• Après avoir à nouveau pris la fuite, il a été interpellé quelques jours plus tard par les gendarmes des Hautes-Pyrénées

    Il se pensait certainement en dessous des ondes radar. Le 12 novembre dernier, en fin de journée, les gendarmes des Hautes-Pyrénées étaient en patrouille lorsqu’ils ont aperçu un homme en train de réparer un véhicule à Salles, une petite commune située au-dessus d’Argelès-Gazost. Lors de son contrôle, l’homme indique aux gendarmes qu’il va chercher le propriétaire de la voiture dans une maison située à deux pas. Il en profite pour prendre la fuite indiquent les militaires sur leur page Facebook.

    En réalité, ce dernier n’est pas un inconnu des forces de l’ordre. Il fait même l’objet d’un mandat d’arrêt depuis près d’un an. En décembre 2019, ce détenu n’a pas réintégré la maison d’arrêt après une permission. Et pour rajouter au tableau, la voiture qu’il était en train de réparer avant de prendre la poudre d’escampette était volée.

    Après avoir interrogé la compagne et la sœur du fuyard, les gendarmes d’Argelès, mais aussi de la brigade de recherche et du peloton de surveillance et d’intervention mettent en place un dispositif pour retrouver le trentenaire, ce qu’ils ont réussi à faire vendredi dernier. Déféré devant le tribunal judiciaire de Tarbes, l’homme a retrouvé les quartiers de la maison d’arrêt de Tarbes.

    20 Minutes

    Je ne comprends pas que l'on donne des permissions de sortie à des détenus !


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  • Le Manceau, âgé d’une vingtaine d’années, est convoqué devant le tribunal, il risque une lourde peine

    Contrôlé neuf fois en trois semaines sans attestation ou avec une attestation mal remplie. C’est le triste record réalisé par un habitant du Mans, âgé d’une vingtaine d’années. Selon Le Maine Libre, cet individu a été contrôlé à neuf reprises par la police, entre le 1er et le 20 novembre, alors qu’il circulait sans attestation de déplacement dérogatoire imposée par le confinement lié à l’épidémie de Covid-19​. Soit il n’en avait pas en sa possession, soit l’attestation était incomplète ou mal remplie, soit il ne portait pas de masque, précise le quotidien.

    Au-delà de trois verbalisations sous 30 jours, cela devient un délit. Le jeune homme a été convoqué devant le tribunal le 12 mars. Il pourrait écoper d’une lourde peine car la loi prévoit une amende pouvant s’élever à 3.750 euros pour ce type d’infractions répétées. Une peine de prison de six mois est aussi possible.

    20 Minutes

    Par contre les gentils trafiquants de drogue des banlieues, on ne leur demande rien !

    Ce confinement, c'est la fin de la liberté des français ! Une honte !


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  • Le corps d’une femme de 37 ans a été retrouvé dans la Seine, à Melun (Seine-et-Marne), mardi 1er septembre. Il s’agit de la mère de famille activement recherchée depuis le week-end dernier et la découverte du corps sans vie de son bébé de 5 mois. La trentenaire avait disparu de son domicile, laissant derrière elle un message dans lequel elle s’accusait de la mort de son enfant.

    Le corps d’une mère de famille de 37 ans a été retrouvé dans la Seine, à Melun (Seine-et-Marne), mardi 1er septembre, révèle Le Parisien. La victime était activement recherchée depuis samedi dernier et la découverte de son bébé de 5 mois, mort à son domicile de Pontault-Combault. Une autopsie doit être menée dans les prochains jours pour déterminer les causes exactes du décès de la trentenaire. Mais son corps ne présenterait aucun signe visible de violence, indique le quotidien francilien.

    La femme avait disparu le week-end dernier, laissant derrière elle un mot dans lequel elle s’accusait de la mort de son nourrisson. C’est le père, qui était parti chez le coiffeur avec ses deux plus grands enfants, qui a découvert le message et le corps sans vie de son bébé en rentrant chez lui, samedi après-midi.

