• Sujets abordés : le nouveau gouvernement Castex (Dupond-Moretti, Bachelot, Darmanin), les meurtres odieux de la gendarme et du chauffeur de bus de Bayonne, la mutualisation de la dette des pays européens voulue par l'Allemagne.


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  • Marine Le Pen célèbre l'appel du 18 juin sur l'île de Sein


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  • Le Rassemblement national trouve un accord avec son créancier russe


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  • Marine Le Pen au Salon de l'agriculture

    Comme tous les ans, la présidente du Rassemblement national s'est promenée au Salon de l'agriculture 2020 entourée d'une nuée de journalistes.

    Odeur de bouse et boîte à meuh : il est dix heures ce matin quand déboule au Salon de l’agriculture Marine Le Pen, accompagnée de son service d’ordre et la nuée de journalistes de rigueur. Perchistes et cameramen dégagent tout sur leur passage, visiteurs compris, bien étonnés qu’on les maltraite ainsi. Un monsieur en fauteuil roulant est sommé de se pousser. Un autre, bousculé par un photographe excité, tend la guibole : «Je lui ai fait un croc-en-jambe !» La présidente du RN est là pour sa promenade annuelle : elle passe fissa au stand de Idéale, égérie de l’édition, une charolaise bien charpentée qui se préoccupe peu de sa visiteuse de l’instant, ne prend pas la peine de lever ses fesses. Idéale est accompagnée de son petit veau et Marine Le Pen de Jordan Bardella, le vice-président-du-Rassemblement-national-député-européen. Bardella a mis un col roulé. Un couple passant par là ne le reconnaît pas tout de suite : «C’est le petit qui passe tout le temps à la télé ?»

    Séance photo d’une minute dans l’enclos en bois : Leif Blanc, le «monsieur agriculture» du Rassemblement national, un grand type, attrape le photographe maison par le colbac et le dégage de la zone : il est dans l’axe de BFMTV et gâche l’image. Commentaire d’un observateur : «Il est un peu rustre notre Leif, tout en se la jouant gentleman-farmer». Deux femmes à l’accent suisse regardent la meute de loin : «bah je voulais voir qui c’était, j’ai reconnu qui grâce aux cheveux : c’est Marine Le Pen». Oui, et on en pense quoi, en Suisse ? Réponse : «Elle est un peu d’extrême droite.» Deux passants au sujet de l’ex candidate à l’Elysée : «Elle regarde rien, elle avance, c’est tout». Mais elle ne peut rien voir, à cause des journalistes. Un papa traîne sa fille plus loin : «Tous les politicos, ils viennent là pour se montrer». Des petits accourent vers la masse informe : «Il est où Sarkozy, il est où ?» De loin, le bloc est difficilement identifiable, vrai. Vers le stand des Aubrac, un jeune homme s’interroge : «Il doit y avoir une personnalité, là-bas». On lui dit. C’est Marine Le Pen. Sa réaction : «super, pff» Déçu ? «Ouais !». On le retrouve plus tard le téléphone à la main : il a quand même pris une photo ? «Oui, mais c’est pas parce que je l’aime».

    Libération

     


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  • Cette conséquence du Brexit va faire les affaires de Marine Le Pen

    Le départ des députés britanniques va changer l’équilibre des forces au Parlement européen. Au profit du groupe d’extrême droite...

    C’est un petit jeu de chaises musicales dont l’extrême droite européenne va sortir gagnante. En raison du Brexit, qui sera effectif ce vendredi 31 janvier à minuit, le Parlement européen va voir son nombre de députés et son équilibre de forces changer.

    Les 73 sièges laissés vacants par le départ des eurodéputés britanniques vont être répartis ainsi : 27 d’entre eux vont être redistribués parmi quatorze Etats membres, dont la France, selon une clé de répartition visant à corriger des déséquilibres existants dans la représentation des Etats membres, et les 46 autres vont être réservés pour les élargissements futurs à de nouveaux Etats membres de l’Union européenne.

    Or cette redistribution va avoir des conséquences sur l’équilibre des forces entre les groupes parlementaires. Voici ce à quoi ressemblera probablement le nouvel hémicycle :

      Le groupe du Parti populaire européen (EPP) va rester la première force dans l’hémicycle européen en gagnant 5 sièges (il passera de 182 à 187 députés).Le groupe de l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates va conserver la deuxième place mais perdra 6 députés (il passera de 154 à 148 sièges).Le groupe Renew Europe, où siègent les eurodéputés En Marche, restera sur le podium en troisième position bien qu’il reculera de 11 sièges (il passera de 108 à 97 députés).Le grand changement se situe là, à la quatrième place. Le groupe Identité et démocratie de Marine Le Pen gagnera 3 députés (il passera de 73 à 76 sièges), ce qui lui permettra de monter d’une marche, en passant de la cinquième à la quatrième place.Le groupe des Verts, qui occupait jusque-là la quatrième place, sera relégué à la cinquième place en perdant 7 députés (il passera de 74 à 67 sièges).

