• Le créateur de ces fameuses poupées est Siu Ling Wang. Les poupées sont entièrement ou juste en partie (mains, pieds, tête) en porcelaine. Intéressants sont les étonnants grands yeux, fabriqués en verre spécial, qui brillent dans la lumière.


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  • La Chine a annoncé un moratoire temporaire sur les prises de calamars effectuées par ses bateaux de pêche dans les océans Atlantique et Pacifique, après une surpêche qui a fortement réduit les populations.

    Le calamar est la star des stands de nourriture de rue dans le pays asiatique, où il y est très consommé, notamment sous forme de grillades.

    La Chine représente environ 70% des prises mondiales de calamars. Et les bateaux chinois s'aventurent parfois jusqu'au large de l'Afrique de l'ouest et de l'Amérique latine pour en pêcher.

    Les navires chinois suspendront toutefois leurs opérations dans les principales frayères mondiales, dans le sud-ouest de l'Atlantique près de l'Argentine (1er juillet-30 septembre) et dans certaines zones du Pacifique (septembre-novembre), a indiqué lundi le ministère chinois de l'Agriculture.

    Ce moratoire fait suite à une polémique consécutive à la forte présence des bateaux chinois à l'international, où ils sont accusés de pratiquer la surpêche et d'endommager les écosystèmes marins.

    "La Chine est le plus grand consommateur de calamars au monde et la diminution des prises inquiète les autorités", selon Zhou Wei, spécialiste des écosystèmes marins au sein de l'organisation écologiste Greenpeace Chine. 

    "Il est important de garantir un approvisionnement stable en produits de la mer pour assurer la sécurité alimentaire."

    La flotte de pêche en eaux lointaines de la Chine compte plus de 2.600 navires, dont un tiers pêche le calamar.

    "Une interdiction par la Chine de la pêche au calamar -- même temporaire - est essentielle pour la santé de l'océan, étant donné l'ampleur des prises", selon Zhang Jihong, spécialiste de la biologie marine à l'Institut chinois de recherche sur la pêche en mer Jaune.

    Le secteur chinois de la pêche emploie plus de 14 millions de personnes.

    Avec l'amenuisement des réserves en Chine, les pêcheurs naviguent de plus en plus loin pour réaliser leurs prises. Au risque parfois de se retrouver empêtrés dans des conflits maritimes.

    En juillet 2020, l'Equateur avait protesté face à la présence controversée de plus de 260 bateaux chinois à proximité des îles Galapagos, réserve marine connue pour ses tortues géantes.

    La Chine avait annoncé dans la foulée une interdiction temporaire de pêche en haute mer à l'ouest de la réserve.

    Ces dernières années, l'Indonésie a saisi dans ses eaux des dizaines de bateaux chinois accusés de braconnage. Des affrontements entre pêcheurs chinois et garde-côtes sud-coréens ont également entraîné des morts.

    AFP


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  • Le géant de la voiture électrique Tesla va "rappeler" plus de 285.000 voitures sur le marché chinois après une enquête qui a montré que leur logiciel de conduite assistée pouvait provoquer des collisions, a annoncé le gouvernement chinois vendredi soir.

     

    Tesla, qui a indiqué que l'alerte concernait certains des modèles 3 et Y, soit importés soit fabriqués en Chine, va contacter les propriétaires concernés et remplacera gratuitement leur logiciel par une nouvelle version.

    C'est le dernier en date des problèmes pour le pionnier de la voiture qui se conduit seule, objet d'une enquête de la part des autorités chinoises après plusieurs collisions mortelles ces derniers mois.

    "En raison de problèmes avec le système de contrôle de la vitesse (...), le conducteur peut facilement le mettre en route par erreur", ont noté les autorités dans leur rapport. "Cela peut provoquer une augmentation subite de la vitesse, et, dans des cas extrêmes, provoquer une collision".

    Le constructeur automobile a également dû faire face sur les réseaux sociaux à de nombreuses plaintes de ses clients chinois sur des problèmes de qualité et de service.

