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  • Pyrénées : Trop vorace, l’ours Goiat va être capturé le temps de lui (re)mettre un collier GPS

    © Généralité du Val d'Aran Goiat, un gros ours mâle, filmé de nuit dans les Pyrénées.

    Impliqué dans trois attaques de troupeaux ce printemps, « l’ours à problème » Goiat va être capturé pour le doter d’un GPS, qui permettra de savoir où il rôde et de prévenir les bergers

    Les bergers ont eu du flair. Les attaques successives survenues récemment dans la vallée du Louron portaient bien, comme ils le soupçonnaient, la marque de Goiat. La préfecture des Hautes-Pyrénées confirme ce mercredi que cet ours mâle de 15 ans, introduit en 2016 sur le versant espagnol des Pyrénées, a bien été identifié comme étant l’auteur des trois prédations commises, notamment dans une bergerie, entre le 20 et le 27 avril. Ces raids ont coûté la vie à deux brebis, un agneau et un bélier.

     

    Goiat a été trahi par son ADN et son tableau de chasse printanier va lui valoir un nouveau placement sous collier électronique et une balade en fourgon. C’est ce que le préfet des Hautes-Pyrénées, Rodrigue Furcy, appelle la « phase 3 du protocole ours à problème ». La phase 2 avait été déclenchée il y a deux semaines et autorisait les agents de l’Office national de la Biodiversité (OFB) à tirer des balles en plastique dans l’arrière-train de l’ours, alors anonyme, pour l’effaroucher.

    Il a probablement passé la frontière

    Cette nouvelle étape autorise désormais la capture de Goiat. Le temps de le rééquiper d’un traceur GPS, lequel permettra de suivre ses maraudes et de prévenir les éleveurs en amont. Du moins, quand on le retrouvera. Car il n’a finalement pas pu être effarouché depuis le 28 avril et tout porte à croire, nouvelles brebis mortes à l’appui, qu’il a « probablement quitté le territoire national » pour basculer en Espagne.

    La voracité de Goiat n’a cessé depuis son arrivée de lui attirer les foudres des bergers sur les deux versants du massif. Après avoir perdu son premier collier GPS, il avait été recapturé en 2018. Son deuxième traceur a cessé d’émettre à l’automne 2020.

    20 Minutes


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  • A Blois, la «maltraitance» de l’ours Mischa devant la justice

    © Stéphanie Lefebvre Photo d'archives de l'ours Mischa, décédé en novembre 2019.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/a-blois-la-%c2%abmaltraitance%c2%bb-de-lours-mischa-devant-la-justice/ar-BB1gE8OP?ocid=msedgntp


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  • Vendée. Une biche en détresse se perd en centre-ville avant d’être relâchée dans son milieu naturel

    Illustration

    Pompiers et policiers ont attrapé puis relâché une biche qui se promenait dans le parking Clemenceau, en centre-ville de La Roche-sur-Yon, ce mercredi 12 mai.

    Drôle de visiteuse à la Roche-sur-Yon (Vendée), ce mercredi 12 mai au matin. Une biche s’est aventurée près de la voie ferrée puis aux alentours du boulevard Briand. Poursuivie, elle s’est réfugiée au parking Clemenceau, dans le centre-ville. Le personnel a alors prévenu la police et les pompiers qui ont réussi à coincer l’animal.

    Relâchée sans blessure

    Les policiers ont pris une bâche pour aveugler et tenter de calmer la biche, affolée. Indemne, si ce n’est quelques légères écorchures, elle a été embarquée par les pompiers qui l’ont ensuite relâchée dans son milieu naturel, vers 10 h 15.

    « On croise souvent la nuit des lapins, des renards et parfois quelques écureuils. Une biche, c’est plus rare. Même si les cheminements verdoyants autour de la ville peuvent en faire venir certaines »​, précise le commissaire Laurent Dufour.

    Ouest-France


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  • Douze personnes vont être sélectionnées pour tuer chacune un bison, afin de réguler la population du parc national américain du Grand Canyon.

