• Paris : Anne Hidalgo condamnée en appel pour diffamation envers un architecte

    Paris : Anne Hidalgo condamnée en appel pour diffamation envers un architecte

    L'édile avait tenu des propos litigieux en 2014, sur fond de polémiques autour de la Commission du Vieux Paris.

    La cour d'appel de Paris a confirmé jeudi la condamnation de la maire PS de la capitale Anne Hidalgo pour avoir diffamé l'architecte Jean-François Cabestan, en lui reprochant d'avoir utilisé des documents municipaux «à des fins personnelles pour un colloque». La cour d'appel a ajouté une mesure de publication judiciaire à l'amende de 500 euros avec sursis et l'euro de dommages et intérêts.

    L'édile avait tenu les litigieux propos dans les colonnes du Parisien du 24 octobre 2014, sur fond de polémiques autour de la Commission du Vieux Paris, chargée de la conseiller pour les questions de protection du patrimoine. Commission dont Mme Hidalgo renouvelait la composition.

    «Manque de prudence» et «intention de nuire»

    Parmi ses critères pour ce renouvellement, elle évoquait entre autres «le respect des règles» et déclarait: «C'est pourquoi Jean-François Cabestan, qui a utilisé des documents municipaux à des fins personnelles pour un colloque, n'a pas été renouvelé». A la question de savoir s'il s'agissait d'une sanction à l'encontre de quelqu'un qui s'était prononcé contre plusieurs projets soutenus par la ville, Anne Hidalgo avait assuré que la «liberté de parole est garantie pour chacun des membres de la commission».

    Dans son arrêt, la cour estime que Anne Hidalgo «a manqué de prudence, sinon même fait preuve d'une intention de nuire en évoquant spontanément le cas de M. Cabestan, sans que ce dernier n'ait eu l'occasion de protester éventuellement sur les motifs d'une "éviction" dont il n'était pas encore officiellement informé».

    Déjà condamnée pour diffamation dans une autre affaire

    En mars 2016, Anne Hidalgo avait déjà été condamnée à une amende de 500 € avec sursis. Cette fois pour avoir affirmé que le FN, fondé en 1972, avait « soutenu » la collaboration avec les nazis.

    Le Parisien


  • Commentaires

    1
    Vendredi 10 Mars 2017 à 16:09

    Cette chipie avait renvoyé deux avocats chez Center pour faire supprimer un article où je disais que le père de sa fille, c'était MOI JE !

    2
    Vendredi 10 Mars 2017 à 17:59

    oui, je m' en souviens !

     Elle est bien socialiste, c' est à dire communiste en vérité !

     Je ne comprends pas les parisiens qui ont voté pour cette harpie

    3
    fripouille
    Vendredi 10 Mars 2017 à 18:07

    Quand on arrive à ce niveau de responsabilités on fait gaffe à ce qu'on dit ! Elle a en plus des espions partout ? Il faut les payer ! Véritable emploi ou emploi fictif ? puisque c'est la mode...

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    4
    Samedi 11 Mars 2017 à 09:18

    Bien fait pour elle! elle n'est pas pour les ouvriers! je comprend pour la pollution mais la vignette pour les gents qui travaillent et ne peut pas  faire autrement c'est un calvaire!<nath>

    5
    françoise
    Samedi 11 Mars 2017 à 17:49

    Cette folle  dangereuse ,malhonnête , justiciable ,reine des Bobos , si les cons volaient elle serait chef d’escadrille,elle  ne connaît pas la honte ,une lèche cul et une lèche babouches !

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