• "Ensauvagement de la société" : le gouvernement partagé par le terme de Gérald Darmanin

    Invité d'Europe 1, le ministre de la Justice, Eric Dupont-Moretti a à son tour réagi à l'expression utilisée en janvier par son collègue ministre de l'Intérieur.

    L'expression a fait couler beaucoup d'encre. Lors d'un entretien au journal Le Figaro publié le 24 juillet, le ministre de l'Intérieur déclarait qu'il "[fallait] stopper l'ensauvement d'une partie de la société"Utilisé par Gérald Darmanin en réaction à des images qui avaient fait le tour des réseaux sociaux montrant un trafic de drogue mené par des hommes armés dans le quartier du Mistral, à Grenoble - images tournées dans le cadre d'un clip de rap, rapporte France 3 Auvergne-Rhône-Alpes -, le terme continue de faire réagir. Mardi 1er septembre, c'est au tour d'Eric Dupont-Moretti, de commenter son usage.

     

    Voici les différentes positions adoptés vis-à-vis de ce langage au sein du gouvernement :

     

    Il "développe le sentiment d'insécurité" pour Eric Dupont-Moretti

    Le ministre de la Justice récuse le terme sans toutefois faire mention de son collègue. Invité sur Europe 1, il a estimé que ce terme "développe le sentiment d'insécurité" et, ciblant cette fois l'opposition, a pointé du doigt "ceux qui en rajoutent en permanence", "le discours populiste, la surenchère".

    "La question n'est pas les mots qu'on emploie", pour Jean Castex

    A l'occasion d'un déplacement dans l'Indre, le Premier ministre, Jean Castex, a souhaité mettre fin à la polémique autour du terme d'"ensauvagement. "Fermez le ban, il n'y a aucune polémique", a tancé le chef du gouvernement. Pour Jean Castex, "la question n'est pas les mots qu'on emploie pour qualifier le phénomène, mais les actions que l'on va mettre en place pour y faire face".

    Le Premier ministre a estimé que "le vrai sujet en revanche, c'est bien celui de nous mobiliser face à la montée des violences et de l'insécurité". "Le ministre de l'Intérieur, comme l'ensemble du gouvernement, constate qu'il y a une montée du sentiment d'insécurité, je peux vous dire la totale mobilisation du gouvernement pour y faire face", a-t-il ajouté.

    C'est son rôle "d'avoir des mots forts" pour Marlène Schiappa

    "Je crois qu'il a tout à fait raison de l'utiliser ce terme et ça ne me dérangerait pas de l'utiliser", a déclaré lundi matin Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, sur France Inter.

    "Je crois que c'est le rôle du ministre Intérieur d'avoir des mots forts et d'être offensifs. S'il y a bien une personne en France dont on attend qu'elle regarde la situation avec lucidité et qu'elle soit combative, c'est le ministre de l'Intérieur."

    franceinfo

    Schiappa est la seule à trouver que ce terme d'ensauvagement est fort !

    Et bien on va voir comment macron et les politiques vont réagir devant toutes ces violences journalières !


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  • Marlène Schiappa, ministre déléguée auprès du ministre de l'Intérieur, chargée de la Citoyenneté, est l'invitée de Léa Salamé.


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  • Jean Castex : son épouse Sandra a joué un rôle essentiel lors de son échange avec Emmanuel Macron

    Jean Castex n'a pas décidé seul d'accepter le poste de Premier ministre proposé par Emmanuel Macron. Ce n'est qu'après avoir consulté son épouse qu'il a dit oui à Matignon.

    Jean Castex ne prend pas ses décisions seul, il les prend en couple. Alors quand il a été question d'être nommé à la tête du gouvernement, en remplacement d'Edouard Philippe, il a réfléchi sérieusement. Un poste à hautes responsabilités, alors que la crise sanitaire touchait de plein fouet le pays. Il a pesé le pour, le contre, et il a surtout discuté avec celle qui partage sa vie depuis plus de vingt ans, sa femme, Sandra Ribelaygue.

