• CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 30 04 2018

     

    Je vous souhaite une bonne soirée


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  • C'est quoi un dunk ? Mettre un ballon dans le panier ?


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  • Toulouse: L'accro au porno piégeait des adolescentes sur Internet

    Un homme de 37 ans vient d’être condamné à trois ans de prison ferme pour avoir durant plusieurs années piégé des adolescentes sur Internet…

    Durant près de cinq ans, il a piégé des adolescentes sur Internet. Après les avoir amadouées sur des forums, il demandait aux jeunes filles de se déshabiller devant leur caméra et de se masturber. Et si elles s’avisaient de vouloir le dénoncer, il les menaçait de diffuser l’enregistrement.

    Un homme de 37 ans, originaire de l’agglomération toulousaine, a été condamné en fin de semaine dernière par le tribunal correctionnel de Toulouse à trois ans de prison ferme relate La Dépêche du Midi.

    Cet habitant de Cugnaux, accro aux films porno, a piégé selon le même mode opératoire plusieurs mineures. Jusqu’a ce que les gendarmes toulousains, chargés de la cybercriminalité​ mettent un terme à son stratagème en se faisant passer eux-mêmes pour une jeune fille.

     

    10.000 vidéos retrouvées chez lui

    Interpellé le 27 mars 2017, les enquêteurs ont découvert chez lui pas moins de 100.000 images et 10.000 vidéos à caractère pornographique, rapporte le quotidien régional. Les gendarmes ont retrouvé quatre de ses victimes, dont une s’est portée partie civile.

    En plus de sa condamnation à trois ans de prison ferme, il a écopé de 5 ans de suivi sociojudiciaire et d’une interdiction d’entrer en contact avec des mineurs.

    20 Minutes

    Fallait vraiment qu'elles soient nocs pour se masturber devant leur écran !!!


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  • Cholet: Un adolescent retrouvé battu et poignardé

     

    Six personnes ont été interpellées dans le cadre de l'enquête de police ouverte suite à des violences samedi soir dans un quartier de Cholet...

    Les policiers choletais ont interpellé dimanche six jeunes, majeurs et mineurs. Ils recherchent d’autres suspects dans une enquête ouverte suite à des violences urbaines samedi soir et la découverte d’un adolescent battu et poignardé, rapporte Ouest France.

    Les circonstances restent pour le moment floues. Une dispute entre deux bandes rivales aurait éclaté aux abords de l’hôtel de ville de Cholet (Maine-et-Loire) vers 19 h. Dans la foulée, une deuxième rixe aurait éclaté au sein du quartier Favreau.

     

    Frappé et poignardé dans un ascenseur puis une cour d’école

    Un adolescent de 16 ans aurait alors pris la fuite, et aurait été poursuivi par d’autres jeunes qui l’auraient rattrapé puis frappé et poignardé une première fois dans l’ascenseur d’une tour, puis une seconde fois dans une cour d’école. Les assaillants auraient pris la fuite dans des voitures et une camionnette à l’arrivée de la police.

    Pris en charge par le service mobile d’urgence et de réanimation puis transporté au centre hospitalier de Cholet dans un état grave, le jeune homme aurait subi deux opérations. Il serait toujours dans un état critique.

    20 Minutes


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  • Un vendeur à la sauvette grièvement blessé en tentant de fuir la police à Versailles

    Un vendeur à la sauvette était entre la vie et la mort après avoir été grièvement blessé dimanche à Versailles. 

    Un vendeur à la sauvette était entre la vie et la mort après avoir été grièvement blessé dimanche à Versailles (Yvelines), alors qu'il tentait d'échapper à un contrôle policier, a-t-on appris lundi de source policière.

    Vers midi, des policiers ont repéré un vendeur à la sauvette rue Carnot, non loin du château de Versailles, et tenté de contrôler son identité. Le vendeur a alors "pris la fuite en courant", selon la même source, confirmant une information du Parisien.

    Deux fonctionnaires de police l'ont poursuivi à pied, suivi de près par un fourgon. Le vendeur à la sauvette a ensuite "traversé la route subitement" et été percuté "au niveau du flanc" par ce véhicule qui n'est pas parvenu à l'éviter. Inconsciente, la victime, dont le pronostic vital est engagé, a été transportée par les secours au centre hospitalier Pompidou à Paris.