    Cela avait culminé avec la protestation, au Salon de l'Auto de Shanghaï et largement reprise par les médias et les réseaux sociaux, d'une cliente qui disait avoir failli mourir à cause d'une défaillance du système de freinage sur son véhicule.

    Le système de contrôle de la vitesse, qui est censé "contrôler la vitesse du véhicule pour suivre celle de la circulation environnante", est une partie importante de la fonction conduite assistée, selon le site de Tesla.

    La compagnie américaine, qui a été autorisée, ce qui est rare en Chine, à construire sans partenaire chinois une usine à Shanghai, est très populaire en Chine, où elle vend un quart de ses voitures.

    L'annonce du rappel a provoqué vendredi aux Etats-Unis une baisse de près de 8% de l'action Telsa.

    AFP


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  • Derrière la trêve Airbus-Boeing, un rival commun: la Chine

    © STR Un Comac C919 entame son décollage à l'aéroport de Shanghai-Pudong, le 10 novembre 2017

    Le duopole Airbus-Boeing devra-t-il faire de la place au nouveau venu Comac? La montée en puissance de la Chine dans le très stratégique secteur aéronautique, dont elle représente le premier marché mondial, conduit Européens et Américains à serrer les rangs.

    Les Etats-Unis et l'Union européenne ont suspendu mardi pour cinq ans les droits de douane punitifs qu'ils s'infligent dans le cadre du vieux conflit qui les oppose sur les aides publiques à leurs avionneurs.

    Selon le président américain Joe Biden, il s'agit de "travailler ensemble pour contester et contrer les pratiques non commerciales de la Chine dans le secteur (aéronautique), qui donnent aux entreprises chinoises un avantage déloyal".

    En toile de fond, les efforts effrénés de Pékin pour faire émerger son avionneur national Comac (Commercial Aircraft Corporation of China). Celui-ci développe un biréacteur, le C919, destiné à concurrencer les A320 et B737.

     

    Après quatre ans d'essais en vol, Comac compte obtenir cette année la certification en Chine du C919, à temps pour commémorer le centenaire de la création du Parti communiste chinois.

    L'appareil a reçu entre 49 et 72 milliards de dollars de subventions publiques pour son développement, bien plus que les aides dont ont pu bénéficier Airbus et Boeing, selon les calculs de Scott Kennedy, spécialiste de la Chine au Centre international d'études stratégiques (CSIS).

    Pour Richard Aboulafia, expert aéronautique pour Teal Group, "le vrai problème est que la Chine manipule le marché en jouant Airbus et Boeing l'un contre l'autre et conditionne ses commandes à des transferts de technologie".

    Le trafic aérien chinois, qui a explosé et a récupéré plus rapidement que les autres régions de la crise sanitaire, est appelé à se renforcer encore. Boeing estime les seuls besoins du marché chinois sur les 20 prochaines années à 9.360 appareils, soit 20% des besoins d'avions neufs dans le monde.

    Un débouché majeur pour les A320 d'Airbus et le 737 MAX de Boeing, alors que ce dernier n'a toujours pas obtenu l'autorisation du retour en vol de l'appareil dans le ciel chinois.

    - Patience stratégique -

    Si Pékin ne peut se passer ni de Boeing ni d'Airbus pour l'instant, il entend à terme être maître de sa destinée. 

    "L'industrie aéronautique, c'est un instrument à la fois de croissance et un outil diplomatique et commercial qui leur permet d'avoir une politique étrangère très complète sur les marchés extérieurs", observe Michel Merluzeau, du cabinet spécialisé AIR. Et pour lui, "les Chinois ont les compétences technologiques et industrielles pour produire un avion, il n'y a aucun doute là-dessus".

    "Les Chinois ont l'ambition, ils sont très raisonnables, ils savent que ça prend du temps", affirme-t-il à l'AFP: "ce n'est pas en 2025 qu'ils souhaitent en découdre avec Airbus et Boeing".

