• Un homme a été mis en examen et écroué, lundi 29 juin, pour le meurtre de son épouse, tuée de plusieurs coups de couteau à leur domicile de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), selon le parquet de Nanterre.

    Un homme de 54 ans a été mis en examen pour meurtre sur conjoint, a précisé le ministère public.

    Les faits se seraient déroulés dans la nuit de vendredi à samedi 27 juin dans la ville de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine) en proche banlieue parisienne. C’est la fille du couple, âgée de 18 ans, qui aurait prévenu les secours après avoir reçu, samedi matin, un message de son père qui lui aurait dit avoir tué sa mère.

    Sur place, les policiers se sont retrouvés face à un homme retranché chez lui. Il a finalement été interpellé, après plusieurs heures de négociation et placé en garde à vue. Il aurait immédiatement reconnu les faits.

    Déjà 34 féminicides présumés en 2020

    Le corps sans vie de son épouse, âgée de 51 ans, a été découvert par les secours à l’intérieur de l’appartement. Selon les premières constatations, elle aurait reçu plusieurs coups de couteau. La famille, originaire de Roumanie, était en France depuis 2015.

    Cette affaire porte au moins à 34 le nombre de féminicides présumés depuis le début de l’année, selon un décompte de l’AFP. En 2019, on a recensé 126 cas de femmes tuées par leur compagnon ou ancien conjoint, soit une femme tous les trois jours en moyenne.

    Ouest-France


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  • Les sapeurs-pompiers et les gendarmes ont fait une macabre découverte dans une villa de Montferrat (Isère), ce lundi. Ils avaient été appelés par des riverains inquiets. À juste titre.

    Les gendarmes sont intervenus ce lundi après-midi dans une villa donnant sur le lac Paladru à Montferrat, près de Bourgoin-Jallieu. Ils étaient en compagnie des pompiers pour procéder à l’ouverture de la porte du logement. Ce sont des riverains qui les ont alertés, inquiets pour leurs voisins qui n’avaient plus donné signe de vie depuis quelques jours, rapporte Le Dauphiné.

    Le drame se serait produit ce mardi. Depuis ce jour, les volets étaient restés fermés et la voiture du couple n’avait plus bougé ont rapporté les voisins. Les secours ont pénétré dans la villa et ont découvert les corps sans vie d’un homme, âgé de 80 ans, et de celui de son épouse, âgée de 48 ans.

    Une enquête criminelle en cours

    Immédiatement, un périmètre de sécurité a été établi de manière à préserver les traces et indices. Une enquête criminelle a été ouverte et les techniciens de l’Identification criminelle ont procédé à de minutieuses constatations. Le substitut du procureur de la République et un médecin légiste se sont rendus sur place.

    D’après les premiers éléments recueillis, les enquêteurs s’orientent vers la piste d’un féminicide suivi du suicide de l’octogénaire. Le parquet a requis des autopsies, qui devraient être pratiquées ce mardi ou mercredi à l’institut médico-légal (IML) de Lyon. Le couple s’était installé dans le hameau il y a plusieurs années.

     

    ACTU 17


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  • Jean-Luc Mélenchon et des dirigeants de La France insoumise visés par une enquête pour «abus de confiance»

    Jean-Luc Mélenchon et plusieurs dirigeants de La France insoumise (LFI) sont visés par une enquête préliminaire pour « abus de confiance » et « recel », a annoncé le parquet de Paris ce mardi.

    Une enquête préliminaire a été ouverte le 14 mai dernier et vise plusieurs dirigeants de LFI, dont son leader Jean-Luc Mélenchon, pour des faits d’« abus de confiance » et « recel ».

    Les investigations ont été confiées à la Brigade financière et ont pour but de vérifier les « conditions dans lesquelles les dirigeants de LFI, dont Jean-Luc Mélenchon, se sont acquittés des amendes et des dommages et intérêts auxquels ils ont été condamnés » en décembre 2019, concernant l’affaire de la perquisition houleuse du siège du parti, selon des sources concordantes citées par L’Express.