    L’initiative, aussi improbable et décriée soit-elle, a été couronnée de succès. Comme le relate la BBC, près de 45.040 personnes se sont inscrites en 48 heures pour avoir le droit de… tuer un bison dans le parc national américain du Grand Canyon. Le National Park Service (NPS), l’organisme fédéral chargé de la gestion des grands espaces naturels des États-Unis, à l’origine de cette initiative, avait annoncé chercher des volontaires pour réguler la population de bisons du parc en question.

     

    25 personnes seront tirées au sort et douze “volontaires qualifiés” seront sélectionnés ensuite pour participer à ce “prélèvement” de bisons, le NPS balayant toute idée de chasse. Cette activité sera strictement encadrée. Les volontaires doivent être “en très bonne condition physique” et disposer de leur propre fusil (avec des balles adéquates). Ces derniers vont suivre ensuite une formation. Sur place, ils devront apporter leur propre matériel de camping, ainsi que leur nourriture. S'ils sont autorisés à rester une semaine dans le parc, ils ne pourront tuer qu’un seul bison.

     

    S’ils peuvent être soutenus sur place par trois à cinq personnes (amis ou membres de la famille) durant la semaine dédiée à cette tâche, ils devront être capables de transporter la carcasse de l’animal, qui peut peser jusqu’à 900 kilos, “hors de la zone à pied, sans l’aide d’un véhicule motorisé”. Les carcasses seront ensuite réparties, à raison d’une carcasse maximale par équipe de bénévoles. Près de 400 à 600 bisons vivraient dans le parc national du Grand Canyon. Le NPS espère pouvoir le faire baisser de moitié dans les années à venir, afin de réduire le piétinement des sites archéologiques amérindiens, l'érosion des sols et la contamination de l'eau.

    Capital

    C'est triste de voir le nombre d'humains qui aimeraient tuer un animal.

    J'espère que parmi ces salauds il y en aura au moins un qui se fera tuer !


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  • C’était il y a quelques jours. Une scène horrible, devant des passants.

    Strong a été percuté volontairement par une voiture.
    Il a de multiples fractures et souffre énormément.

     

    LIEN de l'article :

    https://www.clicanimaux.com/collecte-6572-il-vient-de-se-faire-de-percuter-volontairement-terrorise-strong-souffre-le-martyre#top-comments


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  • Paris : un chiot battu à mort, son maître placé en garde à vue

    Illustration d'un chiot beagle

    Battu à mort pour « avoir mâchouillé la batterie de sa cigarette électronique ». C’est pour cette raison surréaliste qu’un petit chien de 8 mois est mort la nuit dernière, massacré par son jeune propriétaire, au grand dam de l’équipage de police secours, appelé en intervention. Jeudi, le « maître » du chiot, un homme de 22 ans, a été placé en garde à vue au commissariat du XVe. Dans la soirée, il s’y trouvait encore.

    Il est 0h30 ce jeudi quand un riverain de la rue Oscar Roty, une petite artère du quartier Boucicaut, perpendiculaire à la rue de Lourmel (XVe), appelle Police secours.

    Un acte de barbarie

    De son balcon, il voit un homme, lui aussi sur son balcon, battre à mort un chien. Le chien en question est un jeune beagle, âgé de 8 mois. Ce chien de chasse, originaire d’Angleterre, est un animal de compagnie apprécié notamment à cause de sa petite taille mais aussi pour sa gentillesse.

    Quand les fonctionnaires arrivent, le tortionnaire s’est évaporé mais, avant, il a descendu le corps du petit animal et l’a attaché à un grillage de la descente du parking de l’immeuble, au niveau du N° 1 de la rue. Le chiot est agonisant, du sang plein le museau. Les policiers joignent un vétérinaire qui ne peut que constater la mort. Le maître est alors recherché. Après avoir auditionné des riverains, l’homme est retrouvé et interpellé puis ramené au commissariat de la rue de Vaugirard (XVe).

