• CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 07 06 2019


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  • Une trentenaire enceinte, dont le conjoint s'est rendu à la police mercredi soir en Seine-Saint-Denis, a été poignardée à plusieurs reprises, notamment au ventre, et le foetus est mort, a-t-on appris jeudi de sources concordantes.

     

    Le pronostic vital de la jeune femme de 32 ans n'était plus engagé ce jeudi matin, mais le foetus d'"environ cinq mois" n'a pas survécu, a indiqué une source proche de l'enquête.

    Le conjoint s'est rendu

    Elle était parvenue à aller chez sa voisine, à Villetaneuse, après avoir reçu plusieurs coups de couteau, selon cette source. Dans le même temps, son conjoint de 40 ans s'est rendu au commissariat de la ville voisine d'Épinay-sur-Seine, accompagné de ses enfants de cinq et sept ans. La jeune femme présentait un traumatisme crânien, d'importantes plaies au thorax, à l'abdomen, aux bras et aux jambes, selon une source policière. 

    Le protocole "féminicide" déclenché

    Le parquet de Bobigny, qui a saisi la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, a indiqué avoir déclenché le protocole dit "féminicide", institué en 2016 dans le département en cas d'homicide ou tentative d'homicide d'une particulière gravité. Ce dispositif permet notamment une prise en charge et un accompagnement spécifique des enfants.

    En 2017, 130 femmes ont été tuées par leur mari ou ancien mari, soit une tous les trois jours. Et chaque année, en France, près de 220.000 femmes subissent des violences de la part de leur conjoint ou ex-conjoint.

    BFM.TV


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 06 06 2019

     

    Passez une bonne soirée


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  • Merci de prendre le temps de regarder la video en entier ! money


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  • Le procès du coq Maurice, accusé de chanter trop tôt, reporté au 4 juillet

    © XAVIER LEOTY Le coq "Maurice" à Saint-Pierre-d'Oléron, le 5 juin 2019 

    Le procès de Maurice, le coq accusé par des voisins de chanter trop tôt le matin, a été reporté jeudi à Rochefort (Charente-Maritime) au 4 juillet, un délai qui pourrait selon les parties, donner le temps de tenter une conciliation.

    Le procès devant le tribunal d'instance a été reporté pour des raisons formelles d'échanges de pièces entre avocats.

    Maurice, "fatigué", n'était pas à l'audience jeudi pas plus que les plaignants, un couple de retraités.

    Le coq objet du litige vit à Saint-Pierre d'Oléron où ses "cocoricos" dès l'aube agacent ces propriétaires d'une résidence secondaire voisine. Son histoire a suscité nombre de réactions dont celle de Bruno Dionis du Séjour, maire de Gajac (Gironde), 400 habitants, qui a annoncé vouloir faire classer les bruits de la campagne au "patrimoine national" français.

    La propriétaire du gallinacé, Corine Fesseau, s'est affirmée jeudi matin à Rochefort ouverte "à tout dialogue dans la mesure où on ne m'agresse pas". Les plaignants, qu'elle ne "connaît pas, ont fermé la porte à tout" avant le procès, a-t-elle néanmoins accusé.

    Son avocat Me Julien Papineau a également assuré devant la presse avant l'audience qu'"aucune conciliation n'avait été possible".

    Me Vincent Huberdeau, pour les plaignants, a affirmé au contraire que ses "clients ont écrit au maire de Saint-Pierre-d'Oléron, Christophe Sueur, pour trouver une solution amiable. Ils ont cherché la conciliation. Ils réclament la paix et la tranquillité. Ce sont des retraités. Monsieur était agriculteur. Ils veulent simplement que le coq soit enfermé la nuit. Il s'agit d'un lotissement, nous ne sommes pas à la campagne", a-t-il ajouté.

    AFP

    Un ancien agriculteur qui se plaint du chant du coq !


