• En Galice, dans le nord-ouest de l’Espagne, le village d’Aceredo a refait surface mi-février. Il avait été englouti en 1992 lors de la mise en service du barrage d’Alto Lindoso, près de la frontière portugaise. Trente ans plus tard, 70 maisons sont réapparues en raison de la forte sécheresse qui frappe la région.


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  • Il a été blessé lors d’une fête taurine à Pedreguer, dans la province d’Alicante (Espagne). Un Français de 64 ans est décédé après avoir passé neuf jours à l’hôpital, annonce des sources proches du dossier à la presse espagnole. On ne sait pas si la victime a été encornée lors de cette fête traditionnelle qui s’est déroulée les 8 et 9 juillet et qui consiste à lâcher des bovidés dans les rues de la ville. Encorné, percuté ou piétiné ? Selon les sources proches du dossier, citées par El Espanol, cette théorie n’est pas exclue mais le sexagénaire pourrait aussi avoir été percuté ou piétiné par un animal. Une enquête est en cours pour déterminer les circonstances du drame. Selon Las Provincias, ce n’est pas la première fois qu’un Français est tué lors de cette fête traditionnelle à Pedreguer : en 2015, un autre touriste avait été encorné par un taureau. Le conseil municipal avait alors décrété une journée de deuil.

    Le Parisien


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  • Espagne. Colère de la population après la mort de millions de poissons asphyxiés par les nitrates

    Plusieurs milliers de personnes se sont réunies près de la mer Mineure pour dénoncer les pratiques agricoles dangereuses et l’usage de produits chimiques ayant un impact sur la biodiversité.

    Des dizaines de milliers de personnes ont formé samedi en signe de deuil une chaîne humaine autour de la mer Mineure, une lagune salée dans le sud-est de l’Espagne où des tonnes de poissons sont morts des suites d’une pollution aux nitrates agricoles, ont indiqué les organisateurs et des responsables de la région.

    Les images des poissons morts, privés d’oxygène par cette pollution et cette atteinte à l’environnement, ont fait la une des médias espagnols et traumatisé l’opinion publique.

    De gigantesques files d’habitants se tenant par la main et auxquels se sont joints des touristes, beaucoup en tenue de plage, se sont formées le long de la plage d’Alcazares, qui s’étire sur six kilomètres sur les rivages de la lagune, d’une longueur de 73 km, selon des images de la manifestation.

    Les organisateurs ont estimé à 70 000 le nombre de participants. « C’était une manifestation de deuil pour la mort des animaux… nous avons voulu que les gens leur demandent d’une manière ou d’une autre pardon pour la barbarie que nous leur avons infligée », a déclaré à l’AFP Jesus Cutillas, l’un des organisateurs.

    « Depuis des jours, nous avons assisté à la mort de millions et de millions de poissons et voir toutes ces morts inutiles blesse », a-t-il souligné.

    L’objectif de cette action était de « montrer notre détermination pour que cela ne se reproduise plus jamais », a-t-il expliqué.

    De nombreux participants étaient en noir tandis que d’autres brandissaient des pancartes avec l’inscription : « SOS Mar Menor ».

    Pratiques illégales

    Selon les scientifiques, la principale cause du manque d’oxygène est l’arrivée dans la lagune de centaines de tonnes de nitrates utilisés comme fertilisants par l’agriculture intensive, qui favorisent la croissance d’algues asphyxiant l’écosystème aquatique, un phénomène appelé eutrophisation.

    Lundi, au septième jour de l’hécatombe, les responsables de la région avaient indiqué que 4,5 à 5 tonnes de poissons avaient été récupérées, mais samedi la quantité de poissons et d’algues ramassée s’élevait à 15 tonnes. « Les 15 tonnes de poissons morts et de biomasse (retirées du rivage) montrent que c’est vraiment une catastrophe environnementale et une urgence. On a besoin d’une aide immédiate pour l’écosystème », a déclaré dans un tweet la maire de la ville voisine de Carthagène Noelia Arroyo.

