• Perpignan : les surveillants pénitentiaires alertent sur l'arrivée de nouveaux détenus radicalisés

    Perpignan : les surveillants pénitentiaires alertent sur l'arrivée de nouveaux détenus radicalisés

    Alors que le centre pénitentiaire de Perpignan lance des travaux pour accueillir des détenus issus de l'islam radical, les syndicats dénoncent des travaux bâclés et craignent que ces prisonniers ne puissent en radicaliser d'autres.

    Interrogé par France Bleu, le secrétaire du syndicat UFAP à la prison de Perpignan, Pierre Grousset s'exclame : «On marche sur la tête !» Le syndicaliste pénitentiaire dénonce les conditions dans lesquelles les nouveaux prisonniers musulmans radicaux seront détenus dans le centre de Perpignan. A l'en croire, la structure ne serait pas adaptée pour isoler ce public particulier des autres détenus. Il souligne que ces derniers seront installés à seulement quelques mètres des prisonniers les plus dangereux du centre de détention : «D'après un protocole de 2018, ces TIS [terroristes islamistes] doivent être placés dans un quartier de la prison totalement "étanche" du reste de la population.

    Dans ce quartier d'isolement où la direction veut installer les cellules, il y a des détenus ingérables, avec des problèmes psychologiques. Ils sont donc influençables pour commettre des attentats à l’intérieur de la prison, mais aussi à l’extérieur.»

    Mais au-delà du risque contamination idéologique, les surveillants pénitentiaires de Perpignan craignent pour leur sécurité : «On souhaite plus d'effectifs. Pour le moment, il manque sept agents sur le planning, sans compter les arrêts maladie. On veut également des formations pour faire face à ce public particulier», réclame le syndicaliste.

    Et d'alerter : «J'ai visité les futures cellules. La direction va sceller au sol le mobilier, mais il faut être logique, les détenus vont pouvoir arracher ça rapidement. Il faut des cellules d'un seul et même bloc.»

    Les agents du centre pénitentiaire font planer la menace d'une grève si leurs inquiétudes ne sont pas entendues.

    RT France 31 07 2019


  • Commentaires

    1
    Rakia
    Jeudi 8 Août 2019 à 14:54

    Les gardiens sont dans leur droit ,le gouvernement ne devrait pas  leurs 

    imposer,la présences de quelques déchets humains où la haine et la violence 

    sont leur pain quotidien ! Un gardien ne devrait pas risquer sa vie pour 1400€ et 

    que tous les revendications soient entendues et exécutées ,point barre !!!

    2
    Eunuque .
    Jeudi 8 Août 2019 à 16:57

    Erdogan se retire du jeux et laisse faire .

    Nous recevons ces sadiques déséquilibrés qui vont peut être nuire a la France en polluant les révolter déjà bien ouvert a la violence  ?

    Les citoyens de base doivent s'attendre a de la violence et passer au dessus des lois iniques interdisant la détention d'arme ? 

    Tout est fait pour faire tomber l'état providence .

    3
    Jeudi 8 Août 2019 à 17:36

    il  ne faut   pas  construire  de nouvelles  cellules,  mais  ouvrir  de nouveaux  cimetières, seul  endroit  où les radicalisés  ont  leur  place

    4
    FRANCOISE
    Jeudi 8 Août 2019 à 19:17

    Absolument d'accord avec Pierre !A moins qu'ils s'entretuent avec d'autres détenus en prison  ce serait une bonne chose !

    5
    fripouille
    Vendredi 9 Août 2019 à 11:03

    C'est bien souvent en prison que les détenus apprennent ce qu'il ne faut pas faire. Il faudrait construire des blocs indépendants les uns des autres.

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