• Éric Dupond-Moretti "dévasté" : il réagit à la garde à vue de son fils Raphaël pour soupçons de violences conjugales

    Raphaël Dupond-Moretti, le fils du Garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, a été placé en garde à vue pour des soupçons de violences conjugales. Contacté par TF1/LCI, le ministre de la Justice a réagi.

    Voilà une polémique dont se serait bien passé Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice depuis juillet 2020. Ce vendredi 27 janvier, son fils Raphaël, fruit de ses amours avec son ancienne épouse Hélène, a été placé en garde à vue à la gendarmerie de Courchevel, en Savoie. Il serait soupçonné de "violences conjugales", selon une information d'abord dévoilée par TF1 puis confirmée par BFMTV. Entendu librement jeudi par les gendarmes, il a été convoqué un peu plus tard avant d'être placé en garde à vue et de nouveau auditionné ce jour.

    Contacté, le Garde des Sceaux et ancien ténor du barreau a accepté de réagir auprès de la chaîne d'informations LCI"En tant que père je suis dévasté, j’ai une pensée pour la victime, chaque violence quelle qu’elle soit est intolérable", a-t-il déclaré dans un premier temps, avant d'ajouter : "En tant que ministre je n’ai cessé de lutter contre les violences faites aux femmes et que pour que leur parole soit prise en compte. En tant que citoyen je demande à ce qu'on respecte ma vie familiale. Il appartient désormais à la justice de faire son travail."

    Eric Dupond-Moretti discret au sujet de ses fils

    Depuis qu'il est un personnage public, Eric Dupond-Moretti n'a évoqué que rarement son fils Raphaël - il en a un deuxième, prénommé Clément -. Mais en juin 2020, il avait fait une exception lors d'un passage sur le plateau de C à Vous, où il était question du harcèlement scolaire, en déclarant : "Moi j'ai deux garçons, il y en a un qui a 30 ans et l'autre, 27, ils ne sont plus scolarisés depuis belle lurette, et heureusement pour moi."

    S'il est aussi discret concernant ses enfants, c'est parce que du temps où il était encore avocat, ces derniers avaient fait l'objet de menaces. "J'ai reçu ce matin une lettre qui me met dans un état particulier parce qu'on promet une balle dans la tête à chacun de mes enfants”, avait en effet révélé Eric Dupond-Moretti en 2017. Aucun doute que la nouvelle du placement en garde à vue de son fils a été un choc pour le ministre de la Justice.

    VOICI


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  •  Le trentenaire a vraisemblablement perdu le contrôle de son engin et a percuté un plot anti-stationnement sur le port de La Ciotat

    Un nouveau drame de la route s’est produit tôt ce jeudi matin sur le port de La Ciotat (Bouches-du-Rhône), commune située à l’est de Marseille. Un homme d’une trentaine d’années est décédé après un accident avec sa trottinette personnelle, rapporte La Provence.

    La victime a vraisemblablement perdu le contrôle de son engin et a percuté un plot anti-stationnement, chutant mortellement. Malgré l’arrivée rapide des pompiers, l’individu n’a pu être réanimé. La circulation a été interrompue pendant que le corps gisant est resté de longues minutes sur le revêtement.

    20 Minutes


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  • Un homme d’une quarantaine d’années a été tué par balle, ce mardi soir, dans le village de Guiscard, près de Noyon, selon une information de nos confrères du Courrier Picard confirmée au Parisien par le parquet de Compiègne.

    L’auteur du meurtre, quadragénaire également, est quant à lui décédé ce mercredi après avoir retourné l’arme du crime contre lui. Une enquête pour assassinat a été ouverte et confiée à la brigade de recherches de la gendarmerie de Compiègne. Selon les premières investigations, c’est la piste d’un différend dans un contexte de séparation qui est fortement privilégiée. « L’auteur des tirs a donné la mort au nouveau compagnon de sa femme », indique Marie-Céline Lawrycz, procureure de la République de Compiègne. D’après les témoignages récoltés par les enquêteurs, il semblerait que le meurtrier et sa femme s’étaient séparés depuis peu mais qu’ils étaient toujours liés civilement. Des investigations sur « le contexte familial et sur la personnalité de l’auteur » Il était 21 heures lorsque l’homme a pénétré par effraction dans le domicile où le couple venait de s’installer. Si le déroulement exact des faits reste à déterminer, il apparaît qu’il a abattu le nouveau conjoint avant de tenter de mettre fin à ses jours. Le tout sous les yeux de son ex qui était présente dans l’appartement. « Ce qui est loin d’être anodin », souffle un gendarme présent sur place. Blessé grièvement, il a été transporté à l’hôpital où il a succombé à ses blessures quelques heures après les faits. Si l’action publique doit s’éteindre du fait de la mort du mis en cause, entraînant de fait l’abandon des poursuites, des investigations « sont en cours sur le contexte familial et sur la personnalité de l’auteur », précise Marie-Céline Lawrycz. Notamment pour permettre aux proches de la victime, qui était père de famille, comme pour ceux du mis en cause, d’avoir des éléments d’explications sur ce terrible geste. C’est la deuxième fois en cinq ans que cette tranquille commune du nord est du département est ainsi endeuillée. En septembre 2017, Sindy, maman de 34 ans et deux de ses cinq enfants, de 3 et 5 ans, avaient été abattus par leur mari et père sur le quai de la gare de Noyon. Le fonctionnaire de la préfecture de police de Paris, âgé de 38 ans, qui n’avait pas supporté que sa femme veuille le quitter, avait retourné lui aussi l’arme contre lui. Le drame s’était déroulé sous les yeux de l’une des jumelles du couple, une fillette alors âgée de 5 ans qui avait été épargnée.