    « Des amendes qui auraient été payées avec le chéquier de La France insoumise »

    Jean-Luc Mélenchon, Manuel Bompard, Bastien Lachaud, Bernard Pignerol et Muriel Rozenfeld sont soupçonnés d’avoir payé « avec le chéquier de La France insoumise » les amendes dont ils avaient écopé en décembre 2019 pour « acte d’intimidation, rébellion et provocation » explique Le Canard Enchaîné.

    Les cinq dirigeants de LFI avaient été condamnés par le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis) en décembre 2019, suite à cette perquisition houleuse qui avait eu lieu en octobre 2018, notamment à des amendes et à verser 26 500 euros de dommages et intérêts aux parties civiles.

     

    « Une fuite organisée (et rémunérée?) par tweet dit que Madame Champrenault se venge avec une nouvelle enquête préliminaire. De quoi s’agit-il? Je ne sais pas. La justice de Macron c’est ça », a réagi Jean-Luc Mélenchon sur Twitter peu avant 16 heures.

     

    ACTU 17


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  • Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux, lundi soir, a suscité une vive indignation de la part des internautes. Une enquête a été ouverte et un homme a été placé en garde à vue

    Elle ne dure que 20 secondes et pourtant, les images qu’elle contient suffisent à montrer un acte ignoble. Celui d’un homme qui sort du coffre d’une voiture un veau encore vivant, avant de le jeter d’un pont.

    Le véhicule est identifiable. Il s’agit d’une Citroën C3 blanche, dont la plaque d’immatriculation supporte le logo régional corse. En fond sonore, l’un des protagonistes s’exclame « Oh il a pissé ce con ! », relate Corse-Matin.

     

    L’émotion suscitée par cette séquence, et les nombreux signalements qui ont suivi, ont poussé le parquet de Bastia à ouvrir une enquête pour « sévices graves ou actes de torture sur un animal », comme l’indique la Gendarmerie de Corse dans une publication Facebook.

    On en sait plus désormais sur les faits qui se sont produits cette nuit-là. En effet, un homme d’une vingtaine d’année s’est présenté à la gendarmerie de Calacuccia et a expliqué être l’homme qui apparaît sur la vidéo. Il a affirmé que cette scène a eu lieu l’année dernière dans la commune de Niolu, à l’ouest de l’Île de Beauté.

     

    Le jeune homme a été interpellé et placé en garde à vue. Lors de ses auditions, il a expliqué qu’il aurait heurté le veau qui était en divagation sur une route, en pleine nuit. Ne sachant pas quoi en faire, il l’aurait chargé dans le coffre de sa voiture avant de s’en débarrasser ainsi.

    Des analyses techniques sont en cours pour confirmer ou infirmer ses dires. L’auteur de ces sévices encourt une peine pouvant aller jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende.

    ACTU 17


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  • Pour tenter de se soustraire aux policiers qui les poursuivaient, un chauffard et son passager ont déversé du gasoil sur la chaussée, provoquant un accident.

    Ils sont parvenus à leurs fins. Ce mardi vers 1 heure du matin à Nantes (Loire-Atlantique), non loin du périphérique, une patrouille de la brigade canine a repéré une Volkswagen Polo dont un liquide s’échappait du coffre. Les policiers ont tenté de procéder au contrôle de son conducteur, mais il a refusé d’obtempérer à leurs injonctions, relate Ouest-France.

    Le suspect a pris la direction du périphérique extérieur et une course-poursuite s’est déclenchée. Le passager s’est mis à jeter des bidons pleins de gasoil sur la chaussée et sur la voiture de police. Soudain, le véhicule des fuyards a fait une tête-à-queue et s’est retrouvé dans le sens opposé de la circulation.

