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  • Une visite inattendue... 

    Profitant du long week-end de l'Aïd-el-fitr et de l’Ascension réunis, notre célèbre concitoyenne et enfant du pays,  femme d'affaire et amateure d'art parisienne, politicienne française, présidente d'association caritative et jet-setteuse internationale, madame Brigitte M. est venue se ressourcer dans sa maison familiale, sans son mari retenu dans la capitale pour des raisons professionnelles. 

    La Gazette du Touquet

     

    Elle a pleinement profité d'une météo particulièrement clémente pour se rendre sur la plage municipale, en respectant toutefois les gestes barrières et la distanciation physique, une distanciation par ailleurs appliquée spontanément et avec une rigueur exemplaire par toutes les personnes présentes. 

    Pris chez bedeau : http://aumilieuduvillage.eklablog.com/


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  • Présidentielle 2022 : comment Macron garde l'œil sur ses adversaires ? De Xavier Bertrand à Marine Le Pen, en passant par François Ruffin, le président surveille ses rivaux potentiels, alternant rapport de force et séduction. S'il invoque en public la concorde nationale, Emmanuel Macron surveille en coulisse ses rivaux potentiels pour la présidentielle, manœuvrant au besoin pour les écarter de sa route. Retrouvez l'article de Nathalie Schuck sur le site du Point : https://www.lepoint.fr/politique/pres...


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  • Pris chez mon ami Pierre/trublion - http://trublion.eklablog.com/


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  • Macron affirme que la France n'a "jamais été en rupture de masques" et ulcère l'opposition

    Lors de notre long-format, diffusé lundi soir, Au cœur de l'Elysée, face à la crise, Emmanuel Macron a nié toute "rupture" de masques en France, admettant seulement des "tensions". Cette déclaration a outré l'opposition de droite comme de gauche.

    Emmanuel Macron n'en démord pas: non, l'Etat n'a pas été pris en faute sur la question des masques au début de la crise. Dans notre long-format Au cœur de l'Elysée, face à la crise, diffusé ce lundi soir, le président de la République affirmait ainsi: "Les choses ont été dites, gérées. Il y a eu une doctrine restrictive pour ne jamais être en rupture que le gouvernement a prise et qui, je pense, était la bonne. Il y a eu ensuite un approvisionnement renforcé et une production renforcée."

    Il insistait alors: "Et nous n’avons jamais été en rupture. Ce qui est vrai, c’est qu’il y a eu des manques, des tensions, c’est ce qu’il faudra regarder pour le corriger et prévenir."

    Scandale pour le RN et la droite 

    Une contrition minimale qui a ulcéré l'opposition, indépendamment de sa place dans le spectre politique. Sur Facebook, la présidente du Rassemblement national, Marine le Pen, a attaqué: "Comment le Président peut-il oser dire cela alors que son gouvernement a MENTI sur l’utilité même des masques justement pour cacher la pénurie? Ces propos sont une provocation insupportable compte tenu de la situation!"

     

    Elle a aussi ironisé. "C'est confirmé: il n'a pas changé...", a-t-elle lâché. 

    Sur Twitter, son confrère du RN et député européen, Jordan Bardella, y est lui aussi allé de son indignation majuscule: "Je rêve, ou Macron lâche une véritable bombe: ils ont VOLONTAIREMENT créé cette pénurie, et volontairement refusé de donner des masques à ceux qui en auraient eu besoin ?"Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, a accusé Emmanuel Macron de tomber dans une forme de révisionnisme: "Emmanuel Macron réécrit l’Histoire : nous demandons des masques et des tests depuis des mois! Il n’y en avait même pas assez pour les soignants et les Français mobilisés sur le terrain contre le Covid-19! Ceux qui étaient en première ligne apprécieront!"Eric Ciotti, député "Les Républicains" élu dans les Alpes-maritimes, s'est contenté d'un "il a osé!" stupéfait. 

