• Le jeune homme devrait comparaître ce mercredi devant la justice

    Un jeune homme de 21 ans devra s’expliquer, ce mercredi, devant le tribunal correctionnel de Montpellier (Hérault), relate La Gazette de Montpellier. Samedi soir, dans le quartier du Plan des quatre seigneurs, il est soupçonné d’avoir refusé d’obtempérer à un contrôle des policiers de la Brigade anticriminalité, tandis qu’il avait grillé des feux rouges, à scooter.

    L’homme a fini par perdre le contrôle de son deux-roues, et est tombé. Il est soupçonné d’avoir tenté de fuir, avant d’être rattrapé par les policiers. Pas de bol, dans sa chute, la selle de son scooter s’est ouverte, laissant apparaître 644 grammes d’herbe de cannabis, 876 grammes de résine de cannabis et 29 grammes de cocaïne, explique le journal.

    Placé en garde à vue, le jeune homme aurait indiqué aux policiers qu’il avait dérobé cette marchandise illégale sur un point de deal. Par ailleurs, il est soupçonné d’avoir conduit sans permis, et sans assurance. Il a été placé en détention, en attendant sa comparution.

    20 Minutes


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  •  « Je n’arrive pas à le comprendre », peste Éric Grangier, président de l’association de chasse qui organisait la battue au cours de laquelle un chasseur a été filmé en train de transgresser plusieurs règles de sécurité

    La vidéo a fait le tour du Web et des médias en quelques jours. Le naturaliste Pierre Rigaux a publié dimanche dernier son échange avec un chasseur posté au bord de la départementale 2, dans la Drôme, et prêt à viser du gibier de l’autre côté de la route. Une pratique interdite pour des raisons évidentes de sécurité, d’autant que l’homme ne portait pas le gilet orange, pourtant obligatoire.

    Éric Grangier, président de l’association de chasse agréée de Saint-Laurent-en-Royans (Drôme) qui organisait la battue, a réagi auprès du Dauphiné Libéré, dans un article publié ce mercredi. Il explique avoir « échangé longuement » avec le chasseur mis en cause. « Je n’arrive pas à le comprendre et je suis en colère. (…) Cet homme chasse depuis deux ans avec nous et nous n’avons jamais eu de problèmes avec lui. »

    « Tous les chasseurs vont en pâtir »

    Éric Grangier assure avoir suspendu cet homme « de toute activité sur le territoire de l’association » et explique attendre désormais les suites judiciaires. « On a investi dans la sécurité et les messages sont rabâchés. (…) Malheureusement, cette histoire va nous impacter pendant quelque temps et tous les chasseurs vont en pâtir », regrette-t-il.

    Éric Grangier remet aussi en cause l’attitude de Pierre Rigaux, qui a selon lui « mis la pression sur le chasseur » et n’a pas diffusé d’autres échanges filmés le jour même :  « Je regrette qu’il ne montre pas les vidéos dans lesquelles on lui répond correctement. »

    20 Minutes


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  • Un homme au-dessus de tout soupçon est jugé à partir de lundi devant les assises du Bas-Rhin pour des viols et agressions sexuelles sur 34 fillettes.

    Incarcéré depuis la fin 2018, Jean-Christophe Karcher, 50 ans, devra répondre d'agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans, agressions sexuelles incestueuses, et de trois viols sur mineurs. S'il a reconnu les attouchements, il nie les viols. Le procès, qui doit durer deux semaines, pourrait se tenir à huis clos, total ou partiel.

    Les faits retenus se sont déroulés entre 2007 et 2018, avec pour beaucoup de victimes un procédé similaire et des profils semblables, l'homme avouant son désir pour les fillettes âgées de 9 à 11 ans. Ses deux filles, nées en 2002 et 2006, servaient d'«appât» alors que leur père invitait leurs copines à venir jouer dans la piscine à l'arrière du pavillon familial. Un moyen de banaliser les choses et de «rassurer les enfants». Prétextant le «jeu du requin», il poursuivait les fillettes dans le bassin, les saisissant par les fesses ou touchant leur poitrine, passant parfois les mains sous les maillots de bain.

    Il lavait les victimes

    A l'heure de la douche ou du bain, il entrait de manière intempestive dans la pièce. Régulièrement, il se rinçait nu face aux enfants et à son tour lavait les fillettes, pourtant en âge de le faire seules. Les jeunes victimes subissaient ensuite des massages de Jean-Christophe Karcher, qui pouvait les agresser sexuellement et les violer. Une caméra intégrée dans un ordinateur portable censé diffuser de la musique filmait ces agressions sexuelles.

