• Nicolas Dupont-Aignan raille la liste "gilets jaunes" aux européennes : "Commencer sur les ronds-points et finir chez Bernard Tapie, ça fait un sacré quart de tour !"

    Nicolas Dupont-Aignan raille la liste "gilets jaunes" aux européennes : "Commencer sur les ronds-points et finir chez Bernard Tapie, ça fait un sacré quart de tour !"

    Au micro d'Audrey Crespo-Mara, Nicolas Dupont-Aignan appelle les "gilets jaunes" qui veulent se présenter aux européennes à clarifier leur initiative.

     

    Soutien des "gilets jaunes" depuis le début du mouvement, Nicolas Dupont-Aignan pourrait bien avoir à les affronter dans les urnes. Des "gilets jaunes" ont en effet annoncé la constitution d'une liste aux élections européennes, emmenée par Ingrid Levavasseur, une aide-soignante de l'Eure. "S'ils ont envie de faire une liste, qu'il fasse une liste !", a déclaré jeudi le fondateur de Debout la France, au micro d'Audrey Crespo-Mara sur Europe 1, et lui-même à la tête de la liste de son parti.

     

    La mainmise de Bernard Tapie ?

    Le 5 janvier, des "gilets jaunes" ont pu se réunir sur invitation de Bernard Tapie dans les locaux de La Provence, dont il est le principal actionnaire, afin de mettre en forme en vue des européennes une coordination nationale baptisée "Gilets Jaunes – le Mouvement". "Commencer chez les 'gilets jaunes' et finir chez Bernard Tapie, ça fait un sacré quart de tour !", raille Nicolas Dupont-Aignan. "Je demande que ce mouvement, que je soutiens parce qu'il est populaire et divers, reste pur", enjoint le député de l'Essonne qui dénonce un rapprochement avec l'homme d'affaire.

    Un seul mouvement et des "couleurs politiques différentes". 

    "Je crois que la démocratie c'est la clarté, ce qui était intéressant dans le mouvement des 'gilets jaunes', c'est le fait que des Français de couleurs politiques différentes se mobilisaient pour dire des vérités sur le pouvoir d'achat des retraités, les bas salaires, le besoin de démocratie", estime-t-il.

    "Si c'est pour commencer sur les ronds-points, défendre les petits […] et finir dans les locaux de Tapie, excusez-moi, mais ça fait un sacré choc", répète l'élu. "Si ces 'gilets jaunes' font une offre claire aux Français tant mieux, c'est la concurrence. Si certains 'gilets jaunes' instrumentalisent le gilet jaune pour faire un coup politique avec Tapie, c'est pas la même chose." Et de conclure : "La seule chose que je demande à ceux qui vont faire une liste, c'est de clarifier pour que les Français puissent juger".

    Europe 1


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  • Nicolas Dupont-Aignan appelle les "gilets jaunes" à "garder la pression"

    À la veille d'une nouvelle journée de mobilisation des "gilets jaunes", le leader de Debout la France appelle les manifestants "à garder la pression".

     

    la veille d'une nouvelle journée de mobilisation des "gilets jaunes", Nicolas Dupont-Aignan, le leader de Debout la France, appelle les manifestants "à garder la pression". "Emmanuel Macron est un président dangereux pour la France, et je pense que s'il n'y a pas le réveil du peuple, le maintien de la pression par les 'gilets jaunes', les Français vont passer un sale quart d'heure en 2019", a-t-il déclaré vendredi sur RMC-BFMTV.

    Comme lui, une majorité de Français (55%, +1) souhaite que le mouvement des "gilets jaunes" se poursuive, selon un sondage Odoxa Dentsu consulting publié jeudi.

     

    Face aux vœux du président, Nicolas Dupont-Aignan s'est dit "consterné, inquiet, de voir qu'il n'avait rien compris, rien appris et pire, qu'il était dans la provocation, le passage en force, l'inconscience."