    "Déni" pour la gauche 

    Danièle Obono, députée de la France Insoumise élue à Paris, s'est montrée quant à elle déroutée sur Twitter: "Je ne sais plus. Comment caractériser politiquement, sans faire de la psychiatrisation de comptoir ? Et même à ce niveau, les mots manquent. Tant de mépris, déni, arrogance... C'est au-delà des mots, de l'entendement. C'est un autre monde, une autre galaxie. Terrifiant."

    Le Parti communiste a lui aussi choisi d'envisager la chose sous un angle psychanalytique, évoquant à son tour un "déni" présidentiel.

    BFM.TV

    Toujours aussi menteur le jupiter !


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  • LA DÉMISSION DU PRÉSIDENT EMMANUEL MACRON

    PETITION :

    https://www.mesopinions.com/petition/politique/demission-president-emmanuel-macron/42009

    J'ai signé, appuyez sur tous les signataires, vous verrez Chantal !

    Ma remarque que vous pouvez lire : Marre de macrron et ses sbires!

    Zut j'ai fait une faute ! (rire)


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  • Tout le monde s’interroge sur Macron, il est notre Président et nous sommes en droit de le savoir. Vous allez voir que le doute s’amplifie après le visionnage de cette vidéo. Il a le comportement et les habitudes d’un cocaïnomane, toujours à renifler, se toucher le nez, partir dans des sortes d’hallucinations ou des idées délirantes. Vous allez voir que Macron peut se comparer à un dictateur pour ses tendances à la drogue. A cette époque la cocaïne n’était pas répandue alors mais une autre drogue similaire imitait les effets. C’est vraiment choquant. Nous devons tous réagir au plus vite…..Partagez cette vidéo au maximum pour que tout le monde réagisse, c’est une urgence….


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  • "On ne croit plus en vous": vif échange entre Emmanuel Macron et des soignantes de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière

    Lors de sa visite à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris ce vendredi matin, le chef de l'Etat a été interpellé par deux infirmières sur leurs conditions de travail et le manque de moyens de l'hôpital en pleine crise sanitaire du Covid-19.

    La pression s'alourdit sur les épaules du chef de l'Etat. En visite à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière ce vendredi matin, Emmanuel Macron a été vivement interpellé par deux soignantes. En première ligne depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus, le personnel soignant n'a de cesse de réclamer une revalorisation salariale, mais aussi davantage de moyens et de lits pour l'hôpital

    Lors de cet échange tendu, filmé au smartphone, Emmanuel Macron confie aux infirmières ne pas vouloir "que la bonne énergie retombe et que le désespoir s'installe".

    "Mais malheureusement il y est déjà, M. Macron!", lui rétorque vigoureusement l'une d'elle. "Avant même le Covid, on était déjà désespérées... ça fait des années, M. Macron...".

    "Ce qu'on demande, c'est la revalorisation!"

    "C'est gentil la prime, on la prendra quand même. Mais ce qu'on demande, c'est la revalorisation: de combien et quand?", poursuit-elle dans le couloir de l'hôpital, tandis qu'une autre soignante déplore à son tour: "ça fait longtemps qu'on nous l'annonce... sur chaque promesse, vous nous rajoutez des conditions. On est désespérées. On ne croit plus en vous."

    Le chef de l'Etat tente alors de répondre, mettant en avant les réinvestissements engagés pendant son mandat.

    "Je sais, mais on est là!", tente de répondre Emmanuel Macron. "Moi je ne fais pas de promesses. Vous avez raison de ne pas avoir cru en moi là-dessus, parce que moi je ne fais pas de promesses... Et quand j'en fais, je les tiens. Je m'étais engagé à ce qu'on sorte progressivement de la tarification d'activité sur une stratégie 'Ma santé 2022'. Ce que je constate, c'est que cette stratégie, où on a réinvesti pour la première fois depuis 15 ans dans l'hôpital...", répond-t-il face aux soignantes insurgées. 

    L'une d'elle l'interrompt et explique:

    "Oui mais M. Macron, nous tout ça on ne le voit pas. Vous nous parlez financièrement par rapport à une globalité des choses. Mais nous, nos salaires, on y voit pas la différence. Il a fallu le Covid pour que vous réagissiez, c'est pas normal. M. Macron il a fallu le Covid pour que vous réagissiez que les hôpitaux sont en souffrance...."