    Au cours des interrogatoires, le cinquantenaire a déclaré s'être masturbé en revisionnant ces vidéos. Les amies de l'aînée devenues trop âgées pour satisfaire les perversions sexuelles de l'accusé, les camarades de sa cadette se sont retrouvées dans l'eau face au «requin», qui intimait de garder le secret sur ces «jeux». Devant l'expert psychiatre, Jean-Christophe Karcher a reconnu être «attiré par la pré-adolescence, le moment où le corps d'enfant devient un corps d'adulte»

    Egalement professeur de physique

    L'affaire, tentaculaire, a fait vaciller le village de Niederroedern, 923 âmes, où l'accusé occupait les fonctions de premier adjoint, en charge de la communication. Dans le bulletin municipal de cette bourgade à une trentaine de kilomètres au nord de Strasbourg, de nombreux articles signés Jean-Christophe Karcher relataient les confirmations d'adolescents à l'Église, ou l'arrivée de nouveaux habitants.

    Parfaitement connu aux alentours, l'homme au casier judiciaire vierge officiait comme professeur de physique-chimie dans le collège d'une commune voisine et encadrait également des camps scout, auxquels participaient ses deux filles. Certaines victimes ont subi des massages sous la tente le soir venu et des élèves se sont plaintes de gestes déplacés et de regards gênants.

    Son épouse ne se doutait de rien

    Son épouse, avec qui il vivait en compagnie de ses deux filles, ne se doutait de rien. Début 2018, c'est finalement la confidence d'une des fillettes devenue lycéenne, à l'assistante sociale scolaire, qui permettra un signalement de l'Éducation nationale et libérera la parole des victimes. Ses parents, à qui elle s'était confiée quelques semaines plus tôt, n'avaient en revanche pas osé déposer plainte face au notable, de peur d'«histoires» dans les villages, si leur fille n'était pas crue.

    Le procès doit s'ouvrir en présence de plus d'une cinquantaine de parties civiles, une retransmission des débats est prévue dans une salle attenante. Jugé pour destruction de preuves, le père de l'accusé comparaîtra libre, en qualité de prévenu. Âgé de 80 ans, il encourt trois ans de prison et 45 000 euros d'amende pour avoir brûlé dans sa chaudière plusieurs clés USB à la demande de son fils incarcéré, sur lesquelles se trouvaient des vidéos de victimes. Le verdict est attendu le 14 octobre.

    20 Minutes


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  • L’autoroute A13, en Normandie, a été le théâtre d’un dramatique accident, samedi 1er octobre 2022, peu avant 21 h. Une conductrice s’est extirpée d’urgence de sa voiture, qui avait pris feu, et a été percutée par le véhicule suivant. Elle est décédée sur place.

    Une femme est décédée dans un accident sur l’autoroute A13, samedi 1er octobre 2022 au soir. Il était un peu moins de 21 h lorsque sa voiture s’est embrasée alors qu’elle circulait en direction de Paris, à hauteur de Tourville-la-Rivière (Seine-Maritime), au sud de Rouen. La conductrice a alors cherché à s’extirper le plus vite possible de son habitacle. Mais une fois sur la chaussée, un véhicule qui arrivait derrière l’a violemment percutée.

    En arrêt cardio-respiratoire

    À l’arrivée des secours, la victime de 41 ans se trouvait en arrêt cardio-respiratoire. Malgré les soins prodigués, elle n’a pu être sauvée : le médecin du Smur (Service mobile d’urgence et de réanimation) a déclaré son décès sur place.

    Au total, six engins et seize sapeurs-pompiers ont été engagés sur cet accident.

    Ouest-France


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  • L’artisan, âgé de 38 ans, manipulait un ballon d’eau chaude

    Il était en pleine intervention chez un particulier, à Chaumes-en-Retz (Loire-Atlantique), quand le drame est survenu. Un plombier qui manipulait un ballon d’eau chaude est décédé ce mercredi après-midi après avoir été électrisé, rapporte le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis).

    Le professionnel, âgé de 38 ans, se trouvait en arrêt cardiorespiratoire quand les pompiers se sont déplacés sur les lieux. Le médecin du Smur, arrivé en hélicoptère, n’a rien pu faire d’autre que de déclarer son décès.