    Le Parisien


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  • La victime, un homme de 30 ans, était sur le siège passager quand il a été touché par la balle. Il "est décédé de sa blessure sur place", ont indiqué les autorités.

    Un chien a tué par balle un chasseur américain assis à l'avant d'un pick-up en marchant sur un fusil posé sur la banquette arrière, dans le centre des États-Unis ce week-end, a déclaré la police.

    L'animal était samedi à l'arrière du véhicule, où étaient déposés du "matériel de chasse et un fusil", quand il "a marché sur l'arme, provoquant la détonation", a précisé le bureau du shérif du comté de Sumner, situé dans l'État rural du Kansas.

    "L'enquête se poursuit, mais, selon les premières informations, il s'agit d'un accident de chasse", a affirmé le bureau du shérif.

    De nombreux accidents

    Les autorités n'ont pas dit si la victime était le propriétaire du chien. Les armes sont très répandues aux États-Unis, notamment dans les États ruraux. Le nombre d'armes en circulation dans le pays est supérieur au nombre d'habitants.

    Les accidents tragiques, qui impliquent parfois des enfants tirant en jouant avec des armes, sont nombreux.

    BFM.TV


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  • Malgré les tentatives pour le réanimer, l’homme est décédé

    Il était âgé de 51 ans. Un homme sans domicile fixe a été retrouvé mort ce mardi matin au 253, avenue du Général-Patton, au nord-est de Rennes. Alertés, les pompiers sont intervenus un peu avant 9 heures du matin. A leur arrivée sur place, la victime était en arrêt cardiorespiratoire, allongée sur un banc. Malgré les tentatives des pompiers et du Smur pour le réanimer, le quinquagénaire a été déclaré décédé par un médecin.

    L’an dernier, quatre personnes SDF sont mortes dans la rue à Rennes et 449 en France, selon le collectif Les morts de la rue.

    20 Minutes


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  • Un homme de 65 ans a tué sa fille de 19 ans dans un nouveau cas de meurtre d"honneur" dans la ville pakistanaise de Karachi, après avoir découvert qu'elle s'était mariée sans son consentement.

    Le superintendant de la police de Karachi, Shabbir Ahmed Sethar, a signalé l'incident, dans lequel un officier de police senior, Imran Zaman, et un homme de 20 ans ont également été blessés, rapporte le quotidien pakistanais "Dawn".

    Les blessés et le corps de la jeune fille ont été transportés à l'hôpital civil Dr Ruth Pfau de Karachi. Le tireur, Amir Yan Mehsud, a été arrêté.

    "La victime avait épousé un homme, un médecin, de son plein gré et son père l'aurait tuée par honneur", a déclaré Sethar.

    Source: (EUROPA PRESS)


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  •  Une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon afin de déterminer les causes de la mort du nouveau-né

    La macabre découverte a été faite samedi soir par la police de Lyon. Le corps d’un bébé a été retrouvé sur le balcon d’un appartement situé dans le 9e arrondissement. C’est le père du nouveau-né qui a alerté les secours. Son épouse âgée de 34 ans, et déjà mère de trois enfants, aurait fait un déni de grossesse, révèle Le Progrès. Elle aurait accouché seule ce soir-là.

    Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour rechercher les causes de la mort et comprendre ce qui a pu se passer. Le bébé ne présentait pas de traces suspectes pouvant faire croire qu’il aurait été tué par sa mère, indique encore le quotidien régional précisant qu’une autopsie doit être pratiquée afin de déterminer s’il était vivant à la naissance.

    La mère « très choquée » n’aurait parlé à personne de sa grossesse, pas même à son mari. Inquiet de voir des traces de sang dans l’appartement et sa femme souffrante, il aurait découvert ainsi leur bébé sur le balcon.

    20 Minutes


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  • Trois caissières employées dans un supermarché du Pas-de-Calais faisaient mine de passer les code-barres des articles et faisaient économiser des centaines d'euros à leurs proches.

    Il aura fallu plus de deux mois d'enquête pour mettre au jour cette vaste affaire d'escroquerie, rapporte La Voix du Nord. Preuve de son importance, le commissariat de Lens l'avait même qualifiée de "l'affaire D'Artagnan" en rapport aux mousquetaires, puisque le supermarché concerné est un Intermarché, propriété du groupe Les Mousquetaires. Pendant plusieurs mois, trois femmes de 25 à 35 ans employées à Loos-en-Gohelle (Pas-de-Calais) avaient donc pris l'habitude de faire des fleurs à leurs proches lorsqu'ils passaient en caisse.