    La ministre de la Transition écologique, la socialiste Teresa Ribera, qui s’était rendue sur place mercredi, avait accusé le gouvernement régional, aux mains du Parti populaire (droite), de fermer les yeux sur des pratiques agricoles illégales dans la plaine de Carthagène (Campo de Cartagena), une vaste zone d’agriculture intensive.

    Les organisations d’agriculteurs affirment qu’ils respectent scrupuleusement la législation environnementale !

    Ouest-France


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  • Attention, alerte sanitaire. Les autorités sanitaires françaises ont procédé au retrait de lots de saucisses sèches espagnoles après 45 cas de salmonellose, a indiqué ce samedi le ministère de l’Agriculture.

    Le lien avec la consommation de fuets (saucisses sèches catalanes), fabriqués par l’établissement espagnol Embutidos Caula SL, « a été confirmé le 15 juillet par la Direction générale de l’alimentation, la Direction générale de la santé et Santé publique France », indique le ministère dans un communiqué.

     

    45 cas de salmonelloses (dont 27 concernant des enfants), dont les souches partagent les mêmes caractéristiques génétiques, ont été identifiés entre le 24 juin et le 15 juillet.

    La Direction générale de l’alimentation, la Direction générale de la santé et Santé publique France ont donc décidé de faire procéder à un retrait-rappel dans les différentes enseignes concernées de tous les lots de fuets portant la marque de salubrité ES 10.01865/GE CE.

    Plusieurs cas de contaminations liées aux saucisses sèches ont été constatés ces dernières années. 18 cas de salmonellose avaient été identifiés en septembre 2020 en lien avec des fuets fabriqués par un autre établissement espagnol, donnant lieu à deux hospitalisations sans gravité.

    Troubles gastro-intestinaux d’apparition brutale

    Une autre vague de rappels avait été lancée en novembre 2020 concernant des lots de saucisses sèches et de rosettes tranchées fabriquées près de Lyon et commercialisées par plusieurs enseignes de la grande distribution.

    Les autorités sanitaires recommandent aux personnes qui détiennent encore les produits concernés « de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente où ils ont été achetés ».

    Les toxi-infections alimentaires causées par les salmonelles se traduisent par des troubles gastro-intestinaux (diarrhée, vomissements) d’apparition brutale, souvent accompagnés de fièvre et de maux de tête qui surviennent généralement de 6 à 72 heures après la consommation des produits contaminés.

    Les personnes qui auraient consommé ces produits et qui présenteraient ces symptômes sont invitées à consulter leur médecin traitant en lui signalant cette consommation. En l’absence de symptômes dans les sept jours après la consommation des produits concernés, « il est inutile de s’inquiéter et de consulter un médecin », précise le ministère.

    Le Parisien


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  • Les professionnels espagnols du tourisme se sont inquiétés mercredi d’un « coup de frein » sur les réservations après les mises en garde de la France et de l’Allemagne sur les voyages en Espagne, confrontée à une nouvelle flambée de cas de Covid-19.

    « Nous constations clairement des signes de reprise très prometteurs et des éclaircies chaque fois plus encourageantes à l’horizon », a déclaré José Luis Zoreda, le vice-président exécutif de l’organisation patronale Exceltur, lors d’une conférence de presse.

    Mais « la réalité a été stoppée net par la répercussion négative au niveau international de la reprise des contaminations », a-t-il ajouté, évoquant « un coup de frein soudain sur les réservations - pas encore d’annulations - sur les marchés étrangers ».

    Le mal est fait

    Après une année 2020 catastrophique pour la deuxième destination touristique mondiale, la situation reste difficile pour le secteur du tourisme, qui a enregistré au deuxième trimestre un chiffre d’affaires inférieur de 69% à ce qu’il était à la même période en 2019, avant la pandémie.