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  • Une jeune surveillante de la prison d'Orléans-Saran a été condamnée mercredi à 18 mois de prison dont 12 avec sursis pour avoir fait passer drogue, alcool et smartphones à un détenu qui l'avait séduite. Le détenu, en attente d'un autre jugement pour viol prévu en juin prochain devant la cour d'assises du Loiret, a été condamné à trois ans ferme. Sa soeur, qui avait fourni la drogue et les téléphones, a été condamnée à un an dont six mois avec sursis.

     

    La surveillante, âgée de 24 ans en poste depuis 6 mois et qui venait d'être titularisée dans ses fonctions, a en outre été interdite d'exercer cette profession. Entre septembre et décembre 2018, elle avait fourni au détenu de 32 ans du cannabis, une bouteille de vodka et plusieurs smartphones dont la coque en plastique est indétectable.

    "Je me suis enfermée dans le mensonge et ma connerie"

    Les téléphones, revendus entre 600 et 800 euros, avaient été découverts en janvier. La police judiciaire était remontée à leur source, dix jours après leur découverte. Devant les juges, mercredi, la surveillante a reconnu les faits. "J'ai eu envie de parler et puis la honte (...) je me suis enfermée dans le mensonge et ma connerie". Niant toute corruption, elle a cependant reconnu avoir reçu un coffret de cosmétiques, une robe et un bijou de la soeur du détenu jugée également.

    Le détenu a au contraire démenti tout trafic accusant la surveillante de se venger par jalousie. Les deux femmes, incarcérées depuis le 15 mai après le report d'une première audience, n'ont pas été maintenues en détention.

    L'Express


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  • CHANTOUVIVELAVIE ; BONJOUR - JEUDI 06 06 2019

     

    BONNE JOURNEE


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  • Pourquoi Poutine n’a-t-il pas été invité aux cérémonies du D Day?

    © IAN LANGSDON/AFP Le Président français François Hollande accueille le Président russe Vladimir Poutine, lors du 70e anniversaire du Débarquement, le 6 juin 2014, sur la plage de Ouistreham, en Normandie.

    Le président russe est le grand absent des commémorations du Débarquement en Normandie du 6 juin 1944, ces 5 et 6 juin en Angleterre et en France.

    Les dirigeants d’une quinzaine de pays étaient réunis ce mercredi à Portsmouth, pour le coup d’envoi des commémorations du Débarquement en Normandie du 6 juin 1944. Devant les photographes, les chefs d’État représentant les puissances Alliées de la Seconde Guerre mondiale ont pris la pose: Theresa May et Élisabeth II pour l’Angleterre, Donald Trump pour les États-Unis, Emmanuel Macron pour la France et... personne pour l’Union soviétique. Le président russe Vladimir Poutine n’a pas été convié. Ni en Angleterre, ni en France, où se poursuivent, ce 6 juin, les cérémonies de commémoration.

    Comment expliquer une telle absence, alors que l’Union soviétique a joué un rôle majeur dans la victoire des Alliés? Cette non invitation intrigue d’autant plus que Vladimir Poutine était présent en France, lors du 70e anniversaire du Débarquement, en 2014. «C’est un choix qui a été fait. Il y a eu beaucoup d’occasions et de grandes et belles cérémonies, comme le 11-Novembre», éludait-on, il y a quelques jours, à l’Élysée. Autre raison invoquée: la cérémonie internationale de clôture, ce 6 juin 2019, sera présidée par le Premier ministre Édouard Philippe, et non par le Président Emmanuel Macron... Enfin, on fait valoir qu’il s’agit d’une année en «9» et non d’une année en «4». Le président russe serait donc uniquement invité pour les anniversaires en dizaines...

    Au-delà du langage diplomatique polissé, comment interpréter cette mise à l’écart du président russe?