    L'un des policiers a également été blessé: lancé à la poursuite du vendeur, il a lui aussi été percuté par le fourgon qui lui a roulé sur un pied et été hospitalisé pour "une suspicion de fracture à la cheville droite".

    "Une enquête est en cours", a assuré la police, pour éclairer les circonstances du drame. Une autre enquête pour connaître l'identité de la victime, qui n'avait pas de papiers d'identité sur elle, a été ouverte.

    Paris Match


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  • Le corps de la policière disparue en janvier dans la Seine a été retrouvé

    La plongeuse de la police avait disparu au cours d'un exercice de routine, le 5 janvier dernier, dans une Seine en pleine crue. Selon l'Unsa-Police, «rien ne motivait que l'on mette en place cet exercice».

    Le corps d'une plongeuse de la police qui avait disparu il y a près de quatre mois au cours d'un exercice de routine à hauteur de la cathédrale Notre-Dame de Paris dans la Seine, alors en crue, a été retrouvé dimanche à quelques centaines de mètres de là. La dépouille d'Amandine Giraud, 27 ans, a été découvert dans ce fleuve en aval du pont des Arts, a appris l'AFP auprès de la préfecture de police.

    La pertinence de cet exercice en question

    L'accident s'était produit le 5 janvier, quelques jours après le passage de la tempête Eleanor qui avait fait monter le niveau de la Seine dans la capitale française. À 10h50 du matin, la brigadière originaire de Nice qui n'avait son diplôme de plongée sous-marine que depuis trois semaines, disparaissait dans l'eau glacée de la Seine. Pendant plusieurs jours, 112 pompiers, 20 bateaux pneumatiques, deux hélicoptères et quatre équipes cynophiles avaient tenté de localiser la jeune femme, en vain. L'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a ouvert une enquête.

    Dans de telles conditions, «rien ne motivait qu'on mette en place cet exercice», avait estimé un responsable local du syndicat Unsa-Police, Nicolas Pucheu. Selon lui, la policière n'avait son diplôme de plongée sous-marine «que depuis trois semaines». «C'était pour nous suicidaire de la mettre à l'eau», avait-il dit.

    La préfecture de police avait assuré de son côté que l'entraînement de routine auquel participait la jeune femme était «prévu et encadré».

    Or dans son édition de cette semaine, le journal satirique Le Canard enchaîné, citant des éléments de l'enquête, affirme au contraire qu'il s'est décidé «sur un coup de tête, le matin même». Pendant cet exercice, la corde ou «ligne de vie» qui reliait Amandine Giraud à un bateau pneumatique amarré au quai de Notre-Dame «a été détachée de l'embarcation à la suite d'une erreur d'appréciation» d'un moniteur, écrit-il. La mère de la policière, citée par le Canard enchaîné, a annoncé qu'elle portait plainte.

    Le Figaro.fr


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  • Seine-Saint-Denis : une femme de 63 ans tuée à coups de couteau, son mari interpellé

    Une femme de 63 ans a été tuée samedi de plusieurs coups de couteau au Blanc-Mesnil en Seine-Saint-Denis après un différend avec son mari qui a reconnu les faits lors de son interpellation, a-t-on appris dimanche de sources concordantes.

    "Quatre coups de couteau."

    L'homme, âgé de 63 ans, a reconnu les faits lors de son interpellation dans l'appartement du couple. "Il a dit 'c'est moi qui ai poignardé ma femme'", a précisé une source proche de l'enquête. Selon l'homme mis en cause, les faits "font suite à une dispute, sa femme lui faisant des reproches qu'il n'a pas supporté", a ajouté cette source. D'après les premiers éléments, il a porté "quatre coups de couteau" à la victime, a ajouté une source policière.

    Des voisins ont dit aux enquêteurs avoir entendu la victime crier, puis l'avoir trouvée "en sang dans les escaliers" de l'immeuble. "Ils l'ont suivie jusque dans la rue, où elle s'est effondrée", a ajouté cette source. Malgré la prise en charge des secours, elle est décédée des suites de ses blessures vers 18h samedi.

    Enquête pour "meurtre par conjoint".