    20 Minutes


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    Un enfant de trois ans a été déclaré mort ce dimanche 25 septembre, selon les autorités américaines. Il avait été poussé par sa tante dans le lac Michigan.

    Le petit garçon de 3 ans n'a pas survécu à sa chute. Son décès a été annoncé ce dimanche 25 septembre, selon les autorités et sa famille. Lundi 19 septembre, le petit Josiah Brown a fait une chute depuis une jetée sur les rives du lac Michigan, aux Etats-Unis. Son décès a été confirmé par le bureau du médecin légiste du comté de Cook, selon le New York Post.

    Le jour du drame, sa tante Victoria Moreno l'a emmené pendant que sa grand-mère se changeait. Puis, elle a volé le camion de la famille alors qu'elle ne pouvait pas conduire à cause de ses médicaments, selon Fox 32.

    Une mère de famille a appelé les secours lorsqu'elle a vu l'enfant dans l'eau. Après avoir fait un arrêt cardiaque dans le lac, le petit Josiah Brown était encore en vie. Les plongeurs ont mis 30 minutes pour l'extirper de l'eau. Transporté de toute urgence à l'hôpital, Josiah Brown était dans un état critique, avant de décéder quelques jours plus tard.

    Un hommage à son fils sur les réseaux sociaux

    Le père du garçon de 3 ans a expliqué n'avoir passé que quelques heures au chevet de son fils à l'hôpital. L'homme se trouvait dans un autre hôpital, car il était en attente d'une greffe cardiaque, rapporte le média américain.

    "Si je ne m'en sors pas, nous pourrons enfin nager ensemble comme je te l'avais promis", a-t-il écrit sur les réseaux en hommage à son fils décédé.

    La scène filmée par des caméras de surveillance

    Des caméras de surveillance ont filmé la scène. Sa tante a attendu que de potentiels témoins s'éloignent pour pousser l'enfant dans l'eau. Elle se serait tenue à l'écart, et aurait regardé l'intervention des plongeurs de la police essayant de sauver l'enfant.

    La femme qui a alerté les secours, a indiqué à la police le comportement suspect de Victoria Moreno. Elle a été arrêtée, puis accusée de tentative de meurtre au premier degré. Lors de sa première audience au tribunal, son avocat a déclaré qu'elle souffrirait de "graves problèmes de santé mentale", notamment d'anxiété, de dépression et d'insomnie.

    Victoria Moreno comparaîtra une nouvelle fois devant le tribunal le 30 septembre prochain, selon Fox 32.

    RMC Crime


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  • La mort du jeune Morgan Keane, dans le Lot en décembre 2020, avait suscité effroi et colère. Deux ans après l'accident de chasse qui lui avait coûté la vie, le chasseur à l'origine du tir mortel et le directeur de battue seront jugés le 17 novembre à Cahors (Lot) pour « homicide involontaire lors d'une action de chasse », a indiqué le procureur de la République Alexandre Rossi dans un communiqué. Morgan Keane a été tué le 2 décembre 2020 à Calvignac par un chasseur qui l'avait pris pour un sanglier alors qu'il coupait du bois dans son jardin. Le jeune homme, né en Aveyron d'une mère aveyronnaise et d'un père britannique, était âgé de 25 ans.

    Les deux prévenus risquent jusqu'à « trois ans d'emprisonnement, 75 000 euros d'amende, l'interdiction de détenir une arme pendant cinq ans ou encore le retrait de permis de chasse à titre définitif », précise le parquet.

    Les amies de Morgan Keane espèrent le retrait à vie de leur permis de chasse

    La mort de Morgan Keane avait suscité un vif émoi dans la région, menant à la création du collectif Un jour un chasseur, qui propose notamment d'interdire la chasse le mercredi et le dimanche et d'établir des « distances de protection autour des zones d'habitation qui soient égales à la portée maximale des armes ». Des propositions majoritairement rejetées par une mission du Sénat mi-septembre. « On espère que le procès sera exemplaire avec une peine exemplaire », dont « l'interdiction du permis à vie », ont indiqué à l'Agence France-Presse (AFP) les membres du collectif Un jour un chasseur, composé d'amies de Morgan Keane.