    Les voisins ont entendu les cris

    Lors de leur enquête de voisinage, un riverain leur a raconté « avoir entendu le chiot aboyer à la mort pendant vingt minutes ». Un autre voisin, inquiet, alerté par les maltraitances de ce bébé animal fraîchement arrivé dans l’immeuble, a enregistré avec son smartphone la mise à mort : « On entend les hurlements du mec sur son chien et l’agonie du chiot », raconte, glacé, un témoin.

    Le corps du beagle a été remis au vétérinaire. « Une radio a été faite dans un premier temps. Une autopsie va être pratiquée, détaille une source proche du dossier. Le vétérinaire a déjà eu un premier diagnostic. Le chiot a eu les cervicales brisées. »

    Le chien avait mâchouillé une batterie de cigarette électronique

    En fin d’après-midi, le tortionnaire présumé a été auditionné. Ce « jeune homme, sans profession, a essayé de se dédouaner, détaille une cette source. Il a raconté aux enquêteurs qu’il venait d’acheter le petit chien sur le Bon coin et que l’animal l’avait énervé à mâchouiller la batterie de sa cigarette électronique ».

    L’homme risque jusqu’à deux ans d’emprisonnement et 30 000 € d’amende selon l’article 521-1. Depuis 2017, le parlement, sous la pression des associations de défense des animaux, a légiféré en faveur des animaux, afin notamment de prévenir les actes de cruauté, de maltraitance, de mise à mort et a précisé son statut juridique.

    Dans le passé, les chiens étaient considérés comme des « biens meubles », au même titre qu’une table ou qu’une voiture ! Ce n’est que depuis 1976 que le chien est considéré comme un « être sensible ».

    Jeudi soir, la Fondation Stéphane Lamart, une association incontournable de défense des animaux, mais aussi de combat et de lutte pour valoriser leurs droits, a été prévenu de la mort du petit beagle du XVe arrondissement. « Nous allons nous porter partie civile dans ce dossier, annonce Stéphane Lamart. On ne peut pas tolérer de tels cas d’atrocité et de souffrance ».

    Le Parisien

    Il risque seulement 2 ans d'emprisonnement ! Ce n'est vraiment pas assez pour ce salaud !


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  • Un élevage illicite de sangliers démantelé près de Gap

    Une quinzaine d'animaux ont été découverts dans un enclos au mois de mars. Le propriétaire ne possédait aucune autorisation, ni habilitation pour un tel élevage.

    Un élevage illicite a été découvert et démantelé dans les environs de Gap, a appris BFM DICI ce jeudi. Une quinzaine d'animaux -sangliers, cochons vietnamien et "sanglochon", un hybride entre sanglier et cochon domestique- étaient enfermés dans un enclos, selon l'Office Français de la Biodiversité (OFB)

    Le propriétaire des animaux ne possédait aucune habilitation, ni autorisation spécifique pour cet élevage. Une procédure a été engagée à son encontre, précise l'OFB.

    L'Office français de la biodiversité rappelle par ailleurs que l'élevage de spécimens de la faune sauvage est rigoureusement encadré par le Code de l'environnement. En cas de non respect de la réglementation, les contrevenants risquent une peine de trois ans de prison et 150.000 euros d'amende.

    BFM.TV

    Hélas, les peines encourues ne sont jamais données!


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  • Le plus grand des ours roumains abattu par un prince du Liechtenstein

    Illustration

    Lors d’une partie de chasse, le « roi » des ours roumains a été tué par un prince du Liechtenstein. Une enquête a été ouverte.

    Le « plus grand » des ours bruns roumains a été abattu par un prince du Liechtenstein lors d’une partie de chasse, ont déploré ce mercredi 5 mai deux ONG, tandis que la police de l’environnement a ouvert une enquête.

     " Arthur avait 17 ans et était le plus grand ours observé en Roumanie et sans doute au sein de l’Union européenne », a écrit dans un communiqué Gabriel Paun, de l’association roumaine Agent Green, évoquant le témoignage d’un garde forestier de la région de Covasna (centre).