    Le couple était marié depuis 30 ans, a précisé la source proche de l'affaire. L'enquête, ouverte pour "meurtre par conjoint", a été confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis, a dit le parquet de Bobigny. En 2016, 123 femmes ont été tuées par leur mari, ex-mari ou compagnon ou amant en France, soit une tous les trois jours, selon des chiffres officiels.

    Europe 1


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  • Kaboul : au moins 25 morts dans un double attentat-suicide

    Kaboul : au moins 25 morts dans un double attentat-suicide

    Au moins 25 personnes, dont un photographe de l'Agence France-Presse et trois autres journalistes, ont été tuées dans un double attentat-suicide lundi à Kaboul, dont le second a visé la presse accourue sur le site du premier.

    L'attaque a été rapidement revendiquée par le groupe État islamique (EI) qui s'en est pris dans un communiqué aux « apostats des forces de sécurité et des médias ». Selon un nouveau bilan du ministère de l'Intérieur en milieu de journée à Kaboul, le double attentat a fait au moins 25 morts et 49 blessés. « Six journalistes et quatre policiers figurent au nombre des tués dans ces deux explosions », a précisé à l'Agence France-Presse le porte-parole du ministère Najib Danish.

    Shah Marai, chef photographe du bureau de l'Agence France-Presse à Kaboul, qui s'était rendu sur les lieux de la première explosion, a été tué par la deuxième déflagration survenue une trentaine de minutes plus tard. Shah Marai travaillait pour l'Agence France-Presse depuis 1996. Il a notamment contribué à la couverture pour l'agence de l'invasion américaine de 2001. Cinq autres journalistes présents ont été fauchés par cette explosion. Tous travaillaient pour des télévisions afghanes, dont un pour la chaîne Tolo News, déjà éprouvée par un attentat en 2016 qui avait fait sept morts et avait été revendiqué par les talibans. Selon une source sécuritaire, le kamikaze qui a visé la presse s'était préalablement glissé parmi les reporters, « muni d'une caméra ». « Le kamikaze s'est fait exploser parmi les journalistes, il a fait des victimes », a précisé le porte-parole de la police de Kaboul Hashmat Stanikzai.

    Attentats à répétition

    « Nous sommes dévastés par la mort de notre photographe Shah Marai qui témoignait depuis plus de quinze ans de la tragédie qui frappe son pays. La direction de l'Agence France Presse salue le courage, le professionnalisme et la générosité de ce journaliste qui avait couvert des dizaines d'attentats avant d'être lui-même victime de la barbarie », a déclaré Michèle Léridon, directrice de l'information de l'Agence France Presse. De nombreux messages de sympathie et de condoléances affluaient au bureau de l'AFP-Kaboul dont un autre journaliste, Sardar Ahmad, a été tué en mars 2014 avec toute sa famille, à l'exception d'un enfant alors âgé de trois ans, dans un attentat taliban. Sardar était un très proche ami de Shah Marai, qui lui-même laisse six enfants dont le dernier âgé d'à peine quelques semaines.

    Les reporters étaient allés couvrir le premier attentat, perpétré peu avant 8 heures, heure locale (3 h 30 GMT), à proximité du siège des services de renseignements afghans (NDS). « Un kamikaze circulant à bord d'une moto s'est fait exploser devant un cours d'anglais dans le secteur de Shash Darak », avait alors rapporté Stanikazai. Le siège du NDS avait été la cible d'un attentat-suicide en mars : un kamikaze à pied avait franchi le barrage de police et s'était fait exploser à l'entrée des bureaux, faisant trois morts et cinq blessés. Kaboul est devenue, selon l'ONU, l'endroit le plus dangereux d'Afghanistan pour les civils avec une recrudescence des attentats, généralement perpétrés par des kamikazes et tour à tour revendiqués par les talibans ou le groupe État islamique (EI). Le précédent en date dans la capitale, le dimanche 22 avril, a fait près de 60 morts et 20 blessés dans un quartier à majorité chiite : un kamikaze de l'EI avait visé un centre de délivrance de cartes d'identité en vue des élections législatives du 20 octobre. L'une des attaques les  plus meurtrières, le 27 janvier, avait fait 103 morts et plus de 150 blessés.

