• Un retraité a été tué d’un coup de fusil alors qu’il ramassait des champignons.

    Un chasseur, âgé de 34 ans, a confondu un cueilleur de champignons avec du gibier et a ouvert le feu. L’homme âgé de 77 ans est mort, ce vendredi à Villars-le-Bois (Charente-Maritime). Le tireur a alerté immédiatement les secours lorsqu’il a compris sa tragique méprise.

    Le chasseur aurait tiré après que son chien a aboyé ou marqué l’arrêt en voyant du mouvement dans les fourrés, rapporte La Voix du Nord. Une enquête a été ouverte et confiée à la gendarmerie.

    Dans un communiqué publié sur son site internet, la fédération départementale des chasseurs de Charente-Maritime a déclaré déplorer et condamner « fermement cet acte contraire aux règles élémentaires de sécurité », et réclame « qu’une sanction des plus exemplaires soit prise en plus des éventuelles sanctions civiles et pénales, à savoir le retrait à vie du permis de chasser ».

    Actu 17

    Saloperie de chasseur et ce c. de président qui a baissé de moitié le prix du permis pour avoir les voix des chasseurs !s


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  • Un garde-forestier australien a réussi à s'échapper des dents acérées d'un crocodile "particulièrement fourbe", après lui avoir mis un doigt dans l'oeil au cours d'une lutte acharnée.

     

    Craig Dickmann, parti à la pêche dimanche dans un endroit reculé du nord de l'Australie, a déclaré que l'animal de 2,8 mètres de long l'a attaqué par derrière au moment où il quittait la plage.

    "Au moment où je pars, la première chose que je vois, c'est sa tête qui se dirige vers moi", a-t-il raconté vendredi à la presse sur son lit d'hôpital à Cairns, dans le Queensland (nord-est).

    "Ce bruit me hantera pour toujours, je pense. Le bruit du claquement de ses mâchoires."

    Selon l'homme de 54 ans, le crocodile l'a attaqué au niveau de la cuisse et a tenté de l'entraîner dans l'eau afin de le noyer.

    Craig Dickmann a alors eu l'idée d'enfoncer son pouce dans l'oeil du reptile, seule "partie souple" de l'animal, qui a une peau très dure.

    "J'ai poussé aussi loin que possible et il a commencé à lâcher prise", a expliqué le garde-forestier.

    Au bout de quelques minutes, il dit avoir réussi à se mettre sur le dos du crocodile, à lui fermer les mâchoires, puis à le repousser.

    Craig Dickmann, qui s'en est sorti avec des morsures aux mains et aux jambes, a ensuite conduit pendant 45 minutes jusqu'à son domicile, avant d'appeler les secours.

    "Ce crocodile était particulièrement fourbe et sournois", a déclaré le garde-forestier.

    Dans un communiqué, les autorités du Queensland ont affirmé avoir euthanasié l'animal cette semaine.

    Les crocodiles marins, qui peuvent atteindre sept mètres de long et peser plus d'une tonne, sont nombreux dans les zones tropicales du nord de l'Australie. Mais les attaques contre les humains sont rares.

    AFP

    Pourquoi avoir euthanasié ce pauvre crocodile ? Il était dans son élément, la mer !

    Le mec n'avait qu'à aller pêcher ailleurs !


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  • Guadeloupe : Neo a été battu à mort puis jeté au fond de ce ravin !

    Guadeloupe : Neo a été battu à mort puis jeté au fond de ce ravin !

    LIEN pour lire l'article sur ce pauvre chien :

    https://www.clicanimaux.com/chevaux/collecte-5816-il-a-ete-battu-a-mort-puis-jete-au-fond-de-ce-ravin-

    Certains antillais sont vraiment des sauvages !


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  • Une saloperie d'humain, quel plaisir en tire t-il ?


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  • Manger moins de viande serait une bonne décision !


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  • Longtemps exhibé dans des spectacles, l'ours Mischa est mort dans le refuge qui l'avait accueilli

    Photo d'illustration

    Mischa, l'ours brun de 22 ans, est mort après une lourde opération médicale pour tenter de soigner des problèmes respiratoires. Il avait été confié au refuge de la Tanière mi-septembre après que le gouvernement ait interdit son utilisation pour des spectacles itinérants en raison de son état de santé.

    L'ours Mischa, malade et placé en septembre dans un refuge après l'intervention d'Elisabeth Borne qui avait interdit qu'il continue à être utilisé dans des spectacles, est mort mardi, ont annoncé ceux qui l'avaient recueilli à l'AFP et à l'Echo Républicain.

