• Une dame a tenté de monter dans la cabine d’un avion avec un très gros paon, sans succès

     

    Une dame a tenté de monter dans la cabine d’un avion avec un très gros paon, sans succès

    Quelle idée de refuser une beauté pareille à bord.

    Contrairement à nous autres Français, les Américains sont de très grands adeptes de la zoothérapie, qui consiste à tenter d’apaiser ses troubles mentaux, physiques ou sociaux avec la présence d’un animal. Quiconque outre-Atlantique est donc en mesure de posséder légalement un "emotional support animal", ou ESA, du moment qu’il ou elle en obtient la prescription d’un médecin.

    Ainsi, lorsque cette personne possède les justificatifs appropriés, il lui est possible de voyager en avion aux côtés de son animal sans que celui-ci ne soit forcé d’être placé en soute ou dans une cage s'il est de petite taille. En règle générale, les ESA sont plutôt des chiens, mais il arrive que des spécimens d’autres espèces soient certifiés comme tels. Des paons, par exemple. De gigantesques paons.

    Comme celui de cette passagère qui s'apprêtait à embarquer sur un vol United Airlines au départ de Newark Liberty, dans le New Jersey. Cette dernière, d’après des informations rapportées par Fox News, avait prévu de faire le voyage en cabine avec son gigantesque paon, avançant que son oiseau avait un billet comme tout le monde. Visiblement, l’argument n’a pas suffi à convaincre la compagnie de l'accepter à bord. "Cet animal n'a pas répondu aux directives pour un certain nombre de raisons, dont son poids et sa taille", a déclaré United Airlines à Fox News. La justification ne paraît pas trop abusive quand on voit cette photo :

    Une dame a tenté de monter dans la cabine d’un avion avec un très gros paon, sans succès

    Plus tôt ce mois-ci, Delta avait annoncé qu'elle imposerait une réglementation plus stricte sur les animaux de soutien, de nombreux abus ayant été observés ces dernière années : pour éviter de placer en soute leur animal de compagnie, certaines personnes les faisaient passer pour des ESA. Mais la compagnie a assuré que ces prochains changements n’était pas à l’origine de son refus concernant le gros paon.

    Plusieurs questions méritent d'être soulevées : comment cette dame comptait-elle installer son paon dans l'avion ? Comment s'appelle ce paon ? Comment a-t-il fini par devenir un therapy pet ? Nous avons déjà la réponse à la seconde interrogation : il se prénomme Dexter the peacock, et il a un compte Instagram.

    Mashable FR


  • Commentaires

    1
    Mercredi 31 Janvier 2018 à 17:38
    c' est se moquer du monde, et ça crotte partout ! On permet le petit doigt, et on cherche à imposer le bras
    2
    Rakia
    Mercredi 31 Janvier 2018 à 17:48

    Une histoire à dormir debout,c’est la folie dans touts ses états !(MDR)

    Elle sait très bien que c’est impossible de monter dans un avion avec 

    un animal même si elle paye les billets de tous les sièges .

    Le plus marrant,c’est son compte Instagram (Mdr) Elle doit absolument consulter...

    3
    françoise
    Mercredi 31 Janvier 2018 à 19:07

    Comme tous les animaux il pouvait voyager en cage spéciale et en soute après conseil et éventuels soins d'un véto! Elle croyait quoi cette bonne femme?

    4
    fripouille
    Mercredi 31 Janvier 2018 à 20:47

    J'ai eu le problème avec une petite chienne : la première année, elle est montée avec moi sur mes genoux, après que j'ai acheté un sac spécial Air France. L'année suivante, même animal, mais les hôtesses ont l'oeil : Pépette avait grossi, elle avait un poitrail avantageux. J'ai eu beau montrer mon sac, dire qu'elle avait pris de la graisse et que ses dents n'avaient pas grandi, que moi-même j'avais perdu quelques kilos : pas question ! re-achat d'une valise spécial soute...et direction celle-ci. A mon arrivée, un dog-sitter m'a ramené ma valise, et ma Pépette était pressée de s'en aller, j'ai eu du mal à accrocher sa laisse à son collier !

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