    L’autopsie du bébé n’a rien donné

    « Nous pouvons avoir affaire à un infanticide comme à une mort subite du nourrisson dont la mère s’accuserait à tort », avait confié une source proche de l’enquête au Parisien. Le parquet de Melun a indiqué mardi que l’autopsie pratiquée sur l’enfant n’avait pas permis de faire la lumière sur les causes de son décès.

    Après la découverte du corps de la mère, l’hypothèse d’un acte désespéré semble plausible, même si les enquêteurs n’excluent à ce stade aucune piste, rapporte le quotidien régional. L’enquête va se poursuivre.

    Ouest-France


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  • Une vidéo postée sur Twitter montre l’arrestation d’un homme et d’une femme qui ne portaient pas leurs masques à Nice. L’homme a été plaqué au sol par quatre officiers de police et la femme menottée.

    La vidéo amateur, diffusée sur Twitter samedi 29 août au soir, a été visionnée presque 400 000 fois : l’interpellation musclée d’un homme et d’une femme pour non-port du masque à Nice a déclenché un tollé sur le réseau social. Un homme et une femme ont été arrêtés par la police pour non-port de masques ! Ils l’avaient à la main, ont voulu le mettre au vu de la police… Et voilà !, commente l’internaute qui a partagé les images.

    Sur la vidéo, on voit une femme debout, menottée par deux policiers. Plus loin, la caméra montre un homme plaqué au sol par quatre officiers. L’homme a le front ensanglanté, son masque autour de l’oreille. Vous avez mon identité, et vous me dites que je n’ai pas obtempéré ? C’est vraiment un scandale !, s’écrie l’homme à terre.

    Même pour une interpellation de braqueurs ou de proxénètes dangereux qu’il m’a été donné de diriger en France ces 10 dernières années, je n’ai jamais assisté à ce déploiement de violence !, s’est indigné l’ancien magistrat Albert Lévy sur Twitter.

    Une enquête ouverte

    Ces images semblent avoir été captées par le téléphone d’un passant samedi 29 août lors du passage du Tour de France dans la cité des Anges. Le journal Nice Matin a pu obtenir la version officielle de la cellule communication de la direction départementale de la Sécurité publique (DDSP) des Alpes-Maritimes.

    Selon la DDSP des Alpes-Maritimes, alors que des fonctionnaires de police effectuaient une patrouille de sécurisation, ils ont aperçu un couple dont l’homme ne portait pas le masque de protection. Selon le quotidien, l’un des policiers lui a alors demandé de mettre son masque. L’intéressé aurait dit ne pas en avoir ou ne pas vouloir le porter - la situation, sur ce point, n’est pas claire, admet le journal local. La vidéo montre toutefois qu’un masque est accroché à l’oreille de l’homme.

    Un agent lui explique alors qu’une verbalisation est prévue. L’homme fournit une pièce d’identité, et le PV de 135 € est dressé. C’est à cet instant que la situation se serait envenimée : sa compagne s’emporte, jugeant l’attitude des policiers inappropriée, et baisse son masque en laissant éclater sa colère. Les policiers lui réclament alors sa pièce d’identité et l’alertent : elle risque, à son tour, une contravention. Toujours selon Nice Matin, s’appuyant sur les informations données par la DDSP des Alpes-Maritimes, l’homme se serait alors énervé à son tour, repoussant un agent par le bras. C’est à ce moment qu’il se serait retrouvé au sol puis menotté.

    Le couple a ensuite été conduit à la caserne Auvare avant d’être présenté à un officier de police judiciaire, indique le quotidien local. Les conditions dans lesquelles l’homme a été blessé au front n’ont toutefois pas été précisées. Une enquête est ouverte et le parquet est avisé.

    OUEST-FRANCE

    Plus facile d'arrêter un couple, paraît-il, sans masques que des trafiquants de drogue dans les banlieues !


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  • Le bilan s’est une nouvelle fois lourdement aggravé en Espagne ces dernières 24 heures : 812 patients sont décédés. Le bilan du coronavirus dans le pays passé à 7340 morts.