    Désireux de calmer le jeu, le président tente un bilan de la situation.

    "Je vous entends là-dessus. Moi je constate, tout le mécontentement, les mouvements que vous avez eu... Ce que vous exprimez, c'est que ça ne va pas assez vite, et qu'on a pas répondu à une partie des attentes qui sont légitimes... Concernant la prime, ne me dites pas que je vous ai déçues car je ne l'ai jamais promise...".

    "Ce n'est pas vrai qu'on est la honte de l'Europe"

    La discussion se déporte alors sur la question des stocks de masques insuffisants.

    "Moi ça fait six ans que je suis infirmière, on a pas de matériel, on a rien! Pourquoi actuellement je travaille avec un masque qui est périmé depuis 2001? Juste, pourquoi?", l'interroge-t-elle, avant qu'une deuxième personne ne l'interpelle: "S'il-vous-plaît, pas de langage politique M. Macron, on est un des pays où les infirmières sont les plus mal rémunérées quand même... Pour un pays d'Europe, ça n'est pas normal...".

    Emmanuel Macron s'agace alors.

    "Pardon de vous le dire mais ce n'est pas vrai qu'on est la honte de l'Europe", s'agace un peu Emmanuel Macron, assurant ne pas faire "de langage politique", puis montrant de l'intérêt pour le type de masque qu'elles portent, ainsi que ceux avec lesquelles elles doivent travailler. 

    En réponse au "courage exceptionnel" dont fait preuve le personnel soignant depuis le début de la crise sanitaire, Emmanuel Macron avait promis en mars dernier la mise en place d'un "plan massif d'investissement et de revalorisation pour l'hôpital".

    Après plusieurs semaines de tractations, le gouvernement a arrêté ce vendredi les détails de la fameuse "prime Covid" promise au personnel hospitalier, première étape d'une politique de revalorisation des carrières. Celle-ci avait été suspendue depuis lors à la publication d'un décret, mais la prime sera versée à "l'ensemble des professionnels des établissements publics de santé" mobilisés "face à l'épidémie", a annoncé vendredi le ministère de la Santé.

    BFM.TV


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  • En dehors de tout cadre juridique Brigitte Macron utilise l’argent des Français pour des « œuvres caritatives » qui servent plus la communication du couple présidentiel que l’intérêt national. C’est du népotisme, du vol et de l’hypocrisie : pendant que son mari détruit les services publics, elle fait croire que le couple se soucie du social… avec l’argent du contribuable. N’importe quelle femme d’élu local qui ferait de même serait immédiatement poursuivie pour détournement de fond et abus de bien social… qu’attendons-nous ?


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  • PBLV avec Emmanuel Micron, la série réservée aux adhérents du MEDEF 


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  • "Le président de la République n’écoute plus personne, ivre de sa toute-puissance dans cette séquence historique. Occuper la scène est devenu une obsession pour lui. Quitte à flinguer tous ceux qui lui font de l’ombre. À commencer, bien sûr, par Édouard Philippe."

     


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  • Décembre 2019. Wuhan est en proie à un étrange virus qui décime sa population et va bientôt se répandre comme une traînée de poudre sur toute la planète. L'ambassadeur de France à Pékin, Laurent Bili, aurait averti l'Élysée et le Quai d'Orsay dès décembre de l'émergence du coronavirus, selon « Le Canard enchaîné ». Des « informations alarmantes », dont ni Emmanuel Macron ni Jean-Yves Le Drian n'auraient tenu compte. Face à cette révélation, le ministère des Affaires étrangères a confirmé mercredi avoir été informé le 31 décembre de l'apparition du Covid-19 en Chine. Le Quai d'Orsay a toutefois démenti qu'Emmanuel Macron ait été alerté directement par l'ambassadeur de France à Pékin. https://www.lepoint.fr/sante/coronavi...


