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  • Bézu :  La queuleuleu


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  • Une pensée pour les SDF et les animaux abandonnés


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  • Au premier trimestre 2019, trois réformes à hauts risques

    L’exécutif se penchera sur l’assurance-chômage, la réforme de l’Etat et la révision de la loi de 1905.

     

    La réforme des institutions, abandonnée en juillet, a été repoussée après le grand débat lancé par le gouvernement pour répondre à la crise des « gilets jaunes ». Quant à la réforme des retraites, elle n’interviendra qu’au lendemain des européennes de mai 2019. Au premier trimestre de l’année qui s’ouvre, le gouvernement se concentrera sur trois chantiers délicats : l’assurance chômage, la réforme de l’Etat et le toilettage de la loi de 1905.

    L’assurance chômage, des pistes explosives

    Point central du programme social d’Emmanuel Macron, la réforme de l’assurance chômage a été officiellement lancée en novembre. Au menu : indemnisation des indépendants et des démissionnaires et mise en place d’un bonus-malus sur les cotisations patronales pour les entreprises qui abusent des contrats courts. Dans son document de cadrage, le gouvernement a également demandé de nouvelles économies drastiques aux syndicats et au patronat : 3 à 3,9 milliards d’euros sur trois ans.

    Ce faisant, l’exécutif a ouvert un nouveau front avec des syndicats qui se sentaient déjà mal aimés par le pouvoir. Ils l’ont dit et répété : hors de question pour eux de rogner les indemnités des chômeurs pour trouver l’argent demandé. Quant au patronat, il est hostile à une hausse des cotisations sur les contrats courts, préférant une baisse des indemnités pour les cadres ou encore une diminution des droits de retraite engrangés par les demandeurs d’emploi.

    Des pistes jugées explosives. Lancées en novembre, les discussions se sont révélées plus compliquées que prévu. Mais, crise des « gilets jaunes » oblige, le gouvernement a consenti à desserrer l’étau en ajoutant deux séances supplémentaires de négociation aux partenaires sociaux. Car sans accord, c’est le ministère du travail qui reprendrait la main, au risque de remettre une pièce dans la machine de la contestation sociale.

    La réforme de l’Etat, « la mère des batailles »

    Ceux qui travaillent sur le vaste chantier de la réforme de l’Etat ont poussé un « ouf » de soulagement après le discours d’Emmanuel Macron, le 10 décembre. « Vous avez entendu le président de la République : la réforme de l’Etat est à l’agenda », confiait l’un d’eux le lendemain. Pour le chef de l’Etat, ce tentaculaire processus de changement est « la mère des batailles ». « C’est un enjeu fondamental pour agir plus vite et obtenir plus rapidement des résultats concrets », poursuit la même source.

    La réforme de la fonction publique devrait déboucher, sans doute en février, sur un projet de loi. Les principales dispositions sont connues. Il s’agit de rénover les instances de dialogue social en en supprimant certaines. Le gouvernement souhaite également recourir plus largement au contrat dans le recrutement des fonctionnaires et développer la rémunération de ceux-ci au mérite. Enfin, des plans de départ volontaire seront proposés à ceux qui veulent partir, notamment les hauts fonctionnaires sans poste.

    Il sera aussi question de réformer les grands corps (Cour des comptes, inspection générale des finances, Conseil d’Etat). Mais la réforme de l’Etat, ce sera aussi une nouvelle organisation territoriale : le gouvernement souhaite clarifier les compétences, chasser les doublons, tout en rendant l’Etat plus présent sur le terrain. Les hauts cadres de l’Etat devraient aussi bénéficier de davantage d’autonomie. Le tout en tenant la promesse de campagne de réduire le nombre de fonctionnaires de 120 000 et de baisser la dépense publique.

    Réformer la loi de 1905, pour prévenir les dérives

    Le chef de l’Etat est attendu sur la retouche des lois qui encadrent l’exercice des cultes, singulièrement la loi du 9 décembre 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat. C’est la voie que semble avoir choisie le président pour répondre aux attentes concernant la régulation du culte musulman. Un texte en préparation vise à pousser les acteurs de ce culte à se couler dans le régime associatif établi par la loi de 1905, alors que la très grande majorité d’entre eux ont choisi le régime de la loi de 1901 sur la liberté d’association, moins contraignant mais qui ne donne pas droit aux mêmes avantages fiscaux.

