• Australie : araignées et serpents envahissent des habitations pour fuir les inondations

    Après les feux de forêts fin 2019, l’Australie est désormais en proie à d’importantes inondations depuis une semaine dans la région de Sidney et en Nouvelle-Galles du Sud. Pour fuir la montée des eaux, araignées et serpents se sont rapprochés des habitations, allant jusqu’à envahir des maisons, sous les caméras des riverains. Le 24 mars, le Parc australien des reptiles a mis en garde contre une possible invasion de mygales après les inondations.

    Matt Lovenfosse, un habitant de Kinchela Creek, au sud-est de l’Australie, a trouvé la clôture de son jardin recouverte de milliers d’araignées mercredi 23 mars :

    Matt Lovenfosse a publié la vidéo sur son profil Facebook le 23 mars 2021. Sur la légende, on peut lire : "Les araignées et les serpents sont maintenant dans le jardin et partout sur la maison".

    "Les araignées ont grimpé sur la maison, sur les clôtures, sur tout ce qu’elles pouvaient", a-t-il expliqué au Guardian.

    Dans une autre vidéo qu’il a postée sur Facebook la veille, on peut voir une grande étendue d’eau recouverte d’araignées et de criquets géants :

    Start McKenzie, propriétaire de la société Sunshine Coast Snake Catchers qui intervient à la demande de particuliers pour attraper des serpents qui se seraient aventurés chez eux, indique sur Facebook avoir été débordé d’appels, au cours des derniers jours. Dans une vidéo publiée le 23 mars, on peut le voir débarrasser une riveraine d’un python de près de trois mètres qui avait trouvé refuge sur sa terrasse :

    On entend Start McKenzie commenter au début de la vidéo : "Tout est mouillé, il a plu toute la journée."

    Le professeur Dieter Hochuli de l’université de Sidney a expliqué à la BBC que lors des inondations, les animaux qui passent leurs vies cachés dans le sol ne peuvent plus y vivre. Ils essaient alors de s’établir plus en hauteur.

    Le sud-est de l’Australie est en proie aux pires inondations que la région ait connues depuis un demi-siècle. Des centaines d‘écoles ont été fermées, alors que 38 zones ont été déclarées en état de catastrophe naturelle. Les opérations de nettoyage débutent alors que les eaux ont commencé à se retirer.

    France 24


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  • Vendredi dernier, au large de la côte ouest du Salvador, un violent orage a emporté la championne de surf nationale, Katherine Diaz. Elle est morte sur le coup, après avoir été frappée par la foudre. Elle aspirait à particper aux JO l'été prochain.

    C'est un drame qui laisse une famille dans le deuil et les amateurs de surf dans l'effroi. Vendredi 18 mars, la championne salvadorienne Katherine Diaz a été retrouvée morte. Cette prometteuse surfeuse de 22 ans, qui se préparait en vue des Jeux Olympiques de Tokyo qui se tiendront cet été après un report d'un an lié à la crise du Covid-19, a été frappée par la foudre, rapportent plusieurs sources locales. Comme l'indiquent les premiers éléments de l'enquête, elle était en pleine session d'entraînement sur la plage d'El Tunco, dans le sud-ouest de ce pays d'Amérique centrale, lorsqu'un violent phénomène climatique s'est déclaré.

    Le monde du surf en deuil

    Après avoir vu la surfeuse atteinte par l'éclair et s'écrouler, des témoins présents sur la plage auraient tenter de rapidement lui porter secours, jusqu'à l'arrivée des ambulances. Mais la jeune femme est malheureusement morte dans les très courts instants qui ont suivi l'incident. L'Association de surf internationale (ISA) a confirmé ce décès, et a salué la mémoire de la victime sur Twitter. On peut ainsi lire : "Katherine incarnait la joie et l'énergie qui rendent le surf si spécial et si cher à nous tous, en tant qu'ambassadrice du sport. Elle a excellé au niveau de la compétition internationale, représentant son pays avec fierté aux World Surfing Games et au championnat du monde junior de surf". Comble de l'horreur, un membre de la famille de la championne était sur les lieux du drame. Il s'agit de son oncle, Beto Diaz.

    "Katherine est décédée instantanément"

    Celui-ci a donné plus de détail sur la terrible scène à laquelle il a assisté, expliquant que la foudre s'est déchaînée au moment où sa nièce serrait dans ses bras une amie allemande qu'elle venait tout juste de croiser. "Dès qu'elle a fini de la serrer dans ses bras, le bruit a été entendu, raconte-t-il. Son amie a également été projetée par la force de la foudre". Et d'ajouter : "Katherine est décédée instantanément". Quant à la soeur de Katherine Diaz, elle a accordé un témoignage poignant, malgré son deuil, en lui rendant ce dernier hommage : "Katherine était une fille pleine d'énergie, avec un esprit libre qui faisait que chaque jour en valait la peine. Malheureusement, elle nous a quittés. Elle est morte en faisant ce qu'elle aimait le plus".