    C’est donc l’équilibre global du parlement européen qui va être bouleversé. Cela aura forcément des conséquences sur la configuration des coalitions et les résultats des votes à venir. Voilà le petit cadeau explosif que nous auront laissé les Britanniques en claquant la porte derrière eux. Marine Le Pen peut dire merci à son copain Nigel Farage du Brexit Party.

    L'OBS


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  • Ajoutée le 22 janv. 2020

    Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement National et tête de liste aux Européennes, est l'invité politique du Grand Matin Sud Radio.

    Il est bien ce petit Bardella ! yes


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  • Gilets jaunes: Bardella accuse le gouvernement de "laisser les milices d'extrême gauche pourrir le mouvement"

    Jordan Bardella a dénoncé sur Europe 1 l'inaction du gouvernement, qu'il juge "complice" des troubles à l'ordre public survenus ce week-end, pendant "l'anniversaire" du mouvement des gilets jaunes.

    Après de nouvelles violences samedi à Paris, le vice-président du Rassemblement national Jordan Bardella a dénoncé ce lundi l'inaction du gouvernement face à des "milices d'extrême gauche" qui nuiraient, selon lui, au mouvement des gilets jaunes.

    "Le gouvernement est le complice de la situation de désordre absolument inouïe dans les rues de Paris", a-t-il accusé sur Europe 1. Selon lui, "en laissant les casseurs d'extrême gauche venir pourrir les manifestants, le gouvernement entrave le droit de manifester pour des millions de gens qui aimeraient venir dans la rue s'exprimer pour porter cette contestation sociale".

    L'eurodéputé se dit "solidaire" des "vrais gilets jaunes"

    "Il faut dissoudre les organisations d'extrême gauche", a réclamé Jordan Bardella, qui estime que le gouvernement "laisse volontairement des milices d'extrême gauche qui sont parfaitement identifiées par les services de renseignement se constituer en Black Blocs".

    "Les gouvernements précédents ont su le faire lorsqu'il s'agissait de milices d'ultra-droite, sous le gouvernement de François Hollande, ça avait été fait par Manuel Valls", a rappelé l'eurodéputé RN.

    "Je me sens solidaire des revendications (du mouvement), mais des vrais gilets jaunes, ceux qui étaient là depuis le départ, ceux qui ont tenu les ronds-points, pas ceux qui sont jaunes à l'extérieur mais rouges à l'intérieur", a-t-il ajouté.

    Le gouvernement "complice" pour Marine Le Pen

    Dès samedi, Marine Le Pen, la présidente du RN, avait dénoncé sur Twitter le gouvernement qui "a laissé ses idiots utiles, les Black Blocs, tout casser". "Les revendications des 'gilets jaunes' sont ainsi souillées", avait-elle ajouté, ciblant ensuite Christophe Castaner, "incompétent et... complice !"

    Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, a lui aussi critiqué ce lundi sur LCI "une complaisance du gouvernement, un cynisme, une incapacité de faire respecter l'ordre qui est scandaleuse". "L'important, c'est de mettre hors d'état de nuire l'extrême gauche et les casseurs qui déconsidèrent le mouvement social", a-t-il ajouté.

    La porte-parole du gouvernement Sibeth Ndiaye a de son côté déploré ce dimanche que le mouvement des "gilets jaunes" soit depuis plusieurs mois "gangrené par des ultras" de l'extrême gauche.

    BFM.TV

    Vive Bardella, vive Marine !

    Bien sûr que le gouvernement laisse les casseurs faire du tort aux Gilets Jaunes !

    Même Sibête est d'accord (rire)


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  • L'école de Marion Maréchal limoge un historien russe soupçonné de meurtre

    Le célèbre historien russe Oleg Sokolov, soupçonné d'avoir tué une ancienne étudiante, a été démis de ses fonctions de membre du conseil scientifique de l'Issep, l'école fondée par l'ancienne députée Marion Maréchal, a annoncé samedi l'établissement.

     

    "Nous apprenons avec horreur par la presse le crime atroce dont se serait rendu coupable Oleg Sokolov. Etant professeur de la chaire d'histoire moderne à l'université de Saint-Pétersbourg, intervenu comme directeur d'études invité à l'Ecole pratique des hautes études à la Sorbonne, décoré de la Légion d'honneur française, nous n'imaginions pas qu'il puisse commettre cet acte odieux", écrit dans un communiqué l'Institut des sciences sociales économiques et politiques (Issep).