    Selon une source proche du dossier interrogée par nos confrères, leur stratagème était relativement simple. Elles passaient les articles en caisse, mais au moment du passage devant le code-barres, elles le cachaient "discrètement". Avec tous les bips des autres caisses, "quasi impossible de s'en rendre compte", confie la source. Les trois femmes étaient en réalité proches, deux étant des meilleures amies, et la dernière leur voisine. Mais personne ne le savait dans le magasin. Leurs manigances ont été mises au jour en octobre dernier lorsque l'une d'elles a rouvert sa caisse pour faire passer un proche. Mais lorsqu'il lui a été demandé de vérifier sa caisse en comparant la valeur du chariot, la direction a remarqué un problème.

    Plusieurs dizaines de milliers d'euros dérobés

    La caissière n'a pas mis longtemps à se mettre à table et a avoué la fraude, dénonçant au passage ses deux autres collègues. Embauchées entre octobre 2021 et juin 2022, elles ont été licenciées pour faute grave, mais la direction du magasin a contacté la police. Pendant deux mois et demi, les policiers ont analysé les images de vidéo-surveillance et les relevés bancaires et se sont rendu compte d'énormes différences dans les caisses ; celles-ci n'avaient jamais été mises au jour jusqu'alors. Il a été démontré que chaque caissière faisait passer les amis, famille, etc. de ses collègues afin de détourner les soupçons. Selon La Voix du Nord, ils auraient été une vingtaine au total à profiter de cette fraude organisée.

    Et cette escroquerie se chiffre en milliers d'euros, puisque par exemple, des courses à hauteur de 1.000 euros environ auraient été facturées finalement une centaine. Tous les produits étaient concernés, des jeux vidéo, à l'alimentation, en passant l'électroménager. Les enquêteurs ont même découvert que certains des proches passaient même parfois avec trois charriots. Au total, Intermarché aurait perdu plusieurs dizaines de milliers d'euros dans l'affaire. "On n'avait pas conscience que ça allait prendre une telle ampleur", avoue aujourd'hui la direction. Accusées de vol aggravé, les caissières devraient être entendues devant le tribunal dans les semaines à venir. Un restaurateur lensois aurait aussi bénéficié de ces tours de passe-passe. Tous les protagonistes pourraient être jugés pour recel de vol.

    Capital


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  • Sœur André, la doyenne des Français fête ses 118 ans • FRANCE 24

    Le paradis ne pouvait attendre plus longtemps: la doyenne de l'humanité, la Française soeur André, est décédée mardi à 118 ans, après une vie marquée jusqu'au bout par le goût des autres et un humour ravageur.

    A quelques jours de ses 119 ans, "elle est décédée à 2H00 du matin. Il y a une grande tristesse mais elle le voulait, c'était son désir de rejoindre son frère adoré. Pour elle, c'est une libération", a annoncé à l'AFP David Tavella, chargé de la communication à l'Etablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes Sainte-Catherine-Labouré de Toulon, sur la côte méditerranéenne, où elle résidait.

    Les obsèques se dérouleront dans la plus stricte intimité, a-t-il ajouté.

    Depuis plusieurs années, la religieuse née Lucile Randon le 11 février 1904 à Alès (Gard), ne cachait pas une certaine lassitude: elle souhaitait "se retirer de cette affaire". Mais "le bon Dieu ne m'entend(ait) pas", avait-elle confié à l'AFP en janvier 2022, lors d'une longue rencontre.

    Clouée sur un fauteuil roulant, aveugle, soeur André vivait mal d'avoir perdu en partie ses capacités.

    "On dit que le travail tue, moi c'est le travail qui m'a fait vivre, j'ai travaillé jusqu'à 108 ans", racontait-elle en avril 2022, lorsqu'elle avait été faite doyenne de l'humanité, après le décès à 119 ans de la Japonaise Kane Tanaka.

    Aucun organisme officiel n'attribue ces titres de doyen ou doyenne mais les spécialistes s'accordaient pour dire que soeur André était jusqu'à présent la personne la plus âgée vivante dont l'état civil avait été vérifié.

    Le livre Guinness des records avait lui aussi acté ce record le 25 avril.

    A résisté au Covid

    Dans sa maison de retraite, elle ne disait jamais non à un petit chocolat ou à un verre de porto. Sa vie était ponctuée par une messe chaque matin. Elle se présentait toujours dans ses habits de religieuse, un fichu bleu sur les cheveux.

    Elle portait en elle "sa mission de +servitrice+ des autres", expliquait en avril soeur Thérèse, une autre pensionnaire, certaine que "sa foi profonde" la faisait tenir.

    La porte de sa modeste chambre restait toujours ouverte au cas où quelqu'un aimerait passer une tête car "toute la journée seule avec sa douleur, c'est pas drôle".

    En 2021, elle avait traversé le Covid sans difficulté, devenant un symbole d'espoir qui avait suscité un flot de lettres du monde entier.

    Elle blaguait régulièrement sur le record à battre, celui de Jeanne Calment, morte à 122 ans à Arles en 1997, dans ce sud de la France qu'elles ont partagé. Jeanne Calment reste donc la personne ayant vécu le plus longtemps dans l'histoire de l'humanité et dont l'état civil a été vérifié.

    Mais soeur André est tout de même la 4e personne ayant vécu le plus longtemps, derrière Jeanne Calment, Kane Tanaka et une Américaine, selon Laurent Toussaint, spécialiste de la longévité extrême en France interrogé par l'AFP.

