• Cobby, le plus vieux chimpanzé des États-Unis, vient de mourir, voici son histoire

    Cobby en novembre 2018, photographié au zoo de San Francisco. © Photo : Marianne V Hale

    Cobby était le plus vieux chimpanzé des États-Unis. Le singe est mort à l’âge de 63 ans, a annoncé dimanche le zoo de San Francisco.

    Devenu célèbre dans les années 1960 grâce une série télévisée, Cobby a aussi fait l’objet d’un documentaire mettant en exergue le sort souvent triste de ces animaux exploités à des fins de divertissement.

    Cobby, le plus vieux chimpanzé des États-Unis, vient de mourir, voici son histoire

    Il était « le plus vieux chimpanzé mâle vivant aux États-Unis », selon l’agence de presse Reuters. Le singe Cobby est mort à l’âge de 63 ans, a annoncé le zoo de San Francisco, aux États-Unis, sur le réseau social Facebook, dimanche 6 juin 2021.

    L’animal, surnommé « Papa » était pensionnaire du parc animalier depuis les années 1960. En plus d’un demi-siècle, ce primate est devenu une figure bien connue de plusieurs générations de visiteurs qui ont fréquenté les lieux.

    Cette célébrité, ce n’est qu’un volet de la vie du chimpanzé, qui fut notamment le personnage principal d’une série télévisée tournée aux États-Unis dans les années 1960. Son histoire permet aussi, indirectement, de mettre en lumière le sort souvent triste de ces primates utilisés dans le monde du divertissement.

    Ouest-France


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  • Haut-Rhin: les douanes découvrent une chienne et 15 chiots en état de détresse dans le coffre d'une voiture

    Quinze chiots de moins de trois mois et une chienne en état de détresse ont été découverts le 22 mai dernier dans une voiture sur l'autoroute. Enfermés dans des cages placées dans le coffre du véhicule, ils étaient transportés dans des conditions précaires, sans eau ni lumière ou ventilation, ont annoncé les douanes françaises dans un communiqué.

    Ce sont les douaniers de la brigade de Werentzhouse (Haut-Rhin) qui ont fait la triste découverte en contrôlant une voiture immatriculée aux Pays-Bas et conduite par deux Espagnols. Les deux intéressés ont assuré venir d'Espagne et se rendre en Hollande et ont présenté des passeports européens pour deux chiennes, de race Ratonero Bodeguero Andaluz, mais aucun document pour les chiots.

    Garde à vue

    Ils ont assuré aux autorités que plusieurs chiots et une femelle adulte étaient morts en cours de route, leurs cadavres abandonnés dans la nature. Une forte odeur d'urine s'échappait de l'habitacle tandis que les cages des canidés étaient remplies d'excréments.

    Contactés par les douaniers, les brigades vertes et le personnel de la SPA ont constaté l'état de détresse des chiots et leur ont porté assistance. Les faits ont été dénoncés au parquet de Mulhouse qui a ordonné le placement des animaux au sein de la SPA de Mulhouse tandis que les deux Espagnols ont été placés en garde à vue dans les locaux de la gendarmerie.

    RMC

    Cela ne me surprend pas de la part d'espagnols !


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  • Ille-et-Vilaine : Ce couple sauve des chevaux de course de l’abattoir en les faisant adopter

      • Installés en Bretagne, Noémie Calloud et son mari Mathieu Wronka ont créé il y a trois ans l’association Trotteur For Ever.
      • Ils placent dans des familles d’accueil des trotteurs réformés qui ne sont pas ou plus adaptés au monde des courses hippiques.
      • Le couple a déjà sauvé plus de 200 chevaux de l’abattoir.

     

    « Les gens du Nord ont dans le cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors ». Mathieu Wronka, Lensois pure souche, et Noémie Calloud, originaire de Bruxelles, sont l’exemple parfait de cette générosité chantée par Enrico Macias. Installé à Betton près de Rennes depuis plusieurs années, le couple la joue modeste. Mais quand leur vie familiale et professionnelle leur laisse un peu de temps, ils se transforment tous deux en sauveurs au grand cœur.

