zhu avait utilisé l'argent de sa défunte épouse pour se payer des voyages et des chambres d'hôtels avec une autre femme. "Il a dépensé sans retenue et n'a montré aucun signe de remords", a souligné le tribunal pour appuyer sa décision.

    Afin de dissimuler la mort de son épouse, l'homme se faisait passer pour elle sur les réseaux sociaux. Mais il s'est finalement rendu aux autorités, juste avant la fête d'anniversaire de son beau-père, où sa femme était attendue.

    L'affaire avait sidéré le grand public à Shanghai. Et les parents de la victime avaient publiquement appelé à condamner le mari à la peine de mort.

    Paris Match


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  • Les erreurs d'un labo chinois pourraient provoquer des cas de cancer en Europe

    Le problème vient d'une molécule, le valsartan, principe actif de médicaments pour patients en cardiologie.

    Les impuretés contenues dans une molécule fabriquée en Chine pour l'industrie pharmaceutique, le valsartan, vont provoquer des cas de cancer en Europe, a prévenu ce jeudi 2 août l'Agence européenne des médicaments (EMA).

    Le problème vient du valsartan, principe actif de médicaments pour patients en cardiologie (insuffisance cardiaque, hypertension artérielle, infarctus cardiaque récent).

    Le 18 juillet, le laboratoire chinois Huahai avait rappelé dans le monde entier cette molécule, en raison de la présence de N-nitrosodiméthylamine (NDMA), une substance classée comme probablement cancérogène pour l'homme en cas d'utilisation prolongée.

    "À l'issue d'une évaluation préliminaire, l'EMA estime qu'il pourrait y avoir un cas supplémentaire de cancer sur 5.000 patients prenant les médicaments touchés à la plus haute dose de valsartan (320 mg) chaque jour pendant sept ans", a écrit l'agence européenne dans un communiqué.

    "Pas de risque immédiat pour les patients" !

    L'EMA a indiqué ne pas savoir combien de patients cela concernerait, car elle attend des analyses qui permettront de déterminer la concentration de NDMA dans les médicaments en question.

    Pour le moment, elle a dit se fonder "sur les niveaux moyens de cette impureté détectés dans la substance active par Zhejiang Huahai Pharmaceuticals (60 parties par million)" et sur "des études sur des animaux".

    Par ailleurs, la molécule ayant été retirée du marché, l'EMA a insisté pour que les patients continuent leur traitement.

    "Il est important de noter qu'il n'y a pas de risque immédiat pour les patients. Ceux qui prennent les médicaments touchés et ne sont pas encore passés à un autre ne doivent pas cesser de prendre leur traitement sans consulter leur médecin ou pharmacien", a-t-elle souligné.

    Les autorités européennes pensent que l'impureté "s'est introduite comme produit secondaire après des changements effectués par Zhejiang Huahai dans son processus industriel en 2012", a expliqué l'EMA.

    L'OBS

    Pas de risque immédiat, ben alors, si le cancer arrive plus tard, ce n'est pas grave, sales chinois !


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  • Chine: Pékin va fermer un millier d'usines d'ici à 2020

    Dans le cadre d'un plan de restructuration économique et environnemental, la capitale chinoise prévoit de délocaliser toute son industrie lourde vers une nouvelle zone de développement économique, a annoncé mardi dernier l'organe de presse officiel du Comité central du Parti communiste.

    La ville de Pékin entend fermer environ un millier d'usines d'ici à 2020 pour lutter contre la pollution et favoriser le développement économique d'autres régions, rapportait mardi Le Quotidien du peuple. La capitale va privilégier les industries high-tech et fermer les usines «ordinaires», précise l'organe de presse officiel du Comité central du Parti communiste chinois, en citant un document d'orientation des autorités municipales.

    Pékin a déjà rejeté les dossiers de 19.500 entreprises qui voulaient ouvrir une usine et en a fermé ou déplacé 2465 autres, ajoute-t-il. Le gouvernement chinois a adopté en 2014 un plan visant à améliorer la coordination entre les différentes autorités locales des régions de Pékin, Tianjin et Hebei. Il veut délocaliser toute l'industrie lourde de la capitale vers la nouvelle zone de développement économique de Xiongan dans la province de Hebei. La volonté du président Xi Jinping est de faire de la capitale une ville de «classe mondiale, harmonieuse et où il fait bon vivre». Même si pour cela il faut raser des quartiers entiers et pousser des dizaines de milliers de travailleurs à trouver un nouveau toit, rapportait en février Le Figaro dans un reportage.