    Le C919 est tributaire de la coopération avec les industriels européens et américains: sur les 82 principaux équipementiers de l'appareil, 14 sont chinois, dont sept sont des co-entreprises avec une société étrangère, recense M. Kennedy.

    Les ailes et le fuselage sont chinois, mais les entreprises nationales ne maîtrisent pas encore les moteurs ou l'avionique et Comac pâtit de son organisation bureaucratique. Mais cela viendra, assure Michel Merluzeau.

    "Ils préparent leur industrie à répondre aux besoins nationaux. Il s'agira de produits de qualité inférieure, mais au moins ils seront nationaux", confie à l'AFP Richard Aboulafia.

    Plus lourd, l'appareil consomme davantage de carburant et coûtera donc davantage à exploiter.

    Sous l'impulsion du pouvoir, Comac se targue d'avoir enregistré 815 commandes pour son C919, quasiment toutes auprès de compagnies chinoises. Mais ce ne sont pour l'essentiel que des intentions: China Eastern Airlines a été la première compagnie, en mars, à passer une commande ferme pour cinq appareils.

    Professeur à l'université aéronautique de Beihang à Pékin, Huang Jun "ne pense pas que (le C919) change la donne" vis-à-vis des avionneurs occidentaux mais contribuera à l'émergence d'un "modèle ABC Airbus, Boeing et Comac": "nous espérons simplement pouvoir rejoindre ce marché et en occuper une certaine part".

    Les patrons de Boeing comme d'Airbus s'y préparent. Comac "va progressivement devenir un acteur digne de ce nom", a récemment estimé le président du constructeur européen Guillaume Faury. "Nous passerons donc probablement d'un duopole à un +triopole+, au moins sur les monocouloirs, d'ici la fin de la décennie".

    AFP


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  • La Chine est le plus gros producteur et consommateur de plastique sur la planète. Des produits qui pendant longtemps passaient par des décharges sauvages avant de polluer les rivières et l'océan. Mais depuis Janvier 2020, une série de nouvelles lois visent à réduire la pollution plastique sur les 5 prochaines années. Les plastiques à usage unique doivent disparaître, remplacés par de nouveaux matériaux alors que la gestion des déchets et le recyclage sont en pleine transformation. Mais la Chine réussira-t-elle vraiment cette transition ? 


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  • Architecture, déco, propriétaires de légende… Certaines maisons attirent tous les regards grâce à leur originalité. Mais c’est pour une toute autre raison que ce logement de la ville de Guangdong en Chine est devenu célèbre : il se trouve en plein milieu du pont d’une autoroute.

    La propriétaire connue sous le nom de Madame Liang a refusé de déménager pendant près de dix ans. D’après les médias locaux, elle aurait rejeté le premier logement de remplacement proposé par les autorités chinoises. Elle aurait ensuite exigé non pas un, mais bien quatre appartements pour remplacer la perte de sa maison. D’après Pearvideo, le gouvernement aurait ensuite offert un appartement à côté d’une morgue. Aucun terrain d’entente n’a été trouvé. Elle n'a même pas accepté une compensation monétaire.

    "Pour moi c'est calme"

    Madame Liang se retrouve donc encerclée par l’autoroute. Et si certains ne pourraient pas vivre dans ces conditions, cela n’a pas l’air de la déranger. « Vous pensez que c’est un environnement misérable, mais pour moi c’est calme, libérateur, plaisant et confortable », a-t-elle expliqué d’après le Daily Mail.

     

    Selon 9news, cette Chinoise n’est pas la seule dans ce cas de figure. Dans le pays, il arrive fréquemment que certaines personnes refusent de déménager pour la création d’infrastructures. Ce phénomène porte le nom de « dingzihu » en mandarin soit « maison-clou ».

