• Pauvre petite chienne !


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  • Comment ont-ils su qu'il y avait un chat là ? Mystère !


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  • Afrique du Sud: trafic de dents et griffes de lions démantelé, un Vietnamien arrêté

    Un Vietnamien a été arrêté en Afrique du Sud et une soixantantaine de kilos de griffes, dents et autres matières issus de lions, récupérés à l'issue de quatre mois d'enquête, a annoncé samedi le gouvernement. 

    L'homme a été arrêté jeudi pour "commerce illégal d'espèces sauvages et possession illégale d'une arme à feu", dans la province du Limpopo (nord) où sont situées de nombreuses réserves animalières, a précisé à l'AFP un porte-parole du ministère de l'Environnement. 

    Outre l'arrestation, la police a perquisitionné "une exploitation agricole appartenant à des Vietnamiens" près de la ville touristique de Bela-Bela dans le Limpopo, et "deux unités de stockage" dans la capitale Pretoria, précise un communiqué du ministère. 

    Ils ont saisi 4,2 kg de dents de lions, 680 grammes de griffes de lions, et plus de 60 kilos "de produits animaux transformés, probablement de la gélatine de lion", ainsi qu'une arme à feu illégale.

    Le suspect vietnamien, inculpé pour "possession illégale d'une espèce menacée", a été présenté devant un tribunal régional vendredi. Mais l'affaire a été reportée au 20 août afin d'assurer la présence d'un traducteur, précise encore le ministère. 

    L'enquête qui a permis cette opération de police a été menée notamment par des "Scorpions verts", enquêteurs spécialisés de l'environnement au sein du ministère mais aussi des provinces, les parcs nationaux sud-africains et la police, avec des contributions d'experts issus "du secteur privé", salue le ministère. 

    Le trafic illégal de crocs et griffes de lions, comme parfois aussi leur peau ou leurs os, se perpétue en Afrique et vers l'Extrême-Orient, à des fins médicales surtout mais ausi décoratives.

    AFP


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  • Elle a été adoptée en Angleterre


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  • Grèce : le combat des bénévoles pour sauver des chiens et des chats brûlés dans les incendies

    Grèce : le combat des bénévoles pour sauver des chiens et des chats brûlés dans les incendies

    Des matelas de glaçons, un baume sur les pattes brûlées, des bains d'eau froide : sous des bâches érigées à la hâte au nord d'Athènes, une trentaine de bénévoles s'activent pour soigner des dizaines de chiens et de chats, abandonnés ou oubliés dans les évacuations des incendies de Grèce.

    "C’est l’heure du bain", s’exclame une jeune volontaire, se saisissant de deux petits chiots et les plongeant dans une petite bassine remplie d’eau. 

    Quand ils ne sont pas sévèrement brûlés, les rescapés à quatre pattes sont plongés dans l'eau toutes les deux à trois heures pour refroidir leurs plaies.

    Sous les tentes de fortune, installées en sept heures au pied d’une carrière abandonnée des faubourgs de la capitale grecque, les vétérinaires bénévoles ont aussi organisé un espace "soins intensifs" pour les grands brûlés, où les blessures graves requièrent une surveillance de tous les instants.

    "Jusqu’à présent, nous avons récupéré et recueilli 233 animaux", explique Yannis Batsas, le président d'Action Volontaires vétérinaires grecs. "Et on en reçoit une vingtaine tous les jours", dit-il à l'AFP.

     

    Des dizaines de localités de l'agglomération d'Athènes ont été évacuées début août face à l'avancée des flammes qui ont ravagé pinèdes et habitations à une trentaine de kilomètres au nord de la capitale.

    Dans cette région, où les chiens et les chats errants sont légion, canidés et félins sont les premières victimes du feu, ainsi que tous ceux domestiqués laissés dans les jardins dans la fuite précipitée de leurs maîtres.

    Sur les routes bordées de pins calcinés, l'AFP a rencontré des groupes de volontaires recueillant les animaux abandonnés à Efnides et dans d'autres villages sinistrés.

    - Animaux hébergés -

    Au nord d'Athènes, dans le refuge où les animaux sont désormais soignés et réconfortés, les bénévoles circulent entre les cages, ajoutent des glaçons dans les gamelles, cependant qu’un ventilateur tente d’offrir un peu de fraîcheur dans la chaleur écrasante.

    Dans un concert d'aboiements, les chiens, brûlés aux pattes et sur le reste du corps, accueillent joyeusement leurs infirmiers.

    Installés sur des draps remplis de glaçons, une vingtaine d'entre eux attendent sagement que leurs maîtres viennent les chercher ou que d'autres choisissent de les adopter.