    Le collectif souhaite que « les victimes soient considérées » et aimerait qu'à l'issue du procès des « espaces non chassés » soient mis en place autour des maisons des proches de la victime. « Pour qu'ils ne soient pas confrontés à la vue et au son de la chasse », expliquent ses membres.

    Pour l'heure, le frère de Morgan Keane s'est constitué partie civile, selon le parquet, ainsi que la fédération départementale des chasseurs du Lot. Un jour un chasseur dénonce la constitution de partie civile des chasseurs : « Une battue, c'est quelque chose de collectif. Il devrait y avoir une responsabilité collective. C'est assez choquant qu'ils se placent comme victimes. »

    Le Point


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    Une mère de famille a retrouvé son fils de deux ans dévoré par un rat dans son lit, à Liverpool, en Angleterre. Il a été transféré aux urgences et reste traumatisé.

    Cette mère de famille a vu une scène d’horreur. La semaine dernière, la jeune femme a retrouvé son fils, âgé de deux ans, couvert de sang dans son lit. D’après les informations relayées par le Liverpool Echo, l’enfant s’est fait attaquer par un rat, dans une maison de location dans le quartier de Walton, à Liverpool, en Angleterre.

    Selon les déclarations de la mère de famille au média anglais, elle explique que ce sont les cris de son fils qui l’ont alertée. “J’ai entendu mon fils de deux ans pleurer dans son lit et quand je suis entrée, il était couvert de sang. Je suis tombée à genoux, sous le choc. Je n’avais aucune idée de ce qu’il s’était passé jusqu’à ce que je vois un rat passer devant moi”.

    “C’était comme un cauchemar, un film d’horreur”

    Après avoir retrouvé son fils avec le visage dévoré par des morsures de rat, la mère de famille décide d’appeler les secours qui arrivent rapidement sur place. L’enfant est transporté en urgence à l’hôpital pour enfants Alder Hey où le premier rapport fait état de “multiples morsures de rat sauvage”. Il a été transféré au service de chirurgie plastique, puis au service de maladies infectieuses pour vérifier que l’animal ne lui a pas transmis de virus. Après plusieurs jours d’hospitalisation, l’enfant est rentré chez lui.

    De son côté, la mère de famille a décidé de quitter la maison où a eu lieu l’attaque. Toute la famille reste sous le choc face à cette scène d’horreur. “C’était comme un cauchemar, un film d’horreur, je suis toujours traumatisée par tout ça. Mon fils de quatre ans a tout vu et fait des cauchemars”, explique la mère de la victime.

    RMC


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  • Les Assises du Nord ont condamné vendredi 23 septembre 2022 Mallory, 26 ans, a une peine de six ans de prison pour avoir tué son nourrisson en le jetant par la fenêtre, après avoir accouché dans sa chambre, rapporte Delta FM. Un drame survenu en 2017 à Cappelle-la-Grande, dans le Nord.

    Le drame est survenu en 2017. Mallory est âgée de 21 ans et vit à Cappelle-la-Grande, dans le Nord. Elle accouche dans la nuit du 4 novembre 2017, seule dans sa chambre au domicile de ses parents, dans sa poubelle de bureau. France 3 raconte mercredi 21 septembre 2022 que, pensant que son père allait entrer dans la pièce, elle avait lancé le nourrisson par la fenêtre. "Les parents arrivent ensuite dans la chambre et découvrent des traces de sang, raconte l'avocat de la jeune femme. Ils pensent qu’elle a un problème de santé, la douchent, la couchent, mais n’appellent pas les pompiers". C'est un passant qui fera la macabre découverte du nouveau-né sur la chaussée. Cinq ans plus tard, Mallory est jugée par les Assises du Nord. La jeune femme, aujourd'hui âgée de 26 ans, a été reconnue coupable pour le meurtre de son enfant au terme de trois jours d'audience. Elle a été condamnée vendredi 23 septembre 2022 à une peine six ans de prison, rapporte la radio locale Delta FM. Fera-t-elle appel ? L'avocat de la Défense Me Emmanuel Riglaire a déclaré y être "favorable" - ils ont 10 jours pour le faire. "Je suis favorable à un appel, a-t-il estimé [... ] La vie de cette femme commence maintenant. Elle a 26 ans, elle n'a rien vécu."