     

    "Si mon épouse Sandra n'avait pas été d'accord, je n'aurais pas accepté. Sans elle je ne serai rien" avoue en toute franchise Jean Castex à Guillaume Durand selon l'Opinion paru ce 31 août. Pour Jean Castex, la famille c'est sacrée, et sa femme, son roc, est consultée à chaque grande décision. Plusieurs fois nommé à de hautes fonctions, Jean Castex n'a jamais oublié les siens. Passé par le ministère de la Santé et du Travail, il a également été secrétaire général adjoint de l'Elysée sous Nicolas Sarkozy. Alors loin de sa commune de Prades située dans les Pyrénées-Orientales et de sa famille, il a toujours mis un point d'honneur a retrouver femme et enfants tous les week-ends.

    En toute discrétion

    Avec Sandra Ribelaygue, qu'il a rencontré alors qu'il était maître-vacher dans sa famille, ils ont su trouver le juste équilibre. Lui en pleine lumière, elle volontairement dans l'ombre. La discrétion, un choix de vie, un côté "spectral" assumé pleinement. Elue conseillère municipale en mars dernier, "avec le plus beau score" de toute la commune soit 97,29% tout de même, Sandra Ribelaygue a toujours préféré opter pour la discrétion et la réserve. A Matignon, elle ne devrait pas faire de vagues. Il est donc peu probable qu'elle pose tout sourire en Une des magazines.

    Gala


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  • Cécile de Ménibus sous le choc, son chien « tabassé »

    Sur Twitter, Cécile de Ménibus a remercié les gendarmes « après une intrusion » dans sa maison. Les malfrats ont tabassé son chien. 

    Pendant les vacances d’été, les malfrats sont plus nombreux à tenter de cambrioler les maisons qu’ils pensent être inoccupées. L'ex-étudiante de Sciences Po Cécile de Ménibus en a fait les frais comme elle l’a confié sur Twitter. La journaliste et animatrice de télé et radio qui se trouve dans le Médoc pour faire une pause a tenu à remercier les gendarmes pour leur travail ce samedi 29 août. Elle a été victime d’une tentative de cambriolage. « Après une intrusion dans la maison, les individus ont tabassé notre chien qui se remet doucement. Merci à la @Gendarmerie #Lesparre pour leur travail de soutien et de protection et d’investigation. #sécurité #FDO », a-t-elle écrit.

    Une façon bien triste de finir les vacances. ........

    Gala


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  • Des "sous-préfets à la relance" seront nommés partout en France

    Amélie de Montchalin à Bruxelles le 25 février 2020

    La ministre de la Transformation et de la Fonction publiques, Amélie de Montchalin, a annoncé dimanche la prochaine nomination de "sous-préfets à la relance" qui seront "sur le terrain, partout en France", à partir de "début 2021".

    "Sur le terrain, partout en France, le Premier ministre a pris la décision d'installer des sous-préfets à la transformation et à la relance", qui devront "nous remonter tous les blocages administratifs, de procédures, de dispositifs très compliqués", a indiqué Amélie de Montchalin sur France 3.

    De jeunes fonctionnaires envoyés sur le terrain

    "Nous, on va avoir l'impression depuis Paris d'avoir mis 100 milliards (d'euros) sur la table" avec le plan de relance gouvernemental, qui sera présenté jeudi, "mais certains, peut-être, vont nous dire, ça n'arrive pas chez moi. C'est contre ça qu'il faut qu'on agisse", a expliqué la ministre.

    Ce seront "de jeunes hauts fonctionnaires", dont la mission sera "surtout de débloquer, de s'assurer que quand on décide à Paris, il se passe quelque chose sur le terrain", a-t-elle souligné. "Les préfets vont nous dire" s'ils ont "besoin de plus de soutien."

    "Ces sous-préfets à la relance et à la transformation, leur rôle, c'est de nous dire ce qu'on doit débloquer et s'assurer que ça fonctionne. Ils entreront en fonction en même temps que le plan de relance, début 2021, pour que non seulement on ait mis sur la table les moyens, mais que ce plan d'investissements, de transformation, devienne concret", a-t-elle dit.

    "Supprimer l'entre-soi" à l'ENA

    Interrogée sur le projet de réforme de l'École nationale d'administration (ENA), Amélie de Montchalin a répondu qu'"on aura toujours besoin d'une école des fonctionnaires". Mais "pour beaucoup de Français, l'ENA, c'est devenu le symbole, le nom de l'entre-soi, d'une caste. Ça, il faut le supprimer."

    D'ici 2022, "il y aura une réforme de la formation, du recrutement, de la diversité. On ne va pas supprimer l'école des fonctionnaires", mais "on va supprimer l'entre-soi", a-t-elle insisté.

