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Au Mexique, les policiers libèrent 100 femmes exploitées dans un cabaret
Une centaine de femmes exploitées dans un cabaret, dont certaines originaires d'Amérique du Sud et d'Europe de l'Est, ont été libérées vendredi 17 août par la police de Mexico.
La libération s'est produite à l'aube durant l'inspection d'un cabaret situé dans un quartier du centre de la capitale mexicaine. "Cent femmes de diverses nationalités ont été libérées : Mexicaines, Vénézuéliennes, Colombiennes, Argentines, Ukrainiennes. Ainsi que d'autres originaires de Hongrie, Russie, Brésil et Paraguay", selon un communiqué de la police locale.
18 individus interpellés
Au cours de l'opération ont été interpellés "18 individus, en lien présumé avec le délit de traite des personnes dans un établissement". Les autorités mexicaines ont démantelé ces derniers mois des réseaux liées à la traite des femmes, la plupart à des fins d'exploitation sexuelle.
Dans les cas déjà connus, ces femmes arrivent au Mexique avec une promesse d'emploi, par exemple un travail de mannequin, mais se retrouvent dans les faits séquestrées et obligées de se prostituer.
Certaines femmes, principalement vénézuéliennes, ont été assassinées après avoir fui la crise économique et politique qui sévit dans leur pays.
franceinfo
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Commentaires
2FrançoiseSamedi 18 Août 2018 à 17:28Impensable cet esclavage ,comme pour les filles de l'Est à qui ils font miroiter un travail ,après leur avoir piqué leur papier ils les mettent sur le trottoir ! A tuer toutes ces ordures de mecs !
3RakiaSamedi 18 Août 2018 à 18:36Les femmes sont souvent proies à des sales types qui profitent de leurs misères pour les exploiter , ils méritent la prison à vie, ces sales proxénètes ! La police a fait un bon boulot en libérant ces pauvres filles perdues , sans diplômes ni argents , c’est affreux !4fripouilleDimanche 19 Août 2018 à 16:39L'exploitation des femmes existe partout, cela se sait, et je ne comprends pas comment certaines arrivent à se faire piéger dans les filets des souteneurs. Elles doivent être particulièrement démunies, sans famille ni amis.
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il faut éliminer tous ces souteneurs !
Mais je me demande ce que ces femmes vont pouvoir faire maintenant !