    Xi JinPing reçu par Poutine en Russie

    «C’est incompréhensible», s’agace Jean de Gliniasty, ex-ambassadeur de France en Russie (2009 - 2013) et spécialiste des questions russes à l’Institut des relations internationales et stratégiques, interrogé par Le Figaro. Le diplomate note toutefois qu’au même moment, Vladimir Poutine recevra le président chinois Xi JinPing, en visite officielle en Russie du 5 au 7 juin. Surtout, Xi JinPing est l’invité d’honneur du Forum économique de Saint-Pétersbourg qui a lieu du 6 au 8 juin, sur fond de guerre commerciale entre la Chine et les États-Unis.

    Tout un symbole, commente Jean de Gliniasty: «Au lieu d’aller à l’ouest célébrer la victoire sur le nazisme, Poutine va s’occuper des Chinois à Moscou puis à Saint-Pétersbourg». Le choix de Vladimir Poutine de se tourner vers la Chine et l’Est, en boudant l’Europe et les démocraties occidentales serait-il à l’origine de cette exclusion d’un événement, de fait, ostensiblement centré sur la France, l’Angleterre et les États-Unis?

    «Déstabilisation des équilibres mondiaux»

    L’historien spécialiste de la Seconde guerre mondiale Denis Peschanski va lui aussi dans ce sens. Pour lui, «Poutine n’a pas été invité pour des raisons politiques: compte tenu de son offensive de déstabilisation des démocraties européennes et américaines, en jouant sur les élections et sur la déstabilisation des équilibres mondiaux.»

    «On a privilégié trois moments: une journée anglaise le 5 juin, et le 6 juin une journée mixte française, avec la cérémonie au cimetière américain de Colleville-sur-Mer, le déjeuner entre Macron et Trump à Caen, puis en mettant l’accent sur le massacre de la prison de Caen et les commandos Kieffer», observe Denis Peschanski. De cette manière, analyse l’historien, «l’objectif du Président est d’insister sur cette filiation héroïque française. Par ailleurs, il s’agit de mettre en scène une “bilatérale” du Président de la première puissance mondiale, avec le Président de l’Europe».

    Reste que ce choix délibéré suscite l’incompréhension des diplomates et des historiens. Et l’ire de Moscou: «L’apport des Alliés dans la victoire sur le Troisième Reich est clair. Mais il ne faut pas l’exagérer et minorer par la même la signification des efforts titanesques de l’Union soviétique, sans laquelle cette victoire n’existerait tout simplement pas», a ainsi déclaré à la presse, ce mercredi, la porte-parole de la diplomatie russe, Maria Zakharova.

    «Réécriture de l’histoire»

    Et Maria Zakharova de dénoncer une «réécriture catastrophique de l’Histoire» donnant selon elle, notamment dans les films et les articles de presse, aux États-Unis et à leurs alliés un rôle prédominant dans la défaite allemande. Selon elle, «le Débarquement en Normandie n’a pas eu d’influence décisive sur l’issue de la Seconde guerre mondiale (...) déjà déterminée par la victoire de l’Armée rouge, avant tout à Stalingrad, Koursk».

    «L’absence d’invitation est un signe fort qui va à l’encontre de la réalité historique, abonde Denis Peschanski. C’est une humiliation pour les peuples russes et anciennement soviétique, compte tenu de l’ampleur des souffrances et de la force de la contribution des troupes soviétiques en juin 1944, sur le front de l’Est, avec une offensive commençant en Bioélorussie quelques jours après le Débarquement, bloquant massivement les troupes allemandes, qui ne pourront plus se dégager sur l’ouest.»

    Une offensive soviétique décisive

    Le pacte Ribbentrop-Molotov de 1939, officiellement «Traité de non-agression germano-soviétique», avait pris fin brutalement en 1941 lorsqu’Hitler décida d’envahir l’Union soviétique, déclenchant des combats brutaux et le siège de villes russes jusqu’à ce que Staline puisse passer à la contre-attaque. Ces offensives soviétiques ont entamé la puissance militaire allemande, tout en maintenant sur ce front des millions de soldats nazis, éloignés, donc, du front ouest le Jour J.