    "Après une lourde opération, 7 vétérinaires, un cardiologue, un échographe et toute l'équipe la Tanière, l'ours Mischa n'a pas eu la force de se réveiller", a indiqué sur sa page Facebook le refuge La Tanière, situé dans l'Eure-et-Loir. "Il faut que ça serve de leçon et qu'il ne soit pas mort pour rien", a lancé son fondateur très ému, Patrick Violas, dans un message vidéo.

    "Très triste d'apprendre le décès de l'ours #Mischa", a réagi sur Twitter la ministre de la Transition écologique dans la nuit de mardi à mercredi. Elisabeth Borne avait interdit mi-septembre que l'ours de 22 ans, utilisé dans des spectacles itinérants à travers la France, continue à être présenté au public, au vu de son état de santé.

    Après cette annonce, il avait été amené de façon volontaire par son propriétaire au refuge La Tanière. "Il avait des asticots qui sortaient de son nez et de ses pattes. Il souffrait énormément", expliquait alors Patrick Violas. Il avait ensuite repris du poids mais les examens pratiqués mardi ont révélé "des tumeurs partout", notamment au cerveau, a-t-il indiqué.

    "Au moins, il est mort dans la lumière, on a vu son calvaire", a commenté auprès de l'AFP Muriel Arnal, présidente de One Voice. L'ONG de défense des animaux réclame toujours le retrait de deux autres ours aux propriétaires de Mischa, et une audience en référé sur cette question doit avoir lieu le 28 novembre au tribunal administratif d'Orléans, a-t-elle ajouté.

    Le ministère de la Transition écologique a lancé il y a quelques mois une concertation sur la question du bien-être animal. "On aura des annonces fortes, je pense, dans les prochaines semaines, sur le bien-être des animaux sauvages", avait déclaré Elisabeth Borne dimanche sur France Inter.

    BFM.TV

    Cela fait longtemps que l'on aurait dû retirer les deux autres ours à ces salauds quand on a vu l'état de Mischa avec des vers dans le nez !

    Cela suffit de faire travailler les animaux pour gagner de l'argent !


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  •  

    Pourquoi tant de brutalité sur un animal à terre ?

    Élevage !! Ce taureau est incapable de se lever et est battu, frappé, électrocuté à la tête, sur les testicules, sur les pattes sans pitié ! Et sa fin est déjà marquée ! Sa chair va sentir sa douleur !!!!

    Pensez-y quand vous mangez de la viande !


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  • N'achetez plus les vêtements avec des plumes

    Plume d'oie ....

    La tête baissée, elle continue sa vie misérable dans cet enfer noirci par la souffrance et le sang jusqu'à la fin ...

    Vos vêtements en plumes d’oie proviennent de la terrible souffrance d'êtres vivants. La première plumaison a lieu à quelques semaines de vie pour obtenir une plume de la plus haute qualité. La torture continue ensuite pendant les mois suivants et à l'âge d'un an, leur petit corps épuisé ne produira plus de plumes et leur sort sera la mort. Une existence abusée et finie pour satisfaire une demande qui n'a pas besoin d'exister et qui pourrait préserver la vie avec l'utilisation d'autres matériaux.


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  • C'est la fin d'un être fort et majestueux qui s'est battu mais qui a été vaincu .... Chaque blessure la honte d'un homme qui a fait rage impitoyablement et moqueur. Destin misérable, pas de compassion, seulement une dignité déchirée par le mal. Et dans le silence, son sang disparaît ainsi nettoyé par l'immonde tradition .

    CORRIDA, spectacle de mort !


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  • A bas sharon stone

    Elle aime la fourrure et la corrida

    Sharon Stone ,grande amatrice de fourrures , PRÔNE LA TORTURE DES TAUREAUX : "La corrida ,est la poèsie de l'Espagne ,c'est une partie de la culture historique et une partie des symboles de ce pays , les taureaux m'enchantent ..."


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  •  

    Le trafic de pangolins se poursuit à une grande échelle en Afrique

    Ce petit mammifère à écailles est l'animal le plus braconné au monde, devant les éléphants et les rhinocéros. Si l'on veut éviter son extinction, il faut une riposte rapide, avertissent les défenseurs de la nature.