    Le Point


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  • La chanteuse Rose Laurens, qui s'illustra avec le morceau « Africa », tube des années 80, est décédée à 65 ans dans la nuit de dimanche à lundi des suites d'une longue maladie, a indiqué son compagnon Christian Soulié a l'Agence France-Presse. « Elle vous a fait danser par millions en créant Africa et en chantant Quand tu pars, et des dizaines d'autres titres. La flamme de Rose Laurens vient de s'éteindre à la suite d'une longue maladie à laquelle elle résistait encore sur la scène du Cabaret Sauvage en 2016 », écrit-il dans un communiqué.

    Après la parution de plusieurs singles dans les années 70, Rose Laurens, de son vrai nom Rose Podwojny, d'origine polonaise, décroche un rôle dans la comédie musicale Les Misérables en 1980. Elle sort son premier album en 1982, Déraisonnable (disque d'or), écrit par le compositeur Jean-Pierre Goussaud qui a notamment collaboré avec Dalida et Céline Dion. C'est sur cet album que figure le titre « Africa », qui s'est écoulé à plus d'un million d'exemplaires.

    Une dizaine d'albums

    Ce tube a été remis au goût du jour il y a quelques semaines par le chanteur Julien Doré qui en a fait reprise en duo avec Dick Rivers. Au total, Rose Laurens a sorti une petite dizaine d'albums, et a notamment collaboré avec Francis Cabrel, Jean-Jacques Goldman, Yves Duteil et plus récemment Pierre Palmade, avec qui elle a écrit son dernier album, ADN, avec lequel elle s'est produite en 2016 sur la scène parisienne du Cabaret Sauvage. Elle a joué en 2001 dans L'Ombre d'un géant, la comédie musicale de François Valéry. Elle a également participé en 2007 à la tournée RFM Party 80 aux côtés d'autres célébrités de cette période comme Lio et Début de soirée.

    Le Point


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - LUNDI 30 04 2018

     

    Passez un bon lundi et une excellente semaine


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONSOIR - 29 04 2018

     

    Passez une bonne soirée


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  • Quel crétin ce Domenach !


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  • La télévision saoudienne diffuse des images de lutteuses en tenue de combat... puis s'excuse

    Lors d'un tournoi de lutte à Djeddah, une publicité montrant des lutteuses a été diffusée sur les grands écrans du stade et à la télévision. Scandale pour les autorités saoudiennes, qui se sont excusées.

     

    Les débardeurs, brassières et justaucorps des lutteuses ne sont définitivement pas au goût des autorités saoudiennes. Lors du Greatest Royal Rumble, un fameux tournoi de catch qui se tenait à Djeddah vendredi dernier, Carmella, Bayley et Sasha Banks sont apparues sur les grands écrans du stade avant un match, rapporte The Independent. Dans leur tenue légère, les trois catcheuses étaient aussi sur les écrans de télévision qui rediffusaient l'événement à différents endroits du pays, et ce pour la première fois.

    La télévision d'État s'est empressée de couper la retranscription. Mais les 60.000 hommes, femmes et enfants présents dans le stade, ainsi que des centaines de téléspectateurs ont pu apercevoir l'accoutrement des trois sportives. Le lendemain, l'Autorité générale saoudienne des sports s'est immédiatement excusée dans une déclaration officielle:

    «L'Autorité s'est assurée d'interdire la diffusion de tout passage montrant des lutteuses, ou des scènes où l'on pourrait les voir, et l'a stipulé à la WWE.»

    La World Wrestling Entertainment est l'entreprise qui organise le tournoi, et gère les droits de diffusion. Pour ce Greatest Royal Rumble, elle a essuyé de nombreuses critiques: l'organisation n'a pas hésité à refuser les lutteuses sur le ring, comme l'exigeait l'Arabie Saoudite. «Nous sommes engagés à accepter et à célébrer les individus venant de tous les horizons, se sont justifiés ses dirigeants, mais dans le même temps, nous tenons à respecter les coutumes locales lors de nos événements organisés dans le monde entier.»

    Seul progrès pour cette édition 2018: les femmes et les enfants étaient, pour la première fois, autorisés à assister au tournoi. L'apparition des trois catcheuses, partiellement dénudées, durant le temps de pause, a fait d'autant plus scandale.

