Les corps congelés des deux bébés ont été découverts jeudi dans la commune de Bédoin.

La mère de famille de 41 ans chez qui ont été découverts, jeudi 1er décembre, les corps de deux bébés dans un congélateur à Bédoin (Vaucluse) a été mise en examen vendredi 2 décembre et placée en détention provisoire, a annoncé le parquet d'Avignon. Elle est poursuivie du chef de "meurtre de mineur" de moins de 15 ans, a précisé la procureure d'Avignon, Florence Galtier, à l'AFP.

La suspecte a eu en garde à vue "des déclarations évolutives sur le déroulement des faits", avait déclaré vendredi après-midi la procureure de Carpentras, Hélène Mourges. L'affaire, qui était dans un premier temps aux mains du parquet de Carpentras, a finalement été confiée au pôle d'instruction du tribunal judiciaire d'Avignon, "compte tenu de la qualification criminelle des faits".

Le jeune garçon était déjà connu de la police pour des violences et des menaces d’agression sexuelle

Un enfant de 12 ans a été interpellé, lundi, à Limoges (Haute-Vienne), pour un vol à main armé dans une boulangerie. D’après Le Populaire du Centre, il avait fait irruption dans le commerce avec deux autres adolescents. Muni d’une arme de poing, il avait menacé la vendeuse avant d’arracher le terminal de paiement et de prendre la fuite. Ses deux complices avaient dérobé des produits avant de quitter les lieux.

Le jeune garçon a été identifié grâce aux photos et vidéos fournies par le gérant de la boulangerie aux policiers. Ces derniers soupçonnent l’adolescent d’avoir participé à des violences urbaines l’été dernier, indique France Bleu. En octobre dernier, il avait également frappé une jeune femme de 19 ans et lui avait volé son téléphone et son ordinateur. L’adolescent avait menacé l’étudiante de l’agresser sexuellement.

Convoqué par un juge des enfants

Après son interpellation, lundi, le jeune suspect a été placé en retenue pendant douze heures (selon le régime légal concernant les mineurs de 10 à 13 ans). Il aurait reconnu les faits pour le braquage de la boulangerie, mais nierait son implication dans les violences urbaines de l’été. Il sera prochainement convoqué par un juge des enfants pour le vol à main armée.

20 Minutes

Un jeune étudiant a été pris à partie par un homme qui s’est exhibé devant lui sur le campus de l’université Jean-Jaurès de Toulouse

Un jeune étudiant de l’université Jean-Jaurès de Toulouse a vécu un traumatisme sur le campus du Mirail il y a quelques jours. Alors qu’il se trouvait devant un panneau d’affichage, un homme s’est approché de lui, le sexe à l’air, et lui a débité des propos salaces. Complètement déstabilisé, le jeune homme s’est éloigné. Mais son agresseur ne l’a pas lâché et est venu s’asseoir à côté de lui, pour lui réitérer ses propositions.

Pour échapper à sa « drague » lourdingue, l’étudiant est allé au plus vite en cours, réussissant à échapper à son harceleur. En sortant, il a décidé d’aller déposer plainte auprès de la police.

Harcelé une seconde fois par le même homme

Il pensait certainement cette mauvaise rencontre derrière lui, mais en milieu de semaine dernière, il a recroisé la route de cet homme de 38 ans sur le campus, lui aussi inscrit à la fac dans le cadre d’une reprise d’études.

Et comme la fois précédente, il lui a fait des propositions indécentes. Cette fois, le jeune homme a appelé la police qui s’est rendue sur place et a interpellé l’exhibitionniste. En garde à vue il a reconnu les faits. Il est convoqué devant la justice le 28 août prochain.

20 Minutes

Un mur s’est effondré dans un camping, à Saint-Georges -d’Oléron . Deux employés d' une entreprise de maçonnerie qui travaillaient sur le site sont décédés, ce lundi 28 n ovembre 2022 .

​Ce lundi 28 novembre 2022, dans la matinée, un mur s’est effondré sur trois ouvriers. Deux d’entre eux, âgés de 26 et 45 ans, sont décédés. Un jeune apprenti de 15 ans a été « gravement blessé » dans cet accident et héliporté au centre hospitalier de Poitiers.

Des travaux dans le camping

Les pompiers de la Charente-Maritime ont été appelés vers 8 h 30, au camping Les Coquettes, à Saint-Georges-d’Oléron. Ils sont une quarantaine à être intervenus pour extraire les trois victimes des décombres.