    Une version des faits contredite par l'autopsie

    Quelle est la version des faits livrée par Mallory aux enquêteurs ? La jeune femme, qui a rencontré des psychologues et psychiatres après le drame, avait déclaré qu’elle ignorait qu’elle était enceinte et qu'elle pensait que le bébé était mort-né lorsqu'elle a accouché. L'autopsie avait contredit cela, révélant que le bébé était vivant à sa naissance, mais mort en raison de la chute. Le nouveau-né avait été découvert deux heures après avoir chuté de la fenêtre.

    Femme Actuelle


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  •  L'homme se masturbe à la vue de la mère et de sa fille. Mais souffrant de problèmes psychiatriques, il n'est pas considéré comme responsable pénalement.

    Un voisin très gênant. À Lyon, une famille doit composer depuis plus d'un an avec un exhibitionniste qui habite de l'autre côté de la rue, en face de leur appartement. Mais malgré leurs signalements, aucune mesure n'a été prise, rapportent nos confrères du Progrès.

    "Pas responsable pénalement"

    La famille est composée d'un couple, dont la femme est enceinte, et de leur fille. Le voisin se masturbe à la fenêtre ou sur le balcon à la vue de ces deux dernières, qu'il semble épier. Ce qui a obligé les parents à prendre des dispositions.

    "Cela impacte notre quotidien parce que nous faisons beaucoup de choses en fonction de lui. On demande à notre fille de ne pas regarder dehors et de se changer exclusivement dans la salle de bains", ont-ils confié.

    La plainte déposée par la famille en 2021 a été classée sans suite, et les courriers rédigés par le père, adressés au procureur de la République, sont restés lettre morte. Il leur a été opposé que leur voisin, sous tutelle, souffre de problèmes psychiatriques et n'est donc pas responsable pénalement.

    Les faits ont par ailleurs déjà été signalés auparavant par d'autres voisins. Aujourd'hui, le seul espoir qu'il reste à la famille est de faire interner le voisin au sein d'un établissement psychiatrique.

    BFM.TV


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  • Une adolescente appelle les secours pendant que son frère tue sa famille, elle est retrouvée morte

     

    Ce dimanche, un jeune homme de 21 ans a tué toute sa famille, en Arizona. Malgré l’appel à l’aide de sa petite sœur, son corps sera retrouvé parmi les victimes.

    Elle a tenté de sauver sa famille. Ce dimanche, vers 13h45, les secours ont été contactés par une jeune fille de seize ans, paniquée, pour leur demander de l’aide alors que son frère venait de frapper sa mère. La communication a été suspendue au bout de quelques secondes. La police et les secours se sont rendus au domicile d’où provenait l’appel à l’aide, dans un quartier résidentiel, en Arizona.

    En arrivant sur les lieux, les agents de police du comté de Pinal ont fait face à une scène d’horreur. A l’intérieur de la maison, ils découvrent les corps de quatre personnes. Selon les informations relayées par le média local Fox 10, l’adjoint en chef de la police a déclaré que les membres de la famille avaient été “massacrés”.

    L’appel à l’aide ne lui a pas sauvé la vie

    Selon les informations transmises par la police, les agents ont repéré un homme à côté de la maison et se sont dirigés vers lui. “Alors que les forces de l’ordre s'approchaient du suspect, il a déclaré ‘je suis ici, emmenez-moi en prison'''. D’après l’identification des policiers, il s’agissait de Richard David Wilson IV, un jeune homme de 21 ans. Les enquêteurs ont remarqué qu’il avait une blessure à la main droite et ont retrouvé des vêtements et des chaussures ensanglantés.

    Les policiers ont ensuite pénétré dans la maison et ont découvert quatre corps. Après identification, il s’agit de Richard Wilson, 47 ans, le père du suspect, Ellen Otterman, 50 ans, sa mère, Renaya White, sa nièce de cinq ans et Rudy Wilson, seize ans, sa sœur qui a appelé les secours. Malgré son appel à l’aide, la jeune fille n’a pas pu être sauvée à temps.

    “Tous les sujets semblaient avoir subi des traumatismes contondants, et avaient des blessures dans le cou, compatibles avec le fait d’avoir été égorgés avec une arme blanche”, selon les informations du rapport de police relayées par le média local.

    Perçu comme un “gentil garçon”

    Pendant sa garde à vue, le suspect a indiqué qu’il ne souhaitait pas s’exprimer sans la présence d’un avocat. Il est accusé du quadruple meurtre de sa famille. Richard David Wilson IV a donc été placé en détention provisoire sous caution s’élevant à 2.5 millions de dollars, en attente de son procès.