    « Plus que tout, nous devons essayer d’améliorer la communication sur la réalité sanitaire, qui pourrait souligner - sans que cela signifie que nous devions arrêter de faire attention - que le niveau d’inquiétude, les niveaux d’hospitalisations, d’occupation des lits en soins intensifs, ne sont en rien comparables à ceux de l’année passée », a plaidé Jean-Louis Zoreda.

    L’Espagne est confrontée depuis quelques semaines à une nouvelle vague d’infections au Covid-19, avec une explosion du taux d’incidence à 436 cas pour 100.000 habitants sur les 14 derniers jours, selon les chiffres officiels publiés mardi.

    Plusieurs régions ont remis en place des restrictions sanitaires, allant jusqu’à réimposer des couvre-feux ou fermer certains lieux (bars, discothèques...).

    Face à cette reprise de l’épidémie, l’Allemagne, qui avait déjà classé la péninsule « zone à risque », y a ajouté les Baléares et les îles Canaries, tandis que le secrétaire d’Etat français aux Affaires européennes, Clément Beaune, a fortement déconseillé la semaine dernière aux Français de venir passer leurs vacances en Espagne.

    Son message a ensuite été tempéré par le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, qui a simplement appelé les Français à se faire vacciner avant de traverser les Pyrénées. Mais pour l’Espagne, le mal est fait.

    Exceltur a insisté sur la nécessité pour l’Espagne de négocier sur le plan diplomatique le respect du cadre du pass sanitaire européen.

    L'OBS

    Le ministre des Affaires européennes exhorte les Français à éviter « le Portugal et l’Espagne » pour les vacances


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  • Un homme a été interpellé après une course-poursuite avec la police à Agen (Lot-et-Garonne) dans la nuit de mercredi à jeudi. Il n’a pas hésité à forcer un barrage de police alors que son bébé de 4 mois était dans la voiture, non attaché.

    Encore un refus d’obtempérer. Cette fois, tout est parti d’un simple contrôle dans les rues d’Agen pour des plaques d’immatriculation illisibles. Vers 3 heures, une patrouille de police a demandé à cet automobiliste de s’arrêter. Mais il a refusé et a accéléré raconte La Dépêche.

    Le chauffard a pris la fuite et a enchaîné les infractions. Un peu plus loin, il s’est retrouvé face à un barrage de police. Il ne s’est pas arrêté pour autant et a même roulé sur un stop-stick (une herse, ndlr), poursuivant sa fuite sur les jantes.

    Quelques centaines de mètres plus loin, son véhicule s’est arrêté. Il a pris la fuite à pied, abandonnant sa compagne et son bébé de 4 mois. L’enfant était assis à l’arrière et n’était pas attaché.

    Le fuyard a été rapidement rattrapé par les fonctionnaires puis interpellé. Il conduisait sans permis de conduire et a terminé sa nuit en garde à vue.

    ACTU 17


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  • Chiens de chasse : une fosse commune de l’horreur découverte en Espagne

    Chiens de chasse : une fosse commune de l’horreur découverte en Espagne

    Le Service de Protection de la Nature de la Garde Civile Espagnole a déclaré avoir ouvert une enquête après la découverte macabre d’une fosse commune non loin de Cuenca, dans laquelle des dizaines de cadavres de lévriers de chasse, appelés Galgos en espagnol, furent retrouvés.

    Une fosse vieille de plusieurs années

    Les cadavres présentent différents stades de décomposition, ce qui semble indiquer que cette fosse est utilisée depuis plusieurs années par des chasseurs qui viennent se débarrasser de leurs chiens en toute impunité. Certains cadavres d’animaux ont même été retrouvés enfermés dans des sacs plastiques. Selon les premiers éléments de l’enquête, les canidés ont été jetés depuis le haut du gouffre, et abandonnés au fond de la fosse dont ils ne peuvent pas sortir, où ils sont morts de faim et de soif, quand ils n’ont pas été tués par la chute ou battus à mort au préalable.