    Télé Loisirs.fr


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  • En tout, ce sont environ 300 arbres qui ont été coupés sans autorisation, dont des vieux chênes, mais aussi des sapins de près de 50 ans. Douze plaintes ont été déposées auprès de la justice.

    En Ariège, douze plaintes ont été déposées, alors que des chênes centenaires et des sapins de près de 50 ans ont été abattus illégalement sur la commune de Perles-et-Castelet, a indiqué France Bleu Occitanie mercredi 17 mars. Ces dernières semaines, environ 300 arbres ont été coupés sans autorisation. Les parcelles sont situées à proximité de la RN20 qui mène en Andorre, une route très fréquentée.

     

    "Un massacre à la tronçonneuse", pour Hélène et Yves, un couple interrogé par France Bleu Occitanie, qui a perdu 35 chênes centenaires. Une situation "atroce", insiste Yves. Les malfaiteurs ont récupéré les plus belles pièces de bois, en pleine nuit. Un peu plus loin, autre parcelle, autre propriétaire : ce sont des sapins de 50 ans qui ont disparu, certains mesuraient 30 mètres de haut. "C'est dur, c'est un désastre", pour Christophe, "ça fait 30 ans que j’aime cette forêt", poursuit-il au micro de France Bleu Occitanie.

    "30 ans de souvenirs qui ont disparu, c’est un choc."

    Christophe, l'un des propriétaires d'arbres abattus

    "On n’a pas le droit de faire ça", s’agace le maire de la commune de Perles-et-Castelet, Gérard Durand, qui oscille entre "tristesse et colère". "Je me vois mal aller chez quelqu’un, le foutre dehors de chez lui et prendre tous ses meubles. C’est ça qui s’est passé. Il faut que ça cesse !" s’est-il agacé.

    Douze plaintes, dont une de la mairie, ont été déposées à Perles-et-Castelet. Le procureur de la République de Foix, Laurent Dumaine, dit prendre cette affaire "d’atteintes à l’environnement" très au sérieux. Il s'agira notamment d'établir un lien éventuel avec d'autres vols de bois ces derniers mois en Ariège et dans l'Aude. Certains maires de communes avoisinantes de Perles-et-Castelet ont signalé être touchés par le même phénomène et pourraient également porter plainte.

    franceinfo

    J'espère que l'on va retrouver les salauds qui ont fait ça !


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  • Le chantier de Notre-Dame de Paris, un « écocide » ? Quelques jours après l'annonce par Roselyne Bachelot de la récolte de 2 000 chênes centenaires pour la reconstruction de la cathédrale, une pétition signée par quelque 41 530 personnes se plaint de l'« aberration » que représentent, à leurs yeux, de telles coupes. Le texte, adressé à la ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, souhaite mettre purement et simplement un terme au chantier, rapporte Le Figarojeudi 11 mars.

    Anticipant la polémique, la ministre de la Culture avait déjà répondu aux éventuels détracteurs du projet, depuis la forêt domaniale de Bercé (Sarthe), où a symboliquement été coupé le premier chêne. « Une forêt, ça se gère, et les coupes étaient prévues en tout état de cause », avait-elle lancé, assurant qu'il n'y avait « aucune flibuste, aucun piratage, aucune amputation du patrimoine ».

    Du bois plutôt que du béton

    Le bois massif des vieux chênes a en effet été choisi pour reconstruire Notre-Dame à l'identique, après le terrible incendie qui l'a ravagée il y a presque deux ans. D'autres cathédrales, comme celles de Reims ou de Nantes, ont été restaurées avec du béton, mais la Commission nationale du patrimoine et de l'architecture a bien choisi, en juillet 2020, d'utiliser le bois et le plomb pour celle de Paris.

     

    Ainsi, mille chênes âgés de 230 ans seront abattus en 2021, pour le « tabouret » qui supportera la flèche, entièrement détruite par les flammes en 2019. Ces arbres seront ensuite débités et séchés dans une vingtaine de scieries, détaille Le Figaro, avant d'être transportés, début 2023, vers les ateliers de charpentiers. Ici, ils seront travaillés en suivant scrupuleusement les plans de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc. Mille autres chênes seront également récoltés pour reconstituer la charpente surnommée? « la forêt ».

    Une proportion minime du nombre de chênes

    Du côté de la filière Bois, on déplore le « réflexe Idéfix » d'une telle pétition, en référence aux bandes dessinées Astérix, dans lesquelles le chien Idéfix pleure à chaque fois que son maître Obélix arrache un arbre. Interrogé par Le Figaro, l'Office national des forêts (ONF) se défend en mettant en avant l'infime quantité de bois que représente le chantier de Notre-Dame de Paris. Ils préfèrent d'ailleurs parler de « récolte » plutôt que d'abattage, souligne le quotidien.

