• Intervention du 2 décembre 2022


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  • Législatives: le Rassemblement national ne présentera pas de candidat face à Nicolas Dupont-Aignan

    Comme le parti d'Eric Zemmour, le Rassemblement national n'alignera pas de candidat dans la 8e circonscription de l'Essonne, face à Nicolas Dupont-Aignan.

    Le président de Debout la France n'aura ni candidat RN ni candidat Reconquête face à lui aux législatives. Selon nos informations, la Commission nationale d'investiture du Rassemblement national a décidé de ne pas investir de candidat face à Nicolas Dupont-Aignan, dans sa circonscription de l'Essonne.

    L'entourage de Marine Le Pen loue son attitude fair-play depuis les résultats du 1er tour de l'élection présidentielle et plus globalement sa bienveillance à l'égard du RN pendant toute la campagne. A l'issue du premier tour, Nicolas Dupont-Aignan avait appelé à voter pour Marine Le Pen.

    Candidat à un sixième mandat

    Ce mardi, Eric Zemmour avait également confirmé son engagement à ne pas présenter de candidat Reconquête face au président de Debout la France.

    Nicolas Dupont-Aignan briguera en juin prochain un sixième mandat de député dans la 8e circonscription de l'Essonne.

    BFM.TV


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  • A Yerres, les commerces resteront ouverts ! Olivier Clodong, maire de Yerres, a pris un arrêté pour maintenir leur ouverture. Alors que des centaines d’enfants se retrouvent dans les cantines, et des milliers de franciliens dans le métro, on va empêcher nos commerces qui respectent un protocole sanitaire d’accueillir quelques clients ? Résistons ! Exigez de vos maires le même courage.


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  • La mairie verte de Strasbourg finance la plus grande mosquée d’Europe, portée par une association islamiste et antirépublicaine, proche de la Turquie, qui n’a pas voulu signer la Charte des principes de l’islam de France. Depuis la prise de certaines municipalités, les Verts montrent leur vrai visage : compromission avec l’islamisme, haine de la République, de ses valeurs, et de la France. Faites barrage aux ecolo-collabos ! (25 03 2021)


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  • "Déclaration ahurissante d’Assa Traoré estimant, dans une dépêche AFP, que ses quatre frères incarcérés pour des délits, ont été des prisonniers politiques ! Comment peut-on, au nom de l’anti-racisme, accepter une telle dérive ? " (juin 2020)


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  • Dupont-Aignan se demande s'il "faudra destituer Macron" pour qu'il "cesse de détruire la démocratie"

    Nicolas Dupont-Aignan a adressé ses voeux à la presse ce jeudi. Le député élu dans l'Essonne a soulevé la question d'une révocation du chef de l'État, tout en se disant ""respectueux des institutions".

    Le candidat souverainiste à la présidentielle Nicolas Dupont-Aignan s'est demandé jeudi s'il fallait "en arriver à" la destitution d'Emmanuel Macron pour "qu'il cesse de nuire" et de "détruire la démocratie", notamment à propos de la crise sanitaire.

    "Faudra-t-il en arriver là?"

    "A force d'être enfermés, provoqués, méprisés, attention les Français sont de plus en plus nombreux à vouloir le révoquer. On ne compte plus les appels au déclenchement de l'article 68 (de la Constitution) sur la destitution du président de la République", a affirmé le président de Debout la France, lors de ses voeux à la presse, en citant un appel dans ce sens du chanteur Francis Lalanne.

    "Faudra-t-il en arriver là, pour qu'il rende des comptes à la nation, pour qu'il cesse de détruire notre démocratie, pour qu'il cesse de nuire ?" a-t-il demandé. "Il y a urgence à changer de politique avant l'explosion populaire", a ajouté le député de l'Essonne, qui ne souhaite "pas qu'on en arrive là" parce qu'il est "respectueux des institutions" 

    Dupont-Aignan propose sa politique de santé

    Mais "à un moment, quand des ordres sont stupides et inefficaces, le peuple se rebelle", a prévenu Nicolas Dupont-Aignan, qui a déjà manifesté aux côtés de l'ex-FN Florian Philippot près du ministère de la Santé contre la "coronafolie". "A l'enfermement à perpétuité", il a dit "préférer rendre le contrôle effectif" aux frontières, distribuer des masques FFP2 aux plus fragiles, doubler les lits de réanimation. Il a aussi défendu la réouverture des restaurants.