    La probable nouvelle doyenne des Français est une Vendéenne de 112 ans, Marie-Rose Tessier, née Bousseau le 21 mai 1910, a indiqué à l'AFP le spécialiste français Laurent Toussaint qui participe à la base scientifique IDL (International Database on Longevity).

    Il faut néanmoins être "très prudent", a-t-il insisté car il est possible qu'une personne encore plus âgée ne soit pas connue.

    "Partager un grand amour"

    Issue d'une famille protestante non pratiquante, soeur André, écrit au masculin en hommage à l'un de ses trois frères qu'elle adorait, a été gouvernante à Paris avant de rentrer tardivement dans les ordres, au sein de la compagnie des Filles de la Charité.

    Sa mémoire intacte jusqu'au bout, elle partageait beaucoup de souvenirs, la dramatique perte de sa jumelle Lydie à 18 mois ou son arrivée à Paris. "Je n'avait vécu que dans le Gard, dans une petite ville, moche, j'arrivais dans une ville radieuse. Je m'occupais de deux enfants".

    Elle a travaillé officiellement jusqu'à la fin des années 1970 et passé ensuite 30 ans dans un Ehpad en Savoie où elle s'occupait de pensionnaires parfois plus jeunes qu'elle, avant d'arriver à Toulon.

    Elle attendait toujours avec joie la visite de ses petits-neveux et arrières petits-neveux ou celle du maire de Toulon, Hubert Falco, qui a exprimé "son immense tristesse" mardi.

    De son long passage sur terre, soeur André aura inlassablement conseillé "toujours d'aimer sans restriction, d'aimer sans rien attendre en retour car quand on aime les autres, quand on va vers les autres, on a pas peur de l'inconnu", expliquait David Tavella devenu son confident.

    Et pour elle, s'il devait y avoir deux buts dans une vie ce serait de "partager un grand amour et de ne pas transiger sur ses besoins".

    Le Point


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  • Matteo Messina Denaro, le mafieux le plus recherché d’Italie, a été arrêté

    Le mafieux le plus recherché d’Italie, le Sicilien Matteo Messina Denaro, en cavale depuis trente ans, a été arrêté à Palerme, en Sicile, a annoncé ce lundi 16 janvier le vice-Premier ministre Matteo Salvini.

    Matteo Messina Denaro, 60 ans, est considéré comme le successeur des grands dirigeants historiques de Cosa Nostra, Toto Riina et Bernardo Provenzano, morts en prison en 2016 et 2017.

    Matteo Messina Denaro, le dernier parrain de la mafia sicilienne

    « Après trente ans de fuite, le superboss Matteo Messina Denaro a été arrêté. C’est avec une grande émotion que je remercie les femmes et les hommes de l’Etat qui n’ont jamais abandonné, confirmant la règle que tôt ou tard même les plus grands criminels en fuite sont arrêtés », a réagi sur Twitter Matteo Salvini.

    Une stratégie qui porte ses fruits au bout de 20 ans

    « Aujourd’hui, 16 janvier, les carabiniers […] ont arrêté le fugitif Matteo Messina Denaro à l’intérieur d’une structure sanitaire à Palerme où il s’était rendu pour suivre des thérapies cliniques », a précisé le général des carabiniers Pasquale Angelosanto à l’agence AGI.

    Sur la liste du ministère de l’Intérieur des six criminels les plus recherchés en Italie, Matteo Messina Denaro, né en avril 1962 près de Trapani, en Sicile, occupe la première place.

    Ancienne gâchette de Cosa Nostra, il avait été condamné par contumace à la réclusion criminelle à perpétuité pour meurtres. Mais la seule photo connue de lui remonte au début des années 1990.

    Depuis de nombreuses années des centaines de policiers et carabiniers participaient à la traque du fugitif le plus connu d’Italie. Depuis les années 2000, la police italienne a multiplié les arrestations et les saisies de biens dans son entourage, dans une stratégie d’isolement qui a mis près de vingt ans à porter ses fruits, tellement son réseau de soutien était important.

    L'Obs


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  • Il a été arrêté il y a plus d’un an, mais ce n’est qu’aujourd’hui que l’ampleur des crimes dont il est accusé a été révélée. Un officier de la Metropolitan Police a avoué avoir commis au moins 24 viols sur une période allant de 2003 à 2020. Arrêté en octobre 2021, David Carrick, âgé de 48 ans, a reconnu un total de 49 infractions contre 12 femmes. La plupart des faits ont eu lieu dans le comté de Hertfordshire (au nord de Londres), où il résidait, précise la BBC.