    Pour les proches de la famille, c’est le choc. Les voisins décrivent le suspect comme étant un “gentil garçon” et se demandent ce qu’il s’est passé pour qu’il en arrive là.

    “Je ne les ai jamais entendus se disputer ou quelque chose comme ça. Autant que je sache, ils s’entendaient tous très bien”, affirme Wanda Hamilton, une voisine.

    Le shérif du comté de Pinal a également tenu à exprimer sa compassion: “Bien que rien ne ramènera leurs proches, j’envoie mes prières et mon soutien à toutes les personnes touchées”

    RMC Crime


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  • Son décès a été constaté sur place par les secours mobilisés

    Un bûcheron est décédé ce lundi, en fin d’après-midi, après avoir été écrasé par un arbre sur la commune de Lédergues (Aveyron). La victime, âgée de 36 ans, a été tuée sur le coup par la chute du tronc qu’il était justement en train de couper, rapporte France 3 Occitanie.

    LIEN de l'article :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/aveyron-un-b%C3%BBcheron-de-36-ans-meurt-%C3%A9cras%C3%A9-par-l-arbre-qu-il-%C3%A9tait-en-train-de-couper/ar-AA11LKzU?ocid=msedgntp&cvid=76660dd5b1e14241904124d9128a9c1d


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  • Dordogne : une jeune fille de 12 ans meurt écrasée par un bus scolaire rapporte  France bleu.

    L’accident a eu lieu aux alentours de 17h30, après la sortie des classes, à proximité de l’aire de dépose de la gare ferroviaire. L’autocar, qui venait d’y déposer des enfants a redémarré au moment où la jeune fille a traversé la rue et l’a fauchée, sous les yeux d’une trentaine de ses camarades et de parents d’élèves. La jeune victime, qui est passée sous les roues du véhicule, est décédée malgré l’intervention rapide des secours, qui ont tenté de la réanimer pendant trois quarts d’heure, et d’un médecin déposé par un hélicoptère du Samu. Sa grande sœur et son beau-père étaient présents au moment de l’accident. Le parquet de Bergerac a annoncé avoir ouvert une enquête pour « homicide involontaire », à l’encontre du conducteur du bus qui a été placé en garde à vue, selon le sous-préfet Jean-Charles Jobart. La mairie a de son côté ouvert la salle des fêtes de la commune pour accueillir la cellule psychologique mise en place immédiatement pour les collégiens qui ont assisté à l’accident. La famille de la victime, composée de cinq enfants originaires de la commune, a été prise en charge à part. Une autre cellule sera ouverte mardi au collège Olympe de Gouges de Vélines où était scolarisée la jeune victime.

    Le Parisien


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  • Cette auxiliaire de vie avait la responsabilité de veiller sur les plus vulnérables… Mais cette récidiviste de 38 ans comparaissait, ce vendredi devant le tribunal correctionnel de Paris, pour avoir durant les années 2021 et 2022 à Paris et à Levallois (Hauts-de-Seine),profité de la confiance des personnes âgées pour les dépouiller. Les juges ont décidé de renvoyer l’audience au 21 octobre. Dans l’attente, la trentenaire a été remise en liberté sous contrôle judiciaire avec une interdiction d’exercer sa profession. « La prochaine fois qu’on vous reprend à voler des personnes vulnérables ce sera le mandat de dépôt », prévient la présidente. L’affaire commence en février 2022 lorsque les fonctionnaires du commissariat du XVIe arrondissement de la capitale reçoivent une plainte d’un organisme spécialisé dans l’aide à domicile. Le responsable confie ses doutes concernant une employée qu’il soupçonne d’avoir volé une patiente. « En fait, ils ont été alertés par une famille qui a décidé de se passer de leur service après la découverte d’un vol commis chez leur mère très âgée », précise une source proche du dossier. Dix femmes et un homme tous vulnérables Les enquêteurs recherchent des plaintes similaires et découvrent dix femmes et un homme, tous très âgées, qui se sont fait voler, des bijoux, un manteau en vison, un foulard Hermès, un sac de marque etc.… Le préjudice qui n’a pas été établi avec précision s’élèverait au moins à plusieurs dizaines de milliers d’euros. L’étau se resserre autour de cette suspecte déjà condamnée pour des faits similaires en 2018 à Bobigny. La juridiction n’avait pas inscrit cette peine sur son casier judiciaire pour lui permettre de continuer à travailler. Cette mère de famille d’origine tunisienne qui s’occupe d’un enfant autiste, âgé de 3 ans, a été interpellée à son domicile de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) en milieu de semaine avant d’être placée en garde à vue à l’hôtel de police. Elle conteste totalement les faits qui lui sont reprochés. « Je ne comprends pas comment on peut m’accuser d’autant de faits à Levallois alors que je n’y ai travaillé qu’une fois dans ma vie », assure-t-elle en sanglots. Cette petite femme aux cheveux noirs exerce son activité dans l’aide à la personne depuis 2014. Elle soutient qu’elle est victime d’un complot, ourdi par son employeur. Ce dernier aurait décidé de la dénoncer alors qu’elle venait d’entrer en conflit avec la structure. Son équilibre mental est précaire et elle est suivie au centre municipal psychiatrique de sa commune qui révèle qu’elle est dépressive et très fragile. « Je voudrais pouvoir continuer à m’occuper de mon enfant », ajoute-t-elle. Un complément d’enquête prévu Le tribunal a ordonné un complément d’enquête pour identifier d’éventuelles autres victimes et vérifier si la prévenue ne s’est pas rendue auprès de deux boutiques de rachat d’or pour vendre des bijoux volés. Son avocate, Me Johanne Sfaoui rappelle que « sa cliente est férue de vente d’objets et de vêtements d’occasion ce qui explique les mouvements sur son compte qui n’ont rien d’obscurs ».