    Les suspects prennent la fuite

    Dans le même temps, les fonctionnaires ont voulu éviter la collision en donnant un coup de volant. Cette manœuvre d’urgence, conjuguée avec la présence de gasoil sur la route devenue glissante, a fait perdre le contrôle de la voiture de police à son conducteur.

    Cette dernière a fait un tonneau et s’est retrouvée sur le toit. Par chance, ni les policiers, ni les chiens présents dans le véhicule d’intervention n’ont été blessés. Les fuyards en ont profité pour prendre la fuite à bord de leur voiture. Une enquête a été ouverte pour tenter de les retrouver.

    ACTU 17

    Les flics devraient les retrouver avec leur numéro de plaques !

    Sûrement des chances pour la France !


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  • Les jeunes migrants campent en plein Paris

    Pour rendre visibles des exilés en attente d’être reconnus mineurs et dénoncer leur manque de prise en charge, cinq associations, dont Médecins sans frontières, ont installé un campement dans la XIe arrondissement de la capitale.

    Soixante-quinze tentes rouges et bleues sont parfaitement alignées de part et d’autre du square. Au centre, on a installé un barnum blanc et une table sur laquelle sont disposés un bidon d’eau, un distributeur de gel hydroalcoolique et un petit-déjeuner. Les bénévoles de Médecins sans frontières (MSF), en gilets blancs, s’affairent auprès de jeunes migrants. Cette scène de campement humanitaire ne se déroule pas dans un pays en conflit mais en plein cœur du XIe arrondissement de Paris, square Jules-Ferry.

     

    L’installation express a eu lieu ce lundi 29 juin, entre 23 heures et 23h15. MSF et quatre autres associations ont choisi cet endroit pour «rendre visible» la galère des migrants isolés qui attendent d’être reconnus comme mineurs. A l’entrée du campement, plusieurs panneaux annoncent : «Ceci n’est pas une colonie de vacances.» Parmi la nuée de volontaires, Corinne Torre, responsable nationale de MSF déplore : «On héberge ces jeunes depuis décembre et il n’y a aucune prise en charge de la mairie ni de l’Etat.» Et ce mardi 30 juin marque la fin de l’hébergement d’urgence par l’ONG, rappelle-t-elle, avant d’être accostée par François Vauglin, maire du XIarrondissement, venu constater l’installation.

    «Les zombies du système»

    Les ados présents jouent aux cartes, se font tirer le portrait par un dessinateur ou discutent en petits groupes. A leur arrivée en France, ils se sont tous présentés pour un entretien d’évaluation de leur minorité. Avec une même sentence : majeur. Ils ont chacun déposé un recours devant le juge des enfants. Depuis, ils attendent une décision de justice. Dans cette zone grise, aucune structure ne les prend en charge. Alors ils sont hébergés et nourris par des associations. Ce sont «les zombies du système» pour David Belliard, ancien candidat à la mairie de Paris et élu au conseil municipal du XIe, qui a tenu à apporter son soutien.

    L’objectif de ce campement ? «Que les pouvoirs publics trouvent un lieu adapté et faire valoir la présomption de minorité, martèle Caroline Douay, cheffe de mission à MSF. On milite pour des hébergements collectifs, adaptés à des mineurs avec accès à la santé, à l’éducation, à la nourriture, à l’hygiène. Jusqu’à ce qu’un juge statue.» Certains bénévoles, qui ont dormi sur place, entendent assurer une présence continue sur le campement. L’une d’entre eux, Laure Wolmark, psychologue et coordinatrice du pôle santé mentale pour le comité pour la santé des exilés (Comede), est témoin des dégâts causés par cette situation. «On observe un cumul des difficultés chez ces jeunes, des parcours traumatiques. Beaucoup ont été témoins ou victimes de violences dans leurs pays d’origine, durant leur voyage ou même à leur arrivée en France.» Et alerte : «L’ensemble de ces facteurs favorise la souffrance psychique, et entraîne parfois le développement de troubles psy graves.»

