• Ce dimanche 10 avril 2022, une jeune femme de 25 ans, enceinte de 5 mois, est morte électrocutée dans sa baignoire à cause de son téléphone portable. Son compagnon l'a retrouvée inerte dans la salle de bains.

    Ce dimanche 10 avril 2022, une femme enceinte de 5 mois est morte alors qu’elle prenait son bain. Selon les informations des forces de l’ordre transmises à nos confrères du Journal du Centre, son téléphone portable serait à l’origine de son décès. La future maman aurait été électrocutée par l’appareil. Au moment des faits, la jeune femme, alors âgée de 25 ans, était seule à son domicile. Son compagnon, en effet, se trouvait au bureau de vote de sa commune pour le premier tour de l’élection présidentielle 2022. Ce n’est qu’une fois rentré chez lui, aux alentours de 22 h 30, que ce dernier a découvert le corps sans vie de sa compagne.

    Sous le choc, le jeune homme a immédiatement contacté les secours. Malheureusement, les sapeurs-pompiers d’Entrains-sur-Nohain et de Donzy ainsi qu’une équipe du SAMU n’ont rien pu faire. Les militaires de la gendarmerie de Cosne-sur-Loire ont ouvert une enquête afin de déterminer les causes exactes du décès et, d’après leurs analyses, le téléphone portable de la jeune femme serait à l’origine du drame. Celui-ci serait accidentellement tombé dans l’eau alors qu’il était branché à une prise électrique à proximité de la baignoire. « Ce genre de tragique accident est vraiment très rare. De mémoire de gendarme, cela n’était pas arrivé chez nous depuis de nombreuses années », a déclaré le capitaine Stéphane Landry, de la gendarmerie de Cosne-sur-Loire. Des propos rapportés par Le Figaro.

    Chaque année, une quarantaine de décès par électrocution sont à déplorer selon l’Observatoire national de la Sécurité électrique (ONSE). En outre, près de 3000 électrisations (passage d’un courant électrique dans le corps, provoquant des blessures plus ou moins graves, ndlr) sont aussi recensées.

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  • « Je suis épuisé » : en Finistère, son magasin est cambriolé pour la douzième fois

    Cyril Bellec devant ses étagères vides.

    Le magasin Bellec motoculture à Ergué-Gabéric près de Quimper (Finistère) a été victime d’un cambriolage dans la nuit du dimanche 10 avril au lundi 11 avril 2022. Les cambrioleurs sont repartis avec une dizaine de tronçonneuses.

    « C’est le douzième cambriolage que je subis depuis que j’ai repris le magasin en 2007. Je suis épuisé. » Cyril Bellec, le propriétaire du magasin Bellec motoculture, à Ergué-Gabéric, près de Quimper (Finistère), a les traits tirés. Il a peu dormi. La boutique, créée en 1986 par son père, a une nouvelle fois été victime d’un cambriolage dans la nuit du dimanche 10 avril au lundi 11 avril 2022. Les malfaiteurs se sont introduits dans la boutique en cassant la vitrine à l’aide d’une masse. Ils sont repartis en emportant une dizaine de tronçonneuses.

    « Ils ont cassé le portail et brisé la vitrine »

    « J’ai été prévenu dimanche par le système de surveillance basé à Montpellier. J’ai tout de suite regardé mon téléphone, j’ai vu que le système de brouillard anti-cambriolage s’était activé. Je leur ai dit d’appeler la police. » Les forces de l’ordre sont arrivées rapidement, mais les voleurs étaient déjà partis. « Ils ont cassé le portail et brisé la vitrine avec une masse. Sur mes caméras, on voit deux hommes masqués et cagoulés. Les tronçonneuses étaient attachées par un câble de sécurité. Ils ont tiré dessus pour les emporter. Tout s’est passé en quatre minutes. »

    Une enquête ouverte

    Le commerçant a déjà subi une douzaine de cambriolages de tronçonneuses depuis sa reprise du magasin. Les deux derniers datent du 11 mai 2020 et du 24 décembre 2021. « Mais la dernière fois, ils avaient emporté seize tronçonneuses professionnelles. » Le magasin est pourtant équipé d’un important dispositif de sécurité : caméras extérieures et intérieures, sonde de porte, brouillard anti-effraction etc. Une enquête de police est ouverte.