     

    D'après l'organisme, la découpe de 1 000 chênes correspond à peine à 0,1 % de la récolte annuelle de bois de chêne destiné à la construction ou à l'artisanat. « Il en pousse plus qu'on en récolte, soit trois millions de mètres cubes, contre deux millions, chaque année », plaide l'Office.

    Le Point


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  • Les plages d’Israël touchées par une marée noire historique

    © Amir Cohen Du mazout sur la plage d'Ashdod, près de Tel-Aviv, samedi 21 février.

    Ce serait la pire marée noire qu’ait connue le pays. Des milliers de volontaires et de militaires ont entamé ce week-end un nettoyage des plages méditerranéennes noircies en Israël, une pollution due au déversement de «dizaines à centaines de tonnes» de mazout d’un navire, selon le ministère de l’Environnement. 170 kilomètres de côtes, soit 40% du littoral, sont touchés, selon le quotidien Haaretz cité par le Courrier International. A tel point que le nettoyage pourrait prendre des années et se chiffrer en dizaines de millions de shekels.

    Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou s’est même rendu sur les plages d’Ashdod, au sud de Tel-Aviv, aux côtés de la ministre de l’Environnement. Le gouvernement a appelé la population «à ne pas se rendre à la plage pour s’y baigner ou y faire du sport jusqu’à nouvel ordre».

     

    C’est aussi, bien évidemment, un drame pour la faune locale. A commencer par les tortues, crabes et étoiles de mer habitués des côtes israéliennes. Les autorités israéliennes avaient lié dans un premier temps à cette marée noire la mort d’une baleine de dix-sept mètres de long, échouée jeudi 18 février dans le sud du pays, sur la plage de Nitzanim. Finalement, l’autorité israélienne responsable de la nature et des parcs a conclu que si l’autopsie du cétacé a décelé d’importantes quantités de mazout, l’animal était déjà mort au moins depuis deux semaines, à en croire l’avancée de sa décomposition.

    Neuf navires suspectés

    Le déversement de pétrole a eu lieu la semaine dernière, en pleine tempête hivernale, alors que des vents puissants et des vagues particulièrement hautes ont secoué les côtes israéliennes. Le mazout a été repéré tardivement, ce qui a compliqué la gestion de sa progression en mer. Selon les images satellites, la fuite a eu lieu à environ 50 kilomètres de la côte le 11 février dernier. Israël tente désormais, avec le soutien d’agences européennes, de déterminer quel navire pourrait être responsable de la marée noire.

    Selon la ministre de l’Environnement, Gila Gamliel, neuf bateaux se trouvaient dans cette zone le 11 février. «Il y a de bonnes chances que nous soyons en mesure de localiser le navire en question», a-t-elle déclaré, en précisant qu’Israël pourrait engager des poursuites judiciaires.

    Libération


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  • Le volcan sicilien Etna, tout près de la ville portuaire de Catane (côte Est), a connu mardi 16 février une nouvelle éruption, spectaculaire mais sans danger, entraînant une pluie de petites pierres volcaniques et de cendres sur cette ville dont l’aéroport a été fermé.

    Le volcan sicilien Etna, tout près de la ville portuaire de Catane, en Italie, a connu mardi 16 février un réveil spectaculaire. Son éruption a entraîné une pluie de petites pierres volcaniques et de cendres sur cette ville dont l’aéroport a été fermé.

    L’affaissement d’une partie du cratère Sud-Est du célèbre volcan a provoqué un débordement et un glissement de lave le long de la paroi occidentale, qui ne met toutefois pas à risque les villages habités proches du volcan, a précisé un responsable de l’Institut national de géophysique et de vulcanologie (INGV) à l’agence Agi.

    « Pas du tout inquiétant »

    « Nous avons vu pire », a commenté Stefano Branca, directeur d’Ingv à Catane, jugeant que l’événement commencé en fin d’après-midi « n’était pas du tout inquiétant ».

    Une pluie de matière volcanique

    Les sapeurs pompiers ont signalé en début de soirée sur leur compte Twitter qu’ils surveillaient néanmoins l’évolution de la situation dans trois petites communes au pied du volcan, Linguaglossa, Fornazzo et Milo. Sur ces images tournées à Catane par un journaliste, on voit notamment la pluie de matière volcanique.

    Les images de l’éruption montrent en fin d’après-midi un impressionnant panache rosé de cendres au-dessus du sommet enneigé du volcan. La nuit arrivée, ce nuage s’était largement dissipé, mais l’Etna était encore le théâtre de nombreuses coulées de lave incandescente.

    L’Etna, d’une superficie de 1 250 km2, est le plus haut volcan (3 324 mètres) en activité en Europe, avec des éruptions fréquentes depuis environ 500 000 ans.