    Le bilan quotidien du Covid-19 en Espagne montre une nouvelle forte progression des décès. 812 personnes contaminées ont perdu la vie faisant grimper le bilan à 7340 morts. La veille, le bilan faisait état de 838 décès.

    En outre, 5231 personnes se trouvent dans un état grave en réanimation (+324). Au total, près de 47 000 patients sont actuellement hospitalisés, contre 43 397 ce dimanche, et 16 780 patients ont également été guéris (+2071).

     

    L’Espagne a détecté de très nombreux nouveaux cas en l’espace de 24 heures : 85 195 cas ont été confirmés jusqu’ici, soit 6398 de plus que la veille.

    ACTU 17


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  • L'achat à la Chine de 640 000 tests express qui se sont avérés insuffisants et pas aptes à détecter le coronavirus fait scandale en Espagne. Les autorités espagnoles ont admis s’être approvisionnées auprès d’un fournisseur chinois qui n’a pas fourni la marchandise requise. Résultat : Madrid doit immédiatement recommander de nouveaux tests car il y a urgence.

    L’entreprise en cause s’appelle Shenzen, Bioeasy Biotechnology. C’est une entreprise chinoise qui avait été choisie par le gouvernement de Pedro Sanchez pour fournir 640 000 tests rapides afin de détecter auprès des personnes si elles sont ou non-porteuses du coronavirus.

    Or, après avoir distribué 8 000 de ces tests, les professionnels de la santé dans la capitale espagnole se sont rendu compte qu'ils n’étaient pas efficaces. En pratique, cela signifie qu’ils peuvent parfaitement donner négatif un individu qui serait contaminé par le Covid-19.

    Camouflet

    Pour les autorités espagnoles, il s'agit d'un camouflet, d’autant que l’ambassade de Chine à Madrid a précisé que l'entreprise en question n’avait pas de licence et qu’elle n’aurait donc pas dû être retenue.

    L’opposition conservatrice a exprimé sa colère. Un des responsables du Parti populaire (droite libérale) a même exigé la démission du leader socialiste Pedro Sanchez. Ce dernier a reconnu son erreur et a immédiatement commandé 640 000 nouveaux tests auprès d’une autre entreprise chinoise.

    Ce retard est problématique car ces tests doivent de toute urgence être utilisés pour dépister le personnel soignant, particulièrement touchés en Espagne par la pandémie.

    RFI


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  • Fallait-il vraiment le préciser ? Non, promener une poule n’entre pas dans les dérogations accordées par les autorités en cette période de confinement, mis en place pour lutter contre la pandémie de coronavirus.

    Alors qu’en France, un couple avait été verbalisé pour avoir promené un lapin, le message du confinement de la population semble également avoir du mal à passer en Espagne. Un exemple avec cet homme, qui a eu l’idée de promener une poule tenue en laisse.

    Bien sûr, la vidéo sur laquelle on le voit balader le gallinacé est devenue virale aussitôt publiée sur les réseaux sociaux. Elle a donc attiré l’attention de la Guardia Civil de Lanzarote, dans l’archipel espagnol des Canaries.

    Identifié, l’homme âgé de 51 ans qui habite à Uga, au sud de Lanzarote, a été verbalisé pour le non-respect des mesures de limitation de circulation imposées par l’état d’urgence, déclaré le 14 mars dernier en Espagne.

    Entre 601 et 30 000 euros d’amende

    Les investigations des policiers ont démontré que l’accusé avait lui-même publié la séquence en ligne, où on le voit promener sa poule attachée à une corde.

    L’addition risque d’être salée car pour cette petite balade, le quinquagénaire encourt une amende comprise entre 601 et 30 000 euros, rapporte La Vanguardia. La pandémie de Covid-19 a déjà coûté la vie à 21 personnes dans les îles Canaries.

    ACTU 17


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  • L'Espagne a enregistré 738 décès supplémentaires en l'espace d'une journée, selon un bilan rendu public mercredi. Un chiffre qui porte à 3 434 le nombre de décès liés au coronavirus, faisant passer le nombre de morts en Espagne au-dessus du bilan chinois.