     

    La pollution, enjeu fondamental

    Pékin, qui compte 22 millions d'habitants, s'efforce depuis plusieurs années de juguler sa croissance démographique et de réduire son très fort niveau de pollution. Cette dernière avait constitué un véritable enjeu lors de l'organisation des Jeux olympiques en 2008.

     

    Cette année, 500 entreprises manufacturières seront fermées dans la capitale, ainsi que 176 marchés et centres logistiques, avait annoncé en janvier Liu Bozheng, le directeur adjoint du bureau de Pékin chargé de superviser l'intégration de la région Pékin-Tianjin-Hebei. Plusieurs universités et hôpitaux seront aussi transférés dans des zones périurbaines, avait-il alors précisé, selon des propos rapportés par l'agence de presse Chine nouvelle.

    Le Figaro

    Et en plus de bouffer du chien, d'enfermer les ours pour prendre leur bile, de faire tuer les éléphants et les rhinocéros, ils sont communistes !

    Qu'attendent les océans pour envahir ce continent !!!


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  • Chine: un géant pharmaceutique accusé d'avoir mis en vente de faux vaccins

    Un nouveau scandale sanitaire effraie des millions de parents en Chine : des faux vaccins ont été administrés à des bébés de moins de trois mois. En 2016 déjà, des vaccins périmés ou stockés dans de mauvaises conditions avaient fait grand bruit dans le pays.

     

    Le Premier ministre Li Keqiang exige des punitions sévères. Mais le mal est fait, les parents inquiets sont vent debout contre des autorités sanitaires jugées trop laxistes. « Je ne vais plus choisir des vaccins chinois pour mon bébé », s’insurge une maman sur les réseaux sociaux.

    Au cœur de la tempête : l’entreprise « Changsheng ». Dans un premier temps, une inspection a révélé que le géant pharmaceutique avait falsifié des données pour son vaccin contre la rage. La production a depuis été stoppée, les vaccins ont été retirés du marché, assurent les autorités.

    250 000 vaccins de mauvaise qualité

    Mais ce week-end, un deuxième scandale éclate et force la compagnie de suspendre son action en Bourse, après avoir perdu 40 % de sa valeur. « Changsheng Biotechnologie » aurait vendu plus de 250 000 vaccins de mauvaise qualité contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite.

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    L’entreprise « Changsheng », ce qui veut dire « longue vie » en chinois, s’est confondue en excuses et dit avoir appris sa leçon. La censure se charge du reste et tente actuellement tant bien que mal d’étouffer le débat sur la toile : la plupart des commentaires ont déjà été effacés.

    RFI - Avec notre correspondante à PékinHeike Schmidt

    Cela ne me surprend pas de la part de chinois !


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  • Une Chinoise de 21 ans décède mordue par un serpent acheté en ligne

    Une Chinoise est décédée après avoir été mordue par un serpent qu'elle avait commandé sur un site de vente en ligne pour produire de l'alcool de serpent, une liqueur traditionnelle en Chine aux prétendues vertus curatives, a rapporté l'agence Chine nouvelle.

    Cette femme de 21 ans de la province du Shaanxi(centre) est décédée le 17 juillet, huit jours après avoir été mordue par un bongare rayé, une espèce très venimeuse, a précisé l'agence officielle.

    Elle avait acheté le serpent sur la plateforme en ligne Zhuanzhuan à un vendeur localisé dans la province méridionale du Guangdong, où le reptile est très répandu.

    Le serpent avait été pris en charge par une société de livraison, qui a déclaré à Chine nouvelle ignorer ce que contenait le colis. La femme, non identifiée par l'agence de presse, avait prévu de produire du vin médicinal traditionnel, selon sa mère.