    "Environ 90 animaux ont retrouvé leur propriétaire", estime Elena Dede, la fondatrice de l'organisme à but non lucratif Dogs' Voice.

    Parmi les milliers de volontaires qui se sont présentés, notamment pendant le premier week-end, beaucoup ont accepté de récupérer des chiens chez eux, pour une quinzaine de jours.

    "Au lieu d’avoir 200 animaux regroupés au même endroit, vous n'en aurez jamais plus d’une cinquantaine et ce, grâce aux hébergements et aux adoptions", s’est réjoui Yannis Batsas.

    "Nous avons eu plus de 2.000 personnes qui se sont présentées pour se porter volontaires", raconte à l'AFP Elena Dede, selon laquelle "dix tonnes de nourriture pour chats et chiens" ont été collectées et seront distribuées dans les chenils partout en Attique, dans l'est de la Grèce.

    - Un nouveau centre pour Eubée ? -

    L'élan de solidarité rencontré dans la capitale encourage les bénévoles à ouvrir un autre centre sur l'île d'Eubée, où l'incendie était toujours actif jeudi.

    "Une équipe est partie sur l’île d’Eubée pour aller voir les fermes, les chèvres, les moutons qui ont été brûlés", explique Yannis Batsas.

    Mais "Eubée, c'est une autre histoire. Nous devons être sûrs que nous aurons la capacité de répondre avec la même efficacité qu'ici", ajoute Elena Dede.

    Sur la deuxième île grecque, à 200 km à l'est d'Athènes, l'évacuation des animaux brûlés est compliquée. "Ils doivent être acheminés par bateau, ça rallonge les trajets", se lamente Irini Tapouti, la directrice de la clinique vétérinaire de Chalkida.

    Sur la plage de Pefki, sur des transats tapissés de cendres, Roula Papadimitri et sa fille Eva apportent premiers soins et réconfort à une douzaine de chiens sauvés des flammes, a constaté l'AFP. 

    En quittant le village mitoyen d’Artemisia à pied, elles ont abandonné leur maison mais secouru plus de dix chiens. "Hors de question de partir sans eux", dit Eva. "Comment peut-on abandonner des chiens ?", interroge sa mère.

    Lentement, Roula verse de l’eau dans les gueules assoiffées. Un petit chat rescapé des flammes se faufile entre les canins tremblotants.

    Trois chiens ont été mis en cage, de peur qu’ils ne s’enfuient et ne se mettent en danger. "Je ne vais pas les laisser partir dans la gueule du loup", ajoute Roula.

    AFP


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  • Un os a été trouvé dans son estomac


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  • Un « massacre ». L'association Agir pour le vivant et les espèces sauvages (AVES France) a vivement dénoncé le dernier arrêté de la préfecture de l'Oise, permettant à 15 chasseurs désignés par le préfet ? appelés « lieutenants de louveterie » ? de tuer 200 renards chacun dans les 15 secteurs du département jusqu'au 31 mars 2022, rapporte Le Parisien. Ce qui représente en tout 3 000 bêtes d'ici le printemps prochain. L'AVES et d'autres associations écologistes avaient par ailleurs déjà fait annuler un premier arrêté, jugé « illégal » dans sa mise en oeuvre.

    Le premier arrêté, remontant au 23 juillet dernier, stipulait que huit chasseurs pouvaient « réguler » la population de renards en en abattant 1 370. Sauf que la procédure de mise en application n'était pas conforme. « Il s'est avéré qu'il n'y avait pas eu de consultation publique mais un simple affichage en mairie. Ce n'est pas légal. On a vérifié les sept autres secteurs concernés. Tous les arrêtés étaient illégaux », a expliqué Christophe Coret, président de l'AVES.

    Les associations ont l'intention de recourir à la justice

    La préfecture a plaidé une erreur et a lancé une consultation publique pour mettre en ?uvre un nouvel arrêté, légalement cette fois, mais dans 15 secteurs au lieu de 8, et pour 3 000 renards au lieu de 1 370. Dans son projet d'arrêté, disponible sur le site oise.gouv.fr, la préfecture avance un objectif de régulation à des fins sanitaires : « Dans la mesure où la population de renards est importante sur le département, il convient de réguler cette espèce dans le cadre de la lutte sanitaire contre l'échinococcose alvéolaire (7 % d'animaux porteurs selon une étude ELIZ sur l'Oise), la leptospirose et la gale. »

    « Le renard n'a pas de prédateur et prolifère vite. Tout est une question d'équilibre. Notre intérêt n'est pas de l'éradiquer mais de le réguler », a pour sa part assuré Guy Harlé d'Ophove, président de la Fédération des chasseurs de l'Oise, au Parisien.

