• À Béziers, les personnes âgées victimes de vols et d'agressions en série

    Trois individus, auteurs présumés des faits, ont été interpellés en début de semaine. Entre fin juillet et mi-août, ils ont commis six vols avec violence, dont un avec arme, sur des personnes âgées dans le centre-ville de Béziers (Hérault).

     

    Le mode opératoire est à chaque fois identique. En l'espace de trois semaines, six personnes âgées de 60 à 85 ans ont été violemment agressées dans le centre-ville de Béziers (Hérault). L'auteur arrivait par-derrière, frappait la victime au visage avant de repartir avec ses effets personnels. Dans un des cas, les faits de vols avec violences se sont déroulés avec une arme: une des victimes s'est fait brutalement frapper le visage avec une pierre.

    Chaque agression s'est déroulée en plein jour, dans des petites rues aux abords de la Cathédrale et «sans aucun témoin», précise Caroline Ravoux, commissaire centrale adjointe du commissariat de Béziers. Fin juillet, un premier couple se fait attaquer. «Ils sont venus porter plainte d'eux-mêmes», précise le commissaire. Puis jusqu'au 16 août, date de la dernière agression, quatre autres femmes se sont fait attaquer et voler leurs sacs à main. «Les victimes étaient visiblement des personnes vulnérables et ciblées», souligne le commissaire Ravoux.

    «Il y avait une importante disproportion entre les violences commises et les butins», rajoute Caroline Ravoux. Toutes les victimes, brutalement frappées, se sont vues prescrire entre cinq et dix jours d'interruption totale de travail. «C'est cette violence qui nous a particulièrement inquiétés et étonnés», précise le commissaire.

    Les trois auteurs présumés interpellés

    «Nous avons très vite mis en place un dispositif de surveillance dans la zone concernée», explique Caroline Ravoux. C'est pourtant grâce aux investigations habituelles que les enquêteurs du commissariat sont parvenus à remonter jusqu'aux auteurs des faits. En effet, l'un d'eux a utilisé le portable et la carte bleue de l'une des victimes.

    Cet homme, majeur, a ensuite orienté les policiers vers deux autres individus, cette fois-ci mineurs. Interpellés lundi 20 août, ils ont été placés en garde à vue et une instruction a été ouverte. «Ils sont désormais en détention provisoire et depuis, aucune autre agression n'est à déplorer», se félicite le commissaire Ravoux.

    Le Figaro.fr

    Des noms !!!


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  • Epidémie de choléra en Algérie : plus de 40 cas confirmés, un mort

    Les autorités sont accusées d’avoir dissimulé le retour de la maladie, qui n’était plus apparue depuis 1996 en Algérie.

     

    Le choléra est de retour en Algérie.

    Une quarantaine de cas, dont un mortel, ont été enregistrés à Alger et dans trois régions environnantes, a annoncé vendredi 24 août le ministère de la santé. Le choléra n’était plus apparu en Algérie depuis 1996.

    A Blida, Tipaza, Alger et Aïn Bessam, 41 cas de choléra ont ainsi été confirmés sur 88 cas suspects, selon le docteur Djamel Fourar, directeur général de la prévention du ministère, qui précise que 62 personnes restaient hospitalisées. « Ce sont des cas isolés, concentrés au niveau des familles, selon lui. On cherche le lien entre toutes les personnes contaminées. »

     

    Dissimulation

    « La possibilité que la contamination se soit faite par l’eau a été rejetée », sinon la propagation aurait été plus massive et plus rapide, a-t-il poursuivi, « l’hypothèse privilégiée actuellement est une contamination par des légumes ou des fruits mal lavés ».

    Mais les autorités sont accusées d’avoir dissimulé le retour du choléra dans le pays. RFI rappelle que les responsables de l’institut Pasteur et du ministère de la santé avaient tenu une conférence de presse le 20 août pour rassurer la population, affirmant qu’il s’agissait de cas de gastro-entérite.

    « Le 23 août, après le décès d’un homme, il s’agissait toujours officiellement d’intoxication alors même qu’un bloc spécial était créé pour isoler les patients », selon RFI.