    Slate

    La télévision saoudienne diffuse des images de lutteuses en tenue de combat... puis s'excuse


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  • Haute-Savoie : un saisonnier se brûle tout le corps en jonglant avec des bolas enflammées !!!

    Haute-Savoie : un saisonnier se brûle tout le corps en jonglant avec des bolas enflammées !!!

    Vendredi soir, l'homme de 28 ans jonglait avec des bolas, des chaines avec des boules enflammées aux extrémités, dans la rue aux Houches, quand il a pris feu. Grièvement blessé, il a été héliporté au service des grands brûlés au centre hospitalier de Lyon.

     

    La soirée de ce vendredi soir a tourné au drame aux Houches, en Haute-Savoie. Un saisonnier de 28 ans s'est gravement brûlé en manipulant des bolas, ce jeu de jonglerie enflammé aux extrémités. Le feu serait parti de ses cheveux avant d'atteindre tout le corps à cause du produit inflammable. 

    Sa copine légèrement blessée

    Sa copine, âgée de 31 ans a voulu le secourir, en vain. Elle a été blessée aux bras. L'homme a été héliporté au centre hospitalier de Lyon, en urgence absolue dans le service des grands brûlés

    France bleu

    Des bolas : Encore un jeu à la con !


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  • Carcassonne : Il sème la terreur dans une pizzeria avec une machette, les employés lui lancent de l'huile

    Un jeune homme aurait semé la terreur, armé d'une arme blanche, jeudi en fin d'après-midi, dans une pizzeria de Carcassonne, dans l'Aude, rapporte L'Indépendant.

    L'individu, qui aurait renversé des scooters devant le commerce et jeté des chaises contre la vitrine, aurait menacé le gérant et les employés avec une machette, sortie de son sac.

    De l'huile de pizza

    Selon le quotidien régional, les victimes présumées auraient jeté à cet individu, visiblement très excité, de l'huile de pizza pour tenter de repousser ses agressions.

    Les policiers ont interpellé l'individu. Âgé de 20 ans, il a été placé en garde à vue.

    20 Minutes


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  • Perpignan : Il demande une ampoule à un quincaillier, puis le blesse avec un couteau

    Un homme a été écroué, ces derniers jours, à Perpignan, accusé d’avoir agressé un quincaillier. Les faits ont eu lieu mercredi à Estagel, un village de 2.000 habitants situé dans les Pyrénées-Orientales : tandis que le commerçant fermait sa boutique, le suspect a surgi, lui demandait de lui trouver une ampoule…

     

    Alors que le quincaillier s’affairait à rechercher le produit dans ses rayons, l’homme, armé d’un couteau, l’aurait attaqué subitement, sans raison, sans même réclamer la caisse du magasin, rapporte L'Indépendant. Le commerçant se serait défendu, mais aurait été blessé au niveau du cou, jusqu’à la clavicule, poursuit le quotidien régional.

    Des problèmes psychologiques

    « Maintenant, tu peux appeler les gendarmes ! », aurait clamé l’agresseur présumé, avant de s’enfuir. Les gendarmes l’ont arrêté près de chez lui quelques heures plus tard.

    Identifié par le commerçant, l’homme nie les faits. Selon le journal, qui cite des experts, il souffrirait de problèmes psychologiques. En attendant d’être jugé, il a été écroué.

    20 Minutes

    Il faut construire des établissements psychiatriques !

    Il y a de plus en plus de fous en liberté !


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    Angélique, 13 ans, retrouvée morte : ce que l'on sait de l'enquête

    Angélique, 13 ans, était portée disparue depuis mercredi à Wambrechies (Nord). Son corps a été retrouvé dans la nuit de samedi à dimanche dans une forêt de Quesnoy-sur-Deûle (Nord). Un homme, condamné pour viol en 1996, a avoué "l'avoir étranglée". LCI fait le point sur l'enquête.

    L'inquiétude a viré au drame. Le corps d'Angélique, 13 ans, a été découvert dans la nuit de samedi à dimanche dans la forêt de Quesnoy-sur-Deûle (Nord). L'adolescente avait disparu quatre jours plus tôt à Wambrechies. Un homme, condamné par le passé pour viol, a reconnu l'avoir tuée. LCI fait le point sur cette terrible affaire. 