Selon la maire de Saint-Georges d’Oléron, Dominique Rabelle, le mur « de trois mètres de hauteur et huit de large », mitoyen entre un camping et une habitation en construction, s’est effondré sur les victimes lors d’un chantier dans la matinée.

« Les pompiers ont tenté de les réanimer pendant plus d’une heure, en vain », a ajouté l’élue de cette commune située sur l’Île d’Oléron, précisant que c’est une entreprise professionnelle de maçonnerie implantée dans la commune qui était chargée des travaux.

Ouest-France

Mr Grant Shapps

Le secrétaire d'État britannique aux affaires, à l'énergie et à la stratégie industrielle, Grant Shapps, a averti lundi le gouvernement chinois qu'"il n'y a aucune excuse" pour le passage à tabac d'un journaliste de télévision de la BBC après son arrestation alors qu'il couvrait des manifestations en Chine.

M. Shapps a déclaré que l'incident était "très préoccupant" et a décrit ce qui s'est passé dans la ville de Shanghai pour le journaliste en question, Edward Lawrence, comme une "attaque".

S'exprimant sur Sky News, M. Shapps a déclaré qu'"il n'y a aucune excuse pour qu'un journaliste qui ne fait que couvrir un événement soit battu par la police". "La liberté de la presse et la liberté d'information devraient être sacrées", a-t-il déclaré.

Il a déclaré qu'il était "inacceptable" que des journalistes soient "arrêtés" alors qu'ils "devraient être libres de couvrir les choses ouvertement".

La BBC elle-même avait précédemment indiqué que le journaliste avait été "arrêté et menotté alors qu'il couvrait des manifestations contre les restrictions imposées en Chine en raison de la pandémie de coronavirus" et qu'il avait ensuite été "battu par la police".

Le secrétaire d'État britannique à la sécurité, Tom Tugendhat, a prévenu que cette arrestation était "un exemple des actions du parti communiste chinois". "L'arrestation est une démonstration de la répression du parti". "Cela démontre la nécessité évidente de défendre les libertés", a-t-il ajouté.

Cependant, les autorités chinoises ont défendu les actions des forces de sécurité et ont déclaré que les rapports de la BBC ne reflètent pas ce qui s'est réellement passé.

News 360

Tu t’es vu - L’homme était venu à la gendarmerie de La Force, en Dordogne, dans le cadre d’un contrôle judiciaire

En général, pour interpeller les conducteurs en état d’ébriété, les forces de l’ordre mènent des contrôles sur les routes de la France entière. Elles ont rarement l’occasion de voir les personnes en infraction se présenter d’elle-même à la gendarmerie.

C’est pourtant ce qui s’est passé il y a peu en Dordogne, à la brigade de la commune de La Force, à l’ouest de Bergerac. Alors qu’il venait pointer dans le cadre d’un contrôle judiciaire, un homme s’est garé devant la gendarmerie. Une fois à l’intérieur, les militaires se sont rapidement aperçus que le conducteur n’était pas dans son état normal. Il titubait fortement et dégageait de forts relents d’alcool.

Les gendarmes ont donc décidé de lui faire faire un petit dépistage d’alcoolémie. Et il s’est avéré qu’il était plus que positif. Il présentait en effet un taux de 0,97 mg d’alcool par litre d’air expiré, soit près de quatre fois le seuil maximal de 0,25 mg autorisé

Il est donc resté un peu plus longtemps que prévu à la gendarmerie, son véhicule a été immédiatement saisi indique la gendarmerie de Dordogne sur sa page Facebook.

20 Minutes

Un chien a été sauvé par les pompiers ce samedi après avoir fait une chute dans un puit de 10 mètres de profondeur à Saint-Aubin-Routot en Seine-Maritime, ont indiqué les pompiers du département.

L'incident a eu lieu en milieu de journée route d'Oudalle. 11 sapeurs-pompiers, dont un vétérinaire, ont été déployés pour venir en aide à l'animal. A leur arrivée sur place, le chien était encore vivant.

Les services de secours sont finalement parvenus à extraire du puit le chien. L'animal a pu être sauvé.

BFM.TV

Les sauveteurs n’ont pas eu à chercher longtemps pour trouver un titre à cette histoire qui se termine bien. Le « miracle de Thanksgiving », référence à la fête qui réunit les Américains chaque quatrième jeudi de novembre, s’est produit cette semaine dans le golfe du Mexique.