    Le Monde.fr

     

    Le choléra est une toxi-infection entérique épidémique contagieuse due à la bactérie Vibrio choleræ, ou bacille virgule, découverte par Pacini en 1854 et redécouverte par Koch en 1883. Strictement limitée à l'espèce humaine, elle est caractérisée par des diarrhées brutales et très abondantes (gastro-entérite) menant à une sévère déshydratation. La forme majeure classique peut causer la mort dans plus de la moitié des cas, en l’absence de traitement (de quelques heures à trois jours).

    La contamination est orale, d’origine fécale, par l’eau de boisson ou des aliments souillés.

    Wikipédia


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - SAMEDI 25 08 2018


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  • Égypte: un hôtel évacué après la mort mystérieuse de deux touristes britanniques

    Le voyagiste Thomas Cook a annoncé qu'il évacuait tous ses clients d'un hôtel en Egypte où deux touristes britanniques sont morts mardi et d'autres voyageurs tombés malades, pour des raisons qui restent à élucider. 

    Le groupe a publié un communiqué dans la nuit de jeudi et vendredi dans lequel il se dit "très attristé par la mort tragique de deux clients qui séjournaient au Steigenberger Aqua Magic Hotel à Hourghada", une station balnéaire sur la côte de la mer Rouge en Egypte.

    Comme l'a depuis révélé la presse britannique, les défunts étaient un couple de sexagénaires venant de Burnley, dans le nord de l'Angleterre, John et Susan Cooper, 69 et 64 ans, qui passaient ces vacances en compagnie de leur fille et de leurs petits-enfants. Les journalistes avaient dans un premier temps présenté la mort du mari comme une "crise cardiaque" et estimé que son épouse était morte juste après "de chagrin". Mais aujourd'hui, le mystère plane sur les raisons de leur mort. 

    Beaucoup de malades parmi les clients 

    "Les circonstances de leurs morts ne sont pas encore établies. Nous avons aussi reçu des informations sur un nombre anormalement élevé de malades parmi les clients. Comme la sûreté est notre préoccupation première, nous avons la pris la décision d'évacuer tous les clients de cet hôtel", a expliqué Thomas Cook.

    Un porte-parole du voyagiste a précisé qu'environ 300 de ses clients séjournaient dans cet hôtel haut de gamme, dont 218 venaient du Royaume-Uni. Ces touristes vont être transférés dans un autre hôtel d'Hourghada ou bien ils pourront décider de rentrer chez eux dès ce vendredi s'ils préfèrent.

    "Nous continuons de travailler avec l'hôtel et soutenons les autorités dans leurs enquêtes. Le Steigenberger Aqua Magic Hotel a été contrôlé par Thomas Cook pour la dernière fois à la fin juillet 2018 et a reçu un taux d'approbation de 96%", a souligné le voyagiste. 

    Le motif criminel écarté par l'Egypte

    Le gouverneur de la mer Rouge, Ahmad Abdallah, avait confirmé la mort mardi des deux touristes britanniques en écartant "tout motif criminel".

    "Le mari a été transporté à l'hôpital après avoir été pris de fatigue et il est mort là-bas. Lorsque sa femme, qui se trouvait à l'hôtel, a été informée de son décès elle a subi un choc nerveux et est morte également selon le rapport médical préliminaire", a-t-il dit.

    Selon lui, "le couple était âgé et de nombreux médicaments ont été trouvés dans leur chambre, entre autres pour la tension et le diabète".

    "Aucun problème de santé" selon leur fille

    La fille du couple, qui devait quitter le jour du drame la station balnéaire, a été convoquée par le parquet pour interrogatoire, a-t-il poursuivi. Le parquet a décidé de pratiquer une autopsie du corps de la femme pour "s'assurer des causes du décès". La fille des défunts, Kelly Ormerod, a toutefois contredit les propos du gouverneur en disant que ses parents étaient jusque-là "en bonne santé".

    "Ils n'avaient aucun problème de santé. Nous n'avons aucune explication claire", a souligné Mme Ormerod dans un communiqué transmis à 2BR, une radio du Lancashire, la région d'origine de sa famille. "Papa n'est jamais allé à l'hôpital, il est mort dans sa chambre d'hôtel devant moi. Je suis allée à l'hôpital dans l'ambulance avec maman, où elle est morte", a-t-elle raconté.