    Ce spécialiste de Napoléon, âgé de 63 ans, a été interpellé samedi matin à Saint-Pétersbourg. Sorti des eaux de la rivière Moïka, il était porteur d'un sac à dos où la police locale a découvert deux bras de femme et un pistolet d'alarme. Selon les médias russes, la police a retrouvé au domicile d'Oleg Sokolov le corps décapité d'Anastassia Echtchenko, 24 ans, qui avait été son étudiante et avait co-signé plusieurs travaux avec lui. L'historien aurait reconnu avoir tué la jeune femme chez lui il y a deux jours, assure le journal local 47news.ru, citant des sources anonymes dans la police.

    Un conseil scientifique composé de figures de l'extrême droite française

    "Nous lui retirons immédiatement sa fonction de membre du conseil scientifique et nous présentons toutes nos condoléances et notre soutien à la famille de la victime", poursuit l'Issep, école dirigée par Marion Maréchal, ancienne députée du Front national et nièce de Marine Le Pen.

    Le conseil scientifique de l'Issep est composé de figures de l'extrême droite française, tels que le fondateur du Parti des forces nouvelles, Pascal Gauchon, l'ex-président d'Alliance royale, Yves-Marie Adeline et l'essayiste conservateur Thibaud Collin. Participe également à cette instance le Britannique Raheem Kassam, cadre du parti pro-Brexit Ukip.

    Europe 1


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  • Pour la Cour de cassation, Laurent Ruquier peut comparer Marine Le Pen à un étron

    Quel face d'abruti !

    Selon l'institution, l'animateur a tout à fait le droit de faire cette comparaison à la télévision, au nom de la liberté d'expression !

    Caricaturer Marine Le Pen en excrément fumant, est-ce commettre le délit d'injure ? La Cour de cassation a rendu ce vendredi son verdict sur la question qui, derrière ses airs cocasses, renfermait un réel débat de droit. L'objet du délit - ou de l'absence de délit, dans ce cas précis - est une caricature de Charlie Hebdo, exhibée un soir de janvier 2012 par Laurent Ruquier sur le plateau de son émission On n'est pas couché, sur France 2.

     

    Le dessin, une fausse affiche de campagne présidentielle, avait paru quelques jours plus tôt dans l'hebdomadaire satirique. Y figurait un étron fumant sur fond tricolore, sous le slogan "Le Pen, la candidate qui vous ressemble". Marine Le Pen n'avait pas attaqué Charlie Hebdo, mais avait poursuivi Laurent Ruquier, en raison de son public bien plus large, pour injure.

    La Cour de cassation a jugé, ce jeudi, que l'animateur avait le droit de comparer la présidente du Rassemblement national à un étron, au nom de la liberté d'expression, cette dernière constituant "l'un des fondements essentiels d'une société démocratique", rappelle la Cour dans son verdict.

    "Pas d'atteinte à la dignité"

    La justice avait d'abord débouté la demande de Marine Le Pen en 2014 puis 2015, avant que la Cour de cassation, en 2016, ne juge que les limites de la liberté d'expression avaient été dépassées, le dessin portant atteinte "à la dignité de la partie civile en l'associant à un excrément", et n'ordonne un troisième procès. En 2017, la cour d'appel l'avait pourtant de nouveau déboutée, reconnaissant "le caractère matériellement injurieux de l'affiche" mais estimant qu'elle ne portait pas atteinte à la dignité de la présidente du parti d'extrême droite.

    Marine Le Pen avait formé un nouveau pourvoi en cassation, renvoyé, en raison de la "résistance" de la cour d'appel, devant la formation la plus solennelle de la haute cour. En dépit du sujet, infiniment plus léger que ceux traités récemment par cette assemblée plénière (Vincent Lambert, GPA à l'étranger...), le débat reste feutré sous la houlette de ces hauts magistrats parés de pourpre, d'hermine et d'un sérieux à toute épreuve.

    L'intention est de "faire rire"

    Pour l'avocat de Marine Le Pen, aucun doute, il fallait condamner. "C'est avant tout de sa personne qu'il s'agit : nous ne sommes plus dans le domaine de la critique mais dans celui de l'insulte la plus grossière", martelait Me Le Griel début octobre. Charlie, "ce n'est pas le genre d'humour de l'honnête homme", et Laurent Ruquier voulait faire rire "aux dépens d'autrui, de sa réputation, de sa considération, de sa dignité", insiste-t-il.

    Au contraire, l'avocat du présentateur, Me François Pinet, estimait alors que la "mise en balance des intérêts en jeu" doit profiter à son client: une personnalité politique caricaturée comme telle, sous une forme "évidemment satirique", dans un contexte de campagne... Pour lui, le critère de "l'atteinte à la dignité" ne peut prévaloir. L'intention est de "faire rire", souligne l'avocat, et ce en exprimant "un jugement de dégoût sur le programme et les idées".

    L'Express

    Ces juges sont vraiment des pourris !