     

    Ce gouffre de la région de Cuenca se trouve dans une zone escarpée et très difficile d’accès, ce qui indique deux choses aux enquêteurs. D’une, les chasseurs qui y ont jeté leurs chiens connaissaient très bien la région et doivent donc y habiter. Ensuite, ils espéraient que leurs méfaits ne seraient pas découvert en choisissant un endroit aussi éloigné de toute activité humaine. Raté.

    Des chiens utilisés comme des outils

    Pour les chasseurs d’Espagne, le Galgos n’est pas un être vivant, tout au plus un outil utilisé pour lever du gibier. Les femelles Galgas sont utilisées pour donner des portées de chiots. Mais une fois devenues trop âgées, elles sont mises à mort ou abandonnées. Quant aux mâles, leur sort est tout aussi terrible.

    Quand il devient trop vieux, il est battu jusqu’à ce que mort s'ensuive. S’il jette le déshonneur sur le chasseur en manquant sa proie, il est pendu à un arbre et meurt d’une longue agonie, ses pattes arrière touchant à peine le sol afin que la mort soit plus longue et plus douloureuse.

    Une association prend la main

    Carolina Rey, porte-parole de l’association espagnole de défense animale Hogar de Paz (Le foyer de la paix), a déclaré qu’elle allait porter plainte et poursuivre en justice les auteurs de ces actes de barbarie.

    L’association a en effet bon espoir de retrouver les auteurs de ces monstruosités, puisqu’une partie de ces chiens étaient porteurs de puces électroniques. Carolina Rey appelle à diffuser les images de cette effroyable fosse commune afin que les esprits s’éveillent sur le sort des Galgos d’Espagne, et que leur mort ne soit pas inutile.

    Oh My Mag

    Saloperies d'espagnols !

     


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  • "Préoccupé par la situation" : Manuel Valls quitte Barcelone et signe son retour à la politique en France !

    C'est décidé, Manuel Valls revient à la vie politique en France. C'est ce qu'il a annoncé samedi, dimanche, puis lundi, dans la presse espagnole.

    A un an de l'élection présidentiel, il ne cache pas qu'il a un "ardent désir d’être utile" en France, comme il l'explique dans son livre "Pas une goutte de sang français". Bien décidé à peser dans le débat politique, Manuel Valls a décidé de rendre son siège de conseiller municipal, à Barcelone, pour se consacrer pleinement à la France.

     

    Lui qui multiplie les plateaux télé, les parutions presses, a fait une annonce de taille, ce week-end, dans la presse espagnole. Le 22 mai dernier, d'abord, il a accordé une interview au quotidien El Mundo. L'ancien premier ministre y a assuré : "Mon temps de conseiller municipal est révolu. Je vais bientôt rendre ma démission publique". Et d'ajouter : "maintenant, je sais que je suis majoritairement Français: dans mes valeurs, dans ma façon de penser et de faire de la politique".

     

    Une nouvelle qu'il a d'ailleurs confirmé dés le lendemain dans un entretien au quotidien Metropoliabertia. En poste en Catalogne depuis le 15 juin 2019, le mari de Susana Gallardo Terrededia a annoncé "Mon temps en tant que conseiller est terminé. Je considère que pour moi, c’est un cycle qui est terminé. Le projet 2018 était très beau mais cette étape de ma vie est terminée, mon futur à Barcelone est comme citoyen".

    Ce lundi, dans les colonnes de La Vanguardia, Manuel Valls a également assuré qu'il regagnait par Paris, parce qu'il était "préoccupé par la situation en France".

    Une nouvelle qui a de quoi surprendre, vu les précédentes déclarations de l'homme de gauche... "Quoi qu’il arrive, je resterai. Je suis de Barcelone", avait-il pourtant promis à ses électeurs, en septembre 2018, alors qu'il faisait campagne aux municipales, de l'autre côté des Pyrénées...

    Télé 7 Jours


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  • George Karaivaz, bien connu des Grecs, a été assassiné par balles vendredi 9 avril, alors qu’il rentrait à son domicile dans la banlieue de la capitale. L’attaque, dont la préméditation fait peu de doutes, a été perpétrée par deux hommes à moto qui ont tiré à une quinzaine de reprises dans sa direction.