    Le trafic des pangolins a pris des proportions inquiétantes qui nécessitent une riposte rapide pour éviter leur extinction, ont averti, le 6 novembre 2019, des défenseurs de la faune cités par l'AFP. En 2016, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES), issue d'un accord intergouvernemental signé en 1973, avait pourtant voté l'inscription des pangolins à son annexe 1, qui interdit strictement leur commerce.

    Leur chair délicate est très prisée des gourmets chinois et vietnamiens, qui sont prêts à payer près de 2 000 euros par individu. Leurs écailles, leurs os et leurs organes sont également très appréciés de la médecine traditionnelle asiatique. "Comme la corne de rhinocéros, les écailles de pangolin, vendues environ 1000 euros le kilo, sont réduites en poudre pour fabriquer des remèdes utilisés en médecine traditionnelle chinoise pour une trentaine de maux, des troubles érectiles aux cancers les plus graves", observe le site du National Geographic. Des "vertus" qui n'auraient aucun fondement : ces écailles ne sont constituées que de kératine, substance qu’on retrouve dans les ongles, les poils, les cheveux humains, mais aussi le bec, les cornes...

     

    "Dans certaines cultures traditionnelles africaines, l'animal est connu pour éloigner le mauvais œil", mentionne par ailleurs Le Monde. "Solitaire et vulnérable, le pangolin est une proie facile pour les braconniers. L'animal, qui pèse de 2 à 35 kilos et mesure entre 30 et 80 cm, selon l’espèce, se roule en boule quand il est menacé : les contrebandiers n'ont alors plus qu'à le ramasser et l'enfermer dans un sac", observe le quotidien.

    Groupes criminels

     Les espèces asiatiques étant devenues rares, le marché noir s'est tourné vers les espèces africaines. Il a pris des proportions inquiétantes : une étude internationale, publiée en 2017 par la revue Conservation Letters, estime ainsi qu'"entre 400 000 et 2,7 millions de pangolins sont chassés chaque année dans les forêts d'Afrique centrale". Ce qui en fait l'espèce la plus braconnée au monde, largement devant les éléphants ou les rhinocéros, pourtant beaucoup plus médiatisés, selon l'ONG américaine WildAid.

    Les saisies officielles de pangolins (écailles, viande...) ont progressé de 21 kg en 2011 à plus de 68 tonnes cette année, indique WildAid ! 

    Le trafic des espèces africaines est tombé sous la coupe de groupes criminels, qui les exportent depuis l'Afrique du Sud, affirme un chercheur du programme de recherches sur la criminalité ENACT, financé par l'Union européenne. Malheureusement, le gouvernement de Pretoria n'a pas pris la mesure de la menace, poursuit Richard Chelin pour qui "il faut agir maintenant". "Il est vital de comprendre et d'empêcher le trafic illégal des pangolins avant qu'il ne soit trop tard", a-t-il poursuivi, en exhortant les autorités sud-africaines à renforcer la répression des trafiquants.

    Selon les ONG, l'Afrique australe est la dernière région de la planète à abriter des populations importantes de pangolins.

    franceinfo

    Connards de chinois, ils croient qu'avec de la poudre ils vont faire grossir leur minuscule sexe !!! 


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  • Cette pauvre femme aimait les animaux mais n'était plus capable de s'en occuper.


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  • Mordu par un sanglier, un chasseur évacué par hélicoptère dans le Sud-Ardèche

    Un chasseur mordu par un sanglier à Genestelle samedi après-midi. 

     

    Vers 16h30, le jeune homme de 23 ans rabattait le gibier quand un sanglier l'a chargé et mordu à la jambe, à l'arrière d'un genou.

    L'accident s'est déroulé dans un endroit difficile d'accès pour les pompiers, éloignés des routes. Pour intervenir rapidement et par crainte d'une infection de la blessure, ils ont fait appel à l'hélicoptère de la Sécurité civile du Rhône, le Dragon 69.

    Le jeune homme a été héliporté jusqu'au centre hospitalier d'Aubenas. 

    France bleu

    Dommage que le chasseur s'en sorte !


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  • En Pologne, un élan de solidarité pour neuf tigres ayant échappé à la mort

    © WOJTEK RADWANSKI / AFP L'un des neuf tigres qui a échappé de peu à la mort en Pologne, le 6 novembre 2019 à Poznan

    L'histoire de neuf tigres ayant échappé de peu à la mort dans un camion italien bloqué à la frontière biélorusse a suscité un élan de solidarité en Pologne où une collecte de fonds a été lancée pour créer un refuge pour animaux sauvages en détresse.