    La chasse aux ours est interdite en Roumanie mais le prince Emanuel, qui vit en Autriche où sa famille possède un château, avait bénéficié d’une dérogation pour tuer une femelle soupçonnée d’avoir attaqué plusieurs fermes l’année dernière, selon cette ONG et l’organisation de défense des animaux VGT.

    Le ministre de l’Environnement Tanczos Barna a confirmé dans les médias locaux la délivrance d’un permis, sans donner le nom du bénéficiaire.

    « Un mâle qui vivait au cœur de la forêt »

    Le prince a tué en mars « un mâle qui vivait au cœur de la forêt et ne s’était jamais approché des habitations des alentours », assure M. Paun, avec à l’appui un document émanant d’une association locale de chasseurs au nom de « Emanuel Prinz von und zu Liechtenstein ».

    Les mensurations de l’ours y sont notées 593 points sur un maximum de 600, soit « un record ».

    « Il est évident que le prince n’est pas venu résoudre un problème affectant les villageois mais tuer un ours et emporter le plus grand trophée pour l’accrocher au mur », s’est indigné le militant.

    Les autorités n’ont pas confirmé l’identité du chasseur.

    « Nous savions qu’une ourse devait être tuée, mais nous avons trouvé un mâle », d’où la décision de procéder à des vérifications, a expliqué à l’AFP le responsable de la police de l’environnement, Octavian Bercean, suspectant un « braconnage ».

    De son côté, la maison princière du Liechtenstein n’a pas souhaité commenter « une question privée et personnelle, dont elle ne connaît pas le contexte », tout en soulignant son attachement au « respect de la nature ».

    La Roumanie abrite quelque 6 000 ours bruns, soit la population de plantigrades la plus importante d’Europe, et a vu se multiplier ces dernières années les conflits autour de leur présence jugée envahissante.

    Alors qu’une partie de la population et des élus réclament une levée de l’interdiction de la chasse, les défenseurs de l’environnement plaident pour la mise en œuvre de mesures permettant d’améliorer la cohabitation entre l’homme et l’animal dans les zones rurales.

    Ouest-France

    Quel con ce prince !


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  • Nouvelles images chocs de L214 dans un abattoir breton

    L'association de défense des animaux L214 a diffusé des images d'animaux brutalisés et à l'agonie dans un abattoir de truies à Briec (Finistère), réclamant un audit généralisé de tous les abattoirs de France.

    L'association de défense des animaux L214 a diffusé mardi 4 mai dans la soirée des images d'animaux brutalisés et à l'agonie dans un abattoir de truies à Briec (Finistère), réclamant un audit généralisé de tous les abattoirs de France. "L214 demande au ministre de l'Agriculture un nouvel audit généralisé de tous les abattoirs de France", indique dans un communiqué l'association qui publie régulièrement des vidéos "choc" pour dénoncer les conditions d'élevage et d'abattage des animaux.

     
    Les images diffusées sur le site de l'association montrent des truies poussées à coups de pied et d'aiguillon électrique, alors qu'elles semblent en partie paralysées, se trainant au sol. D'autres reçoivent des coups d'aiguillon dans l'anus pour avancer plus vite. D'autres encore se retrouvent bloqués dans un couloir visiblement trop étroit. Les coups d'aiguillon ne permettant pas de dégager les deux animaux, un opérateur se sert d'une pince à électrocuter sur l'un pour dégager l'autre. "Vu l'horreur, nous avons bon espoir que ces images provoquent (l)a fermeture administrative" de l'abattoir, indique L214.

    Abattoir des Mousquetaires

    Les images ont été tournées dans l'abattoir de la Société briécoise d'abattage (SBA), une unité du groupe Les Mousquetaires (Intermarché) spécialisée dans l'abattage, la découpe et le désossage de truies de réforme, c'est à dire de truies en "fin de carrière". Selon L214, 2.300 cochons y sont abattus chaque semaine. "Les images filmées à la Société Briécoise d'Abattage et diffusées ce jour par L214 sont choquantes", a réagi dans un communiqué la direction de l'abattoir, disant avoir "décidé, par mesure conservatoire, de suspendre provisoirement la ligne de production concernée, en attendant les conclusions des différents audits et enquêtes internes qui ont été immédiatement diligentés, en lien avec les autorités sanitaires".
     