    « Un choc pour nous tous. » C’est ainsi que la porte-parole du gouvernement grec a qualifié l’assassinat du journaliste Giorgos Karaïvaz. « Une attaque de la démocratie », a renchéri le parti d’opposition Kinal. Ce type d’assassinat est « un acte odieux et lâche », a réagi pour sa part Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne sur Twitter (en anglais et en grec). 

    Giorgos Karaïvaz, abattu par deux individus à moto vendredi, était marié et père d'un enfant.  Il a été tué sur le coup, au moment où il sortait de son véhicule, au retour d'une émission de télévision.

    Le journaliste était notamment connu des Grecs pour sa participation à « Des vérités avec Zina », une émission quotidienne de la chaîne de télévision privée Star TV. Le quinquagénaire était également le fondateur et dirigeant de Bloko, un site internet où les questions de corruption tenaient une place centrale.

    Deux collègues de Giorgos Karaïvaz ont commenté sur ce même site l'assassinat survenu vendredi : « Certains ont choisi de le faire taire et de le forcer, avec des balles, à ne plus écrire ses articles. Ils l’ont exécuté devant chez lui. »

    En 2010, Socratis Giolias, un journaliste d’investigation, avait lui aussi était abattu par balles devant son domicile de la banlieue d’Athènes. Et lui aussi travaillait sur des affaires de corruption. À l’époque, l’attaque avait été officiellement revendiquée par un groupe d’extrême-gauche, mais l’enquête n’avait pas abouti.

    RFI Avec notre correspondant à Athènes, Joël Bronner


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  • Un homme suspecté d'une longue série de vols avec effraction a été interpellé par la police

    Pas de saison 2 à sa série. Mercredi, un sexagénaire a été interpellé dans la zone commerciale d’Englos, près de Lille, dans le Nord. Selon la Direction départementale de la sécurité publique (DDSP), le mis en cause est suspecté de plus d’une vingtaine de cambriolages commis dans l’agglomération lilloise.

    Au mois de décembre dernier, les policiers de la sûreté urbaine de Lille ont remarqué une hausse sensible des vols ou tentatives de vol avec effraction sur leur territoire de compétence. Ils ont entrepris des investigations, lesquelles leur ont permis de découvrir qu’un certain nombre de faits semblables avaient aussi été commis dans un plus large périmètre, y compris en zone gendarmerie.

    Au moins quatre vols chez des personnes mortes

    Entre rapprochements, recoupements et exploitation de la vidéosurveillance, les enquêteurs ont pu attribuer à la même personne pas moins de 24 faits. L’individu ne semblait pas difficile sur le choix de ses cibles puisqu’il cambriolait à peu près tout ce qui pouvait l’être. Plus macabre, les policiers lui imputent au moins quatre vols avec effraction dans des domiciles de personnes récemment décédées.

    Les investigations ont permis aux policiers d’identifier un suspect, un homme âgé de 61 ans. C’est lui qui a été interpellé mercredi, en début d’après-midi, au centre commercial Englos. Il a été placé en garde à vue.

    20 Minutes


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  • La cour d’assises de Moulins juge un homme de 77 ans depuis mardi 2 mars. Cet habitant de Montluçon est accusé d’avoir tué sa femme en septembre 2018. Il l’aurait étranglée après avoir reçu des reproches, puis avait tenté de se suicider en avalant plusieurs médicaments et en se poignardant.

    Un retraité de 77 ans comparaît depuis mardi 2 mars devant la cour d’assises de Moulins (Allier). Il est accusé du meurtre de sa femme de 69 ans, commis chez eux à Montluçon le 24 septembre 2018, relate le quotidien La Montagne.

    À la barre, il a tenté d’expliquer son geste. Sa femme lui aurait fait de nombreuses remarques sur sa consommation d’alcool et de tabac. Excédé, il aurait pris un foulard pour l’étrangler afin de « la faire taire ». Incapable de s’arrêter, il aurait fini par la tuer.