Mercredi 23 novembre, sur les coups de 23 h, un homme de 28 ans a disparu du paquebot Carnival Valor, qui faisait route vers le Mexique, en provenance de la Nouvelle-Orléans, en Louisiane (États-Unis).

Une vaste zone de recherches

C’est sa sœur, avec qui il voyageait à bord de ce géant des mers (290 mètres de long, 110 000 tonnes, près de 3 000 passagers) qui a donné l’alerte, le lendemain midi.

Mais les nombreux appels passés à travers les enceintes du Carnival Valor n’ont pas permis de retrouver le 

passager qui avait passé la soirée dans l’un des bars du navire. Et pour cause, l’homme était tout simplement tombé à l’eau, en plein golfe du Mexique.

Jeudi 24 novembre, en début d’après-midi, le paquebot affrété par la Carnival cruise lines a signalé la disparition aux garde-côtes, qui ont mis en place un dispositif de recherches sur une zone large de 200 milles marins, avec bateau, hélicoptères et avions.

En état de choc

À 20 h 25, soit plus de 21 heures après la disparition du passager, le vraquier Crinis a aperçu un homme à la mer. Nageant dans une eau à 21 °C, il a pu être hélitreuillé peu après.

« Il a pu donner son nom et confirmer qu’il était bien la personne tombée à l’eau », a indiqué le lieutenant Seth Gross, des garde-côtes américains, à CNN. « Il montrait des signes d’hypothermie, de choc, de déshydratation » et « n’a pas vraiment donné d’indication claire sur la raison de sa chute par-dessus bord ni sur l’heure précise », a-t-il ajouté.

« Volonté de vivre »

« Le fait qu’il ait été capable de se maintenir à flot et au-dessus de la surface de l’eau pendant une période aussi longue restera certainement gravé dans ma mémoire », a déclaré le garde-côte. « Cela montre que la volonté de vivre est quelque chose dont il faut tenir compte dans tous les cas de recherche et de sauvetage. »

La bonne nouvelle a été transmise aux passagers du paquebot jeudi soir. Le survivant a été pris en charge dans un hôpital de Louisiane et son état était jugé stable, vendredi. Un vrai miracle.

Ouest-France

Les prémices d'un nouveau scandale ? Jeudi 24 novembre, nos confrères de RMC et Le Parisien révèlent le viol d'une femme, Isabelle*, âgée de 34 ans. Elle avait été admise dans le service des urgences de l'hôpital Cochin et a été agressée par un SDF visé par deux obligations de quitter le territoire français. L'agression de la jeune femme a eu lieu dans le courant de la nuit du 27 au 28 octobre dernier, quelques instants après qu'elle a été prise d'un malaise lors d'une soirée près des quais de Seine. En plus de l'enquête pour viol ouverte par le parquet de Paris, la victime a décidé de porter plainte contre X pour « mise en danger de la vie d'autrui ».

Selon les enquêteurs, l'homme suspecté d'avoir commis le viol avait repéré la victime dès son passage dans le bar parisien. Durant les investigations, plusieurs témoins ont indiqué avoir vu « rôder » l'individu autour d'Isabelle, « comme un mort de faim ». Pour être hospitalisé, le suspect aurait simulé un coma éthylique bidon alors qu'il était devant le bar où Isabelle avait fait son malaise quelques instants plus tôt. Secourus par les pompiers de Paris, celui-ci avait alors été conduit dans le même hôpital et le même couloir de la jeune femme.

Vers 4 heures du matin, alors qu'Isabelle était semi-consciente, celle-ci est réveillée par la douleur alors qu'un homme est en train de la violer. Face à cette scène, la plaignante hurle et parvient à faire fuir son agresseur? qui emporte, entre autres, la carte bancaire d'Isabelle.

« Vérifier s'il y a eu un manquement » de l'hôpital ou des soignants

Interpellé quelques minutes plus tard par la Brigade anticriminalité du 14? arrondissement, l'homme a été retrouvé en possession de la carte bancaire de la victime. Sans adresse officielle et surtout sans aucun papier, le suspect, Faïd A. serait visé par deux obligations de quitter le territoire (OQTF) d'après nos confrères, pour des faits de vols et de stupéfiants. Celles-ci n'avaient jamais été exécutées. En 2020, il avait été suspecté d'un viol sur mineure. L'affaire avait été classée sans suite quelques mois plus tard par le parquet de Meaux, précisent également Le Parisien et RMC. D'origine jordanienne, Faïd A. a été mis en examen et placé en détention provisoire. D'après nos confrères, l'homme est arrivé en France en 2019.