    Les autorités russes dénoncent depuis de nombreuses années l’oubli dans lequel sont tombés selon eux en Occident les 27 millions de morts des Soviétiques pendant la Seconde Guerre mondiale. Selon un sondage cité par l’AFP, mené après la fin des combats en mai 1945, 57% des Français pensaient que Moscou avait été le premier contributeur à l’effort de guerre. Près de six décennies plus tard, en 2004, alors que Poutine représentait pour la première fois son pays lors des commémorations du «D Day», 20% des Français seulement plaçaient encore l’Union soviétique au premier plan. Pour 58%, tout le mérite revenait aux États-Unis, qui perdirent 400.000 hommes dans les combats en Europe et dans le Pacifique.

    Le 9 mai en Russie boudé par l’Occident

    En Russie, la «Grande Guerre Patriotique», nom donné en Russie au conflit armé entre l’URSS et l’Allemagne nazie, reste la source d’une immense fierté dans le pays. Symbole des tensions entre Russes et Occidentaux, la plupart des Européens avaient boudé en 2015 la parade militaire du 9 mai pour les 70 ans de la victoire sur l’Allemagne nazie, sur fond de tensions avec le conflit en Ukraine.

    Un an auparavant, pourtant, Poutine était donc présent en France au 70e anniversaire du Débarquement. Sa présence avait été l’occasion d’une rencontre inédite, surnommée «Format Normandie» en langage diplomatique, entre Vladimir Poutine, François Hollande, Angela Merkel et Petro Porochenko pour tenter de trouver une solution au conflit ukrainien. «Ce fut un grand succès pour la diplomatie française», souligne Jean de Gliniasty. Cinq ans plus tard, les équilibres géopolitiques ont bien changé.

    Le Figaro.fr


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 05 06 2019

    ça y est, il pleut chez moi, enfin, pourvu que cela dure un bon moment !

     

    Passez une bonne soirée

    CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 05 06 2019


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  • Avec l'entrée en vigueur du fichier des véhicules assurés (FVA), les premiers contrôles ont commencé ce mardi.

    Les autorités ont décidé de sévir. Face à la recrudescence de véhicules non assurés, un fichier des véhicules assurés (FVA) vient d'être officiellement mis en service ce 4 juin, rapporte RTL. Grâce à la plaque d'immatriculation, les forces de l'ordre pourront vérifier si la voiture est bien assurée. Les premiers contrôles ont commencé à Paris et sa petite couronne. Ils devraient s'étendre progressivement au reste de la France.

    Le FVA vise à sanctionner la fraude à l'assurance. Les automobilistes qui auraient apposé de fausses vignettes sur leur pare-brise ou pas encore renouvelé leur assurance seront plus facilement identifiables grâce à ce fichier. En cas d'infraction, les forces de l'ordre auront trois jours pour confirmer l'absence réelle d'assurance. Les peines encourues restent en revanche les mêmes : jusqu’à 3.750 euros d’amende, la suspension du permis de conduire et la confiscation de la voiture. Les engins agricoles, militaires et diplomatiques ne sont quant à eux pas concernés par ce nouveau type de contrôle.

    750.000 véhicules non assurés en circulation

    Comme le rappelait la Sécurité routière dans un communiqué posté sur Twitter en juillet 2018, et relayé par 20 Minutes, "en France, en 2016, 235 personnes ont trouvé la mort dans un accident routier impliquant un véhicule non assuré, soit 7% de la mortalité routière". L'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR) estime à 750.000 le nombre de véhicules circulant sans assurance.

    La création du fichier des véhicules assurés (FVA), introduit dans la loi de modernisation de la justice, est parue au Journal officiel du 24 juillet 2018.

    "c'est une très bonne nouvelle", selon l'Automobile Club Association

    Capital


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  • Un bison de 21 ans s'est échappé lundi d'un cirque, à Yvetot, en Seine-Maritime, rapporte Le Courrier Cauchois.