    Suite à plusieurs enquêtes de l'association L214 en 2015 et 2016, le ministre de l'Agriculture de l'époque Stéphane Le Foll avait ordonné fin mars 2016 des inspections dans l'ensemble des abattoirs de France. Celui de Briec avait été inspecté en avril 2016. "Cinq ans plus tard, tous les problèmes relevés par la DDPP (les services vétérinaires) perdurent", dénonce L214.
    L'association porte plainte "pour sévices graves commis envers des animaux auprès du procureur de la République de Quimper et demande à la justice de punir sévèrement la direction de l'abattoir, ainsi que les services vétérinaires du département". Elle indique en outre introduire "un recours en responsabilité contre l'État pour manquement à sa mission de contrôle de l'application de la réglementation". Sollicitée, la préfecture du Finistère n'était pas en mesure de répondre dans l'immédiat.
     
    Challenges

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  • Quelle saloperie d'humain a pu commettre une horreur pareille ? Faudrait lui couper les deux jambes ! Même avec un chariot, cette chienne ne pourra pas avancer !


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  • Je pense à tous ceux que l'on ne trouve pas et qui meurent seuls dans la souffrance !


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  • Mardi dernier, un homme de 24 ans a été condamné à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis pour avoir agressé et égorgé le chien de ses grands-parents alors qu'il était sous l'emprise de la drogue.

    Parce qu’ils le considéraient comme leur petit-fils, un couple de septuagénaire avait accepté de loger un jeune homme de 24 ans. Une belle preuve d’amour gâchée par les agissements terribles de ce dernier. Sous l’emprise de drogues dures, le petit-fils adoptif du couple s’en est violemment pris à leur chien. En effet, ce dernier a tiré dans l’œil de l’animal à l’aide d’un pistolet à bille avant de lui trancher la gorge avec un coup de couteau. En pleine crise, le jeune homme a ensuite tenté de s’en prendre au couple de retraités. Effrayés, ils s’étaient alors retranchés dans leur chambre pendant que le mis en cause saccageait leur maison puis leurs voitures avant de revenir à la charge pour agresser ces derniers.

    Un comportement violent loin d’être un phénomène isolé : "On s’est beaucoup occupé de lui, il nous insultait et nous bousculait quand il était en état de manque de drogue. Nous finissions par lui donner notre carte bancaire, car il devenait insupportable. Cela pouvait aller jusqu’à 700 euros par mois", a témoigné la grand-mère, comme le relate nos confrères de Télégramme . 

    Jugé en comparution immédiate en raison de sa récidive, mardi 27 avril 2021, le jeune homme accusé d’avoir blessé puis égorgé le chien de ses grands-parents a finalement été condamné à trois ans de prison dont dix-huit mois avec sursis. L’agresseur a été incarcéré à l’issue de l’audience.

    Public

    Trois ans de prison dont dix-huit mos avec sursis, vraiment, c'est se moquer de la vie d'un chien ! Il méritait plusieurs années de prison ferme !


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  • Il pleuvait abondamment, le pauvre chien blessé gisait sur le bord de la route. Quelques gentils villageois ont apporté un parapluie pour couvrir la pluie et de la nourriture pour lui. Les deux pattes du chien ont été coupées, une patte était pourrie et enflée d'asticots. Il était si effrayé et nerveux que le pauvre chien a perdu toute confiance dans les humains. Pourquoi les êtres humains sont-ils si cruels?, Comment le pauvre chien pourrait endurer une telle douleur. Pour le sauver, les médecins ont dû lui amputer les jambes. Nous l'avons nommé Shanxin, nous avons dû approcher Shanxin lentement pour essayer de rétablir sa confiance. Shanxin n'a pas abandonné. Il s'est tellement battu pour sauver sa vie. Avoir deux jambes ne le ralentit pas du tout.


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  • Le pauvre chien souffrait de pattes postérieures paralysées, d'une blessure à la colonne vertébrale due à une chute de hauteur.


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