    Ouest-France


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  • Le bus est immatriculé en France mais la police n'était pas en mesure de confirmer immédiatement que les victimes, toutes à bord du car, étaient françaises

    Deux personnes sont mortes et cinq sont dans un état critique ce dimanche après un accident de car de tourisme français de BlaBlaCar survenu sur une autoroute dans le nord de la Belgique, ont indiqué la police fédérale belge Sandra Eyschen et les autorités locales. Vingt-deux autres passagers ont été blessés plus légèrement, selon la police.

    Le bus est immatriculé en France, mais la police n'était pas en mesure de confirmer immédiatement que les victimes, toutes à bord du car, étaient françaises, a indiqué la porte-parole de la police fédérale belge Sandra Eyschen.

    Les circonstances ne sont pas connues

    L'accident s'est produit à la mi-journée dans la province d'Anvers à hauteur de la localité de Schoten, et dont les circonstances ne sont pas connues, selon la même source. La section de l'autoroute où s'est produit l'accident, en direction de Bréda (Pays-Bas), a été fermée à la circulation. Le car rouge de BlaBlaCar est couché sur le flanc, pare-brise brisé, selon les photos de l'accident au cours duquel il aurait dévié de sa trajectoire et percuté le rail en béton bordant l'autoroute.

    Le chauffeur du car français a été interpellé à la suite d'un test positif aux stupéfiants, selon le parquet d'Anvers, cité par Belga. L'homme de 35 ans, qui a subi un test salivaire, est de nationalité française, selon la même source.

    20 Minutes


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  • Des enfants ont découvert de la mort-aux-rats dans la cour de leur école maternelle à Nice (Alpes-Maritimes), jeudi 7 avril 2022.

    Les pompiers ont rapidement été alertés. Aucun des écoliers n’aurait été intoxiqué. Une enquête a été diligentée par la Ville afin de comprendre la présence de ce produit très toxique dans une cour d’école.

    En jouant dans la cour de l'école maternelle de la Digue des Français à Nice (Alpes-Maritimes), douze enfants ont déterré de la mort-aux-rats jeudi 7 avril 2022, rapporte Nice-Matin.

    Le personnel de service de la cantine de l’établissement a appelé les pompiers, qui sont intervenus sur place avec une ambulance, un officier et un médecin-pompier.

    Aucune intoxication

    La mort-aux-rats est un produit hautement toxique, voire potentiellement mortel. Finalement, aucun enfant n'aurait présenté de symptômes d’intoxication selon le rectorat, ce qui semble avoir été confirmé par un communiqué du centre antipoison.

    Le médecin, l’inspectrice de la circonscription et la directrice de l’école ont ensuite veillé sur les enfants toute l'après-midi et un protocole de surveillance sur 24 heures a été établi, précisent nos confrères.

    Les parents ont quant à eux été informés de l'incident à la sortie de l’école. De son côté, la mairie a indiqué par communiqué avoir diligenté « une enquête de l’inspection générale des services » afin de mieux comprendre les raisons de la présence d’un tel produit dans le sol d'une cour d’école maternelle.

    Ouest-France


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  • Gers : Un homme de 42 ans mis en examen pour actes de barbarie sur 29 enfants

    Viols, tortures, séquestration... Une maison de l'horreur découverte dans le Gers. Un homme de 42 ans est accusé d'avoir commis de multiples sévices sur plus de 20 enfants...

    Qui aurait pu imaginer que cette imposante demeure située près de l’aérodrome de Nogaro, dans le Gers, était le théâtre d’actes immondes… Une maison d’apparence normale qui abritait pourtant un véritable monstre. Depuis des années, un homme âgé de 42 ans se livre à des pratiques abjectes d’une extrême violence. Il aurait notamment commis des viols sur mineurs de 15 ans avec actes de barbarie, rapporte La Dépêche.

    D’après les informations de nos confrères, le suspect aurait d’abord fait venir une femme qui aurait ensuite été rejointe par ses quatre sœurs. Ces dernières sont toutes de nationalité française et ont entre 32 et 42 ans. Alors qu’ils vivaient tous ensemble, se livrant à des pratiques sexuelles consenties, les enfants des « amantes » sont également venus s’ajouter à ce noyau inhabituel avant que l’une des femmes ne prenne la décision de fuir cet enfer.