En ce qui concerne la plainte visant l'hôpital, l'objectif ? pour Isabelle ? est de « vérifier s'il y a eu un manquement de l'établissement ou du personnel pour assurer la sécurité des patients », précise l'avocate de la plaignante, Laura Abecassis, à RMC. « Personne n'imagine qu'on puisse commettre des faits aussi graves dans un établissement public, c'est inimaginable », peste-t-elle. Invitée à s'exprimer au sujet de cette plainte, l'Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP), s'est refusée à tout commentaire.

Le Point

 Le suspect a tenté de prendre la fuite par les balcons mais la policière l’a poursuivi

Une policière a été frappée par un suspect lors d’une intervention sur un point de deal, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), samedi dernier. Alors que la patrouille de la Brigade anticriminalité voulait procéder à un contrôle, l’homme a pris la fuite et la fonctionnaire s’est lancée à sa poursuite, rapporte Actu Val-de-Marne.

La policière a failli chuter du 3e étage

Le suspect lui aurait d’abord asséné un coup de poing au visage avant de pénétrer dans un appartement puis de tenter de s’échapper en se hissant sur le toit par le balcon. La policière aurait essayé de le suivre mais l’individu l’aurait repoussée.

La fonctionnaire aurait alors été rattrapée in extremis par un collègue alors qu’elle allait chuter du 3e étage. Les médecins lui ont prescrit 7 jours d’ITT. Le suspect a finalement été interpellé.

20 Minutes

Un contrôleur fiscal a été tué "dans le cadre d'un contrôle fiscal" lundi 21 novembre à Bullecourt (Pas-de-Calais), a annoncé le ministre charge des Comptes publics, Gabriel Attal.

L'agent fiscal a été retrouvé mort après avoir été séquestré avec une collègue. "Cet homme faisait simplement son travail (...) Aujourd'hui, il n'est pas revenu. Il a été tué dans le cadre de ce contrôle fiscal", a déclaré Gabriel Attal lors d'une intervention au Sénat, suivie d'une minute de silence, évoquant "un drame innommable". Il a précisé qu'il se rendrait sur place mardi matin, il est attendu à 11h30.

Le mis en cause se "serait donné la mort"

La victime, 43 ans, chef de brigade de vérification dans le Pas-de-Calais, a été retrouvée morte "probablement à la suite de coups de couteau", a affirmé mardi le parquet d'Arras dans un communiqué. L'inspectrice "qui l'accompagnait, très choquée, a été prise en charge par les secours. Ses jours ne sont pas en danger", a-t-il ajouté. Tous deux "procédaient à une intervention à domicile pour effectuer une vérification de la comptabilité" de l'entreprise d'un homme de 46 ans, un brocanteur, qui les auraient alors séquestrés et ligotés, est-il précisé dans le communiqué. "Le mis en cause se serait donné la mort par arme à feu", selon le parquet.

Le mis en cause, âgé de 46 ans, était connu des services judiciaires pour du droit commun. Son corps a été retrouvé dans une dépendance de sa propriété, selon une source proche du dossier à franceinfo. La section de recherche de la gendarmerie des Hauts-de-France a été saisie.

France info

Dans le futur, il souhaiterait intégrer Oxford ou Cambridge pour y étudier les mathématiques

Yusuf Shah, un garçon de 11 ans habitant à Leeds (Angleterre), a récemment obtenu un score de 162 à un test de quotidien intellectuel (QI). Avec ce résultat, l’enfant se place devant deux des plus grands génies du XXe siècle, le physicien américain Albert Einstein et l’astrophysicien britannique Stephen Hawking qui avaient un QI de 160. Il s’agit par ailleurs du score le plus élevé qu’il est possible d’obtenir pour une personne de moins de 18 ans, explique The Independent.

Ce sont les camarades de classe du jeune Britannique qui l’ont incité à passer un test de QI. « Tout le monde à l’école pense que je suis très intelligent et j’ai toujours voulu savoir si je faisais partie des 2 % des personnes qui ont ce résultat quand elles passent le test » a-t-il expliqué à nos confrères britanniques de Metro.

Vers Oxford ou Cambridge ?

Même s’il n’est âgé que de 11 ans, Yusuf Shah a déjà une idée claire sur son futur parcours. Ce passionné de sudokus et de Rubik’s Cube souhaite étudier les mathématiques à Cambridge ou Oxford, les deux universités les plus prestigieuses du pays. En attendant, le garçon a déjà été invité à rejoindre Mensa, l’organisation réunissant les personnes ayant un QI très élevé.