    «Il y en a qui deviennent fous parce qu’ils dorment dehors et n’ont pas de famille. Ce sont ceux qui sont vite traumatisés», confirme Moussa, un jeune Malien. Jusqu’à la nuit dernière, il dormait «à République, dans la rue». «Mais je suis allé à l’école et j’ai fait une formation en cuisine», raconte-t-il en montrant des piqûres d’insectes sur ses bras et des carnets de correspondance dans son sac.

    Assis devant les tentes flambant neuves, Lassana, autre jeune compatriote, tient à raconter son histoire, malgré sa timidité. Après le décès de son père, il a appris qu’il avait deux frères qu’il n’avait jamais rencontrés, partis pour l’exil. Il ignore où. Lorsqu’il a assuré à sa mère, sans travail, que lui aussi voulait partir pour aller «en Europe», elle l’a supplié de renoncer. Il lui a promis qu’il donnerait, lui, des nouvelles. Mais depuis septembre, il ne lui a pas parlé. «Je ne pensais pas qu’il y aurait autant de difficultés en France», soupire-t-il.

    Après plusieurs lettres à la mairie de Paris, en charge de l’accueil des mineurs étrangers isolés, les associations n’ont rien trouvé d’autre pour aider ces jeunes. Obtiendront-elles ce qu’elles demandent ? Moussa, désabusé, ne «pense pas que ça va marcher». Au centre du campement, un riverain mécontent élève la voix face à une bénévole. «Quand on s’est installés, il nous a lancé des pommes et ce n’était pas pour les manger», confie Caroline Douay de MSF. Derrière lui, l’un des panneaux installés par les associations a déjà été cassé en deux. Les bénévoles assurent qu’ils resteront «jusqu’à ce qu’une solution d’hébergement soit trouvée». Ou que le campement soit démantelé par la police.

    Libération

    Déjà, on ne sait pas s'ils sont vraiment mineurs, et où sont leurs parents ?

    Que les gens de ces 5 associations dont MSF  les prennent chez eux !


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  • C’est un acte qui aurait pu avoir de graves conséquences. Un homme s’est emparé d’une ambulance des pompiers pendant leur intervention, dans la nuit de lundi à mardi, à Romans-sur-Isère (Drôme).

    Un équipage de pompiers est intervenu dans un logement de Romans-sur-Isère, près de Valence, pour secourir une personne qui venait de faire une tentative de suicide. Ils sont arrivés sur place, ce mardi vers 1 heure du matin, et ont stationné leur véhicule dans la rue avant d’entrer dans l’habitation, rapporte Le Dauphiné.

    Dans le même temps, un homme ivre de 57 ans, sans domicile fixe, s’est approché de l’ambulance des pompiers et a constaté qu’il pouvait la faire démarrer. Il a alors pris place au volant et s’est enfuit avec le véhicule d’intervention.

    L’ambulance était géolocalisée

    Lorsque les pompiers sont ressortis du logement, ils n’ont pu que constater la disparition de leur ambulance. Alertés, les policiers nationaux et municipaux ont pu compter sur le système de géolocalisation intégré à l’intérieur du véhicule pour le retrouver.

    Plusieurs patrouilles ont alors convergé vers la route départementale 532. Les forces de l’ordre ont intercepté le fuyard au bout d’un quart d’heure.

     

    Le quinquagénaire, ressortissant roumain, a été interpellé. Il a refusé de se soumettre au relevé de son imprégnation alcoolique. Il a été placé en garde à vue. Le mis en cause se trouvait toujours au commissariat ce mardi en fin de matinée.

    ACTU 17

    Il n'y a qu'à renvoyer ce roumain dans son pays !


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR -  MERCREDI 01 07 2020

     

    BONNE JOURNEE


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  • CHANTOUVIVELAVIE: BONSOIR - 30 06 2020


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  • Cette illusion d’optique surprenante cache 16 cercles : saurez-vous les voir ?

    Cherchez un peu avant d'aller voir!