    Le coronavirus a désormais plus tué en Espagne qu'en Chine, berceau de la pandémie. Avec 3 434 morts, le nombre de décès liés à l'épidémie de Covid-19 en Espagne a dépassé, mercredi 25 mars, celui de la Chine continentale, selon les chiffres publiés par le ministère de la Santé espagnol.

    En l'espace de 24 heures, l'Espagne a enregistré 738 décès supplémentaires, soit une progression de plus de 27 %.

    Au total, le pays compte désormais 47 160 cas confirmés de contamination, contre 39 673 la veille, soit une augmentation de près de 19%.

    France 24

    C'est la vengeance des taureaux et des lévriers !


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  • L'ampleur de la pandémie en Espagne apparaissait clairement mardi, alors que le bilan s'alourdit dans le pays. Des morts ont été retrouvés abandonnés par l'armée dans des maisons de retraites, tandis qu'à Madrid, une patinoire était convertie en morgue.

    C'est une vision de cauchemar qu'ont découvert des soldats espagnols dans des maisons de retraites du pays. Envoyés pour désinfecter les lieux après que des dizaines de décès liés au coronavirus ont été enregistrés dans des établissements à Madrid et en Castille-La Manche, les militaires ont fait de choquantes découvertes, selon Margarita Robles, la ministre espagnole de la Défense. «Au cours de certaines visites, l'armée a pu voir des personnes âgées absolument abandonnées, parfois même des morts dans leurs lits», a-t-elle déclaré à la chaîne de télévision Telecinco, lundi.

     

    «Nous allons être implacables et inflexibles avec la façon dont les personnes sont traitées dans ces résidences», a promis la ministre. Selon les médias espagnols, les maisons de retraites sont submergées par le nombre de décès et les services funéraires seraient dépassés.

    L'Espagne est le deuxième pays le plus touché par la pandémie en Europe, derrière l'Italie. Lundi, 462 nouveaux décès ont été répertoriés, portant le total de 2182 morts. Selon les données du European Centre for Disease Prevention and Control (ECDC), l'épidémie progresse très rapidement ces derniers jours en Espagne.

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    L'Espagne est le troisième pays avec le plus grand nombre de victimes du Covid-19, derrière l'Italie et la Chine, mais devant l'Iran et la France. Une catastrophe sanitaire de très grande ampleur paraît à l'horizon dans le pays. Mardi matin, le quotidien «El Pais» titrait : «L'épidémie se propage en Espagne plus largement et plus rapidement qu'en Italie».

    Une patinoire transformée en morgue

    Pour faire face au bilan humain considérable, les autorités locales de Madrid ont pris une décision radicale : aménager une patinoire en morgue. Plus de 1200 personnes sont décédés dans la capitale et l'entreprise funéraire municipale, dans l'incapacité de protéger son personnel, ne peut plus faire face. «Les préparatifs ont débuté pour habiliter l'installation prêtée par le Palacio de Hielo (le Palais de Glace) pour accueillir des cadavres, et ainsi faciliter le travail des services funéraires, face à cette situation exceptionnelle», a annoncé la région de Madrid, citée par l'AFP. Elle devait entrer en service rapidement. Dès lundi soir, des militaires des unités d'urgences de l'armées étaient à pied d'œuvre sur le site du Palacio de Hielo, ainsi qu'en témoignant des photographies les montrant en combinaisons protectrices.

    La patinoire est située non loin de la foire de Madrid, également mobilisée durant la crise. Ses pavillons ont été transformés en hôpital de campagne, d'une capacité de 1500 lits. Selon l'AFP, cette installation pourrait à terme en accueillir 5500.

    L'Espagne a, comme d'autres pays en Europe, mis en place des mesures drastiques pour contenir le virus. L'état d'urgence y a été décrété depuis dix jours. Ses frontières terrestres sont fermées, les habitants sont confinés. Jeudi dernier, la fermeture de tous les hôtels du pays a été ordonnée.