    Les contrôles seraient renforcés pour améliorer la transparence des associations qui gèrent des mosquées, s’assurer qu’elles respectent les impératifs de l’ordre public, clarifier leur gouvernance et vérifier l’innocuité d’éventuels financements étrangers. Le texte devrait rapprocher les exigences imposées aux associations « loi 1901 » qui gèrent un lieu de culte de celles relevant de la loi de 1905 pour créer un socle d’obligations communes. A l’avenir, toutes les associations loi de 1901 à objet cultuel seraient tenues de publier leurs comptes annuels, comme leurs homologues de la loi de 1905. Elles devraient aussi faire certifier leurs comptes par un commissaire aux comptes, même lorsqu’elles perçoivent moins de 153 000 euros de dons (seuil actuellement en vigueur).

    Les deux types d’associations devraient être tenues de déclarer les dons provenant de l’étranger. Les associations « loi de 1905 » devront faire renouveler tous les cinq ans, auprès de la préfecture, leur agrément comme association cultuelle. Les appels à la haine formulés dans un lieu de culte pourraient être réprimés plus sévèrement.

    Le Monde.fr


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  • Un décret publié dimanche au Journal officiel détaille les sanctions liées au contrôle des chômeurs. Certaines sont plus dures que ce qu'avaient annoncé le gouvernement lors du vote de la loi "avenir professionnel" cet été.

     

    On en sait plus sur le volet "contrôle des chômeurs" de la réforme "avenir professionnel" adopté dans son principe cet été par le Parlement. Le décret publié dimanche au journal officiel détaille les sanctions prévues à l'encontre des chômeurs en cas de manquement à leurs obligations. Et certaines sont plus dures que ce qu'avait initialement annoncé le gouvernement.

        

    Le fait de ne pas se rendre à un rendez-vous avec un conseiller, par exemple, sera sanctionné d'un mois de radiation selon le texte du décret, deux mois au bout de deux manquements et quatre mois au "troisième manquement" constaté. Il devait être sanctionné de 15 jours de radiation des listes au lieu des deux mois actuellement en vigueur. 

    Par ailleurs, s'agissant des sanctions concernant l'insuffisance de recherche d'emploi (refus à deux reprises de deux offres raisonnables d'emploi par exemple), d'après le décret, l'allocation est "supprimée" dès le premier manquement et non "suspendue" ce qui permettait de conserver ses droits. Le gouvernement avait évoqué auparavant des sanctions graduelles: suspension de l'allocation d'un mois la première fois, de deux mois la deuxième fois et quatre mois la troisième fois. Il avait alors précisé que l'allocation serait amputée à partir de la deuxième fois.

    Un journal de bord numérique comme preuve 

    Le contrôle doit se faire via un "journal de bord" numérique, où les demandeurs d'emploi renseigneront tous les mois leurs actes de recherche d'emploi. A partir de mi-2019, ce dispositif sera expérimenté pendant un an dans deux ou trois régions.

    Selon une étude mise en ligne cet été par Pôle emploi, 12% des demandeurs d'emploi ne cherchent pas activement un emploi, mais ce taux chute à 8% chez les bénéficiaires de l'assurance chômage. 

    Ce dispositif est présenté comme la contrepartie d'une ouverture plus grande du régime d'assurance-chômage à des démissionnaires ayant un projet professionnel. Néanmoins, cette ouverture ne concernera potentiellement que 20.000 à 30.000 démissionnaires supplémentaires, selon les calculs de l'exécutif, au regard des 70.000 déjà indemnisés chaque année. 

    BFM.TV


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  • Vous l’avez peut-être vue passer sur votre fil Twitter: une vidéo d’une conductrice japonaise, visiblement âgée, seule au volant, roulant à toute vitesse sur un trottoir. On peut y entendre les personnes qui filment mi-amusées, mi-effrayées, rire et hurler «Grand-mère, grand-mère».

