• Benalla: Dupont-Aignan claque la porte de la commission parlementaire

    Benalla: Dupont-Aignan claque la porte de la commission parlementaire

    Le président de Debout la France, Nicolas Dupont-Aignan, a claqué la porte, mercredi, de la commission d'enquête de l'Assemblée sur l'affaire Benalla, dénonçant une "mascarade", tandis qu'Emmanuel Macron s'exprime devant "ses députés", n'étant ainsi "plus le président de la Nation".

    "Est-ce qu'il y a deux catégories de députés? Les députés En Marche qui ont l'honneur de recevoir le président de la République et l'ensemble des députés qui sont baladés par une commission qui n'auditionne pas tous ceux qu'elle voudrait voir?", a déclaré M. Dupont-Aignan à l'ouverture des travaux de la commission, qui auditionne le général Éric Bio-Farina, commandant militaire de la Présidence de la République.

     

    "Je trouve que la situation est très grave"

    "Je vois que le président de la République n'est plus le président de la Nation mais va voir ses députés, entre guillemets, ce qui est totalement contraire aux institutions", a ajouté M. Dupont-Aignan, en référence aux déclarations d'Emmanuel Macron, mardi soir lors d'un pot de fin de session parlementaire de la majorité LREM-MoDem.

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    "Je trouve que la situation est très grave et que le président de la République dans cette affaire n'est pas digne de sa fonction et moi, je ne participerai plus à cette mascarade", a tranché M. Dupont-Aignan, avant de quitter les travaux de la commission. Alors qu'il s'était muré dans le silence depuis l'éclatement de l'affaire Benalla, Emmanuel Macron s'est déclaré comme "seul responsable". "S'ils veulent un responsable, il est devant vous, qu'ils viennent le chercher", a lancé, bravache, le chef de l'Etat mardi soir devant son gouvernement et sa majorité parlementaire quasiment au

    Paris Match


  • Commentaires

    1
    Rakia
    Mercredi 25 Juillet 2018 à 16:24
    Il a raison de claquer la porte,il se bat contre une dictature en la personne du petit roi qui les nargue en endossant toute la responsabilité,c’est lamentable ! Chez moi,on dit:« Ya khssimek el hakem,fi chkoun etkhassem !» ce qui voulait dire ,tu te bas contre l’Etat,mais tu te bas avec qui exactement ?
    2
    Mercredi 25 Juillet 2018 à 16:36

    il faut dire que la présidente de la commission est  d' en  marche, et ça s' est  vu  plus d' une fois !

     Ce gouvernement est  bel et  bien une dictature

    3
    Françoise
    Mercredi 25 Juillet 2018 à 16:45

    Il a bien fait ! Il est vrai que cette petite chose caractérielle à la vie privée très ambiguë n'est pas digne ,ça nous le savions depuis qu'il avait été ministre sous le règne du Corniaud ,mais nous en avons aujourd'hui la preuve incontestable ,hélas !pour l'instant il est intouchable ,Venez me chercher dit-il si le peuple se mobilisait pour justement aller le chercher sa tronche ,ne serait plus la même !Une Citation que j'aime et qui reflète très bien notre situation actuelle :"Le monde  ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent sans rien faire " A.Einstein!

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