    Ouest-France


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  • Un violent séisme de magnitude 7,0 sur l’échelle de Richter a secoué le Japon à 23h08 (heure locale, 15h08 à Paris) ce samedi. Il n’y a pas d’alerte au tsunami pour l’heure.

    L’épicentre de ce séisme se trouve à une soixantaine de kilomètres des côtes de Fukushima, et à 54 km de profondeur selon l’Institut de géophysique américain (USGS), qui a mesuré ce tremblement de terre à une magnitude de 7,0.

    Aucune alerte au tsunami n’a été déclenchée. Le séisme a été ressenti jusqu’à Tokyo. A Fukushima, son intensité a été mesurée à 6 sur l’échelle de Richter.

    Le Japon possède des constructions parmi les plus sûres du monde. Elles sont construites avec un système parasismique. Il s’agit de gros amortisseurs qui, installés sous les bâtiments, permettent d’absorber les chocs des tremblements de terre.

    Il y a bientôt 10 ans, le 11 mars 2011, un séisme suivi d’un tsunami avait ravagé la région de Fukushima, et entraîné l’explosion des trois réacteurs d’une centrale nucléaire.

    ACTU 17


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  • Grand froid, neige et verglas : 16 départements toujours en vigilance orange

    Si la région parisienne n’est plus concernée par cette alerte de Météo France, une large partie nord du pays reste confrontée à des conditions météorologique difficiles. Par ailleurs, trois départements sont placés en vigilance pour un risque de crues.

    Il continue de faire froid, très froid même. Comme c’est le cas depuis maintenant plusieurs jours, Météo France poursuit sa mise en vigilance orange pour neige-verglas et grand froid sur le Nord-Est de la France. Alors qu’une trentaine de départements étaient concernés mercredi, dont ceux de l’Ile-de-France, ce sont désormais 20 départements qui sont sous à cette alerte. De même trois autres départements sont placés sous vigilance orange pour un risque de crue-inondations

    Les huit départements concernés par l’alerte neige-verglas sont : les Deux-Sèvres, le Maine-et-Loire, la Vendée, Vienne, Loire-Atlantique, le Morbihan, le Finistère et les Côtes d’Armor.

     

    Les douze départements concernés par l’alerte grand froid sont : l’Yonne, la Côte-d’Or, l’Aube, la Haute-Marne, la Haute-Saône, le territoire de Belfort, le Haut-Rhin, le Bas-Rhin, les Vosges, la Moselle, la Meurthe-et-Moselle et la Meuse.

    Les trois départements placés sous vigilance crue-inondations sont : la Charente-Maritime, la Somme, la Seine-et-Marne.

    Le temps devient plus sec mais reste très froid

    Globalement, le temps s’améliorera sur le pays, il deviendra plus sec mais très froid au nord. Sur la façade atlantique, l’accalmie sera très temporaire, le ciel se couvrira en cours de matinée et quelques pluies circuleront l’après-midi de la Bretagne à l’Aquitaine. Sur la Bretagne et les Pays de la Loire, des pluies verglaçantes seront possibles localement. Sur le Finistère et les Côtes-d’Armor, les pluies seront précédées d’un peu de neige.

    Le vent d’est soufflera assez fort sur les côtes de la Manche. Plus à l’Est, le temps sera calme, froid et sec. Le ciel sera dégagé sur le Nord et l’Est, de plus en plus voilé en allant vers l’ouest. Le soleil sera de retour sur le Sud-Est et la Corse, avec un vent d’ouest sensible du Var à la Corse.

    Les températures minimales iront de -10 à -4 degrés sur une bonne moitié nord du pays, localement encore moins notamment sur les Vosges, et de -1 à 6 degrés sur le tiers sud, jusqu’à 8 ou 9 au bord de la Méditerranée. Les maximales seront voisines de 0 degré sur la moitié nord, elles varieront entre 3 et 9 degrés des Alpes aux Charentes et entre 10 et 15 degrés au sud, jusqu’à 17 sur la Côte d’Azur.

    Le Parisien

    Vous avez vu, l'Allier est dans le vert, en haut du vert ! J'ai de la chance !  happy


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  • Au moins sept personnes ont été tuées et plus d’une centaine portées disparues après la crue d’une rivière dans le nord de l’Inde, provoquée ce dimanche 5 février par la rupture d’un glacier dans l’Himalaya. Les autorités indiennes craignent un bilan humain très lourd.

    Au moins cent personnes sont toujours portées disparues dans le nord de l’Inde après la rupture d’un glacier de l’Himalaya ce dimanche 7 février, qui a provoqué une crue éclair en tombant dans une rivière.