    Fondée il y a bientôt trois ans, leur association Trotteur For Ever a ainsi permis à plus de 200 chevaux d’échapper à une triste fin. « Nous sommes une alternative à l’abattoir », indique Noémie, passionnée d’équitation depuis son plus jeune âge. Avec son mari, elle a fait des trotteurs réformés son cheval de bataille. « Ce sont de jeunes chevaux qui ne sont pas assez performants pour les courses ou alors des juments poulinières en fin de carrière », explique-t-elle.

    Les chevaux rachetés aux écuries avant d’être adoptés

    Et pour ces canassons pas ou plus adaptés au monde hippique, l’abattoir est bien souvent la destination finale. « Les entraîneurs doivent gérer plusieurs chevaux et ils ne peuvent pas tous les garder car cela coûte cher à entretenir », souligne Mathieu. Ne pouvant se résoudre à une telle issue, le couple a donc décidé d’agir en proposant ces chevaux à l’adoption. « On propose aux écuries de les racheter au même prix qu’à l’abattoir et on se charge ensuite de leur trouver une famille d’accueil », précise Noémie. Et les candidats ne manquent pas. « La liste d’attente est longue et on manque de chevaux », poursuit-elle.

    Tous les week-ends ou presque, la famille sillonne donc les écuries du Grand Ouest pour aller récupérer des chevaux. Les bêtes sont ensuite hébergées au centre équestre Isa et Cie, implanté à Maure-de-Bretagne, qui fait office de QG pour l’association. Les bénévoles se chargent alors de requinquer les animaux qui profitent aussi de la quiétude des lieux. « Certains chevaux n’ont connu que le monde de la course et ne sont pas débourrés, souligne Noémie. Il y a donc tout un travail de confiance à établir avec le cheval. »

    Un contrat d’adoption signé avec la famille d’accueil

    Les animaux n’échappent pas non à plus à la traditionnelle séance photo. Les clichés sont ensuite postés sur les réseaux sociaux de l’association qui présentent ainsi les nouveaux venus aux futures familles d’accueil. « On se réserve le droit de la choisir », précise la cavalière, qui a fixé des règles dans le contrat d’adoption : « L’animal ne doit bien sûr pas finir à l’abattoir et ne doit pas rependre les courses. Et on demande aussi aux familles de donner régulièrement des nouvelles ».

    Ille-et-Vilaine : Ce couple sauve des chevaux de course de l’abattoir en les faisant adopter

    Dans le petit bureau de l’association, une mosaïque de photos de chevaux tapisse ainsi les murs. « C’est notre fierté de voir que ces chevaux sont en pleine forme et ont trouvé une bonne famille d’accueil, assure Mathieu. Cela nous encourage en plus à continuer ».

    20 Minutes


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  • En Afrique du Sud, un braconnier chassait des lions… et ça a (très) mal fini pour lui !

    La macabre découverte a été faite par les gardiens d’un sanctuaire pour animaux sauvages en plein cœur de l’Afrique du Sud, puis confirmée par les autorités locales. En fin de semaine dernière, des lions ont dévoré un homme que la police soupçonne d’être un braconnier.

    "Dévoré presque entièrement"

    Un porte-parole des forces de l’ordre sud-africaines a apporté des précisions lundi dans la journée : « Il semblerait que ce gars était en train de braconner lorsqu'il a été attaqué et tué par un groupe de lions. Ils l'ont dévoré presque entièrement, ils n'ont laissé que sa tête et quelques morceaux de chair. »

    Des détails certes sordides, mais volontairement précisés pas les autorités. Ils espèrent ainsi que d’autres braconniers, initialement tentés, finissent par se détourner de la réserve privée de Hoedspruit, à proximité du Parc National Kruger.

    Des actes récurrents

    En Afrique du Sud, les forces de l’ordre se montrent particulièrement vigilantes vis-à-vis des braconniers, dont les actes sont en recrudescence. L’année dernière, plusieurs lions avaient été retrouvés morts empoisonnés au sein du parc, leurs pattes et leurs têtes tranchées. Ces « trophées » étaient probablement destinés à quelque rite traditionnel médicinal.