    Paris Match


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  • Coronavirus : Contaminé, un policier espagnol de 37 ans sans problème de santé décède

    Il s’agit du premier décès parmi les forces de l’ordre en Espagne. Pedro Alameda travaillait à la Guardia civil, une force de police à statut militaire. Il était âgé de 37 ans et n’avait aucune pathologie antérieure, selon un communiqué de l’Association unifiée des gardes civils (AUGC) cité par El País.

    Père d’une petite fille de 5 ans, le policier avait été admis il y a quelques jours à l’hôpital Quirón de Alcorcón, une commune de la Communauté de Madrid, ville la plus touchée par le Covid-19 en Espagne. Il était jusqu’ici dans un état grave.

    « Nous ne pouvons que manifester toute notre affection et notre soutien à sa famille »

    « Nous voulons exprimer notre désolation face à cette tragédie, qui rejoint celle de plus de cinq cents familles en Espagne qui ont perdu un être cher à cause de cette épidémie. Nous ne pouvons que manifester toute notre affection et notre soutien à sa famille et à tous les proches de Pedro et rappeler une fois de plus à tous les citoyens de se conformer strictement aux mesures établies par le gouvernement pour tenter de faire face à cette menace sans précédent », indique l’AUGC dans son communiqué.

    En Espagne, le dernier bilan du coronavirus est de 638 décès et 14 769 cas recensés.

    ACTU 17


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  • Les chiffres espagnols du coronavirus n'en finissent plus d'augmenter. Ce mercredi, le nouveau bilan communiqué à la mi-journée par les autorités fait état d'un total de 13.716 cas et 558 morts.

    Plus de 2.500 nouveaux cas et 67 morts ont donc été enregistrés en 24 heures. Le chef du gouvernement Pedro Sanchez a averti devant un parlement quasi vide que "le plus dur restait à venir."

    En outre, 774 personnes sont par ailleurs en soins intensifs tandis que 1081 ont été guéries.

    Confinement total

    La région de Madrid est de loin la plus touchée avec 5.637 cas et 390 morts. Faute de tests suffisants, le nombre de cas pourrait toutefois, comme dans d'autres pays, être sous-estimé en Espagne.

    En effet, rien que dans la région de Madrid, les autorités avaient indiqué mardi suivre par téléphone 20.270 patients "confirmés ou suspects".

    "Je demande des sacrifices mais aussi de l'union (...). C'est ce qu'il faut faire pour sauver de nombreuses vies, de nombreuses entreprises, pour sauver notre économie", a ajouté Pedro Sanchez.

    En état d'alerte depuis samedi, l'Espagne a interdit à ses 46 millions d'habitants de sortir de chez eux sauf pour des raisons de première nécessité comme aller travailler ou acheter à manger. 

    BFM.TV


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  • Une explosion, suivie d’un incendie, s’est produite mardi soir 14 janvier dans un site industriel près de Tarragone, dans le nord-est de l’Espagne. Sur Twitter, la Protection civile a évoqué un « accident chimique » et a demandé aux riverains de rester confinés. « Le confinement est préventif si vous ressentez une gêne », a ensuite précisé la Protection civile, ajoutant qu’il n’y a « AUCUN enregistrement de nuage toxique ».

    Des habitants ont posté sur les réseaux sociaux des vidéos montrant un important incendie et une colonne de fumée, dont le journal El Pais a fait un montage.

    Selon le quotidien espagnol, au moins quatre personnes ont été blessées. Dix brigades de pompiers sont à l’œuvre pour éteindre l’incendie.

    Le Monde.fr


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  • Rennes : Dix-neuf ans de prison pour des viols et agressions sexuelles sur quatorze enfants

    L’homme a été jugé pendant deux semaines et demi par la Cour d’assises d’Ille-et-Vilaine

     

    Il avait toujours nié les faits lors de l’instruction avant de finalement tout reconnaître lors du procès. Un maçon de 59 ans a été condamné vendredi à 19 ans de réclusion par la cour d’assises d’Ille-et-Vilaine pour cinq viols et treize agressions sexuelles commis sur quatorze enfants, dont ses deux filles.

    Le parquet avait requis jeudi vingt ans de réclusion, le maximum encouru. L’homme condamné a également été inscrit au Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles ou violentes.