    "La haute fonction publique doit plus ressembler à la France. Il faut qu'elle soit plus diverse socialement, territorialement", avec "plus d'équilibre hommes-femmes, des carrières, des parcours plus divers".

    BFM business

    Encore des "fonctionnaires" à payer pour pas grand chose !


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  • Dealers à Grenoble : La réponse cinglante de Gérald Darmanin à Eric Piolle

    Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, s’en est pris à Eric Piolle, reprochant au maire de Grenoble son « discours angélique »

    La passe d’armes continue entre le ministre de l’Intérieur et le maire EELV de Grenoble. Alors qu’Eric Piolle avait qualifié l'opération de police contre des dealers dans sa ville de coup de communication, Gérald Darmanin s’en est pris, ce vendredi, au « discours angélique » de l’édile.

     

    Depuis plusieurs jours, le ministre et l’élu s’écharpent autour de l’affaire des vidéos de trafiquants de drogue à Grenoble. Mercredi, une opération de police a été menée dans un quartier sensible de la capitale iséroise après la diffusion en ligne de vidéos mettant en scène des hommes armés et cagoulés sur un point de deal.

    Un niveau « particulièrement bas d’investissement » en matière de sécurité

    Et ce vendredi, Gérald Darmanin s’est adressé directement à Eric Piolle, dans une lettre publiée sur son compte Twitter : « Nos compatriotes n’attendent pas de nous des discours angéliques mais une intervention résolue pour restaurer l’autorité de l’État », a-t-il écrit, ajoutant : « Plutôt que de déplorer cette opération de police médiatiquement, nous aurions souhaité que vous encouragiez le travail difficile des policiers ».

    Et le ministre ne s’est pas arrêté pas là. Comparant les effectifs de policiers municipaux de Grenoble à ceux de la ville de Nice, confrontée également à une vague de violence ces dernières semaines, Gérald Darmanin a déploré « le niveau particulièrement bas d’investissement de votre municipalité dans la sécurité ».

    Gérald Darmanin préconise plus de caméras

    Le locataire de place Beauvau a également regretté que les policiers municipaux de Grenoble ne soient pas armés, avant de critiquer le faible nombre de caméras de vidéoprotection, « dont l’initiative relève de la compétence municipale ». Selon le ministre, Grenoble « dispose d’un réseau très limité de moins de 90 caméras dont certaines ne fonctionnent pas depuis un certain temps », a-t-il expliqué dans sa lettre, estimant que l’installation de ces caméras « contribuerait fortement à faciliter l’action des forces de l’ordre et éviter une occupation de l’espace public problématique et le développement de zones particulières de délinquance ».

    Le ministre de l’Intérieur a ensuite dressé la liste de toutes les actions de l’Etat à Grenoble, rappelant d’abord que les effectifs dans la ville ont connu « une augmentation nette de 54 » agents depuis 2015, ainsi qu’entre 30 et 60 CRS supplémentaires selon la période.

    « Un ministre de la République ne devrait pas s’adresser ainsi aux élus locaux »

    A Paul Mistral, le quartier où se déroule la majeure partie du trafic de drogue, Gérald Darmanin a rappelé que depuis le début de l’année, la police nationale a effectué « 159 interpellations, 276 patrouilles pédestres, 370 patrouilles en véhicules, 187 opérations de visites de parties ».

    Quelques heures après la diffusion de cette lettre, vendredi, le maire de la capitale des Alpes a réagi au micro de BFMTV, estimant « qu’un ministre de la République ne devrait pas s’adresser ainsi aux élus locaux. Ce n’est pas digne de la République que nous souhaitons. Il ne peut pas faire des opérations de communication sur les réseaux sociaux ».

    20 Minutes


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  • Macron devrait nommer Bayrou haut-commissaire au Plan le 3 septembre

    Emmanuel Macron devrait nommer son allié du MoDem François Bayrou au poste de haut-commissaire au Plan lors du conseil des ministres du 3 septembre, a-t-on appris jeudi de sources concordantes, confirmant une information du Parisien.

    Interrogé, l'Elysée n'a pas confirmé cette nomination qui est attendue. Début juillet, l'entourage du président avait indiqué que l'éventuel retour de François Bayrou au gouvernement comme haut-commissaire au Plan, évoqué également par Jean Castex, serait un "gain politique évident".