    L'ancien candidat à la présidentielle "maintien(t) que la pression populaire est indispensable", "mais une pression populaire pacifique, calme, déclarée", a-t-il précisé, indiquant par ailleurs ne pas être opposé à l'utilisation des lanceurs de balles de défense (LBD) en fonction de "l'utilisation qui est faite".

     

    Macron "croit qu'en faisant arrêter les gens dans la rue comme ça, il va arrêter les choses"

    Réagissant à l'interpellation mercredi du "gilet jaune" Éric Drouet, sorti de garde à vue le lendemain, le président de Debout la France assure qu'il ne se laissera pas "instrumentaliser par une espèce de jeu entre Drouet et Emmanuel Macron pour discréditer un mouvement des 'gilets jaunes' qui est un mouvement populaire".

    "Le président croit qu'en faisant arrêter les gens dans la rue comme ça, il va arrêter les choses", dénonce-t-il.

    Nicolas Dupont-Aignan a également exprimé son scepticisme sur le "grand débat" voulu par le président de la République. "Il aurait une utilité si on avait un homme et un gouvernement qui ne nous répètent pas à longueur de journée : "Circulez y a rien à voir'". "Je ne suis pas sûr qu'ils (les citoyens) s'en emparent (du grand débat) vu la manière dont on les traite", a-t-il ajouté

    Paris Match


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  • Bonjour à tous,
    A partir de 21h15, Nicolas Dupont-Aignan sera l'invité de l’emission spéciale gilets jaunes au micro de Léa Salamé et Thomas Sotto. 
    Merci de votre fidélité et à bientôt. 
    Amicalement,
    L’équipe digitale de Nicolas Dupont-Aignan 

    Bonjour


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  • Bonsoir à tous, 
    Ce soir à 20h45 retrouvez NDA sur BFM TV au micro de Nathalie Lévy. 
    Merci de votre fidélité et à bientôt. 
    Amicalement, 
    L’équipe digitale de DLF. 


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  • Quel crétin ce Bourdin, bravo Nicolas !


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  • "J'aimerais que l'automobile, la sécurité routière ou l'économie d'énergie ne soient pas des prétextes pour accabler ceux qui travaillent."

    Émission du lundi 12 novembre


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  • Bonjour à tous,
     
    Ce mardi soir, retrouvez Nicolas Dupont-Aignan sur BFMTV à 18:50 au micro d’Olivier Truchot.
    Réagissez avec le hashtag #BFMStory
     
    Ce mercredi 17 octobre à 7h50, NDA sera l’invité de la matinale de RFI animée par Jérôme Rivière.
    Réagissez avec le hashtag #RFIMatin
     
    Merci de votre fidélité.
     
    Amicalement, 
     
    L'équipe digitale de DLF

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  • Bonjour à tous, 
     
    Ce mercredi soir retrouvez : 
     
    - Nicolas Dupont-Aignan sur France Info TV à 21h 
    - Damien Lempereur sur Cnews à 21h15 
     
     
    Merci de votre fidélité et à bientôt. 
     
    Amicalement, 
     
    L'équipe digitale de DLF

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  • La nature, plus forte que tout !


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  • Ce journaleux pose des questions et coupe sans cesse la parole à Dupont-Aignan quand il veut répondre, quel grossier personnage ! 


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  • Bonjour à tous,
     
    Demain, Nicolas Dupont-Aignan sera l'invité de Christophe Jakubyszyn demain vendredi 14 septembre à 8h30.
     
    Réagissez avec le hashtag #LaMatinaleLCI 
     
    Merci de votre fidélité et à bientôt.
     
    Amicalement, 
     
    L'équipe digitale de DLF


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  • Benalla: Dupont-Aignan claque la porte de la commission parlementaire

    Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a claqué la porte, mercredi, de la commission d'enquête de l'Assemblée sur l'affaire Benalla, dénonçant une "mascarade", tandis qu'Emmanuel Macron s'exprime devant "ses députés", n'étant ainsi "plus le président de la Nation".