    Plusieurs maisons dans ce cas là

    En 2012, c’est la demeure d’un couple de sexagénaires près de Shanghai qui avait fait le buzz pour les mêmes raisons. Ils possédaient un appartement dans un immeuble se trouvant sur un projet d’autoroute. Après avoir refusé de vendre à l’Etat, ce dernier a malgré tout décidé de mettre le projet à exécution. Le bâtiment a ainsi été raboté au maximum et ce qu’il en reste est aujourd'hui en plein milieu d’une autoroute.

    Gent Side


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  • Un vaste trafic de civelles estimé à 18,5 millions d'euros démantelé en France

    Un réseau de trafiquants de civelles entre la France et l'Asie, où cet alevin de l'anguille est vendu à prix d'or, a été démantelé après avoir exporté plus de 46 tonnes de cette espèce menacée, représentant 18,5 millions d'euros, a annoncé vendredi la gendarmerie.

    L'enquête, menée depuis quatre ans par les douanes de Bordeaux et l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (Oclaesp), a permis la mise en examen d'une dizaine de personnes en France et en Espagne, indique la gendarmerie nationale dans un communiqué.

    Les enquêteurs ont tiré le fil de deux saisies réalisées en 2017 par les douaniers d'Arcachon (Gironde) et de Roissy de 792 kg et 200 kg de civelles - appelées "pibales" dans le sud-ouest - de contrebande, une espèce dont la population européenne a chuté de 75 % en 30 ans et considérée comme menacée depuis les années 2000.

    La marchandise était destinée à être exportée illégalement vers la Chine et la Thaïlande, où les civelles se vendent entre 3.000 et 4.000 euros le kg au marché noir, soit jusqu'à dix fois plus cher que le prix de vente en Europe.

    Les douanes judiciaires de Bordeaux établissent qu'un même réseau de trafiquants se cache derrière ces deux saisies et joignent leurs investigations à celles de l'Oclaesp et la brigade nautique de Saintes (Charentes Maritime) qui travaillent également sur ce trafic.

    Le groupe d'enquête découvre que les civelles récoltées par des mareyeurs français sont transportées en Espagne puis "acheminées vers les pays d'Asie fortement demandeurs de ce produit, via, notamment, des plateformes logistiques installées dans des pays de l'Est (Roumanie, Bulgarie, Pologne)", détaille la gendarmerie.

    "La coopération policière au plan européen, via Europol, (a été) déterminante pour appréhender ce trafic d'ampleur internationale", souligne le communiqué.

    Au total, les enquêteurs ont estimé à 46 tonnes la quantité de civelles exportées illégalement, avec une marchandise masquée "par l'utilisation de faux documents supposant l'envoi d'autres espèces (crevettes, congres, carpes,...)".

    Ce juteux trafic, surnommé "l'or blanc", a permis au réseau de blanchir 18,5 millions d'euros selon l'enquête, qui a démontré "l'utilisation de sociétés écrans créées en Europe et dans des paradis fiscaux (Irlande, Panama), la complicité de sociétés implantées en Chine et en Thaïlande et le recours à des rétro-commissions par des contrats sur opérations entre l'Afrique et l'Asie".

    Neuf mareyeurs et intermédiaires français ont été mis en examen en septembre 2019 puis, cette année, les gérants espagnols d'une société de transport ainsi que l'une des têtes du réseau, également espagnol.

    Le Point

    Toujours aussi cons ces chinois !


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  • De moins en moins d'enfants et de plus en plus de personnes âgées: la Chine a décidé lundi de supprimer la limite de deux enfants par couple, avec l'espoir de faire repartir la natalité dans le pays le plus peuplé du monde.

    Trois semaines après les résultats de son dernier recensement décennal, qui a révélé un fort ralentissement de la croissance de sa population, Pékin s'est résolu à libéraliser sa politique familiale, mais tout en maintenant une limite: pas plus de trois enfants par couple.

    "En réponse au vieillissement de la population (...), un couple est autorisé à avoir trois enfants", a annoncé l'agence Chine nouvelle, citant les conclusions d'une réunion du bureau politique du Parti communiste dirigée par le président Xi Jinping. Cette politique doit s'accompagner de "mesures de soutien" aux familles, a ajouté l'agence de presse officielle, évoquant sans plus de détails les congés maternité, les soins pédiatriques et une baisse des coûts de l'éducation.

