• Priorité à la réindustrialisation. Dans une interview aux Echosle candidat à la présidentielle de 2022, Xavier Bertrand, révèle une série de propositions pour doper l'industrie en France. "Nous ne relèverons le pays que si nous réussissons à le réindustrialiser, affirme le président de la Région Hauts-de-France. Une grande nation est une nation industrielle." L'ex-LR propose de réduire de moitié les impôts sur la production, "ce qui représente 33 milliards d'euros" pour s'aligner sur la moyenne de la zone euro, sans augmenter par ailleurs les prélèvements obligatoires. Une proposition raillée par le président du groupe LREM à l'Assemblée nationale, Christophe Castaner.

    Une "task force" dans chaque Région

    "Nous financerons les baisses de rentrées fiscales notamment par des efforts sur la dépense publique, promet-t-il. Je ne laisserai ni filer les déficits ni augmenter la dette." Le candidat souhaite par ailleurs mettre en place un crédit d'impôt de production, s'appuyant sur la "réussite du crédit d'impôt recherche", qui sera maintenue.

     

    Enfin, autre leviers pour favoriser l'industrie : la mise en place d'une "task force" dans chaque région, "réunissant les services de l'Etat et les collectivités locales" pour accélérer les délais des dossiers d'implantation. Les préfets disposeront d'un "pouvoir d'adaptation de la réglementation nationale". Interrogé sur l'impact écologique de certaines implantations de sites industriels, Xavier Bertrand assure que cette task force "veillera à ce que nous restions dans un état de droit environnemental" tout en offrant de la souplesse pour "intégrer les contraintes industrielles".

    Quant à l'Europe, il dénonce une "naïveté" et réclame "un principe de réciprocité" et l'interdiction de "l'accès à nos marchés publics pour des pays qui n'ouvrent pas les leurs". Taclant au passage Emmanuel Macron sur son constat quant au manque de "goût du risque" des Vingt-Sept sur la production vaccinale. "Il serait plus crédible s’il n’était pas aux affaires depuis quatre ans…", déplore-t-il. 

    Le duel Macron-Le Pen "n'aura pas lieu"

    Interrogé sur la proposition du LR Guillaume Peltier d'augmenter de 5% tous les salaires nets, Xavier Bertrand assure être convaincu de la nécessité d'augmenter le niveau de vie des salariés les plus modestes. "Je travaille à des propositions très concrètes et assez disruptives, mais il est trop tôt pour les annoncer", confie-t-il aux journalistes des Echos.

     

    Interrogé sur le sondage présidentielle 2022 Ifop pour le JDD, qui crédite le candidat de 16% d'intentions de vote, meilleur candidat de la droite mais loin derrière un duel Macron-Le Pen, le président de la Région Hauts-de-France assure que le "duel annoncé n'aura pas lieu, car les Français n'en veulent pas. "Il nous plongerait à coup sûr dans une crise alors que notre pays a besoin d’apaisement et d’espoir", ajoute Xavier Bertrand.

    Le JDD.fr


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  • Marion Maréchal : « Supprimer l’ENA, l’indigne démagogie de Macron

    La promesse avait été faite en 2019, au lendemain tout juste de la crise des Gilets jaunes. Deux ans plus tard, Emmanuel Macron lui donne corps : l'École nationale de l'administration (ENA) va disparaître. Devant les hauts fonctionnaires, le président de la République a annoncé que le prestigieux établissement sera remplacé par un « Institut du service public ». Un changement de nom mais aussi de tronc commun avec les autres écoles de la haute administration pour corriger tous ces écueils que l'on reproche à l'ENA : l'entre-soi, la déconnexion d'une élite, le manque de diversité sociale. Loin de l'idée de méritocratie qu'en avait le ministre de l'Éducation Jean Zay, dans les années 1930, qui a le premier rêvé d'une école de hauts fonctionnaires pour défendre la République.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/marion-mar%C3%A9chal-supprimer-l-ena-l-indigne-d%C3%A9magogie-de-macron/ar-BB1fvd1Y?ocid=msedgntp


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  • Pas de chaise pour Ursula von der Leyen !


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  • Audrey Pulvar était l'invitée d'Apolline de Malherbes samedi sur BFM TV. La candidate à la présidence de la région Île-de-France, soutenue par le PS, était interrogée sur la polémique autour du syndicat étudiant Unef et ses réunions "en non-mixité raciale", interdites aux blancs.