    LIEN de l'article :

    https://creapills.com/illusion-doptique-16-cercles-gianni-sarcone-20200102


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  • Lutter contre la haine antimusulmane

    IIEN pour ce très long article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/lutter-contre-la-haine-antimusulmane/ar-BB1698hC?ocid=msedgntp

     

    Un bel exemple pour les petits français cathos blancs : la famille Traoré, un père, deux femmes blanches, deux femmes noires et 17 enfants !

    Oublions aussi les gentils petits trafiquants de drogue des banlieues françaises, d'ailleurs on a dit aux flics de les laisser tranquilles !

    Tout le monde il est beau, tout le monde  il est gentil ! Un point c'est tout !


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  • Haine en ligne : la chaîne YouTube de Dieudonné supprimée

    La chaîne YouTube du polémiste Dieudonné M'Bala M'Bala, habitué des tribunaux et condamné à plusieurs reprises pour ses déclarations antisémites, a été supprimée par le géant du streaming, a-t-on appris ce mardi auprès de Google France. Sa page, qui comptait environ 400 000 abonnés, a disparu ces dernières heures après une décision de Google, maison-mère de YouTube.

    « Cette suppression fait suite à des [infractions] répétées à notre règlement de la communauté YouTube », a expliqué à Google France, qui rappelle que la plateforme de vidéos en ligne « a renforcé ses règlements sur le hate speech (discours haineux, NDLR) en juin de l'année dernière », et vient de supprimer plusieurs chaînes de suprémacistes blancs aux Etats-Unis.

    Une « avancée majeure »

    La disparition de la chaîne de Dieudonné a été saluée par l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui a signalé « des dizaines de vidéos » du polémiste à YouTube ces derniers mois.

    « Cette fermeture fait suite à l'action de l'UEJF et de ses partenaires antiracistes qui combattent depuis des années, au jour le jour, la propagation des idées racistes, antisémites et négationnistes du pseudo-humoriste », s'est réjouie l'organisation sur Twitter.

    « Les centaines de milliers d'abonnés de Dieudonné se retrouvent orphelins de leur prêcheur de haine, et c'est tant mieux », a déclaré dans un communiqué la présidente de l'UEJF, Noémie Madar, en saluant une décision qui « marque une avancée majeure dans la lutte contre la haine sur Internet ».

    Quid de Twitter et Facebook ?

    Pour elle, « les autres acteurs d'Internet n'ont maintenant plus aucune excuse, à Twitter et Facebook de prendre également leurs responsabilités. » Des réseaux sur lesquels Dieudonné compte respectivement 150 000 et 1,2 million d'abonnés.

    Le polémiste a réagi sur Facebook en dénonçant des « pressions israéliennes ». La suppression de sa chaîne rappelle selon lui « les autodafés des heures les plus sombres de l'Histoire ».

    Habitué des tribunaux, Dieudonné a été plusieurs fois condamné par la justice pour ses propos haineux. Sa dernière condamnation date de novembre : il avait écopé de 9000 euros d'amende, pour complicité d'injure à caractère antisémite, après la publication d'une vidéo et d'une chanson intitulées « C'est mon choaaa ».

    Le Parisien


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  • Un vice de procédure a été soulevé dans une affaire de trafic de stupéfiants. Malgré un travail minutieux des enquêteurs qui sont parvenus à établir des faits compromettants, les trois prévenus ont été relaxés par la justice.

    Sans une nullité soulevée à leur procès, trois prévenus qui comparaissaient ce lundi devant le tribunal correctionnel de Besançon (Doubs) encouraient une lourde peine. Ces trois hommes avaient été interpellés en possession d’1,3 kg d’héroïne par les militaires du Peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG), jeudi dernier à Saint-Vit, relate L’Est Républicain.

    La procureure de la République, Margaret Parietti a requis des peines allant de 2 à 3 ans de prison ferme contre les prévenus. Mais un coup de théâtre s’est joué à l’audience, changeant radicalement le déroulement du procès.