    Sur les réseaux sociaux, ces annonces du pouvoir étaient accueillies fraîchement.

    "Pour la génération des milléniaux, chaque couple va donc devoir s'occuper de quatre grands-parents et de trois enfants. Le pays prévoit-il d'en faire des héros nationaux?", persiflait un internaute sur le réseau Weibo, s'attirant 3.000 "J'aime".

    Un vieillissement de la population plus rapide que prévu

    Début mai, les résultats du recensement réalisé en 2020 ont révélé un vieillissement plus rapide que prévu de la population chinoise.

    L'année dernière, marquée par l'épidémie de Covid, le nombre des naissances est tombé à 12 millions, contre 14,65 millions en 2019. Cette année-là, le taux de natalité (10,48 pour 1.000) était déjà au plus bas depuis la fondation de la Chine communiste en 1949.

    Après plus de trois décennies de "politique de l'enfant unique", très décriée à l'époque, la Chine a assoupli ses règles en 2016, autorisant tous les Chinois à avoir un deuxième enfant. Mais sans parvenir à faire repartir la natalité.

    Les raisons de la baisse des naissances sont multiples: recul du nombre des mariages, hausse du coût des logements et de l'éducation, fertilité plus tardive pour les femmes qui privilégient davantage leur carrière, excès du nombre d'hommes par rapport aux femmes du fait de la préférence traditionnelle pour les enfants mâles...

    "Personnellement, je ne veux pas d'enfants, même pas un seul", résume pour l'AFP une femme de 27 ans de la province du Zhejiang (est), qui utilise son seul prénom anglais, Wendy. "Et parmi mes amies, pratiquement personne ne veut avoir d'enfant".

    264 millions de Chinois sont âgées de 60 ans et plus

    A l'autre bout de la pyramide des âges, la Chine comptait l'an dernier plus de 264 millions de personnes âgées de 60 ans et plus, soit quatre fois la population totale de la France. Cette classe d'âge constitue désormais 18,7% du total, soit une hausse de 5,44 point de pourcentage par rapport au recensement de 2010. A l'inverse, la population d'âge actif (15 à 59 ans) ne représente plus que 63,35% du total, en repli de 6,79 points sur 10 ans. En mars, le Parlement a voté un projet de relèvement progressif de l'âge de départ à la retraite au cours des cinq prochaines années, au grand dam d'une bonne partie de l'opinion publique. Les détails de cette politique n'ont pas été révélés.

    Des démographes ont mis le pays en garde contre une évolution à la japonaise ou à la sud-coréenne, avec une baisse de la population et un excès de personnes âgées par rapport aux jeunes et aux actifs.

    En réaction, des voix se sont élevées ces dernières années pour abolir toute limite au nombre d'enfants par famille, mais le régime communiste s'est refusé à lever tout contrôle dans ce domaine, préférant maintenir une limite de trois enfants.

    Pour Ye Liu, spécialiste en développement international au King's College de Londres, la nouvelle politique a "peu de chances de faire remonter considérablement le taux de natalité".

    "Le pouvoir met la responsabilité du vieillissement de la population sur les familles sans engagements financiers concrets", a-t-elle déclaré à l'AFP.

    Paris Match

    Perso, je trouve qu'il y a bien assez de chinois comme ça !


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  • Pas encore commercialisé en France


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  • Vous avez sûrement déjà vu passer ce genre de vidéos à vous donner le vertige sur vos timelines de vos différents réseaux sociaux. Des images où l’on voit des personnes marcher sur un pont en verre, donnant l’illusion qu’ils “flottent”. Et sûrement vous êtes vous déjà dit : "mais comment peuvent-ils avoir autant confiance ?"

    Et bien la question que vous vous posiez peut-être vient de donner une partie de la réponse. The Guardian rapporte cette histoire qui parait tout droit sortie d’un mauvais film d’action (ou d’horreur).