    "Est-ce qu'il y a deux catégories de députés? Les députés En Marche qui ont l'honneur de recevoir le président de la République et l'ensemble des députés qui sont baladés par une commission qui n'auditionne pas tous ceux qu'elle voudrait voir?", a déclaré M. Dupont-Aignan à l'ouverture des travaux de la commission, qui auditionne le général Éric Bio-Farina, commandant militaire de la Présidence de la République.

     

    "Je trouve que la situation est très grave"

    "Je vois que le président de la République n'est plus le président de la Nation mais va voir ses députés, entre guillemets, ce qui est totalement contraire aux institutions", a ajouté M. Dupont-Aignan, en référence aux déclarations d'Emmanuel Macron, mardi soir lors d'un pot de fin de session parlementaire de la majorité LREM-MoDem.

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    "Je trouve que la situation est très grave et que le président de la République dans cette affaire n'est pas digne de sa fonction et moi, je ne participerai plus à cette mascarade", a tranché M. Dupont-Aignan, avant de quitter les travaux de la commission. Alors qu'il s'était muré dans le silence depuis l'éclatement de l'affaire Benalla, Emmanuel Macron s'est déclaré comme "seul responsable". "S'ils veulent un responsable, il est devant vous, qu'ils viennent le chercher", a lancé, bravache, le chef de l'Etat mardi soir devant son gouvernement et sa majorité parlementaire quasiment au

    Paris Match


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  • J'ai trouvé cette annonce dans mes mails, et oui j'ai ma carte de Debout la France !


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  • Européennes : Dupont-Aignan refuse (pour l’heure) la proposition de liste commune de Marine Le Pen

    C’est non. Pour l’instant. Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a opposé dimanche une fin de non-recevoir à Marine Le Pen, qui lui proposait de faire liste commune aux élections européennes, assurant dire «non à la cuisine politicienne». 

    Une décision que la présidente du Rassemblement national (ex-FN) a déploré, dans la foulée, cette annonce.

    «Je prends mes responsabilités et je ne vais pas me dérober. Je dis à Marine Le Pen très clairement que sa proposition, même si ça part peut-être d’une bonne intention, n’est pas du tout à la hauteur de l’enjeu historique qui est devant nous […] C’est une question de cuisine politicienne qui ne m’intéresse pas», a-t-il déclaré lors de l’émission Dimanche en politique sur France 3. «Je considère que nous ne gagnerons demain que si nous sortons du seul tête-à-tête avec Marine Le Pen. Le tête-à-tête que nous avons eu à la présidentielle n’était pas suffisant […]. Je veux élargir […] Aujourd’hui, c’est non à la cuisine politicienne», a affirmé celui qui avait rejoint Marine Le Pen entre les deux tours de l’élection présidentielle, pour la soutenir face à Emmanuel Macron.

    «Pas très grave»

    Après cette annonce, Marine Le Pen a considéré que ça n’était «pas très grave si Nicolas Dupont-Aignan, malgré les discours sur le rassemblement qu’il fait en toutes circonstances, malgré le fait qu’il exprime toujours que c’est l’intérêt supérieur du pays qui était à la base de son action, souhaite partir seul». «Nous rassemblerons quand même. Nous rassemblons, nous, encore une fois, des gens qui viendront de l’ancienne droite ou de l’ancienne gauche», a ajouté la députée frontiste, dans le Grand jury sur RTL et LCI.

    La présidente du RN a au contraire considéré sur RTL que «les manœuvres politiciennes, ça aurait été si nous étions allés tous les deux dans mon bureau à l’Assemblée, ou dans le sien, pour discuter des places de ceci, de cela». «Quand je rencontre quelqu’un, je sais déjà ce que je veux», a encore taclé le député de l’Essonne. «J’ai entamé une action, il y a un an, les Amoureux de la France. Nous, on veut une démarche sérieuse, on part du projet. Une fois que ce projet sérieux sera élaboré», à la fin de l’été, «je l’enverrai à tous les responsables politiques qui disent combattre Emmanuel Macron et l’abandon de la France : Marine Le Pen, Laurent Wauquiez», le président des Républicains.