    "Il voulait surtout brouter de l'herbe"

    L'animal surnommé Randall et appartenant au cirque Romane-Ritz, a réussi à sauter les barrières de son enclos, avant d'entamer une promenade d'une dizaine de minutes dans la petite ville normande. Une vidéo publiée sur les réseaux sociaux le montre en train de déambuler dans un petit parc de la ville, ainsi qu'un automobiliste obligé de s'arrêter pour le laisser passer. 

    "Il n'est pas allé très loin. Il voulait surtout brouter de l'herbe", explique le propriétaire du cirque au média local. "Ce sont mes hommes qui l'ont ramené". Le bison a en effet été rattrapé après une dizaine de minutes, et personne n'a été blessé. 

    Europe 1

    STOP aux animaux sauvages dans les cirques !


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  • Un million d'espèces menacées d'extinction sur la planète

    © GUILLAUME SOUVANT / AFP Un jeune gorille photographié au zoo de Beauval à Saint-Aignan-sur-Cher le 23 juin 2017.

    Après une semaine de travail à l’Unesco, à Paris, les experts et diplomates de 132 pays viennent de rendre publique leur nouvelle évaluation sur l’état de la biodiversité, soit l’ensemble des espèces animales et végétales qui peuplent notre planète.

     

    Le constat est alarmant. Le rapport montre que la nature décline à un rythme sans précédent dans l’histoire humaine. Le taux d’extinction des espèces s’accélère, provoquant des effets graves sur les populations du monde entier.

    La population humaine justement a doublé en cinquante ans, nous en sommes à 7,6 milliards. Et nous consommons de plus en plus de produits animaux, viande, poisson et produits dérivés. Il en résulte que les activités humaines touchent et modifient aujourd’hui les trois quarts des terres et les deux tiers des milieux marins.

    Jusqu’à un million d’espèces sont doncmenacées d’extinction. Pour les espèces terrestres, c’est la pression de l’agriculture et de l’urbanisation : 13 millions d’hectares brut de forêts disparaissent encore chaque année dans le monde. Pour les espèces marines, c’est la pression de la surpêche : neuf espèces de poissons sur dix sont au maximum de leur exploitation possible.

     

     Reconnaissance du problème

    Alors, la semaine a été laborieuse. Chaque virgule du texte a été pesée. Finalement, ce rapport est historique car, en le validant, les 132 pays partagent un constat précis et reconnaissent les responsabilités. Ils vont maintenant tenter de mettre en œuvre une réponse mondiale. Et là, il va falloir faire preuve de beaucoup de détermination.

    RFI


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  • Connu pour être "attiré par les idées d'extrême droite", ce trentenaire a été mis en examen pour menaces de mort en raison de la religion, acquisition et détention d'armes et munitions

    Un trentenaire qui avait lancé sur les réseaux sociaux un message indiquant qui'il envisageait de faire "un carnage" au dîner du Crif à Marseille, a été mis en examen et placé en détention provisoire, a-t-on appris mercredi après du parquet, confirmant une information de La Provence.

    Un homme connu pour être attiré par les "idées d'extrême droite, voire néo nazies"

    L'homme, né en 1989 et interpellé le 29 mai, "n'est pas connu au plan pénal mais était connu pour être attiré par les idées d'extrême droite, voire néo nazies", a précisé le procureur de la République à Aix-en-Provence, Achille Kiriakides. Des armes ainsi que des drapeaux et de la littérature nazis ont été retrouvés à son domicile. C'est la surveillance des réseaux sociaux qui a conduit les enquêteurs jusqu'à lui.

     

    Dans un message, le trentenaire disait envisager de faire "un "carnage" au dîner du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) qui s'est tenu lundi soir à Marseille et auquel participait le ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner. Le trentenaire a été mis en examen pour menaces de mort en raison de la religion, acquisition et détention d'armes et munitions. Il détenait également des faux papiers, a précisé le procureur.