    Des victimes âgées de 6 à 15 ans

    L’enquête avait démarré en 2015 après le témoignage d’un garçon de 12 ans contre l’accusé, déjà condamné en 2007 à deux ans et demi de prison pour une agression sexuelle en 2005 sur une jeune mineure.

    Lors de l’enquête, plusieurs autres enfants de proches du couple, âgés de 6 à 15 ans, avaient témoigné de scènes d’attouchements, d’agressions sexuelles, de viols. Les deux filles de l’accusé avaient elles aussi témoigné d’une série d’agressions sexuelles et de viols pendant plusieurs années.

    20 Minutes

    En plus des années de prison, qu'il ne fera sans doute pas entièrement, faudrait les lui couper !


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  • Espagne: le corps d'une octogénaire retrouvé dans sa salle de bains quinze ans après sa mort

    Il aura fallu 15 ans à sa famille pour s'inquiéter de son silence. Mardi 22 octobre, le corps d'Isabel Rivera a été découvert dans la salle de bains de son appartement à Madrid, rapporte la presse espagnole citée par Franceinfo. Ses voisins racontent l'avoir vue pour la dernière fois en septembre 2004 et avoir à plusieurs reprises fait part d'une forte odeur se dégageant de son logement au gestionnaire de l'immeuble qui ne s'en est jamais préoccupé.

     

    Veuve depuis la mort de son mari avec qui elle n'avait pas eu d'enfant, Isabel Rivera n'entretenait pas de bonnes relations avec sa famille. C'est pourtant l'une de ses nièces qui a alerté les policiers et les pompiers qui ont pu accéder à son appartement situé au 2e étage, par le balcon. Son corps a été retrouvé dans la salle de bains dans un excellent état de conservation grâce à l'humidité et l'aération de la pièce, relatent les médias locaux.

    Selon les enquêteurs, Isabel Rivera, née en 1926, se serait éteinte à l'âge de 78 ans d'une mort naturelle.

    BFM.TV


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  • Un jeune torero gravement blessé d'un coup de corne à Madrid

    Illustration ; des cons d'espagnols à une corrida

    Un jeune torero espagnol a été gravement blessé d'un coup de corne de taureau ce samedi lors d'une corrida dans les arènes de Madrid à l'occasion de la fête nationale espagnole, ont annoncé les organisateurs. 

    Gonzalo Caballero, 27 ans, est présenté par la presse espagnole comme le petit ami d'une des nièces du roi d'Espagne Felipe VI, Victoria Federica, qui assistait à la corrida.

    "Pronostic très grave pour Gonzalo Caballero. Coup de corne dans la cuisse gauche avec deux trajectoires, une de 30 centimètres et l'autre de 25" qui a sectionné l'artère fémorale, ont annoncé sur Twitter les organisateurs de la corrida.

    Le blessé a été opéré sous anesthésie générale puis hospitalisé. Les arènes de Madrid comptent deux blocs opératoires où les toreros encornés sont pris en charge. 

    La presse espagnole avait déjà annoncé en mai que ce jeune torero avait souffert d'un grave coup de corne à la cuisse gauche, dans les mêmes arènes.

    BFM.TV

    Bien fait pour sa gueule !

     


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  • Un lycéen de Sarcelles, dans le Val-d'Oise, âgé de 19 ans, a été placé en garde à vue jeudi, soupçonné d'avoir violemment frappé lundi son professeur d'éducation physique, selon une source proche de l'enquête.

    L'enseignant, en arrêt maladie pour une durée de cinq semaines, a déposé plainte jeudi, selon cette même source. Le lycéen avait de son côté déposé une main courante dès mardi, évoquant "un échange de coups" avec son professeur de sport.

    Une vidéo publiée sur les réseaux

    Selon Le Parisien, qui a révélé l'affaire, le professeur du lycée de la Tourelle aurait été violemment agressé lundi par cet élève de première à qui il aurait demandé de retirer sa casquette. Il aurait reçu plusieurs coup de poing, toujours selon le quotidien. La scène, filmée, a été relayée sur les réseaux sociaux.