    Selon The Guardian, sa hiérarchie avait été informée à plusieurs reprises avant son arrestation du fait qu’il constituait « une menace pour les femmes ». Neuf incidents ont été rapportés entre 2000 et 2021, mais « aucune mesure n’a été prise, les femmes refusant de porter officiellement plainte ou renonçant à coopérer à l’enquête policière », souligne le quotidien britannique. Certaines victimes qu’il admet avoir attaquées auraient été averties qu’elles ne seraient pas crues si elles venaient à raconter ce qu’elles avaient subi, parce qu’il était policier. Selon les enquêteurs, l’homme a cherché à dominer et à humilier ses victimes. Il a notamment forcé plusieurs victimes à rester nues dans un placard sombre sous un escalier, où elles étaient séquestrées pendant plusieurs heures. « Il a abusé du pouvoir qu’il avait en tant qu’officier de police » David Carrick a reconnu ce lundi quatre chefs de viol, de séquestration et d’attentat à la pudeur, concernant une femme de 40 ans en 2003, devant le tribunal de Southwark, à Londres. Il avait déjà plaidé coupable de 43 infractions (dont 20 viols) au mois de décembre, sans que cela ne soit alors rendu public. Les enquêteurs envisagent l’hypothèse que d’autres victimes puissent désormais se manifester. Le verdict de son procès est attendu le mois prochain. « C’est l’une des affaires les plus choquantes que le parquet ait eu à traiter, impliquant un officier de police en service », a déclaré Jaswant Narwal, la responsable du parquet. « L’ampleur (de ses crimes, ndlr) est effroyable », a-t-elle ajouté. « Carrick était persuasif, mais aussi incroyablement manipulateur. Lors de la première rencontre avec ses victimes, il les charmait en leur disant qu’il allait essayer de les contrôler. Et il utilisait souvent sa position d’officier de police pour les empêcher de partir ou de le dénoncer, suggérant que ce serait leur parole contre la sienne et qu’elles ne seraient pas crues », a expliqué Jaswant Narwal. « Au nom de la Metropolitan Police », la commissaire adjointe Barbara Gray a dit être « sincèrement désolée ». « Nous avons manqué des occasions, au fil du temps, d’identifier son comportement abusif. (...) Nous sommes vraiment désolés du fait qu’il ait continué à être un officier de police. Il a abusé du pouvoir qu’il avait en tant qu’officier de police », a-t-elle également dit. Après son arrestation, il a immédiatement été suspendu de ses fonctions et l’institution policière a entamé une procédure disciplinaire accélérée à son encontre pour faute professionnelle. Une audience doit avoir lieu ce mardi.

    Le Parisien


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  • Val-de-Marne : un adolescent mortellement poignardé devant son lycée

    Le drame s'est produit devant le lycée Guillaume-Apollinaire à Thiais, dans le Val-de-Marne, lundi 16 janvier. Un adolescent de 16 ans a été mortellement poignardé et un autre mineur a été blessé, a indiqué le parquet de Créteil à l'Agence France-Presse (AFP), confirmant une information de Valeurs actuelles. Le second jeune blessé a été transporté à l'hôpital Henri-Mondor, son pronostic vital n'est pas engagé. Un adolescent de 16 ans a été interpellé dans la matinée. 

    Le contexte de rixe entre bandes de jeunes rivales est privilégié, selon plusieurs sources proches de l'enquête. Interpellé devant son lycée, à Créteil, vers 10 heures, le suspect est originaire de Choisy-le-Roy, selon la source policière qui évoque une rivalité entre quartiers de Thiais et Choisy-le-Roy.

    Les faits se sont déroulés lundi entre 8 heures et 9 heures, selon les premiers éléments de l'enquête confiée à la police judiciaire du Val-de-Marne, a précisé le parquet, sans donner de précisions sur le contexte de l'agression. Contactés par l'AFP, la préfecture du Val-de-Marne et le rectorat de Créteil n'étaient pas joignables dans l'immédiat. « C'est un événement dramatique qui choque tout le monde », a réagi le maire de Thiais, Richard Dell'Agnola.

    Le département du Val-de-Marne a été le théâtre de rixe entre bandes rivales et d'agressions mortelles entre jeunes, notamment en 2021 à Champigny-sur-Marne ou à Ivry-sur-Seine.

    Le Point


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  • Au centre du Népal, un avion s’est écrasé avec à son bord 72 personnes. L'avion en provenance de la capitale népalaise Katmandou s'est écrasé près de l'ancien aéroport de Pokhara, où il devait atterrir.

    Lors de cette annonce, le porte-parole de la compagnie aérienne Yeti Airlines, Sudarshan Bartaula, ne connaissait pas la gravité des dégâts. « Il y a 68 passagers à bord et quatre membres d'équipage », a-t-il déclaré. Selon un nouveau bilan de la police, le bilan s'est alourdi. « Trente et un (corps) ont été transportés dans les hôpitaux », a déclaré l'officier de police AK Chhetri à l'AFP, ajoutant que 36 autres dépouilles avaient été trouvées dans le ravin où s'est écrasé l'avion dans le centre du pays, faisant un total de 67 personnes décédées. 

    Sur les réseaux sociaux, une vidéo, partagée de nombreuses fois, a illustré la gravité de ce crash. On y voit des dizaines de personnes massées tout autour d'un immense brasier, dégageant un épais nuage de fumée noire et opaque, au fond d'un ravin profond, dont la végétation était déjà réduite en cendres. Certains tentaient d'arroser avec des tuyaux le feu et les abords du ravin. « Des secours sont déjà arrivés sur place et tentent d'éteindre le feu », a ajouté Gurudutta Dhakal, précisant qu'ils étaient « concentrés d'abord sur l'extinction du feu et sur le sauvetage des passagers » 

    15 nationalités différentes à bord 

    Selon le porte-parole de la compagnie aérienne, Sudarshan Bartaula, à bord de cet avion il y avait des passagers de 15 nationalités différentes. Parmi eux, cinq Indiens, quatre Russes, deux Sud-coréens, un Argentin, un Australien, un Irlandais et un Français. Mais le porte-parole ne sait pas s’ils font partie des personnes décédées ou non. 