    Contacté, le ministère britannique des Affaires étrangères a dit "soutenir la famille du coupe britannique mort à Hourghada et être en contact avec le tour opérateur local".

    BFM.TV


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  • Une entreprise américaine propose un "congé maternité" lorsque ses salariés adoptent un animal

    Bon, il est évidemment moins long que le classique congé de maternité, mais les employés ont tout de même le temps d'accueillir comme il se doit leur nouveau meilleur ami.

    Si vous avez déjà eu un chaton ou un chiot, alors vous savez à quel point ces animaux réclament du temps et de l'attention à leur arrivée chez vous – ce n'est pas votre canapé qui dira le contraire. Une entreprise américaine a bien compris cela, et a choisi de s'adapter aux besoins de nos copains à poils. 

    Nina Hale, une agence marketing basée dans le Minnesota, propose désormais à ses employés un "fur-ternity leave" (que l'on pourrait traduire par "congé de chaternité"), comme le rapporte le New York Times. Ainsi, si ces derniers adoptent un chat ou un chien, ils pourront travailler pendant une semaine de chez eux afin d'accueillir comme il se doit le nouvel arrivant. Soit presque aussi longtemps que les 11 jours du congé paternité accordé aux papas en France.

    "Pour beaucoup de gens, les animaux sont un peu comme leurs propres enfants", explique Allison McMenimen, vice-présidente de l'entreprise. "Nos employés sont tous à des moments différents de leurs vies", poursuit-elle, en sous-entendant que l'adoption d'un animal peut être un grand pas dans la vie d'une jeune personne n'ayant pas encore expérimenté la maternité ou la paternité par exemple.

    Depuis plusieurs années, de nombreuses entreprises proposent des services conçus pour "faciliter" la vie des employés : garderies, caféterias, salles de sport, tout est mis en place pour satisfaire – cloisonner ? – la main d'œuvre. Mais Nina Hall ne l'entend pas de cette oreille. "Offrir des avantages qui aident simplement à retenir les employés au bureau, c'est non", insiste Allison McMenimen.

    Si l'initiative de Nina Hall est assez peu commune, l'entreprise n'est pas la seule à penser aux compagnons de ses employés. Comme le précise le New York Times, un firme italienne a accordé un congé payé à une salariée dont le chien était tombé malade, tandis que l'agence new-yorkaise mParticle promet deux semaines de congés payés en cas d'adoption d'un chien de sauvetage ou d'un animal exotique. À quand une adoption de ces méthodes côté français ?

    M

    Très bonne idée


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  • Loiret: un boucher se tue accidentellement avec son couteau dans un supermarché

    Le boucher d’un magasin Super U situé à Châlette-sur-Loing, près de Montargis (Loiret) est décédé à la suite d’un grave accident de travail, mercredi 22 août. L’homme de 35 ans découpait de la viande lorsque son couteau à désosser s’est planté dans son thorax, rapporte La République du Centre.

    La victime, qui a appelé à l’aide, a été prise en charge par ses collègues puis transportée à l’hôpital. L’homme est décédé dans la soirée.

    Enquête ouverte

    Le parquet de Montargis a ouvert une enquête. L’inspection du travail s’est rendue sur les lieux du drame pour auditionner des témoins. Les enquêteurs doivent déterminer si le trentenaire portait une cotte de mailles et des gants de protection et si les règles d’hygiène et de sécurité ont été respectées.

    La direction du supermarché a mis en place pour ses employés une cellule psychologique avec un médecin et un psychologue.

    20 Minutes

    Boucher, ce n'est pas un métier !

    Faut être tordu pour aimer découper de pauvres animaux morts !


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  • NE PAS REGARDER AVANT DE MANGER !


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  • Seine-et-Marne: une cigogne s'électrocute et prive 1.700 foyers d'électricité

    Photo d'illustration

    Elle a provoqué un court-circuit, coupant l'alimentation électrique. Le courant a cependant pu être rétabli rapidement.

