• Drame dans une corrida en FRANCE : mort du torero espagnol Ivan Fandino

    Drame dans une corrida en FRANCE : mort du torero espagnol Ivan Fandino

    Drame dans une corrida en France: mort du torero espagnol Ivan Fandino

    Drame dans une corrida en France: mort du torero espagnol Ivan Fandino

    Un matador espagnol réputé, le Basque Ivan Fandiño, est décédé samedi soir à l'hôpital de Mont-de-Marsan où il avait été transporté en urgence après avoir été encorné lors d'une corrida à Aire-sur-l'Adour (Landes), apprend-on de source médicale.

    Interrogé par l'AFP, le Centre hospitalier universitaire (CHU) a décliné toute déclaration, renvoyant à la publication d'un communiqué ultérieurement.

    De source médicale, indépendante, on indique que le torero, après d'abord avoir été traité au bloc chirurgical de l'arène d'Aire-sur-l'Adour, a subi deux arrêts cardiaques dans l'ambulance et est décédé à son arrivée à l'hôpital.

    Ivan Fandiño, 36 ans, a été encorné alors qu'il effectuait un quite (ndlr: une passe avec une cape) à l'un des taureaux de son compatriote Juan del Alamo. Il s'est alors pris les pieds dans sa cape et a trébuché au sol où il a été pris par le taureau qui l'a encorné, gravement touché au poumon.

    Auparavant il avait triomphé en coupant une oreille lors de sa prestation face à son premier taureau.

    La précédente mort d'un torero dans une arène remonte au 9 juillet 2016 avec le décès du matador espagnol Victor Barrio, 29 ans, dans l'arène de Teruel (centre-est de l'Espagne). Un peu plus d'un mois auparavant, l'excentrique mexicain El Pana était décédé le 2 juin 2016 à l'hôpital de Guadalajara après avoir été blessé le 1er mai lors d'une corrida à Ciudad Lerno.

    Sinon, il faut remonter à 3O ans en arrière pour retrouver trace d'un tel drame avec la mort en 1985 d'un jeune prodige de 21 ans, José Cubero "El Yiyo", encorné au coeur par un taureau à Colmenar Viejo, près de Madrid. Et, en 1984, le monde de la tauromachie avait été endeuillé par la mort d'une de ses stars, Francisco Rivera Paquirri père, tué par un taureau à Pozoblanco (Andalousie).

    Dernier mort en France en 1921

    En France, il faut remonter à 1921 pour la mort d'un matador espagnol, Isidoro Mari Fernando "Flores", à l'arène de Béziers.

    Ivan Fandiño, originaire d'Orduna, près de Bilbao, était à l'affiche de la corrida des Fêtes d'Aire-sur-l'Adour, avec Juan Del Alamo et le Landais Thomas Dufau, confrontés à des taureaux de l'élevage espagnol de Baltasar Iban (Province de Madrid).

    Torero réputé pour son courage, n'hésitant pas à affronter des taureaux d'élevages récusés par nombre de ses collègues, comme ceux de Baltasar Iban, il était devenu matador de toros en 2005 à Bilbao avec comme parrain El Juli et comme témoin Salvador Vega. Il avait confirmé cette alternative en 2009 à Madrid avec comme parrain Antonio Ferreira et comme témoin Morenito de Aranda. En 2012, à Bilbao, il avait combattu seul face à six taureaux d'une corrida-concours de six élevages différents.

    Si la corrida -- "la fiesta nacional" -- reste populaire en Espagne avec environ 1.800 spectacles par an et près de six millions de spectateurs, elle est aussi de plus en plus contestée, avec son interdiction depuis 2012 en Catalogne par le gouvernement nationaliste catalan, décision annulée en octobre 2016 par la Cour constitutionnelle espagnole. Plusieurs villes ont également suspendu la feria.

    Selon l'Association nationale des organisateurs de spectacles taurins (Anoet), les "toros" génèrent annuellement un chiffre d'affaires de 3,5 milliards d'euros.

    LA DEPECHE.fr

    Une bonne chose, un qui ne tuera plus de taureaux

    Il n'a pas emmené son oreille au paradis !

    Il faudrait que cela arrive plus souvent !

    Les toreros sont des barbares et les gens qui crient olé, des abrutis !


  • Commentaires

    1
    Dimanche 18 Juin 2017 à 04:24

    Quand j'ai entendu ça à minuit20, aux nouvelles sur la 3 après Le sang de la vigne, j'ai posé ma compote pommes poires et j'ai applaudi !!! Et j'ai crié, que dis-je, j'ai hurlé : bravo, brave taureau, un barbare en moins !