    Europe 1 


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  • Pyrénées-Orientales: elle frappe et gifle le médecin qui lui a refusé une ordonnance

    Une jeune femme a été condamnée lundi à 18 mois de prison, dont 10 assortis d’un sursis avec mise à l’épreuve, avec mandat de dépôt, et a vu son permis de conduire annulé par le tribunal correctionnel de Perpignan (Pyrénées-Orientales).

    Selon L'Indépendant, elle était poursuivie pour avoir agressé un médecin qui avait refusé de délivrer une ordonnance médicale pour sa mère.

    Coups et gifles

    Le praticien n’a pas accepté, car la mère de la prévenue n’était pas présente, et il ne connaissait pas son dossier. La jeune femme a quitté son cabinet, avant de revenir et de le frapper, de le gifler et de le brûler avec une cigarette, poursuit le quotidien régional.

    En remontant dans sa voiture, furieuse, elle avait également foncé sur un passant.

    20 Minutes

    Quel politique avait décidé que jusqu'à deux ans de prison, on restait libre ?


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  • Attention aux "montagnes de promesses" du bio, prévient 60 Millions de consommateurs

    Le magazine, édité par l'Institut national de la consommation, pointe du doigt certaines failles du label bio, qui n'empêche pas l'utilisation de certains pesticides ou de l'huile de palme. Il souligne également l'incohérence environnementale des fruits hors-saison et l'utilisation d'emballage plastique.

    Le magazine 60 Millions de consommateurs a consacré son hors-série de juillet-août au "meilleur du bio" et a procédé à un banc d'essai de 130 produits. Il déplore qu'un produit arborant le label AB coûte bien plus qu'un produit conventionnel et dénonce "l'argument marketing de poids" qu'est devenu le précieux sésame.

        

    "A l'heure où les scandales alimentaires s'enchaînent, le logo fait figure de Graal. Pourtant il est loin d'être sans failles", souligne la rédactrice adjointe du magazine, Christelle Pangrazzi, citant plusieurs dérives, comme l'exploitation de travailleurs immigrés dans les champs ou l'utilisation de l'huile de palme, autorisée malgré le fait que sa culture participe à la déforestation. Or, ajoute-t-elle, "en optant pour le bio, le consommateur devrait avoir la garantie d'acheter responsable d'un point de vue aussi bien nutritionnel qu'écologique ou éthique".

    La grande distribution représente la moitié du marché bio

    Selon les chiffres révélés mardi par l'Agence Bio, le bio représente désormais 5% des achats alimentaires des Français, avec près de 10 milliards d'euros de chiffre d'affaires. L'Agence Bio note également le renforcement du poids de la grande distribution, qui commercialise désormais la moitié des produits bio, alors que jusqu'à l'an passé, les commerces spécialisés menaient la danse. La vente directe conserve 12% de parts de marché en 2018 (+12,8%). Etant donné le poids du secteur côté consommateur, "l'heure n'est plus aux montagnes de promesses, si bio soient-elles", conclut Mme Pangrazzi.

        

    Parmi les 130 produits testés par le magazine, quelques uns sont emblématiques: le lait, les céréales du petit déjeuner, la pâte à tartiner, les pommes, mais aussi le vin, la viande ou le poisson.

        

    Le magazine, édité par l'Institut national de la consommation (INC), pointe plusieurs points à améliorer: l'utilisation des engrais et pesticides, l'exploitation intensive, l'impact carbone négatif des fruits hors-saison, le fait que certains fruits et légumes bio soient vendus sous plastique...

        

    Il rappelle également que "manger exclusivement bio est une utopie, pour des raisons économiques, mais aussi parce que toutes les denrées ne sont pas disponibles".   

    BFM.TV


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  • Deux cambrioleurs prennent la fuite... en trottinette électrique

    Deux mineurs interpellés fin mai après avoir cambriolé pour 250.000 euros de montres et bijoux dans un appartement parisien avaient pris la fuite en trottinette électrique, a-t-on appris mardi de source policière.