    Un rôle de coordination du plan

    Un commissariat au Plan pourrait éclairer l'action publique sur le long terme et remplir un rôle de coordination pour les différents aspects du plan de relance (économique, social, environnemental, territorial, culturel), selon la même source.

    Le président du MoDem, l'un des plus proches conseillers officieux du chef de l'Etat et soutien-clé pendant sa campagne, marquerait ainsi son retour officiel au sein de l'exécutif, qu'il avait dû quitter en 2017 au bout d'un mois.

    Nommé ministre de la Justice au début du quinquennat, il avait dû démissionner en raison d'une enquête sur des emplois présumés fictifs du MoDem au Parlement européen, pour laquelle il a été mis en examen le 6 décembre pour "complicité de détournement de fonds publics".

    François Bayrou devrait exercer la fonction de haut-commissaire au Plan à titre bénévole et rester maire de Pau. Selon Le Parisien, le président de la République et le Premier ministre Jean Castex sont tombés d'accord ces derniers jours, après des "derniers calages téléphoniques avec Bayrou".

    Bayrou devrait rester maire de Pau

    La bonne entente des deux hommes n'exclut pas des frictions, comme lors du remaniement de juillet. François Bayrou a finalement obtenu le maintien des trois ministres MoDem Marc Fesneau, Jacqueline Gourault et Geneviève Darrieussecq.

    Après des semaines d'attente d'une éventuelle nomination, François Bayrou avait publiquement fait savoir vendredi que le chef de l'Etat lui avait proposé le poste

    "J'ai toujours pensé que pour que le commissariat au Plan ait l'influence nécessaire, il fallait qu'une personnalité politique expérimentée puisse s'y coller. Je ne pensais pas du tout à moi", avait-il déclaré à La République des Pyrénées. "J'ai beaucoup discuté de cette nécessité depuis des mois avec le président de la République. Il m'a dit : 'C'est une bonne idée. Pourquoi ne le feriez-vous pas vous-même? Vous avez réfléchi sur le sujet et vous correspondez au portrait-robot'".

    La fonction de haut-commissaire avait été créée après la guerre par le général de Gaulle pour la reconstruction du pays avant de disparaître.

    BFM.TV

    En quoi cela consiste t-il ? Cela ne sert sûrement à rien mais Bayrou est content !


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  • Jean Castex et Christophe Castaner : ce petit-déjeuner qui fait jaser

    Ce mardi 25 août, Christophe Castaner était l'invité de Jean Castex à Matignon. Le Premier ministre et l'ancien premier flic de France ont échangé autour d'un petit-déjeuner, informe Le Point. Un rendez-vous qui intervient à quelques jours seulement de l'élection à la tête du groupe LREM à l'Assemblée et qui fait déjà jaser.

    Si l'Élysée n'a jamais fait mystère de son soutien à Christophe Castaner, d'aucuns laissaient à penser que Jean Castex, sa bête noire, aurait pu faire barrage à la nomination de l'ancien premier flic de France à la présidence du groupe LREM à l'Assemblée nationale. Des rumeurs balayées d'un revers de manche ce mardi 25 août, informe Le Point, qui précise que les deux hommes se sont retrouvés autour d'un petit-déjeuner à Matignon.

     

    Un rendez-vous qui intervient à quelques jours seulement de la nomination du successeur de Gilles le Gendre et qui fait déjà grincer des dents. Contactée par nos confrères, Aurore Berger, qui a elle aussi déposé sa candidature pour le poste, a précisé qu'elle avait sollicité à son tour un rendez-vous avec Jean Castex. Une demande qui a été acceptée par Matignon. Pourtant, des initiés murmurent que les jeux seraient en réalité déjà faits !

    "Les députés ne veulent pas d’un garde-chiourme du président"

    Castaner a-t-il déjà remporté la partie ? Une chose est sûre, sa candidature fait les affaires d'Emmanuel Macron. "De même qu'il a été le bouclier du chef de l'État à l'Intérieur, il stoppera l'hémorragie de parlementaires qui ont quitté LREM. Il emmènera un groupe renforcé à la présidentielle de 2022"note une source. Une préférence qui ne fait pas l'unanimité"Les députés ne veulent pas d’un garde-chiourme du président mais de quelqu’un qui a du poids", s'était agacé un pilier du groupe dans les colonnes du Monde, pointant le risque que le député des Alpes-de-Haute-Provence apparaisse comme le candidat de l’Elysée. Réponse le 10 septembre !