    La raison ? Elle aurait été témoin de nombreux actes insoutenables, à commencer par des viols, mais aussi des violences volontaires et de la séquestration. Selon ses dires, les enfants auraient été « victimes de sévices sexuels, ceinturés avec du câble ou encore frappés par les adultes et les enfants les plus âgés », explique La Dépêche.

    Pendant ces années de sévices, les jeunes étaient tous scolarisés à l’école primaire et au collège de Nogaro. C’est en tout cas ce qu’affirme Christian Peyret, maire de la commune. D’après une surveillante de l’école, il s’agissait d’« enfants très réservés ». Loin de se mêler aux autres, ils préféraient rester soudés. « Quand on leur demandait s’ils étaient frères et sœurs, ils ne savaient pas nous répondre », raconte-t-elle à nos confrères.

    29 victimes à déplorer

    Ce jeudi 7 avril 2022, trois des cinq femmes auraient alors été placées sous contrôle judiciaire et mises en examen pour « violences volontaires et non dénonciation de crimes ». De son côté, le quarantenaire, converti à l’Islam radical selon La Dépêche, aurait été placé en garde à vue en début de semaine puis mis en examen pour « viols sur mineurs » avant d’être placé en détention provisoire. 29 victimes sont à déplorer dont 26 mineurs et 3 jeunes majeurs.

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  • Une autopsie va être pratiquée pour confirmer l’identité de la victime et connaître les causes du décès

    Aux Etats-Unis, un homme a vécu pendant quatre ans avec le cadavre de son fils. Mardi 29 mars, cet Américain de 67 ans vivant à New Boston, près de Dallas, a été arrêté par la police, rapporte NBC News.

    Les forces de l’ordre ont débarqué chez le sexagénaire alors qu’elles avaient été alertées par téléphone des difficultés financières qu’il rencontrait. Quand les policiers ont demandé à l’homme s’il savait pourquoi ils étaient là, il a répondu que c’était à cause du corps qu’il avait dans sa cuisine.

    Le corps autopsié

    Les agents y ont en effet découvert le squelette d’une personne. Le suspect a expliqué qu’il s’agissait de son fils, mort en 2018. Les restes du corps doivent être analysés afin de confirmer l’identité de la victime.

    L’autopsie va également permettre de déterminer la cause du décès. On ignore s’il s’agit d’un acte criminel ou si la victime est morte naturellement ou d’une maladie. Le père a été incarcéré.

    20 Minutes


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  • Gravement touchées, les victimes ont été hospitalisées à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) puis transférées à Bordeaux (Gironde)

    Une jeune femme et sa mère, âgées de 28 et 64 ans, ont été hospitalisées après avoir été lourdement blessées à l’arme blanche ce vendredi soir dans un appartement de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques). Dans un état grave, les victimes ont été initialement prises en charge dans un hôpital de la ville, rapporte Sud Ouest. Elles ont ensuite été transférées à Bordeaux (Gironde).

    Interpellation et garde à vue

    Une enquête de police pour tentative d’assassinat a été diligentée. Un trentenaire suspecté d’être l’agresseur a été arrêté le lendemain des faits et placé en garde à vue. Il devait être présenté au procureur de la République avant sa mise en examen par un juge d’instruction ce lundi.

    Visé par une obligation de quitter le territoire, il aurait été hébergé par les deux victimes mais avait pris la fuite. A la suite d’une dispute, il aurait quitté le logement pour acheter un couteau avant de revenir dans l’appartement.

    20 Minutes


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  • Pourquoi Vincent Person a-t-il commis l’irréparable le 24 juin 2022 à Plounéventer (Finistère) ? Celui qui a tué son fils de trois ans avant d’essayer de se suicider a expliqué qu’il « ne voulait pas l’abandonner ». L’avocat général a réclamé la perpétuité, ce vendredi 1er avril 2022, aux assises à Quimper. L’accusé a été condamné à 28 ans de réclusion criminelle.

    « Pourquoi avez-vous fait ça ? Pourquoi ce désespoir ce soir-là ? » questionne la présidente Claire Fouquet-Lapart, vendredi 1er avril 2022, aux assises du Finistère, à Quimper. « Sa mère ne répondait plus. Ça tournait dans ma tête. Elle n’en avait rien à faire de nous ! J’étais en colère. J’étais triste », lâche celui qui a tué son fils, Thibaut, 3 ans, de quatre coups de couteau a la gorge, quatre plaies profondes, le 24 juin 2019, à Plounéventer.