    Malheureusement, si cette histoire a de quoi faire sourire, et que l’on a très envie de dire « bien fait ! » à ce braconnier, le braconnage demeure un problème majeur pour la sauvegarde d’espèces animales en danger critique d’extinction ; à l’instar des rhinocéros. Ces grandes créatures sont particulièrement pourchassées pour leurs cornes, à qui la médecine chinoise donne des vertus aphrodisiaques….

    Oh My Mag

    Bravo les lions !

    Les chinois, toujours aussi cons, avec leurs croyances ridicules ! Ce n'est pas la poudre de ces cornes qui va faire pousser leur minuscule sexe !


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  • La SPA vient de lancer une campagne de prévention sur l'abandon des chats. Car il n'y a pas que les chiens qui sont délaissés par leurs familles à l'approche des grandes vacances. Au refuge SPA de Compiègne (Oise), la responsable Christelle a recueilli cette année 40% de chats en plus que l'année dernière - et craint d'être saturée.


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  • Une quinzaine d’éléphants sauvages, échappés d’une réserve, sèment la panique dans le sud-ouest de la Chine depuis mi-avril.

    Des camions-bennes ont été alignés en bordure d’habitations, dans le sud-ouest de la Chine, en guise de rempart contre des éléphants sauvages échappés d’une réserve qui ont déjà provoqué plusieurs millions de yuans de dégâts.

    La quinzaine de pachydermes, dont trois éléphanteaux, ont quitté mi-avril leur réserve de Xishuangbanna, une région frontalière du Laos et de la Birmanie, pour se diriger plein nord à quelque 500 km, a rapporté la télévision chinoise.

    L’histoire passionne les réseaux sociaux et tient en haleine le pays.

    Une migration mystérieuse

    La raison de leur inhabituelle migration reste un mystère, mais les éléphants ont mis à sac sur leur passage des champs de maïs et occasionné de nombreux dégâts matériels.

    Dimanche, la chaîne publique CCTV a diffusé les images d’un convoi de camions stationnés le long d’une petite route de campagne pour tenter d’éloigner le troupeau de zones densément peuplées.

    « On est ici pour bloquer les éléphants », a indiqué à CCTV un chauffeur installé dans son véhicule rouge et qui dit agir sur demande des autorités. « Tant qu’on aura besoin de moi, je resterai ici », en grande périphérie de Kunming, une métropole qui compte plus de huit millions d’habitants.

    Les autorités ont également mobilisé des milliers de personnes pour suivre les mouvements du troupeau avec des drones et des caméras infrarouges.

    Des images de vidéosurveillance du week-end montraient les éléphants se promener nonchalamment dans les rues d’un village, laissant derrière eux des arbres aplatis et des portes de garage endommagées.

    « J’ai eu peur », a raconté une riveraine à CCTV, disant être tombée nez à trompe sur un éléphant « d’environ trois mètres de haut ».

    « Un éléphanteau a même foncé dans notre mur, avant de s’enfuir », a expliqué la dame d’un certain âge, dont le nom n’a pas été dévoilé.

    Plusieurs hectares de cultures ravagés

    Depuis le début de leur périple à la mi-avril, les éléphants ont ravagé environ 56 hectares de cultures, pour des dégâts évalués à 6,8 millions de yuans (870 000 €), a indiqué la semaine dernière la télévision chinoise.

    Les zoologues ne comprennent pas ce qui a pu amener le troupeau à quitter sa réserve sur une distance aussi longue.

    Les éléphants sauvages sont protégés en Chine, avec une population évaluée à 300 têtes, contre moins de 200 dans les années 1980. Ils vivent exclusivement dans la région touristique et tropicale de Xishuangbanna.

    Les pachydermes tendent cependant ces dernières années à se rapprocher de villages, alors que les plantes qu’ils mangent habituellement sont remplacées par des espèces non comestibles.