    Gala


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  • "Oui, la France a besoin de ses jeunes!" : l'appel de Sarah El Haïry, nouvelle secrétaire d'Etat à la Jeunesse

    Nommée secrétaire d'Etat chargée de la Jeunesse et de l'Engagement le 26 juillet dernier, Sarah El Haïry s'exprime pour la première fois sur sa nouvelle mission dans une tribune au JDD. Son texte fait écho à l'appel signé par une vingtaine de jeunes français et également paru dans nos colonnes il y a une semaine, qui appelait les jeunes expatriés français à rentrer au pays. La nouvelle secrétaire d'Etat, par ailleurs porte-parole du MoDem, rappelle dans ce texte que "l'avenir de la France se construit avec nos jeunes" et promet que le gouvernement soutiendra leur engagement. Voici sa tribune.  

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/oui-la-france-a-besoin-de-ses-jeunes-l-appel-de-sarah-el-ha%C3%AFry-nouvelle-secr%C3%A9taire-d-etat-%C3%A0-la-jeunesse/ar-BB18gqwB#image=1

    Sarah El Haïry, née le 16 mars 1989 à Romorantin-Lanthenay, de parents franco-marocain.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Sarah_El_Ha%C3%AFry#D%C3%A9put%C3%A9e_de_la_XVe_l%C3%A9gislature


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  • RT France

    Jean Castex est à la tête du gouvernement le plus coûteux de France depuis 10 ans. Selon certaines estimations, il devrait coûter environ 1,5 millions d’euros de plus que la dernière équipe nommée par Edouard Philippe.

    Alexis Poulin, éditorialiste, co-fondateur du Monde moderne, commente cette information.

    Ils inventent des ministères farfelus pour caser des amis

    On traite nos ministres comme des petits rois


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  • François Bayrou va être nommé Haut-Commissaire au plan en septembre

    Le maire de Pau et ex-garde des Sceaux devra "imaginer la France dans 10, 20, 30 ans".

    Le maire de Pau et ancien garde des Sceaux, François Bayrou, va être nommé au poste de Haut-Commissaire au plan au mois de septembre, après le Conseil des ministres de rentrée du 25 août, annonce France Inter lundi 17 août. Il sera chargé de la prospective pour les décennies à venir, et doit incarner le retour de la "souveraineté économique française", après la crise sanitaire du coronavirus.

    Selon les informations de nos confrères, François Bayrou souhaite être directement rattaché à l'Elysée, et non pas à Matignon ou à un ministère comme le veut la tradition. Il ne devrait donc pas assister au Conseil des ministres, et il aura des bureaux indépendants.

    Ce poste de Haut-Commissaire au plan lui permettrait aussi de rester maire de Pau, car le cumul des mandats n'est pas interdit pour un tel poste.

    franceinfo


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  • L’auteur-compositeur-interprète est un adhérent de Résistance républicaine, PDF ou Peuple de France.


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    Contrairement à Emmanuel Macron qui l’ouvre toujours pour ne rien dire, quand le général Martinez prend la parole, ce n’est pas pour brasser du vent mais pour aller droit au but. “La patrie est en danger. Oui, notre patrie est en grand danger”, alerte le militaire dans un appel bouleversant à la résistance.

    Le général rappelle la situation catastrophique de la France “après cinquante années au cours desquelles nos dirigeants politiques, toutes tendances confondues, ont fait preuve successivement de laxisme, d’absence de clairvoyance et de lucidité, de manque de vision et de volonté politique, de déni de réalité et, à présent, de renoncement face au plus grand des dangers qui menace notre nation: la guerre civile et ethnique.

     

    Le général Martinez explique que “plusieurs peuples ne peuvent pas vivre sur un même sol. Plusieurs cultures ne peuvent pas coexister paisiblement sur un même territoire”, citant Julien Freund: “Une collectivité politique qui n’est plus une patrie pour ses membres cesse d’être défendue pour tomber plus ou moins rapidement car là où il n’y a pas de patrie, les mercenaires ou l’étranger deviennent les maîtres”.

    Le militaire rappelle que le peuple “souffre de l’abandon de ses dirigeants face à l’instauration d’un communautarisme dicté par une idéologie mortifère devenant, grâce au nombre, de plus en plus vindicative et agressive. Combien de morts le peuple français, hébété devant tant d’ingratitude de la part des derniers arrivants légaux et illégaux qui crachent sur la France et veulent aujourd’hui réécrire son Histoire, acceptera-t-il avant de se révolter?