    « Je n’en pouvais plus de cette situation, c’était trop. Ça me rongeait, j’étais submergé, continue l’accusé de 28 ans. C’est venu d’un coup. J’ai pris le couteau. »

    « Il est parti tout seul »

    « Mais pourquoi ? », insiste la présidente. « Je ne pouvais pas me suicider et le laisser tout seul. Je ne pouvais pas l’abandonner. À la base, je voulais mourir, répond Vincent Person. Je ne voyais rien d’autre… »

    « Mais vous n’êtes pas mort, reprend Claire Fouquet-Lapart. Seul Thibaut est mort. » « Oui. Je l’ai abandonné au final. Il est parti tout seul… »

    Entre le rapport d’autopsie et le passage en revue des relations entre les deux parents, le deuxième jour du procès, ce vendredi 1er avril au tribunal de Quimper, est tout aussi éprouvant que la veille, après les témoignages déchirants des grands-parents : « Il nous a enlevé Thibaut, notre seul petit-fils, a lancé, en larmes, la mère de l’accusé. C’est très compliqué d’être à la fois la mère et la grand-mère. »

    L’avocat général reprend des questions posées lors de l’instruction : « Ça ne vous préoccupait pas que l’enfant soit en train d’agoniser ? Qu’il continue à souffrir ? », demande Romain Liverato à l’accusé. « Non. Je ne pensais à rien à ce moment-là. Je suis resté avec lui. Je suis parti quand j’ai vu qu’il ne bougeait plus… »

    La présidente revient au contexte d’avant le drame, à la séparation. Elle évoque les cinq plaintes pour harcèlement, les 2 400 SMS envoyés en trois mois à son ex : « L’appeler 400 fois en un soir ? Vraiment ? » « J’ai fait exprès. C’était une gaminerie ça, répond l’accusé. Ça ne sert à rien qu’ils me jugent pour une si petite connerie… »

    En détention provisoire, Vincent Person a continué à éprouver de la haine envers la mère de son enfant. « Regarde où on est à cause de toi. Il serait encore en vie si tu m’avais répondu ! » lui a-t-il écrit dans un courrier saisi par le juge : « J’ai tout perdu : ma famille, ma femme, mon fils, mes amis. Tu m’as tout donné, tu m’as tout repris. »

    Il assure que désormais « ça va mieux » : en travaillant sur lui-même avec la psychologue, il a « pris de la distance » vis-à-vis de son ex : « Tout ça, c’était en 2019 » , assure l’accusé qui se décrivait alors comme « jaloux, possessif, feignant et même macho ».

    « Il me manque hein ! »

    « Vous voulez dire quelque chose ? » demande la présidente. « Oui. À la maman de Thibaut et à sa grand-mère aussi », commence l’accusé : « Je suis désolé. » Elles éclatent en sanglots. Il rajoute : « Et aussi à papa et maman. » En larmes, il lance à son ex qui quitte en pleurant la salle : « Il me manque, hein ! »

    L’avocate de la mère et de la grand-mère de Thibaut qui « aurait eu 6 ans le 30 mars », remarque : « Pour la première fois, Vincent Person a montré des remords, note maître Anne Chanteux-Caron. Mais elles, elles souffrent à perpétuité. Ça a créé un gouffre dans leur vie. Un fantôme en permanence. Thibaut manque à l’appel pour toujours. »

    L’avocat général monte à la charge : « C’est une réalité affreuse à laquelle on doit faire face. Tuer un enfant, c’est tuer l’avenir, l’innocence, commence Romain Liverato. Le père s’est montré l’inverse de la figure de protection. À aucun moment, il ne se dit : “J’arrête !” »

    L’avocat général pointe la dangerosité de l’accusé, son manque d’empathie, sans oublier les nouvelles infractions commises en détention. Des possessions de téléphone, en majorité : « Il n’est pas capable de respecter la loi ni la vie humaine. Il n’a pas évolué. »

    « Ce n’est pas un monstre »

    Roman Liverato réclame la réclusion criminelle à perpétuité, avec une période de sûreté « portée à son maximum de 22 ans ». L’avocat de la défense, maître Le Mintier, bondit : « La perpétuité ? Mon Dieu ! La perpétuité, c’est Michel Fourniret, c’est Guy Georges, c’est la noirceur, les sociopathes ! »