Pour sa famille, ce résultat extraordinaire représente une fierté. Cependant, sa mère souhaite éviter l’excès de confiance. « Je lui dis toujours : "Ton père est toujours plus intelligent que toi. Même si tu as du talent, tu ne dois pas ménager ta peine, il faut travailler" » a-t-elle expliqué. Son petit frère, Khalid, 8 ans, pourrait lui aussi passer le test prochainement.

20 Minutes

Alors qu’elle déjeunait avec des camarades dans la cantine de la Cité scolaire d’Amiens, une étudiante de 21 ans a accouché en plein service du midi, aidée par le manager du service de restauration. Selon le « Courrier Picard », la jeune femme a fait un déni de grossesse.

Vincent Piquot se souviendra longtemps de son jeudi 10 novembre 2022. Ce jour-là, vers midi, ce manager des équipes du service restauration de la Cité scolaire d’Amiens est « tranquillement en train de taper un rapport » lorsqu’une surveillante vient le chercher en renfort expliquant « qu’une élève »,qui était en train de déjeuner avec ses camarades, « est sur le point d’accoucher ».

Selon le Courrier Picard qui a obtenu le témoignage de Vincent Piquot, celle sur le point d’être mère s’était plainte, quelques instants auparavant, « de violentes douleurs dans le bas du ventre qui allaient et venaient ».

Depuis septembre, au moins, une jeune femme de 19 ans et deux mineurs de 17 ans, ont contraint une adolescente de 12 ans, originaire de Seine-Saint-Denis, à se prostituer.

Les mineurs qui ont endossé le rôle de proxénètes obligeaient cette toute jeune fille à enchaîner jusqu’à « une vingtaine de clients par jour », indique une source policière. Ils ont été interpellés le 15 novembre par la brigade de protection des mineurs. Ce vendredi, ils ont été mis en examen avant d’être «présentés devant le juge des libertés et de la détention qui a placé la majeure sous contrôle judiciaire. Les deux mineurs ont été placés en détention provisoire », précise le parquet de Bobigny. La plupart des faits ont été commis en Seine-Saint-Denis, notamment à Bondy, et dans une moindre mesure en Seine-et-Marne. Appâtée sur Snapchat Selon les premiers éléments de l’enquête, révélés par RMC, la jeune fille en rupture familiale est tombée entre les griffes du trio via une conversation sur le réseau Snapchat. La jeune femme gagne sa confiance en lui faisant miroiter un hébergement et elle obtient que la jeune ado lui envoie des photos d’elle dénudée. Un rendez-vous est ensuite pris. En guise d’hébergement, elle est enfermée dans une chambre d’hôtel où elle est contrainte de faire des passes. Les taches sont bien reparties dans l’équipe. Les hôtels sont préalablement réservés par la jeune femme de 19 ans. Les deux hommes s’occupent de surveiller la victime et d’empocher l’argent de la prostitution. L’enquête démarre en septembre lorsque la mère signale la disparition de sa fille. La victime sera retrouvée à l’hôpital de Montreuil. Cette nouvelle affaire de proxénétisme de mineur s’ajoute aux dizaines de dossiers suivis par la brigade de protection des mineurs. Ce service spécialisé traite actuellement une soixantaine de dossiers de ce type.

Le Parisien

Un homme a assassiné ses deux enfants mercredi soir, en Flandre-Occidentale.

Il était aux alentours de 20h mercredi quand le drame s'est produit: un homme d'une trentaine d'années a tué ses deux petites filles de 5 et 8 ans dans une ferme à Waardamme, au sud de Bruges.

Selon les médias belges, le père et la mère étaient séparés et leur relation était très conflictuelle. Arrêté, son audition permettra peut-être de comprendre les circonstances et les raisons de son geste.

20 Minutes

Un homme de 37 ans a été mis en examen lundi 14 novembre 2022 pour trafic et importation de résine de cannabis. Interpellé près de Vélizy (Yvelines) avec 376 kg de drogue dans une camionnette, il était recherché depuis trois ans pour un meurtre commis à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne). Spécialisé dans les go-fast, il vivait sous une fausse identité.