    Si la vidéo est amusante, le comportement de la conductrice reste très dangereux et se trouver être symptomatique d’un réel problème: la police japonaise estime que les personnes âgées sont responsables de 12.9% des accidents de la route mortels sur l’archipel. Soit, tout de même, 7,7 accidents pour 100.000 personnes détentrices d’un permis de conduire de plus de 75 ans. Plus du double des statistiques des plus jeunes.

    Retrait volontaire du permis de conduire

    Pour lutter contre ce phénomène, le gouvernement a demandé aux personnes les plus âgées de rendre volontairement leurs permis. Depuis mars 2017, elles doivent passer un test à chaque renouvellement de permis, tous les trois ans, ou après chaque infraction. Le test est une occasion de le rendre volontairement si des signes avant-coureurs de démence apparaissent. Ainsi, 423.000 personnes ont renoncé à leur permis de conduire depuis la fin 2017 –un record–, ce qui a entraîné une baisse du nombre d’accidents, mais de seulement 0.6% par rapport à l’année précédente.

    Le problème est qu'au Japon, il est quasi impossible de se passer de voiture, surtout dans les zones rurales mal desservies par les transports en commun. Et la situation n’est pas près d’être réglée puisque la population est de plus en plus vieillissante et que le pays connait une pénurie de chauffeurs de bus.

    Slate.fr


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  • Charente-Maritime : un forcené hospitalisé après avoir tiré sur des gendarmes à Saint-Hilaire-de-Villefranche

    Un forcené a été hospitalisé après avoir tiré sur des gendarmes dimanche 30 décembre en Charente-Maritime, sur la commune de Saint-Hilaire-de-Villefranche, à environ 65 kilomètres d'Angoulême, a appris franceinfo auprès de la gendarmerie.

     

    Plus de 10 heures de négociation

    L’homme, âgé d’une soixantaine d’années, s’était retranché dans sa maison et menaçait de se suicider. Les gendarmes de Rochefort sont intervenus dimanche vers 14h30. Lorsqu’ils sont arrivés sur place, le forcené leur a tiré dessus avec un fusil de chasse, sans faire de blessé. Le GIGN a également dû être appelé sur les lieux. Les négociations ont duré plus de 10 heures, jusqu’à 2 heures dans la nuit de dimanche à lundi.

    L'homme a été interpellé sans difficulté, il est connu pour dépression. Il a été hospitalisé à Saintes, à une quinzaine de kilomètres de Saint-Hilaire-de-Villefranche.

    franceinfo


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  • Chanson un peu paillarde mais c'est le 31 décembre (rire)


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - LUNDI 31 12 2018

     

    BONNE JOURNEE


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  • De la viande de zèbre, d'autruche et de kangourou en vente dans des supermarchés fait polémique

    Des pavés de zèbre, d'autruche ou de lama, vendus en grande surface pour les fêtes de fin d'année, ont créé la polémique sur les réseaux sociaux. L'association 30 millions d'amis a enquêté et dénoncé ces produits qui envoient un "très mauvais signal aux consommateurs."

    À l'occasion des fêtes, plusieurs marques ont commercialisé de la viande de zèbre, de kangourou ou encore d'autruche dans des enseignes de grande distribution. Des produits qui ont créé la polémique sur les réseaux sociaux.

    LIEN de l'article : https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/de-la-viande-de-z%c3%a8bre-dautruche-et-de-kangourou-en-vente-dans-des-supermarch%c3%a9s-fait-pol%c3%a9mique/ar-BBRBRCW?li=BBoJIji&ocid=PerDHP


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  • Val-de-Marne: Un détenu réussit à s’évader de la prison de Fresnes malgré les tirs des surveillants

    Les tirs ne l’ont pas arrêté. Un détenu de la prison de Fresnes dans le Val-de-Marne a réussi à s’évader. Les faits se sont déroulés vers 16h40 ce dimanche. Malgré les tirs d’un surveillant depuis le mirador, le prisonnier est parvenu à passer par-dessus le dernier mur de l’enceinte du centre pénitentiaire.

    Le détenu, qui a pu se blesser aux mains en franchissant des barbelés du mur de l’enceinte, était en prison pour des vols avec effraction, a indiqué le syndicat SNP-FO.