    L'animal n'a pas survécu au choc. Le Parisien rapporte ce jeudi un incident pour le moins insolite survenu mercredi en Seine-et-Marne. Se posant sur un poteau électrique, une cigogne a provoqué un court-circuit, privant d'électricité près de 2.000 foyers, répartis sur huit communes. Le gestionnaire, dont les agents ont pu intervenir à distance, explique que "ces manœuvres ont permis de rétablir rapidement le courant pour la plupart des clients".

    Au total, ce sont près de 1.700 foyers qui ont soudainement été plongés dans le noir. Les communes de Misy-sur-Yonne et Marolles-sur-Seine ont été les plus fortement impactées, avec respectivement 500 et 700 foyers concernés. Cité par le quotidien, Pierre-Emmanuel Lavaux, adjoint au maire de Barbey, une petite commune comptant 170 habitants et dont 80 foyers ont été touchés, explique avoir "craint un long dépannage mais les agents d'ERDF ont bien travaillé et l'intervention a été assez rapide".

    La cigogne est morte sur le coup

    L'élu précise que "la pompe d'alimentation en eau potable a aussi cessé de fonctionner temporairement mais sans conséquence, car le château d'eau était bien rempli". Du point de vue matériel, il constate "très peu de dégâts, le bas-côté a juste brûlé autour du poteau". Malgré la première intervention à distance, des électriciens ont tout de même dû se rendre sur place, pour réparer les dégâts. Et constater la mort de l'échassier.

    L'incident s'est déroulé peu après 22h et les techniciens ont achevé leur travail aux alentours d'1h du matin. Également citée par le journal, la ligue de protection des oiseaux (LPO) d'Île-de-France explique qu'il "n'est pas fréquent mais il n'est pas rare de voir des cigognes dans notre région à cette époque. C'est la période de migration post-nuptiale". Et déplore que "les oiseaux de grande envergure sont parfois victimes d'accidents de ce type".

    BFM.TV

    Pauvre cigogne !


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  • Landes: Un cinéma attaqué par plus de 2.000 frelons asiatique

    Cela aurait pu être le scénario d’un film à sensation. Jeudi, le cinéma Les Toiles du Moun à Saint-Pierre-du-Mont dans les Landes, a dû faire face à l’attaque de plus de… 2.000 frelons asiatiques, rapporte Sud Ouest.

    C’est la femme de ménage qui, tôt dans la matinée, et alors qu’elle terminait son travail, a découvert la scène. Les frelons avaient investi le parking du cinéma, et l’employée ne pouvait plus sortir de l’établissement.

     

    « Il y en avait sur le toit, sur les lampadaires, au niveau des portes d’entrées »

    Alerté, le directeur du cinéma décide logiquement de fermer ses salles pour la journée, et fait appel à une société basée dans les Landes pour une intervention d’urgence. « Il y en avait sur le toit, sur les lampadaires, au niveau des portes d’entrées » témoigne Nicolas Schils, applicateur hygiéniste, dans les colonnes de Sud Ouest.

    Cette invasion provenait d’un nid installé dans un terrain vague voisin, et qui avait été repéré dès mardi par des salariés du cinéma. Trop lourd pour l’arbre qui l’abritait, la branche à laquelle il était accroché a cédé et les frelons se sont échappés dans la nuit de mercredi à jeudi.

    Au final, personne n’a été blessé. Et le cinéma a même pu réouvrir ses portes pour sa dernière séance de 21h50.

    20 Minutes


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - VENDREDI 24 08 2018

     

    Je vous souhaite une bonne journée


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  • Montauban: Une femme de 74 ans violée en pleine rue dans le centre-ville

    Une septuagénaire a été violée par un homme dans le centre-ville de Montauban, dimanche matin, alors qu’elle promenait son chien…

    Elle a désormais regagné son domicile mais reste choquée. Une femme de 74 ans a dû être hospitalisée après avoir été violée en pleine rue à Montauban, rapporte Radio Totem.

    La septuagénaire promenait son chien dimanche matin, rue des Soubirous Bas, dans le centre historique de la préfecture du Tarn-et-Garonne. Elle a alors été suivie par un homme, qui l’a agressée puis violée. Il a été mis en fuite par un passant.