    Le 16 mai, deux jeunes de 16 et 17 ans escaladent la façade d'un immeuble du XVIIIe arrondissement de Paris, s'introduisent dans un appartement et en ressortent avec un coffre contenant 250.000 euros de montres et de bijoux, selon une source policière confirmant une information de LCI.

    "Ils sont rentrés directement chez eux"

    Le deuxième district de police judiciaire (2e DPJ) est saisi de l'affaire. Les enquêteurs s'aperçoivent grâce aux images de vidéosurveillance que les deux cambrioleurs ont pris la fuite en trottinette électrique. «Ils sont rentrés directement chez eux», souligne la source policière.

    Avec l'aide de la brigade anti-criminalité (BAC) du XVIIIe, les enquêteurs identifient les deux mineurs, connus des services de police pour des vols. Ils sont interpellés le 28 mai. Un autre cambriolage datant d'avril, pour un préjudice de 100.000 euros, a également pu leur être imputé. Ils ont été déférés. Le plus âgé, connu pour une vingtaine de faits, a été écroué.

    Paris Match

    Une vingtaine de faits mais en liberté !!!


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  • Crise nationale aux urgences : "Agnès Buzyn est en train de tuer l'hôpital public"

    Le porte-parole de l'Association des médecins urgentistes de France, Christophe Prudhomme, dénonce sur Europe 1 "les propos scandaleux" d'Agnès Buzyn, qui a évoqué mardi le "dévoiement" des arrêts maladie par les urgentistes de l'hôpital Lariboisière de Paris, mobilisés pour alerter sur l'état de leurs conditions de travail.

    C'est un mouvement social qui prend de l'ampleur : depuis mi-mars, plusieurs dizaines de services d'urgences sont en grève pour protester contre la dégradation de leurs conditions de travail. Ces derniers jours, un palier a été franchi avec une recrudescence d'arrêts maladie dans plusieurs établissements, comme à Chalon-sur-Saône, en Saône-et-Loire, et à Lons-le-Saunier, dans le Jura. Dans la nuit de lundi à mardi, c'est l'équipe de nuit des urgences de l'hôpital Lariboisière, à Paris, qui s'est mise en arrêt maladie et ne s'est pas présentée au travail.

    Aux urgences, des personnels "détruits"

    "Les personnels sont en arrêt parce qu'ils veulent se protéger. Psychologiquement, ils sont détruits", alerte sur Europe 1 Christophe Prudhomme, porte-parole de l'Association des médecins urgentistes de France. "Les conditions de travail, quand on sait que les patients sont potentiellement en danger, [mettent le personnel dans] un stress permanent."

    Dans le viseur du médecin urgentiste à l'hôpital Avicennes de Bobigny et des personnels mobilisés se trouve Agnès Buzyn. Mardi, la ministre de la Santé a déclaré sur France Inter qu'utiliser les arrêts maladie pour protester revenait à "dévoyer" ce système, avec "une surcharge de travail pour les autres".

    " Agnès Buzyn met les patients en danger "

    "Les propos tenus par Madame Buzyn sont proprement scandaleux", s'emporte Christophe Prudhomme sur notre antenne. "Madame Buzyn est aujourd'hui en train de tuer l'hôpital public, elle met les patients en danger. Son rôle, en tant que ministre, est d'assurer la sécurité des patients en permettant aux professionnels de santé de travailler en sécurité, ce qui n'est pas le cas aujourd'hui."

    Plus globalement, l'urgentiste dénonce l'attitude "méprisante" du gouvernement dans ce dossier : "Elle [Agnès Buzyn, NDLR] ne travaille pas avec nous. Il y a un collectif et des syndicats qui ont déposé des préavis de grève, nous n'avons pas été reçu jusqu'à présent." Selon lui, "la ministre ment" lorsqu'elle dit qu'elle "cherche des solutions" et qu'elle "travaille avec les urgentistes".