    Le candidat à l'Elysée a par ailleurs jugé "prometteur" le taux de 7% de voix dont le crédite un récent sondage Harris Interactive. Il a aussi fustigé à nouveau le duel Le Pen-Macron annoncé pour le second tour en 2022. "C'est un peu comme au foot. Quand on veut battre l'équipe adverse, on ne met pas les mauvais joueurs sur le terrain. Marine Le Pen n'est pas la meilleure joueuse à mettre sur le terrain pour battre Emmanuel Macron", a-t-il dit.

    L'ancien allié de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle de 2017 a choisi cette fois de faire cavalier seul. Ce qui a généré des départs de cadres de DLF vers le RN, que Nicolas Dupont-Aignan a recensé à 38 personnes, sur 12.000 adhérents.

    BFM.TV


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  • Le porte-parole de Debout la France lâche Dupont-Aignan pour Marine Le Pen

    Le porte-parole de Debout la France (DLF), Jean-Philippe Tanguy, a annoncé dimanche 22 novembre son ralliement à Marine Le Pen en critiquant la stratégie politique de Nicolas Dupont-Aignan, une démarche saluée par un autre cadre du mouvement mais relativisée par le patron du parti souverainiste.

    Dans un entretien au « Figaro », Jean-Philippe Tanguy estime que Nicolas Dupont-Aignan « mène Debout la France dans une impasse ». Ce cadre estime que le président de DLF a trahi l’« immense espoir » né de son ralliement à Mme Le Pen entre les deux tours de l’élection présidentielle de 2017.

    Pour lui, la présidente du Rassemblement national (RN), qui « sera au second tour », est « la candidate naturelle pour faire gagner nos idées ».

    « Depuis l’accord présidentiel de 2017 que j’avais coécrit, DLF et le RN sont d’accord sur tous les enjeux fondamentaux. Nos rares différences sont autant d’enrichissements mutuels. J’appelle Nicolas Dupont-Aignan à renouer avec sa ligne de rassemblement des patriotes », déclare Jean-Philippe Tanguy.

    « Un de perdu, dix de retrouvés »

    « C’est son choix », a évacué M. Dupont-Aignan sur LCI. « Notre parti est indépendant. J’ai soutenu Marine Le Pen au second tour de la présidentielle car je ne voulais pas d’Emmanuel Macron mais j’ai toujours pensé que le duel Macron-Le Pen est une tragédie pour le pays », a-t-il ajouté en soulignant que cette ligne était celle du bureau national du parti.

    « Un de perdu, dix de retrouvés », a balayé le fondateur de DLF, candidat à la présidentielle de 2022. « S’il y en a qui veulent faire carrière, qu’ils aillent faire carrière ailleurs ».

    « Je suis convaincu qu’on gagnera demain s’il y a une vaste primaire […] qui permettrait que les Français, les patriotes, les républicains qui veulent en finir avec Emmanuel Macron mais qui ne veulent pas la chienlit de la gauche puissent choisir leur candidat », a-t-il exposé, citant son nom, celui de Marine Le Pen ou celui du chef de file des sénateurs LR au Sénat Bruno Retailleau comme choix possibles.

    Sur Twitter, le directeur de la communication du parti souverainiste et président de son organisation de jeunesse, Alexandre Loubet, a déclaré soutenir l’initiative de Jean-Philippe Tanguy.

    « Ni Jean-Philippe ni moi n’avons démissionné de DLF, nous soutenons Marine Le Pen qui est la plus à même de rassembler car nous restons fidèles à la ligne décidée en 2017 qui consistait à unir les patriotes », a-t-il affirmé à l’AFP. « Nous n’en pouvons plus des incohérences. On ne peut prétendre unir les patriotes sans s’allier à Marine Le Pen. »

    L'OBS


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  • Diffusé en direct le 7 oct. 2020


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  • Dupont-Aignan candidat à la présidentielle pour offrir un "choix" aux Français

    L'ancien allié de Marine Le Pen au second tour de la présidentielle en 2017 Nicolas Dupont-Aignan a annoncé samedi sa candidature à l'Elysée en 2022 pour offrir aux Français "le choix" et échapper à un duel Macron-Le Pen.