     

    Le suspect était ivre au moment des faits

     

    Une demi-heure plus tard, un suspect âgé de 35 ans était interpellé par la police sur la place Nationale, à proximité des lieux du viol. Ivre au moment des faits, il a été mis en examen et écroué.

    20 Minutes 


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 23 08 2018

     

    Passez une bonne soirée


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  • Pays-Bas: Vingt ans après le meurtre d'un enfant, le suspect identifié et recherché dans les Vosges

    Les enquêteurs néerlandais ont indiqué mercredi avoir trouvé un suspect dans le meurtre d’un jeune garçon commis en août 1998 dans le sud des Pays-Bas...

    Un suspect identifié 20 ans après le crime. Les faits se sont déroulés au Pays-Bas mais la piste du meurtrier présumé se trouve dans les Vosges (côté alsacien). Les enquêteurs néerlandais ont en effet indiqué mercredi avoir trouvé un suspect dans le meurtre brutal d’un jeune garçon commis en août 1998 dans la province de Limbourg, au sud des Pays-Bas.

    Une chasse à l’homme a alors été engagée dans le massif vosgien pour retrouver un Hollandais meurtrier présumé dans une affaire qui continue d’ébranler les Pays-Bas aujourd’hui et qui, selon un journaliste néerlandais interrogé par l'Est républicain, est «l’équivalent de l’ affaire Grégory».

     

    De quelle affaire parle-t-on ?

    Nicky Verstappen, jeune Néerlandais de 11 ans, avait disparu d’un camp de jeunesse dans la nuit du 9 au 10 août 1998 dans la réserve naturelle de Brunssummerheide, située donc dans la province de Limbourg. Son corps avait été retrouvé le jour suivant. Il s’était avéré que l’enfant avait été abusé sexuellement avant d’être tué. A l’époque, la police avait mené des recherches à grande échelle. En vain : le tueur n’a jamais été retrouvé.

     

    Qui est le suspect ?

    « Nous recherchons Jos Brech, 55 ans. Il a été vu pour la dernière fois en France », a indiqué l’inspecteur de police Ferdinand Schellinkhout lors d’une conférence de presse à Maastricht. Les polices néerlandaise et française pensent que Joseph Theresia Johannes Brech (son vrai nom), âgé de 35 ans au moment des faits, se cache actuellement dans les montagnes des Vosges, où il possède un chalet.

    Sa famille l’a porté disparu en avril, après qu’il leur a annoncé qu’il partait pour une balade en montagne. France Bleu Alsace souligne que sur le site internet Life in the wildernes «, un message indique qu’il a disparu depuis fin février alors qu’il logeait dans un camp de base » Old Crow" de Sainte-Marie-aux-Mines. Par ailleurs, Jos Brech serait un expert en survie. « Nous sommes persuadés que le suspect est parti se cacher », a annoncé Ingrid Schaefer-Poels, chef de la police de Limbourg, demandant à toute personne ayant des informations de contacter les autorités.

     

    Comment sa trace a-t-elle été retrouvée ?

    Cette année, la police a lancé un appel à plus de 20.000 hommes afin de récolter des échantillons ADN. Grâve aux nouveaux outils numériques, un profil ADN a pu être développé en 2008 à partir de traces prélevées sur les vêtements de Nicky Verstappen. Mais jusqu’alors aucune correspondance n’avait été trouvée. « Les nouvelles techniques d’investigation nous ont donné de nouvelles opportunités. Nous avons à présent une correspondance ADN directe avec les traces (d’ADN) retrouvées sur le corps de Nicky Verstappen », a indiqué Ferdinand Schellinkhout.

    S’il avait été entendu en tant que témoin dans cette affaire, Jos Brech ne figurait pas parmi les volontaires sur lesquels les enquêteurs ont récolté des échantillons ADN, ce qui a créé la suspicion. C’est en fouillant dans son chalet dans les Vosges que la police a trouvé des traces ADN sur ses affaires personnelles. « Et ça correspondait », a indiqué le procureur en chef Jan Eland.