    La fin de la consultation, disponible sur le site de la préfecture de l'Oise, est prévue le 23 août. À partir de cette date, le nouvel arrêté pourra formellement être publié et les lieutenants de louveterie auront donc la liberté d'agir. Sauf si l'AVES parvient à faire annuler le texte par la justice. Christophe Coret a confirmé les intentions de son association, soutenue par l'association pour la protection des animaux sauvages, auprès du Parisien : « À la fin de la consultation, nous attaquerons au tribunal administratif d'Amiens. »

    Le Point

    Quelle bande de cons ces chasseurs !


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  • Un élevage de 200 000 poules épinglé par l’association L214 ferme ses portes dans l’Oise

    Photo d'illustration

    En octobre 2020, l’association L214 avait filmé une exploitation de poules pondeuses de Chambly (Oise), mettant en lumière les conditions déplorables dans lesquelles étaient élevés les animaux. D’abord fermé provisoirement pour cause de salmonelle, l’élevage ne relancera plus son activité.

    Une exploitation avicole, située à Chambly (Oise), a définitivement fermé ses portes. En octobre 2020, une vidéo choc publiée par l’association de défense des animaux L214 a dénoncé les conditions dans lesquelles étaient élevées les 200 000 poules de cet élevage. « L’activité de ponte n’a pas repris et des sanctions administratives ont été prononcées », a confirmé la préfecture de l’Oise au Parisien, lundi 9 août.

    « Il y avait clairement une absence de soins, de nettoyage, d’inspection quotidienne. Ces poules étaient livrées à elles-mêmes », a décrit L214 à nos confrères. L’association avait porté plainte pour « mauvais traitements sur des animaux et délit d’abandon ». Puis, en décembre 2020, l’élevage avait fermé provisoirement après la découverte de salmonelle. Toxique pour l’homme, cette bactérie rendait impropres à la consommation les 140 000 œufs produits quotidiennement par les poules.

    « On avait fait notre travail d’alerte »

    D’autres gallinacés devaient alors prendre le relais. Avant cela, les bâtiments devaient être totalement désinfectés, tout comme le matériel, écrivent nos confrères. Mais après avoir été prolongée, la fermeture est donc désormais définitive.

    La mairie s’était également mobilisée pour la fermeture de cette exploitation, après des plaintes de voisins. « Nous avions alerté les services vétérinaires. Après la vidéo, nous les avons relancés. C’est la seule chose que nous puissions faire. On avait fait notre travail d’alerte », a expliqué la municipalité.

    Ouest-France


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  • « Irlande », la jument retrouvée sur l’autoroute a pu être soignée grâce à de nombreux donateurs

    Une pouliche avait été retrouvée abandonnée sur l'A4, mercredi 4 août. Depuis, elle a été prise en charge par des vétérinaires et peut bénéficier de soins grâce à la générosité de nombreux donateurs.

    Irlande, une pouliche de trois ans avait été retrouvée le 4 août dernier sur une bande d’arrêt d’urgence de l’autoroute A4. Ce sont les pompiers qui l’avaient découvert, vers 6 h 30 du matin après que l’animal a été volontairement abandonné par son propriétaire. Depuis, Irlande a pu avoir accès à des soins grâce à de nombreux donateurs, rapporte Lorraine Actu.

    Mal en point, Irlande était menacée d’euthanasie. Difficile à concevoir pour Julia Rodio, cofondatrice de l’association et du centre équestre du Moulin à poudre à Macheren (Moselle). C’est elle qui l’avait prise en charge, rappelle le site d’actualité. Pour pouvoir payer ses soins, elle avait mis en place une cagnotte en ligne. 11 610 € ont ainsi pu être récupérés en cinq jours.

    Une journée pour les donateurs

    Un montant assez important pour que l’équidé puisse être opéré en Allemagne et recevoir des soins complémentaires. Depuis, Irlande a pu être prise en charge par des vétérinaires et ne souffre plus de coliques, développe le média lorrain. « Un premier pas vers la guérison », selon les médecins, qui assurent tout de même que le chemin sera long, le cheval étant encore sous traitement.

    « Quand on l’a récupérée elle était éteinte. Aujourd’hui, je la trouve pleine de vie », explique la fondatrice de l’association, qui qualifie Irlande de « guerrière ». Elle n’hésite pas à prendre quotidiennement des nouvelles de sa protégée auprès des vétérinaires et espère bientôt pouvoir l’accueillir.