    Ouest-France


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  • En début de semaine, un habitant de la Haute-Garonne a écopé de quatre mois de prison ferme d’une interdiction de détenir un animal de dix ans pour avoir maltraité son chien Hancock

    Au mois d’avril, les gendarmes intervenaient chez un habitant de Seysses, au sud de Toulouse. Depuis plusieurs mois, ce dernier frappait régulièrement son American staffordshire terrier à coups de pied mais aussi de batte de base-ball, des actes de cruauté​ filmés par la compagne du propriétaire.

     

    Sans l’intervention des forces de l’ordre, ce chien âgé de neuf ans était condamné à une mort certaine selon l'association de défense des animaux, « Les 4 pattounes ». Lundi, lors du procès du propriétaire d’Hancock pour « sévices graves ou actes de cruauté envers un animal », ses responsables s’étaient portés partie civile.

    Le tribunal correctionnel de Toulouse l’a condamné à quatre mois de prison ferme, une interdiction de détenir un animal durant dix ans et 1.000 euros de dommages et intérêts pour l’association. Une victoire et « un espoir pour la prise en compte effective de la maltraitance animale » pour l’association.

    20 Minutes


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  • 10 secrets sombres sur les refuges pour animaux

    La prochaine fois que vous verrez deux chiots mignons défiler dans une vitrine d’animalerie, laissez votre esprit avancer rapidement d’un an. Maintenant, le chiot n'est pas si mignon mais il mâche toujours des chaussures et laisse parfois une flaque sur le tapis. Plutôt que de régler ces problèmes, vous trouverez peut-être plus facile de jeter le chien indésirable dans un refuge pour animaux. Vous supposez qu'il finira par trouver une maison. Cependant, la réalité est souvent assez sombre.

    LIEN de l'article :

    https://fr.mydailyselfmotivation.com/articles/animals/10-dark-secrets-about-animal-shelters.html


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  • Etats-Unis : le gouvernement Biden va rétablir des protections d'espèces menacées supprimées par Trump

    Donald Trump avait notamment permis aux entreprises de construire des projets industriels dans des zones désignées comme "habitat essentiel" pour une espèce menacée.

    L'administration du président Joe Biden a annoncé vendredi 4 juin vouloir rétablir des mesures de protection d'espèces menacées qui avait été substantiellement assouplies par le gouvernement de son prédécesseur Donald Trump.

     

    L'Endangered Species Act (loi de protection des espèces menacées), qui date de 1973, est une référence mondiale en matière de sauvegarde de l'environnement. Elle a notamment permis de sauver de l'extinction le pygargue à tête blanche, l'emblème même du pays. Elle a été significativement modifiée par le gouvernement républicain de Donald Trump.

    Une nouvelle loi en préparation

    Une clause de ce texte accordant automatiquement la même protection aux espèces dites "menacées" qu'aux espèces "en danger d'extinction" immédiat avait notamment été supprimée par la précédente administration. Les entreprises peuvent également dorénavant construire des routes, des oléoducs, des gazoducs, des mines et autres projets industriels dans des zones désignées comme "habitat essentiel" pour une espèce menacée.

    L'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique (NOAA) "va déclencher le processus de régulation dans les mois qui viennent afin de réviser, annuler ou rétablir cinq mesures de l'Endangered Species Act finalisées par l'administration précédente", a-t-elle déclaré dans un communiqué. Une loi va être rédigée, qui devra faire l'objet d'une période de commentaires publics avant de pouvoir être finalisée.

    "Nous sommes reconnaissants que l'administration Biden avance pour protéger les espèces les plus en danger en renversant des mesures de l'ère Trump, mais le temps presse", a réagi dans un communiqué l'organisation de défense de l'environnement Earthjustice, s'inquiétant que le processus puisse durer "des mois voire des années".

    franceinfo


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  • Le félin a été piqué seulement deux heures après son arrivée à la fourrière intercommunale

    Une habitante de Doncourt-lès-Conflans, en Meurthe-et-Moselle, a vu son chat disparaître le 2 mai dernier. Au propre comme au figuré. D’abord en le voyant quitter le domicile vers 7 heures du matin. Puis en apprenant qu’il avait été euthanasié peu avant 14 heures, rapporte L'Est Républicain.