    Plusieurs politiques avaient appelé cette semaine à dissoudre le syndicat étudiant de gauche, tandis que le ministre de l’Education Jean-Michel Blanquer avait mis en garde contre une pente "fasciste".

    "On peut lui demander de se taire"

    Samedi, l'adjointe d'Anne Hidalgo à la mairie de Paris a déclaré : "Que des personnes discriminées pour les mêmes raisons et de la même façon sentent la nécessité de se réunir entre elles pour en discuter, ça ne me choque pas profondément."

    Puis d'ajouter : "S'il se trouve que vient à cet atelier une femme blanche, un homme blanc, il n'est pas question de la ou le jeter. En revanche, on peut lui demander de se taire, d'être spectateur ou spectatrice silencieux."

    Ces propos ont provoqué des commentaires indignés à droite et à l'extrême droite, qui ont accusé Audrey Pulvar de racisme anti-blancs.

    "Le vrai sujet, c’est [...] les victimes de racisme"

    Cette après-midi, le patron des députés LREM, Christophe Castaner, a parlé de propos "a minima maladroits". Le macroniste historique et ancien PS a refusé de "contribuer à la chasse contre elle" et a rappelé que "ce type de réunions sont parfois nécessaires pour libérer une parole pour un groupe qui se sent victime".

    "On le pratique très couramment sur les violences faites aux femmes, par exemple, et c’est nécessaire. L’essentiel c’est d’accompagner les victimes", a-t-il ajouté sur BFMTV, en faisant valoir que "le vrai sujet, c’est qu’aujourd’hui il y a des femmes et des hommes qui sont victimes de racisme, de stigmatisation, de rejet".

    Audrey Pulvar, ancienne journaliste de 49 ans, a reçu le soutien à gauche de Jean-Luc Mélenchon. "Audrey Pulvar n’est pas raciste ! Elle a juste compris ce qu’est un groupe de parole", a estimé le chef de file de la France insoumise sur Twitter.

     

    Jean-Luc Mélenchon
     
    @JLMelenchon
     
    Audrey Pulvar n'est pas raciste ! Elle a juste compris ce qu'est un groupe de parole. Ceux qui se jettent sur elle, par contre, n'arrivent pas à cacher leur pente sexiste et discriminante. Le débat public s'effondre. Le PS va-t-il défendre sa candidate en Île-de-France ?
    27 03 2021
     
    Le candidat déclaré à la présidentielle de 2022, Xavier Bertrand (ex-LR), a pour sa part estimé que "l’Unef ne doit plus bénéficier de financements publics" ni "siéger dans les institutions publiques".
    Le Dauphiné
    La Pulvar, encore une connasse !

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  • Mosquée de Strasbourg: EELV va déposer plainte pour diffamation contre Darmanin et Schiappa

    Bras de fer entre Europe Ecologie Les Verts et les ministres Marlène Schiappa et Gérald Darmanin, qui s'opposent à la mairie verte de Strasbourg sur une possible subvention de 2,5 millions d'euros à la construction d'une mosquée.

    Europe Ecologie Les Verts a annoncé samedi son intention de porter plainte pour diffamation contre les ministres Marlène Schiappa et Gérald Darmanin, qui s'opposent à la mairie verte de Strasbourg sur une possible subvention à la construction d'une mosquée. "En accord avec le Bureau exécutif et Jeanne Barseghian, maire de Strasbourg, EELV va déposer plainte pour diffamation contre Marlène Schiappa et Gérald Darmanin", a déclaré Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, dans un discours au Conseil fédéral, dont l'AFP a obtenu copie.

     

    "Nous avons pris la décision hier (vendredi) soir et la plainte sera déposée dans le courant de la semaine prochaine", a précisé le patron des Verts. "Gérald Darmanin, le ministre des cantines scolaires, a accusé la majorité EELV, dirigée par Jeanne Barseghian, de +financer une ingérence étrangère sur le sol+ français. Sa ministre déléguée a, de son côté, affirmé que +EELV pactisait avec l'islam radical+. En cause: l'adoption lundi d'une subvention à la construction d'une mosquée", a rappelé le secrétaire national. Pour M. Bayou, "nous avons un gouvernement et son ministre de l'Intérieur et des Cultes qui ment : jamais il n'a alerté la maire du danger que représenterait l'association qui porte le projet. Pour nous c'est très clair : si cette association est dangereuse, qu'il la ferme".