    Piégé à 100 mètres d'altitude

    Vendredi 7 mai, un touriste chinois s’est retrouvé coincé à 100 mètres de hauteur, les jambes dans le vide, sur un pont en verre, près de la ville de Longjing, dans la province du Jilin, dans le nord-est de la Chine.

    Ce jour-là, des vents violents ont été enregistrés, atteignant les 150 km/h. Une situation qui a endommagé la structure et même fait se détacher plusieurs plaques en verre de la construction. Sur le réseau social chinois Weibo, une image montrant l’homme pris au piège a été partagée des millions de fois. On y voit le touriste accroché à la rambarde, luttant pour ne pas tomber.

    La Chine, pays du pont en verre

    L’homme a finalement été secouru après un bref séjour à l'hôpital.

    Cet événement a sonné comme un avertissement dans le pays, où ce type d'infrastructure connaît un important succès. Depuis 2016, 60 ponts en verre ont en effet été construits en Chine, détaille ABC News. Comme le rapporte CNNle pays détient le record du pont le plus long du genre, mesurant 526 mètres de long. Achevé en 2020, il se trouve à Qingyuan, dans la province du Guangdong, au sud-est du pays.

    Gent Side


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  • Le conducteur d'une camionnette évite miraculeusement une fillette

    Voici le moment angoissant où une camionnette voulant éviter une fillette de trois ans traversant un passage piéton en Chine, s'est arrêtée à seulement quelques centimètres d'elle.

    LIEN pour voir la petite video :

    https://www.msn.com/fr-fr/video/actualite/le-conducteur-dune-camionnette-%c3%a9vite-miraculeusement-une-fillette/vi-BB1gyI6T?ocid=msedgntp


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  • Pauvres chinois, ils peuvent toujours manger des sexes d'animaux, ils auront toujours des mini sexes !!! Ces chinois sont vraiment écoeurants !


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  • Nomadland : la Chine censure Chloé Zhao après son triomphe aux Oscars

    Le succès de la cinéaste sino-américaine Chloe Zhao , lauréate de deux Oscars (meilleur film, meilleure réalisation) pour "Nomadland", embarrasse la Chine, comme le relaye de nombreux médias. Explications.

    Alors que Chloe Zhao vient de triompher aux Oscars avec Nomadland, la Chine semble embarrassée par ce succès, comme le relayent plusieurs médias, dont Le Monde via son correspondant à Pékin.

     

    "Les médias et réseaux sociaux chinois ont soit ignoré, soit minoré la distinction du film Nomadland, récompensé trois fois à Los Angeles", rapporte le quotidien du soir. 

    Comment expliquer cette réaction ? Le journal indique que la cinéaste n'est "pas en odeur de sainteté à Pékin" suite à des déclarations que la cinéaste aurait tenues en 2013. Pour mémoire, la cinéaste, née en Chine en 1982, est partie étudier en Grande-Bretagne avant d’aller vivre aux Etats-Unis.

    Elle aurait confié au Filmmaker Magazine que, quand elle était adolescente, la Chine était pour elle un pays où "le mensonge était partout". Une phrase qui a suscité énormément de commentaires, et qui a conduit à un boycott de ses films. 

    Récemment dans le Global Times,  le vice-président de l’association du cinéma de Shanghaï, Shi Chuan, expliquait que "Zhao est familière du système de valeurs occidentales qui est si différent du système chinois." Comme l'indique Le Monde, "qu’un représentant de Shanghaï sous-entende que seuls des films chinois peuvent plaire au public chinois en dit long sur l’état d’esprit actuel des dirigeants". 

    Nomadland, qui devait initialement sortir en Chine il y a quelques jours, n’est finalement pas diffusé en salles. En France, il est attendu le 9 juin prochain au cinéma.

    Allo Ciné


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    Un tigre de Sibérie a semé la terreur dans un petit village de l'extrême nord-est de la Chine, frontalier de la Russie, en attaquant une voiture et se jetant sur un paysan, ont rapporté lundi les médias d'État. 