    Un contrôle d’identité au centre des débats

    Le jour des faits, une patrouille du PSIG avait procédé au contrôle d’identité de trois individus qui se trouvaient à proximité de deux voitures. Dans l’habitacle de l’une d’elles, ils avaient découvert la présence d’1,3 kg d’héroïne. C’est la base légale de ce contrôle d’identité qui a été mise en cause par les avocats de la défense, ce lundi.

    Me Bernard, l’avocat de l’un des prévenus, a indiqué qu’il soulevait « la nullité de la procédure », précisant : « le procès-verbal mentionne que le premier acte est un contrôle d’identité. L’article 78-2 est le seul applicable en matière de contrôle d’identité ». Le texte précise en effet que les agents de police judiciaire peuvent « inviter une personne à justifier de son identité, par tout moyen, s’il existe un indice faisant présumer qu’elle a commis ou tenté de commettre une infraction, ou qu’elle se prépare à commettre un crime ou un délit ».

    Pour l’avocat, c’est bien ici que se tient la faille procédurale. Il a estimé que les trois hommes étaient simplement assis sur un muret, et que le contrôle d’identité initié par les gendarmes ne reposait sur aucune base légale.

    Les avocats de la défense ont été entendus par le tribunal !

    « Les forces de l’ordre sont allées vite en besogne. Le contrôle devait être précédé d’une surveillance. En conséquence, c’est le contrôle d’identité qui va déclencher la découverte des stupéfiants. Dès lors, je considère que ce contrôle étant nul, la suite et ce qui en découle est nulle » a conclu Me Bernard.

    Ses deux confrères Me Vernet et Me Schwerdorffer ont poursuivi l’argumentaire, évoquant le fait qu’aucune réquisition du procureur de la République n’était valable sur ce secteur pour pratiquer un contrôle d’identité. Leur plaidoirie a été pris suivie d’effet.

    Les trois prévenus sont relaxés

    Pourtant un faisceau d’indices accablants avait été mis au jour par les enquêteurs qui ont pris la suite de la procédure en compte, après les interpellations opérées par le PSIG. En plus de la drogue saisie, les analyses de la téléphonie et les auditions des mis en cause sont venues assoir les charges qui pesaient contre eux.

    Mais cela n’y a rien fait. Le tribunal a prononcé l’annulation de tous les actes découlant du contrôle d’identité. Les trois prévenus ont été relaxés et sont ressortis libres au terme de leur procès. Seul l’un d’eux a écopé de deux mois de prison avec sursis pour une précédente affaire. Le ministère public a fait appel de cette décision.

    ACTU 17

    Saloperies d'avocats des truands !


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  • « Nous voulons sortir de l’anonymat d’internet les auteurs qui abusent des enfants et ceux qui les soutiennent », a indiqué le ministre de la Justice de la région de Rhénanie du nord-Westphalie (Allemagne), lors d’une conférence de presse.

    Des policiers canadiens ont alerté leurs homologues allemands de leur découverte de contenu pédopornographique en provenance de la Rhénanie, une région de l’Ouest de l’Allemagne, rapporte le quotidien Bild. Ce signalement a permis aux enquêteurs de débuter leurs investigations qui a débouché sur l’identification de quelque 30 000 suspects, ont annoncé les autorités allemandes, ce lundi.

    Jusqu’ici, l’enquête débutée en automne dernier dans la ville de Bergisch Gladbach avait permis de confondre 70 mis en cause. Ces individus sont soupçonnés d’avoir commis des maltraitances et des abus sexuels sur des enfants durant des années, tout en filmant leurs méfaits. Les enregistrements étaient ensuite partagés sur des groupes de discussion en ligne.

    Au moins 40 victimes recensées

    Les policiers ont d’ores et déjà recensé au moins 40 victimes quant à présent. Un suspect âgé de 42 ans doit comparaître devant les juges au mois d’août prochain. Lors de la perquisition de son appartement, les policiers ont découvert de très importantes quantités de fichiers pédopornographiques.