    L’homme toujours recherché

    Selon Le Parisien, le prisonnier faisait pourtant l’objet d’une surveillance particulière pour avoir déjà tenté de s’évader par le passé. L’administration pénitentiaire a précisé que les dispositifs de recherche étaient en cours.

    En août, une enquête avait été ouverte après le survol par deux drones de cette prison, l’une des plus grandes de France, qui compte quelque 2.500 détenus.

    Polémique sur la sécurité dans les prisons

    En juillet dernier, le braqueur récidiviste Redoine Faïd s’était évadé de la prison de Réau (Seine-et-Marne), lors d’une opération spectaculaire au cours de laquelle un hélicoptère s’était posé dans la cour d’honneur. Après trois mois de cavale, Faïd avait été arrêté le 3 octobre 2018 dans un appartement de Creil (Oise).

    Son évasion avait suscité une polémique sur la sécurité dans les prisons et entraîné une réorganisation des services de l’administration pénitentiaire, jugée "insuffisamment réactive" lors de cet épisode.

    20 Minutes

    Val-de-Marne: Un détenu réussit à s’évader de la prison de Fresnes malgré les tirs des surveillants


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  • Lancé par la fédération des médecins de Hesse, le Medibus sillonne la campagne allemande pour que les patients aient accès aux soins malgré la raréfaction des praticiens. De tels projets sont en cours d'étude en France, en Auvergne-Rhône-Alpes et dans l'Oise.

    Depuis que le dernier médecin a quitté son village de Weissenborn il y a quelques années, l'ancien maire Arno Mäurer, 79 ans, doit parcourir 8 kilomètres pour consulter son généraliste. Mais depuis cet été, le Medibus, un cabinet médical installé dans un bus rouge et jaune, sillonne la campagne allemande vieillissante: il s'arrête le mardi et le jeudi dans cette bourgade de 1.000 habitants.

    "Le jour viendra où je ne pourrai plus conduire de voiture, et je serai alors entièrement dépendant du Medibus", constate Arno Mäurer, qui alterne les déplacements chez son médecin, souvent surchargé, et les consultations dans le bus.

    Lancé par la fédération des médecins de Hesse (centre-ouest de l'Allemagne), cet engin flanqué d'un bâton d'Asclépios fait chaque semaine le tour de six villages dans cette zone où, comme ailleurs en Europe, les praticiens se raréfient.

    Les aides à l'installation ne suffisent pas

    A son bord, le Dr Matthias Roth a reçu 35 patients par jour sur les trois derniers mois, soit l'équivalent d'un cabinet "classique" de généraliste, selon la fédération. Près de 70% d'entre eux ont plus de 55 ans et 30% plus de 76 ans. "C'est un cabinet complet, on a tout à bord pour diagnostiquer et soigner les patients", explique-t-il à l'AFP, assis derrière son ordinateur au fond du véhicule, stationné devant la mairie de Cornberg, 1.600 habitants.

    Carsten Lotz, coresponsable du projet à la fédération, se réjouit de ce "très grand succès", alors que la Hesse, région qui entoure Francfort, manque de plus de 170 médecins, malgré les aides à l'installation.

    La fédération des médecins de Hesse accorde ainsi 66.000 euros maximum sur cinq ans pour l'ouverture d'un nouveau cabinet dans certaines zones. Les médecins repoussant leur départ en retraite peuvent également recevoir jusqu'à 2.000 euros par trimestre. Parallèlement à ces deux mesures, le Medibus a reçu, lui, une autorisation exceptionnelle pour pratiquer la "médecine foraine" (itinérante), en principe interdite.

    Le projet suscite néanmoins des inquiétudes, notamment auprès d'élus locaux qui "veulent un médecin résident" dans leurs communes, explique Carsten Lotz. "Notre travail reste d'attirer de jeunes médecins et le Medibus n'est qu'un complément" là où les efforts ne paient pas, plaide le responsable.

    Les déserts médicaux se multiplient en Europe

    Le Dr Roth concède que ce cabinet ambulant n'est "pas idéal", mais il n'y voit pas pour autant "une concurrence pour les médecins établis".