    "Que des ministres usent et abusent des moyens de la puissance publique pour salir leurs adversaires politiques pour des raisons purement électoralistes et/ou pour faire diversion et tenter de déporter le regard de leurs échecs et de leurs carences, nous ne pouvons l'accepter", souligne M. Bayou. "Que des ministres, plutôt que de s'atteler à leur tâche préfèrent jouer les +community manager+ ou les porte-flingue de Macron, c'est inacceptable !", a-t-il ajouté.

    "Principe d'une subvention" de 2,5 millions d'euros

    Un bras de fer oppose Gérald Darmanin et la maire verte de Strasbourg, depuis le vote lundi par le conseil municipal du "principe d'une subvention" de 2,5 millions d'euros destinée au chantier de la mosquée Eyyub Sultan, porté par une association turque, la Confédération islamique Millî Görüs (CIMG). "Nous considérons que cette collectivité (la mairie de Strasbourg) n'aurait pas dû financer une ingérence étrangère sur notre sol", avait dit le ministre de l'Intérieur mercredi.

    Marlène Schiappa, en charge de la Citoyenneté, avait estimé que les écologistes "flirtent de plus en plus dangereusement avec les thèses de l'islamisme radical".

    Paris Match


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  • Son envie de se présenter n'était un secret pour personne, mais la démarche est désormais officielle : Xavier Bertrand est candidat à l'élection présidentielle de 2022. "Je suis totalement déterminé", a affirmé le président de la région Hauts-de-France dans une interview au Point, mercredi. Une interview dans laquelle il dévoile les axes de son programme, mais tire surtout à boulets rouges sur Emmanuel Macron, qui prend ce rival très au sérieux. 

    >> Xavier Bertrand sera l'invité du Grand Rendez-vous, dimanche de 10h à 11 heures sur Europe 1

    Macron "ne doit pas se prendre pour Dieu"

    "La pratique macroniste, c'est une centralisation et une verticalité", qui "conduit l'Etat à son impuissance", selon Xavier Bertrand. "Emmanuel Macron ne comprend pas ce qui arrive au pays. Il a contourné les corps intermédiaires, effacé le Parlement", attaque encore l'ancien ministre, faisant référence au surnom de "Jupiter" attribué au chef de l'Etat. "Ce n'est pas un être normal, mais il ne doit pas non plus se prendre pour Dieu."

    Xavier Bertrand, lui, veut gouverner par référendum pour redonner une dimension gaullienne à un mandat qu'il souhaite unique, afin de ne pas se préoccuper de sa réélection. Se présentant en candidat de droite, sociale et populaire, il affiche un objectif : garantir "la sécurité des Français, quoi qu'il en coûte". Parmi ses propositions figurent ainsi une rétention de sûreté de 50 ans pour les terroristes condamnés, un abaissement de la majorité pénale à 15 ans ou encore l'exécution automatique des courtes peines de prison. 

    "Il va faire du Le Pen présentable"

    L'ancien patron de l'UMP met aussi en avant son passé d'assureur. "Ce n'est pas la même chose que banquier d'affaires à Paris ou héritière", affirme-t-il dans une référence à Marine Le Pen et Emmanuel Macron. Et ce dernier considère Xavier Bertrand comme un adversaire coriace. "Le président est obnubilé par Bertrand, parce qu'il sent sa détermination et voit bien qu'il va faire du Le Pen présentable", confie un poids lourd du gouvernement. 

     

    Mais tout n'est pas gagné pour Xavier Bertrand, qui prend un risque : c'est maintenant qu'il doit monter dans les sondages pour convaincre sa famille politique qu'il peut battre le RN…. Et ce, dès les prochaines élections régionales. Xavier Bertrand le dit lui-même : "Si je ne suis pas capable de franchir cette étape, alors il me restera à briguer la présidence de ma copropriété". 

    Europe 1


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  • L'exécutif est de plus en plus fragilisé après la diffusion lundi de vidéos montrant des députés se livrant à des actes sexuels au sein du Parlement.

    Nouveau scandale sexuel en Australie. La diffusion de vidéos montrant des employés du gouvernement conservateur australien se livrant à des actes sexuels dans le Parlement, dont un se masturbant sur le bureau d'une députée, a fragilisé un peu plus mardi 23 mars l'exécutif, de plus en plus mis en cause pour le sexisme de la classe politique.