    L’avocat de la défense rappelle que son client souffre de trouble de déficit de l’attention, de trouble de l’humeur, et d’hyperactivité. Qui « peuvent expliquer son altération du discernement, son instabilité, son sentiment d’abandon, sa dépression » : « I l s’est résigné à vivre avec la mort de son fils sur la conscience. Avec les remords et les regrets, conclut Jean-Guillaume Le Mintier. Une peine doit avoir une lueur d’espoir. Il a commis un acte monstrueux mais ce n’est pas un monstre. » Vincent Person est condamné à 28 ans de réclusion criminelle.

    Ouest-France


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  • Un jeune homme a trouvé la mort jeudi dans le métro de Marseille, après avoir chuté sur les voies depuis l'attelage entre deux voitures d'une rame, une pratique appelée "train surfing", a annoncé vendredi la régie des transports métropolitains.

    La victime a été retrouvée "sans vie sur la voie, jeudi vers 09h15, au niveau de la station de La Blancarde", au centre-est de Marseille, a indiqué la RTM dans un communiqué.

    "Il semblerait que le jeune homme ait voyagé entre les stations Timone et Blancarde", voisines sur la ligne 1 du métro marseillais, "non pas à l'intérieur de la rame mais juché sur un attelage, le système d'accrochage entre les voitures d'une même rame", explique la régie du métro marseillais, qui va mettre des enregistrements vidéos à la disposition des enquêteurs pour confirmer les circonstances de l'accident.

    La régie des transports métropolitains rappelle dans son communiqué la stricte interdiction de cette pratique "particulièrement dangereuse, tout comme celle consistant à se hisser sur le toit de rames en circulation".

    "Des affichages dans toutes les stations et dans les rames ainsi que des marquages au sol attirent l'attention sur le risque de telles pratiques afin de dissuader tous ceux qui voudraient se déplacer autrement qu'à l'intérieur de la rame", indique la RTM.

    Elle assure que "le nouveau métro de Marseille (projet NEOMMA) limitera le risque de ces pratiques dangereuses" grâce à "l'installation de portes palières et de rames d'un seul tenant".

    La France a déjà connu quelques accidents liés au "train-surfing". Cette pratique, venue de Russie, consiste à courir sur les toits des trains de banlieue en marche et à se filmer pour poster la vidéo sur les réseaux sociaux.

    AFP


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  • Deux enfants de 4 et 8 ans décèdent dans un violent incendie d’immeuble à Cherbourg

    Un violent incendie s’est déclaré, ce samedi 2 avril 2022, dans un appartement de La Glacerie, à Cherbourg (Manche). Le bilan est très lourd : les deux enfants de la famille, âgés de 4 et 8 ans, n’ont pas survécu. Une cinquantaine de pompiers est intervenue sur place. Le quartier a été bouclé et l’électricité coupée.

    Peu après 7 h 30, ce samedi 2 avril 2022, un violent incendie s’est déclaré dans un petit immeuble de la rue des Eaux-Minérales, dans la commune déléguée de la Glacerie, à Cherbourg (Manche).

    Une cinquantaine de pompiers, renforcés par les marins-pompiers, sont arrivés sur les lieux : la toiture était alors déjà totalement embrasée.

    Les flammes se seraient déclarées dans l’appartement d’une famille de quatre personnes, au premier étage. Les pompiers sont parvenus à maîtriser le feu aux alentours de 10 h.

    Mais le bilan est très lourd : l’un des deux garçons, âgé de 4 ans, pris en charge alors qu’il était en arrêt cardio-respiratoire, n’a pas pu être réanimé par le médecin du Smur (structure mobile d’urgence et de réanimation). Le deuxième, âgé de 8 ans quant à lui, a été retrouvé sans vie, dans l’appartement. Les deux parents (la maman de 32 ans et le père de 34 ans) ont été transportés en état de choc au centre hospitalier public du Cotentin.

    Le quartier est resté bouclé et l’électricité a été coupée durant la matinée pour faciliter l’intervention des secours.

    Des foyers résiduels de feu

    Des foyers résiduels d’incendie persistaient ce midi. Les pompiers étaient alors toujours en intervention pour les traiter. Ils devraient rester sur place une bonne partie de la journée.