    Côté patients, Arno Mäurer préférerait "bien sûr" un médecin à demeure. Mais en attendant "ce miracle", le Medibus "doit absolument être conservé", dit-il. "C'est mieux que rien", insiste cet ancien maire, alors que la pérennité du projet n'est pas garantie: il doit pour l'instant durer deux ans, pour un coût total de 600.000 euros.

    Loin de se limiter à l'Allemagne, la multiplication des déserts médicaux et les réflexions pour y remédier concernent une grande partie de l'Europe.

    Au Royaume-Uni, la British Medical Association recense en moyenne 2.000 patients pour un généraliste et les "zones rurales ont encore plus de difficultés" pour attirer de jeunes médecins, selon un porte-parole interrogé par l'AFP. Pour tenter d'enrayer le phénomène, le service public britannique de santé offre ainsi une bourse de 20.000 livres (22.150 euros) aux jeunes médecins installés dans une vingtaine de zones peu attractives, mais n'a pas prévu de consultations ambulantes.

    En France, un peu plus de 8% de la population vit dans l'une des 9.000 communes manquant de médecins généralistes, soit environ 5,3 millions d'habitants susceptibles d'être moins bien soignés au quotidien, selon le gouvernement français. Si rien n'est fait, la situation s'aggravera sous l'effet de la baisse du nombre de généralistes, de nombreux départs à la retraite et des nouvelles aspirations des jeunes médecins, à la recherche d'une vie plus équilibrée.

    Comme au Royaume-Uni, le gouvernement français mise sur des mesures incitatives sous forme d'aides financières à l'installation, et compte développer les maisons de santé et la télémédecine, tout en concentrant les créations de postes de généralistes dans les "territoires les plus critiques".

    Bientôt une camionnette médicale en Auvergne-Rhône-Alpes

    Par ailleurs, pour contourner la raréfaction des praticiens, 4.000 nouveaux postes d'assistants médicaux doivent "décharger les médecins d'actes simples", comme la prise de tension ou de température, ainsi que des tâches administratives.

    Comme en Allemagne, la "médecine foraine" demeure interdite sur le principe, mais l'Ordre des médecins a entrouvert une porte en 2012, modifiant son code déontologique pour autoriser les médecins "à exercer dans une unité mobile" dans "l'intérêt de la santé publique".

    Ainsi en Auvergne-Rhône-Alpes, l'entrepreneur Jean-Louis Touraine, député du parti présidentiel LREM, souhaite lancer au premier trimestre 2019 des tournées de camionnettes médicales, et un tel projet est aussi envisagé dans l'Oise, un département au nord de Paris.

    BFM.TV


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  • Migrants: des associations accusent l'Etat de "mise en danger délibérée"

    Médecins du monde, le Secours catholique et douze autres associations accusent ce dimanche l'Etat de "mise en danger délibérée" des migrants et appellent à un "changement de cap", dix-huit mois après l'engagement d'Emmanuel Macron de n'avoir plus personne à la rue fin 2017. 

     

    Un engagement "vite oublié"

    "Monsieur le président, votre engagement (...) a été vite oublié par votre gouvernement, votre majorité, vos services. Plus grave, par vous-même", écrivent les associations signataires,dans une tribune publiée par le Journal du dimanche.

    Au début de son mandat, le 27 juillet 2017, le chef de l'Etat avait promis de ne plus avoir "d'ici la fin de l'année des hommes et des femmes dans les rues, dans les bois". 

    "Un an après, des milliers de personnes, femmes, hommes, enfants, familles, se partagent les interstices des villes, s'abritent sous des échangeurs, sont échoués sur les trottoirs de Paris et de son immédiate périphérie", souligne le texte. 

    "Mise en danger délibérée"

    "Ces personnes à la rue ont toujours plus de difficultés à se nourrir, à se soigner, à trouver une information fiable pour faire valoir leurs droits élémentaires", déplorent les représentants de Médecins du Monde France, du Secours catholique-Caritas France, d'Emmaüs France, de la Ligue des droits de l'Homme, et de divers collectifs et associations venant en aide aux migrants. 