     

    "Vous ne pouvez plus subir ce pouvoir qui vous détruit (...). Et pour vous opposer à un duel fatal pour le pays en 2022 qui ferait réélire Macron jusqu'en 2027, il y a le choix", a lancé le député souverainiste devant plusieurs centaines de militants réunis au Cirque d'Hiver à Paris. Ces derniers n'ont pas eu toutefois la primeur de l'annonce, donnée par le candidat quelques heures auparavant sur TF1.

    C'est la troisième fois que M. Dupont-Aignan, qui avait quitté l'UMP en 2007 pour créer Debout la République (devenu Debout la France), brigue l'Elysée. En 2017, il avait obtenu 4,7 % des voix et en 2012, 1,79 % au premier tour.

    "80 % des Français (...) ne veulent plus revoir en 2022 le second tour de 2017 car ils ont très bien compris que c'est l'ultime manoeuvre d'Emmanuel Macron pour se maintenir, minoritaire, au pouvoir cinq ans de plus", a déclaré M. Dupont-Aignan évoquant "un piège mortel pour le pays".

    "Je ne laisserai pas Emmanuel Macron choisir son adversaire pour qu'on en reprenne pour cinq ans", a-t-il poursuivi.

    Pour lui, la Présidente du rassemblement national, qui lui avait proposé en 2017 de devenir son Premier ministre en cas de victoire, ne peut pas gagner seule.

    Nicolas Dupont-Aignan a souhaité que "les Français aient la possibilité de comparer, de choisir, entre des personnalités, des projets, et des comportements très différents".

    Pour cette échéance, le président de DLF avait appelé en janvier à l'organisation d'une "grande primaire" dans le camp de la droite conservatrice, souverainiste et de l'extrême droite. Marine Le Pen y avait opposé une fin de non-recevoir mais souhaité "travailler ensemble".

    L'ancien bras de droit de Marine Le Pen, Florian Philippot, désormais président du petit parti Les Patriotes, a plaidé pour une "maison commune des souverainistes" samedi devant les partisans de M. Dupont-Aignan. Les deux responsables envisagent de travailler ensemble.

    "On peut comprendre le désespoir de nos concitoyens" face à la "barbarie islamiste", la "fermeture d'usines", le "déchaînement de violences de cet été" et "la gestion calamiteuse de la Covid par le gouvernement", mais "ce défaitisme du +trop tard+ est indigne de notre Histoire", a martelé le député de l'Essonne.

    M. Dupont-Aignan a notamment promis d'organiser un référendum sur la suppression du droit du sol, de faire "du +produire en France+ le coeur de (sa) politique économique", de rompre "unilatéralement les accords déloyaux de libre-échange", ou encore de doubler le nombre de lits en réanimation avec l'argent issu de la destruction des "fausses cartes vitales".

    Le Point


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  • Vous ne voulez pas subir E. Macron jusqu’en 2027 ?


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  • Savez-vous qu’il y a 150.000 à 400.000 clandestins rien qu’en Seine-St-Denis ? Et ça va empirer puisque la fausse fermeté de Macron avec l'évacuation d’un camp de 1500 migrants ce matin va faire appel d'air : ils seront relogés aux frais du contribuable ! Avec Debout La France, nous proposons des mesures concrètes et rapides pour mettre fin à la submersion migratoire !


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  • Je soutiens le projet de Référendum d’Initiative Partagée pour améliorer le bien-être animal dans notre pays, proposé par plusieurs associations.

    Alors que je me bats depuis toujours pour le bien-être et la dignité des animaux, je suis fier que mon action lorsque j’étais Maire de Yerres (Essonne) ait été récompensée par le prix « 30 millions d’amis ». Car pour défendre nos amis les bêtes, il y a ceux qui parlent et ceux agissent : hélas, les gouvernements successifs ont souvent beaucoup promis, mais bien peu agi. C’est pourquoi j’ai toujours veillé à ce que la cause animale reste au cœur du projet et de l’action de Debout La France. Ce combat est notamment porté au sein de notre mouvement par notre Vice Présidente et déléguée nationale en charge de la dignité animale, Anne-Sophie Frigout.