    Les enquêteurs ont aussi mis au jour l’existence de divers groupes de discussion regroupant plusieurs milliers de participants. Ce sont ces individus qui sont dorénavant visés par la justice allemande.

    « Les auteurs qui communiquent dans les forums considèrent la maltraitance des enfants comme ‘normale’ et trouvent un grand nombre de personnes partageant les mêmes idées. Les seuils d’inhibition baissent. Et c’est ce qui caractérise cette situation sur le plan pénal », a déclaré le ministre de la Justice de la région de Rhénanie du nord-Westphalie (Allemagne), lors d’une conférence de presse.

    Le haut responsable a notamment indiqué souhaiter aborder le sujet de la réglementation légale en matière de stockage des données. « Nous devons reconnaître que la maltraitance des enfants est plus répandue sur Internet que nous ne le pensions », a-t-il confié.

    La demande d’une sévérité accrue contre les infractions en matière de pédophilie

    Michael Maatz, vice-président d’un syndicat policier a jugé que le fait que « de plus en plus de cas d’abus soient révélés » dans cette région est lié à l’augmentation des capacités d’investigation dans la région. « Nous devons donc nous attendre à ce que, dans les mois à venir, d’autres réseaux de pédophiles soient exposés », a-t-il ajouté.

    Début juin, des révélations sur la disparition de la petite Britannique Maddie McCann, survenue il y a 13 ans au Portugal, et l’identification d’un nouveau suspect allemand, actuellement en détention à Kiel (Nord), ont relancé le débat public sur la nécessité d’une aggravation des peines à l’égard des auteurs de crimes pédophiles.

    Plusieurs responsables politiques allemands réclament désormais la levée de l’anonymat pour toute personne diffusant ou réceptionnant des documents pédopornographiques.

    ACTU 17


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  • ll s’agit du second suicide dans les rangs de la police nationale en l’espace de 24 heures.

    Terrible drame au commissariat de Noailles à Marseille (1er) ce lundi soir. Un jeune policier âgé de 20 ans s’est suicidé avec son arme de service dans les vestiaires. Le défunt qui était Adjoint de sécurité (ADS), venait de réussir le concours de gardien de la paix précise La Provence.

    Son geste reste inexpliqué pour l’heure. Le Directeur départemental de la sécurité publique (DDSP) Didier Mazoyer s’est rendu sur place dans la soirée, tout comme le procureur de la République. 

    « C’est avec une immense tristesse que nous déplorons le suicide de l’un de nos collègues affecté à la Division Centre de Marseille. Toutes nos pensées vont à sa famille, ses proches et ses collègues« , a écrit la police nationale des Bouches-du-Rhône sur Twitter.

    Un autre policier de 24 ans s’est suicidé quelques heures plus tôt

    Il s’agirait du 19ème suicide dans la police nationale depuis le 1er janvier. Le drame survient alors qu’un autre ADS a lui aussi mis fin à ses jours ce lundi. Ce dernier était âgé de 24 ans, affecté au commissariat de Rouen (Seine-Maritime).

    Deux autres policiers se sont donné la mort au moins de juin : l’un âgé de 49 ans qui était affecté à la Police aux frontières (PAF) de Chambéry et le second quelques jours plus tôt, qui travaillait au 3ème District de police judiciaire (DPJ) à Paris.

    En 2019, ce sont 59 policiers qui ont décidé de s’ôter la vie selon les chiffres officiels.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17

    Ils avaient peut-être des problèmes personnels !


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  • Un jeune Adjoint de sécurité (ADS) affecté au commissariat de Rouen (Seine-Maritime) s’est donné la mort.

    La police nationale est une nouvelle fois confrontée à un dramatique événement. Un policier âgé de 24 ans a en effet mis fin à ses jours apprend-on ce lundi soir. Adjoint de sécurité, il travaillait au commissariat de Rouen. L’information a été confirmée sur Twitter par la police nationale.