    20 Minutes


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  • Abandonné par ses maîtres, ce chien s’est laissé mourir de tristesse

    Un petit chien a été abandonné par ses maîtres à l’aéroport de Bucaramanga en Colombie. Quand il s’est rendu compte que sa famille l’avait livré à lui-même, il s’est laissé dépérir.

     

    Nos animaux comprennent et ressentent beaucoup de choses. L’abandon de ce chien par ses maîtres lui a été fatal. Recueilli par le personnel de l’aéroport, il a passé un mois à errer de couloirs en couloirs, cherchant désespérément ses maîtres. Mais ils ne sont jamais venus le rechercher. L’animal est alors tombé en dépression, et a cessé de se nourrir, raconte The Sun.

    Le personnel de l’aéroport a essayé de le nourrir par tous les moyens. Mais rien n’y a fait. Un vétérinaire a été appelé pour le secourir, en vain. « Même si nous lui avons donné de la nourriture et des médicaments par injection intraveineuse, il est tombé dans la tristesse et la dépression et n’a pas survécu », a déclaré Alejandro Sotomonte Nino, vétérinaire à la fondation colombienne de protection des animaux.

    Abandonné par ses maîtres, ce chien s’est laissé mourir de tristesse

    Sudinfo.be - novembre 2017


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  • Le chef de Daesh appelle à poursuivre le «djihad» dans un enregistrement

    © Uncredited/AP/SIPA Abou Bakr al-Baghdadi dans une vidéo de propagande de juillet 2014. 

    Le chef de Daesh Abou Bakr al-Baghdadi a appelé ses partisans à poursuivre le « djihad » dans un message audio diffusé mercredi sur Telegram par des comptes pro-EI (groupe Etat islamique), le premier enregistrement qui lui est attribué en près d’un an.

    Dans son message, diffusé à l’occasion de l’Aïd al-Adha, la fête musulmane qui marque la fin du grand pèlerinage à La Mecque, le « calife » auto-proclamé appelle à « frapper pour terroriser », exhortant ses partisans en Occident à mener des attaques à l’explosif ou à l’arme blanche « sur leurs terres ». Cet enregistrement est diffusé alors que Daesh est acculé en Syrie et a été chassé de tous les centres urbains d’Irak après avoir contrôlé de vastes territoires dans ces deux pays.

    « Ceux qui oublient leur religion, la patience, le djihad contre leurs ennemis et leur certitude dans la promesse du Créateur s’effondrent et tombent. Ceux qui s’y tiennent sont fiers et victorieux même après un certain temps », y affirme celui qui est présenté comme Abou Bakr al-Baghdadi par un message de propagande au début de cet enregistrement d’une durée de près d’une heure.

     

    Abou Bakr al-Baghdadi déjà donné mort à plusieurs reprises

     

    Le dernier message sonore attribué au chef de Daesh remontait au 28 septembre 2017. Il y appelait déjà ses combattants qui enregistraient défaite sur défaite en Syrie et en Irak à « résister » face à leurs ennemis, notamment après la perte de la « capitale » autoproclamée de l’EI en Irak, Mossoul.

    Dans l’enregistrement de mercredi, il affirme que « l’Etat du califat se maintiendra si Dieu le veut (…), fera triompher la religion, combattra ses ennemis ». Il en appelle à ses partisans dans plusieurs pays arabes, en Asie et en Afrique, où différents groupes radicaux lui ont prêté allégeance. Il revendique en outre la fusillade survenue fin juillet à Toronto, au Canada, dont l’EI a déjà dit être responsable mais au sujet de laquelle la police locale s’est montrée circonspecte.

    Abou Bakr al-Baghdadi, donné mort à plusieurs reprises, serait encore vivant et se trouverait en territoire syrien, le long de la frontière avec l’Irak, selon des responsables irakiens. Cette année, au début du mois de juillet, les services de renseignement irakiens avaient annoncé que le fils du chef du groupe ultraradical, Houdhayfah al-Badri, avait été tué en Syrie par trois missiles téléguidés russes ayant visé une grotte où il se trouvait. Les Etats-Unis ont offert 25 millions de dollars pour la capture du chef de l’EI qui avait proclamé en 2014 un « califat » sur des pans entiers de Syrie et sur près d’un tiers de l’Irak.