    La liberté d'expression pour ruquier mais pas pour Zemmour !


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  • Marion Maréchal écarte une candidature en 2022

    Dans un message diffusé sur Twitter mardi, l’ancienne députée du Vaucluse a tenu à clarifier qu’elle n’avait «pas l’intention d’être candidate à la présidentielle en 2022.

     

    Le message a le mérite de la clarté, même s’il n’est pas dénué de subtilité. Trois jours seulement après avoir participé à un grand raout conservateur organisé par ses proches - la Convention de la droite - et d’y avoir lancé en guise de conclusion «Nous arriverons au pouvoir», Marion Maréchal s’est fendue, ce mardi matin, d’un tweet semblant fermer définitivement la porte à une candidature présidentielle dans trois ans. «Suite aux spéculations des médias, une clarification: Je me suis associée à une démarche qui me paraît nécessaire: réfléchir, dialoguer, casser les digues partisanes. Pour autant, je n’ai pas l’intention d’être candidate à la présidentielle de 2022.»

    La veille de l’évènement, venant couronner un an de cartes postales et d’interventions de l’ancienne députée du Vaucluse dans le débat public, son entourage confié déjà au Figaro: «La situation n’est pas mûre. Il n’y a aujourd’hui ni débouché, ni intelligence politique à droite.» Des confidences venant confirmer la volonté de Marion Maréchal de revenir à une discrétion comme à une certaine tranquillité, que cette clarification ne manquera pas de lui apporter. Si ses prises de paroles, ces derniers mois, ont confirmé l’appétit des médias comme d’une certaine droite pour son offre politique, cette égérie, presque malgré elle, d’une union à droite sait que son discours peine encore à transcender suffisamment les partis pour se ménager l’espace politique nécessaire à un retour.

    Dans son entourage, on explique que cette clarification n’a finalement pas grand-chose de nouveau. «C’est quelque chose qu’elle aurait pu écrire en 2017. Ce n’est qu’une autre façon de dire, une fois encore, qu’elle ne se présentera pas face à Marine Le Pen en 2022. Peut-être qu’elle sera enfin entendue cette fois et certains fantômes malveillants du Rassemblement national se calmeront enfin», lâche François de Voyer, président du cercle Audace et organisateur de la Convention de la droite de ce week-end. Les doutes quant aux ambitions de Marion Maréchal ont provoqué des échanges peu amènes entre son entourage et celui de sa tante, Marine Le Pen. Au point, qu’aucun élu RN hormis Gilbert Collard ne se déplace ce week-end à la Convention de la droite. «Cette clarification va permettre à Marion d’avoir les mains libres et d’être moins observée, se félicite un autre de ses proches. Elle a dit ne pas avoir l’intention de se présenter. Pas qu’elle ne se présenterait pas si les conditions évoluaient…»

    Le Figaro.f 

    **********

    Christian Jacob à propos de Marion Maréchal : "Quand on a envie de faire de la politique, on n’a pas peur de l’élection"

    LIEN article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/christian-jacob-à-propos-de-marion-maréchal-quand-on-a-envie-de-faire-de-la-politique-on-n-a-pas-peur-de-l-élection/ar-AAI6oQA?ocid=WidgetStore&li=AA4REc

    ************

    Convention de la droite: Édouard Philippe étrille les «discours nauséabonds»

    LIEN article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/politique/convention-de-la-droite-édouard-philippe-étrille-les-discours-nauséabonds/ar-AAI1tAE?ocid=WidgetStore&li=AA4REc


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  • Immigration : pourquoi le député Matthieu Orphelin cède son temps de parole au RN

    L'élu ex-LaREM proche de Nicolas Hulot a expliqué vouloir "éteindre la polémique lancée" par le parti de Marine Le Pen, qui n'était pas censé s'exprimer à l'Assemblée, faute d'avoir un groupe parlementaire.

    Le débat sur l'immigration prévu le 30 septembre à l'Assemblée nationale déchaîne déjà les passions. Le Rassemblement national, faute d'avoir un groupe parlementaire n'était pas censé s'exprimer pendant les discussions. "Comment voulez-vous que le Rassemblement national soit satisfait d'un débat où on lui dit de la fermer", avait lancé mardi 17 septembre le député RN Sébastien Chenu.

     

    Le parti devrait finalement avoir droit à cinq minutes de temps de parole, cédées par le député ex-LaREM Matthieu Orphelin. "Marine Le Pen et le Rassemblement national essayent de lancer une fausse polémique sur le fait qu'ils seraient bâillonnés lors du débat sur l'immigration. Afin de l'éteindre et pour que la voix des plusieurs millions de personnes qui votent pour eux soit entendue, je renonce à mon temps de parole et le laisse au député du RN Ludovic Pajot", a expliqué mercredi Matthieu Orphelin.