    Un « couple parfait »

    Le septuagénaire avait ensuite ingéré de multiples médicaments et s’était poignardé avec un couteau de cuisine, bien décidé à se suicider. Alertés par les voisins deux jours plus tard, les secours avaient retrouvé le corps de la retraitée et son époux, toujours vivant. « Je voulais disparaître. Mais la mort n’a pas voulu de moi, alors je dois payer ma dette », a-t-il déclaré au cours de l’audience.

    Comme le rapporte le quotidien régional, l’incompréhension règne toujours pour la famille de la victime. « Pour moi c’était le couple parfait », a assuré sa sœur, partie civile. Le verdict devrait être rendu dans les jours à venir.

    Ouest-France


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  • MEXIQUE: UN FOOTBALLEUR AMPUTÉ D'UNE JAMBE APRÈS AVOIR ÉTÉ ÉLECTROCUTÉ

    Rodrigo Alain Cuevas, attaquant de troisième division mexicaine, a dû être amputé de la jambe gauche après une électrocution causée par un accident domestique.


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  • Le chef de l'état-major de l'armée espagnole, le général Miguel Ángel Villarroya, a présenté sa démission, samedi 23 janvier 2021, après avoir été accusé d'avoir utilisé un passe-droit pour se faire vacciner contre le Covid-19, a annoncé l'état-major dans un communiqué. « Dans le but de préserver l'image des forces armées, le général Villarroya a présenté aujourd'hui sa demande de démission au ministre de la Défense », peut-on lire dans ce texte. Selon une source au sein de l'état-major interrogée par l'Agence France-Presse, sa démission a été acceptée par la ministre, Margarita Robles.

     

    Vendredi, le ministre de l'Intérieur a limogé un lieutenant-colonel, agent de liaison de la Garde civile à l'état-major des armées, à la suite d'un rapport interne ayant conclu qu'il avait reçu le vaccin sans être prioritaire, dans un pays où plus d'un million de doses sont actuellement administrées en priorité au personnel médical et aux résidents des maisons de retraite. Plusieurs autres membres de l'état-major sont accusés dans ce rapport d'avoir indûment reçu une première dose du vaccin.

    Plusieurs démissions

    Le général de l'armée de l'air Miguel Ángel Villarroya, 63 ans, a toutefois assuré n'avoir jamais eu l'intention de « profiter de privilèges injustifiés ». Outre les militaires, des responsables politiques de différents partis ont reçu la première dose du vaccin, sans appartenir eux non plus à un groupe prioritaire. L'un d'eux, le conseiller régional de la Santé de Murcie (sud-est), Manuel Villegas, a été contraint de démissionner.

    Le Point


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  • Espagne : Forte explosion à Madrid, un immeuble éventré, au moins trois morts

     

    Une violente explosion s’est produite dans un immeuble à Madrid (Espagne) peu avant 15 heures ce mercredi, dans le quartier de la Puerta de Toledo. Le dernier bilan fait état d’au moins trois morts et plusieurs blessés.

    Une violente explosion a eu lieu juste avant 15 heures dans un immeuble situé au 104 rue de Toledo dans la capitale espagnole. Les quatre étages supérieurs du bâtiment sont entièrement détruits. Des images amateurs diffusées sur les réseaux sociaux montrent l’ampleur des dégâts.

    Les pompiers et des véhicules du SAMU sont sur place. Selon un dernier bilan donné par les médias espagnols, il y a au moins trois morts et des blessés.

    A ce stade, l’origine de cette explosion n’est pas connue. L’immeuble concerné se situe derrière une église et serait habité par des prêtres. A proximité se trouvent une maison de retraite ainsi qu’une école, qui sont en cours d’évacuation.

    Une fuite de gaz ?

    En outre, le maire de la ville José Luis Martínez Almeida, a indiqué qu’une fuite de gaz pourrait être en cause dans cette explosion. Une situation qui pourrait donc être similaire à celle qui s’est produite à Paris en janvier 2019, causant la mort de quatre personnes.