     

    Le reptile retrouvé près de la maison de sa victime

    Le vin de serpent est généralement produit en laissant macérer des serpents entiers, de préférence venimeux, dans des bonbonnes d'alcool, la liqueur ainsi produite étant réputée avoir un effet revitalisant. Selon la presse, le reptile serait parvenu à s'échapper après avoir mordu, mais des gardes forestiers ont rapporté par la suite qu'il a été retrouvé près de la maison de sa victime.

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    Le commerce d'animaux sauvages est en principe prohibé sur les plateformes de vente en ligne. Le commerce électronique a explosé en Chine, mené par des acteurs incontournables comme la plateforme Taobao d'Alibaba qui gère des centaines de milliards de dollars de commandes pour tous types de ventes, des produits du quotidien aux articles les plus insolites.

    Paris Match

    Ce qu'ils sont stupides ces chinois ! et bien, elle en aura eu du vin de serpent !!!


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    Un milliardaire chinois meurt d'une chute accidentelle dans le Luberon

    Wang Jian, milliardaire chinois à la tête d'un important conglomérat présent dans le tourisme, la logistique et le transport aérien, est mort d'une chute accidentelle dans le Lubéron.

    Grand patron chinois milliardaire, Wang Jian est mort à 57 ans mardi après une chute accidentelle dans le Luberon, où il faisait du tourisme, laissant derrière lui un important conglomérat présent dans le tourisme, la logistique et le transport aérien.

    Le fondateur de HNA a perdu la vie dans le village de Bonnieux (Vaucluse), dans le Luberon, ont précisé les gendarmes français: "Il avait grimpé sur un parapet en hauteur pour se faire prendre en photo, et il est tombé", ont-ils expliqué, ajoutant que les pompiers n'ont pas pu le ranimer.

    D'après une source proche du dossier, ce grand patron chinois avait voulu voir le panorama en montant sur un muret. Pour y parvenir, il a pris de l'élan et a été emporté dans sa course, faisant une chute de 10 mètres !!!

    La brigade locale de gendarmerie a été chargée de l'enquête, qui s'oriente vers un accident.

    "Nous pleurons la perte d'un dirigeant exceptionnellement doué et d'un modèle, dont la vision et les valeurs continueront à servir de guide pour tous ceux qui ont eu la chance de le connaître", a indiqué HNA dans un communiqué, ajoutant que M. Wang était en voyage d'affaires en France.

    Une fortune estimée à 1,7 milliard de dollars

    La fortune de ce grand patron très discret est estimée à 1,7 milliard de dollars par le magazine américain Forbes.

    M. Wang s'était spécialisé dès ses études dans l'aviation civile, à l'Université de Chine. Dans le début des années 90, il a participé à la fondation de la compagnie aérienne Hainan Airlines.

    D'après le New York Times, c'est grâce à une collaboration longtemps tenue secrète avec son jeune frère, Wang Wei, qui vendait des services et du matériel à la Hainan Airlines, que Wang Jian a transformé la petite compagnie régionale en un gros conglomérat. 

    Aujourd'hui, HNA, qui s'est développée dans la logistique et le tourisme notamment, est perçu comme un "rhinocéros gris", selon les termes de la presse chinoise, c'est-à-dire une de ces entreprises dans le collimateur du régime pour leur endettement inquiétant. De fait, HNA a multiplié les investissements à l'étranger, en devenant notamment en mai 2017 le premier actionnaire de la banque allemande Deutsche Bank, avec 9,9%, devant la famille de l'Émirat du Qatar. 

    De même, en octobre 2016, le conglomérat avait annoncé l'acquisition d'un quart du capital des hôtels Hilton, pour 6,25 milliards de dollars.

    Entré au capital de plusieurs compagnies aériennes étrangères

    HNA a dépensé au moins 50 milliards de dollars ces deux dernières années dans des investissements et prises de participations, non sans de vives controverses sur l'opacité de ses complexes structures d'actionnariat.

    HNA est ainsi entré au capital de plusieurs compagnies aériennes étrangères: Aigle Azur (France), Virgin Australia (Australie), TAP (Portugal) ou encore Azul (Brésil). 