    Face à cette situation: “Rien n’est écrit et tout est encore possible à condition de le vouloir”, rappelle-t-il. “C’est pourquoi, moi, Général MARTINEZ, j’appelle les Français, à me rejoindre pour entrer en résistance contre la démission et le renoncement” du pouvoir politique.

    “Je les invite à se rallier à moi pour préparer l’élection présidentielle de 2022 à laquelle j’ai décidé de me porter candidat, hors des partis politiques”. Une candidature qu’il précise être “soutenue par d’autres généraux et amiraux”.

    L’État doit, en effet, être au service de la vérité, des citoyens et du bien commun, et non pas à la solde de sordides appétits particuliers sur fond de conflits d’intérêts. […] Le combat que nous mènerons ensemble, sans haine mais avec détermination, nous est, en fait, imposé par le renoncement de nos dirigeants.

    FL 24.net 

    C'est un peu comme l'annonce d'une guerre civile !

    Wikipédia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Claude_Martinez

     


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  • Emmanuel Macron a exprimé mercredi, au cours d'une vidéoconférence avec Vladimir Poutine, sa « très grande préoccupation » à propos de la situation en Biélorussie (l'orthographe retenue par la diplomatie française) après la réélection du président autoritaire Alexandre Loukachenko.

    Au cours de cet échange avec son homologue russe, le chef de l'État a « fait part de sa très grande préoccupation sur la situation en Biélorussie et la violence opposée aux citoyens lors des élections. Il a souligné la nécessité de retrouver la voie du dialogue », a précisé l'Elysée.

    Cette réaction est la première d'Emmanuel Macron depuis l'annonce de la victoire écrasante dimanche - avec 80,08 % des suffrages - d'Alexandre Loukachenko pour un sixième mandat, à l'issue d'une présidentielle marquée par de forts soupçons d'irrégularités. Avec son homologue chinois, Vladimir Poutine a été le seul chef d'Etat à féliciter Loukachenko.

     

    Ce dernier avait pourtant accusé Moscou de vouloir vassaliser son pays et de chercher à le déstabiliser. La Russie a néanmoins dénoncé des interpellations de journalistes russes, et réclamé la libération de 33 Russes présentés depuis fin juillet par Minsk comme des mercenaires travaillant avec l'opposition.

    L'Elysée appelle à «la plus grande retenue»

    Le Quai d'Orsay avait appelé lundi les autorités bélarusses à «la plus grande retenue», alors que la police a réprimé les manifestations de l'opposition protestant contre les résultats du scrutin. Un manifestant de 25 ans, interpellé lors d'un rassemblement contre la réélection de Loukachenko, est décédé ce mercredi. C'est le deuxième décès recensé depuis le début de ce mouvement de contestation.

    La principale rivale du président, Svetlana Tikhanovskaïa a préféré pour sa sécurité se réfugier en Lituanie. Selon le Comité Helsinki au Bélarus, une ONG de défense des droits humains, il n'y avait jamais eu de répression d'une «telle violence» dans le pays.

    Dans l'hyper-centre de la capitale, les stations de métro ont été fermées mercredi soir et la circulation complètement interdite. De nombreux policiers étaient également déployés dans plusieurs rues principales. Des manifestants ayant formé une chaîne humaine ont été dispersés et frappés par des policiers, au milieu des cris.

     

    Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo, la chancellerie allemande Angela Merkel et le Haut-Commissaire à l'ONU aux droits de l'homme ont également dénoncé la répression.

    Les ministres des Affaires étrangères des États membres de l'UE doivent se réunir vendredi et Bruxelles a menacé de prendre des sanctions contre Minsk.

    Un vaccin que la France devrait reconnaître

    Lors de leur échange, les présidents français et russe ont également discuté du Liban et de la coopération entre la France et la Russie face à la pandémie du coronavirus, selon l'Élysée. Cette coopération doit prendre «en compte l'enregistrement d' un vaccin par la Russie », a précisé le Kremlin dans un communiqué publié après l'appel téléphonique.

     

    L' Allemagne, qui préside l'Union européenne ce semestre, a émis des doutes sur «la qualité, l'efficacité et la sécurité du vaccin russe ».

    Moscou précise en outre qu'une « possible visite » d'Emmanuel Macron en Russie, qui avait été annoncée fin juin, est toujours en préparation.