     

    Le Premier ministre conservateur Scott Morrison, dont la position était déjà ébranlée par sa gestion de plusieurs affaires, parmi lesquelles celle d'une employée accusant un ex-collègue de viol, a dénoncé des comportements "scandaleux".

    Les vidéos et photos avaient vraisemblablement été partagées sur un groupe de discussion entre employés du gouvernement conservateur avant d'être révélées par un lanceur d'alerte. Elles ont été montrées lundi soir par le journal The Australian et par la chaîne Channel 10.

    Des photos pornographiques échangées entre députés

    Le lanceur d'alertes, identifié sous le prénom de Tom, a affirmé aux deux médias que des employés du gouvernement et des députés avaient parfois des relations sexuelles dans une salle de prière du Parlement et que des prostituées avaient pu être amenées dans le bâtiment "pour le plaisir de députés de la coalition".

    Il a aussi expliqué que des employés s'échangeaient des photos d'eux-mêmes à caractère pornographique, que lui-même en avaient reçu tellement qu'il était "devenu immunisé". Il a fait état d'une "culture d'hommes qui pensent qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent". Estimant que ces employés n'avaient probablement enfreint aucune loi, il a ajouté: "Moralement, ils sont cuits."

    Un conseiller a d'ores et déjà été limogé et le gouvernement a promis de sévir davantage. La ministre des Femmes Marise Payne, qui est aussi la ministre des Affaires étrangères, a déclaré aux médias que ces révélations étaient "plus que consternantes" et qu'elles renforçaient la nécessité de l'enquête qui a été ordonnée par le gouvernement sur la culture de travail au Parlement.

    franceinfo


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  • La veille, le président américain avait qualifié son homologue russe de "tueur".


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  • « C’est celui qui le dit qui l’est », quand Poutine se moque de Biden

    Les hostilités avaient été lancées par le nouveau président américain Joe Bidenqui l'avait qualifié de « tueur ». Le président russe Vladimir Poutine s'est moqué de son homologue américain jeudi 18 mars, avant de réaffirmer que la Russie défendrait ses intérêts et travaillera avec les États-Unis là où c'est « avantageux ». « C'est celui qui le dit qui l'est », a lâché, en souriant, le chef d'État russe, selon des propos retransmis à la télévision russe. « Ce n'est pas juste une expression enfantine, une blague. Le sens est profond, et psychologique. Nous voyons toujours en l'autre nos propres caractéristiques », a-t-il estimé.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/monde/c-est-celui-qui-le-dit-qui-l-est-quand-poutine-se-moque-de-biden/ar-BB1eIOsV?ocid=msedgntp


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  • "Je n'arrivais pas à y croire" : François Hollande tacle durement Emmanuel Macron dans L'Équipe du soir

    François Hollande n'est décidément pas le premier fan de son ancien ministre de l'Économie et successeur, Emmanuel Macron. Déjà très critique envers la gestion de la crise sanitaire par l'actuel président de la République lors d'un passage sur Franceinfo en novembre dernier, l'ancien pensionnaire de l'Élysée a remis le couvert le lundi 15 mars, sur le plateau de L'Équipe du soir.

    Macron ou la remontada ?

    Grand amateur de petites phrases, celui qui s'est (gentiment) moqué de la récente chanson du duo de Youtubeurs McFly et Carlito sur les gestes barrières au cours d'un entretien Twitch sur la chaîne du journaliste Samuel Etienne s'est vu interroger à l'initiative d'un internaute :

    "En 2017 qu'est-ce qui vous a touché le plus : Emmanuel Macron Président ou la remontada (la défaite du PSG en quart de finale retour de Ligue des champions 6-1 contre le Barça) ?"

    Réponse de l'ancien chef de l'État : "La remontada j’étais encore président quand ça s’est produit. Je m’en souviens, c’était dans un dîner officiel et on me donnait les résultats au fur et à mesure et je n’arrivais pas à y croire. Pas davantage en Macron". Rires et applaudissements sur le plateau.

    Hollande, candidat en 2022 ?

    Lors de son passage sur la chaîne Twitch de Samuel Etienne, François Hollande a par ailleurs confié regretter de ne pas avoir tenté un second mandat il y a quatre ans. "Mon plus grand regret, c'est de ne pas m’être représenté" en 2017, a lâché le retraité de l'Élysée.

    Fallait-il y voir une volonté de revenir sur le devant de la scène ? Dans un entretien accordé le dimanche 7 mars au Parisien, le principal intéressé a assuré : "Quoi qu’il arrive, je soutiendrai ma famille politique""C’est par les propositions que je peux être utile", a-t-il complété.