    L'industrie aérienne népalaise a connu un véritable essor ces dernières années, transportant des marchandises et des personnes dans des régions difficiles d'accès, ainsi que des randonneurs venus faire du trekking et des alpinistes étrangers. Mais elle a souffert d'un manque de sécurité dû à une formation des pilotes et une maintenance insuffisantes. Le pays himalayen possède certaines des pistes les plus isolées et les plus délicates du monde, flanquées de pics enneigés dont l'approche constitue un défi même pour les pilotes chevronnés. 

    Les exploitants d'avions affirment que le Népal ne dispose pas d'infrastructures permettant d'établir des prévisions 

    météorologiques précises. Notamment dans les régions reculées au relief montagneux accidenté, où des accidents mortels ont eu lieu par le passé.

    De nombreuses catastrophes aériennes  

    En mai 2022, les 22 personnes qui se trouvaient à bord d'un bimoteur Twin Otter exploité par la compagnie népalaise Tara Air - 16 Népalais, quatre Indiens et deux Allemands - sont mortes lorsque l'appareil s'est écrasé.

    Quatre ans plus tôt, en mars 2018, un avion de la compagnie US-Bangla Airlines s'était écrasé près de l'aéroport international de Katmandou, tuant 51 personnes. Il avait été l'accident le plus meurtrier au Népal jusqu'à aujourd'hui depuis 1992, lorsque les 167 personnes à bord d'un avion de Pakistan International Airlines sont mortes dans un crash à l'approche de Katmandou.

    le JDD


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  • Ce jeudi 12 janvier, une jeune fille de seulement trois ans a été retrouvée par son père dans le lave-linge de leur appartement familial à Paris. D’abord dans un état critique, elle a fini par succomber.

    Une petite fille de trois ans a été tristement découverte dans la soirée du jeudi 12 janvier par son père et l’un de ses frères et sœurs dans un état très grave. Elle était enfermée dans le lave-linge de son appartement du quartier de Belleville dans le 20e arrondissement de Paris. Selon des déclarations du Parisien, les secours n’ont pas pu réanimer la victime, qui était déjà dans un état critique à leur arrivée. Ne présentant aucune blessure visible, le parquet de Paris a immédiatement décidé d’ouvrir une enquête afin d’élucider les causes du décès. Elle aurait été confiée à la brigade de la protection des mineurs parisienne. 

    L’enquête et les premières pistes

    Selon les premières déclarations, la macabre découverte aurait eu lieu après le repas familial. Les deux parents et un des cinq enfants de la fratrie ont diné, puis s’inquiétant de l’absence des autres membres de la famille, dont la cadette qui n’est autre que la victime, sont partis à leur recherche. La mort de la fillette a été annoncé peu avant minuit dans la soirée du jeudi 12 janvier. Les parents déclarent formellement que la machine n’a pas tourné plusieurs heures avant la découverte de la jeune fille.

    La première supposition des secours se tourne vers l’étouffement. Une autopsie sera tout de même réalisée pour en savoir davantage sur les circonstances de son décès. À ce stade, les enquêteurs n’écartent aucune piste. Il est possible en effet, qu’il s’agisse d’un accident, d’un jeu qui aurait tourné à la tragédie. Mais l’infanticide est également envisagé. Un interrogatoire auprès de toute la famille, dont ses quatre frères et sœurs permettra d’éclaircir les faits et d’en savoir plus.

    ELLE


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  • Haro sur les camionnettes de prostituées à Lyon

    Cachez ces camionnettes que je ne saurais voir.... Des prostituées garées devant des terrains de sport fréquentés par des enfants créent la polémique à Lyon, où élus et collectif de parents fustigent la mairie écologiste qui refuse de les déloger.

    "Nous n'avons qu'un seul message, la sécurité des gosses !", tance Olivier M., membre d'un collectif de quelque 200 parents d'enfants qui jouent et s'entraînent sur cette "plaine des jeux" du quartier de Gerland.

    Le long de la rue longeant cette aire, des dizaines de camionnettes blanches cabossées voient défiler à toute heure des cortèges de voitures de clients.

    "Ca devient vraiment glauque quand la nuit tombe: les gamins ont vu des gens se masturber, des femmes se balader nues ou des ébats dans des véhicules aux portes ouvertes", peste Olivier, dont le fils a 13 ans.

    Selon le collectif créé à la rentrée, les incidents se multiplient. Une pétition a recueilli près de 3.400 signatures.

    "Un soir, une fillette de 11 ans a été suivie par un client, et une mère s'est vu réclamer une prestation devant l'entrée du stade", rapporte Laetitia B., également membre du collectif. "Des gamins sont même tombés sur une prostituée qui se douchait dans le vestiaire du terrain d'athlétisme".

    "Pas de cohabitation possible"

    Interpellée par des habitants et élus de l'opposition, la mairie refuse de chasser les prostituées à coups d'arrêtés anti-stationnement, levier privilégié sous l'ère du précédent maire Gérard Collomb (2001-2017 puis 2018-2020).

    "Cela reviendrait à les exposer à la violence", explique Mohamed Chihi, adjoint à la sûreté. L'élu veut plutôt "inciter associations et services de l'Etat à les aider à sortir de la prostitution", car selon lui "une grande partie le souhaitent".