    2
    Dimanche 18 Juin 2017 à 06:15

    c' est vrai qu' en comparaison  des boucheries qu' il avait pratiqué auparavant, ce n' est que justice

    3
    françoise
    Dimanche 18 Juin 2017 à 14:37

    La puissance du taureau à toujours fasciné ces cons ,mais malgré cela celui-ci n'a guère de chance de gagner vu ce qu'il subit  comme premières atrocités avant de pénétré dans l'arène ,sans compter l'apprentissage au combat de ces pauvres animaux  qui consiste à leur faire subir ,endurer une énorme séries de tests pour la sélection et des tests cruels!  Ceux qui ne (font pas l'affaire)où plutôt pas réussi l'examen de passage deviennent des souffre-douleur pour les ordures de matador lors des entraînements et cela pour des fêtes de populace barbares !  Les taureaux qui ont reçu l'examen de passage commencent à subir des atrocités et cela dans le seul but d'épargner la sale merde qui va l'affronter ,ils commencent par le rite de l'afeitado qui veut que l'on scie de 5 à 10 cm de corne ,une mutilation qui dure une demi-heure et qui consiste à repousser toute la matière innervée (comme une dent)vers sa racine et à reconstituer la point en résine synthétique qui sera poncée et vernie ,leurs sabots seront limé et incisés afin d'y encastrer entre les onglons des coins en bois ! Le grand jour de fête ,du combat arrivé  avant en coulisse  les yeux du taureau sont enduits de vaseline afin de lui faire perdre le sens de l'orientation puis on lui administre des tranquillisants  paralysants et hypnotisant ,ces merdes enduisent leurs pattes de térébenthine qui leur cause de graves brûlures donc ils n'ont de cesse de s'agiter ,le Pire que l'on devrait faire subir à toutes ces merdes ,il plantent des aiguilles dans les testicules de l'animal pour l'empêcher de se coucher  du coton au fond des narines lui rendra sa respiration pénible  des coups de planche sur l'échine et ses reins plusieurs dizaines de fois avec des sacs de sable de 100 kg  et la suite ne sera que les atroces tortures qui pendant une vingtaine vont faire jouir et se pisser dessus une arène peuplée de barbares venus se repaître de cruauté !mais avant il y a aussi dans l'arène ceux qu'ils appellent les péones  qui affolent et fatiguent l'animal ,les deux picadors  qui le lardent de leurs longues  piques qu'ils leur plantent entre les quatrième et septième vertèbres cervicales  pour  toucher les muscles du coup  puis entre la quatrième et sixième vertèbre pour sectionner les ligaments de la nuque  et cela environ huit fois de suite et d'une profondeur de 15 cm  Un artiste dans toute sa splendeur pire que le boucher qui lui au moins travaille sur des animaux morts et pendant ce temps la pourriture qui assiste à cette cruauté  sur un animal déjà à moitié décapité ,jubile  hurle de plaisir ! C'est écœurant  révoltant pire que les mahométans de Daech ,mais je suis dans mon for intérieur rassurée d'une chose sur le plan vibratoire tout est enregistré ,et ils le paieront très cher une fois crevé ,ces Espagnols ,ces Portugais ces Français qui assistent à ces spectacles ne sont pas sorti du moyen âge ,la tradition dans la barbarie  c'est comme pour ces pauvres Galgos!   Dégueulasse  comment peut-on hurler de plaisir dans une ambiance de tortures de morts aussi cruelles et  au nom de quoi ? de quelle ambiance ? celle su sang peu être !   Il y a peu de temps Un toréro de 23 ans encorné sur la gueule blessé aussi aux cervicales et à la clavicule  interne ! Super!un autre à Madrid y a laissé une couille ,dommage les deux cela aurait été préférable le voilà bancal maintenant !

      La Barbarie FESTIVE enfin récompensée !

     

      • Dimanche 18 Juin 2017 à 14:59

        Merci Françoise, oui je savais que l'on faisait subir plein d'atrocités au taureau avant qu'il ne rentre dans l'arène.

        C'est de la barbarie, dommage que pas plus de toreros soient tués.

        HONTE à CEUX QUI VONT EN VACANCES EN ESPAGNE !

    4
    fripouille
    Dimanche 18 Juin 2017 à 20:20

    Olé i Bravo au taureau ! Je connaissais toutes les réjouissances infligées à ces pauvres bêtes, et je me réjouis car l'une d'elle a vengé -un peu- les autres ! Et on montre les toréadors comme des surhommes, mon oeil !

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