    Gent Side


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  • Le député Thierry Solère soupçonné d’avoir détourné 167 000 euros de frais de mandat

    Le député des Hauts-de-Seine Thierry Solère est suspecté d’avoir détourné 167 000 euros de frais de mandat pour des dépenses personnelles, sans lien avec son activité parlementaire, entre 2012 et 2019, selon une nouvelle enquête de Mediapart mise en ligne ce mardi 16 mars.

    Ces dépenses concerneraient les frais de scolarité de ses enfants, des dépenses pour des loisirs et des primes hors enveloppe pour ses collaborateurs.

    Egalement conseiller d’Emmanuel Macron à l’Elysée depuis octobre 2020, Thierry Solère est déjà mis en examen pour sept chefs d’infractions, dont fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d’influence passif concernant quatre sociétés, pour des faits qui se seraient déroulés entre 2003 et 2017.

    Trois années d’investigation

    C’est dans le cadre de cette enquête que le parquet de Nanterre a pris, le 14 décembre 2020, un réquisitoire supplétif pour demander aux juges d’instruction chargés de l’affaire d’élargir le périmètre de leurs investigations et d’enquêter sur ces faits présumés, qualifiés de « détournements de fonds publics par personne dépositaire de l’autorité publique ». Un délit passible de dix ans de prison et d’un million d’euros d’amende.

    Cette demande aurait été élargie le 26 janvier dernier pour instruire contre X des faits de recel de détournement de fonds publics afin de déterminer si des membres de l’entourage du député auraient en toute connaissance profité de ces dépenses.

    L’enquête du parquet de Nanterre s’inscrit dans le prolongement de trois années d’investigation du parquet national financier (PNF), qui avait été saisi de soupçons d’usage irrégulier des indemnités de frais de mandat par quinze députés, dont Thierry Solère, fin 2018 par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique.

    Une série d’abus

    Interrogé par Mediapart, Thierry Solère, nie les faits. « Je vous confirme avoir utilisé l’indemnité conformément aux règles en vigueur », déclare-t-il, en indiquant toutefois avoir procédé, « de manière unilatérale » et « sous l’angle de la déontologie »« au remboursement de quelques dépenses ».

    « Les frais de représentation des ministres devraient être accessibles en open data »

    A la suite de plusieurs cas d’abus, « l’indemnité de frais de mandat », dont les dépenses n’étaient pas contrôlées, est devenue « l’avance de frais de mandat » le 1er janvier 2018. Cette dernière, d’un montant de 5 600 euros brut environ, oblige à la présentation de justificatifs au déontologue de l’Assemblée nationale.

    L'OBS


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  • J'ai écouté entièrement cette video comme toutes celles que je mets sur mon blog, je vous conseille d'en faire autant (sourire)

    Dans la video :

    Comment Macron dit-il l'inverse de ce qu'il fait ?

    Macron est un magicien ventriloque

    Macron, la tête de la pieuvre qui tue


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  • Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin annonce ce mercredi matin la dissolution du groupe Génération identitaire en Conseil des ministres.

    « L’association « Génération identitaire » a été dissoute ce matin en conseil des ministres, conformément aux instructions du Président de la République », écrit Gérald Darmanin sur Twitter. En janvier dernier, le ministre de l’Intérieur s’était dit « scandalisé » par les opérations anti-migrants menées par le groupuscule, dans les Alpes et les Pyrénées.

    « Cette association et certains de ses militants doivent être regardés comme tenant un discours de haine incitant à la discrimination ou à la violence envers des individus en raison de leur origine, de leur race et de leur religion » et, « par sa forme et son organisation militaires ». L’assocciation « peut être regardée comme présentant le caractère d’une milice privée », affirme Gérald Darmanin dans le décret de dissolution.

    L’avocat du groupe, Me Pierre-Vincent Lambert, a annoncé qu’il allait déposer un recours auprès du conseil d’État pour excès de pouvoir, ainsi qu’un référé auprès de la haute juridiction administrative pour annuler la suspension.

    ACTU 17

    Génération Identitaire n'a jamais commis de violences !

    Il faut croire que macron et darmanin sont pour l'arrivée massive de migrants étrangers en France !