    Les élus non-inscrits s'étaient vu attribuer 5 minutes de temps de parole, et c'était au tour de l'ancien député de la majorité d'en bénéficier. "Évidemment, ça ne change rien au fait que je vais m'impliquer sur ce sujet, notamment avec le dépôt d'une proposition de loi pour mieux anticiper les problématiques liées aux déplacements environnementaux et aux réfugiés climatiques", a tenu à préciser ce proche de Nicolas Hulot devant la presse.

    Marine Le Pen les accepte

     

    Jeudi 19 septembre, Marine Le Pen a réagi au geste de Matthieu Orphelin. "Évidemment, je vais les accepter", a-t-elle répondu sur France 2. Néanmoins, selon elle, "cela démontre le problème fondamental de notre démocratie, c'est-à-dire que sur un débat sur l'immigration, le premier parti de France, qui alerte les Français sur le sujet de l'immigration depuis 30 ans sous objectivement les injures et le mépris de l'ensemble de la classe politique, n'avait même pas une seconde de temps de parole".

    RTL


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  • Marine Le Pen veut "réparer la fracture territoriale" et met le cap sur la présidentielle

    La présidente du Rassemblement national a donné son discours de rentrée ce dimanche à Fréjus en mettant le cap sur les municipales et la présidentielle.

    Le Rassemblement national fait aussi sa rentrée. Marine Le Pen était à Fréjus, dans le Var, ce dimanche, pour donner un discours dans lequel elle a appelé à "réparer la fracture territoriale" qui sera, d'après elle, "la grande affaire de la présidentielle".

    "Réparer la fracture territoriale, c'est remettre en oeuvre une grande politique d'aménagement des territoires pour aller vers un rééquilibrage des territoires. Ce sera, j'en ai la conviction, la grande affaire de la prochaine présidentielle", a déclaré devant quelque 1200 militants la présidente du Rassemblement national. Dans un discours, qu'elle a qualifié "d'une certaine aridité" mais "sérieux", elle ne s'est pas appesantie comme l'an dernier sur les questions de sécurité et d'immigration.

    "Démétropolisation" et localisme

    "On ne peut plus continuer à regrouper les activités sur les mêmes territoires en laissant les autres se désertifier", a-t-elle affirmé. Il faut selon elle "une politique de relocalisation d'activités", qu'elle appelle une "démétropolisation" et qui s'inscrit dans le "localisme" qu'elle défend.

    "La démétropolisation, nous la mettrons en oeuvre par des incitations fiscales importantes, en faisant des zones rurales désertées des zones franches, j'ai envie de dire même des zones France", a ajouté Marine Le Pen. La présidente du RN a ainsi suggéré que les employés puissent travailler "dans la verdure" et que l'entreprise puisse profiter "d'un immobilier à meilleur prix et de salariés plus sereins".

    Pour une "union nationale" des droites

    Ce réaménagement du territoire devra s'accompagner d'une "grande politique en faveur des infrastructures" en matière de transport, de couverture numérique ou de facilités d'accueil des entreprises, a-t-elle suggéré. "Cette révolution de la proximité, qui est la pierre angulaire de notre projet, nous conduit à [...] la civilisation écologique", a plaidé la dirigeante d'extrême droite.

    À l'échelon municipal, elle suggère de "descendre le pouvoir vers les citoyens" et de "retrouver, dans les villes aussi, un esprit village", en proposant des "fédérations de quartier, avec des élus délégués à chaque quartier" au lieu des pouvoirs "éloignés" des communautés d'agglomération.

    Vantant le bilan de la dizaine de mairies gagnées en 2014, Marine Le Pen a rappelé les "priorités" à "intégrer" à ces projets municipaux "la sécurité, dont la dégradation s'accélère et se généralise, le refus de toute immigration supplémentaire, le localisme et l'écologie, une gestion rigoureuse et la baisse réelle des impôts".

    Elle a défendu l'idée d'une "union nationale", en accueillant sur les listes des candidats issus de la droite comme de la gauche, plutôt qu'une "union des droites", que préfère sa nièce Marion Maréchal. Enfin, elle n'a pas exclu "des fusions de liste" au second tour de ce scrutin.

    L'Express


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  • En union libre depuis 2009, Marine Le Pen et Louis Aliot ont décidé de poursuivre leur chemin séparément

    C’était, depuis des mois, un secret de Polichinelle au sein du Rassemblement national. A présent, Marine Le Pen et Louis Aliot ne taisent plus leur séparation. Elle a passé l’été en Bretagne et à Mont-de-Marsan ; lui, dans le Midi. Le couple que formaient la présidente du RN et le député des Pyrénées-Orientales depuis 2009 n’est plus que politique.