    En attendant, la mairie a relancé la construction d'un muret surmonté d'une grille végétalisée le long de l'aire de jeu. En parallèle, le conseil municipal a mandaté l'association Cabiria, qui agit auprès des prostituées, pour mener une médiation.

    Mais les parents refusent de transiger. "Il n'y a pas de cohabitation possible entre enfants et prostituées. Ces prostituées doivent être déplacées", insiste Olivier M., qualifiant le projet de clôture de "cache misère".

    "Les prostituées sont d'accord pour discuter, par exemple des zones de stationnement ou des horaires de leurs 

    activités, mais pour dialoguer il faut être deux", déplore Antoine Baudry, de Cabiria.

    Selon lui, ces femmes, majoritairement des étrangères, "veulent simplement un endroit où travailler tranquillement", alors que leur quotidien est déjà très rude.

    "Elles vivent, dorment, mangent, se lavent et font leurs besoins dans leur camionnette et font déjà souvent l'objet d'agressions. Si on les déplace, elles seront encore plus vulnérables", plaide-t-il en rappelant le décès d'une jeune femme retrouvée dans sa camionnette incendiée, en avril 2021 à Meyzieu (banlieue est de Lyon).

    Pilar, prostituée équato-guinéenne de 37 ans, a expliqué à l'AFP s'être munie d'une bombe lacrymogène pour répondre aux agressions "fréquentes".

    Répression complexe

    L'apparition des camionnettes de la discorde date de la fin des années 1990, dans le quartier de Confluence, non loin du centre-ville. L'activité avait été repoussée vers Gerland au mitan des années 2000, à coups de mises en fourrière, mais depuis peu le parc grossit à vue d'oeil, affirme Olivier M.

    Face à ce "sujet de tranquillité et de salubrité publique", la préfecture du Rhône explique que la police nationale mène "de une à trois opérations de contrôle de clients par semaine" sur les lieux. La loi de 2016 a supprimé le délit de racolage passif et pénalise les clients, mais cela implique un flagrant délit.

    Par ailleurs, des enquêtes pour "proxénétisme et traite des êtres humains" sont en cours. Car s'il est difficile d'évaluer la proportion de prostituées sous contrainte, les berlines qui les déposent parfois devant les camionnettes témoignent a minima d'une organisation, selon plusieurs sources.

    M. Chihi appelle l'Etat à renforcer les moyens d'enquête et les budgets pour l'accompagnement des prostituées: "le sujet mérite une réponse humaniste, la plus efficace sur le long terme".

    Olivier M., lui, en a appelé à Brigitte Macron, au ministère de l'Intérieur et à la Défenseure des droits pour "régler le problème une bonne fois pour toutes". "On a peur qu'un parent pète un câble ou qu'il y ait une agression", prévient-il.

    Le Point  -  Lyon (AFP) -  © 2023 


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  • "C'est une scène épouvantable avec une femme victime de violences depuis plusieurs mois, une femme victime de violences devant ses trois enfants", plaide, ce mercredi 11 janvier 2023, maître Hugo Ferri  devant la chambre de l'instruction de Nîmes. Il représente une maman qui a perdu son fils, âgé de deux ans, suite à une dispute entre elle et son compagnon.

    Le 16 septembre 2022, "après une nouvelle dispute, cette femme va venir recupérer des documents d'identité dans la voiture. Une nouvelle scène de violence va éclater et un gosse de 2 ans va essayer "d'intervenir pour défendre sa mère," ajoute avec émotions le pénaliste nîmois. La mère de famille est présente à l'audience et en pleurs... Elle ne pourrait par comprendre la libération de son ancien petit ami. Ce jour-là, le conducteur va reculer rapidement et percute avec une porte ouverte le petit Kassim qui va succomber à ses blessures.

    Le compagnon de la maman demande aujourd'hui sa remise en liberté après quatre mois de détention préventive dans ce dossier de "violences conjugales ayant entraîné une ITT de plus de 8 jours en récidive " car il a été condamné en mai 2020 par la cour d'appel d'Aix-en-Provence. Il lui est reproché d'avoir infligé à sa compagne des coups de poing au thorax. Il est également mis en examen pour "homicide involontaire par maladresse, imprudence, inattention, négligence, manquement à une obligation de prudence et de sécurité" également en récidive. 

    Le jour du drame, le compagnon de la maman accélère, percute l'enfant dans une manoeuvre désordonnée et s'enfuit alors que le petit garçon est inanimé, à terre, près du palais de la mer au Grau-du-Roi.

    Un mis en cause qui a déjà été condamné pour des infractions liés à sa conduite et aussi pour évasion. "Après les faits il a essayé de se soustraire à l'action de la Police et de la Justice. Aujourd'hui encore il n'a pas l'intention de respecter un quelconque controle judiciaire qui vous pourriez lui octroyer", dénonce l'avocat général Hervé Poinot en rejetant un éventual élargissement de cet homme. Ce dernier souhaite sortir de prison, pour aller à Arles, hébergé par une proche.

    La Cour d'appel de Nîmes rendra sa décision sur un contrôle judiciaire ou un maintien en détention vendredi 13 janvier. 