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  • Covid-19 : l'ambassadeur de France à Pékin a-t-il alerté Macron dès le mois de décembre?

    Selon "Le Canard Enchaîné", le Quai d'Orsay et l'Elysée ont reçu "en décembre" des informations "alarmantes dont ils n'ont tenu aucun compte". Paris dément.

    Le chef de l'Etat était-il au courant de l'apparition d'un nouveau coronavirus dès le mois de décembre ? C'est en tout cas ce que suspecte Le Canard Enchaîné paru mercredi, qui affirme que l'ambassadeur français à Pékin, Laurent Bili, a mis en garde Emmanuel Macron sur la dangerosité du virus dès la fin de l'année 2019.

     

    Selon l'hebdomadaire satirique, le Quai d'Orsay et l'Elysée ont reçu "en décembre" des informations "alarmantes dont ils n'ont tenu aucun compte". Une information que dément le palais Bourbon : cette information est remontée au Quai d'Orsay via le consul de France à Wuhan et en aucun cas le président n'a été directement saisi, relève le ministère des Affaires étrangères.

    Un bilan d'abord loin d'être alarmant

    "Dès que les autorités de Wuhan ont annoncé la nouvelle pneumopathie le 31 décembre 2019, le consul général à Wuhan a alerté, le jour même, le Centre de crise et de soutien du ministère et l'ambassade", à Pékin, précise le Quai. "Plusieurs actualisations de la fiche des Conseils aux voyageurs seront alors effectuées à partir de début janvier", sur la base des informations transmises par le consulat à Wuhan, ajoute le ministère des Affaires étrangères.

    Les autorités chinoises ont fait état le 5 janvier de 59 personnes contaminées, dont sept dans un état grave, poursuit-on au Quai d'Orsay, faisant observer que le bilan est alors loin d'être alarmant. L'ambassade, le consulat et le ministère à Paris ont alors eu des échanges réguliers sur l'évolution de la situation sanitaire à Wuhan, poursuit-on.

    Le 23 janvier, la Chine a fait état de 614 cas de contamination, dont 17 décès, et annoncé la mise de Wuhan sous quarantaine. "Avec le confinement généralisé de la ville de Wuhan le 23 janvier 2020, les opérations de retour des ressortissants français et de leurs ayants droit sont organisées et mises en place dans des délais très rapides, dès le 30 janvier", souligne encore le ministère.

    Plus de 300 personnes ont alors été rapatriées vers la France sur différents vols et placées en quatorzaine dans des centres de vacances en France.

    L'Express

    macron le roi des menteurs !


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  • Brigitte Macron nous coûte énormément d’argent chaque année dans le budget officiel. Mais qu’en est-il du budget non officiel ? Quel est le coût de ses collaborateurs ? Maquilleuse-coiffeuse ? De ses bureaux mis à disposition ? De ses vacances ? Des travaux faits uniquement pour son confort ? Et surtout quel est son rôle qui justifie tout cet argent dépense sur nos sous ? Partagez un max, tout le monde a le droit de savoir.


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  • "Emmanuel Macron a mis beaucoup trop de temps à mesurer l’ampleur et la dangerosité de la pandémie. Il aurait dû prévoir. Nous protéger, acheter des masques, des respirateurs, ouvrir des hôpitaux. C’était son job. Sa mission. Le virus n’était pas imprévisible comme il nous l’a répété. Tout sonne faux. Il était obnubilé par l’idée de laisser une trace dans l’histoire. Il laissera celle du pire président de la Ve République."


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  • Lancé dans une tribune par des supporters Marseillais, Le refrain a gagné tout les rassemblements GILETS JAUNES partout en France. Moi Jojo Le gilet Jaune, j'ai décidé de le mettre en musique. Il sera ainsi plus facile de la diffuser sur des enceintes pendants vos rassemblements afin que nous puissions tous la chanter ensemble. ON LACHE RIEN Nous sommes les gilets Jaunes, nous sommes le peuple


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  • Le président de la République et sa soubrette !

    Si bête avait bien dit qu'elle pouvait mentir pour son chef adoré !


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