    Que s’est-il passé entre-temps pour « Blacky » ? Le félin a été retrouvé par un habitant du village vers 11 h 30, qui l’a déposé chez SOS Animaux dans la commune voisine de Moineville. Avant que le mâle noir castré n’arrive dans la foulée au sein de la fourrière intercommunale locale.

    C’est peu après que sa propriétaire a appris qu’il avait été retrouvé, via une voisine qui avait vu une annonce sur les réseaux sociaux. Le temps de joindre la fourrière, « Blacky » avait déjà été euthanasié dans une clinique vétérinaire. Cette dernière a justifié dans le quotidien régional l’acte par le fait que le félin était « en hypothermie, mal en point et gémissait. » L’ancienne maîtresse du chat a porté plainte pour cruauté.

    20 Minutes

    C'est inadmissible !


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    Bonne soirée


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  • Cette ville de Nouvelle-Zélande souhaite interdire… les chats domestiques !

    Afin de préserver sa micro-faune, la ville de Omaui en Nouvelle-Zélande s’apprête à prendre une décision pour le moins drastique : il ne sera bientôt plus possible pour les habitants de la commune d’adopter un chat domestique !

    Sus aux chats !

    En effet, la municipalité reproche aux félins du voisinage de causer de véritables ravages sur les oiseaux, les rongeurs et les petits reptiles qui vivent dans les horizons. Car, si les matous ont bien des qualités en tant qu’animaux domestiques, ils n’en demeurent pas moins des prédateurs qui peuvent causer de gros dégâts sur la faune avoisinante.

    Aussi, la ville d’Omaui dans le sud de la Nouvelle-Zélande a décidé de prendre le taureau par les cornes. Afin de mieux protéger les oiseaux est les 63 autres espèces de petits mammifères vivant autour de la ville, celle-ci a décidé de réunir son conseil municipal. Objectif annoncé : interdire les chats.

    Une loi progressive

    Bien évidemment, il ne sera pas question de forcer les propriétaires de petits félins à euthanasier leur meilleur ami. En revanche, ceux-ci seront bientôt obligés de les stériliser, de les pucer et de les déclarer en mairie. C’est quand l’animal sera mort que les choses deviendront plus sérieuses : il ne sera plus possible pour les anciens propriétaires d’adopter un nouveau chat domestique.

     

    John Collins, président de l’association de la protection de la nature en Nouvelle-Zélande, a expliqué au micro de la BBC : « Nous ne haïssons pas les chats, nous voulons juste préserver une faune sauvage riche dans notre réserve naturelle voisine. »

    Les oiseaux de la région pourront donc bientôt souffler un peu. Et il était temps. Selon de récentes études, 13% des espèces mondiales sont aujourd’hui menacées de disparition et 40% ont déjà vu leurs populations décliner, selon les chiffres de l’association internationale Bird Life.

    La résistance s’organise

    Mais du côté des amis des matous, la résistance s’organise. Selon les riverains, les chats ne sont pas les premiers responsables du déclin des oiseaux. Il faudrait selon eux plutôt chercher du côté de l’agriculture intensive et de l’usage à outrance des pesticides et insecticides en tout genre.

    Enfin, ces derniers pointent l’importance du rôle de régulateur joué par les chats sur les populations de souris qui peuvent aussi causer des dommages aussi bien aux cultures qu’aux habitations.

    Cette région de Nouvelle-Zélande, très humide, grouille de rongeurs en tout genre qui n’hésitent pas à se faufiler dans les maisons pour chiper un peu de nourriture où se trouver un nid douillet pour l’hiver.

    Oh My mag


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  • Un homme de 50 ans a été grièvement blessé ce lundi 31 mai, à Quimperlé (Finistère) dans l’entreprise Bigard. Un taureau l’a percuté.