     

    Lorsque la nuit a empêché la poursuite des recherches, sept cadavres avaient été découverts, selon les autorités de l’État de l’Uttarakhand, qui ont fait état de 125 à 200 disparus selon les sources.

    L’énorme masse d’eau a dévasté la vallée de la rivière Dhauliganga, détruisant tout sur son passage, submergeant deux centrales électriques et emportant un barrage, des routes et des ponts, selon les images prises par des habitants terrifiés.

    « Il y avait un nuage de poussière quand l’eau est passée. La terre tremblait comme lors d’un séisme », a déclaré un habitant, Om Agarwal, à la télévision indienne.

    Des dizaines d’employés des deux centrales électriques installées sur le barrage de Richiganga sont portés disparus, ainsi que des habitants de la région, emportés par les eaux alors qu’ils s’occupaient de leur bétail, d’après les autorités.

    Le barrage a été ravagé par le déluge causé par la chute d’un énorme morceau de glacier qui s’est détaché d’une paroi de la montagne en amont.

    Le Premier ministre de l’État de l’Uttarakhand, Trivendra Singh Rawat, a indiqué qu’au moins 125 personnes étaient portées disparues, mais que le bilan pourrait grimper. Le chef de la police locale, Ashok Kumar, avait plus tôt évoqué 200 disparus dans les seules centrales électriques.

    Des centaines de militaires et paramilitaires, ainsi que des hélicoptères et des avions militaires, ont été mobilisés dans la région.

    Situé dans le massif de l’Himalaya, l’Uttarakhand est un État indien où le Gange prend sa source. La rivière Dhauliganga est un affluent du Gange.

    Le plus gros du danger est passé, selon les autorités

    Les autorités ont vidé deux barrages pour empêcher les eaux en furie de gonfler le Gange dans les villes de Rishikesh et Haridwar, et ont interdit aux habitants des deux villes de s’approcher des rives du fleuve sacré.

    Les villages dans les montagnes surplombant la rivière ont été évacués, mais le plus gros du danger est passé, ont indiqué les autorités alors que la nuit tombait dimanche soir.

    De nombreux utilisateurs des réseaux sociaux ont filmé ou photographié le désastre. Des vidéos montrent la masse d’eau ravageant une étroite vallée sous une centrale électrique, laissant les routes et les ponts détruits sur son passage.

    Le Premier ministre Narendra Modi a déclaré qu’il suivait les opérations de secours. « L’Inde se tient aux côtés des habitants de l’Uttarakhand et la nation prie pour la sécurité de tous dans cette région », a-t-il assuré sur Twitter.

    Quatorze glaciers surplombent la rivière dans le parc national Nanda Devi. Ils font l’objet d’études scientifiques, à cause d’inquiétudes grandissantes concernant le changement climatique et la déforestation.

    « Les avalanches sont un phénomène courant dans la zone du bassin-versant », a expliqué M.P.S. Bisht, le directeur du Centre d’applications spatiales de l’Uttarakhand. « De gros glissements de terrain se produisent également couramment. »

    Ouest-France


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  • Dans le Lot, des images impressionnantes de bateaux qui dérivent, après la rupture du ponton en raison de la crue

    Est-ce qu’ils termineront leur périple à Bordeaux ? Une vingtaine de bateaux sont à la dérive depuis ce matin sur le Lot, un affluent de la Garonne, en crue en raison des inondations. Alors que le niveau de la rivière ne cesse de monter depuis plus de vingt-quatre heures, un ponton s’est détaché au niveau de la commune de Douelle, situé entre Cahors et Luzech.

    Les bateaux qui y étaient amarrés sont partis avec le ponton. Des images impressionnantes captées par des riverains qui se trouvaient sur les berges de la petite commune, mais aussi par les passants qui ont aperçu en aval ce drôle de spectacle de bateaux « ivres », emportés par les eaux boueuses du Lot.

     

    Le préfet du Lot a par ailleurs décidé de placer le Lot, la Cère et la Dordogne en vigilance orange crues. Le Célé a été place en niveau jaune, ce matin, après une décrue amorcée cette nuit.

    Le pic de crue du Lot à Cahors a été annoncé pour 17 h. « Les établissements scolaires des abords du Lot ont été évacués ce matin. Tous les élèves domiciliés entre Cahors et Cajarc ont été évacués, afin de prévenir les difficultés de transport scolaire en fin de journée », indique les services de la préfecture.

    20 Minutes


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  • Un homme de 70 ans a perdu la vie après avoir été piégé dimanche par les eaux en crue de la Sambre, à Berlaimont (Nord).

    Un homme de 70 ans est mort noyé dimanche soir dans le Nord, pris dans les eaux de la rivière Sambre, alors que le département est classé en vigilance orange pour des crues, ont annoncé lundi les pompiers. «Un homme de 70 ans s'est fait prendre par les eaux en bordure de la Sambre en crue», dans la commune de Berlaimont, près de Maubeuge, selon un communiqué du Service départemental d'incendie et de secours (Sdis) du Nord. Malgré les tentatives de réanimation, il a été déclaré décédé.