    ACTU 17


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  • Bravo le taureau ! Regardez sur YouTube


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  • Espagne : la tempête Filomena paralyse Madrid et fait trois morts

    La tempête de neige qui frappe l'Espagne depuis 36 heures a fait trois morts samedi, et continue de paralyser une partie du pays, en particulier la capitale Madrid, avec peu d'espoir d'amélioration dans l'immédiat. Selon le dernier bulletin des services métrologiques, cette vague de froid va durer jusqu'à jeudi.

    Le centre du pays, en alerte maximale, est en proie à de violentes bourrasques chargées de flocons de neige qui s'abattent sans discontinuer et sèment le désordre.

    Les axes routiers, ferroviaires et aériens ont tous été coupés et les autorités demandent à la population de rester chez elle. Près de 20 000 kilomètres sur 650 routes et ponts ont été touchés par des problèmes de circulation, a indiqué le ministère de l'Intérieur.

    « Évitons les déplacements et suivons les indications des services d'urgence. Faisons preuve de la plus grande vigilance face à la tempête Filomena », a tweeté le Premier ministre Pedro Sanchez.

    « Si, malgré les conditions météorologiques extrêmement difficiles, le nombre des incidents est relativement limité, nous déplorons tout de même la mort de trois personnes », a déclaré le ministre de l'Intérieur au cours d'une conférence de presse.

    Le roi et la reine d'Espagne ont eux fait part sur le même réseau social de « leur douleur » et de leur « préoccupation » après avoir pris connaissance des victimes de la tempête, demandant "la plus grande vigilance face aux risques de la glace et de la neige".

    L'une de ces victimes est un homme retrouvé enseveli sous la neige à Zarzalejo, au nord-ouest de Madrid, a précisé son ministère.

    1 500 automobilistes pris eu piège

    Fernando Grande-Marlaska a demandé à la population de « reporter tout déplacement par la route », tandis que les secours et les chasse-neige de l'armée ont dégagé 1 500 automobilistes pris au piège.

    Patricia Manzanares, une automobiliste, a raconté à la télévision nationale être bloquée depuis « 15 heures », sans nourriture, sur l'autoroute M-40 dans la région de Madrid. « J'y suis depuis 19 heures hier soir, nous sommes beaucoup dans ce cas, il y a 60 cm de neige et nous allons bientôt ne plus avoir d'essence (pour faire fonctionner le chauffage dans la voiture) », a-t-elle dit.

    Le ministre a insisté sur le fait que « les chutes de neige allaient devenir glacées » dans les prochains jours, des températures en dessous de -10 degrés étant en effet prévues la semaine prochaine. Selon le dernier bulletin des services métrologiques, cette vague de froid va durer jusqu'à jeudi.

    « La situation d'une extrême gravité » à Madrid

    Arbres au sol sous l'effet de la neige et du vent, voitures abandonnées et trottoirs impraticables : à Madrid, recouverte par un manteau neigeux inédit depuis un demi-siècle, malgré les appels des autorités à ne pas sortir, des habitants ont pris leurs skis comme sur la célèbre place de la Puerta del Sol ou même un traîneau tiré par cinq chiens, selon les images prises par l'AFP ou mises en ligne sur les réseaux sociaux. Une bataille géante de boules de neige a également eu lieu.

    Tous les établissements scolaires, des écoles maternelles aux universités, resteront fermés lundi et mardi, a annoncé la présidente de la région Isabel Diaz Ayuso « en attendant de voir l'évolution » de la situation.

    Les parcs y sont fermés, les bus publics suspendus tout comme la collecte des ordures. L'aéroport international Madrid-Barajas, fermé depuis vendredi soir, va garder portes closes samedi pour des « raisons de sécurité ». Une trentaine de vols ont déjà été annulés vendredi et presque autant obligés d'atterrir ailleurs.