    Le Parisien


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  • Un accident mortel s’est produit à Antibes (Alpes-Maritimes) dans la nuit de vendredi à samedi, vers 1h30 du matin. Une femme de 33 ans, qui roulait à trottinette sur l’avenue de Nice, a été percutée par une voiture qui circulait à contresens, rapporte Nice-Matin

     Elle est décédée sur le coup. Le conducteur était en train de doubler un autre véhicule quand il a heurté la trottinette. Treize pompiers ont été mobilisés sur les lieux du drame, mais la victime est morte avant qu’ils ne puissent engager une tentative de réanimation. L’individu à l’origine de l’accident a pris la fuite. Il était encore recherché ce samedi midi, selon les journaux locaux. Accidents en hausse Le nombre d’accidents de trottinettes est en hausse depuis trois ans. Selon les chiffres de la Sécurité routière, en 2020, sept personnes ont trouvé la mort dans un total de 870 accidents corporels alors qu’elles pilotaient un « EDPM », engin de déplacement personnel motorisé en jargon administratif, qui réunit la catégorie des trottinettes électriques mais aussi, de manière plus confidentielle, les monoroues, gyropodes et autres hoverboards. En 2021, ce chiffre a bondi de près de 30 %, passant à 24 tués. Et la hausse de la mortalité suit une courbe aussi ascendante que le succès grandissant de ces engins de mobilité urbaine : déjà une dizaine de morts depuis le début de cette année et une hausse du nombre de blessés de 177 % en cumul d’août 2021 à juillet 2022 par rapport à l’année 2019.

    Le Parisien


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  • Une mère de famille américaine a été tuée par un requin mardi durant une sortie de plongée libre, en marge d'une croisière aux Bahamas, selon les autorités.

    Cette femme de 58 ans a été attaquée mardi après-midi pendant qu'elle faisait de la plongée avec masque et tuba en compagnie de sa famille dans les eaux translucides de Green Cay, au large de la capitale Nassau, a affirmé la police des Bahamas dans un communiqué.

    "Des organisateurs de la sortie et des membres de sa famille ont essayé de la secourir mais ils n'ont pas réussi" et la victime a subi "des blessures importantes sur le côté gauche de son corps", ont ajouté les forces de l'ordre.

    Une fois ramenée à terre, les secours ont constaté qu'elle ne présentait "aucun signe de vie", selon la police.

    La famille, originaire de Pennsylvanie, était arrivée aux Bahamas mardi matin sur le navire "The Harmony of the Seas", opéré par Royal Caribbean.

    La passagère participait à une "excursion indépendante" - n'ayant pas été organisée par la compagnie de croisières - lorsqu'elle a été attaquée, a déclaré l'entreprise dans un communiqué mercredi.

    Confirmant son décès, Royal Caribbean a ajouté "apporter son soutien" aux proches de la victime.