    Libération


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  • Nicolas Dupont-Aignan crie à l'injustice après son éviction de "L'Emission Politique"

    Absent du programme télévisé qui verra les leaders des principaux partis politiques français s'exprimer, Nicolas Dupont-Aignan ne décolère pas. Pour lui, ce choix est à l'avantage du "système".

     

     

    Challenges : Vous n'êtes pas invité de "L'Emission Politique" qui réunira sur France 2 les cinq présidents de partis politiques arrivés en tête de la dernière élection présidentielle (LREM, FN, LR, LFI, PS). Êtes-vous déçu ?

    Nicolas Dupont-Aignan : Je ne suis pas déçu, je me sens victime d'une injustice. J'ai été un acteur majeur de la campagne présidentielle. Qu'est-ce qui justifie que je ne sois pas invité sur le plateau de "L'Emission Politique" ? Le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure sera là. Dans les sondages nous sommes au même niveau : 6% ou 7% selon la marge d'erreur. Quant à ma cote de popularité, elle est largement supérieure à la sienne quel que soit le baromètre choisi. Lors de la dernière élection présidentielle, j'ai devancé le candidat socialiste Benoît Hamon dans une trentaine de départements sans avoir la même force de frappe médiatique, ni la même surface financière que lui. Dans toutes les études d'opinion, je suis au coude à coude avec Laurent Wauquiez, le patron des Républicains, dont la formation est créditée de 8% d'intention de votes. "Debout La France", mon parti, fait partie des six formations politiques les plus citées par les Français... C'est tout bonnement injustifiable.

     

    Comment France Télévisions justifie votre absence du plateau de "L'Emission politique" ?

    Ils disent avoir pris comme critère objectif l'existence d'un groupe parlementaire à l'Assemblée nationale. Mais quand on sait comment se constituent ces groupes, en nouant des alliances avant les élections législatives, "Debout la France" était disqualifié d'avance. Je remarque d'ailleurs que le Front national ne dispose d'aucun groupe parlementaire - avec 8 députés, le parti d'extrême droite a échoué à réunir les 15 parlementaires nécessaires à la constitution d'un groupe à l'Assemblée nationale, ndlr - ce qui n'empêche pas Marine Le Pen d'être présente. Cerise sur le gâteau, France Télévisions n'a même pas pris la peine de me prévenir... J'ai appris mon absence par voie de presse ! C'est caractéristique de l'inégalité de traitement dont souffre "Debout la France". Depuis l'élection présidentielle, nous n'avons disposé que de 0,4% de temps d'antenne selon les chiffres du CSA. Le Parti socialiste, c'est 16%. Je ne crois pourtant pas avoir réalisé un score 40 fois inférieur au premier tour du scrutin.

     

    Voyez-vous dans votre éviction le résultat de pressions du pouvoir ?

    Je n'en suis pas sûr. En revanche, je pense que ce sont des vieilles habitudes médiatiques. Combien de fois avons nous été exclus de la sorte ? Cela ralenti notre percée et fossilise la vie politique française. En invitant deux leaders, Marine Le Pen et Laurent Wauquiez, qui refusent de se parler, France Télévisions ne fait pas avancer le débat. Il aurait été plus judicieux de nous inviter, notamment après la décision que j'ai prise au second tour de l'élection présidentielle (Nicolas Dupont-Aignan avait soutenu Marine Le Pen, ndlr). Ce choix éditorial avantage le système en place. D'autant que lorsque l'on se penche sur le format de l'émission, une succession de monologues, cela aurait été tout à fait possible. Il aurait suffit de raccourcir les interventions de quelques minutes pour nous permettre d'avoir voix au chapitre. C'est une injustice.

    Challenges

    C'est vrai que cela n'est pas juste !


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