     

    L'histoire de neuf tigres ayant échappé de peu à la mort dans un camion italien bloqué à la frontière biélorusse a suscité un élan de solidarité en Pologne où une collecte de fonds a été lancée pour créer un refuge pour animaux sauvages en détresse.

     

    Les sept fauves accueillis au zoo de Poznan, à l'ouest, où ce refuge sera aménagé, ont recommencé à manger et reçu des vitamines et des sels minéraux, a constaté vendredi un photographe de l'AFP.

    Mais leurs portions de bœuf et de cheval - normalement entre cinq et six kilos de viande par jour - sont réduites de moitié, les vétérinaires estimant qu'après un long jeûne il serait dangereux de passer immédiatement à un menu abondant.

    Un quart de l'objectif financier déjà récolté

    La collecte de fonds, dont l'objectif est de recueillir l'équivalent de 1,4 million d'euros, a déjà rapporté un quart de cette somme et les ouvriers étaient à l'oeuvre au zoo de Poznan vendredi pour aménager un box destiné aux deux tigres les plus affaiblis. 

    Selon les employés du jardin zoologique, les animaux, trois mâles et quatre femelles, sont toujours extrêmement stressés, peureux et agressifs à la fois. Deux autres fauves, en meilleur état, ont été accueillis dans un autre zoo.

    Il n'est toujours pas clair qui est leur propriétaire actuel, le patron d'un élevage d'animaux sauvages situé près de Rome, d'où ils viennent, ou la cheffe d'un zoo au Daguestan, une république caucasienne de la Fédération de Russie, qui les aurait reçus en cadeau. 

    Mais selon la porte-parole du zoo de Poznan, il n'est pas question de remettre les fauves à l'un ou à l'autre. Cinq d'entre eux devraient aller plutôt dans un refuge pour animaux sauvages en Espagne, géré par l'association hollandaise AAP (Animal Advocacy and Protection).   

    Les chauffeurs du camion inculpés pour maltraitance

    Les félins devaient être transportés au Daguestan, mais après quatre jours de voyage leur camion a été arrêté à la frontière entre la Pologne et le Bélarus, les douanes de ce pays jugeant insuffisants les documents présentés par les conducteurs.

    Lors d'un arrêt de quatre autres jours à la frontière, un tigre est mort. Fin octobre, une fois leur situation connue, les neuf autres ont été pris en charge par des zoos polonais. 

    Les deux chauffeurs italiens ont été inculpés pour maltraitance animale. Ils sont retenus en Pologne, ainsi que leur camion, où les tigres ont voyagé dans des cages beaucoup trop petites pour eux, dans des conditions "horribles", selon leurs défenseurs.

    BFM.TV


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  • A la fin du mois d’octobre 2006, les renseignements généraux de Montmorency (Val-d’Oise) signalent aux gendarmes qu’une famille de Marly-la-Ville semble se livrer à des agissements de type sectaire, sous couvert de rites vaudous.

     

    Sur la base des premiers renseignements recueillis, le procureur de la République ouvre une enquête préliminaire ; celle-ci permet de découvrir que la mère, Mélitte J., qui se dit voyante et prêtresse vaudoue, tire de ses activités un revenu mensuel de l’ordre de 11 000 euros, grâce aux dons de ses fidèles, lesquels sont des membres de la communauté antillaise victimes d’un deuil, d’un chagrin ou d’une maladie, lui demandant de les aider à traverser leurs épreuves.

    Droit d’entrée

    Deux fois par semaine, Mélitte J. propose des consultations – facturées 100 euros – dans son pavillon. Le plus souvent, elle estime qu’une simple consultation ne suffit pas, et qu’un « travail » est nécessaire, travail dont le coût (à partir de 3 000 euros) dépend du temps qu’elle y passera. Le « travail » se fait le samedi soir, lors de cérémonies commençant vers 19 heures ou 20 heures, et se terminant au petit matin, devant une assistance qui comprend adultes et enfants, chantant, dansant et priant, parfois jusqu’à la transe.

    Aux « travaux » peuvent s’ajouter des « initiations » de trois jours, que l’adepte passe couché dans le sous-sol de la maison de Marly, et pour lesquelles il paie plus de 10 000 euros. Il y a aussi, trois fois par an, des « fêtes » de plusieurs jours, dont le droit d’entrée est de 200 euros par famille, sans compter les cadeaux – bouteilles de champagne, rhum, vêtements, bijoux…

    La grande prêtresse vaudoue ne pouvait pas tordre le cou des poulets

    Lors de ces fêtes, Melitte J. qui se fait appeler « Maman » ou « Mazacca la Croix », est secondée par son mari, Hugues J., mais aussi par ses deux filles, Murielle et Véronique, qui accueillent les gens et jouent du tambour. La prêtresse sacrifie des poules ou des chèvres, à mains nues, en leur tordant le cou, ou avec un sabre. Elle prend alors le sang de l’animal et le dépose sur la partie malade d’un participant, ou en asperge l’assistance.