    De nouvelles actions envisagées

    "Quand Emmanuel Macron dit qu'il ne fermera aucun hôpital, aujourd'hui, on ferme des services, des maternités et des malades attendent sur des brancards pendant des heures parce qu'on n'a plus assez de lits", poursuit l'urgentiste. "C'est ça la réalité des urgences aujourd'hui. Les politiques, aujourd'hui, mentent honteusement, alors que notre système de santé est en grande difficulté et que les professionnels souffrent douloureusement. On n'a même pas la bienveillance de nos directions locales, qui ne pensent qu'à équilibrer le budget à la fin de l'année."

    Le conflit entre le gouvernement et les services d'urgence ne semble donc pas prêt de s'arrêter. Va-t-il s'étendre avec de nouvelles actions les nuits prochaines ? "Si la ministre persiste dans son refus de recevoir les représentants des salariés, le collectif Inter-urgences, avec les syndicats, oui (cela va s'étendre), parce que le personnel soignant n'est pas le seul à utiliser ce mode de protestation : il y a quelques mois, c'est une compagnie de CRS entière qui s'est mise en arrêt maladie", rappelle Christophe Prudhomme, alors qu'une manifestation du secteur des urgences doit avoir lieu jeudi.

    Europe 1


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  • Affaire Carlos Ghosn : Rachida Dati et Alain Bauer visés par une enquête pour des contrats avec la filiale néerlandaise de Renault-Nissan

    La députée européenne et le spécialiste des questions de sécurité sont soupçonnés d’avoir perçu des fonds suspects de Renault-Nissan BV.

    Nouveau rebondissement dans l'affaire Carlos Ghosn. Cette fois, c'est l'ancienne ministre de la Justice, Rachida Dati, et le spécialiste des questions de sécurité Alain Bauer qui sont visés par une enquête préliminaire du Parquet national financier (PNF). Selon l'hebdomadaire Marianne, ces derniers sont accusés "d’avoir perçu des fonds potentiellement suspects via la structure néerlandaise de Renault-Nissan BV (RNBV), un établissement financier monté sous la présidence de Carlos Ghosn".

    Cette enquête, confiée aux policiers de l’office anticorruption, fait suite à la plainte d'une petite actionnaire pour corruption active et passive, abus de biens sociaux et recel, visant Rachida Dati, Alain Bauer et l'ex-PDG de Renault-Nissan Carlos Ghosn, par ailleurs en délicatesse avec la justice japonaise qui l'accuse de malversations financières.

    Le conseil d'administration de Renault a annoncé mardi soir dans un communiqué qu'une mission d'audit mise en place avec Nissan sur RNBV avait "confirmé des déficiences" dans cette structure "au plan de la transparence financière et des procédures de contrôle des dépenses". Le conseil d’administration demande la "mise en oeuvre des actions judiciaires disponibles aux Pays-Bas" concernant des surcoûts lors de déplacements de Carlos Ghosn en avion, des dépenses engagées par l'ex-PDG, et pour obtenir le dédommagement de dons à des organismes à but non lucratif.

    franceinfo


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  • Soupçons de fraude fiscale: le père de Laeticia Hallyday placé en garde à vue

    André Boudou, le père de Laeticia Hallyday, a été placé en garde à vue dans le cadre d'une enquête portant sur des soupçons de fraude fiscale.

    André Boudou est interrogé par des enquêteurs de la police judiciaire de Montpellier sur la gestion de sa discothèque à Agde, l'Amnésia, dont son fils Grégory est désormais le propriétaire.

    En avril 2018, Grégory Boudou avait lui-aussi été placé en garde à vue dans le cadre de cette enquête. La justice soupçonne le frère de Laeticia Hallyday de malversations financières.

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    Une famille de truands, Latatia a de qui tenir (rire)


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