    La toiture de l’immeuble n’a pas pu être sauvée. Elle a été totalement ravagée par les flammes.

    Les premières réactions

    Ce samedi matin, le drame a fait réagir sur les réseaux sociaux. De nombreux internautes se disent choqués et transmettent leurs condoléances.

    La députée de la Manche, et conseillère municipale de Cherbourg, Sonia Krimi affiche son soutien aux familles sur son compte Twitter.

    Ouest-France


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  • Les 530 kg de résine cannabis étaient conditionnés en paquets de 100 grammes, et entreposés dans des valises, cartons et sacs de sport

    La saisie représente une valeur marchande de plus de 4 millions d’euros. Lors d’une banale opération de Sécurité routière, menée le 23 mars dernier à la jonction des autoroutes A7 et A8 près de Marseille, les gendarmes du peloton autoroute de Salon-de-Provence contrôlent un automobiliste téléphonant au volant.

    En s’approchant du véhicule, le conducteur a une « attitude suspecte » laissant présumer qu’il cache quelque chose, poursuit la gendarmerie dans un communiqué. Une odeur de cannabis se dégage aussi de l’habitacle de la camionnette. Il n’en faut pas plus aux militaires pour poursuivre les investigations et tomber sur 530 kg de résine de cannabis conditionnés en paquets de 100 grammes, et entreposés dans des valises, cartons et sacs de sport.

    A l’issue de sa garde à vue, l’homme a été mis en examen et placé en détention provisoire à la maison d’arrêt de Luynes, à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône).

    20 Minutes


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  • L’Etat du Michoacán, au Mexique, s’enfonce toujours plus loin dans une spirale de violences. Dimanche soir, ce sont 19 personnes qui ont été tuées lors d’une fusillade dans cet Etat du centre du pays ravagé par la violence des bandes criminelles. Une victime est décédée lors de son transfert vers un centre de soin, «ce qui porte à 20 le nombre de personnes mortes lors de cette agression», a indiqué le parquet de l’Etat du Michoacan, un Etat pris comme bien d’autres dans la guerre entre groupes rivaux du narcotrafic. La tuerie a eu lieu en marge d’un combat de coqs dans une salle souvent utilisée pour accueillir des paris illégaux de la ville de Las Tinajas. Un groupe de civils vêtus d’uniformes militaires aurait fait irruption dans les lieux avant d’ouvrir le feu sur les participants.

    Les autorités ont réagi par communiqué dans la nuit de dimanche à lundi. Les services du procureur général de la République ont expliqué que les forces de l’ordre sont arrivées sur les lieux de la fusillade vers 22 h 30 et y ont trouvé «les corps de 19 personnes sans vie (16 hommes et 3 femmes)». Plusieurs autres personnes ont été blessées et transférées à l’hôpital. Sur Twitter, le bureau du secrétaire à la Sécurité publique du Michoacán a assuré que les autorités fédérales travaillent «dans le but d’arrêter les responsables de ces actes violents».

    Libération


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  • Mystère en Ariège : à son réveil, une paisible retraitée de 85 ans retrouve sa voiture couchée sur le côté

    Une habitante d'Escosse, en Ariège, a vécu une bien mauvaise aventure samedi 26 mars. En ouvrant les volets de sa maison, elle a découvert sa voiture couchée sur le côté gauche. Sans aucune explication.

    Il y a des réveils plus surprenants que d'autres. Marie-Thérèse se souviendra certainement longtemps du samedi 26 mars 2022. La dame de 85 ans vit une retraite paisible, avenue de l'Estrique, à Escosse, en Ariège. Mais elle a vécu un choc en ouvrant les volets de son habitation ce samedi matin. Sa voiture, habituellement garée devant chez elle, n'était plus stationnée sur ses quatre roues. Elle a été renversée et s'est stabilisée sur le flanc gauche !

    Les faits se sont produits, selon son témoignage, dans la nuit du vendredi 25 au samedi 26 mars. Sans que quiconque, ni elle, ni son voisinage, n'ait remarqué un bruit étrange. Il n'y a pas eu d'événements similaires dans la commune non plus. La gendarmerie s'est rendue sur place pour les constatations d'usage.