Il était recherché par la justice pour meurtre depuis 2019. Un homme de 37 ans a été interpellé par la police jeudi 10 novembre 2022 alors qu’il participait à un go-fast entre l’Espagne et l’Ile-de-France, rapporte Le Parisien . Le suspect a été arrêté sur l’autoroute A46 près de Vélizy (Yvelines) avec 376 kg de drogue dans une camionnette puis a été mis en examen lundi 14 novembre 2022 pour trafic et importation de résine de cannabis.

Une fausse identité

L’homme ferait partie d’une équipe chargée d’aller chercher de la drogue en Espagne pour qu’elle soit vendue sur le marché francilien, détaillent nos confrères. Les go-fast lui aurait permis de financer sa cavale.

Depuis trois ans ans, cet homme vivait sous une fausse identité. Il faisait l’objet d’un mandat d’arrêt pour meurtre depuis la mort d’un jeune homme de 19 ans à Villeneuve-Saint-Georges (Val-de-Marne), un de ses voisins. Il lui aurait tiré dessus avant de disparaître. Après sa mise en examen, le suspect a été écroué.

Ouest-France

Consternation dans le monde du rugby, qui vient de perdre un de ses membres. Ancien joueur âgé de 39 ans et père de plusieurs enfants, ce dernier a été retrouvé sans vie dans de bien tristes circonstances...

C'est une nouvelle bien triste pour tous les amoureux de sport et les fans de rugby en particulier. Après un week-end pourtant festif avec la belle victoire du XV de France face à l'Afrique du Sud au stade Vélodrome de Marseille en présence de Charlene et Albert de Monaco, le rugby français s'est réveillé hier avec une bien triste nouvelle. La mort d'un ancien joueur professionnel a été annoncée hier après-midi... Arrivé en provenance des îles Fidji pour venir jouer en France en 2008, ​​Akuila Nawerecagi a évolué au sein de plusieurs clubs français. S'il a démarré sa carrière du côté de Lons-le-Saunier, il est ensuite parti à la Section Paloise (Pau) pendant trois saisons.

Resté trois saisons dans le club qui évoluait alors en Pro D2 (la deuxième division française), il est ensuite parti à l'US Bressane avant de terminer sa carrière en 2014 du côté de Chalon-sur-Saöne. Suite à sa prolifique carrière, le Fidjien âgé de 39 ans a décidé de rester en France et s'était installé à Mercurey (Saône-et-Loire) où il vivait avec ses enfants. Leur mère vivait non loin d'ici, à Couches, et c'est sur une route située entre les deux villes que le corps d'Akuila Nawerecagi a été retrouvé. D'après les informations du journal de Saône-et-Loire, ce dernier était porté disparu depuis la nuit de jeudi à vendredi après qu'il a quitté son domicile.

Inquiète, une voisine de l'ancien rugbyman a appelé la gendarmerie pour leur signifier l'absence prolongée de l'ancien sportif. C'est finalement samedi après-midi que la voiture d'Akuila Nawerecagi a été retrouvée accidentée. C'est un automobiliste qui a fait la macabre découverte et d'après les premiers éléments de l'enquête, le rugbyman aurait perdu le contrôle de sa voiture alors qu'il se trouvait sur la route départementale 978. La présence d'un épais brouillard au moment de l'accident pourrait être à l'origine de ce drame, qui a durement touché son ancien club de Pau. "La Section a appris avec beaucoup de tristesse la disparition d'Akuila Nawerecagi, joueur du club entre 2009 et 2012. À sa famille, ses amis et ses proches, nous présentons nos plus sincères condoléances", a commenté le club sur ses réseaux sociaux.

Parti à seulement 39 ans, Akuila Nawerecagi laisse derrière lui des enfants et des anciens clubs meurtris par sa disparition.

Purepeople

Pas de commentaire !

Une jeune cavalière de 25 ans est morte ce dimanche lors d'une compétition hippique à l'hippodrome de Maisons-Laffitte, dans les Yvelines, rapporte Le Parisien. Alors qu'elle participait à une compétition de jumping, elle a chuté avec son animal, peu après avoir démarré le parcours.

En se relevant, l'animal a donné un coup de sabot dans la tête de la cavalière, et s'est retrouvé couché sur elle, provoquant une hémorragie interne.

D'après nos confrères, une urgentiste, présente dans le public, a tenté de lui prodiguer les premiers soins. À leur arrivée, les secours ont tenté de la maintenir en vie. Sa mort a été prononcée peu avant 13 heures.

Selon le maire LR de Maisons-Laffitte, Jacques Myard, interrogé par nos confrères, la compétition, qui est censée se poursuivre le week-end prochain, "pourrait être arrêtée".

BFM.TV