    Ce lundi 31 mai, à 10 h, les pompiers de Quimperlé (Finistère) ont été appelés pour porter secours à un homme d’une cinquantaine d’années au sein de l’entreprise Bigard. Employé par la direction départementale de la protection des populations, ce salarié a été renversé par un taureau dans le couloir de passage des bêtes.

    Grièvement blessé, il a été transporté à l’hôpital de Lorient. Son pronostic vital n’est cependant pas engagé. Sur décision du parquet, une enquête a été diligentée par la gendarmerie de Quimperlé.

    Ouest-France

    Bravo au taureau !


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  • Corse-du-Sud : un taureau en rut suscite la colère des riverains

    Le chant du coq, le tintement des cloches et, maintenant, le meuglement des taureaux. Qui a dit que la vie à la campagne était synonyme de paix et de silence ? Visiblement pas les riverains de Sant'Andréa-d'Orcino, un petit village de Corse-du-Sud. Comme le rapporte France 3, ce samedi 29 mai, les voisins d'un éleveur de bovins se sont plaints de nuisances sonores bien particulières. En période de rut, un jeune taureau appelant les femelles ferait un bruit infernal.

     

    Incommodés, les habitants se sont plaints au maire de la commune, qui en a fait part à l'éleveur. Ce dernier en est tombé de sa chaise : « C'est hallucinant. Ça montre bien ce que deviennent les campagnes », a déploré le principal intéressé, qui exploite une parcelle avec des bovins et des porcs. Son constat est implacable : « Certains viennent ici pour profiter de la désertification et se reposer après une journée de travail en ville. Mais nous, on est là pour travailler et vivre dans les campagnes. »

    Le coq Maurice, symbole des bruits de la campagne

    Pointé du doigt par ses voisins, cet éleveur n'a pas du tout l'intention de changer ses habitudes avec ses grosses bêtes. Est-ce l'animal qui gêne les maisons voisines, ou les humains qui stressent les bêtes ? Ce n'est pas la première fois que cette question des nuisances sonores en milieu rural se pose. Symbole de la défense pour les bruits à la campagne, le coq Maurice avait fait parler de lui en 2019, à Saint-Pierre-d'Oléron (Charente-Maritime).

    En effet, le gallinacé avait été au c?ur d'un procès très médiatisé pour « troubles du voisinage », en raison de ses chants honnis par les voisins de la propriétaire. Au bout du compte, le tribunal correctionnel de Rochefort avait débouté les plaignants, au nom de « la ruralité et des droits des autochtones », relatait Sud-Ouest à l'époque. Le fameux Maurice est mort juste avant le déconfinement de mai 2020, non pas en raison du Covid-19 mais d'une épidémie de coryza.

    LE POINT


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  • Dans la nuit du 18 au 19 mai, des animaux ont été jetés depuis le balcon d’un immeuble, à Douai (Nord), après avoir été dérobés dans un enclos à proximité. Dans le cadre l’enquête, trois hommes ont été arrêtés, mercredi 26 mai.

    Soupçonnés d’avoir jeté un chevreau et trois moutons depuis le premier étage d’un immeuble à Douai (Nord), dans la nuit du 18 au 19 mai, trois hommes ont été arrêtés mercredi, rapporte le quotidien La Voix du Nord .

    Parmi ces trois hommes de 26, 38 et 42 ans, deux ont reconnu devant la police avoir dérobé ces animaux dans un enclos situé à proximité, avant de les ramener dans un appartement. De l’alcool serait en cause, a indiqué un enquêteur après de La Voix du Nord.

    Un fémur fracturé pour le chevreau

    Si les moutons n’ont pas été blessés, le chevreau s’est retrouvé avec un fémur fracturé et une patte cassée. Il a dû subir une opération chirurgicale et est actuellement en convalescence dans une ferme pédagogique.

    Les trois hommes seront jugés en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel, ce vendredi 28 mai.

    Ouest-France

    Avec notre justice laxiste, ils ne risquent rien !

    On devrait les balancer tous les trois par la fenêtre !


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  • Au téléphone, l'ancien maître a dit qu'il ne voulait pas d'un gentil chien mais d'un chien de garde :


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