• Affaire Benalla : Macron éclaboussé #cdanslair 19.07.2018

    J'ai regardé toute cette video, faîtes le aussi !!!

    N'y aurait-il pas "quelque chose" entre benalla et Manu , (rire)

     

    La scène s’est déroulée en plein cœur du quartier latin, le 1er mai dernier, sous les yeux des forces de l’ordre et d’une poignée de riverains. Equipé d’un casque à visière de policier et d’un blouson noir, Alexandre Benalla, un collaborateur chargé de mission pour Emmanuel Macron, a violemment passé à tabac un manifestant. Une agression que Le Monde a révélée hier, en publiant des images filmées par un témoin. En guise de punition, Alexandre Benalla a seulement écopé d’une mise à pied de quinze jours avec suspension de salaire par l’Elysée. Un dernier "avertissement avant licenciement" définitif selon le porte-parole de la présidence, Bruno Roger-Petit. Mais face à la violence de ces gestes, cette sanction infligée en toute discrétion semble bien légère. Le Parquet de Paris a ouvert une enquête pour "violences par personne chargée d'une mission de service public, usurpation de fonctions et usurpation de signes réservés à l'autorité publique".

    Après l’identification d’Alexandre Benalla comme étant l’auteur de cette agression, les réactions n’ont pas tardé à fuser dans l’ensemble de la classe politique. L’opposition réclame des comptes à Emmanuel Macron, accusé d’avoir manqué à sa responsabilité de chef d’Etat. Pour les Républicains, la sanction est inadaptée alors que le gouvernement se doit de montrer l’exemple face à une telle bavure. La France Insoumise s’interroge sur la place d’Alexandre Benalla, invité comme "observateur" et déguisé en policier lors de cette intervention avec les forces de l’ordre, et demande des sanctions pénales.

    Alors que le gouvernement ne cesse de prôner "l’exemplarité", cette polémique embarrasse l’Elysée. Tous les yeux sont rivés sur Emmanuel Macron, resté silencieux jusque-là. En attendant une déclaration, son entourage tente d’apaiser les tensions. Le porte-parole du président, Bruno Roger-Petit, a précisé que la sanction envers Alexandre Benalla est "la plus grave jamais prononcée contre un chargé de mission travaillant à l'Elysée". Il a ensuite annoncé qu’un gendarme réserviste employé par La République en Marche, Vincent Crase, avait également été sanctionné après les incidents du 1er mai. Mais est-ce une volonté de transparence ou une façon de devancer une prochaine révélation qui pourrait encore nuire au gouvernement ? A l’Assemblée, la ministre de la Justice Nicole Belloubet a dénoncé "des gestes absolument inadaptés" qui seront sanctionnés par le procureur "si cela paraît nécessaire". Face à une telle polémique, comment le gouvernement gère-t-il la crise ? Comme François Hollande avec l’affaire Cahuzac, est-ce le premier scandale du gouvernement Macron ?

    Après avoir violemment agressé un manifestant, Alexandre Benalla a-t-il été suffisamment sanctionné par l’Elysée ? Sous le feu des critiques, comment le gouvernement va-t-il réagir ? Quelle est la stratégie d’Emmanuel Macron et son équipe face à cette polémique embarrassante ?


    Invités :
    Christophe BARBIER - Editorialiste à l’Express

    Yaël GOOSZ - Chef du service politique de France Inter

    Sylvain COURAGE - Rédacteur en chef à l’Obs

    Jannick ALIMI - Rédactrice en chef adjointe au service Politique du Parisien


  • Commentaires

    1
    Vendredi 20 Juillet 2018 à 18:29

    j' avais regardé l' émission !

     Le petit coq  si rapide pour donner des leçons  fait  profil  bas, sourire crispé etc !!

    Personne ne  pouvait ignorer qui était  ben allah !

    Chez  moi on dit  rien ne passe qui ne repasse, et  l' attitude  de notre arnaqueur  face  à la presse  lui retombe dessus,  médiapart fait aussi ses recherches, on saura tout, même si  on devait  apprendre  qu' il était son petit copain

    2
    Vendredi 20 Juillet 2018 à 18:34

    L'émission est très éclairante : c'est désastreux pour "Manu" ! L'émission de ce soir va être aussi, je crois...

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    3
    Rakia
    Vendredi 20 Juillet 2018 à 19:30
    Notre petit roi est très facile à crée des relations très rapprochés sans se soucié si c’est la bonne personne ou pas , un signe d'immaturité ! Ce débat l’avait mis mal àl’aise , certaine ! Je suis de ton avis , Chantou , je crois qu’il y’a une intimité dans l’air (rire)
    4
    Françoise
    Vendredi 20 Juillet 2018 à 19:34

    En boucle ce matin sur BFM il y avait Alimi et Barbier qui n'ont fait que réitérer leurs opinions !Macron n'est qu'un type habité et porteur d'intrigues malsaines c'est évident ! il a quand même fallu 36 h pour qu'il se décide à lâcher le mahométan  trop fusionnel avec le barbu  c'est vrai que c'est plutôt louche ? Selon toutes les oppositions il y aurait complot  le petit Marquis a quand même dissimulé avec le vieillard  cacochyme  Collomb une faute qui s'avère très grave  une affaire d’État! ! Macron carbure peut-être à voile et à vapeur ,il n'y a pas de fumée sans feu!

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