    Le Parisien


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  • "On a le sentiment d'un Emmanuel Macron qui fait la leçon aux Libanais", déplore Sébastien Chenu

    Une visite qui fait grincer les dents. Emmanuel Macron s’est rendu au Liban après les explosions qui ont ravagé le centre-ville de Beyrouth, où il a promis une aide humanitaire tout en enjoignant la classe politique libanaise à se réformer en profondeur. "Refondation d’un ordre politique nouveau", "pacte politique", les termes utilisés par le chef de l’Etat ont agacé certains opposants politiques qui l’accuse d’ingérence et d’une attitude néo-colonialiste. "On a le sentiment d'un Emmanuel Macron qui fait la leçon aux Libanais", déplore Sébastien Chenu sur Europe 1. 

    "La place de la France est aux côtés des Libanais"

    "La place de la France est au Liban et aux côtés des Libanais", assure le député RN. "En revanche sur le discours d'Emmanuel Macron, que ce soit sur le fond ou sur la forme, on peut avoir quelques interrogations." Sur le fond des propos tenus par le président de la République, le porte-parole du RN appelle dans un premier à un contrôle étroit des fonds qui devront être débloqués pour aider le Liban, afin que les sommes allouées ne servent pas à alimenter "ni la corruption, ni les milices".

    Quant aux déclarations plus politiques du chef de l'Etat, le député se montre moins convaincu. "Quand j'entends Emmanuel Macron parler d'un 'nouveau pacte politique', il est difficile à imaginer aujourd'hui avec la corruption qui règne, l'islamisme, la mainmise du Hezbollah sur le Liban", ajoute Sébastien Chenu. 

    "Une capacité à moraliser, presque de façon humiliante"

    Le porte-parole du Rassemblement national a jugé  le président "maladroit" sur la forme. "Il l'a notamment été lorsqu'il s’est exprimé avec toujours cette capacité à moraliser, presque de façon humiliante pour ses interlocuteurs", assène-t-il. "Le problème c’est qu'il tente d’asseoir à l’extérieur une autorité qui lui échappe dans son propre pays. On a le sentiment d’un Emmanuel Macron qui fait la leçon aux Libanais."

    "Il faut se souvenir de ce qu'est le Liban, il faut être aux côtés du Liban et il faut aussi qu'Emmanuel Macron corrige ce penchant naturel à donner des leçons à la terre entière." 

    Europe 1

    «Si les réformes ne sont pas faites, le Liban va continuer de s'enfoncer», estime Macron


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  • Emmanuel Macron interpellé : quand les conseillères de l’Elysée dénonçaient les attaques sexistes et blagues salaces

    Marc Guillaume, Edouard Philippe et Emmanuel Macron, à l'Elysée, le 4 septembre 2019. Bestimage

    Alors que le président Emmanuel Macron a écourté ses vacances pour se rendre à Toulon, puis à Beyrouth, une plainte pour sexisme vieille de deux ans refait aujourd'hui surface.

    Voilà des vacances qui n'auront pas duré longtemps. Alors qu'il était au Fort de Brégançon avec son épouse Brigitte, profitant du climat et d'une certaine douceur, n'hésitant pas à se poser en terrasse et à participer à quelques selfiesEmmanuel Macron a été subitement rappelé à la réalité du mondeLaissant seule son épouse dans le domaine de villégiature présidentiel, le chef de l'Etat s'est rendu à Toulon ce 4 août pour un hommage, avant de s'envoler ce jeudi 6 août pour Beyrouth, ravagé par deux terribles explosions il y a deux jours.

    Mais cette riche actualité présidentielle n'empêche pas de vieux dossiers de remonter à la surface. Alors que l'affaire Darmanin secoue le gouvernement, le site du journal Le Monde déterre aujourd'hui une autre affaire, datant de 2018 : des conseillères de l'Elysée dénonçaient des actes misogynes au plus haut sommet de l'Etat. Dans une note datée d'il y a deux ans, plusieurs femmes travaillant à l'Elysée ont raconté qu'elles étaient victimes de remarques sexistes, de "blagues salaces", de comportement désobligeant.