    S'agit-il d'une mauvaise blague ? D'un acte de vandalisme gratuit ? D'une tentative pour dérober des pièces de son véhicule qui n'est plus tout jeune ? Une enquête a été ouverte pour tenter de faire la lumière sur ce fait divers improbable.

    En attendant, Marie-Thérèse se retrouve bien embêtée. Jusqu'à présent autonome, elle ne peut désormais plus utiliser sa Clio jusqu'aux conclusions de son assurance auto. De la tôle a certes été froissée, il faut maintenant savoir si le véhicule pourra à nouveau rouler. La vie quotidienne de notre retraite en est toute bouleversée. 

    La Dépêche.fr


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  • Leur bébé de 17 mois attaqué et mordu à mort par le chien qu'ils venaient d'acheter une semaine avant

    Une fillette d'un an et demi a succombé à ses blessures à l'hôpital ce lundi 21 mars au Royaume-Uni.

    Un terrible drame s'est joué ce lundi 21 mars au Royaume-Uni.

    Une fillette âgée de 17 mois, Bella-Rae Birch s'est fait attaquer dans sa maison de St-Helens proche de Liverpool par le chien que ses parents venaient d'acquérir une semaine plus tôt.

    Le chien un American Bull de type Pit-Bull Terrier s'en est pris à elle pour une raison inconnue.

    Mordue à de multiples reprises et mutilée par le chien

    La fillette a été mordue à de multiples reprises et mutilée par l'animal.

    Alertés pas les cris des parents, des voisins sont venus à l'aide pour tenter de prodiguer les premiers soins en attendant les secours, comme le rapporte la BBC.

    Encore en vie, elle a été transportée en urgence à l'hôpital mais malheureusement elle est décédée quelques minutes après à la suite de ses blessures.

    Le chien abattu, une enquête ouverte sur ses origines

    La police de Merseyside dépêchée sur les lieux a abattu le chien.

    Avant de déclarer que des analyses seraient effectuées afin de procéder à des vérifications sur la race de l'animal et sur la légalité d'en posséder un.

    D'ailleurs une enquête est en cours pour identifier les anciens propriétaires du chien qui ont vendu l'animal à la famille. 

    Une cérémonie sera organisée le mercredi 30 mars.

    Midi Libre


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  • Mercredi 23 mars 2022, en début de soirée, un jeune homme de 16 ans est décédé, zone du Panorama, au Mans (Sarthe), après avoir reçu plusieurs coups de couteau. Trois personnes ont été interpellées et placées en garde à vue.

    Mercredi 23 mars 2022, en début de soirée, les policiers du commissariat du Mans (Sarthe) sont intervenus avenue du Panorama. Après avoir été alertés qu’un jeune homme aurait reçu plusieurs coups de couteau.

     Ce jeune homme, âgé de 16 ans, est décédé sur les lieux, malgré les soins prodigués par les pompiers rapidement sur place », confirme, ce jeudi, la procureure de la République dans un communiqué. Confirmant une information de nos confrères du Maine Libre« Les premières constatations techniques ont été réalisées sur les lieux, et l’autopsie du corps de l’enfant sera réalisée dans la journée. »

    Trois suspects interpellés et en garde à vue

    Trois personnes susceptibles d’être impliquées dans la scène ont été immédiatement interpellées, et font l’objet d’une mesure de garde à vue, annonce également la procureure.

    Une enquête pour meurtre est ouverte et confiée à la direction territoriale de la police judiciaire d’Angers et au commissariat de police du Mans.

    Pas devant la fête foraine

    Interrogé ce jeudi matin, un forain présent sur le site de la fête foraine confirme avoir vu des « gyrophares de police et de pompier aux alentours de 20 h 30. Mais ça ne s’est pas passé devant la fête foraine, mais à 300, 400 m de là », précise-t-il.

    Il craint que l’amalgame entre le meurtre et la foire « ne fasse du tort ». Rappelant que les trois entrées et sorties du site sont « surveillées par des vigiles et les sacs inspectés ».

    Ouest-France


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  • Témoin d’un accident de voiture dans le Gard, il s’est jeté à l’eau mercredi pour en extraire les quatre personnes avant que l’eau n’envahisse l’habitacle

    Un sapeur-pompier volontaire en civil a sauvé une famille entière de la noyade, à Sumène, une commune des Cévennes, située à cinquantaine de kilomètres d’Alès, dans le Gard.