    A quelques kilomètres de là, à Saint-Rémy-du-Nord, la crue de la Sambre a submergé une rue, inondant deux maisons, indiquent les pompiers. Plus au nord-ouest dans le même département, ils surveillaient également la crue de la Lys, qui immergeait plusieurs rue de la commune de Merville.

    Les départements du Nord et du Pas-de-Calais restent classés lundi en vigilance orange pour risque de crue, comme le quart sud-ouest de la France. «Le front pluvieux arrivé dimanche apporte des précipitations continues sur un grand quart sud-ouest jusqu'à lundi début de soirée. Les sols étant humides voire saturés sur la plupart des régions, et certains cours d'eau connaissant déjà des niveaux élevés, les nouvelles précipitations alimenteront les crues en cours sur les cours d'eau placés en vigilance», avertit Météo-France.

    Paris Match


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  • Météo. Vingt départements en vigilance orange, des risques de submersion liés à la tempête Justine

    Météo-France a placé vingt départements en vigilance orange, ce samedi 30 janvier 2021. En Bretagne et dans le Sud-Ouest, l’agence météorologique identifie des risques de submersion liés à la tempête Justine, et à des crues dans plusieurs régions du nord et de l’est du pays.

    Elle progresse vers la pointe de la BretagneLa tempête Justine s’est positionnée au sud-ouest de l’Irlande, ce samedi 30 janvier 2021 au matin. La dépression est accompagnée de vents puissants, qui engendrent de fortes vagues au large. « L’état de la mer s’amplifie progressivement samedi sur toute la façade atlantique », note Météo-France dans un bulletin publié samedi matin à 10 heures, et  « un premier pic est attendu sur le sud Bretagne » en pleine mer samedi soir ​, prévoit encore l’agence météorologique.  

    Conséquence, ​« la partie sud du Finistère ainsi que l’ouest du Morbihan sont donc placés en vigilance vagues-submersion de niveau orange » lors de la période identifiée comme étant « à risque », ce samedi de 16 heures à 20 heures – avant et après cette fenêtre, les départements sont placés en vigilance jaune.

    Avec des coefficients de marée très élevés,  les forts déferlements attendus pourront occasionner des submersions par franchissements de paquets de mer sur les parties vulnérables du littoral. 

    La tempête amène des précipitations

    Dans la nuit de samedi à dimanche, le  pic des vagues  ​se dirige vers le sud du golfe de Gascogne et devrait arriver au niveau de l’Aquitaine, en pleine mer, vers 6 heures du matin dimanche. Résultat,  les départements de la Gironde, des Landes et des Pyrénées-Atlantiques sont donc placés en vigilance vagues-submersion de niveau orange  ​ : là aussi, de  forts déferlements  ​sont attendus, et pourraient « occasionner des submersions par franchissement de paquets de mer sur les parties vulnérables du littoral ».

    La tempête amène également des précipitations.  La perturbation liée à la dépression Justine donne des pluies souvent modérées de l’Occitanie aux Alpes, au Nord-Est et au Nord ce samedi, relève encore Météo-France dans un autre bulletin. ​En fin d’après-midi, ce temps couvert et pluvieux s’étire de la frontière belge à l’Alsace, aux Alpes et à la Provence. 

    En tout, Météo-France a placé 20 départements en vigilance orange, toujours selon le bulletin publié samedi matin. Dans plusieurs territoires du nord et de l’est pays, l’agence identifie un risque de crues : « Les pluies de ces derniers jours ont engendré des hausses de niveau sur un bon nombre de cours d’eau placés en vigilance »précise le site Vigicrues dans un bulletin publié samedi matin également.

    Ouest-France

    L'Allier est en vert, donc tranquille dans l'Allier !


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  • Japon : Une tempête de neige provoque un énorme carambolage sur l’autoroute, une personne est morte

    134 véhicules se sont empilés après un accident de la route entre un camion et une voiture de tourisme

    Le Japon est frappé depuis quelques semaines par d’impressionnantes tempêtes de neige. L’une d’entre elles a provoqué un gigantesque accident mardi à Osaki, dans le nord du Japon. Le carambolage a eu lieu sur l’autoroute Tohoku, rapportent NHK et Metro, relayés par Capital.

    La mauvaise visibilité avait conduit les autorités à limiter la vitesse à 50 km/h sur le tronçon. Une mesure qui n’a pas permis d’éviter une collision entre un camion et une voiture de tourisme peu avant midi. Le vent soufflait alors à 100 km/h selon des météorologistes. L’accident a déclenché un empilement de 134 voitures sur environ 800 mètres de long.