    Je salue la proposition de Référendum d’Initiative Partagée pour améliorer le bien-être animal en France, car une mobilisation massive des Françaises et des Français offrirait l’opportunité de pouvoir enfin faire avancer cette cause qui nous tient à cœur ! J’apporte mon sincère soutien à cette démarche démocratique et à son projet qui ferait progresser notre société.

    Ainsi, je ne peux qu’espérer que les Français aient à se prononcer sur divers enjeux tels que ceux avancés par les associations à l’origine de ce Référendum d’Initiative Partagée.

    Comme 91% de nos concitoyens, je suis par exemple fermement opposé au maintien de l’élevage à fourrure dans notre pays. Il faudra en effet d’ici 2025 mettre fin à cette filière comme d’autres pays européens l’ont fait, compte tenu que les entreprises du textile ont trouvé des alternatives à la fourrure animale et que plus rien ne justifie que des visons soient élevés en cage dans des conditions épouvantables.   

    De même, j’estime que l’État ne soutient pas suffisamment les scientifiques qui essaient de trouver des méthodes substitutives à l’expérimentation animale et espère de tout cœur des avancées rapides. Alors qu’en Allemagne et au Royaume-Uni, de nombreux projets scientifiques sont subventionnés, en France, il n’y en a eu aucun. Il ne s’agit en aucun cas de freiner la recherche scientifique, qui est essentielle et la crise sanitaire nous l’a démontré, mais de faciliter les démarches des scientifiques qui voudraient être accompagnés par l’État pour mener à bien leur projet sans expérimentation animale.

    Ce référendum propose également de mettre un terme à certaines pratiques d’élevage intensif qui non seulement sont cruelles envers les animaux mais sont également une souffrance pour les éleveurs qui aiment leurs bêtes. Il ne s’agit en aucun cas d’accuser ou de pénaliser les éleveurs mais au contraire, d’améliorer leurs conditions de travail, le bien-être des animaux et donc, les revenus de la ferme. Car la force de ces propositions est de poser des délais raisonnables qui permettront d’accompagner la modernisation des exploitations.

    A Debout La France nous défendons un modèle d’élevage de taille humaine et familiale, le développement des circuits-courts et l’abattage sur site, autant de pratiques qui permettent de prendre soin des animaux et de réduire les cadences quasi-industrielles imposées par le nombre de bêtes dans certaines exploitations à l’image de la « ferme des 1000 vaches » inhumaine.

    J’aurais souhaité que les Français puissent aussi se prononcer par référendum sur d’autres propositions concrètes en faveur de la dignité animale. Par exemple :

    • - Toutes les mesures sur l’élevage n’ont de sens que si nous interdisons l’importation de produits agricoles et de viandes qui ne respectent pas nos normes et nos valeurs !
    • - L’urgence de mettre fin à l’égorgement sans étourdissement autorisé dans le cadre de l’abattage rituel. Ce n’est pas acceptable et il faut mettre en place des négociations apaisées avec les cultes pour trouver une solution alternative. Dans l’attente, j’ai déposé une proposition de loi à l’Assemblée nationale pour imposer un étiquetage sur la traçabilité de la viande, afin que les consommateurs connaissent les conditions d’élevage, de transports et d’abattage. Je regrette que les députés n’aient pas jugé ma proposition de loi suffisamment importante pour la soumettre au vote.
    • - Il faudrait renforcer les sanctions contre l’abandon des animaux et interdire à vie de détenir un animal en cas d’abandon. Il faut également soutenir les refuges souvent saturés, et les bénévoles qui ne comptent pas leurs heures pour prendre soin des animaux qui n’ont pas eu de chance.

     

    Les Français attendent des politiques qu’ils répondent à leurs aspirations. Nul doute que le bien-être animal est un sujet qui concentre beaucoup de leurs attentes, je les partage. Soyons à la hauteur, pour que la France devienne le fer de lance du bien-être animal, en Europe et dans le monde.

    Nicolas Dupont-Aignan, Président de Debout La FranceDéputé de l’Essonne.


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  • La Commission européenne a signé  un contrat de 63 millions€ avec Gilead pour traiter 30.000 patients Covid19 au Remdesivir ! Quid du protocole du Professeur Raoult à base de chloroquine ? A Bruxelles, les lobbies américains sont préférés aux éminents chercheurs français...


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