    Deux autres suicides au mois de juin

    Depuis le 1er janvier, au moins 18 fonctionnaires de police ont mis fin à leurs jours. Deux autres policiers se sont donné la mort au moins de juin : l’un âgé de 49 ans qui était affecté à la Police aux frontières (PAF) de Chambéry et le second quelques jours plus tôt, qui travaillait au 3ème District de police judiciaire (DPJ) à Paris.

    59 suicides avaient été recensés dans la police nationale en 2019 selon les chiffres du ministère de l’Intérieur.

    Une cellule de soutien psychologique disponible 24h/24 a été mise en place par le ministère de l’Intérieur pour les forces de l’ordre, elle est joignable au 0805 230 405. Les appels sont « anonymes, confidentiels et gratuits ».

    ACTU 17


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  • Val-de-Marne : ces lycéens étrangers désespèrent de pouvoir déposer leur demande de titre de séjour

     Créteil, ce lundi. Moussa, 18 ans, vit à Limeil-Brévannes depuis plus de 10 ans. Elève en CAP électricité, il a besoin d’un titre de séjour pour poursuivre ses études. Il est toujours en attente d’un rendez-vous à la préfecture.

    Moussa n'oubliera jamais le jour où après avoir traversé la Méditerranée depuis le Maroc il est arrivé en Espagne avant de retrouver son frère à Limeil-Brévannes. « C'était il y a 10 ans et juste 7 mois », répond sans compter le Malien de 18 ans.

     

    Sur son téléphone, il montre les mails de prise de rendez-vous en ligne pour sa demande d'asile. Enfin donné en juillet par les services de l'Etat. Puis celui, en attente depuis octobre pour déposer son dossier de demande de titre de séjour. Celui dont il a besoin tout de suite pour espérer obtenir un contrat en alternance à la rentrée.

    51 jeunes seraient concernés dans le département

    Un comble pour cet élève en CAP électricité au lycée Gourdou-Lesseure à Saint-Maur, qui, avec une trentaine d'autres jeunes en situation irrégulière s'est mobilisé devant la préfecture du Val-de-Marne ce lundi midi à l'appel du réseau éducation sans frontière.

    « Les jeunes scolarisés qui terminent leur cursus soit pour accéder à l'enseignement supérieur, décrocher un contrat en alternance ou entrer dans la vie active, se retrouvent bloqués par une prise de rendez-vous impossible en préfecture du fait d'un service public sous doté en personnel qui fait de la régularisation des étrangers la dernière roue du carrosse », explique Pablo Krasnopolsky du réseau éducation sans frontière (RESF).

    Selon le représentant associatif, 51 jeunes sont concernés dans le Val-de-Marne et, tandis que d'habitude RESF réussi à déposer une trentaine de dossiers de demandes de titre de séjours tous les deux mois, cette année seuls trente ont pu être remis en préfecture depuis le début de l'année. En raison notamment « des rendez-vous annulés durant le confinement ».

    « Ce titre de séjour conditionnait un contrat en alternance que j'ai dû refuser à cause de ma situation »

    « On n'arrive pas à donner de perspective d'avenir à ces jeunes qui se forment en France et dont le titre de séjour va devenir essentiel pour entrer dans la vie active », poursuit Pablo Krasnopolsky.

    À l'instar de Kandjoura, tout juste 18 ans, en CAP logistique au lycée Pauline-Rolland à Chevilly-Larue qui a commencé ses démarches avant sa majorité : « Depuis cinq mois j'essaie d'avoir un rendez-vous, ce titre de séjour conditionnait un contrat en alternance que l'on m'a proposé et que j'ai dû refuser à cause de ma situation », témoigne le jeune homme arrivé lui aussi du Mali à Vitry où il a rejoint son père installé en France depuis plus de vingt ans.

    Contactée ce lundi après-midi, la préfecture n'a pas donné suite.

    Le Parisien

    S'il y avait moins de manifestations des noirs, cela irait peut-être plus vite !


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