    « Cela arrive à un mariage sur deux, confirme Louis Aliot à l’Opinion. Il y a encore beaucoup d’affectif entre nous. Politiquement, nous restons sur la même ligne. J’ai toujours été en soutien. Je suis et je resterai toujours mariniste. » Un mot bien choisi. Selon les historiens Nicolas Lebourg et Joseph Beauregard, Aliot était dans l’histoire du Front... le « creuset du marinisme ». Contactée, Marine Le Pen n’a pas souhaité s’exprimer.

    Depuis dix ans, l’un et l’autre avaient toujours distingué sphère publique et vie privée, aidés en cela par la distance entre leurs fiefs électoraux respectifs : 1000 km entre Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais) et Perpignan (Pyrénées-Orientales) ! Ensemble, ils avaient impulsé le travail de « dédiabolisation » du Front national : modernisation du FNJ des années 1990, « purges » des plus radicaux dans les années 2000... En 2011, Marine Le Pen reprenait le parti et Louis Aliot en devenait le vice-président.

    Ni interview sur le modèle de Michel Rocard en 1988, ni dépêche AFP à la manière de Ségolène Royal en 2007. Encore moins un communiqué, comme Nicolas Sarkozy ou François Hollande... Un discret éloignement plutôt qu’une rupture. Depuis janvier, Louis Aliot ne vient plus aux réunions des instances nationales à Nanterre, dont il assume s’être mis « en retrait » pour se consacrer aux municipales à Perpignan. Il est aussi absent des grands-messes frontistes, du lancement de la campagne européenne à la Mutualité au bureau national de La Rochelle cet été. Il ne sera pas non plus à Fréjus pour la rentrée politique, ce week-end, retenu par la Coupe du monde de rugby des parlementaires au Japon.

    L'Opinion

    Marion partie, Philippot parti, maintenant Aliot, Marine est bien seule !


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  • Jordan Bardella n'ira pas manifester contre la PMA, mais Marion Maréchal si

    L'eurodéputé et vice-président du Rassemblement national (RN) Jordan Bardella a indiqué mercredi qu'il n'ira pas manifester contre l'élargissement de la procréation médicalement assistée, contrairement à l'ancienne députée Front national, Marion Maréchal.

     

    "Je n'irai pas manifester car je considère que le débat doit avoir lieu à l'Assemblée nationale", a indiqué Jordan Bardella sur France Inter en précisant qu'il "ne voterai[t] pas pour la PMA" s'il était député. S'exprimerait-il donc contre, ou s'abstiendrait-il ? "Nous allons probablement amender le texte et proposer un certain nombre d'amendements", a-t-il répondu, estimant qu'"on ne peut pas voter ce texte pour la PMA".

    Mardi sur BFMTV il s'était dit "opposé" au projet de loi, tout en précisant à propos de la manifestation contre la PMA du 6 octobre : "On laisse la liberté à ceux qui souhaitent s'y rendre de s'y rendre".

    Si le désir d'enfants de couples homosexuels "peut s'entendre et être parfaitement légitime", "la loi n'est pas un outil qui permet de combler les désirs illimités des uns et des autres", a-t-il estimé mardi.

    Une "injonction stupide à 'être moderne'"

    L'ancienne députée Front national [l'ancien nom du RN] Marion Maréchal, qui avait manifesté contre le mariage pour tous en 2013, compte, elle, manifester contre la PMA, a-t-elle dit au Figaro, même si elle n'est "pas très optimiste sur le résultat".

     

    La nièce de Marine Le Pen critique "cette injonction stupide à 'être moderne', qui évite à celui qui s'en prévaut de réfléchir", le fait que le désir d'enfants de couples homosexuels "excuse toutes les pratiques et doit être satisfait à tout prix", et des associations LGBT qui "militent d'ores et déjà pour [le] pendant [de la PMA] : la légalisation des mères porteuses pour les couples d'hommes".

    Pour Jordan Bardella, le rappel la veille par la ministre de la Justice Nicole Belloubet de "l'interdit absolu" de la GPA en France est "un mensonge". Interrogé pour savoir s'il fallait revenir sur le mariage pour tous, il a dit ne pas le penser "à titre personnel". "Nous verrons en 2022", a-t-il ajouté, tout en notant qu'"une majorité de Français d'après les études d'opinion considèrent que le mariage pour tous est désormais un acquis".

    L'Express

    Bardella n'ira pas à la manifestation mais il est bien contre la PMA !


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  • Côtes-d'Armor : une permanence du Rassemblement national dégradée

    Une nouvelle permanence a été dégradée ce lundi. Cette fois-ci, le local est situé à Saint-Brieuc (Côtes-d'Armor) et appartient au Rassemblement national (RN), et non à La République en marche (LREM). Des insultes comme "FN caca du cul" ont été retrouvées sur le rideau de fermeture, et les vitres du bâtiment ont été cassées, rapporte Ouest-France. D'autres inscriptions, telles "FI" (acronyme de France insoumise) ou "antifa" semblent indiquer la provenance des tags.