    Julia Rodio prévoit même de remercier tous les donateurs, dès que cela sera possible et que les vétérinaires auront donné leur feu vert pour le départ d’Irlande. « On va préparer une journée en son nom où tous les donateurs pourront la rencontrer », a affirmé sa nouvelle propriétaire, citée par Lorraine Actu.

    Ouest-France


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  • Au début de la video, j'avoue avoir pleuré, heureusement, cela finit bien !


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  • Horreur : leur nourriture principal est le cheval !


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  • Annika Schleu a fait le tour de la toile vendredi dans une scène aussi cocasse que triste. Durant l'épreuve de saut d'obstacles du pentathlon moderne, l'athlète a bataillé sur un cheval qui refusait de sauter, alors qu'elle était en tête du classement général. Les larmes aux yeux, l'Allemande a vite compris que le titre olympique s'était envolé.

     

    Schleu, qui se débattait avec sa monture nommée Saint Boy, recevait l'ordre par la coach de pentathlon allemande Kim Raisner de «bien frapper» le cheval récalcitrant (vidéo du tweet). Une consigne qu'elle a appliquée à la lettre, donnant lieu à une scène qui a agacé les associations de protections des animaux, comme Peta en Allemagne. Mais cette maltraitance ne s'est pas arrêtée là. Après le forfait de son athlète, Kim Raisner a assené un coup de poing sur le flanc gauche de Saint Boy. Un geste qui n'est évidemment pas passé inaperçu et qui a entraîné son exclusion des Jeux olympiques.

    En effet, selon le règlement du pentathlon moderne, il est interdit de toucher l'animal. Le comité exécutif de l'Union Internationale du Pentathlon Moderne a adressé un «carton noir» à l'entraîneur de l'équipe d'Allemagne, précisant qu'il a «examiné des séquences vidéo montrant Mme Raisner semblant frapper le cheval Saint Boy, monté par Annika Schleu, avec son poing pendant la discipline d'équitation du pentathlon moderne féminin».

    L'ancienne pentathlonienne moderne qui a participé aux JO d'Athènes en 2004 sera donc absente des épreuves masculines de pentathlon de ce samedi, tout comme le cheval à l'origine de cette affaire, qui ne fait pas partie des montures retenues.

    Le Figaro Sports


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  • Groenland. Un ours blanc en sursis après avoir attaqué à plusieurs reprises des documentaristes

    Illustration

    Un ours blanc a été classé « à problèmes » mardi 3 août après avoir attaqué une équipe de documentaristes dans une station du nord-est du Groenland, a annoncé l’armée danoise, autorisant qu’il soit abattu en cas de récidive.

    Tout a commencé le lundi 2 août, très tôt dans la matinée, alors que le soleil ne se couche pas à cette latitude en cette saison, un ours blanc est parvenu à passer la tête par une fenêtre mal fermée dans un local de recherche où logeait une équipe de tournage, à environ 400 mètres à l’écart de la petite base militaire de Daneborg au Groenland.

    Selon le récit du « Commando arctique », unité danoise stationnée sur place, il a alors mordu un des trois hommes à la main, avant que l’équipe parvienne à le faire fuir en utilisant ses pistolets d’alarme.

    Transporté dans un premier temps à Daneborg, le documentariste blessé a dû être évacué à Akureyri en Islande.

    L’ours est revenu à deux reprises

    Déjà crédité de cinq incidents jusqu’ici, l’ours est alors revenu plus tard dans la matinée, puis une nouvelle fois dans la nuit du lundi 2 au mardi 3 août, et est parvenu à briser une fenêtre du local scientifique avant de s’enfuir, effrayé à nouveau par les deux rescapés.

    « Les autorités locales l’ont désormais catégorisé comme’ours à problèmes’, ce qui autorise à l’abattre, s’il revient », a précisé le Commando arctique dans un communiqué.

    L’incident intervient alors que le nord-est du Groenland vient de subir une vague de chaleur, avec un nouveau record de 23,4 degrés enregistré dans la région.

    Selon les spécialistes, le recul de la banquise, terrain de chasse des ours, les contraint à rester à terre plus souvent et entraîne des problèmes de sous-alimentation menaçant l’espèce, déjà classée vulnérable.

    S’ils restent rares, les incidents avec l’homme se multiplient, les ours s’approchant plus régulièrement des habitations, en quête de nourriture, selon les protecteurs de l’environnement et les autorités.

    Selon une étude parue dans Nature Climate Change en juillet 2020, ces plantigrades emblématiques de l’Arctique – environ 25 000 individus actuellement – sont menacés d’extinction autour de 2100.

    Ouest-France


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