    Une réunion d’urgence

    Les secours ont pris en charge les victimes. Dix personnes ont été blessées, dont deux grièvement. Une personne n’a pas survécu à ses blessures. De l’eau, de la nourriture et des couvertures ont été distribuées aux automobilistes et aux passagers.

    Plusieurs trains ont également dû être annulés dans la région de Tohoku en raison des averses de neige. Selon la BBC, le Premier ministre japonais Yoshihide Suga a convoqué une réunion d’urgence. Le responsable politique a appelé ses concitoyens à la plus grande prudence, d’importantes chutes de neige étant encore prévues.

    Des précipitations inattendues

    Dans certaines régions du Japon, il est tombé ces dernières semaines le double des précipitations attendues à cette époque de l’année. Plus de 10.000 foyers ont été privés d’électricité dans le nord et l’ouest du pays.

    L’armée a même été déployée en décembre dernier pour secourir des automobilistes coincés dans leur voiture pendant deux jours en raison des tempêtes de neige. Au total, 1.000 véhicules étaient bloqués sur l’autoroute Kanetsu.

    20 Minutes


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  • L'étrange cas de Pisonia, cet arbre qui tue les oiseaux malgré lui

     L'étrange cas de Pisonia, cet arbre qui tue les oiseaux malgré lui

    L'étrange cas de Pisonia, cet arbre qui tue les oiseaux malgré lui

    Un bébé noddi noir empêtré dans des brindilles collantes de Pisonia

    Certaines espèces d’arbres et d’oiseaux coopèrent pour servir leurs intérêts mutuels. Les premiers offrent un refuge aux seconds, qui à leur tour dispersent le matériel génétique de leur hôte. En revanche, dans le cas de Pisonia grandis, la relation est tout autre. Les graines de cet arbre endémique des océans Indien et Pacifique sont couvertes d’une substance qui cause la mort de nombreux oiseaux, qui finissent irrémédiablement collés à ses branches.

    L’attrapeur d’oiseaux

    De nombreuses espèces d’arbres produisent des graines couvertes d’un mucus spécial et de petits crochets leur permettant d’adhérer à tout ce qui vient se frotter contre elles. Cette technique leur permet par exemple de s’attacher aux plumes des oiseaux qui les transportent plus loin avant de les disperser. Le problème avec Pisonia, c’est que cette glu végétale s’avère être bien trop puissante… 

    Lorsqu’un oiseau se pose sur l’arbre, son plumage se retrouve rapidement couvert d’une multitude de graines, qui engluent aussi les branches, le feuillage et tout ce qui se trouve alentours. Les plus petits oiseaux se retrouvent alors collés, voire empêtrés, et incapables de bouger. Si un prédateur ne met pas fin à leur lente agonie, ils finissent par mourir de faim.

    Telles de sinistres décorations de Noël, leurs corps en décomposition ornent les branches et la base des pisonias. Parmi ses victimes, le Noddi noir (Anous minutus), un oiseau marin, est particulièrement représenté.

    À la recherche du mobile du crime

    Afin de comprendre les raisons de ce terrible massacre, l’ornithologue et écologiste marin Alan Burger, de l’Université de Victoria au Canada, s’est rendu sur l’île Cousin, dans l’archipel des Seychelles en 2005. Son objectif était de découvrir s’il existait des causes évolutives derrière ce comportement, via le biais de diverses expérimentations.

    La première de ces expériences consistait à analyser les bénéfices potentiels de la décomposition des cadavres, riches en nutriments, dans le développement des graines. Il a pu grâce à elle montrer que les graines poussant dans le voisinage des oiseaux morts ne sembler pas bénéficier de plus d’avantages que celles poussant à une distance plus importante de l’arbre. Les oiseaux se sont même révélés plus utiles vivants, en fertilisant le sol avec leurs excréments.

    Dans une seconde expérience, Burger a immergé les graines dans de l’eau de mer, pensant que les oiseaux morts pouvaient constituer une forme d’arche permettant au matériel génétique de l’arbre de voyager vers d’autres îles. Toutefois, les graines sont mortes au bout de 5 jours, invalidant cette hypothèse. Même embarquées sur un tel radeau de fortune, elles n’auraient pu tenir assez longtemps pour parvenir sur une autre terre fertile.

    Pour finir, l’écologiste a submergé les graines ponctuellement dans de l’eau de mer, sur une période de quatre semaines. Celles-ci parvinrent à germer par la suite, suggérant que leur meilleure méthode de dissémination reste le voyage à bord d’oiseaux vivants, accrochées à leur plumage. Le fait que certains de ces oiseaux soient victimes de l'action de la glu ne serait qu’un accident, un dégât collatéral sans bénéfice spécifique.