    Un assemblée générale des personnels du lycée a eu lieu jeudi pour décider des suites à donner à cet incident, a indiqué l'établissement.

    Europe 1

    Cet élève est majeur, qu'on le mette en prison pour coups et blessures !


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  • Attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe : cinq compagnes de détenus en garde à vue

    La prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) accueille des détenus particulièrement dangereux, radicalisés ou posant des problèmes de discipline.

     

    Âgées de 18 à 39 ans, cinq femmes ont été interpellées ce mardi dans les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Loiret dans le cadre de l'enquête sur l'attaque au couteau de la prison de Condé-sur-Sarthe en mars dernier. 

    Cinq femmes ont été placées en garde à vue mardi 17 septembre dans l'enquête sur l'attaque au couteau de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne). "Il s'agit des compagnes de codétenus de Michaël Chiolo", auteur présumé de l'attaque au couteau survenue le 5 mars, a précisé à l'AFP une source proche du dossier. 

    Âgées de 18 à 39 ans, ces femmes ont été interpellées dans les Alpes-Maritimes, les Bouches-du-Rhône, les Hauts-de-Seine, la Seine-Saint-Denis et le Loiret.

    Elles ont été placées en garde à vue par les enquêteurs de la Sous-direction antiterroriste (Sdat).

    Deux surveillants avaient été gravement blessés dans cette attaque, menée à l'aide de deux couteaux en céramique par Michaël Chiolo, un détenu de 27 ans qui s'était radicalisé en prison. L'intervention du Raid avait abouti à l'interpellation de M. Chiolo, qui purgeait une peine de 30 ans de réclusion pour un crime de droit commun, et à la mort de sa compagne, retranchée avec lui pendant près de dix heures dans l'unité de vie familiale de la prison.

    Une vengeance

    Selon le procureur de la République de Paris Rémy Heitz, Michaël Chiolo a affirmé au moment de blesser grièvement les deux surveillants vouloir "venger" Chérif Chekatt, l'auteur de l'attaque jihadiste du marché de Noël de Strasbourg, abattu le 13 décembre par les forces de l'ordre après avoir tué cinq personnes. M. Chiolo a été mis en examen après cette attaque pour "tentative d'assassinats sur personne dépositaire de l'autorité publique en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste criminelle en récidive légale". 


    Quatre détenus de la prison de Condé-sur-Sarthe (Orne) ont également été mis en examen dans ce dossier pour "association de malfaiteurs terroristes criminelle" et, concernant l'un d'entre eux, pour "complicité de tentative d'assassinats". Parmi eux figure Jérémy Bailly, membre de la filière jihadiste de Cannes-Torcy, condamné en juin 2017 à 28 ans de réclusion criminelle pour un attentat à la grenade à Sarcelles en 2012, des projets d'attaque et des séjours en Syrie.

    L'attaque à la prison de Condé-sur-Sarthe, qui accueille des détenus particulièrement dangereux, radicalisés ou posant des problèmes de discipline, avait entraîné le blocage de plusieurs établissements pénitentiaires en France. 

    Orange


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  • Une jeune femme de 20 ans est morte dimanche matin dans un accident de trottinette électrique, à Reims, rapporte France Bleu Champagne-Ardenne ce lundi 2 septembre. L'accident a eu lieu vers sept heures du matin. La jeune femme a été percutée par une voiture. Elle ne portait ni casque, ni aucune autre protection, et circulait sur la trottinette électrique avec des écouteurs dans les oreilles. En état de choc à l'arrivée des secours, l'automobiliste dit ne pas avoir vu la jeune fille.

    Elle a été transportée inconsciente à l'hôpital et est décédée plus tard dans la journée. Une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances exactes de l'accident.

    Une nouvelle réglementation sur les trottinettes électriques doit être intégrée par le gouvernement dans le Code de la route dans les prochaines semaines. Le projet de loi d'orientation sur les mobilités (LOM) est de retour à l'Assemblée nationale de ce lundi jusqu'à mercredi.

    France info


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