    Dans la logistique, il a mis la main sur le Suisse Gategroup, prestataire de services à bord pour le transport aérien. Il avait également dévoilé en 2016 le rachat de la branche de location d'avions du groupe américain CIT pour 10 milliards de dollars.

    Fin 2017, HNA a annoncé que son endettement total s'élevait à environ 638 milliards de yuans (81,5 milliards d'euros), en hausse de 36% par rapport à la fin 2016. En prenant en compte l'ensemble des entités qu'il contrôle, on pourrait arriver à une dette d'environ 1000 milliards de yuans, selon l'agence financière Bloomberg.

    À la demande du gouvernement chinois, HNA s'efforce de réaliser des cessions et de se désengager de coûteux actifs immobiliers pour renflouer sa trésorerie.

    Paris Match

    En résumé, un magouilleur !

    Et bien, il l'a vu le panorama !!!


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  • Les asiatiques polluent avec leurs plastiques et bouffent les chiens. Je ne les aime pas du tout !


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  • Yulin 2018 : l’horreur continue pour les chiens sacrifiés pour leur viande

    Yulin 2018 : l’horreur continue pour les chiens sacrifiés pour leur viande

    Yulin 2018 : l’horreur continue pour les chiens sacrifiés pour leur viande

    Yulin 2018 : l’horreur continue pour les chiens sacrifiés pour leur viande

    Ils seront encore des milliers de chiens et chats à être abattus le 21 juin 2018 pour servir de repas dans les restaurants de Yulin en Chine.

    Tous les ans, c’est la même terreur : durant le Festival de Yulin, au sud de la Chine, des milliers d’animaux de compagnie sont tués pour leur viande. Les habitants y ont pour habitude de manger du chien et du chat accompagnés de litchis pour célébrer le solstice du 21 juin.

    Pour servir les étals de la ville, ces animaux sont volés à leurs maîtres ou dans les rues, puis acheminés dans des conditions indignes avant d’être dépecés vivants, brûlés ou bouillis vifs.

    Le nombre d’animaux tués divisé par 10

    Grâce au travail des associations de protection animale et à l’image néfaste véhiculée par ce festival, le nombre d’animaux utilisés pour Yulin est en baisse. Au lieu des 10 000 chiens et chats tués habituellement, ils n’auraient été « que » 1000 l’année dernière, selon des informations de Animals Asia, association partenaire de la Fondation 30 Millions d’Amis.

    2 phénomènes expliquent cette diminution : les associations sont de plus en plus nombreuses à arrêter les camions pour obliger les autorités à vérifier les papiers des animaux car l’identification est obligatoire en Chine ; les associations peuvent ainsi recueillir ces pauvres rescapés. De plus, en 2017, des rumeurs assurant que la fin du festival était proche avaient circulé. Le gouvernement aurait donné des consignes aux restaurateurs pour leur demander d’être plus discrets…

    La viande de chien, toujours prisée

    Si cette diminution représente une première bataille gagnée, le chemin est encore long vers une interdiction totale de la consommation de viande de chien en Chine. Dans ce pays, ce festival ne représente que 0,01% de la consommation de chien, selon Animals Asia. En effet, « ce sont près de 10 millions de chiens qui sont tués en Chine pour être consommés à l’année », indique-t-elle dans un communiqué.

    Des actions sont donc menées au quotidien par les ONG pour tenter de réduire à néant cette industrie. Par exemple, elles ont lancé une plateforme internet pour inviter les citoyens à dénoncer les restaurants servant de la viande de chien sans autorisation : 204 restaurants ont ainsi été fermés.

    La mobilisation doit encore s’accroître pour sensibiliser le gouvernement et le pousser à promulguer des lois plus sévères pour enrayer ce commerce.

    De nombreuses associations se chargent aussi de faire adopter ces milliers de rescapés aux Etats-Unis et au Canada. C'est le cas par exemple de l'ONG Humane Society International qui a reçu le soutien de plusieurs célébrités qui incitent à l'adoption de chiens et chats échappés du marché de la viande asiatique.

    30 Millions d'amis

    Et avant de les tuer ils les frappent pour les faire souffrir, il paraît que la viande est meilleure ! Bande de sauvages, d'arriérés !


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