    Bien qu’il soit tentant de penser que tout dans la nature survient avec raison, certains traits ne sont parfois que le résultat de tentatives échouées, ou simplement les effets secondaires d’une technique de survie employant des moyens quelque peu radicaux. Quoi qu’il en soit, vous êtes désormais avertis : ne touchez pas au Pisonia.

    Gent Side


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  • J

    J'ai eu du mal à ouvrir mes volets, ceux de droite, ça allait tout seul mais ceux de gauche, j'ai dû lutter avec mon pauvre bras droit !


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  • Élu arbre de l’année, ce peuplier géant sera-t-il épargné ?

    © Emmanuel Boitier, Terre sauvage Grâce à Amandine Polet, qui le connaît depuis l’enfance, le peuplier de Boult-sur-Suippe (Marne) a des chances de ne pas finir en planches.

    Un peuplier noir de Boult-sur-Suippe (Marne), à la longévité exceptionnelle, était menacé de destruction. Son élection a incité la commune à agir pour le protéger. Il est en lice pour l’Europe.

    LIEN de l'article pour photos des 2 autres arbres :

    https://www.msn.com/fr-fr/actualite/other/%C3%A9lu-arbre-de-l-ann%C3%A9e-ce-peuplier-g%C3%A9ant-sera-t-il-%C3%A9pargn%C3%A9/ar-BB1cPifb?ocid=msedgntp


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  • Plus de 34 personnes ont été tuées vendredi au cours d'un fort séisme sur l'île de Célèbes en Indonésie, ont indiqué les autorités, alors que les secours fouillaient les décombres de plusieurs bâtiments effondrés, dont un hôpital, dans l'espoir de trouver des survivants. Le tremblement de terre de magnitude 6,2 survenu dans la nuit a fait plusieurs centaines de blessés et déclenché la panique chez les habitants de l'ouest de l'île de Célèbes qui ont déjà subi en 2018 un désastre majeur.

    "Selon les dernières informations il y a 26 morts, tous dans la ville de Mamuju", a indiqué Ali Rahman, chef de l'agence locale de gestion des catastrophes. "Ce chiffre pourrait monter (...) beaucoup de morts sont enterrés dans les décombres". Huit autres personnes sont mortes à Majene, une autre localité de la région de Mamuju, a indiqué un autre responsable local de l'agence. A Mamuju, la ville la plus affectée de la région, les sauveteurs recherchaient plus d'une dizaine de patients et personnels médicaux portés disparus sous les décombres d'un hôpital. "L'hôpital est détruit. Il s'est effondré. Il y a des patients et du personnel de l'hôpital prisonniers des décombres et nous sommes en train de les évacuer", a dit à l'AFP Arianto, un responsable des secours de Mamuju. Il a estimé le nombre de personnes prisonnières entre 10 et 20, sans pouvoir confirmer si elles étaient en vie.

    L'étendue des dégâts dans la capitale provinciale de quelque 110.000 habitants n'était pas connue dans l'immédiat. Le tremblement de terre de magnitude 6,2, selon l'Institut américain de géophysique, s'est produit vendredi à 02H18 heure locale (jeudi 18H18 GMT). L'épicentre du séisme a été localisé à 36 km au sud de Mamuju, à une profondeur relativement peu profonde de 18 km, a précisé l'Institut américain de géophysique (USGS). Des images de la région montrent des habitants en train de fuir en moto et voiture en passant à côté de toits en tôle effondrés et d'immeubles endommagés. "Les routes sont éclatées, et plusieurs bâtiments se sont effondrés", a indiqué Hendra, un témoin de 28 ans habitant à Mamuju. "La secousse était très forte (...) j'ai été réveillé et j'ai fui avec ma femme".

    Risque de répliques

    L'agence de météorologie et géophysique a mis en garde contre la possibilité de nouvelles secousses et demande aux habitants d'éviter le bord de mer à cause du risque de tsunami. "Les répliques pourraient être aussi fortes ou plus fortes que ce matin", a indiqué Dwikorita Karnawati, la responsable de l'agence. Jeudi, une secousse de 5,8 avait déjà été ressentie dans la région, sans faire d'importants dégâts. Des glissements de terrain ont suivi le séisme, coupant l'accès à l'une des principales routes de la province et l'aéroport local de Mamuju a aussi été endommagé.

    L'archipel indonésien se trouve sur la "ceinture de feu" du Pacifique, une zone de forte activité sismique. La région de Palu, sur l'île de Célèbes, avait été déjà frappée en septembre 2018 par un très fort tremblement de terre de magnitude 7,5 suivi d'un tsunami dévastateur. Cette catastrophe avait fait plus de 4.300 morts et disparus et au moins 170.000 déplacés. Un autre séisme dévastateur de magnitude 9,1 avait frappé au large des côtes de Sumatra en 2004, entraînant un tsunami qui a tué 220.000 personnes dans la région, dont environ 170.000 en Indonésie.

    Paris Match


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