     

    Que s'est-il passé ?

    Vendredi, la police émet un avis de recherche. Angélique, blonde aux yeux bleus mesurant 1,53 m, a disparu depuis mercredi 16h30 dans la commune voisine de Wambrechies, une ville de près de 10.000 habitants située à une dizaine de kilomètres au nord de Lille. L'adolescente a laissé "un mot disant rejoindre des copines pour ensuite rentrer, mais n'est jamais rentrée" chez elle, décrivent alors les policiers qui jugent cette disparition "inquiétante".

    Dès jeudi, une brigade cynophile, et des pompiers plongeurs sont sollicités pour la recherche d'un corps à proximité du port de plaisance, en bordure de la Deûle. Une battue est également organisée dans la ville vendredi rassemblant une centaine de personnes dont des proches de la jeune fille. Mais Angélique reste introuvable. 

    Le témoignage-clé

    Si les recherches n'aboutissent pas, la police a recueilli le témoignage important d'un enfant de 10 ans. Il aurait vu Angélique vers 16 heures 30 dans un jardin public. Le jeune garçon explique l'avoir vu "partir avec un homme qu’elle semblait connaître", écrit le procureur de la République de Lille dans un communiqué dimanche. 

    Grâce à ce témoignage et  à de nouvelles investigations s'appuyant notamment sur le fichier des délinquants sexuels, les enquêteurs de la direction régionale de police judiciaire à remonter la trace d'un homme de 45 ans, demeurant également à Wambrechies, près du jardin public en question. Il le place en garde à vue samedi soir. 

    Le suspect passe aux aveux

    Le gardé à vue "a très rapidement avoué les faits, et a emmené ces enquêteurs, accompagnés de ceux de la direction départementale de la sécurité publique du Nord, co-saisie de l’enquête, à l’endroit où il avait abandonné le corps de la jeune fille", explique le parquet de Lille dimanche. 

     

    Selon nos informations, le suspect , âgé de 45 ans et condamné par le passé pour des faits de viol et d'agression sexuelle a déclaré aux enquêteurs avoir emmené la fillette chez lui en prétextant un motif fallacieux et aurait, une fois sur place, tenté d'abuser d'elle. Selon ses déclarations, elle lui aurait opposé "une vive résistance" et l'aurait alors étranglée par peur et énervement. Il a ensuite indiqué avoir mis le corps dénudé d'Angélique dans la forêt de Quesnoy-sur-Deûle, où il a été effectivement découvert vers 1h30 dans la nuit de samedi à dimanche.

      

    Un lourd passif judiciaire !!!

    Le procureur a confirmé dans un communiqué dimanche le passé judiciaire du mis en cause condamné "en 1996 pour des faits commis en 1994, qualifiés de viol avec arme, attentats à la pudeur aggravés et vol avec violence". "Lorsque le fichier judiciaire national automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes (FIJAIS) a été créé par la loi du 9 mars 2004, cette condamnation a été reprise et a donc entraîné son inscription dans ce fichier", précise-t-il.

     

    Selon nos informations, le quadragénaire habitait près du parc où Angélique a été vue pour la dernière fois par le témoin de dix ans. L'adolescente habitait également non loin de là. Connaissait-elle le suspect ? Les investigations tout comme l'audition de cet homme se poursuivent. Une autopsie de la victime sera pratiquée lundi. Elle permettra d'étayer ou non les aveux et descriptions du suspect. 

    LCI
    Mais que faisait ce sale type dehors ???
    Il aurait dû être en prison et si la peine de mort existait encore, il aurait dû être pendu ou avoir la tête coupée !

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  • C'est dingue ça quand même !

     

    Avant-hier, j'ai eu 524 visites sur Center et sur Ekla 189

    Hier, j'ai eu 604 visites sur Center et 172 sur Ekla

    Sur Center j'ai 154 personnes inscrites à ma Newsletter, dont deux le 20 04 2018 et sur Ekla, seulement 7 inscrits !

    Pourtant mon blog Center est arrêté !

    Cela me fait réfléchir, je pourrai quand même faire quelques articles de temps en temps sur Center, vous en pensez quoi ?

    Si vous êtes inscrit à ma Newsletter sur Center, vous seriez averti !

     


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 29 04 2018


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