    Abus de faiblesse

    Le juge d’instruction la renvoie devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour abus de faiblesse sur personnes en état de sujétion psychologique et sévices graves ou actes de cruauté envers un animal.

    Le 11 avril 2016, le tribunal la déclare seulement « coupable d’abus frauduleux de l’ignorance ou de la faiblesse d’une personne, par dirigeant d’un groupement poursuivant des activités de gérant, maintenant ou exploitant la sujétion psychologique ou physique des participants ». Il la condamne à cinq ans de prison dont deux avec sursis, ainsi qu’au paiement de dommages et intérêts à douze personnes qui se sont portées partie civile. Il ordonne aussi la confiscation de son pavillon de Marly-la-Ville, où a eu lieu l’infraction.

    Abattage rituel

    Le tribunal considère qu’elle n’est pas coupable de sévices envers des animaux, infraction dont la Fondation assistance aux animaux demandait aussi qu’elle soit poursuivie, en invoquant l’article 521-1 du code pénal, selon lequel « le fait, publiquement ou non, d’exercer des sévices graves, ou de nature sexuelle, ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende ». Le tribunal juge que Mélitte J. a agi « comme dans le cadre d’un abattage rituel ».

    Les J., le ministère public et douze parties civiles font appel. La cour d’appel de Versailles, qui statue le 3 juillet 2018, confirme le jugement sur le premier point (tout en réduisant la peine de prison à quatre ans dont deux avec sursis), mais l’infirme sur le second : « En application de l’article R 214-73 du code rural, il est interdit à toute personne de procéder ou faire procéder à un abattage rituel en dehors d’un abattoir ». En outre, « les époux J. n’ont utilisé aucune méthode d’endormissement avant de procéder à l’abattage d’un grand nombre d’animaux ».

    Question prioritaire de constitutionnalité

    Mélitte J. se pourvoit en cassation, en soutenant que « toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion, ce droit impliquant la liberté de manifester sa religion par le culte et l’accomplissement de certains rites ».

    S’agissant de la condamnation pour sévices sur animaux, elle demande que la Cour pose au Conseil constitutionnel la question suivante : « Les dispositions de l’article 521-1 du code pénal, en tant qu’elles ne prévoient pas une exception pour les actes consistant à mettre à mort un animal dans le contexte religieux d’un sacrifice à une divinité, sont-elles contraires au principe de liberté religieuse ainsi qu’au principe d’égalité devant la loi ? » Elle souhaite que le Conseil réponde par l’affirmative, et qu’il les abroge, ce qui permettrait de casser l’arrêt d’appel.

    Quand l’assureur refuse de faire jouer sa garantie tempête

    Mais la Cour de cassation juge, le 5 mars 2019 (N° 18-10.379), que la question ne mérite pas d’être transmise au Conseil constitutionnel. En effet, explique-t-elle, « le principe de liberté religieuse n’implique pas que soit autorisée la pratique, sur les animaux domestiques apprivoisés ou tenus en captivité, de sévices et actes de cruauté », à savoir « des actes accomplis intentionnellement dans le but de provoquer leur souffrance ou leur mort ». En outre, « le principe d’égalité n’impose pas d’étendre l’exonération de responsabilité pénale », prévue par le code pénal pour les combats de coqs et les courses de taureaux, « dans les régions où ils font partie d’une tradition ininterrompue », à d’autres cas.

    Abus dissimulés

    Le 5 novembre 2019 (N° 18-10.379), la Cour examine l’ensemble du pourvoi. S’agissant du second point, elle répond, logiquement, que la demande « est devenue sans objet » depuis le 5 mars, et que, « dès lors que nul ne peut se prévaloir de ses croyances religieuses pour s’affranchir des règles communes édictées par la loi pénale », la cour d’appel a « justifié sa décision ».

    S’agissant du premier, elle valide aussi l’arrêt des magistrats d’appel qui avaient pris la précaution de préciser que « ce ne sont pas leurs croyances qui sont reprochées aux prévenus, mais les abus dissimulés derrière leur religion et leur culte ». La peine prononcée est ainsi confirmée.