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    Pris chez mon ami Stan : http://pauvrefrance.eklablog.com/


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  • RT France :

    Entretien du 20/02/2021 avec Emeric Guisset, secrétaire général adjoint du think tank Le Millénaire. Il était invité à s'exprimer au sujet de la procédure de dissolution de Génération identitaire lancée par le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin. Des manifestations de partisans et d'opposants au mouvement ont eu lieu ce 20 février à Paris.


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  • Il y a peu, Claire Hédon, Défenseure des droits, avait proposé d'expérimenter des zones sans contrôle d'identité dans l'objectif de lutter contre les discriminations. Une proposition qui n'a pas manqué d'agacer Emmanuel Macron.

    Décidément, il n'y a pas que le sujet du confinement qui agace Emmanuel Macron. Vendredi 12 février dernier dans les colonnes de France Info, Claire Hédon, actuelle Défenseure des droits, avait proposé d'expérimenter l'arrêt des contrôles d'identité afin de lutter contre les discriminations. "Dans 95% des cas les contrôles d'identité ne donnent rien", avait-elle assuré. Une initiative qui n'a pas été du goût du président de la République à en croire les propos du Canard enchaîné rapportés par BFMTV. "La Défenseure des droits a franchi les limites de l'imbécilité en suggérant de suspendre les contrôles d'identité dans certains quartiers. Elle a oublié qu'elle devait aussi défendre le droitaurait déclaré celui qui prépare sa prochaine campagne électorale.

     

    Remonté contre Claire Hédon, Emmanuel Macron aurait ajouté : "Elle ferait mieux de travailler sur la plateforme anti-discrimination que nous venons de lancer au lieu de proposer des trucs pareils". La proposition de l'ancienne journaliste aurait également fait grincer des dents les syndicats de policiers. "Ce qu'elle propose revient à créer des zones de non-droit et à abandonner un peu plus les quartiers défavorisés. Le droit des gens à vivre dans la paix ne compte pas ?", ont-il déclaré. Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, s'est également opposé à l'idée de Claire Hédon, déclarant ne pas avoir l'intention de mettre en place "des zones de non-droit et de non-contrôles".

    Claire Hédon assure avoir été mal comprise

    Voyant la polémique enfler depuis ses dernières déclarations, Claire Hédon a assuré avoir été mal comprise au micro de Europe 1 mardi 16 février. "Quand il y a une atteinte à l'ordre public, quand il y a un comportement suspect, quand il y a une réquisition de la part du procureur. Bien sûr qu'il faut des contrôles", a-t-elle déclaré, avant de justifier ses propos : "Il y a des quartiers difficiles, mais ce que je dis c'est qu'il y a des contrôles d'identité discriminatoires. La Cour de cassation l'a reconnu en 2016".

    GALA


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  • Lozère. Plus d’une centaine de brebis retrouvées mortes et abandonnées par leur éleveur

    Illustration

    Un quadragénaire a laissé à l’abandon ses 150 bêtes dans une ferme isolée du département. Le procureur a ouvert une information judiciaire pour mauvais traitements à des animaux, apprend-on lundi.

    Plus d’une centaine de brebis ont été retrouvées mortes, privées d’eau et de nourriture, abandonnées par leur éleveur, dans une ferme isolée du Causse Méjean, en Lozère, a-t-on appris lundi 15 février 2021 dans la soirée de source judiciaire.

    « Le charnier a été découvert par les gendarmes », a expliqué le procureur de la République de Mende, Vincent Blériot, précisant avoir ouvert une information judiciaire pour mauvais traitements à animaux, un délit passible d’un an d’emprisonnement.

    Selon le magistrat, il ne s’agirait cependant pas de maltraitance volontaire : l’éleveur, quadragénaire, était apparemment « en grande souffrance psychologique, seul, sans grand soutien », et c’est en raison de ces difficultés qu’il aurait laissé ses bêtes à l’abandon.

    Quelques brebis sont encore vivantes

    Installé sur place depuis une dizaine d’années, au-dessus des gorges du Tarn, au lieu-dit La Maxanne, au cœur de la commune nouvelle de Massegros-Causses-Gorges, l’éleveur serait parti depuis quelques jours au moins, d’où « l’état de décomposition » de plusieurs bêtes. Il serait parti se réfugier auprès de sa famille et aurait été hospitalisé.

    Selon le procureur de Mende, entre 150 à 200 brebis se trouvaient ainsi, enfermées dans leur bergerie. Quelques-unes seraient encore vivantes, mais dans un très mauvais état. Les services vétérinaires ont été alertés et dépêchés sur place.

    Ouest-France


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