• Mayotte: Un jeune homme meurt lapidé devant son lycée

    Mayotte: Un jeune homme meurt lapidé devant son lycée

    Un jeune homme de 19 ans a été tué à coups de pierres samedi à la mi-journée devant le lycée de Sada au centre-ouest de Mayotte. Selon le procureur de la République Camille Miansoni, le meurtre a été commis par plusieurs personnes non identifiées. Toutefois, « A cette heure-ci, on ne connaît pas les motifs, ni les causes, ni les circonstances dans le détail », a-t-il déclaré une fois le décès constaté par les services de secours.

     

    La victime était venue s’inscrire à 20 km de son domicile

    La dépouille a été transférée à l’hôpital de Mamoudzou pour y être autopsiée. Une enquête judiciaire a été ouverte par le parquet. Le jeune homme originaire de la commune de Mamoudzou était venu s’inscrire à Sada situé à 20 km de son domicile, n’ayant pu obtenir de place chez lui. Mardi, lors de la visite à Mayotte de la ministre des Outre-mer Annick Girardin les associations de parents d’élèves l’ont d’ailleurs interpellée sur le manque de places dans les lycées de ce département français situé dans l’océan Indien.

    En outre, ce décès intervient alors que Mme Girardin a rappelé les efforts de l’Etat pour lutter contre la délinquance et les violences aux abords des établissements scolaires depuis l’an dernier. C’est en effet l’intrusion de jeunes au lycée Gustave Eiffel de Kahani, le 19 janvier 2018, qui avait provoqué la grève contre l’insécurité qui a paralysé l’île pendant près de trois mois. L’épisode avait abouti à un plan pour l’avenir de Mayotte de 53 mesures comportant notamment « la mobilisation de l’ensemble des forces de sécurité pour garantir une présence effective aux abords des établissements scolaires ».

    20 Minutes

    Il faut croire que les mesures prises ne sont pas suffisantes !

    "Mayotte est confrontée depuis plusieurs années à une immigration clandestine venue des Comores et de plus en plus d'Afrique de l'Est, du Yémen et de la Syrie. La population a augmenté de 20% en six ans."


  • Commentaires

    1
    Dimanche 1er Septembre 2019 à 14:35

    À petite-Terre (Mayotte), l'adjudant Brillard et ses hommes entament chaque jour une immuable routine : le contrôle des papiers. Ils envoient des personnes sans visa au centre de rétention de l'île. Ces personnes en situation irrégulière arrivent la plupart du temps en kwassa kwassa, des embarcations de fortune. Il en arriverait une dizaine par jour en provenance des Comores surtout, à 70 km de là.

     

    48% de la population est étrangère

    Mais depuis quelque temps, les gendarmes mobiles rencontrent des migrants venus de bien plus loin : Burundi, Tanzanie, Rwanda, Yémen, Burkina Faso, Cameroun et même Syrie, à plus de 5 000 km. Le 101e département français devient une porte d'entrée de l'immigration vers l'Union européenne pour des raisons géopolitiques, selon un responsable associatif. "Les routes d'immigration se ferment autour des pourtours de la Méditerranée", affirme-t-il. Les bénéficiaires de l'association ont emprunté ces nouvelles routes. Une Congolaise a mis un an pour arriver à Mayotte, une étape de plus dans leur voyage pour la plupart. En un an, le nombre des demandeurs d'asile a explosé. Près de 48% des habitants de l'île seraient de nationalité étrangère.

    2
    Rakia
    Dimanche 1er Septembre 2019 à 15:07

    Donc il ne faut pas chercher à comprendre ,le crime est "Un Étranger " ( sourire) 

    Tuer un jeune de 19 ans restera un crime lâche ,barbare et cruel ,peut importe les 

    criminels ils méritent d’avoir la tête tranchée !

     

      • Dimanche 1er Septembre 2019 à 16:02

        pas chercher à comprendre, qui a dit cela ?

    3
    FRANCOISE
    Dimanche 1er Septembre 2019 à 15:44

    Déjà Les noires débarquent pleines jusqu'aux yeux pour que leur pontes aient la nationalité  Française et qu'elles puissent bénéficier de tous les droits  auquels elles peuvent prétendre !Il y a eu déjà bien d'autres meurtres mais ils ne veulent affoler !

    4
    fripouille
    Dimanche 1er Septembre 2019 à 16:05

    Il y avait déjà les Anjouanaises (îles au Nord Ouest) qui venaient accoucher à Mayotte pour profiter des droits du sol. Je crois qu'il est question de ne plus accorder ce droit du sol, même en Métropole.

    5
    Dimanche 1er Septembre 2019 à 18:28

    ça  donne  une idée  de  ce qui attend  la France  à  plus  ou  moins  brève  échéance !

     

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