     

    Sa seule apparition publique connue date de juillet 2014

     

    Aujourd’hui, après une vaste opération militaire des forces irakiennes appuyées par une coalition antidjihadistes conduite par les Etats-Unis, Daesh n’aurait plus que des cellules dormantes clandestines en Irak. En Syrie, le groupe est combattu à la fois par une force arabo-kurde appuyée par la coalition antidjihadistes, mais aussi par les forces du régime de Bachar al-Assad soutenues par la Russie. L’EI n’est plus présent que dans certaines zones désertiques du centre et de l’est du pays en guerre.

    C’est à Mossoul, deuxième ville d’Irak, que Baghdadi a fait sa seule apparition publique connue, en juillet 2014, à la mosquée al-Nouri, détruite depuis. En juin 2017, la Russie avait dit l’avoir probablement tué dans un raid de son aviation près de Raqa, l’ex-capitale du groupe, en Syrie. Selon Moscou, le raid avait eu lieu fin mai. La Russie avait ensuite souligné qu’elle continuait de vérifier s’il était bien mort.

    20 Minutes


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  • Trappes : ce que l'on sait de l'attaque au couteau survenue ce jeudi matin

    Un homme armé d'un couteau a tué deux personnes et blessé grièvement une autre, ce jeudi 23 août, à Trappes (Yvelines). Il a ensuite été  tué par les forces de l'ordre alors

    qu'il sortait du pavillon où il était retranché, a appris l'AFP de source policière. L'attaque

    a été revendiquée par le groupe Etat islamique même si le mobile reste confus. Pour autant, "la piste d'un différend familial n'est pas écartée", indique une source proche du dossier à France 2. Le parquet antiterroriste ne s'est pas saisi du dossier pour le moment.

     
       
    L'individu était fiché S. Il était connu pour "apologie du terrorisme", ajoute
    une source policière à franceinfo. Plusieurs témoins affirment l'avoir entendu crier "Allah akbar" au moment des faits. 

    Les personnes tuées dans l'attaque au couteau de jeudi à Trappes (Yvelines) sont la mère et la sœur de l'assaillant, a annoncé à l'AFP une source proche de l'enquête. 

     

    Située à 30 km à l'ouest de Paris, Trappes est une ville pauvre au milieu du riche département des Yvelines. La moitié de ses 30.000 habitants a moins de 25 ans et le

    taux de chômage y approche des 20%.

    Le gouvernement a placé la ville sur la liste des trente quartiers de "reconquête républicaine" impliquant des moyens et des effectifs supplémentaires pour la police. Le ministre de l'Intérieur, Gérard Collomb, se rend à Trappes. Il sera accompagné de

    François Molins, procureur de la République de Paris.

    La Dépêche.fr


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  • L’huile de palme menace aussi les primates d’Afrique

    L’huile de palme va-t-elle mettre en péril la biodiversité du continent africain, après avoir causé des ravages en Indonésie et en Malaisie ?

    En Asie, elle entraîne une déforestation massive qui décime notamment les populations d’orangs-outans de l’île de Bornéo. Une étude internationale menée par des chercheurs du Centre commun de recherche de la Commission européenne et de plusieurs pays (Afrique du Sud, France, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suisse), publiée le 13 août dans les comptes-rendus de l’Académie des sciences américaines, laisse craindre que la menace soit sérieuse en Afrique aussi.

    La production d’huile de palme, aujourd’hui issue à 85 % d’Asie du Sud-Est, est tirée par la croissance continue de la demande mondiale, pour ses usages alimentaires mais aussi pour l’élaboration d’agrocarburants.

    Selon de précédentes études, 53 millions d’hectares supplémentaires pourraient être nécessaires à sa culture en 2050, dont 44 millions pour l’alimentation et 9 millions pour les carburants. Ce qui signifierait de presque multiplier par quatre les superficies par rapport aux 20 millions d’hectares de terres dédiés, en 2015, à cette filière.

    Cette expansion pourrait se faire en grande partie en Afrique, où des écosystèmes tropicaux de basse altitude sont adaptés à cette culture, déjà pratiquée – à encore relativement petite échelle – au Nigeria, en Côte d’Ivoire, en République démocratique du Congo (RDC), au Cameroun, au Gabon ou au Ghana.