    Comme un symbole, cette page de plaintes est datée du 8 mars 2018, jour où l'on célèbre les droits des femmes. Dans cette note, on peut notamment lire dès les premières lignes : "Si nous n’avons pas à souffrir directement de comportements sexistes au sein de votre cabinet, nous sommes régulièrement confrontées nous-mêmes ou témoins de telles pratiques au plus haut sommet de l’Etat." S'ensuit une liste exhaustive de réflexions sexistes entendues au Château ou dans la cour de l’Elysée. Si aucun nom ne figure dans le document, certaines signataires ont expliqué oralement depuis qu'un homme était particulièrement visé : Marc Guillaume. Jamais rendue publique, cette note a été signée par toutes les conseillères de l'Elysée, sans exception, et d'après le quotidien, elle aurait joué un rôle dans l'éviction - presque deux ans après ce dépôt de plainte - de Marc Guillaume, qui vient de quitter son poste de secrétaire général du gouvernement, pour celui de préfet de la région Île-de-France.

    "Vous, vous allez faire carrière grâce à votre décolleté !"

    Parmi ses remarques désobligeantes, on trouve d'après "les conseillères" : "Vous, vous allez faire carrière grâce à votre décolleté !", ou encore : "C’est rare une femme qui pense… et c’est beau aussi, surtout quand ça porte une jupe". Tandis qu'Emmanuel Macron a fait de l'égalité hommes/femmes une pierre angulaire de son quinquennat, le président se voit rappeler en fin de note par les signataires, qu'il faut atteindre pour eux qui travaillent au sommet de l'Etat "une responsabilité encore plus forte que tout un chacun : la responsabilité de l’exemplarité". Reste que Marc Guillaume n'a pas été plus inquiété que ça pour son comportement, et ne risque pas de l'être : "Il préside tous les comités de sélection des directeurs d’administration, autant dire qu’il est chargé de détecter les hauts potentiels de l’Etat. Lui déplaire, c’est l’assurance de voir ta carrière brisée…"

    GALA


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  • "Le Liban n'est pas un protectorat français": l'Insoumis Jean-Luc Mélenchon, le patron d'EELV Julien Bayou ou encore le vice-président du RN Jordan Bardella ont critiqué jeudi la visite d'Emmanuel Macron dans le pays, au surlendemain d'explosions meurtrières à Beyrouth.

     

    "Je mets en garde contre une ingérence dans la vie politique du Liban. Elle ne sera pas acceptée. Le Liban n'est pas un protectorat français", a-t-il écrit sur Twitter, alors que le président français s'exprimait devant la presse à son arrivée à Beyrouth.

    "Je mets en garde les Libanais à propos des réformes de Macron: protégez les revendications de votre révolution citoyenne", a ajouté le député.

    M. Macron a annoncé jeudi à Beyrouth qu'il voulait "organiser l'aide internationale" pour le Liban après les explosions mardi au port de Beyrouth qui ont dévasté des quartiers entiers de la capitale.

    Face à la crise politique, sociale, économique et financière du pays, il a aussi souhaité "un dialogue de vérité" avec les autorités et a rappelé que la France porte "l'exigence (...) depuis des mois pour ne pas dire des années de réformes indispensables" dans "certains secteurs", comme "l'énergie, les marchés publics, la lutte contre la corruption". "Si ces réformes ne sont pas faites, le Liban continuera de s'enfoncer", a mis en garde M. Macron.

    Des propos qui ont aussi fait grincer des dents Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, sur Twitter: "Fin du protectorat français du Liban, 1941. Indépendance, 1944. La solidarité avec le #Liban doit être inconditionnelle".

    Au Rassemblement national, le vice-président Jordan Bardella a écrit sur le même réseau: "Le soutien de la France au peuple libanais dans cette tragédie ne se discute pas. En revanche, le one man show arrogant et moralisateur auquel s'est livré Emmanuel Macron, aujourd'hui à Beyrouth, est indécent".

    Des critiques irrecevables pour le député européen Place publique Raphaël Glucksmann: "Aurait-on préféré qu'il n'y aille pas et que la France soit absente après une telle catastrophe frappant un peuple aussi proche du nôtre ? Et une fois sur place, heureusement qu'il demande des réformes à un gouvernement dont l'incurie et la corruption sont légendaires. C'est ce que demandent les citoyens libanais".

    Le Point

    Quel crétin ce Raphaël Glucksmann !

    Comme si c'était à macaron de demander des réformes au gouvernement libanais !

    Il n'arrive déjà pas à s'occuper de La France !


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  • Comme elle a raison !


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