    Les trains à destination ou en provenance de Madrid annulés

    Le match de la Liga de football entre l'Atlético Madrid et l'Athletic Bilbao a été reporté sine die, l'avion qui transportait les joueurs de l'équipe basque n'ayant pas pu atterrir dans la capitale. Le match de handball Espagne Croatie prévu samedi à 18h00 à Madrid a également été annulé, a indiqué la fédération espagnole.

    Tous les trains à destination ou en provenance de Madrid ont été annulés, a fait savoir la compagnie ferroviaire nationale Renfe, et deux lignes du métro ont vu une partie de leur trafic interrompu dans la capitale.

    Outre Madrid, l'Aragon, la région de Valence, celle de Castille-La Manche et la Catalogne ont été les zones les plus touchées par cette tempête due à une interaction entre un flux d'air très humide et relativement doux arrivant du sud-est et une masse d'air très froid. Dimanche, les chutes de neige devraient se déplacer vers le nord de l'Espagne.

    Le Parisien


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  • Dommage qu'il ne l'ait pas tué !


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  • Cet homme de 34 ans, installé dans le Val-de-Marne, écumait les bureaux de change parisiens pour le compte de trafiquants de drogue du nord de Paris. Il a été écroué sans avoir livré ses secrets.

    Arrêté avec plus de 700 000 euros en billets sa possession, un homme de 34 ans a été mis en examen fin novembre à Meaux (Seine-et-Marne), pour blanchiment avant d'être écroué. Il est soupçonné d'avoir durant les six derniers mois en Seine-et-Marne, à Paris, en Seine-Saint-Denis et dans le Val-de-Marne, stocké de l'argent provenant d'un réseau de trafiquants de drogue.

    C'est l'été dernier que les enquêteurs de la direction régionale de la police judiciaire de Versailles (Yvelines) découvrent grâce à un renseignement qu'un homme fait la tournée des bureaux de change sur Paris. « Il y change des euros contre des dollars, et à chaque fois, il prend bien garde de ne jamais échanger plus de 10 000 euros pour éviter d'attirer l'attention de Tracfin, l'organisme du ministère des Finances chargé de surveiller les irrégularités des transactions bancaires », explique une source proche du dossier.

    Les fonctionnaires le placent sous surveillance pendant plusieurs semaines et découvrent qu'il est en relation avec une équipe de dealer de cannabis et de cocaïne dont le champ d'action s'étend entre la Seine-Saint-Denis, le XIXe et le XXe arrondissement de la capitale. Leur suspect est déjà connu et condamné pour des affaires liées aux trafics, mais il semble s'être reconverti dans la gestion de gains de ses anciens « collègues ».

    Du change en dollars et en francs suisses

    L'homme est officiellement gérant de deux entreprises. La première dans la vente de textile et la seconde dans la vente de voitures à Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne). Et surtout, il reçoit de l'argent liquide des trafiquants une fois par semaine avant de se lancer dans un tour des bureaux de change dans les beaux quartiers de Paris : aux Champs-Elysées, à Opéra et à Madeleine.

    Peu après l'arrestation des trafiquants par la police parisienne, les enquêteurs versaillais décident de passer à l'action. Le 21 novembre, les policiers interpellent leur suspect à son domicile et mènent des perquisitions dans des boxes qui lui appartiennent à Ferrières-en-Brie (Seine-et-Marne) et à Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis).

    Les fonctionnaires y mettent la main sur l'équivalent de 726 000 euros en dollars et même en francs suisses. Le blanchisseur présumé est placé en garde à vue dans les locaux de la police judiciaire de Versailles et se montre peu loquace sur le fonctionnement de son système. Il assure seulement qu'il garde l'argent pour d'hypothétiques contacts. Une chose est certaine : ces personnes avaient besoin de dollars.

     

    Le blanchiment consiste à brouiller les pistes en multipliant les opérations bancaires ou financières entre divers comptes, divers établissements et concernant divers produits. Ensuite, cet argent blanchi est réinvesti dans des activités légales, en France ou à l'étranger, qui génèrent des profits.

    Le Parisien


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