    Le Monde.fr

    Pauvres antillais, certains sont bien arriérés !

    Une famille d'escrocs à mettre en prison


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  • Nouvelle-Zélande : après une vente aux enchères, il se trompe et achète 1.000 poules au lieu d'une

    Contrairement à ce que pensait le nouveau propriétaire, le prix indiqué sur la petite annonce en ligne concernait l’ensemble des 1.000 gallinacés

    Un habitant d’Hamilton (Nouvelle-Zélande) a fait, sans le savoir, l’acquisition de 1.000 poules auprès d’un élevage de volailles de Massey, dans la banlieue d’Auckland, ce dimanche. L’annonce d’un site d’enchères très populaire dans le pays précisait que la ferme cessait son activité et devait se débarrasser des animaux, rapporte le site d’informations Stuff​.

    Le prix indiqué était de 1,50 dollar néo-zélandais. Steve Morrow a naturellement pensé qu’il s’agissait du tarif pour acheter une poule.

    Sauver les poules, coûte que coûte

    Le Néo-Zélandais avait décidé de programmer une enchère automatique, sur le site, pour un montant maximum de 20 dollars. Il pensait pouvoir acheter à ce prix deux volailles. Le week-end dernier, il a appris qu’il était le meilleur enchérisseur. « Je me suis dit (…) que je pourrais en prendre autant que je voulais. » Une fois en contact avec le revendeur, il apprend alors qu’il va devenir le nouveau propriétaire des 1.000 gallinacés. « Ce qui est sûr, c’est que j’étais sous le choc », a-t-il ajouté.

    L'« heureux » propriétaire a fait savoir qu’il allait garder 20 poules. Mais il s’inquiète du sort des autres, qu’il ne veut pas voir exécutées. Steve Morrow a contacté un refuge animalier, qui œuvre à ce que les animaux soient adoptés.

    « Je voulais sauver ces 1.000 vies, même si ça voulait dire qu’il fallait conduire jusqu’à Auckland pour les nourrir moi-même », a-t-il raconté. Quelque 700 poules sont d’ores et déjà sauvées.

    20 Minutes


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  • La Réunion: La main et un avant-bras découverts dans l'estomac d'un requin tigre

    Une main portant une bague et un avant-bras ont été trouvés mardi dans l'estomac d'un requin tigre pêché dans l'île de la Réunion, a appris l'AFP mercredi soir de sources judiciaires.

    Les restes humains ont été découverts par des scientifiques du centre de sécurité requin (CSR) qui procédaient à l'autopsie de plusieurs squales de plus de trois mètres. Les animaux ont été pêchés lundi et mardi dans le cadre de la recherche en vue de réduire le risque requin à La Réunion ! ? Révélée par le site d'information clicanoo.re, l'information a ensuite été confirmée par des sources judiciaires.

    Les techniciens de la police scientifiques ont effectué des prélèvements sur la main et l'avant-bras. Des tests ADN seront pratiqués pour identifier avec certitude les restes humains. Selon une source proche du dossier, l'épouse d'un touriste écossais porté disparu depuis samedi a formellement reconnu la bague se trouvant sur la main comme étant l'alliance de son mari. Bon nageur, l'homme âgé de 44 ans a disparu alors qu'il se baignait dans le lagon de l'Hermitage (ouest de La Réunion). La mer y est peu profonde et ne présente pas de difficulté particulière à l'exception d'une passe dans la barrière de corail donnant accès à la haute mer.

    Ne le voyant par revenir, son épouse restée sur la plage avait donné l'alerte. Un important dispositif avait été mis en place pour retrouver le touriste. En vain. Les recherches étaient toujours en cours mardi lorsque les restes humains ont été découverts dans l'estomac du squale pêché à 7 km du lieu de la disparition du touriste. A ce stade, il n'a pas été déterminé si le quadragénaire s'est noyé et a ensuite été ingéré par le requin tigre ou s'il a été attaqué par l'animal. Depuis 2011, 24 attaques de squales se sont produites à La Réunion. 11 ont été mortelles. Plus de la moitié concernent des surfeurs ou des bodyboardeurs.

    Paris Match

    Les gens n'ont pas à aller où il y a des requins. Ces derniers sont chez eux dans la mer !

    C'est triste pour la famille mais pour une fois que c'est un animal qui mange un humain !

    En huit ans, 24 attaques dont 11 mortelles, c'est peu !

    Les humains mangent des millions d'animaux !

     


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