    Le tigre mâle juvénile a été repéré vendredi, alors qu'il errait près du village de Linhu, dans la province de Heilongjiang, selon le journal The Paper (basé à Shanghai), qui cite la police locale.

    "Il s'est alors dirigé vers deux villageois travaillant dans un champ", a raconté un témoin, Wang Xue, venu sur place en voiture pour récupérer un parent.

    "Je leur ai crié de fuir, mais le tigre a alors couru droit dans ma direction", a expliqué ce témoin, cité par le Beijing News dans une vidéo publiée dimanche.

    "En deux ou trois secondes, il a couru et s'est jeté sur ma voiture, en la griffant avec ses énormes pattes".

    L'extérieur de la voiture a été fortement éraflé et la fenêtre du passager arrière a volé en éclats. "J'étais terrifié", a déclaré Wang, disant "souffrir encore de problèmes cardiaques" suite à l'incident. Aucun des deux passagers de la voiture n'a été blessé.

    Des images vidéo montrent également le tigre bondissant sur un villageois travaillant dans un champ voisin, avant de s'enfuir. Toujours selon les médias, l'infortuné n'a été que légèrement blessé. La police a ensuite réussi à coincer et à maîtriser l'animal à l'aide de fléchettes tranquillisantes.

    Selon un rapport publié lundi par le Bureau des forêts du Heilongjiang, le grand félin a été placé en quarantaine pour 45 jours au Centre d'élevage félin de Hengdaohezi, dans la ville de Mudanjiang.

    Les tigres de Sibérie sont originaires de Russie et de certaines parties du nord-est de la Chine. Selon le journal d'État Global Times, il en resterait moins de 500 à l'état sauvage en raison du braconnage, et moins de 30 se trouveraient en Chine.

    Les défenseurs de la nature en Chine et en Russie tentent de protéger l'espèce. Il est rare que les tigres s'aventurent dans des zones fréquentées par les humains.

    AFP

    Dommage qu'il ne les ait pas mangé !  happy


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  • Chine: des milliers de vélos partagés entassés sur un terrain vague

    © STR Vue aérienne le 19 avril 2021 de bicyclettes abandonnées dans un immense terrain vague à Shenyang, la capitale de la province du Liaoning (nord-est).

    Des milliers et des milliers de bicyclettes alignées à perte de vue sur un terrain vague: dans le nord-est de la Chine, ces montures inutilisées viennent rappeler l'essor parfois anarchique du vélo-partage dans le pays.

    Depuis 2016, les villes chinoises sont envahies par ces vélos de location, qui peuvent être débloqués avec un simple smartphone et laissés sur n'importe quel trottoir après utilisation. 

     

    Le concept, ultra-simple, a relancé le vélo en Chine, où il était le principal moyen de locomotion jusque dans les années 1970 avant d'être peu à peu supplanté par la voiture, symbole d'élévation sociale.

    Avec l'essor des marques de vélo-partage, ces montures sont devenues omniprésentes, devenant parfois un cauchemar de gestion pour les municipalités. Certaines ont pris des mesures pour limiter leur nombre.

    A Shenyang, la capitale de la province du Liaoning (nord-est), un immense terrain vague accueille ainsi plusieurs milliers de vélos et scooters électriques actuellement inutilisés.

    Du turquoise, du bleu ou encore du jaune: chaque couleur associée à une marque distincte est représentée dans cet immense parking improvisé où viennent s'entasser ces montures.

    Des images qui tranchent avec l'image "verte" généralement associée au cyclisme en milieu urbain. 

    Les grands groupes chinois ont joué des coudes ces dernières années pour s'imposer sur le marché du vélo-partage avant que la bulle n'explose. Début 2018, la startup chinoise Ofo a ainsi disparue du marché, croulant sous les dettes.

    Les dégradations ou les vols volontaires de vélos partagés sont rares en Chine, mais certains sont abandonnés dans des endroits non réglementaires et beaucoup s'entassent aux abords des bouches de métro.