     

    "C'est le sixième fait de vandalisme depuis que la permanence existe, c'est-à-dire depuis six ans, et le troisième cette année", s'indigne auprès du quotidien régional Odile de Mellon, déléguée départementale du RN dans le département. "J'ai déjà porté plainte auprès de la gendarmerie pour des faits similaires en juillet. Cela n'a rien donné", assure aussi cette dernière.

    Des dégradations en hausse

    Ces dernières semaines, une quinzaine de permanences de députés LREM ont été dégradées, notamment par des agriculteurs et des gilets jaunes, à la suite de la ratification du Ceta, le traité de libre-échange controversé entre l'Union européenne et le Canada. Un rythme inédit sous la Ve République.

    Jean Messiha, membre du bureau national du RN, s'indigne d'ailleurs sur Twitter du peu de relais dont bénéficie selon lui la dégradation visant la permanence du RN, comparé à celles touchant les locaux de la majorité. "BFMTV, TF1, CNews, LCI... Qu'attendez-vous pour y consacrer des heures d'antenne ?", écrit ce dernier.

    Les inscriptions devraient être enlevées lundi soir par les services de la Ville, indique Ouest-France.

    L'Express

    Bien sûr, une permanence RN dégradée, ce n'est rien, seuls comptent celles de LREM !!!


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  • Le RN s’oppose à la PMA pour toutes, mais pas Jean-Marie Le Pen

    « À titre personnel, je n’y suis pas opposé », répond Jean-Marie Le Pen lorsqu’on l’interroge sur l’extension de la PMA à toutes les femmes, projet présenté en conseil des ministres de 24 juillet.

     Nous serons évidemment opposés à la PMA et à la GPA. » L’eurodéputé Jordan Bardella a rappelé ce mercredi 24 juillet sur LCI l’opposition du Rassemblement national à l’extension de la procréation médicalement assistée à toutes les femmes, projet qui doit être présenté en conseil des ministres ce jour.

     

    « L’intérêt de l’enfant lorsque l’enfant grandit, c’est de connaître à la fois son père et sa mère et la PMA remettrait en cause ce droit », assure-t-il. « Est-ce qu’on l’élargit à tous et toutes, sachant que cela ouvrirait la porte derrière mécaniquement à la gestation pour autrui », croit-il aussi savoir, demandant un référendum :

    « Des questions aussi essentielles que la PMA et la GPA doivent être soumises à référendum parce que ça permettrait le débat et je pense que c’est la manière la plus juste de considérer si oui ou non, les Français estiment que c’est une avancée ou non. »PMA pour toutes !

    « Je préfère la méthode traditionnelle »

    Jean-Marie Le Pen, ex-président du Front national (l’ex RN), dont il n’est plus président d’honneur, et qui n’est plus député européen depuis le 1er juillet, s’est dit lui « à titre personnel (…) à pas opposé » à l’extension de la PMA. Interrogé sur le sujet par le « Figaro », il estime toutefois qu’il « ne s’agit pas d’un combat fondamental ».

    Celui qui s’était opposé au mariage pour tous se félicite d’une décision qu’il voit comme étant en faveur de la natalité :

    « Je suis pour les enfants. Je préfère la méthode traditionnelle. Mais après tout… Je préfère un enfant sans père que pas d’enfant du tout. »

    « Nous devons nous défendre contre l’invasion migratoire, qui tient avant tout à une différence de dynamique démographique considérable entre le continent boréal et le reste du monde », argumente-t-il.

     

    Examen à l’Assemblée à la rentrée

    La première grande réforme sociétale du quinquennat Macron, l’extension de la PMA à toutes les femmes, est présentée en conseil des ministres mercredi avant son examen à l’Assemblée à la rentrée.

    L’ouverture de la procréation médicalement assistée aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires est la mesure phare du projet de loi de bioéthique, destiné à réviser la loi de 2011.

    L'OBS


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  •  

    Marion Maréchal et des gilets jaunes en vedette à l'université d'été du Medef - Hélas NON !!!

    Premier article :

    L'organisation patronale a convié l'ex-députée FN - une première - à son traditionnel rendez-vous estival.

    Suite à ces révélations de L'Express, au moins trois députés LREM ont décidé d'annuler leur présence à l'événement du Medef. Il s'agit d'Olivia Grégoire, et Coralie Dubost, selon un journaliste de LCI. Sur Twitter, le député Roland Lescure annonce son intention de faire de même.

     

    Polémiques en vue ? Le Medef a convié Marion Maréchal à son université d'été, qui se tient fin août à Longchamp. L'ex-députée FN a donné un accord de principe. Son entourage précise qu'elle attend de connaître "les modalités" de sa participation avant de donner une réponse définitive. Elle devrait débattre lors une table ronde en séance plénière le 28 août, intitulée "La grande peur des mal pensants, pourquoi les populistes sont populaires", selon un document confidentiel obtenu par L'Express. À ses côtés, le Medef attend la présence, notamment, de la philosophe Monique Canto-Sperber et de Bernard Tapie. 