    "A Paris, en Ile-de-France, mais aussi à Grande-Synthe, sur le littoral nord, ailleurs", le sort des migrants "confine à une mise en danger délibérée" accusent les associations, qui exigent des réponses "à la hauteur de la situation d'urgence".  

    BFM.TV

    Que ces associations qui touchent de l'argent de l'Etat, notre argent, s'en occupent !

    Quant aux promesses de Manu, on sait bien qu'ils ne les tient jamais !


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  • Très agréable à écouter et à regarder


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  • "Petit à petit, on s'est donnés la main" : deux retraités ont trouvé l'amour pendant les manifestations des "gilets jaunes" à Orléans

    Deux retraités loirétains manifestants des "gilets jaunes", qui se sont rencontrés lors de la première manifestation le 17 novembre, forment désormais un couple et continuent de manifester ensemble, raconte France Bleu Orléans. Les retraités faisaient encore partie du cortège orléanais ce samedi.

    Claudie, 64 ans, et Jean-Michel, 68 ans, sont des "gilets jaunes" de la première heure. "On manifestait ensemble et une discussion en appelait une autre, puis une autre...",raconte Claudie à France Bleu Orléans. "Comme je suis galante, je lui préparais des casse-croûtes et petit à petit on s'est donnés la main. Maintenant on est ensemble, ça fait un mois et demi !"

     

    "Je ne fais qu'un repas par jour"

    La rencontre a permis d'égayer le quotidien de Claudie, qui vit avec une retraite de 950 euros par mois. "Je ne fais qu'un repas par jour, je mange de la soupe la plupart du temps et j'ai arrêté la viande parce que c'est bien trop cher. Pour faire des cadeaux de Noël à mes petits-enfants, j'ai dû faire des choix. Donc je suis très fâchée", confie-t-elle.

    Aujourd'hui, elle assure que "l'amour, c'est d'être heureux" : "On va aux gilets jaunes et on sort ensemble". "On n'a plus d'argent mais on aura quand même trouvé l'amour", conclut Jean-Michel, son nouveau compagnon.

    franceinfo


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  • Ils découvrent qu'ils sont licenciés en regardant le planning

    Les salariés du Leader Price de Fleurance dans le Gers ne s'attendaient pas à cette nouvelle en fin d'année ! Mi-décembre, alors qu'ils consultent le planning pour connaître leurs horaires pendant les fêtes, ils découvrent qu'après le 28 décembre, il n'y a plus rien d'inscrit. La raison : ils sont tous licenciés !

    En effet, le 9 décembre dernier, la direction du magasin a décidé de mettre la clé sous la porte et de ce fait de licencier ses onze salariés sans les prévenir au préalable, explique La Dépêche du Midi. "C’est vraiment dommage d’en finir comme ça", déplore l’un des employés.

     

    La responsable du magasin en poste depuis six mois

    La direction explique l'arrêt de l'activité par une concurrence acharnée parmi les grandes surfaces entre le géant Carrefour et un Lidl compétitif sur les prix. Sur les onze salariés licenciés, trois ont accepté l'offre de reclassement dans un supermarché du groupe Casino, propriétaire de Leader Price. En raison des contraintes géographiques, six autres ont refusé ce reclassement et se retrouveront ainsi sans emploi dès le 29 décembre. Le sort des deux derniers salariés n'est pas encore connu. "Je suis triste pour mes employés, il y a plusieurs mères de famille qui travaillent ici et qui ne pourront pas accepter les reclassements qui sont proposés dans d’autres villes que Fleurance", explique au quotidien la responsable du magasin, en poste depuis six mois qui regrette également de ne pas avoir eu le temps de faire ses preuves. "Quand je suis arrivée en avril dernier, les chiffres n’étaient pas bons, mais depuis six mois nous remontons la pente. Cependant, il est trop tôt pour en percevoir les fruits".

    Les salariés concernés par ce licenciement ne comprennent pas la décision de la direction de ne pas les avoir informés de la fermeture du magasin. Les clients habitués de ce Leader Price sont également sous le choc puisque rien ne laissait entrevoir une possible fermeture si rapide.

    Capital


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  • CHANTOUVIVELAVIE : BONJOUR - DIMANCHE 30 12 2018

     

    Passez une bonne journée


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