    En 2019, une jeune Américaine était morte après avoir été attaquée par trois requins lors d'une plongée en famille dans la même zone des Bahamas.

    AFP


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  • La voiture de ce jeune de 26 ans a été retrouvée mercredi soir par les gendarmes dans un lac

    « Le jeune homme qui était porté disparu depuis samedi dernier a malheureusement été découvert sans vie hier soir », ont indiqué jeudi sur leur page Facebook les gendarmes de Gironde, mettant fin à l’appel à témoins qu’ils avaient lancé en début de semaine concernant un conducteur de 26 ans. Il avait donné son dernier coup de fil sur le trajet du retour après avoir disputé un match de rugby avec son club de Vélines, en Dordogne.

    Selon nos confrères de Sud Ouest, sa Clio a été découverte en bordure de la route, immergée dans un plan d’eau du secteur de Mouliets-et-Villemartin, en Gironde. Le corps du conducteur a été malheureusement retrouvé à l’intérieur du véhicule.

    Une enquête a été ouverte par la gendarmerie pour éclaircir les circonstances exactes de ce drame. Mais la piste accidentelle est privilégiée souligne le quotidien régional.

    20 Minutes


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  • La matinée en bord de Seine, à Rouen, s’est achevée par un drame. Les sapeurs-pompiers de Seine-Maritime ont été alertés vers 11h15, au niveau du pont Guillaume-le-Conquérant, alors que deux hommes, peut-être des adolescents, étaient en difficulté dans la Seine, rapporte 76Actu.

    À leur arrivée sur place, les secours découvrent qu’un jeune homme de 20 ans a réussi à remonter sur la berge de lui-même. Un deuxième jeune homme de 19 ans, qui était aussi dans le fleuve, n’est plus visible à la surface de l’eau. Resté sous l’eau une vingtaine de minutes Rapidement dépêchés sur place, une quinzaine de sauveteurs, dont des plongeurs, vont alors retrouver la seconde victime qui était immergée. Selon une source judiciaire, citée par nos confrères d’Actu, « cette personne ne savait pas nager, elle est restée sous l’eau pendant 20 minutes environ ». Malgré les longues tentatives de réanimation des soldats du feu, aidés par le Smur, le jeune homme décède peu après, confirme Ouest-France. L’autre victime a, elle, été évacuée vers le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Rouen en état de choc. Selon les premières constatations de l’enquête, les deux jeunes hommes tentaient de récupérer un ballon dans le fleuve lorsqu’ils se sont retrouvés en difficulté, rapporte aussi France Bleu Normandie.

    Le Parisien


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  • Elle est déjà appelée la maison de l’horreur. Située à Noyelles-sous-Lens, elle n’avait jamais attiré l’attention du voisinage ou des services sociaux. Pourtant, les parents de dix enfants ont reconnu les avoir maltraités à l’abri des regards.

    Un couple de quadragénaires a été interpellé mardi dernier à leur domicile situé à une trentaine de kilomètres de Lille.

     Une scène choquante attendait les policiers lors de leur intervention. Ils ont découvert deux enfants ligotés sur des chaises hautes. Les enfants de 2 et 5 ans ne pouvaient en descendre qu'avec l'autorisation des parents. Ils étaient recouverts d'excréments. Le plus jeune accuserait un retard de motricité. 

    Tout est parti de l’alerte donnée par le plus âgé de la fratrie. Le jeune homme de 24 ans venait d’être mis à la porte par son père après une altercation. Cet incident aura été l’élément déclencheur l’incitant à pousser la porte du commissariat et d’y raconter les faits de maltraitance que lui et ses neuf frères et soeurs subissaient.

    Cette maison située à Noyelles-sous-Lens n’avait jamais attiré l’attention du voisinage ou des services sociaux. Les enfants étaient scolarisés malgré un manque d’assiduité qui avait été relevé. 

    Pour les faits de violences sur mineurs par ascendant et soustraction aux obligations légales dont ils sont soupçonnés, les parents encourent deux ans de prison et 30 000 euros d'amende. Ils sont âgés de 44 ans pour le père et 40 ans pour la mère. Le couple a reconnu les faits en garde à vue. Ils ont été placés sous contrôle judiciaire en attendant leur procès.

    Une ordonnance de placement a été délivrée pour les enfants mineurs. 

    Zinfos


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