    Témoin d’un accident de la route, mercredi peu avant 16h, il s’est jeté à l’eau pour extraire les personnes bloquées dans leur voiture, tombée dans le Rieutord, un affluent du fleuve Hérault.

    Choqués et en état d’hypothermie

    Dans la voiture se trouvaient une maman et ses trois enfants âgés de 3, 13 et 15 ans. Il est parvenu à les sauver un par un avant que l’eau n’envahisse l’habitacle du véhicule. « Les quatre victimes, légèrement blessées, choquées et en hypothermies, ont été transportées à la clinique de Gange pour des examens complémentaires », indiquent les pompiers du Gard.

    20 Minutes


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  • Un bébé de 8 mois a été secouru sur un terrain vague de Louisiane après avoir disparu la veille.

    Une découverte «miraculeuse». La semaine dernière, un bébé de 8 mois a été sauvé au lendemain de sa disparition à Baton Rouge, en Louisiane. Le petit Niguel Jackson a été «transporté à l’hôpital par précaution», a fait savoir la police dans un communiqué publié sur les réseaux sociaux. «Il semble que la mère ait souffert de problèmes médicaux», ont ajouté les autorités sans en dire plus. Elles ont toutefois indiqué que pour l’instant, «aucune charge n’avait été retenue contre la mère» et que «l’enquête se poursuit».

    Le petit garçon a disparu mardi dernier après que sa mère s’est rendue dans un caserne de pompiers et a été conduite à l’hôpital. La façon exacte dont l’enfant a disparu n’est pas claire. Le lendemain, sa mère a conduit les secours dans une zone située près d’une église, proche de leur maison, là où elle a dit avoir déposé son fils. Il a été localisé grâce à un hélicoptère de la police, après plusieurs heures de recherches. «Les médecins lui ont sauté dessus et ont commencé à le soigner immédiatement et… je pense qu'il ira bien», a déclaré le porte-parole de la police, Mike Chuzta, à la chaîne WAFB . «Je pense que c'est un miracle de voir l'état dans lequel il se trouvait. Je ne m'y attendais pas du tout», a-t-il ajouté.

    Les secours ont indiqué que Niguel «n’avait même pas pleuré» lorsqu’il a été sauvé, alors que les températures étaient particulièrement fraiches. «Nous n’avions pas beaucoup d’espoir mais le bébé est un dur à cuire». Dans un communiqué, Sharon Weston Broome, maire de la ville de Baton Rouge, a remercié «les secouristes et les membres de la communauté dont la coordination rapide a permis de récupérer le bébé disparu». «Pour toute personne souffrant d’une crise mentale, il existe des organisations disponibles pour le public», a ajouté Sharon Weston Broome.

    Paris Match


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  • Le jeune garçon était au volant d’un véhicule qui a percuté une camionnette qui transportait une équipe de golf universitaire

    Un tragique accident de la route s’est produit mardi soir dans l’ouest du Texas au Etats-Unis. Un pick-up est entré en collision avec une camionnette qui transportait une équipe de golf universitaire au  Texas. Neuf personnes sont mortes. Parmi elle, six membres de l’équipe de golf d’une université du Nouveau-Mexique et leur entraîneur qui se trouvaient dans la camionnette. Les deux autres victimes sont un adolescent de 13 ans et son père, âgé de 38 ans, qui se trouvaient à bord du pick-up.

    Le jeune adolescent se trouvait au volant au moment de l’accident, a affirmé Bruce Landsberg, du Conseil national de la sécurité des transports américains, à la chaîne locale KWES TV. Le soir du drame, le pick-up dans lequel ils se trouvaient s’est déporté sur la voie de circulation opposée, percutant de plein fouet la camionnette, d’après les autorités texanes. Les deux véhicules ont alors pris feu. Le pneu avant gauche du pick-up semble avoir éclaté avant l’accident, survenu alors que les deux véhicules roulaient à une vitesse élevée, a précisé Bruce Landsberg.

    A 13 ans, conduire n’est pas autorisé au Texas. Il faut attendre 15 ans pour obtenir un permis de conduite accompagnée et ainsi prendre la route aux côtés d’un adulte titulaire du permis. Deux étudiants canadiens sont encore hospitalisés dans un état critique.

    20 Minutes


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