    Devant l'ampleur du phénomène, certaines municipalités ont réagi. Pékin a par exemple prévu la suppression de 44.000 vélos de ses arrondissements urbains cette année, afin de ramener la flotte de la capitale à 800.000 unités.

    AFP


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  • Où et comment est né le virus du Covid-19 ? Un peu plus d'un an après le début de la pandémie, la question reste entière. Tandis que l'enquête de l'équipe d'experts envoyée à Wuhan par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) n'a pas permis de déterminer avec certitude les origines de la maladie, une nouvelle piste explorée dans un reportage d'Envoyé Spécial diffusé le 11 mars mène à un autre coronavirus, dont la première observation en Chine remonte... à 2012. Il s'agit du RaTG13.

    Le RaTG13, qu'est-ce que c'est ?

    Le RaTG13, présenté comme un "cousin" du Covid-19, fait aussi partie de la famille des coronavirus. Il s'agit plus exactement d'un betacoronavirus infectant une espèce particulière de chauve-souris, la chauve-souris rhinolophe (Rhinolophus affinis).

    Le 3 février 2020, un article publié dans la revue Nature interpelle la communauté scientifique : en marge de la première publication du génome complet du Sars-CoV-2, l'article révèle que le RaTG13 est le plus proche parent du virus qui fait trembler la planète, dont il partageait plus de 96% du génome.

    Que sait-on de sa propagation à l'homme ?

    Ce n'était alors pas la première fois que le virus faisait parler de lui. Il y a près de neuf ans, l'infection est passée de l'animal à l'homme (zoonose) au cœur des montagnes du Yunnan, au sud-ouest de la Chine. En avril 2012, une équipe de mineurs chinois avait ainsi passé deux semaines nettoyer une mine de cuivre désaffectée de la région.

    L'endroit était alors couvert des déjections de plusieurs colonies de chauve-souris. Quelques jours après la fin de l'intervention, les six ouvriers ont été admis à l'hôpital en urgence, présentant tous des symptômes d'une pneumonie sévère, certains souffrant en plus d'une importante détresse respiratoire.Trois d'entre eux sont décédés dans les semaines suivantes.

    À l'époque, des échantillons du virus avaient été récupérés sur place par Shi Zhengli, une chercheuse chinoise dont les travaux sur les chauve-souris lui ont valu le surnom de "Batwoman". De retour dans son laboratoire, l'un des trois situés dans la ville de Wuhan, elle analyse ses prélèvements et conclut à la découverte du RaTG13, un virus jusqu'alors inconnu, en 2013.

    Pourquoi n'a-t-il pas été évoqué en marge de la pandémie ?

    Au regard de ces informations, de nombreuses questions se posent. Le virus, qui était conservé à Wuhan, berceau du Covid-19, pourrait-il avoir joué un rôle dans la pandémie actuelle ? Et puisque son génome est si proche de celui du nouveau coronavirus, pourquoi les chercheurs chinois ne l'ont-ils pas évoqué dès le début de la crise sanitaire en Chine, fin 2019 ?

    "Il y a beaucoup de choses auxquelles on n'a que des réponses partielles, voire pas de réponse", a confié au micro de France 2 Bruno Canard, directeur de recherche au CNRS. "Les chercheurs auraient dû se rendre compte immédiatement que la carte d'identité génétique du SARS-CoV-2 de 2020 correspondait à quelque chose qui avait déjà été décrit il y a fort longtemps (...). Ils auraient dû citer leurs propres travaux. Ils ne l'ont pas fait", a-t-il ajouté. Le mystère qui entoure les origines du Covid-19 ne devrait donc pas être levé de sitôt...

    Gent Side

    La Chine nous envoie ses virus et sa marchandise pourrie !

    Ne pas oublier le lait frelaté pour les nourrissons !

    Un étrange virus "cousin" du Covid-19 avait été repéré en Chine en 2012


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