    « Les primates, bons indicateurs de la biodiversité »

    Les chercheurs en ont analysé les impacts prévisibles sur les 193 espèces de primates recensés sur le sol africain, sachant que 37 % de celles qui vivent sur le continent et 87 % de celles de l’île Madagascar sont classées comme « menacées d’extinction » par l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

    L’huile de palme menace aussi les primates d’Afrique

    Un mandrill

     

    C’est le cas de nombreux singes, tels que le chimpanzé commun, le bonobo, le mandrill, le macaque de Barbarie (aussi appelé magot), le kipunji, le cercopithèque à queue de soleil, le mangabey à crête ou le colobe roux. Et aussi celui de multiples lémuriens de Madagascar, comme le maki mococo, l’avahi méridional, le lémur à front blanc, le lépilémur de Sahamalaza, le grand hapalémur, le propithèque soyeux ou le vari noir et blanc.

    « Les primates, soulignent les auteurs, sont de bons indicateurs de l’ensemble de la biodiversité. » En outre, « en dispersant les graines, ils jouent un rôle important dans le maintien de la composition des écosystèmes forestiers ».

    Les chercheurs ont voulu savoir dans quelle mesure des plantations de palmiers à huile étaient compatibles avec la préservation de ces primates. Ils ont défini trois niveaux, à la fois pour les rendements des cultures et pour la protection des animaux. Il apparaît que sur les quelque 30 millions de km2 du continent africain (3 milliards d’hectares), 9 % seulement sont propices à cette culture, pour l’essentiel dans une zone allant de la Côte d’Ivoire à la RDC, ainsi que sur une portion de la côte Est, en Tanzanie et au Mozambique, plus le nord de Madagascar. Ce qui représente, tout de même, 273 millions d’hectares.

    Un terrain de compromis est quasi impossible

    Mais sur ce total, une infime partie de 130 000 hectares seulement pourrait allier un haut rendement et un faible impact sur les primates. Même si les industriels se contentaient d’une productivité moyenne ou faible, ils ne pourraient exploiter que 3,3 millions d’hectares s’ils avaient en même temps le souci de n’avoir qu’un impact limité sur la faune. Trouver un terrain de compromis entre intérêts économiques et défense de la nature est donc quasi impossible.

    Les scientifiques ont poussé plus loin leurs calculs. Dans l’hypothèse – vertueuse – où les cultures se concentreraient sur les terres les moins accessibles où les primates sont donc le moins vulnérables, cinq espèces en moyenne perdaient un hectare d’habitat pour chaque hectare converti à l’huile de palme. Et dans le cas – malheureusement le plus probable – où seraient d’abord choisis les sols les plus faciles d’accès et les plus productifs, le nombre d’espèces « expropriées » grimperait à seize.

    « De la même façon que la culture d’huile de palme a des conséquences dramatiques sur la biodiversité en Asie du Sud-Est, concilier développement à grande échelle de cette culture en Afrique et conservation des primates sera très difficile », concluent les chercheurs, qui mettent en garde contre « des effets négatifs inévitables ».

    « Des solutions existent »

    « Pour conserver la biodiversité africaine, des solutions existent, assure pourtant Ghislain Vieilledent, écologue au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement et cosignataire de l’étude. L’une d’elles pourrait consister à augmenter la productivité des plantations actuelles par l’utilisation de semences à haut rendement en huile et adopter de meilleures pratiques agricoles. »

    La parade la plus sûre serait toutefois que les pays du Nord réduisent drastiquement leur consommation, et que des millions d’hectares de forêts tropicales ne soient pas abattus pour alimenter les voitures en biodiesel.

    Reste que selon un rapport publié fin juin par l’UICN, remplacer les palmiers à huile – dont provient aujourd’hui 35 % de toute l’huile végétale consommée dans le monde –, par d’autres oléagineux (soja, tournesol ou colza) exigerait jusqu’à neuf fois plus de terres pour la même production. Ce qui rend peu plausible une substitution de cultures. Pour les singes et les lémuriens d’Afrique, l’avenir est donc sombre.

    Le Monde.fr


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