    Objectif Gard


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  • "Il avait toujours le sourire": un jeune de 13 ans se tue sur fond d'harcèlement et d'homophobie

    Lucas, 13 ans, a mis fin à ses jours le samedi 7 janvier à son domicile, à Golbey, près d’Epinal dans les Vosges.

    Un suicide sur fond d'harcèlement scolaire et d’homophobie, alors que le jeune homme assumait son homosexualité. Pour cela, il était moqué par certains de ses camarades. Une situation qui avait été pointée du doigt par les parents.

    Lucas et sa mère ont fait état de "moqueries" liées à l'orientation sexuelle de l'adolescent dès la première réunion parents-professeurs, en septembre 2022. A 13 ans, Lucas assumait donc pleinement son homosexualité, que ce soit dans sa famille, auprès de ses amis, qui décrivent tous un adolescent très joyeux.

    "Il avait toujours le sourire, ce petit ! Toujours agréable, toujours attentionné, toujours spontanné, toujours plein de rêves et d'envies", assure Stéphanie, une proche de la famille.

    "Il était harcelé régulièrement"

    Mais depuis de longs mois, dans son quartier mais surtout au collège, le jeune homme subissait des moqueries, des insultes…

    "Il était harcelé régulièrement par rapport à sa tenue, sa façon d'être, à ce qu'il dégageait. Il était entier donc il ne se cachait pas. Cela dérangeait peut-être certaines personnes qui n'osaient être aussi entières que lui."

    Et son mal-être, Lucas ne le dissimulait pas. "Il en a parlé à sa maman qui a bien réagi en appelant la CPE, le principal... En rentrant de l'école, il se plaignait de ce qu'il vivait encore et encore. Sa maman a appelé au secours à plusieurs reprises. Le milieu scolaire, où il passait les trois-quarts de son temps, n'a pas réagi comme il fallait."

    "La situation a été prise très au sérieux par l'établissement, par le professeur principal", assure Valérie Dautresme, directrice académique des services de l'Éducation nationale dans les Vosges. Avec, sans attendre, une intervention auprès de l'équipe pédagogique et des élèves.

     Une plainte va être déposée

    Une enquête est en cours et la famille va déposer une plainte pour faire toute la lumière sur ce drame, comme l’explique Maître Catherine Faivre, l’avocate de la famille: "Il y a toute une série de chaîne de responsabilités qui peuvent être recherchées et engagées si en effet les éléments d'une infraction ont été constitués".

    Plus de 7.000 euros ont été récoltés dans une cagnotte en ligne pour aider à payer les obsèques du garçon, qui auront lieu ce samedi à Épinal. Une cérémonie civile ouverte aux proches.

    RMC


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  • Un couple qui s’était absenté pour les vacances de Noël a découvert un intrus en rentrant chez lui, lundi 26 décembre 2022 dans la soirée, relaie Actu Nice . Dans leur logement situé dans le quartier Carlone à Nice (Alpes-Maritimes), l’homme et la femme sont ainsi tombés sur un cambrioleur, endormi dans leur lit.

    L’intrus avait par ailleurs fouillé l’appartement et volé de l’argent et un poste de télévision. Alertés par les propriétaires, les policiers de la brigade anticriminalité (Bac) se sont rendus sur les lieux et ont appréhendé le voleur présumé. Celui-ci n’a pas opposé de résistance, précise Nice-Matin .

    Par une fenêtre du logement

    Avec l’aide d’un complice, il se serait introduit dans le domicile par une fenêtre donnant sur la rue. L’homme aurait reconnu avoir occupé le logement pendant deux jours.

    Une enquête a été ouverte et le suspect a été placé en garde à vue pour « vol précédé de dégradations et infraction à la législation sur les étrangers », indique Actu Nice.

    Ouest-France


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  •  L’acteur et peintre Jean-Claude Pautot arrêté après la saisie d'une tonne de cocaïne en Espagne et en France

    Cette ancienne figure du grand banditisme français a été arrêtée en Espagne fin décembre en lien avec la saisie de plus d'une tonne de cocaïne dans les Açores et en région parisienne.

    Ex-braqueur récidiviste, devenu peintre puis acteur dans L'Innocent de Louis Garrel, Jean-Claude Pautot a été arrêté en Espagne fin décembre en lien avec la saisie de plus d'une tonne de cocaïne dans les Açores et en région parisienne, rapporte le JDD.

    Une dizaine de personnes ont aussi été arrêtées en Espagne et en France. Les autorités espagnoles, qui ont travaillé en collaboration avec l'Office anti-stupéfiants en France, feront une communication officielle la semaine prochaine.

    De la prison aux Champs-Élysées

    Jean-Claude Pautot, 66 ans, a passé plus de vingt-cinq ans de sa vie en prison et a fait quinze ans de cavale. Figure du grand banditisme français, il s'est fait un nom en multipliant braquages de banques et attaques de fourgons blindés.

    En 2012, sa découverte de la peinture, en prison, change sa vie. Reconnu pour son art, il est interviewé en 2018 par Léa Salamé dans l'émission Stupéfiant!

    Jean-Claude Pautot expose aussi à la même époque dans la Galerie Revel sur les Champs Élysées. Il raconte également sa vie dans deux BD, Face au mur, dessinée par Laurent Astier avant de nouer des relations artistiques avec JR et Louis Garrel.

    BFM.TV 


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