    Un tabou tombe

    C'est la première fois qu'une personnalité issue de l'extrême droite est invitée à cet événement annuel. Par le passé, l'organisation patronale a entretenu une digue face à ce courant politique. Laurence Parisot avait rédigé un livre pour marquer son opposition au parti de Marine Le Pen et dénoncer son programme. De son côté, Marion Maréchal, nièce de la patronne du RN, a multiplié les sorties médiatiques ces dernières semaines en appelant ce parti et LR à se rapprocher via une plateforme commune.

    Le président du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux, assume la mise en scène de débats qu'il souhaite vifs. D'autres personnalités de droite conservatrice ou radicale devraient s'exprimer lors de cette université d'été, rebaptisée "Rencontre des entrepreneurs de France". Sont attendus le député européen LR François-Xavier Bellamy et la présidente de la Manif pour tous Ludivine de La Rochère. Par recherche d'équilibre, le Medef a sollicité des personnalités venant de tout le spectre politique, jusqu'à La France Insoumise, et des membres du gouvernement - ce qui est plus classique.

    Des gilets jaunes sur scène

    Plus surprenant, des figures des gilets jaunes ont également été conviées. Jacline Mouraud sera sur scène avec la ministre des Territoires Jacqueline Gourault, pour évoquer la France périphérique. "Je vais avoir beaucoup de choses à lui dire, j'ai hâte !", se réjouit l'égérie des ronds-points. Priscillia Ludosky, pour sa part, débattra des inégalités fiscales en compagnie de Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et de Patrick Pouyanné, le PDG de Total. Ces noms restent à confirmer. Mais l'attraction paraît déjà assurée.

    L'Express

      ********************************************************

    Second article :

    Le Medef annule le débat controversé prévu avec Marion Maréchal lors de son université d'été ! 

    L'ancienne députée Rassemblement national avait été "sollicitée" par le Medef pour participer à un débat sur la "montée du populisme" lors de son université d'été.

    Marion Maréchal ne participera pas à l'université d'été du Medef. "Sollicitée" pour participer à un débat sur le populisme, cette invitation avait créé des remous depuis son annonce jeudi. Le patron du Medef, Geoffroy Roux de Bézieux a finalement décidé d'annuler le débat, ce vendredi. 

    "Vue l’interprétation politique qui est faite du projet de débat sur la montée des populismes, j’ai décidé de le supprimer purement et simplement. Il n’y aura donc ni intervenants RN ni intervenants LFI  à LA RÉF  dont le programme sera arrété fin juillet", a indiqué sur Twitter le président du Medef. 

    BFM.TV

     

    Donc, le Medef, sous influence, a suivi macron et sa clique.

    On est plus en démocratie mais en dictature !


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  • Jordan Bardella officiellement promu 2e vice-président du Rassemblement national

    Après sa victoire aux élections européennes, la tête de liste du Rassemblement national prend du galon au sein du parti.

    Deuxième vice-président et membre du bureau exécutif. Le conseil national du Rassemblement national réuni ce week-end à La Rochelle a accordé une double promotion à Jordan Bardella.

    A l’occasion d’un vote des 120 membres du parlement du parti, le jeune homme de 23 ans, qui a conduit avec succès la liste du Rassemblement national aux élections européennes, a été élu ce dimanche au poste de vice-président ainsi qu’au bureau exécutif (direction du parti), a indiqué le maire de Fréjus (Var) et membre du bureau exécutif, David Rachline, en marge de cette réunion.

    « Immense talent »

    « Le mouvement souhaite que [Jordan Bardella] s’investisse et prenne des responsabilités (…) au regard de l’immense talent qui est le sien, et on l’a vu pendant la campagne européenne, au regard de son énergie, de son enthousiasme et de sa jeunesse », a fait valoir le maire de la plus grande ville tenue par le RN, qui compte 53.000 habitants.

    Le vice-président du RN Steeve Briois, maire d’Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), devient 1er vice-président du parti.

    Coup d’envoi de la campagne des municipales

    La réunion du CN a pour objet de lancer la campagne du RN en vue des élections municipales de mars 2020, où le parti compte renforcer son implantation dans le but de remporter des départements et des régions l’année suivante.

    La liste du RN est arrivée en tête du scrutin européen du 26 mai avec 23,34 % des voix, devant la liste du parti majoritaire La République en marche (22,42 %). Le RN a engrangé près de 560.000 voix de plus qu’en 2014, où il avait récolté 24,86 % des voix.

    20 Minutes

    Il est bien ce petit Jordan !


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